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Aymeric Belloir En route vers le Multi 50 et la Route du Rhum Dossier de partenariat Projet parrainé par Alain Gautier !

Aymeric Belloir - Dossier sponsoring_V4

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Aymeric BelloirEn route vers le Multi 50 et la Route du Rhum

Dossier de partenariat

Projet parrainépar Alain Gautier !

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LA VOILE Une dynamique porteuse de sens

Pour la notoriété, la voile est l’un des rares sports, avec le cyclisme, qui permette à l’annonceur de donner son nom à une équipe. Le sponsoring est l’occasion de jouer avec les codes de ce sport où dominent rêve et élégance, aventure et dépassement de soi.

Pour leur communication interne ou externe, les entreprises y puisent des symboles porteurs : management en équipe, environnement, santé, performance, défi… En communication, interne et commerciale, le feuilleton d’une course touche collaborateurs et partenaires et contribue à les fédérer. Beaucoup de sponsors utilisent leurs partenariat à des fins de relations publiques «B to B» ou de ressources humaines. La mer permet enfin de positionner la notoriété d’une marque en délivrant un message à la fois écologique et technologique.

! 300 000 licenciés à la Fédération française de voile en 2013 (source FFV)

! 8 millions de pratiquants (source FFV 2013)

! 3ème sport le plus diffusé dans le JT *

! 70% des français de 15 ans et plus ont suivi au moins un évènement voile au cours de l’année*

! Retour moyen sur investissement dans le sponsoring voile variant d’un coefficient de 2,5 à 4,5 par an (source Hickory Sport)

! L’amateur de voile appartient à la catégorie CSP+, surreprésenté dans les foyers aisés et moyens supérieurs

*sources 2011 : Sport Data Center, Havas Sport, TNS Sofres, TNS Sport

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LES HOMMESAymeric BELLOIR L’océan comme horizon

Sur la Terre! 37 ans, marié, 3 enfants.! Dirigeant de Exosail, société de services nautiques, assistance

et préparation, course et croisière.

Sur la Mer! Victoire Mini Transat 2013! Vice Champion de France 2013 Circuit Promotion Course au

large en solitaire! Champion de France 2012 Circuit Promotion Course au large

en solitaire! Victoire Les Sables Les Açores 2012! Victoire Transgascogne 2011.! 1 Transat AG2R.! 3 Solitaires du Figaro (3ème bizuth 2007).! l’équivalent de 4 tours du monde en course et convoyage.

Alain Gautier, vainqueur du Vendée Globe 1992-1993 à propos de la victoire d’Aymeric sur la Mini Transat 2013 :

«Aymeric a fait une très belle navigation, il a suivi une trajectoire rigoureuse. Il donne l’impression d’avoir mené une course intelligente. Il ne roulait pas sur l’or pour mener son projet, mais il l’a bien géré privilégiant la simplicité pour préparer et optimiser son bateau. Sur l’eau, il a donné le ton dès le début. Sa performance se mesure aussi à la manière selon laquelle il s’est accroché à la tête de flotte des prototypes. Il termine avec une avance très confortable sur ses concurrents qui bataillent dur. C’est une victoire méritée, un grand coup de chapeau !»

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ne l’as que si tu viens de l’olympisme. Le Figaro, lui, t’apprend à naviguer en flotte sous une pression constante, c’est la problématique la plus importante. Il faut savoir tenir cette pression sur plusieurs jours. Tu apprends à gérer plein de paramètres en même temps, tout en changeant de configuration très souvent suivant l’endroit où tu navigues. Il te faut donc de vrais roadbooks, très précis et utilisables même quand, avec la fatigue, ton cerveau va tourner au ralenti.Mais en 2009, je sens que le manque de moyens m’empêche de franchir un pallier de progression. Et je repense au Mini.»

Comment se passe la rencontre avec ce Nacira que tu vas mener à la victoire ?«Je dois gagner ma vie et un projet Mini peut me permettre de continuer à travailler. Corentin Douguet vient de lancer le Nacira et je travaille dessus avec lui tout en achetant le dixième construit.Parallèlement je fais quelques convoyages et travaille aussi avec le TP52 Paprec. Je fais aussi du coaching. J’offre le nom de mon Nacira à l’association «Tout le monde chante contre le cancer» et je fédère autour des partenaires. Cela me permet de courir un peu, avec des budgets modestes : moins de 20 000 euros en 2011/2012 et moins de 30 000 en 2013. C’est très peu.»

Tu cours peu, mais tu gagnes...«On remporte l’Open demi-clé, mais le vrai déclic c’est la Transgascogne 2011 dont je gagne les deux étapes. Performer devient alors un véritable objectif, mais

je n’ai ni le budget ni le temps pour m’aligner sur la Transat. En 2012, je continue à travailler : en coaching, en prise en mains du Nacira pour d’autres ou encore à bord du trimaran ORMA d’Alain Gautier, chez Sensation Océan. Puis arrive 2013 et cette année de Transatoù je n’ai pas un sponsor assez

conséquent pour un grand programme sportif. Alors, je décide de ne m’aligner que sur deux courses avant la Transat : le Trophée MAP et la Select 6,50. Du coup, j’étais peu présent et n’avais pas beaucoup d e p re s s i o n . To u t l e monde parlait de Justine (Mettraux, la Suissesse qui finira 2e), seuls les initiés pensaient que je pouvais jouer le podium.»

L’avant-cour se a été rocambolesque entre les reports, la neutralisation à Gijon, un convoyage

délicat vers Sada, puis la traversée sans escale... comment as-tu vécu tout ça?«Les reports sont forcément perturbants. Quand on décolle enfin de Douarnenez, j’ai des sentiments contradictoires : je sors dans le trio de tête et je sens que je suis dans le coup. Je suis très motivé, j’ai confiance... mais je sais aussi qu’il faudra se faire mal et j’ai la boule au ventre car je considère que le passage du cap Finisterre n’est pas possible ! On connaît la suite : ils nous envoient sur Gijon.Puis il y a le convoyage vers Sada qui fait partie des navigations les plus dures que j’ai eues à subir alors que j’ai plus de 100 000 milles au compteur en convoyage (l’équivalent de trois tours du monde, ndr)». Le passage des derniers caps avant La Corogne est incroyablement difficile : mer démontée, rafales à 50

AYMERICBELLOIR :exploit en Mini,

avenir en Multi...

Vainqueur en série d’une Mini Transat hors normes, le skipper du Nacira 810 «Tout le monde chante contre le cancer» a signé un exploit sans précédent : 6e au scratch ! Aymeric Belloir a impressionné par une trajectoire et une gestion impeccables.Surtout, son histoire fait sens : oui, on peut devenir un grand marin en prenant les chemins de traverse. Rencontre.

Aymeric, avant cette grande victoire on ne te connaissait que dans le milieu. Présentation ?«Je suis né à Nantes en 1978. Je vis à Etel avec ma femme Gaëlle et nos deux garçons. J’ai toujours navigué, mais souvent en dehors des filières classiques. Je viens à la fois du convoyage, des sports de glisse et de la voile légère. J’ai fait de l’Optimist en scolaire : en baie de La Baule on tournait autour du Lada Poch de Loïck Peyron. Je me souviens parfaitement du départ du Vendée Globe 1989 : j’avais 11 ans et ça me faisait rêver. J’ai commencé l’habitable avec le Trophée des Lycées, puis le Spi Ouest, les entraînements d’hiver à La Trinité...»

Les études ?«Bac scientifique et Fac de sciences mais je bifurque sur l’Institut Nautique de Bretagne où j’apprends le métier de chef de base. A 20 ans je passe mon diplôme de skipper professionnel (le BPPV) et mon Brevet d’Etat. A l’issue de cette formation, je pars un an autour du monde sur un Sun Magic 44 qu’on mène à trois. Une expérience fantastique via l’Australie, l’Indonésie, Singapour, la Thaïlande... Je traverse l’Océan Indien, c’est ce voyage qui m’a appris le large.Arrivé à Santorin, je n’ai plus d’argent et je dois travailler. Je me retrouve à louer des bateaux à Saint Raphaël et c’est là que j’ai l’opportunité d’être engagé sur des convoyages. Je commence par la Croatie, la Grèce, la Turquie, puis ce sera beaucoup plus lointain : les Seychelles, des transats vers les Caraïbes et même vers Tahiti.Je travaille en indépendant, en équipage réduit voire en solitaire. Il m’arrive plein d’aventures, toujours intéressantes, parfois périlleuses. C’est très formateur. Je commence à penser à la Mini. A chaqueconvoyage je passe beaucoup de temps à réfléchir au projet. L’idée d’une transat en course me titille.»

Sauf que tu commences par le Figaro...«Sur un convoyage, je rencontre Jacques Palvadeau qui me permet de mettre le pied dans le circuit Figaro. Je cours trois saisons de 2007 à 2009 avec de supers souvenirs, dont celui de la Transat AG2R 2008 avec Pierre Dombre (aujourd’hui entraîneur au Pôle Finistère). Je suis un autodidacte de la course, c’était forcément très riche. Par les convoyages, j’avais l’expérience du manque de sommeil, de mes limites personnelles et je savais faire avancer vite un bateau, même si l’exigence du réglage parfait et permanent, tu

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noeuds. Nous sommes nombreux à faire des pauses dans les baies au passage du cap Ortegal. Enfin arrivés à Sada, j’ai un mal de terre terrible, le café du port est gîté à trente degrés. Mais j’ai surtout un gros problème qui me fait très concrètement envisager l’abandon.J’ai une main très enflée et je n’arrive pas à identifier pourquoi. La problématique devient : «est-ce que je peux prendre le départ ou pas ?»

Une «aventure médicale»rocambolesque elle aussi...«C’est très inquiétant et les avis médicaux par téléphone sont divergents. Ma femme fait même appel à un guérisseur à distance, on ne sait jamais ! Je trouve une voiture pour aller aux Urgences à La Corogne... sauf qu’on se trompe d’hôpital. Mais en demandant mon chemin, une femme me dit que son mari est médecin et régatier. J’ai droit à une consultation privée idéale. Je lui dis que je pars pour gagner - pas pour participer - et que je veux son avis des deux points de vue, médecin et compétiteur. Il comprend et me dit : «alors, tente ! Au pire tu as les Canaries sur ta route...» Le tout me redonne une confiance énorme. Le lendemain, je ne sais pas si c’est le guérisseur avec son pendule ou les paroles du médecin, mais si ma main reste enflée j’ai moins mal. Je suis remonté à fond et ça se voit tellement que les autres autour de moi s’en rendent compte. J’ai accordé beaucoup d’importance à ces rencontres, ce côté humain m’a porté.»

On ne va pas refaire ici ta transat, mais tu as dégagé une impression générale de facilité, avec une trajectoire très propre, très fluide...«Beaucoup de marins me l’ont dit... et ça me fait super plaisir, c’est un magnifique compliment ! Quand tu regardes Kelly

Slatter surfer, tu as aussi l’impression que c’est facile. J’avais l’impression d’être porté, de naviguer en état de grâce. Avec une confiance énorme dans mes choix et les choses qui se mettaient en place naturellement, tranquillement.J’avais parfois lu des interviews de marins qui évoquaient ce sentiment, mais ils s’appelaient Armel Le Cléac’h ou Yann Eliès ! C’est une sensation incroyable.J’étais absolument certain que ma trajectoire était la bonne. Je ne doutais pas. J’avais mon schéma général - à moyen terme je visais un point au milieu de l’Atlantique - et je ne faisais que l’actualiser avec ma météo. Dès les Canaries, je me sentais super fort. J’étais convaincu que la bonne route pour les autres c’était... derrière moi ! Les moments de doute dans des zones moins ventées ont été très rares et là je ne me suis jamais énervé. Je pensais à ce que je dis toujours à mes enfants : soyez patients.»

Si tu devais résumer les grandes raisons de ta victoire ?«Cet état de grâce dans tout ce que je faisais. Un très bon bateau : la géométrie du gréement du Nacira fait que tu peux vraiment allumer dans le gros temps et c’est fiable : aucun Nacira n’a démâté ou eu de dommages graves sur cette transat et nous sommes trois sur le podium avec ce même bateau. Mon expérience a joué : aux Canaries, je connaissais parfaitement le coin, les lumières, le relief, j’avais du déjà y passer une dizaine de fois. Je sentais que ça me donnait un avantage, ça renforçait encore la spirale positive. J’étais fluide, super confiant dans mes choix.Enfin, l’écart à l’arrivée s’explique aussi en partie parce qu’à deux ou trois moments c’était une course de capitalistes : plus tu étais devant et plus tu gagnais des milles.»

En Mini, on n’a pas de contact avec l’extérieur.Comment gérais-tu ta journée ?«Loïck Peyron a dit un jour que l’important était de se créer une routine et je me suis toujours souvenu de ça, je l’applique aussi en convoyage. Tu crées un cycle de 24 heures, avec plein de rendez-vous - ta toilette, la météo, les repas, les siestes - et tu fais ta vie comme ça, en l’adaptant avec les conditions et le fait que la nuit soit avec lune ou noire, auquel cas le pilote barre bien mieux que toi. Je dirais qu’il faut savoir être placide et routinier... tout en étant pointu et exigeant sur tes trajectoires et tes réglages, évidemment.»

Tes sentiments à l’arrivée devaient être très forts après ces 21 jours de mer...«Je suis assez perfectionniste et la première chose que je me suis dit c’est «well done, voilà un boulot bien fait !» Ensuite, il y a eu une grande fierté de voir ma femme et mes enfants sur l’eau.Au moins ils m’auront vu un jour gagner une grande course.Puis on me p a s s e a u t é l é p h o n e Alain Gautier, u n d e m e s héros, et il me dit «bravo, tu as fait une course formidable, J’étais très ému !»

Ton avenir de coureur?«En multicoque. Pendant la Transat, je me suis dit que je reviendrai en Guadeloupe pour la Route du Rhum, avec un multi sous mes pieds. Je viens de la glisse, j’aime le côté vivant

de ces bateaux, leur vitesse, ce rapport à l’espace et au temps qui change tout. En trimaran, dans la même journée tu vasfaire un tour aux Glénans puis tu t’autorises deux tours de Belle-Ile et il te reste encore un peu de temps pour quelques runs de vitesse devant Groix!Donc voilà mon projet : gagner la Route du Rhum en Multi50.Je travaille activement pour emmener des partenaires avec moi dans cette aventure. Le budget n’est pas tellement plus élevé que celui d’un bon Class40 et c’est un excellent compromis pour les entreprises.»

On imagine que tu as demandé l’avis d’Alain Gautier...«J’ai navigué un peu en MOD70, en Multi50, j’ai échangé sur ce projet avec Yves Le Blévec, mais aussi avec Alain, bien-sûr. Il m’a beaucoup encouragé en m’expliquant : «clairement, pour naviguer en multi il faut être structuré et

tu l’es. Donc je ne vois pas où serait la d i f f i c u l t é » . A l a i n e s t q u e l q u ’ u n qui m’inspire vraiment. Il e s t s e re i n , t r a n q u i l l e . . . et il y a pire comme prof !»

Propos recueillis par Bruno Ménard, pour le magazine Course Au Large

le 24/02/14

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Team «SENSATION OCEAN»La qualité d’un capitaine se mesure aussi à sa capacité à s’entourer

Créé et développé par Brice Lavirotte en 2005 après 13 années d’expérience dans la communication, Sensation Océan est une structure dont la vocation première est de permettre à tous, entreprises et particuliers, de naviguer à bord de trimarans ORMA, bateaux de course de 18m aux sensations indescriptibles.

Avec la complicité de Alain GAUTIER, puis de celle de Jean- Baptiste DEJEANTY, l’entreprise s’est étoffée et a offert depuis à des centaines de passionnés ou novices, des navigations extraordinaires sur de vrais bateaux de course au large (Vendée Globe, Route du Rhum, Trophée Jules Verne …) Elle y a gagné un véritable savoir-faire dans la gestion d’une flotte de bateaux exigeants, et l’organisation d’évènements sur l’eau, la gestion de projet et la communication. L’expérience de Brice Lavirotte alliée à l’expertise d’Alain Gautier font de «Sensation Océan» une structure redoutable d’efficacité.

En quelques chiffres : ! 2 grands bateaux de course au large en gestion : un

trimaran 60 pieds ORMA, et un maxi-catamaran 74 pieds G-Class

! Une flotte de 8 catamarans monotypes de 25 pieds, les ex bateaux du Trophée Clairefontaine

! Plus de 50 sorties «commerciales» par an ! Près de 600 personnes embarquées chaque année ! 2 permanents + 2 équivalents temps plein ! 3 skippers de renom : Alain Gautier, JB Dejeanty et

Aymeric Belloir ! Une équipe de 8 skippers diplômés Capitaine 200 pour

les sorties ! Une quinzaine de péparateurs/équipiers spécialistes

de la course au large à disposition

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MULTI 50

Un Trimaran de 15 mètres

Quoi de plus aérien, de plus rapide et de plus impressionnant qu’un multicoque de course au large ?

15m de long pour 15m de large, des accélérations prodigieuses et une vitesse de pointe inouïe, les Multi50 ont réussi l’impossible : offrir le meilleur du multicoque à un coût abordable.

Aujourd’hui, la Classe Multi 50 est la seule classe de multicoque de course à être systématiquement représenté sur toutes les grandes courses classiques : Route du Rhum, Transat Jacques Vabre, Transat Québec Saint Malo, offrant aux partenaires une lisibilité constante.

Le trimaran impressionne, par sa vitesse, son design proche de l’albatros, l’audace nécessaire pour apprivoiser ces purs sangs sur lesquels la navigation est souvent synonyme d’équilibre acrobatique. Naviguer sur ces bateaux est une expérience plus proche du vol que de la navigation conventionnelle.

C’est aussi pour cette raison que le Multi50 est une plateforme d’opérations de relations publiques exceptionnelle. Les sorties à 30 nœuds deviennent un souvenir inoubliable, et un élément fédérateur très fort pour l’entreprise.

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L’objectif : Route du Rhum

L’objectif du projet est de concevoir une plateforme neuve pour une mise à l’eau fin 2016, afin de profiter des dernières innovations technologiques et architecturales, pour construire un projet gagnant sur la Route du Rhum 2018. L’aspect conception et réalisation devient alors une formidable métaphore pour l’entreprise qui doit innover sans cesse, tout en ayant la patience de mûrir les projets au maximum. La construction du bateau elle-même devient un feuilleton vibrant pour les partenaires, dans un cadre technique exotique pour la plupart, jusqu’à ce moment unique qu’est la mise à l’eau d’un bateau neuf.

Chaque année un programme de course est conçu par la Classe Multi 50 permettant aux bateaux de naviguer de mai à novembre, le cœur de l’hiver étant consacré au chantier d’entretien.

A titre d’exemple, voici le programme 2014 :

! 2 au 5 mai : Grand Prix Guyader (Douarnenez)

! 29 mai au 31 mai : Armen Race (La Trinité sur Mer)

! 20 au 24 juin : Record SNSM (Saint Nazaire)

! 22 au 24 aout : Trophée Prince de Bretagne (Saint Quay Portrieux)

! 29 au 31 aout : Trophée du port de Fécamp

! 2 au 23 novembre : Route du Rhum

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LE PROGRAMMEEntre la conception, la réalisation et la fiabilisation du trimaran, 10 à 12 mois sont nécessaires.C’est la raison pour laquelle nous vous proposons d’initier le projet en 2016 par une participation à The Transat (Transat en solitaire ralliant Plymouth à New York), sur un bateau existant, éprouvé et fiable. Dans l’attente de la livraison du trimaran, votre partenariat est mis en avant et l’impact de ces courses lui permet d’être directement identifiable dans le paysage de la Course au Large.

2016 : Mai : The Transat

Juillet : Transat Quebec Saint Malo

2017 : Novembre : Transat Jacques Vabre

2018 : Novembre : Route du Rhum

Chaque année, un programme de course complet et démarrant en avril / mai permet d’animer le partenariat tout au long de l’année. La participation au circuit est à la fois l’opportunité d’organiser des opérations B to B, mais aussi l’élément essentiel du développement sportif du projet, avec en ligne de mire les grandes classiques cités ci-dessus.

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Les Transats en chiffres

Route du RhumSaint Malo à Pointe à Pitre (Guadeloupe) 3 540 milles nautique soit 6 400 km

! 85 bateaux au départ

! 3ème évènement en UBM (2000) derrière les JO et Rolland Garros

! Le 1er évènement de voile océanique

! 2 millions de personnes à Saint-Malo

! 120 000 personnes à Pointe-à-Pitre

! 900 journalistes accrédités et 121 médias présents

! Près de 15 000 retombées média

! 1,8 millions téléspectateurs sur France 3 le jour du départ (diffusion en direct)

The Transat (ex Transat Anglaise)Plymouth à New York avec prologue Bretagne sud à Plymouth

! Plus de 500 médias de 30 pays accrédités

! Plus de 100 journalistes sur place

! Valorisation Média TV: 5,7 M ¤ ! Valorisation Média Print : 3,2 M ¤ ! Plus de 500 000 visites sur le site web de la course,

1,6M de pages vues

! Valorisation totale couverture média : 10 000 000 ¤

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BUDGETOption 1Conception et réalisation d’un bateau neufPlateforme équipée prête à naviguer : 1,8 M¤�Budget annuel de fonctionnement : 0,4 M¤� TOTAL avec amortissement sur 4 ans : (annuel) 0,850 M¤�

Option 2 Achat d’un bateau existant Plateforme et reconditionnement : 0,8 M¤�Budget annuel de fonctionnement : 0,4 M¤� TOTAL avec amortissement sur 4 ans : (annuel) 0,6 M¤�

Ce budget inclut la totalité du fonctionnement sportif du projet. La partie communication en est volontairement absente. Il revient au partenaire de déterminer précisément l’engagement et le type d’opération qu’il souhaite mener. Par expérience, ces budgets tournent autour de 5 à 10 % à minima.

Sponsoring voile, un outil marketing puissant :

! Business to Consumer : NOTORIETE, offerte au partenaire principal grâce au «naming».

Outils : Nom du bateau / Affichage sur la coque et les voiles / Affichage sur les produits / Jeux Concours et PLV

! Business to Business : FIDELISER, ANIMER Outils : Navigation sur le bateau / Invitation Départ ou Arrivée de

course ! Communication Interne : FEDERER, VALORISER, DYNAMISER Outils : Intervention du skipper en entreprise / Suivi interne du

partenariat / Vêtements marqués ! Exploitation des Valeurs de la Voile : aventure, audace,

ténacité, écologie, technologie, performance, engagement...

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CONTACTAymeric Belloir

06 62 00 33 [email protected]

«Il est un mot sur lequel je lis et j’entends depuis longtemps des affirmations tantôt lénifiantes, tantôt fausses : le parrainage sportif.

…Elle va de caricature en caricature. Soit elle fait l’impasse sur la dépendance réciproque de l’entreprise et du sport, le sportif a besoin d’argent et l’entreprise a besoin de notoriété et d’image, soit elle présente ce lien comme une épouvantable aliénation pour un monde comme pour l’autre, une terrible compromission,… Personne à ma connaissance n’a pris la peine, parmi les contempteurs du sponsoring d’analyser le lien en dehors de la logique financière.

La philosophie fait peur. La dimension philosophique du lien entre l’entreprise et le sport échappe. Et bien moi, elle est la seule qui m’intéresse…

Je n’ai pas engagé le groupe que je dirige pour augmenter son chiffre d’affaires… Je prétends que le sponsoring est affaire de valeurs et d’idéologie au sens propre du mot, c’est à dire de promotion des idées et des idéaux.»

Extrait de l’ouvrage «Embarqués ensemble» - Attique éditeur. 2005Jacky Lorenzetti, ex-Président du Groupe Foncia.

Aymeric à son arrivée en Guadeloupe,

Victoire Mini Transat 2013

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RETOMBEES CREPES WAHOU

Investir en Multi50 Le meilleur retour sur investissement de la course au large

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Transat Jacques Vabre 2005 (internet non comptabilisé)

Transat Jacques Vabre 2009 (nouveau bateau)

Transat Jacques Vabre 2007 (internet non comptabilisé)

Route du Rhum 2006 (internet non comptabilisé)

650 K�

1 M�

500 K�

2 M�

Route du Rhum 2010 – Casse Abandon

Budget Annuel Comm comprise

Retombées media en équivalent euros (étude Argus Media)

Exemple : Crêpes Whaou ! – FY Escoffier Source : Etudes Argus Media

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REVUE DE PRESSE

Passages Télévison- Télé Matin sur France2- Emission & journaux sur

TébéSud et Tébéo- Journaux France3 Bretagne