32
BELFORT BELFORT Economie Enseignement sport, culture, loisirs le magazine de la ville de Belfort wwwmairiebelfortfr mars numéro / euro Mars à Belfort...

BELFORT - #DIESE : L'EMISSION DES …diese.emission.free.fr/belfortmag.pdfConfiance par Jean-Pierre Chevènement page 3 Belfort Mag mars 2003 n 134 éditorial tent les communautés

Embed Size (px)

Citation preview

BELFORTBELFORT

EconomieEnseignementsport, culture, loisirs

le magazine de la ville de Belfort www�mairie�belfort�fr

mars ���� numéro ��� / �� euro

Mars à Belfort...

● SAPEURS POMPIERSTél. 18 ou Minitel 36.18suivi du 03 84 22 18 84(personnes mal ou non entendantes)● CENTRE HOSPITALIER14 rue de Mulhouse - Tél. 03 84 57 40 00● URGENCES MEDICALES / SAMU24 h sur 24Tél. 15● DÉPISTAGE ANONYMEET GRATUIT DU SIDA21, avenue Jean Jaurès - Tél. 03 84 28 17 12● AIDES (SIDA)Tél. 03 84 58 17 43● ALCOOLIQUES ANONYMESTél. 03 84 54 09 52● CROIX BLEUE25, rue Savoureuse - Tél. 03 84 28 92 98● LE RELAIS10, bd Anatole France - Tél. 03 84 21 76 02● AMBULANCIERS 24 h sur 24Tél. 03 84 28 35 35● GENDARMERIETél. 03 84 57 31 00● PHARMACIE DE GARDESe présenter muni d'une ordonnanceau commissariat● COMMISSARIAT DE POLICERue du Manège - Tél. 03 84 58 50 00Police-secours - Tél. 17● DEPANNAGE EDF/GDFEDF : Tél. 03 84 28 33 23GDF : Tél. 03 84 28 51 22● SOS AMITIETél. 03 81 98 35 35

● ETAT CIVIL(Mairie et permanences)Hôtel de Ville, place d’Armes :(Tél. 03 84 54 24 24)Etat-civil :du lundi au vendredi de 8h30 à 12het de 13h30 à 18h - samedi de 8h30 à 12hCentre culturel des Résidences Bellevue,rue de Madrid :Lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h à12het de 14h à 17h - Mercredi de 9h à 12hCentre culturel de Belfort Nord,avenue des Frères Lumière :Mardi de 9h à 12hCentre culturel des Glacis du Château,22, avenue de la Laurencie :Mardi de 14h à 17hCentre culturel de la Pépinière,13 rue Danton :Vendredi de 14h à 17hCentre culturel du Mont26, avenue du Château d’Eau :Lundi de 9h à 12h● Trésorerie Belfort Ville23, rue Thiers - Tél. 03 84 58 45 70Horaires d’ouverture :du lundi au jeudi : 9h-12h/13h30-16h30vendredi : 9h-12h/13h30-16h● SNCFInfo.-réservations - Tél. 03 36 35 35 35● TAXISGroupement taxis-radioTél. 03 84 22 13 44Taxis de la Roseraie - Tél. 03 84 28 06 15● CTRBPlace Corbis - Tél. 03 84 21 08 08● OFFICE DE TOURISMERue Clémenceau - Tél. 03 84 55 90 90● COMMUNAUTEDE L'AGGLOMERATIONBELFORTAINE - Tél. 03 84 54 24 24● CAISSE PRIMAIRE D’ASSURANCEMALADIEAccueil du lundi au vendredi de 8h30 à 17h.

Urgences

Pratique

mars 2003 / n°134

Belfort Magazine : Mairie - place d'Armes - 90 000 Belfort.

Tél. 03 84 54 24 24. Rédaction : Tél. 03 84 22 39 79.

Courrier électronique : [email protected]

Directeur de la Publication : Jean-Pierre Chevènement

Directeur de la Communication, Rédacteur en Chef :

Robert Cerles

Editeur : SCEP - S.A.R.L. de Presse au capital de 25 000 euros

1, rue du Canon d’Or - 90 000 Belfort

Rédaction : Sandrine Décembre, Ali Lakmèche, Pol Robert /

Mise en page : Jean-François Perrot, Christophe Patrix

Photos : Claude Bailly, Sandrine Décembre

Photogravure : Laser 89 - Dépot légal : mars2003

Impression : Imp. Schraag - Valdoie. Tirage : 29 000 ex.

Couverture : «Le carnaval 2003 à Belfort»

Hélène Kurelski / graphistes associés.

page 2

J’ConcoursBelfort Mag

Répondez correctement à la questionsuivante et Belfort Mag offre aux cinqpremières bonnes réponses deux invi-tations pour assister au spectacle«L’homme mauvais» le 29 avril à19h30 au théâtre Granit.

Belfort organise en mars ?1- Le jour du lion ?2- La semaine de la danse ?3- Le mois du livre ?

Envoyez vos réponses à :Belfort Mag - BP 709 - 90 020Belfort Cedex.

Après les incendiesAprès les incendies qui ont détruits les lo-caux de l’association des Espagnols de Bel-fort à la Miotte et du Secours populaire ruePaul Bert, la ville de Belfort a mobilisé sesservices afin de trouver dans les meilleursdélais des solutions pour permettre à cesdeux associations de poursuivre leurs acti-vités. Et si vous voulez aider le SecoursPopulaire une souscription a été lancée :Secours Populaire Français 90 000 Belfort,tél 03 84 22 83 09, CCP : 556017E Dijon. ai présenté au Conseil

municipal, le 20 févrierdernier, les orientations

budgétaires pour l’exercice 2003.Le budget sera soumis au vote le 22mars. Il vous sera présenté en dé-tail dans le prochain numéro devotre magazine, ainsi qu’ à l’occa-sion des réunions d’avril des con-seils de quartiers.

Nos finances sont saines, mais l’ho-rizon est loin d’être dégagé. Telest, en substance, le constat que j’aidressé devant les élus belfortains etque je souhaite développer à votreintention.

L’état de nos finances est bon.C’est le résultat d’une gestion maî-trisée. Le train de vie de la Ville deBelfort est modéré et notre épargnereste forte. La comparaison avecles villes de même taille (chiffresentre parenthèses) le démontre am-plement.Ainsi, nos dépenses de fonctionne-ment s’élèvent à 1 087 euros parhabitant (1 181 euros). Nos dépen-ses de gestion sont contenues :1 011euros (1 112 euros). Quant ànotre épargne nette, elle s’établit à96 euros par habitant (40 euros).

Mais nos marges de manœuvre vontse rétrécir. Malgré une augmenta-tion de la taxe professionnelle en2003 (après une baisse de 793 000euros en 2002), les perspectivessont incertaines. Les faits sont là.En 2002, l’investissement indus-triel en France est en recul de 11 %.L’économie française est entrée enrécession et par conséquent, jem’inquiète de l’évolution des ba-ses de la Taxe Professionnelle. Jen’oublie pas les traumatismes pro-pres au Territoire de Belfort. Nousavons cherché à les atténuer, dansune certaine mesure, ce qui a gé-néré des investissements, y com-

pris à l’Alstom, dans le secteur desturbines à vapeur, ainsi qu’à GeneralElectric.

Quant aux dotations et participationsde l’Etat qui représentent à Belfort34,7 % de nos recettes contre 29, 5 %pour les villes d’importance compa-rable, je constate que les mesuresrestrictives inscrites dans la loi definances 2003 vont grever leur évo-lution. C’est ainsi que la dotationglobale de fonctionnement augmen-tera seulement de 1,14 %, c’est à diremoins que l’inflation (2,3 %). Et il enva de même d’autres dotations, no-tamment de la DCTP 1 qui va baisserde 5,16 % alors qu’elle était «stabi-lisée» par la loi pour toutes les villesbénéficiant de la DSU 2. Il en résulteun manque à gagner certain pour unecollectivité comme la nôtre qui n’estpas parmi les plus fortunées. Au to-tal, les concours de l’Etat diminuent(en francs constants) de 2 %.

Par ailleurs, la dotation d’attributionque nous percevons, en fonction dela Taxe Professionnelle transférée àla CAB, qui représentait 60 % de nosressources, est plafonnée au niveauqui était le sien en 1999.

Ainsi, à l’horizon de 2006, nos dé-penses, à fiscalité constante, aug-menteraient plus vite que nos recet-tes. Or, je souhaite que nous conti-nuions à dégager une épargne posi-tive afin de poursuivre le désendette-ment, tout en maintenant une politi-que d’investissement forte qui cons-titue la garantie de notre dynamismeet de notre attractivité futurs.

L’évolution que je viens de décrirevaut pour toutes les communes quisont entrées dans une structure inter-communale à Taxe ProfessionnelleUnique (TPU). On compte désor-mais en France 143 communautésd’agglomération, auxquelles s’ajou-

Confiancepar Jean-Pierre Chevènement

Belfort Mag mars 2003 n°134page 3

é d i t o r i a l

tent les communautés urbaines et lescommunautés de communes à TPU.Aujourd’hui, 35 millions de Fran-çais vivent dans des zones couvertespar une TPU. Il s’agit d’une évolu-tion très positive car elle met fin àdes concurrences stériles entre lesterritoires et renforce la solidaritédes communes d’une même agglo-mération.

Notre seule possibilité d’interven-tion porte sur les impôts des ména-ges et les tarifs des services publicsque la ville met à la disposition desBelfortains, soit moins du quart denos recettes.

Nous souhaitons maintenir une poli-tique des tarifs permettant à toutesles familles d’accéder aux presta-tions que leur offre la Ville à un prixtrès inférieur à leur coût : crèches,restauration scolaire, écoles de mu-sique, activités sportives, bibliothè-ques, école d’art Gérard Jacot...Savez-vous qu’une place en crècherevient à 9 910 euros par an alorsque les familles paient en moyenne2 287 euros, la Caisse d’AllocationsFamiliales 2 287 euros et la ville5 336 euros ? Même les foyers dispo-sant d’un revenu conséquent n’ac-quittent que la moitié du prix derevient.

J’ai donc proposé une hausse légèrede la fiscalité afin de compenser labaisse des dotations de l’Etat, soit2 %. Cette augmentation permettra,je le répète, de maintenir une épar-gne disponible positive et une politi-que d’investissement dynamique. Jevous rappelle que nous n’avons pasconnu d’augmentation d’impôts sen-sible à Belfort au cours des dernièresannées.

Une enquête réalisée par l’hebdo-madaire l’Express montrait récem-ment que sur dix ans les impôts lo-

caux (taxe d’habitation et taxe fon-cière) ont en moyenne augmenté de53 % dans les villes comparables àBelfort.Pour ce qui concerne Belfort, l’aug-mentation a été limitée à 33,5 %depuis dix ans et notre taux est restéconstant en 2000, 2001 et 2002. Jenote, par ailleurs, que Montbéliard adécidé une hausse de 3 % alors queMulhouse envisagerait une augmen-tation de 6 %.

Ce que je vous propose, c’est dechoisir la confiance en l’avenir plu-tôt que le repliement sur soi.

Cela implique évidemment une maî-trise continue des dépenses de fonc-tionnement. Il nous faut égalementapprofondir nos réflexions quant àl’extension des compétences de laCAB. Je rappelle que l’an derniernous avons signé le contrat d’agglo-mération pour environ 76 millionsd’euros d’investissement avec untaux de subventionnement d’envi-ron 75 %. Nous nous devons d’êtreaussi très vigilants quant aux effetsde la politique de décentralisationtous azimuts engagée par le gouver-nement actuel, dont je crains qu’endéfinitive elle ne se répercute fâ-cheusement sur les communes.

Un mot sur la proposition de l’oppo-sition municipale qui consiste àdire : il faut réduire les recettes etaugmenter les dépenses d’investis-sement. Je suis comme vous : le jouroù on saura dépenser plus en ga-gnant moins, notre vieux lion se dres-sera pour applaudir !

Le 4 mars dernier, le Ministre desTransports a rendu publiques lesconclusions de l’audit sur les gran-des infrastructures demandé par legouvernement.

Celui-ci place le TGV Rhin-Rhônesur la troisième marche du podium.Il doit la partager avec le TGV Paris-Bordeaux alors même que les étudesde ce dernier sont loin d’être aussiavancées. L’audit lui-même con-firme que le TGV Rhin-Rhône (bran-che Est) est bien aujourd’hui le pro-jet de ligne à grande vitesse le plusabouti. Sa mise en chantier en 2004- 2005 est techniquement possible. Ilne doit pas y avoir deux poids deuxmesures, selon que M. Juppé est oun’est pas l’élu des régions concer-nées. Seul l’intérêt général doit êtrepris en compte !

Je constate aussi que les rapporteursprivilégient encore et toujours lesrelations entre Paris et les grandesmétropoles de province au détrimentd’une véritable politique d’aména-gement du territoire. Cette fâcheusetendance est d’autant plus ressentiedans notre Aire urbaine qu’elle subitde plein fouet le mouvement dedélocalisation des grandes industriesvers la Pologne (Alstom), la Hongrie(General Electric) et, à l’horizon2005, la Slovaquie (Peugeot).

Je demande donc au gouvernementqu’il mette tout en œuvre pour que leprojet de TGV Rhin-Rhône, essen-tiel pour l’avenir économique de plu-sieurs régions, dont la nôtre, qui souf-fre cruellement de son enclavement,ne soit pas renvoyé aux calendesgrecques.

Au moment (le 7 mars) où j’écris ceslignes, la probabilité d’une nouvelleguerre en Irak est forte. Malgré tousles efforts qui sont déployés, la dé-termination de l’AdministrationBush n’a jamais été aussi grande. LaFrance - et c’est tout à son honneur -a refusé de s’inscrire dans cette logi-que de guerre. Au contraire, elle a su

constituer autour d’elle un môle derésistance à une guerre préventivequi vise en réalité à la dominationsans partage du monde par une seuleSuperpuissance et qui est en réalitédirigée aussi contre nous.

En maintenant sa position coura-geuse, notre pays peut faire reculer,sinon la guerre, du moins le choc descivilisations que ce conflit pourraitengendrer et qui ne manquerait pasd’avoir de terribles répercussions, ycompris sur notre sol.

Continuons à nous tenir droit.C’est ainsi que nous préserveronsl’avenir.

1- Dotation de Compensation de la Taxe Professionnelle2- Dotation de Solidarité Urbaine

page 4

O r i e n t a t i o n s

b u d g é t a i r e s

Budget 2003 :Il faudra tenir compte de labaisse des dotations de l’Etat

d’une excellente situation finan-cière. Son train de vie est modéréen ce qui concerne les dépensesde fonctionnement de la ville(moyens humains et matériels né-cessaires pour faire fonctionnerau quotidien les services munici-paux au service des habitants).Ainsi, par rapport à la moyennedes villes françaises d’importancecomparable on constate mêmeune réelle rigueur.La dépense par habitant se situeà 1 087 euros, contre 1 181 eurosailleurs (source DGCL).Autre particularité positive deBelfort, l’épargne dégagée : 264euros par habitant soit 52% su-périeur à la moyenne nationale(source DGCL). Cela permet decouvrir le remboursement annuelde la dette contractée pour finan-cer les projets d’avenir.

Préserver la qualitédu service publicPour préparer le budget 2003 lamunicipalité doit prendre encompte un horizon économiqueparticulièrement morose.D’autant que les marges demanœuvres dont elles disposaients’étiolent et que la part d’impôtssur lesquels elle pouvait interve-nir - les impôts acquités par lesménages - ne représente plus que

le quart des recettes de la ville,compte tenu des transferts decharges et de recettes - taxe pro-fessionnelle notamment - opérésau profit de la Communauté del’Agglomération. Ainsi en 2000le produit des contributions direc-tes par habitant n’était à Belfortque de 291 euros contre 575 eurospour les communes françaises detaille comparable. Quasiment dusimple au double. Les marges surlesquelles la ville peut travaillersont donc faibles, d’autant que lapolitique insufflée par l’équipemunicipale depuis plus de 20 ansvisant à instaurer une tarificationsociale très avantageuse pour lesrevenus modestes ne doit pas êtreremise en cause. Sans pour autantque les autres usagers paient lecoût réel des services (créches,restauration scolaire etc...)Malgré ces diffultés annoncées lamunicipalité veut maintenir unforte capacité d’investissement,un haut niveau de service publicet construire le Belfort de demain.Nous consacrerons dans le nu-méro d’avril de Belfort mag undossier spécial de présentation dubudget 2003 de la ville après sonexamen par le conseil municipalle samedi 22 mars à partir de 9heures en salle d’honneur del’Hôtel de ville.

Selon une enquête de l’hebdomadaire l’Express, Belfort se classe parmiles moins imposées des 117 communes de plus de 50 000 habitants.Elle est même très précisément 29ème au classement général.Concernant le produit fiscal perçu au titre du «foncier bâti», elle est la27ème ville la moins chère du panel, et sur la taxe d’habitation, 42ème. Maisle point le plus positif de cette enquête comparative concerne l’évolutioncumulée des impôts locaux sur dix ans : Belfort fait partie des 15 villessur les 117 analysées où la progression fiscale a été la plus faible.

Le conseil municipal lors de sa réunion du 20 février a débattusur les orientations budgétaires 2003.

300%

45%

40%

35%

30%

25%

20%

15%

10%

5%

0%

RMI (total) économiquementfaible (total)

revenu fiscal deréférence (partiel)

revenu fiscal deréférence (partiel)

cotisation inférieure

à 12,2 euros

aucun

4,6%

14%

7,3%

44,6%

0,9%

28,5%

300%

1991/2001

250%

200%

150%

100%

50%

0%

282,9%

plus élevémoyenne

Belfortplus bas

nauté d’Agglomération et le ré-trécissement des marges de ma-noeuvre de la CAB du fait de larestructuration d’Alstom - desrecettes de la Taxe Profession-nelle en diminution de 5,3 MF en2002 - conduisent à une grandevigilance. Dans le même temps,l’Etat porte, dans le dos des Col-lectivités Territoriales, un trèsmauvais coup : les diverses dota-tions gouvernementales seront endiminution de plus de 2%, en va-leur réelle, cette année. Pour pré-server sa capacité à aller del’avant, Belfort, comme nombrede communes en France devrasans doute, en ricochet, augmen-ter légèrement les impôts (auxalentours de 2%). Pourtant, de-puis 20 ans Belfort bénéficie

Dégrèvement à la taxe d’habitation - 2001

Pourcentaged’évolution

du produit fiscalde 1991 à 2001

Parmi les foyers imposés à la taxed’habitation, il faut noter qu’un trèsgrand nombre d’entre eux n’acquittentpas la totalité de leur impôt, puisqu’ilest dégrèvé en totalité ou en partie enfonction de leurs revenus.

i la situation financièrede la ville de Belfort estsaine, la conjonctureS

économique incertaine incite à laprudence.Jean-Pierre Chevènement dans saprésentation aux élus n’a pasmanqué de le souligner. Il a notéque selon les données fourniespar la Direction Générale desCollectivités Locales, Belfort estbien gérée, et que sa bonne situa-tion financière est le fruit d’unepolitique qui se traduit notam-ment par un train de vie modéréet une épargne forte. Par ailleurssa capacité à poursuivre sa muta-tion et investir dans l’avenir estpréservée.Cependant, la fonction de villecentre au sein d’une Commu-

Belfort Mag mars 2003 n°134page 5

v i e

m u n i c i p a l e

A l’initiative de l’AFCRIIRAD (association franc-comtoised’information sur la radioactivité) le film «Mensongesnucléaires» de Wladimir Tchertkoff sera projeté et suivid’un débat le vendredi 28 mars, à 20h30 au Centre culturelde la Pépinière à Belfort. Ce film (sorti en 2002) traite desrapports entre l’Organisation mondiale de la santé et l’agenceinternationale de l’énergie atomique. L’entrée est gratuitede même que celle à l’exposition photos de Paul Fuscoouverte à tout public du mercredi 26 mars au samedi 29mars de 15h à 18h. Contact : Tél. 03 84 21 65 46.

conférence-débat à la Pépinière

«Mensonges nucléaires»

D

Le centre cultureldes Barres et du Monts’aggranditLa Ville a inscrit à son budget l’extensiondu centre culturel des Barres et du Mont.

ans le quartier des Bar-res et du Mont, la fré-quentation du Centre

socioculturel est, depuis sa créa-tion voici 20 ans, de plus en plusimportante, explique Fatia Dahou,conseillère municipale déléguéeà la jeunesse et aux centres socio-culturels. Né de la volonté deshabitants du quartier et des élus,il connaît un véritable succèsgrâce à l’investissement de pro-fessionnels et de bénévoles quiréalisent un travail remarqua-ble». Ainsi, le développement del’accueil jeunes (12-25 ans), lafréquentation en hausse des en-fants et des animations de plus enplus nombreuses menées en di-rection des habitants et des fa-milles rencontrent chaque annéeun peu plus de succès. Plus de dix

gements permettront de dévelop-per des activités nouvelles et deredynamiser les activitésexistantes», note Fatia Dahou. En-fin, cette extension implique letransfert des vestiaires et douchesdu plateau multi-sports voisin,l’installation d’un ascenseur, leremplacement de la chaudière...Par la même occasion, la grandesalle sera traitée pour une amélio-ration acoustique. 381 000 eurosseront nécessaires pour mener àbien ces travaux financés par laVille de Belfort et le Conseil gé-néral. Les travaux débuteront enaoût 2003 pour se terminer audébut de l’année 2004.

associations sont hébergées et unemultitude d’animations de quar-tiers se sont développées (marchéde Noël, marché aux fleurs, ci-néma en plein air...). On le voit :le centre socioculturel des Barreset du Mont regorge d’activités.«C’est donc pour répondre à cesnouveaux besoins que nous déci-dons de procéder à son exten-sion, ajoute Fatia Dahou. Ce pro-jet est le fruit d’une concertationavec l’association présidée parMarie-Christine Morin». Cetteextension d’environ 200 m2 intè-gre la création de salles multi-activités, d’espaces réservés auxjeunes et aux personnes âgées etd’un bureau d’accueil destiné àdes permanences. «Ces aména-

Fatia Dahou, conseillèremunicipale déléguée : «Le centreconnaît un véritable succès grâceà l’investissement de profession-

nels et de bénévoles qui réalisentun travail remarquable».

v i e

m u n i c i p a l e

page 6

es objectifs de la«résidentialisation» vi-sent à qualifier les es-

pour le quartier des Résidences,ajoute Gilberte Marin-Moskovitz.Le programme pluriannuel de«résidentialisation» des pieds destours, sur les secteurs Dorey etSchuman en constitue l’élémentessentiel. Ce projet vise, en effet,à restructurer ce grand quartierautour d’une trame reliant le cœurde ville».Le coût de l’opération représente447 000 euros. L’Etat, les Fondseuropéens du FEDER et le Con-seil régional sont les partenairesfinanciers de la Ville de Belfort.

Avancée des travaux

«Cet aménagement des espacesextérieurs et intérieurs est le ré-sultat d’un travail de réflexionmené avec les habitants, préciseGilberte Marin-Moskovitz. Afinde visualiser plus facilement leprincipe d’aménagement de l’es-pace, une visite des quartiersrésidentialisésa eu lieu à Lyon en2001. Elle associait habitants,élus et techniciens».

tour Dorey, cette opérations’étend sur 4 000 m2 et sera maté-rialisée par une grille avec portailet portillon (entrée principale, ruede Budapest), et par une haie vé-gétale dense confortée par uneclôture. Une entrée secondaire,rue de Zaporojie, sera dotée d’unportillon facilitant l’accès au sta-tionnement dans la rue.

L’intérieur du bâtiment sera,quant à lui aménagé et rénové parla Ville de Belfort et l’OPDHLM.A cela, s’ajoutera la pose d’unepart, de grandes dalles en gra-villons lavés et d’autre part, d’unrevêtement en béton sablé au piedde la tour. Enfin, l’aire de détenteet de jeux sera revêtue de sablestabilisé.Quant à l’espace consacré au sta-tionnement il sera maintenu avecune capacité de 55 places. Enfin,une mise en valeur du paysagevégétal différenciera les voies pu-bliques, les espaces verts publicset les espaces verts privés.«Nous sommes satisfaits par laqualité des prestations effectuéespar les entreprises et nous sou-haitons que cette «résidentia-lisation» fasse que les habitantss’approprient les lieux», souli-gne Gilberte Marin-Moskovitz».

Grand projet de ville

3, rue Dorey,autour de la tour...

La Ville de Belfort

réorganise le pied de

la tour du 3, rue Henri

Dorey en unité de

«résidentialisation».

Une opération menée

en concertation avec

les habitants, dans le

cadre d’un projet

urbain d’envergure.

paces collectifs et les abords desimmeubles afin d’améliorer le ca-dre de vie des habitants souligneGilberte Marin-Moskovitz, ad-jointe au Maire chargée de la Po-litique de la Ville et des Conseilsde quartiers. En sachant que 300habitants vivent au cœur de latour Dorey, l’usure des partiescommunes est donc évidente etune restauration indispensable.Cela représente autant d’habi-tants que le village de Novillard».La qualité des prestations effec-tuées est satisfaisante et grâce àces améliorations, les habitantspourront s’approprier les lieuxdans un environnement agréable.Cette «résidentialisation» est lapremière des opérations inscritesau Grand Projet de Ville (GPV).«Réaménager les espaces publics,et donner un nouveau visage auquartier sont les objectifs despolitiques urbaines envisagéesdans le cadre de ce projet de ville

Aujourd’hui, les travaux sont encours à l’extérieur et les terrasse-ments sont terminés, les murs,murets de soutènements et lesgrilles posés. La mise en œuvredes dalles et des revêtements mi-néraux suivra.Enfin, portail, éclairage public etplantations représenteront la der-nière tranche des aménagements.Le chantier devrait être terminéfin avril, si les conditions climati-ques sont favorables.

“L

Gilberte Marin-Moskovitz :«La restructuration profonde des espaces publics

est l’un des objectifs du renouvellement urbainenvisagé dans le cadre du Grand projet de ville

pour le quartier des Résidences...»

Belfort Mag mars 2003 n°134page 7

e service de repas à do-micile du Centre Com-munal d’Action Sociale

temps consacré à chacun, le CCASa donc créé cette année la qua-trième tournée de distribution. Unposte a été créé et un véhiculeacheté (pour lequel le Centre Com-munal a reçu l’aide du Conseilgénéral, de la CRAM et de laCIRSIC).

Un lien social

Les agents, Gilles, Christian, Eric,Gérard et Jannick livrent ainsi,les repas tout en prenant le tempsd’instaurer un échange.«Je tiens à rendre hommage auxagents qui assurent ces livrai-sons, ainsi qu’à tous les agentsqui interviennent dans nos servi-ces au domicile des personnesâgées, souligne Gérard Simon.Ils ont des capacités relationnel-les très fortes. Ils leur arriventsouvent, en effet, d’être la seulepersonne que voit le bénéficiairedans une journée. Leur arrivéemarque l’horloge. Outre le repaset les échanges, nos agents ontune mission de veille sociale.

Opération Brioches

L’ADAPEI 90 mènera les 2, 3, 4,5 et 6 avril sa 33ème opérationBrioches. Les dons serviront àfinaliser deux projets : un établis-sement pour enfants et adoles-cents polyhandicapés sur le sitede l’IME de Roppe et un atelierprotégé sur la ZAC des Tourellesà Morvillars.

Il arrive qu’une personne chuteou soit victime d’un malaise.L’agent intervient alors rapide-ment en appelant les secours».Ce service permet ainsi aux aînés(âgés en moyenne de 75 ans) depréserver leur autonomie et decontinuer à vivre chez eux.

Menus à la carte

Depuis 1987, les repas sont prépa-rés par la cuisine centrale de laVille. «Si nous soumettons diffé-rents menus aux bénéficiaires, noussommes aussi très attentifs à leursgoûts», précise Christian.

Une commission des menus se réu-nit ainsi chaque mois. «Notre rôleest en effet d’adapter nos servicespour répondre au mieux à leursdemandes et être à leur écoute,tout en adaptant nos tarifs auxrevenus», conclut Philippe Garot,adjoint au maire, chargé des affai-res sociales et de la santé.

Depuis le 1er février

dernier, le CCAS

a mis en place une

quatrième tournée

de livraison de repas

à domicile.

Objectif : permettre

aux agents de consa-

crer plus de temps au

relationnel.

L(CCAS) existe depuis un quart desiècle rappelle le docteur GérardSimon, conseiller municipal dé-légué aux personnes âgées. A sacréation, il assurait 50 repas parjour. Aujourd’hui, plus de 200.Par ailleurs, depuis 2000, un ser-vice supplémentaire est proposéavec la possibilité de choisir lesmenus». Ce choix allié à la qualitédes repas et de la livraison a en-gendré une augmentation du nom-bre de bénéficiaires de 50%, cestrois dernières années. Pour ga-rantir la qualité du service et du

L’assurance maladie

Pour accéder à l’information surses remboursements, mettre à joursa carte Vitale, bénéficier de laCMU..., le nouveau numéro del’Assurance Maladie est le 0 820904 155, accessible de 8h à 18h.

Repas à domicile,une quatrièmetournée

Repas à domicile,une quatrièmetournée

C

page 8

v i e

m u n i c i p a l e

réée en 1982, la restau-ration scolaire est unservice rendu aux pa-

lué ces dernières années la muni-cipalité de Belfort a pris acte deces changements en modifiant saréglementation dans le sens d’uneplus grande souplesse et réacti-vité, devenus les points forts dece service.Les conditions d’inscription ontainsi été précisées, l’ouverture auxfamilles les plus en difficulté a étéréglementée, en liaison avec lestravailleurs sociaux. Les modesde fréquentations se sont diversi-fiés. Les accueils à la carte ont étéfacilités pour répondre aux ryth-mes professionnels des parents,dès lors qu’ils sont signalés huitjours à l’avance. Ce délai corres-pond à celui de la commande desmatières premières. En outre, lesdépannages sont possibles. Lesenfants non inscrits en restaura-tion scolaire ont ainsi la possibi-lité de prendre un repas, de façonponctuelle. Par ailleurs, l’accueildes enfants présentant des aller-gies sévères a permis depuis larentrée 2000 à quatre enfants defréquenter la restauration scolaireen toute sécurité. D’autre part, latarification a été remodelée par leconseil municipal le 4 octobredernier, pour une meilleure pro-

Eveil du goût

Les menus sont composés selonplusieurs critères : apport nutri-tionnel, équilibre alimentaire,variété des produits et éveil dugoût. Près de 140 000 repas sontconsommés chaque année par desbambins qui bénéficient d’un enca-drement assuré par 140 animateursrecrutés par la Ville de Belfort.

Restauration scolaireà la carte

La restauration scolaire

s’adapte régulièrement

aux besoins des parents

en modifiant sa régle-

mentation dans le sens

d’une plus grande sou-

plesse et réactivité.

rents et et offre à l’enfant unenourriture équilibrée dans un en-cadrement de qualité.18 restaurants scolaires fonction-nent ainsi dans les écoles ou Mai-sons de quartiers.1 370 enfants étaient inscrits l’an-née passée. Ce service est ouvertaux enfants belfortains dont lesparents exercent une activité pro-fessionnelle et aux familles nonbelfortaines si la capacité du res-taurant le permet.Néanmoins, en cas d’urgence (pa-rents hospitalisés...) les enfantsnon inscrits sont accueillis immé-diatement.«Le service de restauration faitpreuve d’une grande souplesse.On peut s’y inscrire toute l’annéeen respectant un délai d’une se-maine et y déjeuner à la carte (un,deux trois ou quatre jours parsemaine), explique Francine Gal-lien, conseillère municipale délé-guée à la restauration. Les inscrip-tions se font à la Mairie annexe deBelfort au 03 84 54 25 57».Les caractéristiques de la vie pro-fessionnelle ayant beaucoup évo-

gressivité de l’effort des famillesen fonction de leurs revenus. Et,elle écarte le système forfaitairequi n’est plus adapté à la situationprofessionnelle des parents.Au conseil municipal, le 20 fé-vrier dernier, c’est l’accueil desenfants du voyage qui s’est orga-nisé en vue d’une fréquentationimmédiate.Enfin, un règlement intérieur,présenté sous forme de guidepour les familles, intègre toutesles décisions du Conseil munici-pal intervenues ces dernières an-nées concernant la restaurationscolaire.

Francine Gallien conseillèremunicipale déléguée à la

restauration scolaire.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 9

e régime de la conces-sion est né en 1906 et laloi de nationalisation de

son action en faveur du dévelop-pement économique tout en pre-nant en compte la protection en-viron-nementale.Au-delà des multiples aspectstechniques du texte, c’est avanttout l’esprit de partenariat qui aguidé ses rédacteurs.Un partenariat quotidien entre leCentre EDF-GDF-Services Fran-che-Comté Nord et les servicesmunicipaux de la Ville de Bel-fort, qui travaillent dans le même

souçi de l’intérêt général. Parailleurs, cette convention se subs-titue à un texte vieux de plusieursdécennies et qu’il convenaitd’adapter aux conditions actuel-les de distribution du gaz naturel,tout en réaffirmant les principesde service public.Enfin, un détail non négligeable :Gaz de France s’engage à verserune redevance de concession maisaussi une redevance d’occupa-tion du domaine public.

“Ça Gaz” pour Belfort !

Un nouveau contrat

de 30 ans vient d’être

signé entre la ville

de Belfort et Gaz

de France.

L1946 fait de Gaz de France leconcessionnaire obligé.La signature de cette conventiona pour objectif de disposer d’unfondement juridique et d’organi-ser une étroite coopération entrela Ville de Belfort et Gaz deFrance. Ce dernier s’engage ainsisur une exigence accrue en ma-tière de sécurité, d’environnementmais également sur une transpa-rence vis à vis de la Ville.

«La convention signée ce jourpermet de préserver les valeurstraditionnelles du service publictelles que la continuité, la neutra-lité et l’égalité de traitement» asouligné Jean-Pierre Chevène-ment à l’occasion de la signatureofficielle.«Pour Gaz de France dont l’éner-gie reste celle préférée des Fran-çais, le rappel aux éléments cons-tituant le service public impliqueun investissement permanentdans la performance, la qualité,la sécurité et l’adaptation aux

demandes» a ajouté Chris-tian Arnaud. Gaz de

France poursuit etaccroît à Belfort La Ville de Belfort a entrepris,

depuis déjà plusieurs années unrenforcement de l’éclairage pu-blic dans les quartiers, dans lecadre du Plan Local de Sécurité.S’y ajoutent une sensibilisationdes publics aux économiesd’énergie et un partenariat auplan local pour pallier les im-payés...La Ville a par ailleurs, signé unpartenariat avec EDF-GDF NordFranche-Comté afin de confor-ter des actions phares au béné-fice des quartiers belfortains ins-crits dans la géographie priori-taire de la politique de la ville.EDF-GDF s’engage ainsi à con-

tribuer à l’amélioration de laqualité des services publics del’électricité et du gaz dans lesquartiers en difficulté.Par ailleurs, elle accompagneles opérations de renouvelle-ment urbain, assure des inter-ventions sur le thème de la maî-trise de l’énergie dans les con-seils de quartier et auprès desménages en difficultés accédantà un logement dans le parc privé.Enfin, il accueille des étudiantsen stages d’été rémunérés etcomplète le dispositif des chan-tiers d’été, lequel s’adresseprioritairement aux jeunes de-mandeurs d’emplois...

Convention de partenariat avec EDF-GDF

Signature officielle le 13 févrierdernier en présence de Jean-PierreChevènement, des élus de la Ville deBelfort et de Christian Arnaud,directeur d’EDF-GDF ServicesFranche-Comté Nord.

page 10

v i e

m u n i c i p a l e

Quand les gardes natures«s’urbanisent», c’estpour partir à la recher-

de sélection)» souligne PascalMartin, adjoint au Maire, chargéde l’environnement.Si l’animal capturé porte un col-lier ou tout autre signe d’identifi-cation, il est relâché. Sinon il estconfié à la fourrière.Enfin, les divagations d’animauxcorrespondent à 20% de l’activitédu service. Et, le nombre des«Nouveaux Animaux de Compa-gnies» errants (iguanes, camé-léons, serpents, scorpions...) esten augmentation avec 5,6% desinterventions consacrées aux di-vagations.

Un service ouvert24h/24 et 7j/7

«Si les gardes nature ont pourmission de faire appliquer les pou-

voirs de police du Maire sur leterritoire communal, ils assurentaussi la surveillance de la qualitéenvironnementale, poursuit Pas-cal Martin.

Ce service est composé d’uneéquipe de cinq gardes nature,titulaires du concours de gardeschampêtres de la fonction publi-que territoriale, dont le tempsde travail est partagé sur l’en-semble de 29 collectivités adhé-rentes.Ils répondent ainsi aux problè-mes particuliers concernantl’environnement (dépôts sauva-ges...) et ils font aussi respecterla réglementation de la circula-tion en zones sensibles et les ar-rêtés municipaux et préfecto-raux», conclut Pascal Martin.

Quand piéger n’est pas si bête

Quand les gardes natu-

res opèrent dans Bel-

fort, il leur arrive de

piéger pythons, iguanes,

fouines, loirs ou chats

«harets»... !

En chiffres

780 interventions en 2002 sur les29 communes98 à Belfort32 pour des dépôts7 pour la circulation57 pour divagationDont 26 interventions pour deschats12 pour des pigeons6 pour les nouveaux «animaux decompagnie» (les pythons parexemple...)

che d’un iguane, d’un caméléonou de furets, de pigeons, de chats,de fouines, de loirs... On trouveaussi au registre de leurs pièges,un python abandonné par sesmaîtres . Egarés, ces animaux sontnuisibles ou dangereux pour l’en-vironnement.«Le chat «haret», par exemple,sait utiliser l’homme pour se nour-rir mais, il est plus agressif qu’unchat sauvage. explique Jean-Da-vid Daucourt, chef des gardesnature. Enfin, il n’a pas sa placedans la chaîne alimentaire».Par ailleurs, un couple de chatspeut donner naissance à 12 cha-tons en une année, qui eux mêmeen deux ans sont susceptiblesd’avoir une «descendance» de 144chats. En quatre ans, les chiffresparlent : 20 736 chats, au carac-tère agressif, pour deux chats audépart de la chaîne !Les gardes natures interviennentdonc pour éviter la proliférationde cette espèce en posant des piè-ges inoffensifs.Ces campagnes de piégeages sontrendues nécessaires par un nour-rissage illicite. Rappelons, qu’ilest interdit par l’article 120 durèglement sanitaire départemen-tal : «de jeter ou de déposer desgraines ou de la nourriture entous lieux publics pour y attirerdes animaux errants, sauvagesou redevenus tels, notamment leschats ou les pigeons. La mêmeinterdiction est applicable auxvoies privées, cours ou autre par-tie d’immeuble lorsque cette pra-tique risque de constituer une gênepour le voisinage ou d’attirer desrongeurs...».«Ces captures évitent égalementqu’ils soient vecteurs de mala-dies ou que la population recourreà des raticides (qui risquent detuer les chats domestiques faute

Pascal Martin, adjoint au maire,chargé de l’environnement.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 11

e budget annuel del’ESTA est d’environ1 300 000 euros. L’école

mission de former en quatre ansdes cadres technico-commerciauxdirectement opérationnels pourl’entreprise. Par ailleurs, l’ESTAest depuis quelques semainesautorisée à délivrer un diplômevisé par le Ministre chargé del’enseignement supérieur.Pour Jean-Charles Azimon, sondirecteur, «ce visa permet dansles meilleures conditions l’accèsaux 3emes cycles de formation,les équivalences de diplômesétrangers, des accords avec lesmeilleures universités étrangèreset la reconnaissance des compé-tences auprès des grandes entre-prises. Elle s’inscrit donc désor-mais pleinement dans la cartenationale des formations supé-rieures». Forte de près de 180élèves, l’école accueille chaqueannée une trentaine d’étudiantsrecrutés par concours. Sa forma-tion pluridisciplinaire (culture desaffaires, langues, technologie,vente et marketing industriel, etc.)est reconnue par les industriels.

Ainsi, plus de 80% des étudiantstrouvent un emploi dans les troismois suivant l’obtention de leurdiplôme.Par ailleurs, l’ESTA a su nouerun partenariat solide avec l’Uni-versité de Technologie de Bel-fort-Montbéliard qui s’est traduitpar la création d’une formationprofessionnalisée de troisièmecycle (DESS Affaires Industriel-les Internationales).

Partenariatavec la Chine

Enfin, dans le cadre du dévelop-pement des relations internatio-nales de l’ESTA, de nombreuxprojets de partenariats sont encours avec la Chine. Un échangeavec la ville de Baoji (nord-ouestde la Chine) entre deux étudiantsde l’ESTA, pour une durée de sixmois, et deux étudiants chinois.Par ailleurs, un lecteur chinoisformera les jeunes Belfortains àl’apprentissage de la langue.

L’Esta, filière de réussite

En dix huit ans l’Esta

(Ecole Supérieure des Tech-

nologies et des Affaires)

s’est forgée une solide répu-

tation dans le monde très

fermé de l’enseignement

supérieur. Zoom sur

«l’école bleue».

bénéficie d’un partenariat avecles collectivités territoriales (Villede Belfort, Conseil général, Con-seil régional) et l’Etat, sans oublierbien sûr la CCI. Jusqu’à présentune subvention municipale de37 350 euros lui était accordée.Au regard de la croissance deseffectifs étudiants (+12% sur lesdeux dernières années) et desnombreux projets de l’ESTA (no-tamment en matière de formationde 3ème cycle), la participation fi-nancière de la Ville de Belfort aufonctionnement de l’Ecole estportée à près de 40 000 euros.

Visa pour l’Ecole

Créée en 1986 à l’initiative de laChambre de Commerce et d’In-dustrie du Territoire de Belfort,l’ESTA est un établissement d’en-seignement technique supérieur,reconnu par l’Etat, qui a pour

ESTA - 1, rue du Docteur Fréry - BP 199 - 90 004 Belfort Cedex - Tél. 03 84 54 53 53.www.esta-belfort.fr

L

e n s e i g n e m e n t

s u p é r i e u r

Jean-CharlesAzimon

(au centre), directeur comblé

de l’ESTA.

page 12

i n f o s

j e u n e s

>Les jardins du monde

L’association Cultiv’Art du LycéeLucien Quelet (Centre de forma-tion des Apprentis Agricole deValdoie) organise les 22 et 23 marsune exposition-vente de végétaux àl’occasion de la fête du printemps.Elle présente quatre thèmes : lejardin aride, japonais, tropical et lejardin de printemps.Contact : Tél. 03 84 58 49 61.

>Etudiants sur les ondes

Chaque dimanche, des étudiants del’Aire Urbaine animent l’antennede Radio-Amitié sur 99.2 de 13h à17h. Une tranche horaire consa-crée à de la musique électronique,puis à des morceaux «latinos» ouencore au Punk et au Ska avecRémy... «Notre volonté est de pro-poser des musiques non diffuséessur les autres stations» précisel’équipe d’étudiants animateurssoutenus dans leur démarche parAbdelkader Baroudi, le rédacteuren chef de Radio Amitié.

n restaurant universi-taire se prête difficile-ment à une exposition

aurait des espaces et des publicsirrémédiablement définis dont ellene pourrait pas sortir, que nous yorganisons la seconde édition deDuvill’art».Malicieuse à ses heures et ironi-que quand il faut, l’antenne NordFranche-Comté du CROUS deBesançon fait remarquer qu’un«grand» artiste du XXème siècle,Marcel Duchamp (il a fait scan-dale en exposant des objets duquotidien, dont une pissotière !),a déclaré que «tout est art». Ilsuffit, pour cela, que le créateurde l’œuvre la présente commetelle...L’antenne propose toutefois auxétudiants qui « exposent » de dé-couvrir différents espaces artisti-ques, dont la galerie de photogra-phies contemporaines du ThéâtreGranit, le Centre Régional d’ArtContemporain, la DonationJardot, ... L’objectif de l’exposi-tion est d’encourager les étudiantsà assumer leur démarche en laconfrontant au regard public etde réfléchir à leur pratique en seconfrontant eux-mêmes aux réa-lisations d’artistes «reconnus».Contact : Nathalie Pelier.Tél. 03 84 21 14 09p e l i e r . n a t h a l i e @ c r o u s -besancon.fr

Duvill’art 2003

Majoritairement inscrits dans des disciplines techniqueset scientifiques, les étudiants de Belfort-Montbéliards’intéressent aussi aux pratiques artistiques.Duvill’art 2003, leur permet d’exposer leurs travauxartistiques au cours de cette seconde édition du 13 marsau 1er mai 2003 au Restaurant Universitaire Duvillard àBelfort.

“Upar ses couleurs murales, nonneutres, souvent audacieuses d’unmur à l’autre et par l’agencementgénéral de son espace peu favo-rable à l’accrochage, souligneNathalie Pelier chargée des affai-res culturelles et de la communi-cation du CROUS Nord Franche-Comté.Par exemple, le restaurantDuvillard possède un pan de muren arrondi... Y exposer est doncun véritable casse-tête. C’est pourmiliter contre l’insupportableidée d’après laquelle la culture

>Bibliothèque munici-pale : Illustrateur àl’honneur

Du 26 mars au 19 avril, la Biblio-thèque municipale de Belfort ex-pose l’univers de Philippe Corentin.Les personnages les plus connus decet auteur et illustrateur pour lajeunesse (le loup, Zigomar, made-moiselle Sauve-qui-Peut...) serontprésentés.Par ailleurs, le samedi 29 mars à14h30, la compagnie «Atipik» meten scène «l’ogre, le loup, la petitefille et le gâteau» (pour les 4/10ans).Renseignements :Section jeunesse de la Bibliothè-que des 4 As au 03 84 28 47 57.

>Exposition «Plurielles»

Présentée simultanément à l’écoled’art Gérard Jacot ainsi qu’à l’Hô-tel de Sponeck et au Musée Beurnierà Montbéliard, l’exposition «Plu-rielles» regroupe les œuvres d’unevingtaine d’artistes femmes.

Reproductionréalisée par Yng,étudiante à l’UTBM.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 13

>Salon du multimédiaéducatif

Le Centre départemental de do-cumentation pédagogique du Ter-ritoire de Belfort et la Ville deBelfort organisent avec l’aide desétudiants de l’IUT (techniques decommercialisation) le deuxièmeSalon du multimédia éducatif, lesamedi 22 mars, de 9h à 17h, auCentre de Congrès Atria.Ce salon réunit en un seul lieu lesressources numériques (logiciels,CD et DVD Roms) : les encyclo-pédies, les modes d’assistance etd’accompagnement scolaires, or-dinateurs, appareils photos nu-mériques, vidéo-projecteurs, car-tables électroniques, laboratoiresde langues, tableaux interactifs...Des plate-formes virtuelles don-neront aussi lieu à des anima-tions.Il s’adresse à tous les enseignants,chefs d’établissements, collecti-vités territoriales et bien sûr auxparents, élèves et associations.Tél. 03 84 36 61 85.

>Pour connaîtreses droits

La commission emploi du Con-seil départemental de la Jeunesseorganise des séances d’informa-tion sur les contrats de travail.Ces séances gratuites et anony-mes sont programmées chaquemois.En mars, le thème porte sur «lescontrats jeunes», en avril «le CDDet le CDI», en mai «les emploissaisonniers» et en juin «les con-trats en alternance d’apprentis-sage et de qualification».

Le but de ces rendez-vous est desusciter la curiosité des jeunes,afin de pallier le manque de con-naissance du droit du travail.Renseignements : Michel Bau-det à la DDJS au 03 84 21 22 30.

>Portes ouvertes à l’IUT

Le samedi 15 mars, l’IUT de Bel-fort Montbéliard ouvre ses portesde 9h à 17h.Cette journée permet aux lycéensdes classes de terminales de s’in-former sur les études proposéespar l’IUT. Ils découvrent aussi, àcette occasion, leur futur cadre devie en visitant les locaux et enparticipant aux animations misesen place dans les différents Dé-partements.

>Bourse aux vêtements

La Maison du Quartier Jean-Jau-rès et l’association Familiale duTerritoire de Belfort, organisentles 1er, 2 et 3 avril leur bourse auxvêtements printemps-été pouradultes (et linge de maison).Tél. 03 84 21 59 68.

>Congrès Industriel2003

Le Congrès Industriel est un évé-nement organisé par les étudiantsde l’UTBM. Sa 19ème édition sedéroule les 11 et 12 mars 2003 àl’UTBM, sur le site de Sévenans.Le but du Congrès est de rassem-bler industriels, étudiants, ensei-gnants et toutes les personnes in-téressées par «L’ingénieriecollaborative».Autour de ce thème, le visiteurpourra profiter du salon d’expo-sition, de conférences, de témoi-gnages et de démonstrations d’ap-plications en rapport avec l’ingé-nierie simultanée. L’entrée est li-bre et ouverte à tous, avec unepossibilité de restauration à midi.

>Les mercredisde l’UTBM

Les 12 et 26 mars de 14h à 17h,sur le site de Sévenans, l’UTBMouvre ses portes. Ces mercredispermettent aux lycéens et étu-diants de rencontrer des ensei-gnants, de visiter les locaux et deretirer un dossier d’inscription.Contact : Tél. 03 84 54 58 30 34.

>L’UTBMdans le palmarèsdes meilleurs écolesd’ingénieurs

L’UTBM se place au 25ème rangdans le palmarès général des cin-quante meilleures écoles publiépar Le Point. La rédaction a menél’enquête auprès de 247 écolespour définir les grandes écolesqui préparent le mieux leurs élè-ves à réussir leur carrière.

L’UTBM est reconnue pour saqualité pédagogique (29ème rang àégalité avec L’INSA de Toulouse)et pour sa dimension profession-nalisante (21ème rang). Elle formeen 5 ans (admissions Bac) ou 3ans (admissions parallèles) desingénieurs généralistes de hautniveau en génie informatique,mécanique et conception, systè-mes de production et systèmes decommande.

Renseignements :http://www.lecongres.fr.st ou [email protected] Stoltz (coordination Congrès 2003) - Tél. 06 997 997 88.

page 14

v i e

é c o n o m i q u e

e va pas loin celui quisait où il va» aimait ré-péter Napoléon. Certes,

automates. Enfin, depuis 1999,nous avons mis en place toute lapartie rénovation mécanique demachines outils, là encore, unpeu pointues. Detec, par exem-ple, est spécialisé dans la rénova-tion de rectifieuses produisant desrouleaux coniques pour le textileou la papeterie de 2 à 3 centièmesde diamètre sur des longueurs de4 à 10 mètres !».Certaines machines sont traitéessur place, d’autres dans un ateliersitué en Suisse, à une heure d’ici,où travaillent 14 salariés dugroupe.

Le projet d’extensionde la rue Jean Moulin

«Toutes nos activités actuellessont le résultat logique du déve-loppement de notre activité et nousvoulons maintenant pouvoir trai-ter l’ensemble des opérations :automatisme, maintenance etmécanique sur un même site. Maisle secteur mécanique nous poseencore problème en terme demoyens ce qui nécessite des lo-caux plus spacieux permettantnotamment une meilleure manu-tention».

Detec :

les mécaniciens de la précision

Avenue Jean Moulin,

«DETEC Groupe»

s’agrandit et envisage

de porter ses effectifs

à une centaine de

personnes d’ici quatre

ou cinq ans. L’entre-

prise spécialisée dans

les automatismes, la

maintenance indus-

trielle et la mécani-

que, née à Belfort en

1988 à l’initiative de

deux jeunes ingénieurs

de l’Enibe, poursuit

son envol tout en

gardant les pieds bien

sur terre..

“Nmais au sortir de la promotion1986 de l’Ecole nationale d’ingé-nieur de Belfort, si Patrick Robertet Patrick Galopeau savaient cequ’ils voulaient, ils n’imaginaientpas que leur «Bureau d’études»les conduirait en 2002 à deman-der une extension de locauxde près de 2 000 m2 sur le ParcTechnologique de l’avenue JeanMoulin.Tous deux ont ainsi commencé«par l’électrotechnique et la pro-duction d’automatismes. Seuls,avouent-ils, au temps où nousétions petits...». Puis ils durentrecruter. Cinq ans plus tard ilsétaient 7 ou 8 et aujourd’hui«Detec Groupe» compte prèsd’une cinquantaine de salariésdans trois secteurs d’activités :«Métier de base : automatisme,robotique, informatique indus-trielle. Puis un secteur mainte-nance crée en 1998 et orientévers les systèmes plutôt pointus,techniquement parlant, c’est àdire jusqu’à la capacité d’inter-venir au cœur même des com-mandes numériques et autres

Patrick Robert, Directeur Général et HubertBelz, adjoint chargé du développementéconomique et de l’emploi : «Félicitons-nous,souligne l’élu, que le tissu économique belfortainpermette des réussites comme celle de DetecGroupe».

La construction de 1 900m2

de nouveaux bâtimentsdevrait débuter l’été

prochain et s’achever fin2003. Un atelier de 72

mètres de long sur 20 mètresde large sera opérationnel

en 2004.

Un recrutement localet national

Le groupe ambitionne de porterses effectifs à une centaine depersonnes d’ici 2007. Detec puiseévidemment dans les compéten-ces locales mais il emploie ausside jeunes ingénieurs originairesde Blois, Lyon, Metz, Bordeaux...D’autre part, une mention parti-culière doit être mise à l’actif des«Mécaniciens de précision».L’espèce, toujours recherchée,court paraît-il de moins en moinsles rues...

Un rayonnementeuropéen

Detec a des clients en Suisse,Allemagne, Belgique, Hollande,Suède, Italie, Espagne... «Jus-qu’en 2000, nous travaillionspour des exportateurs.Aujourd’hui nous travaillons endirect grâce à la mise en placed’un réseau commercial efficace.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 15

tage des handicaps scolaires dèsle niveau préélémentaire, puis lesuivi des élèves en difficulté auniveau élémentaire ne peut s’ac-commoder de classes surchargées.Elle ajoute que les équipes ensei-gnantes méritent d’être soutenuesafin de lutter efficacement contrel’échec scolaire, notamment pourles élèves entrant en 6ème. Enfin,la motion souligne que les ferme-tures envisagées remettent encause les conditions et la qualitédes enseignements.

>Motion contre la fer-meture de la Banquede France

Les élus de la majorité munici-pale ont fait voter une motionpour dénoncer la restructurationannoncée du réseau de la Banquede France. Le regroupement des

Le conseil municipals’est réuni le 20 février dernier.

Présentation des principalesdécisions.

D é m o c r a t i e

l o c a l e

Au conseilmunicipal

du 20 février

>Nouvelle présidentepour le conseil desquartier des Glacis duChâteau

Marie-José Fleury, adjointe auMaire chargée du Tourisme, duCommerce et de l’Artisanat a étéélue présidente du conseil dequartier des Glacis du Châteauen remplacement de MichèleBobenrieth, démissionnaire.

>Motion contre la fer-meture de classes à Bel-fort

Le conseil municipal a voté unemotion contre les mesures de lacarte scolaire applicables à la ren-trée 2003-2004, qui prévoit septfermetures de classes à Belfortdont trois affectant à nouveau desécoles situées en Zone d’Educa-tion Prioritaire. Celles-ci s’ajou-tent aux six postes retirés à larentrée 2002, dont quatre en ZEP.Cette motion demande au minis-tre de l’Education nationale debien vouloir réexaminer les me-sures de cette carte scolaire 2003-2004. Elle précise que le dépis-

succursales envisagé d’ici 2010supprimerait, en effet, les succur-sales départementales dans la plu-part des villes moyennes. Reste-rait en Franche-Comté une seulesuccursale à Besançon.Jean-Pierre Chevènement a sou-ligné que la succursale belfortaineremplit des missions de servicepublic (analyse financière, traite-ment des dossiers de suren-dettement, lutte contre les contre-façons...) et que cette restructura-tion menace la pérennité de ceService Public à Belfort.Par ailleurs, il a ajouté qu’unetelle politique se traduirait par lasuppression de nombreux emploisà Belfort et de milliers d’autresen France.

D é m o c r a t i e

l o c a l e

page 16

>Aménagement de laZAC du parc à Ballons

Par délibération en date du 13décembre 2002, le principe ded’urbanisation du secteur du Parcà Ballons et celui de son exten-sion ont été approuvés en conti-nuité du partenariat avec laSODEB pour la réalisation de cetaménagement. Le Conseil muni-cipal du 20 février a concrétisécet accord par l’approbation d’unavenant.

>Antenne Relais de té-léphone aux Glacis duChâteau

Dans le cadre de l’améliorationde la couverture du territoire parle réseau de téléphonie mobileOrange, un relais sera implantésur le fût de la cheminée de lachaufferie des Glacis du Château-Justice, ainsi que dans les bâti-ments en pied de cheminée.

Les frais inhérents étant à lacharge de France Telecom quiversera un loyer annuel d’envi-ron 7 600 euros au bénéfice de laVille de Belfort, propriétaire dela chaufferie.

>Protocole d’accordculturel avec la Ville deMontbéliard

En 2000, les villes de Belfort etMontbéliard signaient le premierprotocole d’accord consolidant etdéveloppant leurs partenariats dansle domaine culturel. A ce titre, desactions ont été menées depuis,comme l’organisation de manièrealternée d’un spectacle festif de lasoirée du 31 décembre, ou encorela mise en œuvre pour la premièrefois en 2002, d’une programma-tion et d’une promotion communepour les Journées du Patrimoine etenfin la conception et la présenta-tion d’une exposition communeconsacrée à Picasso, en 2001.C’est en s’appuyant sur ces réali-

sations que le conseil municipal avoté la reconduction de ce parte-nariat. A cet effet , Olivier Prévôt,adjoint à la culture a proposé huitaxes de collaboration : la commu-nication des manifestations et ac-tions culturelles, des financementscroisés des activités de l’Ecoled’Art Gérard Jacot et du CRAC deMontbéliard, la coordination desactions des Scènes nationales, lareconduction de l’organisation al-ternée de la soirée du 31 décem-bre, la programmation d’une ex-position commune aux bibliothè-ques municipales, une collabora-tion autour du Pavillon des Scien-ces et comme dernier axe, la re-conduction de l’organisation d’uneexposition commune consacrée,cette année, à Hans Hartung.

>Droits de pêche

Dans le but de compenser la fu-ture interdiction de pêcher sur lazone de captage des eaux deSermamagny, la zone autorisée àla pêche sera désormais compriseentre le barrage de l’Arsot et lepont du Magasin (au lieu de lazone située entre le Pont de l’Arsotet le pont de l’Est).Pour le site de l’Etang des For-ges, les zones de pêche restentinchangées, et des prescriptionsont été ajoutées sur la réglemen-tation du site. Par ailleurs, uneplace réservée aux personnes han-dicapées a été aménagée.

ZAC du parc à Ballons :les travaux avancent bon train.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 17

>Groupementde commandes

Dans le but de rationaliser lescommandes relatives aux fourni-tures de bureaux des Services dela Ville et de gérer les stocks defaçon plus économique, un grou-pement de commande est envi-sagé avec la Communauté del’Agglomération Belfortaine.

>Excellent niveau defréquentation hôtelièreà Belfort

Depuis, plusieurs années le tauxd’occupation du Territoire deBelfort est le plus élevé de larégion, traduisant ainsi un bonniveau d’activité de ce secteurdans le département. Selonl’INSEE, le taux d’occupation desHôtels du Territoire est de 55,9 %contre 55,4 pour le Doubs, 51,1pour le Jura, 45,8 pour la Haute-Saône.

>Heure du conte

L’association Départementalepour l’Emploi Socio-Sportif duTerritoire de Belfort (ADES 90) anotamment pour objet de promou-voir l’emploi dans les métiers dulivre et de la lecture.A ce titre, elle mettra à disposi-tion de la Bibliothèque munici-pale un animateur diplômé dansle domaine du livre et de la lec-ture, afin d’assurer les animations«heure du conte» proposées aujeune public.Il interviendra jusqu’au 30 juin2003 tous les mercredis de 15h30à 16h30 à la Bibliothèque des 4As et de 14h à 15h, un mercredisur deux, à la Bibliothèque de la«Clé des Champs» et à la Biblio-thèque «Les Glacis du Château».

>ExpositionHans Hartung

Comme en 2001, avec l’exposi-tion «Picasso, l’homme du trait»,les musées de Belfort et deMontbéliard s’associent, pouraborder l’œuvre de l’artiste HansHartung. Deux manifestationsseront présentées simultanémentdans les deux villes, du 17 mai au28 septembre. «Pour enrichir leséchanges entre les deux sites, leMusée de Belfort s’intéresseraaux œuvres d’une année char-nière de l’artiste, 1973, a préciséOlivier Prévôt. Montbéliard s’ap-puiera sur la vision de l’espace etde la science chez Hartung, s’ins-crivant dans la ligne «Abstrac-

>Primes d’Assurances

Jean-Pierre Chevènement a faitpart de son mécontentement de-vant l’augmentation conséquentedes primes d’assurances de la Ville.«Nous passerons sous les four-ches caudines, mais à quatre pat-tes» a souligné le maire de Belfort.

>Formation continue auCFA

Le conseil municipal a approuvéla convention accordant une sub-vention de 15 081 euros au CFAmunicipal de Belfort pour sesactions de préqualification auxmétiers de l’alimentation condui-tes en 2002.

Par ailleurs, il a reconduit le par-tenariat existant entre le CFA et leGRETA de Haute Alsace pour lapréparation de 15 stagiaires souscontrat de qualification au CAPde Boulanger Pâtissier. L’accès àla formation dispensée au CFA aété étendu au CAP Cuisine le 1er

septembre 2001 et au CAP Res-taurant le 1er septembre 2002.

tion lyrique» développée actuel-lement dans son Musée autour deJean Messagier».Jean-Pierre Chevènement a rap-pelé à cette occasion qu’HansHartung, grand mutilé de guerre,est Citoyen d’Honneur de la Villede Belfort, dont il a participé à lalibération en 1944, depuis 1987et que le peintre a fait don à laVille de l’une de ses œuvres.C’est pour permettre le bon dé-roulement de cette manifestationque le Conseil municipal a votéun contrat de prestation avec «Ex-pressions contemporaines», quiassurera notamment une fonctiond’intermédiaire avec la Fonda-tion Hartung, propriétaire des 102œuvres prêtées pour l’occasion.

c o n s e i l m u n i c i p a l d u 2 0 f é v r i e r

page 18

ujourd’hui, certains vi-siteurs suisses ou alle-mands arrivent la veille

tation, créée en 1966 et quiaujourd’hui accueille environ 175abonnés auxquels s’ajoutent lescommerçants de passage.Avec, plus de deux cents expo-sants qui se réunissent le premierdimanche de chaque mois dans laVieille-Ville, le marché proposeune offre de meubles et bibelotsqui font le bonheur des chineurs.«La fréquentation du marché té-moigne de l’intérêt du grand pu-blic et des collectionneurs, ajouteMarie-José Fleury. Pour réser-ver un bel accueil aux visiteurs,nous poursuivons nos efforts designalisation urbaine.Par ailleurs, l’offre de parking deproximité est abondante (station-nement rue Melville, parking dela tour 41, place de la Républi-que, Parking de l’Arsenal...).Et puis, nous avons souhaité ins-titutionnaliser la notoriété de no-tre marché aux puces et à le dyna-miser en éditant une plaquette depromotion touristique de la mani-festation. Elle sera distribuée enavril et fera connaître les lieuxtouristiques de Belfort et du Ter-ritoire. Elle a été réalisé en parte-

nariat avec l’Office de Tourismede Belfort et du Territoire de Bel-fort et l’association des antiquai-res de la Vieille-Ville présidéepar Ghislain Grandjean, poursuitMarie-José Fleury. Soulignonsaussi que l’Office du Tourismetient une permanence d’informa-tions et offre un service de changeà l’attention de la clientèle suisse,à l’occasion de chaque marché».

Le Vieux Belfort commecarte de visite

Pour Ghislain Grandjean : «LeVieux Belfort est notre carte devisite. Le cadre des remparts al-lié au nombre d’exposants atti-rent, en effet, des visiteurs de toushorizons, venus de l’ensemble duGrand Est ainsi que de Suisse etd’Allemagne. Ils profitent, en ef-fet, de la journée pour visiterBelfort. Par ailleurs, nous avonsde nombreux objets régionaux àdécouvrir sur le marché commeles plaques émaillées, les cartespostales, les horloges comtoises,les faïences de l’Est, de l’art po-pulaire, des jouets, voitures, ouencore des moulins à café...Enfin, les antiquaires du quartieren profitent pour présenter leurmarchandise».

Les puces à l’air libreA partir du mois de mars,

le marché aux puces

anime la vieille-ville cha-

que premier dimanche du

mois. Regard sur ce mar-

ché considéré aujourd’hui

comme «les plus grandes

puces» de l’Est de la

France.

“Aà Belfort pour profiter de l’ouver-ture du marché aux puces, expli-que Marie-José Fleury, adjointechargée du commerce, de l’arti-sanat et du tourisme. Le marchéest devenu au fil du temps l’unedes manifestations phares de laville. Ils sont parfois plus de10 000 visiteurs à déambuler enVieille Ville de 7h à midi. Notrerôle est, donc de continuer à amé-liorer l’accueil de ce public».La ville de Belfort organise, eneffet, depuis 1978 cette manifes-

Un chapiteaupour le Marché des Vosges

Par délibération du 15 novembre 2002, le Conseil municipal a approuvél’avant projet détaillé des travaux de bâtiment pour la restructuration etla modernisation du marché des Vosges.Pendant la durée des travaux, afin de ne pas bouleverser les habitudes etpréserver l’ambiance créée dans le quartier par le marché du dimanchematin, la Ville de Belfort en concertation avec les habitants a opté pourl’installation des commerçants sous un chapiteau.

R e n d e z - v o u s

Avec, plus de deux cents exposantsqui se réunissent le premierdimanche de chaque mois dans laVieille-Ville, le marché propose uneoffre de meubles et bibelots quifont le bonheur des chineurs.

Marie-José Fleury, adjointe chargéedu commerce, de l’artisanat et du tourisme.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 19

A n i m a t i o n s

s p o r t i v e s

Handball, taekwondo,escrime, tennis, hip-hop... Les gymnases En mars...

> 14 marsNuit des étoiles au centre de congrèsAtria.

> 22-23 marsTournoi du Lion Escrime au gym-nase Léo Lagrange (ASMB escrimeau 03 84 21 29 69).

> 29-30 marsTournoi international et TournoiFrance de Judo Roger Serzian auCentre Benoît Frachon.(UNSS Tél. 03 84 21 05 84).

> 13 avril3ème Duathlon du Lion. Championnatde France des Clubs.(Tri-Lion au 03 84 29 72 32).

Du 22 au 25 avrilStage de hip-hop

Inscriptions :Antenne jeunesse de Belfort Nord.Tél. 03 84 26 91 85.Enfin, pour connaître le calen-drier des stages proposés aux jeu-nes pendant les vacances, contac-tez le service des sports.Tél. 03 84 54 24 61.

Pendant les vacances

de février, trois cents

cinquante jeunes ont

participé aux stages

proposés par le service

municipal des sports. A chacun son sportA chacun son sport

belfortains sont animés de ren-contres, de musiques, de voixd’enfants qui questionnent, en-couragent, suggérent et de voix

Gymnase Parrot : une musiquerythmée et mélodieuse flotte dansl’air. A l’intérieur du gymnase, lachorégraphie dynamique, menéesans faux pas, par une vingtainede jeunes, surprend. On ne s’im-provise pas danseur de hip-hop !Technicité, blocages, ondulationset précision des mouvements exi-gent concentration, entraînementet une attention particulière. Lesparticipants ? Des jeunes prove-nant des ateliers permanents descentres socioculturels. Les inter-venants ? D’ exigeants et rigou-reux formateurs de la Compagniestrasbourgeoise Magic Electro.«Nous nous sommes adaptés auxenvies des jeunes. Ils veulent ap-prendre et évoluer, expliqueRahima Guessoum de l’antennejeunesse de Belfort Nord. Parailleurs, dans les prochains mois

Hip-Hop : technicité, rythme, beauté du geste

d’animatrices et d’animateurs quirépondent à toutes leurs attenteset motivent les jeunes dans desentraînements de qualité, mariantsportivité et pédagogie.«Notre objectif est d’offrir desoccupations aux enfants en leur

permettant de découvrir de nou-velles activités sportives, expli-que Christian Vitte responsabledes animations sportives à lamairie. Nous sommes un «traitd’union entre l’école et les clubs».

le Centre Chorégraphique Na-tional de Franche-Comté les in-vite à assister aux spectacles des«19h de Contre Jour» et nous

mettrons également en place desrencontres avec des chorégraphesclassiques, contemporains oudans le domaine du hip-hop».

page 20

a s s o c i a t i v e

v i e

ette association offreune écoute téléphoni-que et la possibilité de

20 ans d’écouteSOS amitié Belfort-Montbéliard fêteses 20 années d’existence.

Durant la première année

d’écoute, en 1983, le poste 03

81 98 35 35, recevait 3386

appels. En 2001, les deux

cents quinze bénévoles

«écoutants», répondaient

à 10 023 appels.

SOS Amitié Belfort-MontbéliardBP 41425208 Montbéliard CedexTél. 03 81 98 35 35.www.sos-amitie.com

Sites d’entraînement

Les pompiers du Territoire re-cherchent des sites dans le dépar-tement (usines, hangars...) pours’entraîner aux manœuvres enconditions réelles.Les personnes susceptibles d’ac-céder à cette demande peuventcontacter le lieutenant PhilippeRaffier au 03 84 58 78 28.

Comme chaque année, la liguecontre le cancer organise la se-maine nationale contre le cancer,du 24 au 30 mars. Pour cette édi-tion 2003, une banderole «Toussur le pont, contre le cancer»installée au centre ville évoqueracette semaine consacrée à média-

Par une boite aux lettres électro-nique supprimant l’adresse desexpéditeurs, l’association res-pecte l’anonymat (www.sos-amitie.com).

Conférence-débat

Pour fêter ses 20 ans, le vendredi28 mars, SOS amitié propose unspectacle avec la Chorale «Chantela vie» et le guitariste Hervé Pa-ris, au Théâtre municipal deMontbéliard (entrée libre).

Suivront le samedi 29 mars, unevisite du château des Wurtem-berg, du musée de l’automobilePeugeot, ainsi qu’une conférence-débat (en entrée libre) sur «lecouple de l’an 2003» et enfindimanche 30 mars, une visite dela Vieille-Ville à Belfort.

tiser la ligue et à récolter desdons.Par ailleurs, le Comité du Terri-toire de Belfort rappelle qu’il re-cueille les cartouches d’encre vi-des. Le produit de leur vente estentièrement consacré à la recher-che. Le Comité tient à la disposi-

«Tous sur le pont, contre le cancer»tion des entreprises ou des socié-tés des cartons de récupération.

Renseignements :Comité du Territoire de Belfort20, rue Gaston Defferre.90 000 BelfortTél. 03 84 21 66 70.

Cmettre des mots sur sa propresouffrance et aussi retrouver legoût de vivre. Ce service d’aidepar téléphone est accessible 24heures sur 24, dans l’anonymat leplus complet.

Les bénévoles sont recrutés etformés par des spécialistes. «Ilssont prêt à tout entendre sansporter de jugement», souligne saprésidente, Hélène Felix.L’association s’adapte par ailleursaux nouvelles technologies parun système d’écoute par Internet.Parmi les 49 postes de la fédéra-tion française, celui de Belfort-Montbéliard a été choisi pour fairepartie de ce nouveau systèmed’écoute.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 21

s o r t i r

à b e l f o r t

Les Césars du court-métrage

Elle a pour but de faire

découvrir une sélection des

meilleurs courts métrages de

l’année 2002 (Cette sélection

est issue du vote de 2000

professionnels du cinéma, qui

décernent 15 prix parmi les

400 courts-métrages produits

chaque année). Les Lutins ont

participé à l’émergence de

jeunes cinéastes dont François

Ozon, ou encore de comédiens

comme Élodie Bouchez,

Emma de Caunes...

Cette soirée vous donnel’occasion de découvrirune sélection éclectique

de courts-métrages de qualité.Sexe, grand amour et maraboutsont au rendez-vous avec Raoulet Jocelyne, dessin animé loufo-que de Serge Elissalde.JérômeBoulbès nous transporte dans untout autre décor avec La Mort deTau, une superbe animation 3Dmettant en scène une drôle decréature.

Et, profitez de la projection dePeau de Vache et de l’étrangemétamorphose d’une jeune filleamoureuse d’un taureau dansPeau de Vache, de GéraldHustache-Mathieu. Avec une ad-mirable interprétation de la co-médienne Sophie Quinton.Vousretrouverez aussi ValérieMairesse en chef caissière tyran-nique dans Mi-Temps de MathiasGokalp.Site : www.leslutins.com

Trétaux 90

PEAU DE VACHEEntretien avec Gérald Hustache-Mathieu,réalisateur, et Sophie Quinton, actrice.

Le long-métrage ases Césars, le court

a ses «Lutins».Le 25 mars au Ci-

néma des Quais sedéroule la soirée

des «Lutins ducourt-métrage».

L’association Tréteaux 90vous propose «Exercices destyle» d’après Raymond Que-neau au Théâtre MichelDèque (2 rue James Long àBelfort), les 20, 21 et 22 mars2003 à 20h45.Puis, les 11 et 12 avril à 20h45vous pourrez assister à la re-présentation «Mes parentssont de grands enfants quej’ai eus quand j’étais petit».Cette création dresse sousforme d’ironie plaisante etlucide, un tableau des aspectsdrôles ou insolites du chari-vari des grandeurs et servitu-des de la vie de famille...Réservations :Tél. 03 84 22 66 [email protected]

Photos d’artistes et chambres à air !Le Cinéma des Quais proposeune exposition des photos de JoëlWilly. Dans le hall d’entrée vouspouvez découvrir le visage defemmes et hommes du cinéma:Sean Connery, Claude Chabrol,Lou Doillon...

Joël Willy, contrôleur au Cinémades Quais, a profité de ses dépla-cements au Festival de Cannes, à

celui de Deauville ou de Gé-rardmer... pour saisir l’instantet l’expression.

Le Cinéma des Quais exposeaussi des formes humaines quine manquent pas d’air dans lacour des sculptures. Des œu-vres réalisées avec des cham-bres à air par la Compagnie desBains Douches !

s o r t i r

à b e l f o r t

Cinquante artistes seront au rendez-vous du festival qui, cette année, fête sa quinzième édition, du 4 au 6juillet prochains.Le week-end démarrera avec le retour de Radiohead, en exclusivité française, s’il vous plaît !Dionysosouvrira également les festivités, les Jeidis du rock seront suivis des rappeurs de The Roots.Le dimanche, les Eurockéennes tomberont la chemise en compagnie des toulousains de Zebda et despionniers du trip-hop, Massive Attack.Voilà, pour l’apéro, la suite du menu le 26 avril pour la révélation du programme complet.

Eurockéennes : 15 ans

Maison du Peuple... Un super mec, Michel Jonasz

C’est à la Maison du Peuple lesamedi 2 avril que vousretrouverez l’interprète de«Super nana», «les vacances aubord de la mer», «Je voulais tedire que je t’attends»... Bref, cen’est pas ce soir là que vousaurez «du blues, du blues, dublues», vous le chanterez enprésence du «Joueur» de Blues,«Unis vers l’uni», tout enappréciant son dernier album«Où vont les rêves».Tél. 03 84 28 15 12.

Portes ouvertes chez lesartistes

L’association «Ateliersouverts» organise les 4, 5 et12, 13 avril la deuxièmeédition des Ateliersd’Artistes Ouverts. 25artistes (potiers, sculpteurs,photographes, peintres....)du Territoire de Belfort ainsique quelques Doubistes etHaut-Saônois ouvrent leursateliers au public.Pour vous guider,l’association édite etdistribue gratuitement uneplaquette disponible dans lesmairies, magasins, comitésd’entreprises, offices detourisme...La précédente édition, avaitréuni 3 000 visiteurs.

Contact : Guy Stoeffler au03 84 29 23 29.

ENM : Semaine Renaissance Baroque

Du 30 mars au 12 avril, l’écolenationale de musique de Belfortpropose de découvrir les airs decour (le dimanche 30 mars) etde pratiquer la danse baroque(concert suivi d’un bal, le

samedi 5 avril à 20h30 auxBatteries Haxo du Château).Enfin, les élèves et professeursd’instruments baroques del’ENM et l’association Arcanesdonneront un concert le

vendredi 11 avril à 20h30 auTemple St-Jean.Ils interpréteront des Cantatesde J.S Bach et deux sonates duRosaire d’H.I Biber.Tél. 03 84 21 54 12.

L’Ensemble instrumental de Belfort fête ses 20 ans

Sous la direction de quatre chefs d’orchestre ayant dirigél’EIB au cours de ses vingt années d’existence,l’Ensemble fêtera cet anniversaire autour de la musiquefrançaise du 20ème siècle, le dimanche 23 mars à 17h auThéâtre Granit.

Championnat de Twirling

Le Twirling Club Belfortainorganise le championnatrégional de Franche-Comté le16 mars au gymnase Fritsch àl’IUT ( de 8h00 à 12h et de14h à 18h).Tél. 03 84 28 78 09.

Soirée French Cancan

Le samedi 22 mars unesoirée dansante, «vieparisienne» se dérouleraà la salle des fêtes, à partirde 21h.Les billets sont en vente auCCSRB (03 84 21 24 57).

C’est parti pour la 8eme

édition de la convention detatouage «Tattoo expo» quise déroulera les 5 et 6 avrilà la hall expo d’Andelnans

Contact : 03 84 21 18 54.

Tattoo expo

page 22

CCSRB

Dans le cadre de la Journée Internationale des Femmes, le 8 mars, la Ville de Belfort joue les prolongations en proposant

«Extraits de femme» au CCSRB, le samedi 22 mars à 20h30. Une pièce surprenante de la Compagnie belfortaine des «Deux

Complices» à laquelle se joint un acteur passionné et talentueux : Christian Waldner.

«Extraits de femme» raconte lavie d’une femme. Interprétéepar deux danseuses, CatherineFourot et Murielle Maronne,des enfants (Léa, Laura,Juliette, Jeanne, Anastasia,Camille...) et un homme, cettepièce poétique se doteégalement d’attraits musicauxétonnants. Chorégraphiée par laconsciencieuse et sensible,Sandrine Waldner, ce spectacleest un reflet du parcours de

chacune et chacun...Un spectacle qui offre lapossibilité de retrouver surscène l’acteur ChristianWaldner. Entre les tournages de«Ah, si j’étais riche», de «Taxi3», «Navarro», «Femme deloi», le comédien planche surun rôle qu’il interprétera dans lecadre du Festival des jeunesauteurs de Besançon, en juin.Touteafois, dirigé par sonépouse, il évoluera dans

«Extraits de femme», ce 22 marssur la scène du CCSRB, pour leplaisir de toutes et de tous !Christian, un homme en filigranedes manifestations qui sedéroulent autour de la Journée dela Femme... Puisqu’il apparaîtrale 24 mai au Théâtre Granit dans«De la Suze... Comtesse», piècemêlant musique, chant et danse,spectacle dans lequel il citeraMolière.

Extraits de femme

Chambres«Chambres», création de la compagnie Cafarnaüm, raconte quatre parcours de femmes ayant toutes eu un rapport avec laville de Sochaux et l’usine Peugeot. Quatre monologues inspirés de faits divers.A découvrir les 28 et 29 mars 2003 à 20h30 au CCSRB.

La Compagnie Cafarnaüms’intéresse ici à l’histoire dequatre femmes, dont celled’Elisabeth, la jeune fille quirêvait d’être Miss, ou d’Arlette,une mère qui tue son enfant.Une pièce, pour laquellel’auteur Philippe Minyana,originaire de Vieux-Charmont,s’est inspiré d’histoires vraiesde femmes baignant dansl’environnement sochalien et del’usine Peugeot.

Quatre témoignages depersonnages confrontés à eux-mêmes présentés dans une miseen scène d’Alexandre Tournier.Ils s’expriment sans ponctuation,par manque de souffle, parce queles mots s’échappent malgré euxpour les avoir gardés troplongtemps enfouis. Jusque là, lavie ne leur a pas laissés lapossibilité, l’espace, le temps depouvoir dire. C’est ce silence,

trop oppressant, trop pesant, quitout à coup se brise. Chaquepersonnage vomit son histoirepar besoin, par résignation...Deux comédiennes, ManuelleLotz et Catherine Rousselotendossent les carapaces de cesfigures pour cette dernièrecréation de la compagnieCafarnaüm, «Chambres»,à découvrir au CCSRB les 28et 29 mars.

Par ailleurs, vous pouvez découvrir ce spectacle chez vous, dansle cadre de représentations proposées «en appartement».Deux formules sont offertes : en pension complète (1h15) ou endemi pension (45 min). La rémunération des comédiens se fait«au chapeau». Pour profiter de cette formule originale, contactezla compagnie au 03 84 22 04 38.

Atelier chorégraphique

26ème Festival de Peinture et de Sculpture de Belfort du 14 au 28mars au CCSRB, le Salon de Printemps accueille plus d’unecentaine d’artistes, amateurs et professionnels sans distinction detendance et de technique. Cette année, l’invité d’honneur est lesculpteur Pierre Matter. Par ailleurs, de nombreux prix sontdécernés par un jury composé d’artistes et des premiers prix del’édition 2002. Ils sont remis officiellement par le maire de Belfortle vendredi 14 mars à 18h lors de l’inauguration du Salon.Tél : 03 84 21 24 [email protected]

Salon de Printemps

A partir du 6 mars, la compagnie des «2 complices» propose unatelier chorégraphique au CCSRB. Réservé aux plus de 16 ans, ilse déroule chaque jeudi de 19h30 à 21h.Contact : 03 84 21 24 57 ou 06 03 98 89 36

Belfort Mag mars 2003 n°134page 23

T h é â t r e

L e G r a n i t

Théâtre Le Granit

Comme il vous plairaEn ce mois de mars, le Granit vous propose comme il vous plaira de choisir entre de belles pièces : Shakespeare ? Tchekhov ?Beckett ? ou encore Kenneth White... ?Par ailleurs, la semaine de la danse vous donne la possibilité de découvrir un panorama de la création chorégraphique(voir notre article en page 27).

Dans une forêt merveilleusevivent un duc banni et sescompagnons d’exil, sorte dejoyeuse cour décalée et désuète,trompant l’ennui en chassant,buvant et chantant. Rosalinde,chassée par le duc, s’y exiledéguisée en homme. Elle yretrouve Orlando qu’elle aimeet qui l’aime et sans révéler sonidentité, elle le soumet ànombre de questions surl’amour... Jeu dangereux et sansfin. En amoureuse insatiable,

elle en veut plus et plus encore,lui extorque des aveux, leprovoque.Comme il vous plaira est unecréation de la compagnie «LeChat Borgne», une troupe dejeunes comédiens de l’EcoleNationale de Strasbourg.Comme il vous plaira est leurquatrième création.Jeudi 13 mars à 19h30 etvendredi 14 mars à 20h30.Théâtre Le Granit.

Le Granit à la maison du peuple

Avant la représentation duvendredi 14 mars, le Granitpropose, dans le cadre desconférences I.D.E.E sur l’artde mettre en scène unerencontre avec le metteur enscène de «Comme il vousplaira», Jean-Yves Ruf, de18h à 19h30. Dans les locauxd’IDEE, 4 rue Jean-PierreMelville à Belfort.

PlatonovCréé cet été pour la Cour d’honneur du Festival d’Avignon, le dernier spectacle d’Eric Lacascade fait étape à la Maison duPeuple, le jeudi 27 et le vendredi 28 mars à 19h30.

Le metteur en scène a grandi etmûri au rythme des hérosd’Anton Tchekhov.Accompagné de ses comédiens,il a apprivoisé pièce par pièceleurs pensées, a écouté leurstourments et suivi attentivementleurs trajectoires. Il revient cettefois sur les traces d’un des toutpremiers personnages deTchekhov, Platonov. Platonovest l’œuvre d’un jeune poète de18 ans, qui écrit la nuit, commenous écrivons nous mêmes, ennous prenant pour Rimbaud,pour expurger certainesangoisses avant de nousrecoucher plus sereins.

Platonov, jeune instituteurd’une province russe est amerde n’avoir pu accéder à unbrillant avenir. Il trempe sondésespoir dans l’alcool.Puis, se laisse aller à undésordre qui provoquera samort. Un destin qui n’est passans rappeler celui de DomJuan, mais un Dom Juan que laculpabilité rattraperait sanscesse. Drame de jeunesse,Platonov est strié de sentimentsextrêmes, traversé d’actesradicaux, pétri de contradictionsrappelant une adolescence quise cherche à coups de penséesabsolues et de gestes excessifs.

La nuit PlatonovA l’issue de la représentation du vendredi 28 mars, vous pouvezrejoindre l’équipe du spectacle pour une nuit festive au Granit avecmusiques, zakouski et autres douceurs tchékhoviennes.Rendez-vous le 28 mars à minuit au fumoir du Théâtre Le Granit.

Par ailleurs, le samedi 29 mars à 16h au fumoir, une dégustationœnologique conduite en partenariat avec l’Association ŒnologiqueBeaucourtoise, aura lieu le samedi 29 mars à 16h au fumoir.

Renseignements et inscriptions auprès de Jérôme au 03 84 58 67 68 [email protected] G

ran

it 1

, fa

ub

ou

rg d

e M

on

tbéli

ard

BP

11

7 9

0 0

02

Belf

ort

rése

rva

tio

ns

: 0

3 8

4 5

8 6

7 6

7 w

ww

.th

ea

treg

ran

it.c

om

page 24

Dans vos salles de bains

Vins en salle de bainsNon. Nous n’avons rien bu avant de rédiger ses lignes et vous pouvez contacter Jérôme au Théâtre Granit pour prendre rendez-vous avecl’Association Oenologique Beaucourtoise et l’équipe du Théâtre chez vous. «Bain, alors... Si avec ça vous doutez encore...Un numéro : le 03 84 58 67 68».

Dès février, le Théâtre Granit vous propose de bousculer les règles avec des dégustations de vins dans vos salles de bains.

Théâtre Le Granit

Nomade intellectuel etamoureux du voyage, KennethWhite vous convie, le mercredi2 avril à 20h30 au Granit, à uneodyssée poétique. Partant deson Ecosse natale, l’inventeurde la géopolitique nous emmène

Par monts et par motsà travers l’Europe, l’Amériqueet l’Asie, avec pour seulmoyen de transport lapuissance d’évocation de sesrimes. Une soirée qui vous estproposée en partenariat avec leCentre Régional du Livre.

Des fragments de Beckett« Que font les arbres ?/ C’est difficile à dire, c’est l’hiver voussavez... ». Le Théâtre Granit vous propose deux courts textes,vifs et grinçants à souhait de Samuel Beckett mis en scène parAnnie Perret, le vendredi 4 avril à 19h30 et le samedi 5 avril à20h30.

Galerie du Granit/Musée d’art et d’histoire

V’herbes écrire, V’herbes cueillirEn mars et en avril. vous pouvez découvir à la Galerie du Granit, les photographies de Françoise Saur, et au Musée d’art etd’histoire , les travaux de la plasticienne Claudie Hunzinger.Un évènement né de la rencontre de ces deux artistes vivant en Alsace et qui donne lieu à de nombreuses animations(cueillette de végétaux sur le site des fortifications suivie d’une dégustation œnologique, le samedi 5 avril... )

elle extrait des feuilles demuguets, des fougères...,des pages d’herbeset décèle l’écriture originalede la nature. Françoise Saur,photographe, a accompagnéClaudie Hunzinger, dans sesrécoltes de plantes...Un processus à deux :cueillir pour la plasticienne,«re-cueillir» pour laphotographe.

Les rendez-vous autourdes expositions :>Visite commentée des expositionsréservée aux enseignants:Mercredi 12 mars 2003 au Musée d’Art etd’Histoire à 14 h et à la Galerie du Granità 16 h

>Visite de l’exposition V’herbe écrire avecClaudie Hunzinger:Samedi 5 avril 2003 à 15 h.

>Visite de l’exposition V’herbe cueilliravec Françoise Saur:Samedi 5 avril 2003 à 18 h 30Galerie du Granit (après la dégustationœnologique)

>Visites de groupes : Renseignements etréservations auprès de Christian GRISEZau 03 84 54 26 42, [email protected]

> Cueillette et dégustation œnologique,«De verts en verres»:En présence de Claudie Hunzinger et deFrançoise Saur, une cueillette de végétauxsur le site des fortifications tentera demettre en évidence des parfums et dessensations insoupçonnés enfouis dans nossouvenirs.

>Samedi 5 avril 2003 à 16 h (rendez-vousdans la cour du château de Belfort).A l’issue de cette récolte, une dégustationœnologique proposée par Philippe Pérez del’association œnologique beaucourtoisepermettra d’associer aux parfums des plantesl’arôme des vins (Samedi 5 avril 2003 à 17 hau Fumoir du Granit.

> En écho à la double exposition V’herbescueillir et écrire, la Maison départementale del’environnement propose des ateliers publicsle samedi 5 et le dimanche 6 avril.

> «L’art de la feuille» : atelier de créationflorale sur la base exclusive de feuilles.

>«Dessin botanique» : atelier de dessin etaquarelle sur la base d’observationsd’éléments naturels.

>«feuilles à farcir, feuilles à frire et autresgourmandises» : repas et atelier dedégustationInscriptions et informations : 03 84 29 18 12.

A l’occasion de ces

expositions, un ouvrage,

«V’herbe», coproduit par

le Musée d’art et d’histoire

de Belfort, le Musée de

Barcelonnette et l’Abbaye

de Salagon est édité.

Claudie Hunzinger écrit tantôt en herbes, tantôt en français. A lamanière d’une alchimiste,

Contact : Musée d’art et d’histoire 03 84 54 25 51 Christophe Cousin [email protected] / Monique Chiron, 03 84 58 67 55 [email protected]

Belfort Mag mars 2003 n°134page 25

Du lundi 17 au samedi 22 mars, le Granit en partenariat avec l’Allan,Scène Nationale de Montbéliard, l’Arche de Béthoncourt et le CentreChorégraphique National de Franche-Comté à Belfort, propose de seplonger dans la danse sous la forme d’un panorama de la créationchorégraphique riche et éclectique.

A la Maison du Peuple le 19 mars à 20h30, le spectacle Rain, permettrade découvrir le travail de la grande chorégraphe flamande Anne TeresaDe Keersmaeker. Ici la musique enivrante de Steve Reich est «archi»présente et marquée par un mouvement-signature...

Le Lundi 17, mardi 18 et jeudi 20 mars à 19h30, le vendredi 21 à 20h30et samedi 22 mars à 21h30, place au solo «Pour tout vous dire...» d’OdileDuboc à la Coopérative.Enfin, le mardi 18 mars à 20h, l’Arche de Béthoncourt propose «LesPetits riens», un spectacle jeune public de Cyril Viallon.Et, le vendredi 21 mars à 19h30, «Délicieuses, je ne sais pas», la dernièrecréation de Nathalie Pernette se produira à l’Allan de Montbéliard

Semaine de la danseMaison du peuple/l’Arche/l’Allan

s o r t i r

à B e l f o r t

CCN de Franche-Comté à Belfort

Proposés par le Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort, les 19H de Contre Jour sont des rendez-vous en accès libresous forme de répétitions publiques, présentations de travaux en cours, avant-premières ou rencontres avec Odile Duboc et les danseurs dela compagnie Contre Jour mais aussi avec les compagnies françaises ou étrangères en résidence au CCN.

Le Samedi 22 mars à 19h, vous pouvez assister à une représentation autour de la 2ème version de trois boléros.Odile Duboc engage, en effet, cette saison un travail de reprise de pièces du répertoire de Contre Jour et tout particulièrement de troisboléros, les 19H donnent la possibilité de suivre ce processus.CC

N d

e Fr

anch

e-Co

mté

à B

elfo

rt -

3, a

venu

e de

l’Es

péra

nce

03

84 5

8 44

88

-ww

w. c

ontr

ejou

r.org

- e

-mai

l : in

fos@

cont

rejo

ur.o

rg

page 26

19H deContre Jour

La Donation Maurice Jardot

«Le Cabinet d’un Amateur» situé 8, rue deMulhouse est ouvert (en mars) tous les jours,sauf le mardi, de 10h à 12h et de 14h à 17h.Entrée : 3,90 euros par personne pour la Dona-tion Maurice Jardot, et 5,55 euros pour l’en-semble des autres équipements (Lion, Tour 46,Musée d’art et d’histoire). Tél. 03 84 90 40 70.Internet : www.mairie-belfort.fr

Horaires de la piscine Pannoux

Renseignements : 03 84 28 32 73.

Horaires des bibliothèques

Renseignements : 03 84 28 47 57.

Horaires de la piscine du Parc

Renseignements : 03 84 21 33 05.

Horaires de la patinoire

Mardi : 19h - 22h30 ● Mercredi : 14h - 17hJeudi/Vendredi : 20h45 - 23hSamedi : 14h - 17h et 20h30 - 23h30Dimanche : 9h30 - 11h45 et 15h - 18hVacances scolaires : plages horaires en plus.Renseignements : 03 84 21 43 06.

SPA

Parcours d’undanseur belfortain

Le stage qu’il propose à Belfort les 22 et 2 3 mars débute par unemise en condition stretching, suivie d’une approche énergétiqueliée au travail au sol et au contact avec l’autre (portés etc...)Il compte aborder le mouvement propre à la Cie Rosas par deuxcourts extraits du répertoire : «Achertland» et «Erts» - et plusparticulièrement dans cette dernière pièce «la grande fugue deBeethoven».

Nordine est originaire du quartier des Résidences. Il découvrela danse dans le cadre d’ateliers proposés en 1980 par lecentre culturel des Résidences grâce à une animatrice,Catherine Henri. Aujourd’hui, installé à Bruxelles, il professeet continue à interpréter des chorégraphies au cours despectacles donnés en France et dans le monde. Il anime lesamedi 15 et le dimanche 16 mars, un stage, ouvert à tous,au centre chorégraphique à Belfort. Rencontre.

«J’ai débuté la danse à Belfortavec Catherine Henri, rue deLondres, raconte Nordine.«L’ouvre Boîte» proposait alorsdes ateliers. Ces cours de dansecontemporaine avaient lieu levendredi soir avec des gens detous âges. J’avais 18 ans.Comme nous tenions à faire deschorégraphies, Catherine avaitfait appel à Marie Do Haas dela Compagnie de «l’instant».C’est Marie Do Haas qui m’aencouragé à aller plus loin enme proposant des coursintensifs et une audition auCentre National de dansecontemporaine d’Angers».

Fin de Partie

Le Théâtre du Pilier proposeFin de Partie de SamuelBeckett, les 20, 21, 22 mars à20h30 au Théâtre des 2 Sapins àGiromagny.

Quatre personnages, interprétéspar Marcel Guignard, Jean-PaulBourreau, Quentin Juy etCorinne Méraux, disent etcontredisent des futilités, desriens du tout dans l’hilarité...Jean Pétrement de la compagnieBacchus, située à Besançon metici en scène avec passion,humour et intensité un texteintemporel «Fin de Partie» deBeckett.

La Fleur deRonsard

En 2002, année du 450ème

anniversaire de la publicationdes Amours de Pierre deRonsard, Pierre Gantner conçoitun concert-lecture où se mêlenttextes choisis, chansons etpièces instrumentales.Les huit musiciens Franc-Comtois de la Saltarelle qui seconsacrent aux musiques de laRenaissance, s’associent alorsau comédien Marcel Guignardpour proposer cette création«Mignonne allons voir...»A découvrir le dimanche 6 avrilà la Tour 41 à Belfort.

Réservations : 03 84 28 39 42.

Une audition que Nordineréussit, il intègre alors le CNDCd’Angers .«Je revenais à Belfort auPrintemps. C’est la meilleuresaison...», note le danseur.Il travaille ensuite avec OdileDuboc pour la pièce«Insurrection», avec AnneTeresa de Keersmaeker de laCie Rosas, avec SamuelLeborgne, Loïc Touzé, GraceEllen Barkey, WimVandekeybus, Caterina Sagnaet le collectif Amgod.Aujourd’hui, marié à unecomédienne et père de deuxenfants, il enseigne à Bruxelles.

Gary est un croiséBleu de gascognenoir et feuné le 01/07/95.Très gentil etaffectueux ilattend son futur maître, vivant dans unemaison, avec impatience.Tél. 03 84 21 07 35.

Belfort Mag mars 2003 n°134page 27

Jours Matin Après-midi

LundiMardiMercrediJeudiVendrediSamediDimanche

10h30/13h30—

—11h45/13h30

9h/12h9h/12h30

17h/19h16h30/19h

16h30/19h16h30/21h14h/18h

9h/19h

Jours Matin Après-midi

LundiMardiMercrediJeudiVendrediSamediDimanche

——

——

16h30/19h16h30/19h14h/20h

16h30/19h16h30/19h

10h/12h

Réservé aux bébés nageurs et futures mamans

NaissancesNaissances

c i v i l

é t a t

21/01/2003Zubeydegule-HulyaDEMIRD’Harun DEMIR etMeshude ASLAN4, rue de MoscouIpek KAYIRd’Ercan KAYIR etNuray MERCANELOIE (90)Mehdi TABTIde Salim TABTI etAssya ESTEVE22, rue Michelet22/01/2003Théo DOIZELETde Lionel DOIZELETFrançoiseLOMBARDETBAVILLIERS (90)23/01/2003Morgane BELAOUNIde DominiqueBELAOUNI et VirginieMOINAT64, avenue des FrèresLumièreBeysa KÖSEde Mehmet KÖSE etGüldeste YILMAZ14, rue ParantMartin LAURENTde Samuel LAURENT etFrédérique CLEREELOIE (90)Leïa NYABANGANJOKE TIde PatrickNYABANGAN JOKETI et Mary-PierreFELTREHERIMONCOURT (25)Benjamin REGNAULTde ChristopheREGNAULT et MurielCLAISSEOFFEMONT (90)DonovanSCHNOEBELENde LaurentSCHNOEBELEN etChantal GRAFMONTREUX-CHATEAU (90)24/01/2003EmilienCUCHEROUSSETde RégisCUCHEROUSSET etChristelleBAMBERGERFELON (90)Simon DELAVALde Frédéric DELAVALet Sophie BERNARD28, avenue d’AlsaceClément FISCHERde Gilles FISCHER etCorinne PETITJEAN10, fg de Brisach25/01/2003Laurycia BRACON-NIERde Pascal BRACON-NIER et ClaudineKLOPFENSTEINBESSONCOURT (90)Justine CUNYde Michaël CUNY etKarine BORNAQUEANJOUTEY (90)Tom PHLIPPOTEAUde FranckPHLIPPOTEAUe tLaurence DORINPLANCHER-BAS (70)Dolorès RIATde Gérard RIAT etVirginie COUTHERUTFRESSE (70)Zoé VEJUXde Gabriel VEJUX etSylvette FABBROCHATENOIS-LES-

FORGES (90)26/01/2003Samuel GRASSELERd’Hubert GRASSELERet Maryse AUBERTROUGEGOUTTE (90)Marc JEHANNINde Franck JEHANNIN etBarbara FISCHER18, rue du ChantoiseauNathan JELICde Prédrag JELIC etCéline GROSCLAUDEVOUJEAUCOURT (25)Rania MLIOUEDde Bouchaïb MLIOUEDet Nadia HADDADIVENISSIEUX (69)27/01/2003Tristan BRIOTTETde Philippe BRIOTTETet Estelle LAHACHEURCEREY (90)Clément DELOYEde Frédéric DELOYE etEmmanuelleBETRANCOURTGoran DA COSTAde José DA COSTA etSandra CEROVACRONCHAMP (70)Eyrin FRANTZde Bénédicte FRANTZHAGUENAU (67)Guillaume GASSERde Philippe GASSER etEdit NEORCICROUGEMONT-LE-CHATEAU (90)Eddy JANODde Roland JANOD etSophie GILLETVIEUX-CHARMONT(25)Sarah LEIFFLENde Rémi LEIFFLEN etCécile PRISER33, avenue Jean MoulinEvan PAGLIAROde Jean PAGLIARO etKarine PEBADEVEL (25)29/01/2003Antonin BEAUDETde François BEAUDETet Laure DUBOIS-CHABERTJONCHEREY (90)Diamantine BICAJde Can BICAJ et LinditaMORINAJ7, rue Louis BrailleEvan LESIEURde Fabrice LESIEUR etNathalie MIESCHCHATENOIS-LES-FORGES (90)30/01/2003Théo LERIQUEd’Antony LERIQUE etLaure BONNIN17, Bd KennedyKenzo THOMASde Nathalie THOMAS8, rue de MoscouShéridan TORRESCORTEZde Manuel TORRESCORTEZ et IngridPURICELLIHERICOURT (70)31/01/2003Cyrielle BRONde Marcel BRON etDalila LAPOSTOLLEMONTBOUTON (90)Valentin CECCHIde Yannick CECCHI etPascale PETIT7, rue des CapucinsYohan CHEVALLEYde FrancisCHEVALLEY etNathalie CORDIER

GIROMAGNY (90)Rose DAPERONd’Eric DAPERON etMaryline MAIREARBOUANS (25)BenjaminPLUMELEURde Denis PLUMELEURet Magali PARENTFROIDEFONTAINE(90)Anaïs WIOLANDdEric WIOLAND et LineLAIREETUEFFONT (90)01/02/2003Maëva BRUNde Régis BRUN etNathalie SCHMITTFROIDEVAL (90)Anaïs GAVOILLEd’Alain GAVOILLE etLaetitia VALLEJOMAGNY-DANIGON(70)Brandon RAMDANIde Kamel RAMDANI etCatherineKUTORASINSKI12, rue de TurenneFlorian SCHAEDGENde VincentSCHAEDGEN etCatherine PAYSAN25, rue Jules Ferry02/02/2003Zakaria ABINAde Yacine ABINA etEmmanuelle CZICH34, rue Léon BlumKhalifa JOUAOOUde Bachir JOUAOU etAmina GMIHPHAFFANS (90)Florent LEGLISEde Patrice LEGLISE etIsabelle CARMIENHERICOURT (70)Constance POUTHIERde Denis POUTHIER etFrédérique FRELINGRANDVILLARS (90)Mohamed-BilalRHARBIde Mohammed RHARBIet Amira ZAIR12, rue Parant03/02/2003Yann COMORde Vincent COMOR etEmmanuelleNAGELEISENVALENTIGNEY (25)Evan COUPAYEde Jim COUPAYE etPatricia MARONGIU15, rue de l’As deCarreauRuben DARFINde Stéphane DARFIN etCécile BERNARD32, rue Philippe GrilleJulie DEMEUSYde Daniel DEMEUSY etSylvie LUDWIGOFFEMONT (90)Lilou DUVERNOYde Bernard DUVERNOYet Gaëlle BERNARD8, rue des Quatre VentsLisy ESTERMANNde ChristopheESTERMANN et CathyDEBRAYESSERT (90)Zakaria NAId’El-Maouloud NAI etSalima BOUHECANEOFFEMONT (90)04/02/2003Younès BAHRIde Djamal BAHRI etNaceira SELHANI1, rue Henry DoreyHugo CRETOISde David CRETOIS etAline ROYANGEOT (90)

Léo DUMONTde Frédéric DUMONT etEstelle HUZ6, rue de MorimontLucie MONROUSSEAUd’OlivierMONROUSSEAU etCécile CLERCVALDOIE (90)Nicolas PEYSSONd’Yves PEYSSON et etVesna FILIPOVICBOUROGNE (90)05/02/2003Sofiane CHIKHIde Karim CHIKHI etHanane CHIKHI12, rue ParantLouis LEQUETTEde Jean LEQUETTE etMatilda SMITHVALDOIE (90)Clara ORSATde Régis ORSAT etSylvia RUI7, rue Paul LépineLou-Anne ROUSSELde Stéphane ROUSSELet SéverineBOUILLARDBAVILLIERS07/02/2003Ali AGHMARId’El AGHMARI et AliaOUCHEN2, place Robert SchumanRémy CEBEde Christian CEBE etClaire TEISSIERCHENEBIER (70)Noé LAMBINGde Sylvie LAMBING10, rue de DelémontJordan MATTESde Lionel MATTES etMaïté SIMON10bis, rue deThannPierre SIEDELde Thierry SIEDEL etChristine OLIVIERCHATENOIS-LES-FORGES (90)Tony VARGAde Sylvain VARGA etSophie ALLEMANDFROIDEVAL (90)08/02/2003Anaëlle AUDEBERTde Vincent AUDEBERTet Isabelle MARCHAL24b, rue Gaston DefferreChristine DUIZABOde Christian DUIZABOet Joy GAADANJOUTIN (90)Romane FLORENCEde Maxime FLORENCEet DominiqueSCHMIDLIN45, rue de MadagascarJoévin GRASSELERde Gilles GRASSELERet Sylvie BOUCHAREL’ISLE-SUR-LE-DOUBS (25)Kilian MATHIEd’Eric MATHIE etSylvie HUSSLERHERICOURT (70)Rémi SCHEPPLERd’Hervé SCHEPPLER etFlorence BIGEARDPETIT-CROIX (90)09/02/2003Quentin MORENOd’Esteban MORENO etSandrine MEGELCHAGEY (70)10/02/2003Lahcen ACHIRde Badre ACHIR etSanaa HAJJOUBOFFEMONT (90)Emeline FERBERde régis FERBER etSonia MODESTEOFFEMONT (90)Maxance MAURICEde Pascal MAURICE etAnne-SophieVANUXEEMESSERT (90)

Léane MEILLIEREd’Hervé MEILLIERE etCoralie ARTUSOHERICOURT (70)Louka RIGONIde Bruno RIGONI etViviane CUENOTBOUROGNE (90)Arthur SIMONINd’Emmanuel SIMONINet Stéphanie PEYRONLAIRE (25)11/02/2003Axel et Yann NEDEZde Laurent NEDEZ etAngélique MILLEROTFESCHES-LE-CHATEL(25)Anëlle CHABANIERde Thierry CHABANIERet Véronique BUCHERT122, avenue Jean JaurèsValentineGRANDJEANde ChristopheGRANDJEAN etCorinne GILLETFRESSE (70)Rayan HAKEMde Mamar HAKEM etMounira BEGGAR26, rue ParantNolwen HOFFMANNde Daniel HOFFMANNet Sandrine KURTZPLANCHER-LES-MINES (70)ValentinKONDRATOVITZde StéphaneKONDRATOVITZ etSandrine SIMONCHATENOIS-LES-FORGES (90)Hugo MARTINd’Olivier MARTIN etValérie MORENOTREMOINS (70)Axel et Yan NEDEZde Laurent NEDEZ etAngélique MILLEROTFESCHES-LE-CHATEL(25)12/02/2003Louise COTTETde Pascal COTTET etSylvie CHRETIENFELON (90)Léo BERRETde Frédéric BERRET etVéronique MAITREDELLE (90)Louise COTTETde Pascal COTTET etSylvie CHRETIENFELON (90)Marie CREVOISIERde SylvainCREVOISIER et MurielCARDOTTERNUAY-MELAY etSAINT-HILAIRE (70)Vital FOCHEUXd’Eric FOCHEUX etPascal GRANDGIRARDCHATENOIS-LES-FORGES (90)Quentin MISENTAde Jean MISENTA etNathalie LOMBARDOT9, avenue Jean MoulinMattéo PIDANCIERde Patrick PIDANCIERet Sophie LENOIRCHEVREMONT (90)Juline TASSOTde Pierre TASSOT etCorinne HILLENWECKBERMONT (90)Alexya TERECEKde Sandor TERECEK etRachel ROBERTFRAHIER-et-CHATEBIER (70)13/02/2003Shayma AÏT RRAMIde Taoufik AÏT RRAMIet Aïcha AFKIR19, rue René PayotJade LAROCHEde Jean-PierreLAROCHE et Sadia

FLISSIVALDOIE (90)Alicia PIRENCANOVICde JimmyPIRENCANOVIC etChristelle DETEYRONCHAMP (70)Arthur WALTERde Serge WALTER etChristelle BERTINROUGEMONT-LE-CHATEAU (90)14/02/2003Janna ADDABENAMEURd’Abdel-Karim ADDABENAMEUR et LindaDOUAISSIA10, rue André Le NôtreDounia BALTIde Ghazi BALTI etBouchra EL AÏDI8, rue AllendeMaëlle BERTHODd’Olivier BERTHOD etCéline GOVORUNESSERT (90)Eray DUGANYIGITde KenanDUGANYIGIT etMevludiyeTEMIZYUREKVALDOIE (90)Muhammed GÜLECd’Adem GÜLEC etAynur GUL55, rue PayotSolane JACQUESde Matthieu JACQUESet Nathalie BLUNTZERARCEY (25)Ilyès KAILILd’El KAILIL et AmaleDANGUIRE1, rue Marcel PaulArthur LETHIECd’Anthony LETHIEC etJuliette ALLANODANNEMARIE (68)Clara NARDOde Stéfano NARDO etAnne COLLINROUGEMONT-LE-CHATEAU (90)15/02/2003Ilyas BENBIOUde M’Hamed BENBIOUet Aurélia ROYER46, rue Emile ZolaLaura CURTIde Jacques CURTI etSylvie EUVRARDNOMMAY (25)Eléonore GAPPde Samule GAPP etCéline LALLEMANDDORANS (90)Thibaut TESSIERde Jean-Marc TESSIERet Sophie DURAND17, rue du TramwayLéa WROBELd’Eric WROBEL etSandrine KAUFFMANNCHAMPAGNEY (70)16/02/2003Bastien ETALONde Benoît ETALON etBénédicte BRAILLARDMAGNY-VERNOIS (70)Enis GORQAJd’Halil GORQAJ etShpresa AHMETAJLURE (70)Noé GROSJEANd’Olivier GROSJEAN etFlorence BENABEN18, rue du TramwayKylian GUERETde Ludovic GUERET etJessica RINGENBACH13 bis, rue du LavoirJihad HIRECHde Mokhtar HIRECH etEmmanuelle MAULEL’ISLE-SUR-LE-DOUBS (25)Isaak HUGARDde David HUGARD etKarima ANNABIGIROMAGNY (90)Valentine LASSUS

de Stéphane LASSUS etSandrine DEMESYMELISEY (70)Adem MAIRECHEde Laid MAIRECHE etSiham KEBIR16, rue de MoscouCharline SIMONd’Yvon SIMON et etMarie-Laure JACQUINVALDOIE (90)Ela VARAKde Benhür VARAK etOzlem BARIK48, avenue Jean Moulin17/02/2003Dylan ALVAREZde Francisco ALVAREZet Karine FROSSARD19, rue de LilleNaïs GRUSZKAde Guy GRUSZKA etKarine WIEDER12, rue Engel GrosAçelya KURTde Sükrü KURT etKamile GÖRGÜLÜ9, rue de BucarestEvan PETITPERRINde JonathanPETITPERRIN etElodie GEORGET5, rue Albert EinsteinChloé RIMBAUXd’Eric RIMBAUX et ThiNGUYEN20, rue Saint Antoine18/02/2003Luna ANCELde Thierry ANCEL etPascale CROSAEVETTE-SALBERT(90)Rémi BEJEANde Jean-Luc BEJEAN etValérie VIGNYGIROMAGNY (90)Pierre et SolèneKIBLERde Christophe KIBLERet EmmanuelleMASSIASCHAMPAGNEY (70)Tom MADELRIEUXde NicolasMADELRIEUX etNathalie VIENNECHEVREMONT (90)Lennie METURAde Robin METURA etEstelline THALGOTT6, rue des CapucinsAsyenur OZUNde Niyazi OZUN etHayriye OZUN2, rue DoreyCharlotte POINSOTde Jean-Marc POINSOTet CorinneBOHLINGERROMAGNY-SOUS-ROUGEMONT (90)Paul STRUBde Philippe STRUB etMarie MASCARELBEAUCOURT (90)19/02/2003Léa DE STAFANOde Pierre DE STEFANOet TaniaSCHWOEHRER6, rue Auguste Scheurer-KestnerRaphaël HELLEUde Stéphane HELLEU etDelphine NEGRIERBAVILLIERS (90)Aïcha IBOUDEd’Ibrahim IBOUDE etLalia SAHAB4, rue de Moscou20/02/2003Lina SAHRAOUIde MohamedSAHRAOUI et WidadARAMA6, rue des Trois Dugois

page 28

MariageMariage

Restauration municipalemenu du 14 au 31 mars

15/02/2003

Spetim FAZLIA et

Jessica GROMAND

2, rue Dorey

DécèsDécès21/01/2003Thérèse FAUVEL80 ans, célibataire22/01/2003Roger PASTEURretraité23/01/2003GenevièveBLUMBERG, épouseDOSSMANN77 ans, sans professionGeorges FRISON80 ans, retraité27/01/2003Jacques BOILEAU70 ans, retraitéTeresa BRUGNARO,épouse CAODURO73 ansDiégo FERRARI82 ans, retraitéMarcel JENN68 ans, retraité28/01/2003Albert CHRISTEN69 ans, retraitéYvette DAGNICOURT,épouse BOUSSARD67 ansChristiane MEYER,épouse NANSE60 ans, agentd’entretien29/01/2003Maryse FERRY, épouseHUNCKLER42 ans, sans profession

93 ans, retraitéeJane LAPOSTOLEST87 ans, retraitée04/02/2003Edmond KITTLER78 ans, retraitéGisèle MARTIN, épouseBONTEMPS59 ans, sans professionGilberte NARBEY,épouse TIROLE80 ans, retraitée05/02/2003Jean CHOUX65 ans, retraité06/02/2003Bernard PIVA49 ans, ouvrier07/02/2003Marguerite BRAUN,veuve POIROT80 ans, sans profession08/02/2003Paul BERNARD73 ans, retraité09/02/2003Angèle LOMBARD,veuve SEGUIN82 ans, retraitée10/02/2003Gui BOSSEZ77 ans, retraitéMarie CHAPUIS, veuvePELTIER92 ans, retraitéeRaymonde DELAY,veuve SAUTEBIN69 ans, sans professionBernard GIULIANI68 ans, retraité

VENDREDI 14 MARSSalade de lentillesFilet de hocky saucecrevettePommes vapeurChausson aux pommes

LUNDI 17 MARSTomateCouscous / SemouleFaisselle au coulis defruits

MARDI 18 MARSSalade printanièreSteak haché à l’échaloteCourgettes / Pommes deterreMorbier / Compote depommes

JEUDI 20 MARSPotage de légumesRavioles aux légumes sauce tomateMamirolle / Orange

VENDREDI 21 MARSSalade d’endives aucomtéFilet de colin frit au citronCarottes VichyClafoutis

30/01/2003Louise BOURQUIN,veuve LODS86 ans, retraitée31/01/2003Christine BELEY,épouse PEUGEOT48 ans, sans professionLaurent PARRET89 ans, retraité01/02/2003Mario ARCARO74 ans, retraitéJean GOUVION80 ans, retraitéMarie RINGENBACH97 ans, retraitée02/02/2003Paulette BAUVAIS,veuve GUICHARD79 ans, retraitéeJacques IBARRA55 ans, responsableMarie MERIENNE37 ans,Marc TOHAR54 ans, sans profession03/02/2003ChristianeCARBONNET, veuvePARMENTIER80 ans, retraitéeMarthe CHERVOILLOT,veuve HENRY89 ans, retraitéeMariette DUBOIS, veuveLAURENT92 ans, sans professionRenée JACQUEREZ,veuve BROGLIN

LUNDI 24 MARSSalade verte mimoletteSaucisses grilléesChou rouge aux marronsPêche au sirop

MARDI 25 MARSFilets de maquereauxEmincé de bœufPurée de pois cassésSaint Paulin / Pomme

JEUDI 27 MARSConcombre à la fetaSaumon au beurrre blancHaricots d’EspagneMille-feuille

VENDREDI 28 MARSBetteraves rougesBouchée à la reineRizYaourt aux fruits

LUNDI 31 MARSSalade aux noixChoucroutePetits suisses

Placer MONZON-LOZANO76 ans, retraité11/02/2003Otello CLADIERA82 ans, retraitéChristiane PLUBEAU,épouseECKENSCHWILLE63 ans, retraitéeMarie VAUTHRIN93 ans, retraitée12/02/2003Raymond HORIOT88 ans, retraitéMireille ROBERT, veuveJUILLARD66 ans, sans profession14/02/2003Aimé GOLLING74 ans, retraitéMaurice PELTIER93 ans, retraitéMarie HENNEQUIN,veuve ROY71 ans, retraitée15/02/2003André JALLAT78 ans, retraité16/02/2003Jean BENOIT63 ans, retraité17/02/2003René JEANNIN67 ans, retraitéRoger MALLAIZEE67 ans, retraitéRobert TALBOT90 ans, retraité

87654321

87654321

a b c d e f g h

87654321

a b c d e f g ha b c d e f g h

Sauvetage en finale

En fin de partie, lorsquebeaucoup de matériel a étééchangé, il n’est pas rare qu’unpion menace d’arriver àpromotion et de donner ainsi unavantage décisif à son camp.Toutefois, il existe parfois pourl’adversaire des solutions poursauver in extremis la situation etobtenir le demi-point. Dans la

position 526, les Noirssemblent proches du but, ayantéloigné le roi blanc et interceptél’action du fou. Comment lesBlancs peuvent-ils rattrapernéanmoins le fuyard ? Dans laposition 527, le pion h est cettefois bien protégé ; mais n’y a-t-il pas une autre voie pour forcerla nullité ? Enfin, dans la Solutions des Echecs :

Position 526 : 1.Rd4 ! Cc6 + (... h2 ?? 2.Fxe5+ et Fxh2) 2. Re3 Cxb8 3.Rf3=.Position 527 : 1.Re7 ! h1=D2. Ca7+Rd8 3.Cc6+ Rc8 4. Ca7+ Rb8 5. Cc6+ Rc8= (5....Ra8 ?? 6. Ta7 mat).Position 528 : 1.Re3 Cg4 + 2.Rf3 Rc6 3. Rg3(Rxg4 ?? h2) h2 4. Rg2 Rd5 5. Rh1=.

position 528, les Blancsparviennent aussi à leur finmalgré le carrousel noir.

Où s’initier et jouer auxéchecs à Belfort ?Au 2, rue Marcel Paul, tousles jours de 14h à 19h (saufle dimanche et le lundi) etle vendredi soir de 21h à

24h.Cours d’initiation (enfants,adultes) et de perfectionnement(5 niveaux), loisirs etcompétitions.Renseignements :Tél. 03 84 21 52 80 (tous lesaprès-midi de 14h à 19h dumardi au samedi).

Cette rubrique est assurée parRégis Desle, Conseillertechnique et Pédagogique du jeud’échecs pour le Territoire deBelfort.

échecs, à vous de jouer

Belfort Mag mars 2003 n°134page 29

page 30

Rétroviseur

Après midi dansant

La Maison des Femmes proposeun après-midi dansant, le mardi18 mars à 14h, et le mardi 8 avrilà la salle des Fêtes. Enfin, lesamedi 22 mars, l’associationpropose une soirée vie parisienneà 20h30. Tél. 03 84 21 24 57

Miniatures et jouets

L’association Petites autos deBelfort-Montbéliard organise sa20ème Bourse de miniatures etjouets anciens le 13 avril pro-chain de 10h à 17h à la salle desFêtes de Belfort.Par ailleurs, vous pourrez décou-vrir une exposition de miniaturesconsacrée au transport du bois.Tél. 03 84 28 53 11 (de 14h à 19h)

Bourse aux vélos

Le SRB cyclisme organise unebourse aux vélos le samedi 22mars, de 8h à 18h au Centre BenoîtFrachon.Tél. 03 84 21 64 41.Concert de l’Orchestre d’Harmo-nie de la ville de Belfort.

L’Orchestre d’Harmonie de laville de Belfort vous propose unconcert avec la participation ex-ceptionnelle du quatuor TUBA-YAGA, le samedi 22 mars à20h30 à la Maison du Peuple deBelfort. Tarif unique : 10 euros(gratuit pour les moins de 12 ans).Tél. 03 84 22 94 43.ou 06 62 42 45 25.

Cérémoniedes récompensesde l’OMS

75 exploits individuels, 46 diri-geants et 8 clubs ont été honoréslors de la traditionnelle soirée desrécompenses de l’OMS. MyriamHouillon succède à EstelleGuisard au titre de sportive del’année avec trois sacres natio-naux en une seule saison. Dessuccès, qui ont réjouis le clan desarchers de la Savoureuse.

Pierre Bacheleten concert

L’auteur, compositeur et in-terprète Pierre Bachelet serasur la scène d’AirExpoAndelnans, le mercredi 26mars.Fidèle à lui même avec seschansons mariant poésie ettendresse, Pierre Bachelet of-fre sur scène un spectacle gé-néreux et rythmé.

Gros succès pour le carnaval deBelfort le 1er mars dernier. Il aréuni plus de 4 000 enfants pour-suivant dans les rues de Belfort lafanfare des «ventilator» et leséchassiers-percussionnistes duMarakatu...avant de déguster au

Distribution solennelle des prix duconcours départemental des écolesfleuries le 1er février dernier, con-cours qui fêtait son 20ème anniver-saire. 34 écoles rurales et 13 écolesbelfortaines ont été récompensées.«L’école René Rucklin a reçu un prixd’excellence avec mention spéciale,a rappelé Robert Bergier, présidentde l’union départementale des délé-gués de l’éducation nationale. LesBarres, Paul Langevin, René Rucklin,Emile Géhant et Louis Aragon ontreçu le prix d’excellence avec men-

tion. Un prix d’excellence a été dé-cerné à l’école Kergomard, Aragonet Victor Schœlcher. Un prix d’hon-neur avec mention a salué le travaildes élèves et maîtres de l’écoleDreyfus-Schmidt et RaymondAubert. L’école Louis Pergaud estrepartie également avec un prixd’honneur. La soirée a, par ailleurs,été animée par les classes des écolesRucklin à Belfort et celles des écolesélémentaires de Valdoie et de Botans.La chorale de l’inspection académi-que a émis de bonnes notes. Et, cerise

Les 20 bougies des écoles fleuriessur le gâteau : il représentait un vil-lage, œuvre des élèves du CFA deBelfort.

Echanges sur le terrain

Parmi les spectateurs d’une ren-contre de hand-ball se déroulantau gymnase Pierre de Coubertindurant les vacances de février :Jean-Pierre Chevènement.Après le match, le maire a ren-contré les jeunes joueurs. Mur-mures. «C’est notre maire...»,soufflait Thomas. Et, les ques-tions ont timidement fusé : «Vousavez déjà joué au hand, mon-sieur le maire ?» ... «Oui. Il y atrès longtemps. Et, j’étais loind’être aussi doué que vousl’êtes...».Les jeunes ont ensuite poursuivileur entraînement, et Jean-PierreChevènement accompagné deJean-Louis Wolff, adjoint chargédes Sports, s’est rendu au staged’escrime qui se tenait au gym-nase Léo Lagrange où l’accueilfut tout aussi chaleureux de lapart des jeunes escrimeurs et del’équipe de handball.

Carnaval fêté en beauté !milieu d’une tempête de confettisles traditionnels beignets de...carnaval !

© p

hoto

s ca

rnav

al J

.Leb

arat

oux

Belfort Mag mars 2003 n°134page 31

t r i b u n e s

l i b r e s

Un village associatifà l’ERM

Groupe opposition Groupe Belfort Démocratie

Au 1er janvier 1997, il y avait 33784 salariés - hors intérimaires -dans le Territoire de Belfort. Cinqans après, nous étions 36 617. Lareprise économique, la politiquevolontariste du gouvernement deL. JOSPIN en faveur de l’emploides jeunes, la confiance revenuedans les ménages ou les aidestype prime pour l’emploi, toutconcourait à relancer la consom-mation, à générer de l’activité.

Depuis l’été dernier, l’insécuritédans le travail grandit. Chaquesemaine, des «plans sociaux»sont annoncés. La gestion à fluxtendus des produits s’est généra-lisée aux salariés. Dans le Terri-toire de Belfort, 5 159 personnesétaient inscrites à l’ANPE en jan-vier 2003. Le pourcentage deshommes chômeurs dépasse dansle département celui des femmes.53 %. C’est nouveau et c’est in-quiétant parce que cela traduitbien l’érosion de l’emploi dansle secteur de la production indus-trielle.

Il n’est pas question de remettreen cause le principe de l’écono-mie de marché mais de trouverdes systèmes de régulation. Leslicenciements économiques doi-vent être pleinement justifiés etles pratiques encadrées. C’étaitl’objet de la loi de modernisationsociale dite aussi «loi sur les li-cenciements économiques» du17 janvier 2002. Le gouverne-ment de M. RAFFARIN a décidéde suspendre son application. Lamême majorité de droite qui lesoutient aveuglément tant à l’As-semblée Nationale qu’au Sénat,a suspendu la loi pour dix-huitmois, voire davantage. Qu’est-cequi dérangeait ? les prérogativesdonnées aux représentants dupersonnel et au comité d’entre-

Les nouveaux droits passésà la trappe

prise notamment de formulerdes propositions alternatives,les procédures de consultation,le recours au médiateur, les étu-des d’impact social et territo-rial. Finie aussi la prise encompte des situations person-nelles pour licencier. La Gau-che fixait dans la loi des critè-res : les charges de famille,l’ancienneté, les capacités deréinsertion qui au final proté-geaient les personnes handica-pées ou les salariés âgés.

L’avancée sociale était réelle.La droite revenue au pouvoir adécidé moins d’un an aprèsl’entrée en application de la loide tout arrêter. Elle veut«renégocier» avec les organisa-tions syndicales, revenir à l’an-cienne législation, supprimerles contraintes pour le patronat.Ce Gouvernement aime «agirvite», déclare «l’urgence»c’est-à-dire que des projets deloi ne font l’objet que d’uneseule «lecture» devant les deuxassemblées privant les parle-mentaires d’un examen appro-fondi, quitte même pour eux àrenoncer à présenter des amen-dements. S’agissant de la loisuspendant la loi de moderni-sation sociale, elle a été débat-tue à l’Assemblée le 10 décem-bre, était inscrite à l’ordre dujour du Sénat le 17 déc. Vite,une commission mixte se réu-nissait le 18 pour se mettred’accord.Et toc, le 19, tout était joué. Vitefait, mal fait. Et les chiffres duchômage caracolent …

Hubert BELZ,adjoint au maire socialiste

Les associations sont particuliè-rement dynamiques à Belfort :grâce à leurs bénévoles, les nom-breuses manifestations qu’ellesorganisent à longueur d’annéesont des éléments essentiels d’ani-mation de la ville. Elles permet-tent également aux Belfortains detous âges d’avoir plaisir à organi-ser, à participer, bref à vivre en-semble.Ce tissu associatif mérite un sou-tien sans faille de la part de la Villede Belfort, dans le respect de l’in-dépendance des associations, eten leur donnant les moyens demener leur action, culturelle,sportive, environnementale, so-ciale, ou tout simplement festive.Ce soutien de la Ville n’existe quepartiellement aujourd’hui: unevéritable volonté politique doitpourtant s’exprimer. C’est la vi-talité de Belfort qui est en jeu.En écoutant les associationsbelfortaines, notre groupe muni-cipal a constaté que le manque leplus criant concerne les locauxpour se réunir. Combien de béné-voles se réunissent à tour de rôledans la salle à manger parfois exi-guë de l’un des membres de l’as-sociation ? Combien n’ont pas delocal pour entreposer le matièrelde l’association ? Pour assurerl’accueil de leurs membres ?La cité des associations de Bel-fort est aujourd’hui saturée et denombreuses associations localessont en attente de locaux. Quel-ques exemples : le club cyclisteBelfort-Miotte cherche un sitepour son école de cyclisme dumercredi, des associations de pro-tection de la nature sont à la re-cherche d’un nouveau siège so-cial, des jeunes fédérés en asso-ciation cherchent un lieu couvertpour pratiquer leur sport, leur ac-tivité musicale. L’amicale des Es-pagnols de Belfort s’est malheu-reusement rajoutée à la liste d’at-tente suite à l’incendie qui a dé-truit en février son centre installé

dans l’ancienne école maternelle dela Miotte.De nombreux autres peuvent êtreajoutées à cette liste.Avec un peu d’imagination, il existeune solution de bon sens à Belfort.La Ville s’est portée acquéreur dusite de l’ERM, au sud du champ deMars, le long de l’avenue Jean-Moulin. Elle veut y construire deslogements mais sur une durée de 15ans nous a-t-elle précisé.Plutôt que de détruire les locaux mi-litaires existants, ou de les laisser àl’abandon, pourquoi ne pas les réu-tiliser pour en faire un village asso-ciatif ?Un tel village des associations pour-rait fonctionner pendant une dizained’années, dans les bâtiments lesmoins dégradés ou dans ceux quel’on peut remettre en état à moin-dre frais. L’ERM a fermé ses por-tes il y a peu de temps : réseauxd’eau, d’électricité et de chauffagesont là. Et s’il faut quelques béné-voles pour quelques menus travaux,les associations bénéficiaires n’enmanquent sûrement pas et sont prê-tes à retrousser les manches.Après tout, dans ce projet d’amé-nagement de la ZAC du Parc à Bal-lons, projet très axé sur le « rési-dentiel », pourquoi ne pas pérenni-ser une telle idée ? Il est bien pré-conisé l’implantation d’un skateparc couvert en réutilisant l’un deshangars de la zone sud, est égale-ment prévu un Parc urbain très aéréet végétal, il serait donc tout à faitintéressant et judicieux que ce Vil-lage associatif très attendu sur Bel-fort naisse et vive sur ce site.Notre groupe municipal a officiel-lement fait cette proposition aumaire de Belfort : la balle est main-tenant dans le camp de la munici-palité. A elle de dire si elle est prêteà accepter ce projet qui marqueraitun soutien fort au monde associatifbelfortain.

Gérard CollonConseiller municipal