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Belles de Scènes #1

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Info : Avant d'être publié online, ce livre à été auto édité et vendu à 150 exemplaires. Belles de Scènes est né de l'envie de rassembler sur support papier 4 ans de photographies de concerts. Le thème s'est imposé de lui même en voyant le nombre de concerts d'artistes féminines que j'avais pu shooter. Ce livre rassemble en 100 pages, 50 artistes qui m'ont marqué de part leur présence scénique, et ce quelque soit le style de musique. On y croise des artistes Française ou Etrangère, connues nationalement ou localement. Elles sont présentées au lecteur à travers 4 ou 5 photos de scène, illustrées d'une courte biographie.

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Titre original : Belles de Scènes.

Coordination et réalisation éditoriale : L’Art Scènes Communication

Photographies : Fabien Roux - www.lart-scenes.com

© L’Art Scènes {Editions} 2008.01 bis rue Baron - 44000 Nanteswww.lart-scenes.com/book

ISBN : 978-2-9532997-0-0

Photos de couverture : Fabien Roux

Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consente-ment de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite selon le Code de la propriété intellectuelle. (Art. L. 122-4) et constitue une contrefaçon réprimée par le Code pénal.Seules sont autorisées les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective,ainsi que les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, pédagogique ou d’information de l’oeuvre à laquelle elles sont incorporées, sous réserve, toutefois, du respect des dis-positions des articles L. 122-10 à L. 122-12 du même Code, relatives à la reproduction par reprographie.

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PHOTOGRAPHIES DE FABIEN ROUX

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-Micro et scène décorés de roses pour ouvrir le bal... Alabrune n’a pas réelle-ment de style excepté le sien. S’il fallait la comparer, prenez un zest de Claire Diterzi (période Boucles),

une pincée de Clarika (dans les textes) et un soup-çon d’Olivia Ruiz et vous obtiendrez ce que peut-être le mijoté musical que représente son univers. (...)Une musique sensuelle, voire sexuelle qu’elle déli-vre ; parfois les titres sont

d’avantage des comptines un tantinet malicieuses (...). Qui sont d’ailleurs oni-riquement envoutantes. Alabrune, ça se déguste, ça se dévore sans fin.Cette jeune femme s’est

d’abord formée à Paris, puis à Berlin où elle a vécu cinq années, le temps de développer, paradoxale-ment, son goût de la langue française. De retour en France, elle écrit ses pre-mières chansons qui sus-citent très vite l’intérêt

(notamment à chorus des Hauts de Seine en 2006). Climats rock sans pesan-teur, mélodies prenantes, voix et musique déliées, Alabrune se promène avec une grâce sans fiori-tures dans des paysages personnels, mi-urbains, mi-oniriques, où l’enfance pointe son museau, semant d’étranges petits cailloux sur ses pas légers.Installée définitivement à Paris depuis 2006, alabrune prend une nouvelle forme pour devenir un groupe.

«SES cHANSONS SONT DES cOmPTI-NES ONIRIqUEmENT ENvOUTANTES.»

BIO(GRAPHIE)

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ALABRUNE # OLYmPIc

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Formée au Conserva-toire de Paris, Adrienne Pauly est d’abord une comédienne, qu’on a pu voir au cinéma dans des films de Claude Chabrol (« Au Cœur Du Men-

songe », 1999) et Jean-Pierre Mocky (« La Bête De Miséricorde »). C’est après sa rencontre avec le reggaeman de Paname, Camille Bazbaz, qu’elle décide de donner de la voix d’une autre façon : en chantant, comme

dirait l’autre. Elle choisit alors de s’illustrer dans la vieille famille des chan-teuses « réalistes » et fortes en gueule : Fréhel, Piaf… en tâchant d’évi-ter les écueils de Patricia

Kaas ou Pauline Ester.Ses arrangements, pour leur part, tiennent pé-père tendance alterna-tif, avec une petite pin-cée de ska pour la blague. Ils sont surtout là pour mettre en valeur ses pa-roles lascives, chantant

la désabusion des amours parisiennes… A ce titre, le single, « J’Veux Un Mec », tout droit sorti d’un label indé d’années 80 imaginaires, s’avère particulièrement repré-sentatif et efficace. On peut découvrir une plus large palette de sa griffe sur un premier album éponyme, paru en 2006.

«ELLE cHOISIT DE S’ILLUSTRER DANS LA FAmILLE DES cHANTEUSES RéALISES.»

BIO(GRAPHIE)

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ADRIENNE PAULY # OLYmPIc

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Jeune Californienne, Alena Diane est l’héri-tière d’une lignée de chanteuses qui possè-dent un rayonnement propre à ceux que beaucoup qualifient

de ‘vieilles âmes’. En grandissant dans une famille de musiciens, la jeune artiste a été bercée par la musique de ses parents toute sa jeunesse. Au départ, l ’atmosphère de la maison familiale était

plutôt folk, variant au fil des ans vers des styles plus variés. Alors qu’elle est en voyage à San Francisco, Alela décide d’apprendre la guitare et commence

à écrire ses propres chansons. Elle explique d’ailleurs qu’elle a res-senti le besoin d’écrire lorsqu’elle s’est éloi-gnée de sa famille. L’an-née suivante, elle com-pose plusieurs chansons qui se trouvent sur

son premier album, ‘The Pirate’s Gospel’ . Au départ, l ’album est seulement distribué à quelques connaissances et aux personnes qui venaient assister à ses concerts. Petit à petit, l ’opus a fait son chemin jusqu’en Europe, où il sort en 2007. Les cri-tiques l’applaudissent, saluant un univers riche et contrasté.

«L’ATmOSPHèRE DE LA mAISON FAmILIALE éTAIT PLUTôT FOLk.»

BIO(GRAPHIE)

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ALELA DIANE # DIvERS cONcERTS

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Ambiance chanson, tzigane ou musette Les Ogres de Barback interprètent des mélodies grisantes soute-nues par des textes poéti-ques épris d’humour.Ces quatre musiciens issus de la même famille (ils sont frères et soeurs) ont passé

leur enfance au sein d’une famille de musiciens dans une petite maison de la Creuse. En quelques années, ils sont passés de la rue aux troquets, et des petites salles aux grandes scènes. Ils jouent plus d’une dou-zaine d’instruments : on les imagine baroudeurs au long cours, tziganes aux doigts usés par les guitares ou sal-timbanques. Parce que la

voix du chanteur est rocail-leuse on dit que les Ogres de Barback viennent d’un pays lointain.Pourtant s’ils revendiquent une liaison avec l’Est, leurs influences varient de la Mano Negra à Renaud ou Pierre Perret (participa-

tion à son dernier album). Ils sortent un premier album en 1997 Rue du Temps.Après avoir fêté triompha-lement leurs 10 ans d’exis-tence et de rencontres, le groupe a choisi de retrou-ver toute la complicité d’un spectacle à quatre à travers une mise en scène longuement réfléchie. Une scène surchargée, plus de trente instruments de tou-

tes sortes, une salle assise. Le concept surprend de la part d’un groupe aussi dynamique. Et puis les mu-siciens apparaissent et le spectateur se retrouve au cœur d’une valse féerique. La mélodie se veut légère, envoûtante, la maîtrise des notes sans faille.Les airs maintenant connus du public s’enchaînent, laissant la place de temps à autre à de nouveaux ar-rangements ou des inédits. Comme une histoire qu’on raconte, l’intrigue progres-se et la scène se dénude. A la fin de ce tourbillon de chanson et de poésie, seuls restent les Ogres, le public, la musique et quatre instru-ments. Une scène nue, une proximité évidente entre les artistes et leurs invités.

«SUR ScENE, ILS jOUENT PLUS D’UNE DOUzAINE D’INSTRUmENTS»

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ALIcE & mATHILDE BURGUIERE (LES OGRES DE BARBAck) # DIvERS cONcERTS

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Pianiste accomplie et voca-liste douée, elle a notam-ment pour elle une person-nalité plutôt affirmée. C’est elle qui, à ses débuts re-prend le «Are friends elec-tric ?» de Gary Numan avec

une classe si étonnante que cette interprétation lui vau-dra les compliments de son auteur. 1998, An signe chez Warner Music Benelux son premier album studio, Mud Stories. Aussi bien influencé par Bach et John Cale que Kim Wilde, la native d’An-vers livre l’album dont elle revait, entre distos bien senties, clavier électrique

et arrangements subtils. La demoiselle sort des sentiers battus. Lorsqu’en 2002 sort son deuxième opus, Helium Sunset, les compositions qu’elle livre au public confir-ment ce qui avait été entre-

vu sur son premier album, la jeune anversoise, n’a pas que de la personnalité, elle a véritablement du talent. Entre les deux albums, se sont écoulés trois ans, Koen Gisen son compagnon l’a rejoint en studio. Accompa-gnés par Thomas Van Cot-tom (ex-Venus), le couple livre un album d’inspiration trip-hop, entre pop-songs

énergisantes, et composi-tions léthargiques à la Nick Cave. Guitares, piano, vio-loncelles, percussions, An Pierlé n’est plus seule, on parle dès lors presque d’un groupe. La transition est toute faite, l’évolution se fait naturellement. An Pierlé est définitivement entou-rée par un vrai groupe, on parlera donc désormais de An Pierlé & White Velvet. 2006, une nouvelle étape est franchie, le troisième album de l’artiste belge sort dans les bacs. S’ensuit une nouvelle tournée qui vien-dra conquérir les derniers irréductibles...

«S’ENSUIT UNE TOURNéE qUI vIENDRA cONqUéRIR LES IRRéDUcTIBLES.»

BIO(GRAPHIE)

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AN PIERLE # DIvERS cONcERTS

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Anggun naît à Jakarta, capi-tale de l’Indonésie, sous une bonne étoile artistique. Sa mère l’oriente très tôt vers le piano et les ondulations de corps et de voix. Son père écrit et lui apprend la poésie des mots.

Les parents remplissent l’arc de leur fille de nom-breuses cordes. Avec la danse et le chant comme langage, la scène devient vite le terrain de jeu de la petite Anggun Cipta Sasmi. A sept ans, encouragée par son père compositeur, interprète et producteur, elle enregistre un album. Ses ambitions la conduisent sur les scènes des Etats-Unis. Là-bas, suite à une rencontre avec un pro-

ducteur et compatriote exilé, la belle Indonésienne de douze ans enregistre un album rock, «Dunia Aku Punia ». La « Lady Rock » qui remplit les stades et vend des millions de disques en Asie du Sud-est rêve de

partir pour de nouvelles conquêtes.A Londres, elle rencontre Erik Benzi. Tombé sous le charme de sa voix, l’ancien membre du groupe Ca-nada devient son auteur-compositeur-producteur. Ensemble, ils enregistrent « Au nom de la Lune » qui sort en 1997. En France, « La Neige au Sahara », fait un carton, et l’album est double disque d’or. En 2000, Anggun sort un

album et deux versions : « Désirs Contraires » et « Chrysalis », francophone et anglophone. Anggun, qui écrit tous les textes en anglais, s’investit com-plètement dans ce deu-xième opus. Les mélodies sensibles et sensuelles de l’album mettent en valeur la volupté de sa voix et son grain soul, mais ses désirs n’ont pas beaucoup d’écho en France. En Ita-lie, la chanteuse a plus de chance. Son succès est tel que le Vatican l’invite à chanter au côté de Bryan Adams au concert de Noël. avant de revenir avec son nouvel album.En 2005, Anggun revient avec « Luminescence ». « Être Une Femme » sur-prend par ses rythmes saccadés. Anggun reprend

«AvEc LA DANSE ET LE cHANT cOmmE LANGA-GE, LA ScèNE DEvIENT SON TERRAIN DE jEUX.»

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ANGGUN # SHOWcASE

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Diplômée d’alto de Conser-vatoire National de Région de Nantes, elle poursuit des études au Conserva-toire d’Angers avec Fran-çois Hetsch en vu d’obtenir le DEM. Elle apporte au groupe Laoun Sharki un jeu unique et original avec le

timbre du violon alto, habi-tuellement accompagna-teur, et excelle dans cette formation comme soliste. Elle a fait partie de plu-sieurs formations musicales comme Fred Garone, les bricoleurs (chanson fran-çaise) et Azara (musiques yiddish).

Aujourd’hui elle travaille avec La Permission, trio de chansons théâtralisée et Anda, en duo avec le vio-loncelliste Daniel Trutet. La musique d’Anda est une parfaite alchimie des genres avec une volonté de tirer des cordes (parfois vocales)

des sons délicats, intenses et étonnants. Une sorte de musique de chambre élec-tro où se côtoient avec subtilité mélodies et impro-visations, dans un style qui évoque le déplacement, le voyage. Anda en espagnol signifie : «marche ! va !».Le spectacle «Travelling»

est bien plus qu’un entre-tien esthétique entre le violoncelle et l’alto. Pour étoffer les atmosphères, Anne prête aussi sa voix et dépose sur le fil de l’histoire des petites poésies comme pour scénariser cette suite d’ambiances très cinémato-graphiques. Emotion, sen-sualité, raffinement sont les mots clés qui ouvrent les portes de l’univers ANDA. Une incitation à fermer les yeux et se laisser porter aux confins d’un monde imaginaire entre grâce et plénitude.

«ELLE APPORTE UN jEU UNIqUE ET ORIGI-NAL AvEc LE TImBRE DU vIOLON ALTO»

BIO(GRAPHIE)

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ANNE BERRY (ANDA) # DIvERS cONcERTS

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Musicienne percussion-niste, elle a fait plusieurs voyages d’apprentissage en Afrique, en Inde, en Turquie et aux Antilles. Elle se produit aujourd’hui régulièrement en concert aux côtés de Kwal. Elle a

joué également aux côtés de Lo’jo, Adama Yalomba, Laoun Sharki, Maya dagi, Rabia Jabrane et son en-semble Meskalyl (musiques traditionnelles marocaine), Al Bab (musiques tradition-nelles du Proche Orient), Bapi Das Baul et Senses (musique electro-indienne

: tournée aux Antilles et éducatifs). Elle se produit aussi dans des spectacles théâtraux, de danses et de contes (« Ramayanâ », les rencontres de l’improvisa-tion de la Rochelle, etc.).Elle a appris les tablas avec

le maître Pandit Shankar Gosh et un de ses disci-plines reconnu, Apurbo Mukherjee. Quant à la der-buka, elle s’est rendue à plusieurs reprises à Istanbul pour travailler avec de grands maîtres (Volkan Er-gen, Buran Ocal).Ethnomusicologue, elle a

réalisé plusieurs séjours en Afrique (Burkina Faso), dans le cadre de ses recherches universitaires. Elle consacre une partie de ses travaux au langage du xylpophone bwaba. Souhaitant ouvrir le champ de l’ethnomusi-cologie et des musiques traditionnelles au plus grand nombre, elle est à l’initiative de nombreuses interventions au sein du département de musique et musicologie de l’Univer-sité de Tours « les thés de l’ethno ». Elle intervient également au Musée du Quai Branly de Paris dans le cadre des spectacles.

« E L L E I N T E R v I E N T é G A L E m E N T A U m U S é E D U q U A I B R A N L Y . »

BIO(GRAPHIE)

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ANNE LAURE BOURGET # DIvERS cONcERTS

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Fille d’un père nigérian et d’une mère rom, Ayo a bai-gné dans un contexte musi-cal sans frontières. Et sa musique s’en ressent : soul, jazzy, marquée par le reg-gae, la pop et les folklores africains, elle s’apparente à un récit de voyages... Et

dans ce domaine, la jeune femme en aurait à raconter.Elle naît en 1980 près de Cologne mais, très tôt, sé-journe au Nigéria, auprès de sa grand-mère. Ses parents se méfient cependant du poids des traditions là-bas,

et ils la rappatrient bien-tôt en Allemagne. Durant son enfance et son ado-lescence, elle ne fera plus aucun séjour en Afrique. Sa mère souffrant d’une addic-tion à la drogue, elle grandit au côté de son père, un fou de musique, dès l’âge de

six ans. Ce dernier lui fait découvrir Fela Kuti, Prince Sunny Adé, mais aussi les Pink Floyd ou Bob Marley.

Durant son enfance, elle

apprend le violon, le piano et enfin la guitare.Avec l’âge adulte, les an-nées bohèmes commen-cent. Ayo pose ses valises à Londres, New York ou Paris et commence à se produire dans les clubs. Talent remar-qué, elle se produit en pre-mière partie d’Omar dès le début des années 2000 puis publie son premier album, «Joyful», en 2006. Celui-ci synthétise ses différentes influences, abordant de fa-çon centrale la question de ses origines.

«DURANT SON ENFANcE, ELLE APPREND LE vIOLON, LE PIANO ET LA GUITARE.»

BIO(GRAPHIE)

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AYO # OLYmPIc

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« Choisi ! Tu veux jouer de l’ac-cordéon ou du violon ? »Dès l’âge de 5 ans , mon père me plaçait sur la route des pe-tits musiciens qui au lieu d’aller jouer le soir après l’école avec les copains du quartier, s’enfer-ment dans leur chambre pour aller s’amuser avec un drôle

de nouveau copain qui ne dit pas un mot mais procure déjà d’étranges sensations…L’étude du violon, une maman qui m’emmène chanter le gos-pel le dimanche à l’église, deux grandes sœurs qui jouent du piano, voilà en gros l’ambiance de la maisonnée dans laquelle j’ai grandi. A l’adolescence, on m’offrit une guitare, j’avais un nouveau copain de chambrée, mais ce

copain là invitait à faire des rencontres, c’est un copain qui aime la compagnie et c’est tout naturellement que quelques années plus tard je rencontrai Mathias, on s’amusait tous les mercredis après-midi sur son quatre pistes, le début d’une amitié.

Cela fait dix ans maintenant qu’avec Mathias, Mike, Rico, Guillaume et Stephan, le groupe Dionysos, nous vivons l’aventure de la route et des concerts avec passion et que dans la même continuité des rencontres et des apprentis-sages de la route et de la vie m’est venue l’idée de faire mon disque, de dire le petit bout de chemin qui est le mien, une sorte de nécessité inté-

rieure de raconter les choses avec mes yeux, avec mes mots, de jouer mes histoires toute seule.Dans ma course, je me suis posé un mois près de Paris, entre deux tournées de Dionysos, pour tout sortir de mes ba-gages, donner quelque chose de très personnel, de pris sur le vif.Je me suis beaucoup amusée ! J’ai tout joué, de la chanson vieille de six ans (Mon oncle) à celle écrite un matin dans le grand salon (Andy) en atten-dant l’accordeur de piano, et voilà ! Un disque folk-rock, mes textes parlent de voyages, de rencontres et d’amour, un condensé de ma vie empri-sonné sur un disque de pres-que une heure que j’ai appelé : Drôle d’oiseau.

« L’ IDéE DE DIRE LE PETIT BOUT DE cHEmIN qUI EST LE mIEN»

BIO(GRAPHIE)

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BABET (DIONYSOS) # zENITH

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Née sous un bateau à voile en chantier, ses parents la prénomment ‘Baby Girl’ sur son acte de naissance avant de lui trouver son vrai pré-nom, ‘La Brisa Day Roché’. La jeune femme grandit sur les dunes de Californie, suivant

son père écrivain et profes-seur de littérature tout en écoutant les Rolling Stones et du blues sur de vieux tourne-disques. A l’âge de treize ans, Brisa, qui chante dans une chorale, part en voyage en Russie. Trois ans plus tard, elle est à Seattle avec son père, en plein

mouvement grunge. Mais la mort de celui-ci ne tarde pas à faire d’elle une adulte avant l’âge... Elle écrit, joue de la guitare, termine ses études et chante dans un groupe, The Amazing Di-mestore. A dix-huit ans, sous

l’influence d’artistes tels que P.J. Harvey, Can ou Joni Mitchell, Brisa Roché part pour Paris où elle forme pour quelque temps un trio roots, avant de se retrouver à nouveau à Portland où elle entame des études supé-rieures. L’idée d’un groupe à elle ne la quitte plus ; elle

passe des petites annonces et décide de se mettre au jazz. Nouveaux départs : Maroc, Nouveau-Mexique et à nouveau la France. Brisa Roché signe en 2005 avec le label Blue Note. Son pre-mier album, ‘The Chase’ est salué par la critique qui voit en elle une future Björk. Elle confirme son statut d’artiste singulière et accomplie avec ‘Takes’ en 2007. Jeune femme à la beauté fantas-matique et à la voix envoû-tante, Brisa Roché est une figure atypique de la scène musicale internationale.

«jEUNE FEmmE à LA BEAUTé FANTAS-mATIqUE ET à LA vOIX ENvOUTANTE.»

BIO(GRAPHIE)

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BRISA ROcHé # OLYmPIc

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Candye Kane est indé-niablement une artiste à part dans le paysage musical américain : forte femme, dans tous les sens du terme, féministe, anticonformiste, apôtre

du ‘bien dans sa peau’, adversaire intraitable de tous les préjugés... Après une rémunératrice car-rière de strip-teaseuse, Candye a les moyens de revenir à ses premiers amours : la musique. L’in-dustrie veut la formater

en chanteuse country, elle la rejette et impose de sa voix puissante un répertoire blues / rythm’ n’blues insolent et bravache qui concilie tradition et modernité.

Avec des albums variés, des concerts généreux, drôles et parfois sulfu-reux, la charismatique Candye s’est attirée tous les honneurs (festi-vals prestigieux, rafales d’Awards en tous genres.. .).

Une artiste authentique, une personnalité forte et extravagante, qui a su s’imposer par des concerts dignes de Fel-lini, véritable happening libérateurs sur vagues de Rock’n’roll, swing, blues, country, tango... balan-cés sans retenue par un gang dont la classe n’a d’égale que les vertus foudroyantes. La dame cultive et brasse les dif-férences et invite à par-tager sa recette du bon-heur à travers un pied de

«ELLE ImPOSE SA vOIX PUISSAN-TE DANS UN REPERTOIRE BLUES.»

BIO(GRAPHIE)

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cANDYE kANE # SALLE PAUL FORT

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Claire Joseph est une jeune artiste toulousaine. Com-positeur et interprète hors du commun, son univers marie avec un bonheur évi-dent ses influences anglo-saxonnes et des textes français écrits par son pia-

niste Yann Guillon. Son style évoque indéniablement celui des chanteuses folks américaines telles que Joni Mitchell, Alanis Morissette ou encore Tori Amos.Claire Joseph a une voix re-marquable tant par son tim-

bre unique que par la sensi-bilité et la chaleur qu’elle offre à son auditoire.On l’écoute comme un cœur qui bat, au rythme de ses désirs, de ses rires et de ses blessures.Claire Joseph est le chaînon

manquant dans l’univers artistique français, une ar-tiste complète à découvrir absolument.Elle n’a rien inventé: ni le folk intimiste auquel on

la réduit un peu vite, ni l’amour, ni la douleur ni la révolte ou le bonheur; mais elle les chante avec un mélange de délicatesse et de force-hargne sans haine, tendresse sans concession, peine sans fausse compas-sion-dont bien des vieux loups de scène pourraient prendre graine. Sa musique et ses mots frappent net sur les cordes des guitares, dansent de noir en blanc au long des touches du piano, projettent sur nos vies et la sienne une lumière qui n’ap-partient qu’à elle-claire, pour tout dire d’un mot.

«ON L’écOUTE cOmmE UN cOEUR qUI BAT, AU RYTHmE DE SES DéSIRS»

BIO(GRAPHIE)

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cLAIRE jOSEPH # TREmPLIN vIS L’AIR

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Née à Londres, j’ai tou-jours eu une grande pas-sion pour la danse et le théatre. Ma première expérience à été une pièce jouée à la radio quand j’avais 7 ans.J’ai aussi étudiée la dance

irlandaise dans un show tv et gagné un titre de championne britanique.A 11 ans, après avoir déménagé en Ecosse, j’ai étudiés d’autres discipli-nes comme la gymnas-

tique et j’ai rejoint une chorale.Depuis mon arrivée dans les Silencers en 1996, j’ai participé à 5 albums : So be it, A night of electric silence, Blood and Rain, Receveiving, Come.

Parallèlement à cette carrière, j’ai continuées mes études de théatre à l’université de Glasgow.

«DEPUIS mON ARRIvéE DANS LES SI-

LENcERS, j’AI PARTIcIPé à 5 ALBUmS.»

BIO(GRAPHIE)

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AURA O’NEIL - THE SILENcERS # cAPELLIA

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j Miss Blue a d’abord exprimé sa passion pour la musique, enfant et adolescente, par des années de pratique de la danse. C’est grâce à cette solide expérience qu’elle a découvert la puissance de la musique à faire bouger le public de manière rythmée et dynamique. Finalement

Miss Blue s’est intéres-sée à l’idée de devenir Dj comme moyen de partager la musique et la danse avec les autres. Lorsqu’elle com-mence à jouer, elle devient vite accro. Ces sept der-nières années elle a parcouru les scènes à travers l’Europe, l’Asie et l’Amérique du

nord grâce à son étonnant doigté, un talent inné pour faire naître une ambiance envoûtante, et un choix éclectique de classiques associés au HipHop, Electro Rock, Electro Tek, Electro House, Drum and Bass, Break Beat et Dancehall. Miss Blue a créé un nouveau mou-

vement musical qu’elle a baptisé Breizh’n’Bass et qui s’est rapidement développé dans sa région d’origine, la Bretagne. La Breizh’n’Bass, qui rassemble la musique traditionnelle bretonne et une large palette d’électro d’avant-garde, pousse jeunes et plus anciens amateurs de

musique, à comprendre les goûts et préférences musi-cales des uns et des autres. Miss Blue a été fascinée par le son du Turntablism depuis qu’elle a entendu son pre-mier petit scratch et, au fur et à mesure, en intègre de plus en plus dans ses sets. Elle adore l’expression du Scratch. Au coeur de sa démarche, Miss Blue aborde la musique à travers la men-talité du Hip-Hop. Elle est tombée amoureuse de cette culture grâce à l’art du Graff et la Breakdance. Miss Blue est un fervent défenseur du principe qui prône un réel état d’esprit Hip-Hop et sa capacité à rassembler plu-

«ELLE ABORDE LA mUSIqUE à TRA-vERS LA mENTALITé DU HIP-HOP.»

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mISS Dj BLUE # FESTIvAL TERRE NEUvAS

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Rita Macedo est née à Salva-dor de Bahia au Brésil. Issue d’une grande famille de musi-ciens populaires, elle a grandi sur les «Trios Eletricos» du Carnaval et sur les routes, ac-compagnant les tournées de ses frères et de son père qui les mènent jusqu’à Toulouse pour le Carnaval en 1986.

Séduite, elle décide alors de revenir y étudier le piano clas-sique au Conservatoire. Elle rencontre dès 1986 Claude Sicre des Fabulous Trobadors qui étudie les ponts entre les troubadours occitans et les repantistes brésiliens. Début 92, il lui donne un accordéon d’étude, elle découvre alors

cet instrument avec lequel elle joue toujours.Françoise Chapuis est née à Valence. Elle est toulousaine depuis 1976. En 1986 elle s’inscrit à l’école de musique. Durant cette même période, elle s’active dans les mou-vements culturels de la ville rose, jusqu’en 1993 elle par-

ticipe au C.O.C.U. (Comité Organisateur du Carnaval Universitaire). C’est là qu’elle rencontre Claude Sicre qui lui fait découvrir le tambourin et la convainc que la musique et l’écriture sont à la portée de ceux qui le désirent.En 1990, toulousaines, Rita et Françoise se rencontrent. Rita

joue alors dans une formation féminine (Batucada). Fran-çoise l’y rejoint pour jouer des congas, caisse claire et surdo. Puis Rita part au Brésil pour revenir un an après et fonder avec Françoise le duo des Femmouzes T en sep-tembre 92. Les Femmouzes T (comme Famous Trobaritz), sont alors les cousines des Fa-bulous Troubadors liant aussi Toulouse et Nordeste brési-lien, elles peuvent être aussi les femm’Uzeste fortement ouvertes aux influences créa-tives de la Compagnie Lubat d’Uzeste en Gascogne. La Mu-sique Populaire Brésilienne et la Chanson Française font bon ménage.

«LES FEmmOUzES T, cOmmE FAmOUS TROBARITz, NAISSENT EN 1992 . »

BIO(GRAPHIE)

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RITA mAcéDO & FRANçOISE cHAPUIS - FEmmOUzES T # THéATRE mUNIcIPAL DE REzé

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-Rodrigo y Gabriela ont réinventé les règles de la guitare acoustique. Redé-finissant constamment leur art, ils atteignent leur but en 2006 lorsque leur créa-tion rencontre un plus large public et une plus grande

considération artistique.Le charme des sons de Rodrigo y Gabriela pro-vient de leur pays natal, le Mexique. A peine adoles-cents, ils se sont rencontrés pour la première fois dans un groupe de trash metal mexicain, Terra Acida. Ils ont bénéficié du succès local

avant que la frustration de ce rock domestique trop borné et l’envie irrésistible de voyager les poussent à partir en Europe. Rodrigo y Gabriela s’ar-rêtent brièvement au Dane-mark et en Espagne avant

de s’installer à Dublin. Ils ne mirent pas longtemps à attirer l’attention d’un label irlandais fraîchement créé, Rubyworks : leur premier opus Re – Foc sort en 2002. Une grande tournée s’ensuit en Irlande et au Royaume-Uni où Rodrigo y Gabriela jouent avec Courtney Pine,

Buena Vista Social Club, Murray Lachan Young et Damien Rice.En 2005, après un véritable succès sur divers festivals en Irlande et au Royaume-Uni, leur première tournée en Europe aux côtés de Da-vid Gray fut couronnée de succès. Il signe ensuite une démo puis une collaboration avec le producteur légen-daire John Leckie (Muse, Ra-diohead, Stone Roses) pour leur nouvel album studio, Rodrigo y Gabriela (2006).Leur nouvel album Live in Japan vient de sortir à l’automne 2008.

«ILS SE SONT RENcONTRéS DANS UN GROUPE DE TRASH méTAL»

BIO(GRAPHIE)

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GABRIELA qUINTERO (RODRIGO Y GABRIELA) # TRANSmUSIcALES

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En tant que chanteuse comme en tant que musicienne, Ilene est sur scène dans son élé-ment. À chaque fois, avec la même générosité, le même rapport direct et chaleureux avec des publics conquis.Cet album «live», 4eme de sa discographie, est donc celui qui illustre le mieux ses talents d’interprète, et par la même, la saveur d’un répertoire hors modes qu’elle écrit et com-pose.Une des sources de son inspi-ration, c’est le métissage - un sujet dont l’actualité n’est pas prête de se terminer. Dans les veines d’Ilene, coule un sacré cocktail de sangs Hindou, In-dien d’Amérique, Africain et même irlandais. Qui dit mieux ?La quête d’un monde plus jus-

te, qui passe obligatoirement par une exigence intérieure, hante aussi ses chansons. Et cette exigence, elle l’applique bien sûr à son art. Ce «live» en témoigne, à travers les ver-sions acoustiques, ramenées à l’essentiel, de ses chansons «Please» et «Victory Song», ou de l’inédit «Adieu», inspiré par le départ de son père.Sans les atours du studio, la musique d’Ilene révèle sa beauté intrinsèque : le charme

d’accords recherchés, la sub-tilité des virages rythmiques… La voix, bien sûr, s’en trouve aussi mise en valeur. Et quelle voix… Tantôt puissante ou

ténue, caressante ou rageuse, Ilene la chanteuse est déjà un phénomène en soi. Il est bon de le redire.Parisienne d’adoption, Ilene est définitivement un person-nage à part dans notre pay-sage musical, et même dans le cercle de ses influences folk-rock. Cette différence essen-tielle, c’est l’expression d’une artiste qui a pris la ferme décision d’être toujours elle-même et toujours libre. La

scène étant le lieu privilégié de cette permanente réin-vention.

«UNE DES SOURcES DE SON INSPIRATION EST LE méTISSAGE, UN SUjET D’AcTUALITé.»

BIO(GRAPHIE)

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ILENE BARNES # SALLE PAUL FORT

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-Jeanne Cherhal, deux nattes à ses débuts, ex-fifi-brinda-cier, n’a pas encore trente ans. Et croque le quotidien, tout court, avec tendresse et humour.Née à Nantes, elle se rêve danseuse. En vain. Elle rate l’entrée à l’Opéra de Paris. Un mal pour un bien : elle se

met au piano et écume les salles de la région nantaise avec des groupes de rocks.Ses influences ? Björk et Tori Amos. Alors qu’elle rédige son mémoire de maîtrise de philo, son répertoire de chanson s’épaissit. En 1999, elle fait la première partie de Georges Moustaki au

TNT de Nantes, connaît un passage remarqué au trem-plin des Vieilles Charrues.En 2002, elle partage l’af-fiche avec Vincent Delerm, puis assure la première partie de Thomas Fer-sen. Le public commence à connaître et apprécier cette artiste pétillante et

pertinente, à la voix remar-quable.En 2004, elle publie son premier album de composi-tions originales Douze fois par an (après un premier album live en solo), réa-lisé par Vincent Segal (M, Bumcello). Jacques Higelin, dont elle a assuré à maintes

reprises la première par-tie, partage, avec elle, un duo sur Je voudrais dormir. Sacrée « Artiste Révélation du public » aux Victoires de la Musique, elle enchaîne les dates, puis s’accorde une pause durant laquelle elle joue dans la pièce Les monologues du vagin. Avec JP Nataf, ex Innocent, elle créé le groupe Red Legs, qui reprend des standards. Ensemble, ils se produisent en première partie, dans les bars, aux quatre coins de la France.Sort en 2006 son troisième album, aux contours « pop » plus insaisissables, L’eau, réalisé par le chanteur Al-

«ARTISTE PéTILLANTE ET PERTI-NENTE à LA vOIX REmARqUABLE.»

BIO(GRAPHIE)

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jEANNE cHERHAL # DIvERS cONcERTS

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Jennifer Ayache est une chanteuse française née le 9 novembre 1983 à Can-nes. Elle est la chanteuse du groupe Superbus.Elle est la fille de Chantal Lauby, membre du groupe comique Les Nuls, et de

Jean Pierre AyachePassionnée de musique dès son plus jeune âge, Jennifer Ayache apprend à jouer de la batterie à 9 ans et de la guitare à 13 ans. Durant son adolescence, elle ap-prend le piano.À 14 ans , émerveillée devant les riffs ska de

Sublime ou No Doubt, elle part seule dans une famille durant quelques mois aux États-Unis pour y apprendre l’anglais et y étudier. Là-bas, elle s’ins-pire encore plus de son idole Gwen Stefani (chan-

teuse de No Doubt) et elle découvre des sons un peu « swing » typiques des années 1950 et des sons des années 1960 tels que les Beach Boys.De retour en France avec de nombreuses composi-tions, elle enregistre des maquettes et cherche à

monter son groupe. Elle le crée après sa rencontre avec Michel Giovannetti par le biais de sa mère. Elle trouve le nom de son grou-pe, Superbus (qui signifie « Superbe », « Orgueilleux ») en feuilletant un dic-tionnaire de latin. Puis sa carrière s’enchaîne par des albums qui connaissent un succès certain : Aéromusi-cal, Pop’n’gum et le dernier en date, Wow. En 2007, elle a fait un duo avec Marc Lavoine, Désolé, que l’on peut entendre sur son dernier album en date, Les duos de Marc.

«ELLE DécOUvRE LES SONS UN PEU SWING TYPIqUES DES ANNéES 1950»

BIO(GRAPHIE)

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jENNIFER AYAcHE (SUPERBUS) # FESTIvAL TERRE NEUvAS

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Juliette est née à Paris. Son grand-père, d’origine kabyle, est arrivé en France dans les années 1920 ; son père, Jacques Noureddine, est saxophoniste. Juliette fait ses débuts à Toulouse ; après avoir passé son adolescence dans une institution religieuse,

puis après s’être essayée à la faculté de lettres, puis de musicologie, elle se produit dans les bars et les restaurants toulousains comme pianiste, interprétant Jacques Brel ou Édith Piaf.En 1985, puis en 1986, elle est présente aux Découvertes du Printemps de Bourges, festi-val représentant de jeunes

talents. En 1989, elle fait la première partie de Gilbert Laffaille au Printemps de Bourges. Après une tournée en Allemagne, elle fait la pre-mière partie de Jean Guidoni en 1990. C’est à cette occa-sion qu’elle rencontre Pierre Philippe. Elle reçoit le grand

prix de la chanson française à Sarrebruck.Elle remporte en 1991 le prix du jury et du public au Trem-plin de la chanson des Hauts-de-Seine, ce qui lui permet de produire elle même son premier album, ¿Que tal?.Elle est nominée au Victoi-res de la musique en 1994 ; et remporte le prix de la

révélation de l’année, à ces mêmes Victoires de la musique, en 1997.Après son cinquième al-bum, Assassins sans couteaux (1998), elle se produit pour la première fois à l’Olympia an 1999 pendant six jours, puis à nouveau pendant deux jours en 2005.Juliette est une des voix les plus originales et importan-tes de la chanson française actuelle.Entre 2004 et 2007, elle a animé une émission de radio sur France Musique, Juliette ou la clef des sons. Chaque samedi, elle y présentait un choix de musiques éclecti-que et subjectif.

«UNE DES vOIX LES PLUS ORIGINALES ET ImPOR-

TANTES DE LA cHANSON FRANcAISE AcTUELLE.»

BIO(GRAPHIE)

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jULIETTE # FêTE DE L’HUmA

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A onze ans, elle étudie le solfège et le piano, chante dans des chorales et apprend l’ac-cordéon par hasard, sur les conseils de ses parents. Alors qu’elle traîne ses basques à l’Université de Nantes, section « Physique », la rupture avec le monde rigide et peu ludique des chiffres et des formules s’amorce déjà dans ce parcours de jeune fille modèle. Là, sa rencontre avec un groupe de rock-ska sera déterminante : tout en continuant ses études, elle intègre une bande de musiciens, qui de-viendra un groupe reconnu du mouvement ska-rock des années 90 : Loskabos. Ce tournant sera décisif, elle enchaîne de nombreux concerts et découvre ce milieu foisonnant d’énergie et d’une créativité étonnante contrastant avec l’ambiance studieuse des amphis univer-sitaires. Karine continue sa formation et obtient un diplôme d’acousticienne, diagonale

professionnelle mêlant l’austérité des chiffres à l’étude des sons ! Mais l’appel de la musique est trop fort, elle se lance à corps perdu dans le métier de musicienne. Elle joue et compose désormais dans d’autres formations, dont Les Vontnuspieds qui mêle musique world, jazz, chanson française et rythmes de l’Océan Indien, avec une belle sensibilité. En même temps, multipliant les répèts’ et les concerts, elle joue de la chanson française avec Les Gueules d’un Jour et de la chanson-rock déjan-tée et loufoque avec Les Z’Ours Roots... Au fil des rencontres, elle élargit sa palette musi-cale, jouant de la musique du Proche-Orient mêlée d’improvisation avec Laoun Sharki, de la chanson d’Europe de l’Est avec Oï Didaï, ap-paraissant avec Orange Blossom (en concert et sur l’album « Everything Must Change » ) et au sein de projets plus pointus dans le milieu de la musique contemporaine, improvisée, de la danse, du théâtre, du conte où ses talents

de musicienne, de choriste et de chanteuse se mêlent à la comédie...L’essentiel pour elle étant les rencontres, les échanges, la créativité et la recherche de nou-veaux matériaux sonores avec l’accordéon.Aujourd’hui elle a rejoint Rue d’la Gouaille, fa-meux combo nantais avec qui elle reprendra la route, jusqu’en Asie où, en 2008, ils donne-ront de nombreux concerts, de Pékin à Ulan

Bator. Elle y apporte une touche très per-sonnelle, des accents musicaux hétéroclites, mêlant la fougue musicale des Balkans aux rythmes orientaux, et dans lequel l’héritage de la chanson française s’enrichit subtilement d’un savoureux mélange des genres.Elle compose aussi de nombreuses mélodies d’inspirations variées et, n’interrompant ja-mais le rythme de sa formation (Prix d’Accor-

déon au Conservatoire de Nantes-La Roche-sur-Yon), enchaine les stages, les Master Class, avec de grands noms de la musique contem-poraine. En 2007, elle illustre lors d’un ciné-concert, l’étrange film de Dreyer « Vampyr » qui l’amène à monter son propre répertoire illus-trant des textes en utilisant presque exclu-sivement la large palette sonore de son ins-

trument, la triturant, la malaxant à l’aide d’un dispositif électro-accoustique.Véritable tête chercheuse, Karine fouine, ex-périmente mais avec une rigueur formelle, une assiduité qui la fera toujours aller un peu plus loin, riche d’influences musicales extrême-ment variées elle n’en finit pas de surprendre.

« E L L E F O U I N E , E X P é R I m E N c E A v E c U N E R I G U E U R F O R m E L L E , U N E A S S I D U I T é . »

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kARINE GERmAIX (RUE D’LA GOUAILLE) # PIANOck’TAIL

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Kate est une femme austra-lienne évident de condam-ner la descente.Peu de temps après l’acqui-sition d’une petite camion-nette, elle a été invitée à se joindre à Vardos (a Mel-

bourne à base de trio et de jouer hongrois roumain musique folklorique tzi-gane) en tant que joueur de contrebasse, la formation dispensée.5 ans et quelques centaines de représentations plus tard, Vardos effectuées

au Festival Fringe d’Édim-bourg en 2003 et partage la scène Spiegeltent avec Terrafolk. Kate a été frappé par le beau, courageux et intellectuelle des hommes slovène musiciens ont été

comparés aux Australiens. Ainsi, après de nombreuses théologique et idéologique des discussions avec ces musiciens, elle a décidé de passer à la Slovénie et être un artiste sophistiqué au lieu d’une Sheila. Considé-rant qu’une grande partie

de l’ex-Yougoslavie a déjà émigré en Australie, il était logique qu’elle devrait réta-blir l’équilibre.Kate a joué et enregistré en Slovénie avec de nombreux jazz, le rock expérimental et de musiciens et a travail-lé avec Terrafolk comme un invité spécial en orchester performances. En Mai 2006 son chant est apparu sur la voie de bonus Terrafolk du CD «Live at Queens Hall». Quelques mois plus tard, elle a commencé à voya-ger avec Terrafolk comme contrebassiste, basika joueur

«ELLE A REjOINT LE GROUPE TERRA-FOLk EN TANT qUE cONTREBASSISTE.»

BIO(GRAPHIE)

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kATE HOSkING (TERRAFOLk) # FESTIvAL LES EScALES

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Kate Nash, jeune artiste du nord de Londres, est le nou-veau phénomène anglais ; Multi instrumentaliste (guitare, synthé, clavier, basse), elle fût découverte à l’instar de Lily Allen via le site communau-taire Myspace. Cette dernière ayant d’ailleurs déclaré que

Kate Nash serait la prochaine grosse découverte anglaise de l’année !Tout comme sa camarade de myspace, Nash se fait connaî-tre par les internautes pour son humour et ses paroles acerbes, et cet accent londonien bien distinctif.Après un 1er single très re-marqué sortie en février 2007

sous le label indé anglais Moshi Moshi, et enchaînant une pe-tite tournée en Angleterre, la jeune Nash fût très vite repé-rée par Fiction Records (label entre autres de Snow Patrol, The Maccabees…) et signée en licence chez Polydor UK.Tout s’enchaîne très vite, son

2ème single Foundations sort le 25 juin et entre directe-ment à la 2ème place des charts anglais et ce pendant 5 semaines consécutives, et ce malgré le fait qu’il ait été au début complètement ignoré par les radios anglaises. (Pour info : BBC Radio 1 et 2 l’ont seulement rentré en playlist la semaine de la sortie).

À la vue de l’immense succès du single, Fiction et Polydor accélèrent la sortie de son al-bum au 6 août 2007.Made of Bricks, écrit et com-posé par Kate Nash se classe directement 1er des charts anglais. Sur cet album, elle s’est entourée du talentueux pro-ducteur anglais Paul Epworth, connu pour ses nombreux suc-cès et collaboration avec des groupes de rock tels que Bloc Party, The Rakes, Babyshambles, The Futurheads…. Elle reçoit directement le soutien d’im-portantes publications telles que VOGUE ou le NME.Prince la juge «énormément talentueuse, comme aucune autre artiste anglaise».

«ELLE FûT DécOUvERTE vIA LE SITE cOmmUNAUTAIRE mYSPAcE.»

BIO(GRAPHIE)

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kATE NASH # TRANSmUSIcALES

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Keny Arkana, née à Marseille en 1983, est une rappeuse française engagée. Elle mi-lite activement des causes proches de la philosophie altermondialiste, ne s’appro-chant d’aucun parti politique, avec « La Rage Du Peuple », collectif créé en 2004 à

Noailles, quartier du centre ville de la cité phocéenne.D’origine argentine, elle vit une tumultueuse enfance, pla-cée dans de nombreux foyers dont elle fuguera à plusieurs reprises.Keny Arkana commence à rapper ses premiers textes dès l’âge de 13 ans. Sa fraî-cheur et son flow rugueux vont rapidement l’amener à faire de la scène.État Major, initialement com-

posé de 13 personnes sera un tremplin pour elle. Ce groupe lui permet de se faire connaî-tre du public marseillais.En solo depuis 2003, et après quelques apparitions sur divers projets, Keny Arkana sort son premier maxi vinyle, «Le Missile est Lancé».Elle

fonde par ailleurs avec son manager LTK sa propre struc-ture de production nommée La Callita.Son premier gros projet réali-sé en solo est une street-tape CD intitulée L’Esquisse, qui contient des titres qui font d’elle une des valeurs mon-tantes du rap féminin. Celle qui se définit comme « une anonyme dans la masse » et se refuse à faire parler d’elle autrement que dans son mes-

sage et sa musique, retrans-crit, à travers ses écrits, son mal de vivre, et aussi sa vision du monde ce qui lui vaudra d’être assimilée aux mouvan-ces altermondialiste, antica-pitaliste, révolutionnaire du rap français.Son premier album sort en octobre 2006, sous le titre «Entre Ciment Et Belle Étoi-le», chez Because Music. Cet album retrace ses nombreux combats, notamment celui contre la globalisation capi-taliste et contre l’oppres-sion de l’état et du racisme institutionnel, mais aussi les moments difficiles de son enfance. Elle privilégie le militantisme, se définissant comme citoyenne avant d’être artiste.

«ELLE mILITE POUR DES cAUSES PROcHES DE LA PHILOSOPHIE ALTERmONDIALISTE.»

BIO(GRAPHIE)

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kENY ARkANA # OLYmPIc

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Il y a deux ans « Les Vedettes » était une peformance dansée de dix mi-nutes. Une quinzaine de femmes, ar-tistes bruxelloises … plasticiennes, danseuses, comédiennes, stylistes … réunies pour former un vrai défilé …. De fausses-majorettes !Le projet à très vite pris son envol

et la performance est devenue un spectacle plus théatralisé d’une quarantaine de minutes … joué en Belgique et en France durant près de 2 ans déjà. Invitées le soir du 4 octobre 2006 à

monter sur la scène du Cirque Royal lors d’un concert du chanteur fran-çais Philippe Katerine, pour faire une apparition chorégraphiée sur le tube « Louxor J’adore » Les Vedettes se retrouvent un an plus tard à enregistrer leur premier album.

Durant cette année, elles auront gagné le concours de « La première partie de Katerine à l’Olympia » où elles ont joué leur spectacle sur scène.Elles ont suivi le chanteur dans

l’émission française « Staracademy » ainsi qu’à sont concert au Zenith.Elles ont participé au prime-time de l’Eurovision en France avec une chanson écrite par Katerine.Elles ont participé à plusieurs émis-sions télévisées pour parler de leur spectacle et de leur rencontre avec toute l’équipe Katerine (Canal+ , ART Belgique, RTBF dans « Hep Taxi ! »). Elles on tourné cet été avec le chanteur … en chantant , dan-sant … et ont eu leur « quart d’heure Vedettes » pour « tes-ter « les premières chansons de leur propre répertoire !

«LA PERFORmANcE EST DEvENUE UN SPEcTAcLE PLUS THéATRALISé.»

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LES vEDETTES # TRANSmUSIcALES

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) En fait tout à commencé lorsque mon papa m’a ammené à une de ses ré-pètes du mercredi soir à Trempo quand j’avais 7 ans environ parce que grâce à lui et à ma grande soeur j’ai

découvert le monde du Rock avec Nirvana, Blur, prefab sprout etc...Quand j’ai débarqué au collège j’ai fait une pho-bie scolaire qui a duré un an et demi environ et la musique et l’hôpital m’ont aidé à m’en sortir et à ne

plus avoir peur de vivre. Et arrivée au lycée, Lé-nore est venu me trouver parce qu’ils n’avaient pas de bassiste à l’époque et ma réputation était jus-tement que je faisais de

la basse au chmus depuis 3 mois ( ce qui est trés drôle en fait, puisque dés que je suis rentrée dans Lénore, j’ai appris à jouer un peu près correcte-ment)Je suis donc entrée dans le groupe le 24 décemnbre 2006 ce qui

fut une grande joie mais également un immense défit car j’ai dû apprendre une vingtaine de chansons puisque deux semaines aprés nous avions un concert et qu’ils m’avaient demandé d’être prête!!! Et mon père était plus angoissé que moi lors de ma première prestation...Par conséquent, Lénore tourne depuis deux ans et on conte bien le faire toute notre vie... ce grou-pe représente ma vie aujourd’hui...

«DèS qUE jE SUIS RENTRéE DANS LéNO-

RE, j’AI APPRIS à jOUER cORREcTEmENT»

BIO(GRAPHIE)

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LUcIE (LéNORE) # OLYmPIc

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Colères et ruptures, ratages et impostures fracassées au son d’une voix rauque, et rock, qui parfois épouse des langueurs sensuelles : les mon-des de Mademoiselle K tien-nent autant de la gifle bien donnée, que de la caresse du bout des lèvres.On l’imaginerait clope au bec

et mousse à la main. Faux : Mademoiselle K ne fume pas, boit de la verveine, et en-quille sur un chocolat. « C’est pas rock’n’roll » et elle s’en fout « grave ».Petite, elle voulait être chef d’orchestre, ou, pourquoi pas, cavalière. A quatre ans, un guitariste lui met le pied à l’étrier – musical. Premier pas dans la musique à 5 ans, quand sa mère l’inscrit en éveil musical. Elle veut alors faire du piano comme la plupart des gamins mais « ça coûtait trop cher et on avait pas la place alors j’ai fait de la flûte à bec! ».Puis parcours classique, conservatoire, solfège, gammes et tutti quanti, mais surtout, la rencontre dans son lycée du XIIIème arron-dissement avec une prof de

musique qui sera son mentor: Annick Chartreux.Elle passe un prix de guitare classique, traîne côté Pigalle dans les boutiques d’instruments et découvre la guitare élec-trique, via « une copine qui en avait gagné une à un concours Ouï FM ». Bac en poche, Mademoiselle K s’inscrit en

musicologie, commence à mettre son premier texte en musique et donc, se met à chanter. Puis elle se voit devenir prof, chante, tou-jours, et rate son Capes. Le déclic ! « C’est là que j’ai écrit Ca sent l’été, et que je me suis coupé les cheveux ! ». Ni volte face, ni réaction post-traumatique, mais poursuite assurée d’un chemin déjà bien entamé : rencontres avec des musiciens, lâchages et nouveaux horizons, scènes à 50 euros la soirée « mais le plus souvent à rien du tout », cours de chant et achat de sa 1ère guitare électrique, « une Fender Telecaster. après j’ai eu Melody (Melody Maker) et là j’ai Jeanne (Jazz Master), de toutes les électriques que j’ai eu, c’est la plus tout: la plus vieille, la plus belle, la

plus destroy, celle qui sonne le mieux. du coup, elle a bien voulu poser avec moi pour mon 1er album.»Les maquettes se succèdent et les textes s’empilent. Rock, toujours : « J’ai besoin de cette énergie, de cette intensité; et de travailler à plusieurs. J’ai beau écrire

les textes et la musique, ce n’est jamais qu’une ossature; la chair, les muscles le sang qui circule et qui donne l’énergie, on l’a fait à 4: Peter (guitariste-héro), Pilou (bas-siste à forte pilosité) et Da-vid (batteur multivitaminé). Avant l’enregistrement de l’album, on a vraiment passé, en plus de tous les concerts qu’on avait fait avant, 3 mois à revoir toutes les chansons de A à Z, à remanier parfois entièrement les structures voir même les fondements de certaines chansons; 3 mois à se voir 5 jours sur 7; 3 mois à parfois se friter mécham-ment (surtout entre guita-ristes); 3 mois à finalement s’apprécier de plus en plus

«jE vOULAIS FAIRE DU PIANO, cOmmE TOUS LES GAmINS, mAIS cA cOUTAIT TROP cHER, ALORS j’AI FAIT DE LA FLûTE à BEc.»

BIO(GRAPHIE)

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mADEmOISELLE k # OLYmPIc

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«Coucou ! voilà ma courte bio-graphie.Père musicien en grand ama-teur, il me fait chanter sur ses chansons étant môme. Tout commence là.3 ans de piano entre 7 et 10 ans. Expérience peu convain-cante, le solfège me fait hor-

reur (trop mathématique pour moi), je ne retouche plus à un piano jusqu’à mon arrivée au lycée. J’ai toujours aimé chanter, mais là encore, 1 an de chorale au collège (et 2 séances de cours de chants l’année der-nière) me laissent soupçonner une certaine antipathie éter-nelle envers les cours artis-tiques.17 ans : mon père m’offre une guitare, suite à une amourette avec un tahitien guitariste qui me donne goût à l’instrument.

J’apprends à en jouer en m’en-traînant sur des chansons de Renaud.Terminale : un copain m’écrit un texte que je mets en musique à la guitare : 1ère compo. Puis il me donne un second texte que je compose cette fois-ci au piano.

Après le Bac, je tente des études de cinéma à Paris, que j’arrête 3 mois plus tard pour faire de la musique, estimant suffisant pour cela 2 compos à mon actif, une guitare loin d’être maîtrisée et une voie assez puissante pour chanter du Renaud.Je rentre donc chez moi où j’écris ma première chanson lors des évènements en Irak, Pantins ! composée à la guitare et à l’harmonica. Puis suivent quelques autres chansons pen-

chées sur l’actualité, infatigable engagement de la jeunesse, fatigué 3 mois plus tard avec l’écriture de ma première peti-te histoire : Manouche. C’est en mai, je crois, qu’on se présente, ma guitare et moi, dans un ca-fé-concert de Blois pour faire notre première scène. Je com-plète mon maigre répertoire personnel par des reprises et des chansons de mon père. Les réactions sont bonnes, je conti-nue. D’autres compositions se succèdent, d’autres bars, pas-sage radio, festivals...Septembre 2003, je reprends mes études : fac d’histoire à Orléans.Mars 2004 : Je participe aux rencontres d’Astaffort en tant qu’auteur. J’y rencontre Jean-François Delfour qui me pro-pose de faire un CD.Mai 2004 : je fais mon CD, j’ai

«EXPéRIENcE PEU cONvAINcANTE, LE SOLFèGE mE FAIT HORREUR.»

BIO(GRAPHIE)

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mARIE cHERRIER # DIvERS cONcERTS

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Du rock brut de décoffrage, du punk garage forgé à coup de butoir, d’accords sauvages, et de mots qui choquent : dès leurs débuts dans les années 1990, les filles déjantés, rigolotes, festives, alcooliques et impertinentes du Maximum Kouette déversent leur rage non dénuée d’humour sur la

scène rock alternative.L’aventure du groupe à l’origine 100% féminin commence dans l’Est Parisien. Sister Moon, Coxs, Gen et Paka, quatre girls fans du Clash, des Stooges et de Bob Marley, massacrent gentiment le public de leurs guitares, basses, batteries et chants à haute teneur garantie en vitamine. Si les filles oc-

cupent le devant de la scène et les instruments piliers, quatre garçons les rejoignent bientôt, par soucis de parité : Ben à la trompette, Marc au saxo, T. Bone au trom-bone et David à la batterie. Les huit tricotent alors une « couette », patchwork d’envolées « reggae » ou sauce « mexicaine », qui n’en

conserve pas moins sa marque de fabrique, sur le fil du rasoir : du « runk » (mélange de punk et de rock). Mais le chemin des bars et le circuit Life Live in the bar, les mène parfois tout droit aux studios d’en-registrement.En 2000, ils enregistrent Lundi je m’y mets, leur premier album, corrosif, subversif et pied-de-nez

à la société de consommation : un subtil mélange de musique douce pour faire pleurer les méchants » et de « musique brusque pour énerver les gentils ». Dans la même veine, suit le deuxième album stu-dio Moi, j’aime ça sorti en 2002, puis un live, One Two Très Fort.En 2006, paraît leur dernier album : Et alors ? produit par l’Anglais Clive Martin, déjà remarqué aux côtés des Négresses Vertes, des Silmarils ou des Wampas. Cet ul-time opus marque l’authenticité et une maturité, qui traduit bien le punch du groupe sur scène. En un peu plus de dix ans, Le Maximum Kouette a su s’imposer comme un groupe incontournable de l’under-ground rock à la française.

«DES FILLES DéjANTéES, RIGOLO-TES, FESTIvES ET ImPERTINENTES.»

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mAXImUm kOUETTE # mAROqUINERIE

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Issue d’une famille de musiciens parmi lesquels figure Don Cherry, célèbre trompettiste de jazz, Neneh Cherry se tourne elle aussi vers la musique mais trouve sa voie dans

le hip-hop. Elle abandonne l’école relativement tôt et rejoint le groupe The Cherries à Londres. Elle s’associe ensuite avec d’autres groupes comme les New Age Steppers et les Rip Rig & Panic avant d’entamer sa carrière solo.

Son premier titre est une chanson engagée contre la guerre dans les îles Falkland, ‘Stop the War’. La collaboration avec son compagnon, Cameron Mc Vey, la pousse vers le

succès et ‘Raw like Sushi’ voit le jour. C’est avec la chanson ‘Buffalo Stance’ que Neneh Cherry sera propulsée au sommet des classements anglais et américains. Des problèmes de santé l’obligent à ralen-tir son activité jusqu’en

1992. Elle repart avec brio en signant le très connu duo avec Youssou N’Dour, ‘Seven Seconds’. Après une brillante carrière solo, Neneh Cherry renoue fina-lement avec ses débuts

en créant le groupe cirKus en 2006 qui comprend, entre autres, Cameron Mc Vey, devenu son mari. Le groupe concrétisera son premier album ‘Laylow’ par des tournées en Eu-rope et au Canada durant

« N E N E H c H E R R Y S E T O U R N E v E R S L A m U S I -q U E E T T R O U v E S A v O I E D A N S L E H I P - H O P »

BIO(GRAPHIE)

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NENEH cHERRY (cIRkUS) # FESTIvAL ART ROck

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I-Olivia avait à peine 15 ans lorsque avec ses amis de Co-migne (un tout petit village de l’Aude), elle plonge dans la musique et forme avec eux le groupe «Five». Ensemble, ils assurent des premières parties et gagnent même des trem-plins.

Pour «Five», elle prête sa voix à du rock pur et dur, tel que celui des Cranberries ou de Lenny Kravitz. Olivia travaille le chant plus sérieusement et elle participe à un tandem qui fait la part belle à la chanson française.Avec Franck Marti (du groupe les Croquants), originaire de Narbonne, accordéoniste et

guitariste, ils présentent un ré-pertoire réaliste dans les bars et autres lieux accueillants.En 2001, Olivia Ruiz participe à la première Star Academy. Elle profite ensuite de ce tremplin pour entrer dans une maison de disque, mais tente de se détacher de cette

image. Pour son premier Single Paris elle contacte le chanteur Chet qui lui écrit 2 titres. Pour son album, elle contacte Nery (ex VRP), Prohom, Juliette, ou encore le groupe Weepers Circus, qui lui écrira la chanson Petite fable et l’invitera à des duos sur trois de ses propres albums (en particulier le mor-ceau La Renarde).

Pour son second album, elle renouvelle l’expérience en contactant Christian Olivier des Têtes Raides, Christophe Mali de Tryo, Mathias Malzieu de Dionysos, de nouveau Néry, Chet, Juliette. En 2006, elle est nominée pour les Victoires de la musique 2006 dans la catégorie Album chanson/variété de l’année..Lors des Victoires de la mu-sique 2007, elle remporte la victoire du Groupe ou artiste(s) interprète(s) féminine(s) de l’année et la victoire du Spec-tacle musical de l’année.En 2007, l’album «La femme chocolat» est certifié disque de diamant avec plus de 1 000 000 exemplaires vendus.

«POUR SON PREmIER SINGLE, ELLE cONTAcTE LE cHANTEUR cHET»

BIO(GRAPHIE)

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OLIvIA RUIz # FESTIvAL DES vIEILLES cHARRUES

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Pauline Croze a des études de dessin et de peinture derrière elle, ainsi que 10 ans de guitare et de chant. Auteur composi-teur, c’est avec Quito, l’un des deux membres du groupe Se-nor Holmes, qu’elle commence à écrire et à enregistrer en 2001 des chansons très per-sonnelles.

Entre l’été 2001 et l’été 2002, Pauline se produit sur scène avec son timbre de voix si particulier, et sera retenue sur la compilation du festival Pre-mière scène d’Epinay (parue au printemps 2003).En 2002, elle rencontre Anne Claverie qui lui propose de la produire, et par l’intermé-

diaire de qui débute la colla-boration avec Edith Fambuena (ex Valentins, ayant travaillé avec Bashung, Daho, Fontaine, Tété…). Edith met en forme les chansons de Pauline, et el-les enregistrent en septembre 2003 un CD de pré-produc-tions d’une dizaine de titres.Après avoir assuré les pre-

mières parties d’artistes confir-més comme M, Tryo, Miossec et Cali en 2004, son premier album éponyme est dans les bacs depuis février 2005. Un premier opus, auquel ont participé des artistes, comme Doriand et Mickael Furnon de Mickey 3D.Sélectionnée pour le Prix

Constantin 2005, Pauline Croze est une artiste prometteuse. Ses influences musicales sont plus proches de la musique noire et anglo-saxonne. Elle avoue porter une admiration sans bornes pour Led Zeppe-lin, Jimi Hendrix ou encore Ke-ziah Jones. Un bruit qui court, son second album studio dis-ponible dès le 12 novembre 2007, prend le contre pied du premier laissant plus de place à la musique. Celle qui décrit ses chansons comme Des larmes de sons n’a pas fini de faire parler d’elle, ni de faire des concerts.

«PAULINE cROzE A DES éTUDES DE DES-SIN ET DE PEINTURE DERRIèRE ELLE.»

BIO(GRAPHIE)

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PAULINE cROzE # OLYmPIc

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Elle se pose là, comme une évidence, comme si elle avait toujours existé. Rose a vingt huit ans. Elle a passé vingt sept et demi à chercher sa voix et à pré-sent, sur douze titres qui sonnent comme des poé-

sies, elle nous raconte des chansons, fredonne des histoires.«Depuis toujours», aussi loin qu’elle s’en sou-vienne, elle écrit, sur de petits carnets Moleskine, et gratte des couplets qu’elle pose ensuite sur sa guitare.

Elle a su se faire attendre, la jolie niçoise aux yeux bleu gris. Pas sûre d’être assez douée pour monter sur scène, pas sûre non plus que sa simple estrade d’institutrice lui suffirait, c’est d’une rupture que

se libère le désir de faire partager ses mots.Rose nous parle d’amour et de ses deux pendants, espoir et désillusion, avec une simplicité attachante. Un univers drôle, grinçant, obscur parfois. Fidèle au personnage, finalement.Rose aime Janis Joplin et

Bob Dylan. De Janis, elle a la folie passagère et le ti-tre du film de Mark Rydell dont elle a fait son nom de scène. De Bob, la poé-sie, sur fond de guitare folk et d’harmonica.Si Rose peut écrire des chansons, en quelques heures, et des rimes aussi belles et légères que «Si je me brise aussi souvent pour une bise un mauvais vent», c’est tout sauf un hasard. Une histoire de moment, de maturation. Et le temps s’accélère.

«ELLE NOUS RAcONTE DES cHAN-SONS, FREDONNE DES HISTOIRES.»

BIO(GRAPHIE)

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ROSE kEREN # LA cARRIèRE

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O- Drôle de famille que ces sept

là ! Comme on peut le lire sur son site officiel, le clan Moriarty serait né en 1925 entre deux berceaux : celui du “Napoléon du crime” qui parcourt les romans d’Arthur Conan Doyle et celui de Dean Moriarty, le héros baroudeur de “Sur la route” de Jack Ke-rouac.Rosemary au chant, Charles et Arthur aux guitares, Tho-mas à l’harmonica, Stephan à la contrebasse, vincent (ou éric) à la batterie et Gilbert le petit dernier aux allures de chamois empaillé.Formé en 1995 autour de six musiciens d’origines aussi diverses que les Etats Unis,

la France, le Vietnam ou la Suisse, le groupe Moriarty s’inspire du blues américain des années 30.Leur concert est comme un carnet de voyage nous en-trainant du blues au folk, en passant par le country. Des

accents cajuns enflammés pour la balade de l’homme blanc (”Whiteman’s balad”), du jazz pour (”song for Be-ryl”) ou un blues acoustique lancinant pour supplier Jimmy de rentrer chez lui (”Jimmy”). Le tout au son de la voix en-voutante de Rosemary, diva sortie d’un autre siècle, de

l’harmonica ou des guitares sèches.Chaque chanson a été écrite comme une lettre perdue, l’album étant un recueil de ces petites tranches de vie (la pochette faisant d’ailleurs référence à un bureau de

poste restante américain).On comprend pourquoi l’énergie et la créativité du groupe ont conquis les célèbres Jérome Deschamps et Macha Makeïeff dont les noms figurent sur la pochette de l’opus.

«cOmmE UN cARNET DE vOYAGE NOUS ENTRAINANT DU BLUES AU FOLk.»

BIO(GRAPHIE)

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ROSEmARY (mORIARTY) # OLYmPIc

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#Comment donner un concert intimiste devant une foule de gens ? Sandi Thom a su répondre à cette question : grâce à Internet! Dans sa chambre, aidée d’une simple webcam, elle a calmement filmé 21 ses-

sions avec ses musiciens et les a diffusées... en direct s’il-vous-plaît! Le premier soir, il y avait 70 spectateurs en ligne, la semaine suivante, plus de 600, et au final 70 000. Voilà qu’à la suite des Arctic Monkeys, elle est en passe de devenir le nou-veau cyber-phénomène. Une

habitude qui n’est pas près de se perdre...D’origine irlando-écossaise, elle grandit dans un petit village de pêcheurs prêt d’Aberdeen et se met à écrire des chansons dès l’âge de onze ans. Une fois

ses études terminées, elle joue quelques temps dans les bars de la bouillonante cité de Glasgow avant de se retirer dans son appar-tement et d’enregistrer son historique performance.Sa musique contient des influences celtiques, mais évite les clichés radiopho-

niques des Corrs. Influencée par le folk américain, la pop anglaise et la soul, elle laisse la part belle à l’instrumen-tation et aux très agréables performances vocales de la chanteuse. On songe à Tori Amos, Sinead O’ Connor...

bref, à plusieurs générations de chanteuses anticonfor-mistes qui sont su donner une portée universelle à leur oeuvre.Grâce au label Sony (qui a été le plus prompt à se précipiter sur elle!), on peut

« D ’ O R I G I N E I R L A N D O - é c O S S A I S E , E L L E GRANDIT DANS UN vILLAGE DE PêcHEURS.»

BIO(GRAPHIE)

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SANDI THOm # TOURNéE RIcARD LIvEmUSIc

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Sheryfa Luna est la grande gagnante de l’édition 2007 de l’émission Popstars. Pas-sionnée par le hip-hop et le R&B, elle est une grande fan de la rappeuse Diam’s, qu’elle écoute parallè-lement à sa formation d’apprentie coiffeuse. Ori-

ginaire d’un quartier popu-laire d’Evreux, elle débute très tôt dans le milieu et fait quelques représenta-tions à la suite desquelles elle se fait notamment remarquer par le rappeur Calbo d’Ärsenik. Suivent quelques maquettes, mais la concrétisation de son rêve est encore loin.

Une famille bercée par la musiqueSheryfa, métisse kabyle et française, doit son goût et son talent pour la musique à sa famille composée de musiciens. Avec 8 frères et soeurs, dont 6 chanteurs, la jeune fille se construit un

bagage musical en admi-rant le travail de ses aînés dans le studio familial. Très tôt, cette fan de variété française va vite plonger dans le hip-hop et le R&B à l’écoute d’artistes tels Lauryn Hill et Boyz II Men. La demoiselle de 18 ans a pour l’habitude de regar-der les programmes de

télé-crochet, jusqu’au jour où elle se décide vraiment à se jeter à l’eau et à vivre pleinement son rêve.Grande gagnante de l’aven-ture Popstars, Sheryfa ajoute Luna pour son nom de scène, en clin d’oeil à la dernière arrivée de sa fa-mille. En novembre 2007, la chanteuse livre enfin son tout premier album épo-nyme, dans lequel figure le premier single, Quel-que part. Ont collaboré notamment à cet opus Sulee B Wax (Wallen...), Kery James, Youssoupha, ou encore Laure Milan pour l’écriture.

«ELLE SE cONSTRUIT UN BAGAGE mUSIcAL EN ADmIRANT LE TRAvAIL DE SES AINéS.»

BIO(GRAPHIE)

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SHERYFA LUNA # OLYmPIc

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Shy’m, de son vrai nom Tamara Marthe, est une chanteuse française née à Trappes en ré-gion parisienne d’une mère mé-tropolitaine et d’un père mar-tiniquais, elle se passionne très tôt pour la danse et la musique. Baignée dans la musique par sa famille, elle prend des cours

de danse où elle s’investit avec une telle ferveur qu’on la sur-nomme « Spice Tam ».En parallèle à ses études, elle enregistre des maquettes grâ-ce à son professeur de Danse, Olav Sibi, et Ahmed Meflah qui promeuvent son talent auprès de nombreuses maisons de dis-ques à Paris, produisant même des clips de démonstration

pour argumenter des multiples talents de leur jeune trouvaille. C’est à ce moment que K-Maro découvre ses maquettes, et la rappelle quelques jours plus tard, tombé sous le charme de la belle.Shy’m le rejoint finalement vers ses studios de Montréal pour

un essai qui s’avère concluant. Elle va enregistrer d’abord un featuring avec lui, le single qui a lancé le deuxième album de K-Maro, Histoire de Luv.Elle y retourne ensuite pour enregistrer son propre album, dont le premier single aux so-norités Pop, Femme de couleur rencontre un succès.Dans son 1er album Mes Fan-

taisies, sorti fin octobre 2006 en France, Shy’m y aborde des thèmes variés, comme l’amour qui est assez récurrent, mais aussi de son métissage ou en-core sa réussite.Son pseudo Shy’m provient d’une part de shy qui signifie timide en anglais, et d’autre part du M de Martinique. Ti-mide, elle l’est, mais beaucoup moins qu’auparavant où la sim-ple idée de monter sur scène la tétanisait.Mais sa passion lui permet aujourd’hui de surmonter sa timidité et elle prend désor-mais «plaisir à se jeter dans la foule».

«BAIGNéE DANS LA mUSIqUE PAR SA FA-mILLE, ELLE PREND DES cOURS DE DANSE»

BIO(GRAPHIE)

Page 81: Belles de Scènes #1

SHY’m # TOURNéE RIcARD LIvEmUSIc

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La folk, c’est le blues du blanc. Il y a quelque chose de très mélancolique. On est sur la route à regarder derrière. La soul c’est l’espoir. Il y a une force, une solidité. C’est une autre voix, je ne vais pas la chercher au même endroit

du fond de mes tripes.Et toujours cette guitare rivée à son ventre. On la suit, cette guitare. De chanson en chanson. Elle est un repère tout près de la voix. Quel échange mystérieux s’opère entre le ventre et la guitare, les deux caisses de réso-nance ?

Il semble que la paix soit aussi un repère, de ces bornes qu’on perd souvent de vue, mais retrouve, car peu à peu on sait vivre dans la convic-tion qu’elles sont là, pas loin, nous accompagnent. La paix émaille ses textes. Skye

revient toujours s’appuyer dessus pour dire l’amour et son épanouissement.L’appaloosa galope dans la poussière. Le petit cheval reste obstinément sauvage, indomptable.L’état brut ne signifie pas la liberté. Je voulais quelque chose comme ça. Pas for-

cément libre mais brut, sau-vage.Résister à toutes les tenta-tives d’apprivoisement est une nécessité pour l’artiste. Il s’agit d’être à la hauteur de sa propre exigence et de ne pas mettre en danger l’authenticité, le lien avec le territoire, tout au fond, la terre dont on est fait, le fil d’eau claire qui la nourrit.Ici Skye et sa guitare vibrent comme sur la scène. Ici elle est entourée par une équipe de rêve, un petit cercle un écrin.

Extrait d’un texte de Denis Lachaud

«LA FOLk c’EST LE BLUES DU BLANc, qUELqUE cHOSE DE méLANcOLIqUE»

BIO(GRAPHIE)

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SkYE # TREmPLIN vIS L’AIR

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Le verbe et l’esprit rock libérés... Accompa-gnée de sa guitare, elle a l’art de créer dès les premières mesures une proximité avec le public. Thérèse pose un regard tendre sur le quotidien

en livrant une chanson française aux accents réalistes et déroutants de sincérité. Poing levé et plume aiguisée, elle aime le verbe et l’esprit rock, elle est un peu la «TNT» de la poésie chan-

tée. Il ne reste plus qu’à se laisser emporter par la mélodie pour mieux se reconnaître dans les paroles. L’authenticité de Thérèse offre alors une plaisir tout simple : voir la vie d’une autre manière

La verve tonique et le punch coloré Qu’elle brandisse sa guitare ou qu’elle la caresse à l’ar-chet, on sent la même énergie dans la provoc comme dans la ten-dresse «La musique, c’est

vivant, assure-t-elle. Il faut à chaque fois qu’il se passe quelque chose.» Ses airs restent dans la tête et reviennent sans crier gare, ses mots ont la simplicité d’un quotidien vécu, mais avec une telle authenticité, une telle force caricaturale qu’ils dessinent des fresques colorées et truculentes. Sur scène, sincère, spon-tanée, elle interpelle son public, improvise te ramasse la mise.

«ON SENT UNE éNERGIE DANS LA PRO-

vOc cOmmE DANS LA TENDRESSE»

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THéRèSE # DIvERS cONcERTS

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Titi Zaro est né de la ren-contre musicale de deux univers, portés par deux musiciennes issues de familles d’artistes. Coline Linder, auteur/composi-teur donne depuis plu-sieurs années des concerts

solo. Elle est intervenue munie de sa scie musi-cale lors de concerts de LO’JO, Sayag Jazz Machine et également sur l’album Bazar Savant de LO’JO ainsi que sur l’album Tout ce qui brille du groupe LéoParleur. Elle articule ses textes autour de la

féminité, de la mémoire du corps, des tranches de vies. Oriane Lacaille est chanteuse, percussionniste et joue du clavier dans le groupe de René Lacaille depuis 7 ans. Elle apporte au groupe Titi Zaro des

rythmes créoles au triangle et au kayanm, ainsi que des textes en créole réu-nionnais. Oriane est égale-ment intervenue lors de concerts d’artistes tel que Bob Brozman, Debashish Bhattacharya (grand musi-cien de slide guitare indien), André Minvielle,

LO’JO, (...) La diversité des expériences de chacune apporte à leur musique une couleur particulière. Les textes de Coline étant au coeur de leur répertoire, les deux Titi Zaro com-posent et arrangent les

morceaux à la recherche de cette couleur qui leur est propre. Leurs racines s’emmêlent, leurs deux cultures (sepharade/réu-nionnaise) parlent de la mémoire des peuples, du besoin de voyager par les

«LES TEXTES S’ARTIcULENT AUTOUR DE LA FémINITé, DE LA mémOIRE DU cORPS, DES TRANcHES DE vIES»

BIO(GRAPHIE)

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TITI zARO # PLAcE DE LA BOURSE

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Yael Naim naît en 1978, à Paris, de parents tunisiens. Elle gran-dit à Ramat Hacharon, une pe-tite ville non loin de Tel Aviv. Très jeune, elle se passionne pour la musique et découvre son amour pour le piano. La jeune femme passe dix ans au conservatoire pour se per-

fectionner en piano classique. Passionnée par la musique clas-sique, c’est le film Amadeus qui lui met en tête le désir un jour de composer une sym-phonie. Mais son amour pour le classique se fait très vite rejoindre, à l’âge de 12 ans, par la découverte de groupes comme les Beatles ou encore les grandes voix telles Aretha Franklin, qui l’incitent à chanter. A 18 ans, Yael prend définiti-

vement les devants et écrit ses propres textes.A Tel Aviv, elle rencontre fina-lement dans un club de jazz les musiciens de Winston Marsalis avec qui elle assure quelques concerts. Après deux années passées au service militaire, obligatoire pour les femmes

en Israël, elle monte le groupe The Anti Collision. En 2000, sa carrière prend de l’élan alors qu’elle se fait inviter à Paris pour un concert de charité. Elle s’y fait remarquer par des producteurs et signe chez EMI. Finalement, Elie Chouraqui la contacte pour jouer le rôle de Miriam, la soeur de Moïse, dans Les 10 commandements. Yael Naim enchaîne ensuite avec la bande originale du film Harri-

son’s Flower.En 2001, Yael Naim signe son premier album, In a Man’s Womb, qui est une déception pour elle. Par la suite, la chan-teuse collabore pour une autre comédie musicale baptisée Gladiator. En 2004, sa ren-contre avec le batteur David Donatien (Bernard Lavilliers, Malia) est un tournant pour sa carrière. Durant deux ans, ils travaillent ensemble sur un album éponyme, qui propose des morceaux en Anglais et en Hébreux, dans un style entre folk et pop. Le premier single, New Soul, et le projet arri-vent dans les bacs en octobre 2007.

«S’ENSUIT UNE TOURNéE qUI vIENDRA cONqUéRIR LES IRRéDUcTIBLES.»

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Blonde et belge, Zoé est une jeune chanteuse qu’il faut découvrir !A l’âge de 8 ans, elle sort son premier 45 Tours intitulé « Girouette Le Caméléon ». En 1998, elle remporte la Bien-

nale de la chanson fran-çaise. Puis elle enchaîne les concerts, que ce soit en tant que choriste de Maurane ou première partie de nombreux artistes comme Juliette ou Jacques Higelin. Avec l’équipe d’Abacaba, elle fait de nombreuses

scènes à Paris, jusqu’à un soir ou elle est décou-verte par Europacorp, la nouvelle société de pro-duction de Luc Besson.Son premier album est plein de sonorités variées et de textes incisifs sur

la vie de couple (Amant comptant avec Arno), le désir de vouloir tout être (Je veux tout) , La jalou-sie, l’industrie musicale (A vendre) et l’angoisse quand « Tout va bien »…Mais elle sait aussi émou-voir sur une reprise de Xavier Lacouture sur la

menace qui pèse sur no-tre planète (J’ai mal à la terre), un hommage à sa mère et Associations (avec un texte de Mar-garete Jennes) ou une vie est résumée en une suite de mots.

Sur scène, son énergie est contagieuse. La scène est son élément. Le public est sous le charme de cette femme qui vit plei-nement ses chansons, et qui n’hésite pas à faire participer les specta-

«ELLE N’HéSITE PAS à FAIRE PARTIcIPER LES SPEcTATEURS, vOIR à LES EmBRASSER»

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6 ans : c’est l’âge auquel Yoanna a tenu pour la première fois entre ses mains l’instrument qui aujourd’hui la suit partout, l’accordéon. Graine d’artiste, cela fait par ailleurs deux ans qu’elle pratique la danse. Pour se diversifier encore un peu,

elle intègre le cours de théâtre de la Fédération genevoise d’improvisation à 12 ans, puis s’essaye au cirque, et plus particulièrement au trapèze, avec le Théâtre Circule. Fin prête pour entamer sa carrière artistique, elle intègre un duo, Les Pépettes, avec lequel elle commence à se produire dans les bars et dans les rues et écrit ses premières chansons.

A 17 ans, Yoanna fait une ren-contre opportune, celle de Jojo, membre du groupe Les Hurlements d’Léo, qui joue de temps en temps avec elle et notamment lors du Grand Cabaret des Ogres de Barback. Entre Bordeaux, Montpellier,

Marseille, Toulouse, le Québec - où elle participe au festi-val international du conte de Montréal - et la capitale, elle travaille avec d’autres artistes comme Manu de Tryo, qui l’aide à préparer sa première maquette ‘solo’. Elle enre-gistre ainsi ‘La Bonne aventure’ en 2004, qu’elle présente de concerts en festivals. Sur sa route, elle fait connaissance

avec Seb Martel, le guita-riste de -M-, et bien d’autres confrères - Java, Les Fils de Theupu, Fafa Daian de Sinse-milia... Yoanna se recentre sur le théâtre le temps d’une rési-dence à Genève pour le spec-tacle ‘La Bonne aventure’, puis

compose pour le spectacle musical ‘Les Idiots’. Elle sort ensuite son premier album, ‘La Maladie’ (2006) et part ainsi à la conquête du coeur du public. Petit bout de femme bourré de talent, Yoanna séduit par son dynamisme, son humour et sa curiosité tous ceux qui ont la chance de croiser son chemin.

« P E T I T B O U T D E F E m m E B O U R R é D E T A -L E N T , Y O A N N A S é D U I T P A R S O N D Y N A m I S m E »

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YOANNA # cAPELLIA

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-Alice participe à son premier groupe de jazz au lycée de Challans : Il s’agit d’un quintet appelé «Tocadiscos». Ensemble, ils remportent en 1998 la ren-contre départementale du «Festival Music’Ados» propo-sée par les Jeunesses Musicales de France (J.M.F). Le groupe se produit alors sur la scène natio-

nale «le Manège» à la Roche-Sur-Yon. A 17 ans, Alice remporte de nouveau le même concours l’année suivante et représen-tent la Région des Pays de La Loire sur la scène du Cirque d’Hiver à Paris. Durant ces années, elle se produit dans dif-fèrents lieux de la région.A 19 ans, Alice décide de par-tir vivre un an aux U.S.A à NEW YORK, ce qui lui permettra de

découvrir les comédies musi-cales de Broadway ( «Cabaret», «Rocky Horror Picture Show», «The Lion King»...) entendre les voix du gospel dans les rues de Harlem, venir écouter au Blue Note Oscar Peterson, Elvin Jones, Ray Brown, Dee Dee Bridgewater, Dizzy Gillespie’s Band... Elle rencontre alors

Enrico Granafei,guitariste/har-moniciste et chanteur, directeur artistique du Trumpet’s, célèbre club de jazz du New Jersey. Une grande amitié naîtra entre eux et Alice participera à de nom-breuses «jam sessions» au Trum-

pet’s entourée de musiciens

américains.Actuellement elle enregistre un album fait de reprises et de compositions pop-rock en duo, guitare-voix.

Cécile commence à chanter à 17 ans, avec l’association «Grain de Sel», qui collecte de l’argent en organisant un spectacle de va-riétés intitulé «Show au Coeur» afin de reverser des fonds aux RESTO DU COEUR . Dans le même temps, elle intégre le Big Band de l’Atelier Jazz de l’école de Musique de Challans.La même année elle rejoint sa soeur trois mois durant à New York, et y découvre les Shows de Broadway, fréquente les clubs de jazz et à ainsi l’occasion d’écouter Oscar Peterson au Blue Note, entre autres.A 19 ans, elle monte un duo jazz piano/chant qui se produit régulièrement sur les scènes

«S’ENSUIT UNE TOURNéE qUI vIENDRA cONqUéRIR LES IRRéDUcTIBLES.»

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ALIcE ET cécILE # OLYmPIc

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Pour l’état-civil, elle se nomme Bukola Elemide, née en sep-tembre 1982 à Paris où elle restera ses deux premières années. Mais au Nigeria, tout le monde l’appelle Asa (pro-noncez Asha), le «faucon» en yoruba.A la maison, la musique est pré-sente. Son père est fan de Fela,

King Sunny Ade, Sade, tous les emblèmes de la musique nigériane. Sans oublier Marvin Gaye et Bob Marley. A treize ans, elle quitte Festac Town, le quartier de Lagos où elle a grandi, pour suivre sa scola-rité à Jos, une ville située plus au nord, sur les plateaux nigé-rians. Elle va y rester cinq ans. Gardant toujours au fond de son cœur ce désir de musique,

symbolisé par une guitare.Et c’est en retournant à l’orée de ses 18 printemps à Lagos, qu’elle pourra l’exprimer pleinement. Après un an à l’université, section Théâtre, musique et arts, elle décide de rejoindre l’école de musique du fameux saxophoniste Peter King. Elle se compose surtout

un répertoire encré dans la folk. Asa a tout juste 20 ans, et vit déjà, tant bien que mal, de cette voix à laquelle elle s’est toujours tenue.Dès lors, tout va s’accélérer. Elle décroche la timbale : un cycle de professionnalisation au cours duquel elle va croiser le route de nombreux artistes Africains : Manu Dibango, Ri-chard Bona, Daby Touré, Tony

Allen, les Nubians… Soul, jazz, folk, afro-funk… Tous ceux-là raisonneront bientôt dans sa musique.Forte de toutes ses expérien-ces, sa personnalité s’affirme et s’affine. Le petit faucon peut déployer ses ailes. En 2006, elle décide de poser les ba-ses d’un disque, en prenant le temps et le soin nécessaires, suivant une méthode où le feeling a beaucoup à jouer. Elle trace la mélodie, ajoute les paroles, puis les soumet à Cobhams Emmanuel Asuquo. Plus qu’un arrangeur de talent, ce jeune Lagotien, aveugle et multi-instrumentiste, est son alter ego. En octobre 2007, elle publit donc son premier album éponyme.

«TOUT LE mONDE L’APPELLE ASA, LE FAUcON EN YORUBA»

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-Camille fait figure d’ovni dans le paysage musical. Jeune auteur compositeur interprète, Camille pos-sède une voix douce qui habille de mélancolie ou de joie, ses textes légers

et profonds. Sa musique oscille entre folk, pop ou chanson réaliste : «Pour l’instant, je m’impose un devoir de sincérité. Une chanson ne peut naître que d’un moment très fort. «C’est mon éthique» explique-t-elle.

Le sac des filles, son pre-mier album solo est paru en septembre 2002. Son deuxième album solo Le fil est dans les bacs depuis le 14 février 2005. Très homogène musicalement,

il n’en est pas moins éner-gique, inventif, gamin et folâtre, à l’image de la chanteuse.Elle a une voix élastique et elle en fait ce qu’elle veut. Et le prouve dans cet album, qui rencontre un large succès et suscite

les controverses. Un al-bum inattendu et original, dans lequel elle laisse libre cours à son imagination vo-cale : bourdons, murmures, beatbox…Elle voulait un album «sen-suellement perceptible», et c’est réussi. Tout com-me l’opus, Music Hole dis-ponible en avril 2008.

«ELLE A UNE vOIX éLASTIqUE DONT ELLE FAIT cE qU’ELLE vEUT»

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Auteur-compositeur de la nouvelle scène française, Constance Verluca vit de petits boulots avant de sortir en 2007 son premier album, ‘Adieu Pony’, aux tonalités pop-folk, réalisé

par Noah Georgeson - gui-tariste de Devendra Ban-hart. L’opus tire son nom du groupe éphémère qu’elle a crée avec Julien Hirsinger, Pony, avec lequel elle a tourné dans quelques bars. Elle collabore toujours avec Julien Hirsinger, qui écrit

et compose avec elle ses chansons. Les deux paro-liers de talents signent des chansons à l’humour corro-sif et pleines d’une fausse naïveté sur fond d’accords de guitare minimalistes.

Son album l’emmène sur les routes de France avec des concerts aux Sables d’Olonne, à Limoges, et sur-tout une première partie de Miossec au festival des Vieilles charrues. Elle conti-nue la promotion de son album dans toute la France

et décroche même une date à Bruxelles. Constance Verluca est également co-scénariste du film ‘Un jeu d’enfant’ de Laurent Tuel en 2001 et elle écrit avec son complice Julien Hir-singer les paroles de ‘Mais pas chez moi’ du groupe rock AS Dragon. Révélation musicale de l’année 2007, Constance Verluca a de beaux jours devant elle.

«ELLE SIGNE DES cHANSONS à L’HUmOUR cORROSIF ET PLEINE D’UNE FAUSSE NAIvETé»

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Lo’jo est un groupe français, composé de Denis Péan, Richard Zenou, Richard Bourreau, Nicolas Houde-bine, Bruno Baudry, Kanga Kamden et Nicolas Gallard. La formation voit le jour dans les années 80 du côté d’Angers, sur l’initiative du

chanteur Denis Péan et du contrebassiste Richard Ze-nou. Le violoniste Richard Bourreau rejoint le groupe en 1983.Pendant une dizaine d’an-nées, Lo’jo construit petiet à petit son style, et se joint à une compagnie de théa-tre de rue de 1988 à 1991. Il faut attendre 1989, pour

qu’ils rentrent pour la pre-mière fois en studio, où ils enregistrent The Internatio-nal Courabou, juste avant le départ de Richard Zenou... En 1992, enregistrement de Fils de Zamal.En 1995, les soeurs El Mou-rid, toutes deux saxopho-

nistes, rejoignent le reste de la bande. Bohème de cristal sort en 2000. Le groupe s’installe quelques temps au Mali et sort coup sur coup Mojo Radio et L’Une des siens, en 2002. Depuis 20 ans, la tribu angevine bourlingue sur le globe et n’a jamais cessé d’envisager sa musique sans

rencontre ou collaboration avec le monde : danse, vidéo, théâtre de rue, arts plastiques, ciné... Ce qui la rend si riche, si ouverte et si talentueuse. Un concert Lo’Jo, avec un poète à sa tête, Denis Péan, assure l’invitation au voyage dans la sono mondiale. Celle de qualité, universelle (pas sale) et totalement mo-derne.En janvier 2006, ils sortent Bazar Savant, un album qui ressemble à un coffre à jouets d’enfant : plein de jolies choses, de trésors hé-téroclites que l’on voudrait partager. En mars 2007, sort un Best of, résumant

«EN 1995, LES 2 SOEURS, SAXOPHONISTES, REjOIGNENT LE RESTE DE LA BANDE»

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NADIA & YAmINA NID EL mOURID - LO’jO # PLAcE DE LA BOURSE

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-Du graffiti et graphisme, ses premières passions, au DJ’jng qui l’élèvera au rang d’artiste consa-crée, Missill est désormais une artiste en perpétuelle ascen-sion : elle multiplie les concerts à travers les 5 continents avec plus de 350 dates en 3 ans.Autodidacte débordante d’énergie et de créativité, sa passion pour le dj’ing donne la place à une technique de mixe précise, dynamique, à couper le

souffle! A l’instar de ses mixes, éclectiques, Missill s’initie au graphisme, au graffiti et même au design vestimentaire. Elle ex-celle dans chaque domaine, sans jamais perdre de vue l’unité... son style bien à elle.Pyromanes des dance-floors. Oubliez le clubbing générale-ment associé à l’étiquette des

DJ. Missill est une artiste de scène. Ses concerts, performan-ces authentiques - à l’image des compétiteurs sportifs de haut niveau - offrent une énergie contagieuse.Missill s’aventure hors des sentiers battus et innove constamment grâce à ses mixes brouillant les frontières de l’électro, du hip-hop ou du dancehall. La virtuose des pla-tines réinvente les styles, entre

autres electro-rock, grime, baile funk, booty bass, breakbeat, ragga…Ses lives puissants, enivrants et interactifs, illustrés par son CD mixé Mash Up (2005 – Disco-graph), attirent et déchaînent chaque fois un public plus fidèle et nombreux. Elle est plébisci-tée par les plus éminents festi-

vals et clubs en France (Vieilles Charrues, Transmusicales, Garo-rock, Marsatac, Nuits Sonores, Printemps de Bourges…) et à travers le monde. Missill, aussi bien à l’aise entre des groupes qu’entre des djs de tous styles, se produit aux cotés des plus grands : Boyz Noyze, Cold-cut, Laurent Garnier, Wu Tang, Afrika Bambaataa, DJ Premier, Carl Craig, Digitalism, Gang of Four, Public Enemy, Supergrass, Vitalic…La nouvelle déferlante arrive en 2008 avec un premier single intitulé Forward qui annonce l’album Target. Soif d’expres-sion et ouverture musicale per-mettent à cette jeune touche à tout, en perpétuelle recherche de nouveautés et d’innovations, de pousser « l’aventure » tou-jours plus loin tout en restant

«mISSILL INNOvE GRâcE à DES mIXES BROUILLANT LES FRONTIèRES DE L’ELEcTRO»

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Ce livre doit beaucoup à Katy et Georges, à Fred pour les remarques et conseils (parfois judicieux), à Thérèse et Jeanne les premières à avoir accepté ma présence devant la scène, à Alice & Cécile, An, Kate, Oriane, Jill, Aura et Babet qui ont soutenu ce projet dès le début, à Marieke et Elodie de l’Olympic pour toutes ces accréditations, à Fred & Anne de l’hotel Chez Fredo pour tous ces hébergements lors des festivals bre-tons et à tous les photographes croisés devant les scènes : Béa, Benoit, Manu, Magali, David et Nicolas.Enfin, un énorme merci à toutes celles qui figurent dans ces pages et qui ont inspiré le thème de ce premier livre.

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LES PAGES mYSPAcE # DES ARTISTES

Alabrune : www.myspace.com/alabrune Adrienne Pauly : www.myspace.com/adriennepauly Alela Diane : www.myspace.com/alelamusicAlice et Cécile : www.myspace.com/aliceetcecile Alice et Mathilde (les Ogres) : www.myspace.com/lesogresdebarback An Pierlé : www.myspace.com/anpierleandwhitevelvet Anggun : www.myspace.com/anggunofficiel Anne Berry (Anda) : www.myspace.com/andaduo Anne Laure Bourget :Aura O’Neil (The Silencers) : www.myspace.com/auraoneillAsa : www.myspace.com/asaofficial Ayo : www.myspace.com/ayo Babet : www.myspace.com/babetmusic Brisa Roché : www.myspace.com/brisaroche Camille : www.myspace.com/camilleofficial Candye Kane : www.myspace.com/candyekaneband Claire Joseph : www.myspace.com/clairejosephmusique Constance Verluca : www.myspace.com/constanceverluca Dj Blue : www.myspace.com/missdjblueDj Missill : www.myspace.com/djmissill Femmouzes T : www.myspace.com/femmouzestGabriela Quintero : www.myspace.com/rodrigoygabriela Ilene Barnes : www.myspace.com/ilenebarnes Jeanne Cherhal : www.myspace.com/jeannecherhal Jennifer Ayache (Superbus) : www.myspace.com/superbusmusic

Juliette : www.juliettenoureddine.comKarine Germaix (Rue d’la Gouaille) : www.myspace.com/ruedlagouaille Kate Hosking (Terrafolk) : www.myspace.com/terrafolk Kate Nash : www.myspace.com/katenashmusicKeny Arkana : www.myspace.com/kenyarkanaLes Vedettes : www.myspace.com/vedettes Lo’Jo : www.myspace.com/lojotriban Lucie (Lenore) : www.myspace.com/lenoremusique Mademoiselle K : www.myspace.com/01mademoisellekMarie Cherrier : www.myspace.com/mariecherrier Maximum Kouette : www.myspace.com/lemaximumkouetteNeneh Cherry : www.myspace.com/nenehcherryOlivia Ruiz : www.olivia-ruiz.com/Pauline Croze : www.myspace.com/paulinecroze Rose : www.myspace.com/rosekeren Rosemary (Moriarty) : www.myspace.com/moriartylandsSandi Thom : www.myspace.com/sandithomSheryfa Luna : www.myspace.com/sheryfalunaShy’m : www.myspace.com/shymofficiel Skye : www.myspace.com/skyeonmyspace Thérèse : www.myspace.com/lesitedethereseTiti Zaro : www.myspace.com/titizaro Yael Naïm : www.myspace.com/yaelnaim Yoanna : www.myspace.com/yoannaceresaZoé : www.myspace.com/zoetoutvabien

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Dépôt légal : Août 2008Edité par L’Art Scènes {Editions} 2008 - www.lart-scenes.com

Imprimé en France par :Copy Média

Imprimerie numérique de livres23, Rue Francisco Ferrer - 33700 MERIGNACTéléphone 0 825 16 50 20 - Fax 05 67 31 98 99

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