Benjamin CIARDI portfolio 2012

Benjamin CIARDI // architecte urbaniste // Portfolio 2012

Benjamin Ciardi Paris, le 12 Allée Louise Labé75019 PARIS tel : 0679974028mail : [email protected] Objet: candidature à votre Agence pour MSP/HMNOP

Madame, Monsieur,

Dans le cadre de mon DSA d’architecte-urbaniste associé à une formation d’habilitation à la maîtrise d’œuvre (HMNOP), je sollicite de votre bienveillance pour postuler comme stagiaire au sein de votre agence. Cette mise en situation professionnelle d’une durée de 6 mois s’achèvera par la rédaction d’un mémoire en lien avec le travail réalisé en agence. J’ai aujourd’hui la volonté à travers ce double cursus de mieux comprendre les relations entre les échelles territoriales et architecturales dont émer-gent des enjeux majeurs pour nos disciplines. Dans ma formation d’architecte j’ai toujours cherché à ne jamais dissocier le travail de l’architecture, de l’urbanisme et du paysage, étant convaincu des relations éco-systémiques qui se jouent entre ces trois disciplines sans en faire une idéologie au détriment des sites et du projet.Le travail d’équipe est pour moi un préalable à l’élaboration de projet quand il est mené dans un esprit de collaboration.

En complément des processus de travail ma compréhension des terrains passe à la fois par des analyses sensibles et subjectives mais ne doit pas se passer d’une appro-che objective méticuleuse pour comprendre le site dans ses dynamiques et ainsi affiner les approches prospectives du projet.

Les modes de représentation étant le lien entre le site et les espaces de conception ils doivent nécessairement s’adapter graphiquement à leur rôle et à leur temporalité dans le projet. C’est pourquoi j’insiste sur le caractère hétérogène des modes de représentation que je peux développer à la main ou à l’informatique.

Travailler la ville aujourd’hui, avec en trame de fond les changements profonds que connaissent les sociétés, est pour moi une motivation supplémentaire à penser la ville de demain à travers les projets que je pourrai développer avec vous. Je suis très intéressé par votre structure et je pense avoir les qualités et les compétences né-cessaires pour proposer ma candidature. Ce stage me permettrait d’acquérir de nouvelles compétences pour compléter ma formation d’architecte-urbaniste.

Je vous prie, Madame, Monsieur, d’agréer l’expression de mes respectueuses salutations.

Lettre de motivations

Curriculum vitae

2002 _ Baccalauréat Littéraire spécialité arts plastiques

2002/2004 – Ecole des Beaux Arts du Havre

Juin/Septembre 2006 – Stage atelier Castro - Denissof – Casi- APS, VRD et PC (Bouygues bâtiment et Nexity)- Rendu de concours (Appel d’offre municipale)

2007 _Licence d’Architecture à L’ENSAPM (Paris-Malaquais)

Juin/Septembre 2008– Stage atelier Landauer- Projet et DQE (Emmaüs habitat)- Rendu de concours (France Habitation)- Projet, descriptif et DT de réaménagement d’une maison individuelle.

Janvier/Mai 2010 – Stage Beaudemont Programmes- Schéma directeur immobilier pour l’Université de Cergy Pontoise.- Montage de l’opération B. Hirsch pour l’Université de Cergy Pontoise à Cergy.

2011 _ Diplôme d’Etat d’Architecte à l’ENSAPM. Mention très bien.

2011-2013 _ DSA d’architecte urbaniste à l’école nationale supérieure d’architecture de la ville et des territoires de Marne-la-Vallée

Logiciels maitrisés : Autocad, Adobe master collection, Sketchup, Office, Personal Brain, rhinocérosLogiciels niveau intermédiaire : V-Ray, Grasshopper, Blender, Yedgraph, Map info, Archicad, Vectorworks,Langues : Français, Anglais

Projets réalisés dans le cadre du Master d’architecture :

- Le Havre 2027. Aménagement paysager d’un espace portuaire.(P7). Ens : Ph. Coignet, Ch. Laurens- Repli/Replique. Projet de Datacenter et de centre de repli s’inscrivant dans le paysage d’Île de France (Work Area Recovery).(P8). Ens : B. Kligerman, F. Cremel- Anvers, projet territorial. Réhabiliter la territorialité au sein d’un espace marginalisé à travers différentes échelles stratégiques. (P9). Ens : P. Noviant, A. Santiard, M. Armengaud - Mémoire sur le réseau universitaire en île de France. (R8/R9). Ens : J. Attali, E. Essayan - Achères, port urbain : un processus phytorégénératif. (P10/PFE) Ens : Ph. Coignet

Dans le cadre du DSA d’architecte urbaniste : Au-delà des projets la formation du DSA architecte urbaniste s’appuie sur un ensemble de semaines de formations spécifiques aux champs de l’urbanisme autour des questions contemporaines de la culture du projet et du rôle de l’architecte.

- La défense, cities back office. Projet de retour à la ville de l’esplanade de la défense par les flux et les usages appréhendés dans leur temporalité. Ens : Yves Lion, Christophe Delmar, Eric Alonzo.- Sevran Beaudottes. Penser le centre de la métropole de demain autour d’un pôle de gare et d’un centre commercial dans un contexte urbain précaire. Ens : Yves Lion, Christophe Del-mar, Eric Alonzo.

Diplome d'Etat d'Architecte - Ecole nationale superieur d'architecture de Paris Malaquais

2004-2011

Le Havre 2027: processus, dispositif, paysage ensapm - 2007

Projet d’aménagement paysager et urbain d’une zone portuaire de 160 hec-tares aux porte de la ville du Havre. Recherche de processus de concep-tion de projet lié à la complexité du site , des usages et des temporalites. Le projet exploite les tensions mises en jeu par le territoire et son environne-ment portuaire pour générer une nouvellet topographie. La ville se conju-gue aux activités portuaires et fait émerger de nouvelles formes urbaines.

Le Havre 2027: processus, dispositif, paysage




Repli/Replique : conception d'un datacenter et d'un work area recovery ensapm - 2009

Repli/Replique : conception d'un datacenter et d'un work area recovery

Repli/Replique : conception d'un datacenter et d'un work area recovery

Noorder LAN: vivre au coeur de l'hypermobilite ensapm - 2009

Depuis des décennies la Ville d’Anvers est identifié via l’imagede son port et de toutes les industries qui y sont liées, C’est ce développement économique qui confère à la commune sont influence Nord Européenne. Aujourd’hui la ville veut s’affranchir de cette étiquette en s’appuyant sur la création de nouveaux pôles d’attractivités au delà d’un centre ville qui ne tolère plus les grands projets, La ville se tourne vers ces Terres. On constate qu’une partie des infrastructures périphériques font parties intégrantes de la plateforme lo-gistique portuaire à laquelle parfois se mêle, interfère, se substitut ou se soustrait le réseau de mobilité territorial.

Ce phénomène est très intense actuellement au nord de la commune et historiquement au sud se trouvaient les plateformes de transformations industrielles, Ces deux pôles sont au coeur du BAM . Ces deux zones ont étés et sont soumises à la réorganisation des espaces industriels selon l’évolution des techniques portuaires, concentration et autonomisation des infrastructures et des entreprises. Mais l’influence de ce phénomène n’a pas été uniforme sur ces différents territoires, même si tout deux sont des zones stratégiques de la mobilité entre Anvers et sa proche région.

Vers ces sites convergent chaque jour l’essentielle des flux de transport de passagers entre la ville et son arron-dissement. Ces zones sont des espaces intermodaux, à la fois terminus de tramways (limite de la temporalité de la ville d’Anvers), gare de train (temporalité régionale et interrégionale), gare de bus, entrée autoroutière dans la ville et espaces de stationnements (temporalité péri-phérique et régionale). Au Nord se développe une archi-tecture rationnelle et commerciale tandis que dans le « Nouveau Sud » les infrastructures institutionnelles parti-cipe à la formation d’espace de représentation de l’Etat.

BAM : Masterplan Mobiliteit Antwerpen, ce projet propose de recréer la forme traditionnelle de la randstadt à Anvers mais à une plus grande échelle afin de définir de nouvelles limites intra-muros plus adaptées au nouveau Anvers.

Noorder LAN: vivre au coeur de l'hypermobilite


Dans les deux cas ces opérations sont des camouflets pragmatiques de la réalité de ces territoires victimes de l’organisation post industrielle et qui de-viennent les proies d’une économie de l’investissement et de la spéculation à cause de l’image économique et politique forte de chacun de ses lieux.Leur qualité d’espaces d’inter modalités focalise la perception du territoire sur cel-le-là, une part du territoire disparaît. Le reste semble immobile, les habitants ne sont que des usagers des infrastructures de transport parmi tant d’autres et ne sont plus les acteurs de leur territoire. Ils sont aliénés par la mobilité comme seul moyen de se représenter dans la ville d’Anvers et donc de se per-cevoir à une échelle plus globale. De la même manière la non identification de ces lieux les exclut de la représentation de la Ville alors que tout deux sont des points essentiels de la gestion des flux de transport humain mais coincé entre deux temporalités (celle de la ville et celle de la région) et dépendant d’une temporalité de la logistique (dépôt de bus, terminus de tramways, parkings, trafic lié aux activités portuaires). La localisation de ces territoires les inscrits au coeur des projets en cours et future de l’urbanisation de la commune sans pour autant les considérer comme des espaces de projets mais comme des obstacles à la continuité urbaine. Or la multitudes des strates urbaines de ces sites nous fait penser qu’il est nécessaire de les réactiver, de les convertir et de les penser dans leur intégration dans le développement à long terme de la ville d’Anvers et de leur permettrede jouer un rôle dans une ville où les trans-ports en communs sont amenés à se développer car elle les considère comme une des réponses à la congestion du centre et à la réduction des gaz à effet de serre. Ces futures évolutions vont nécessairement devoir intégrer ces lieux aujourd’hui entre deux temporalités dans celle de la ville, mais ces espaces devront conserver leur vocation régionale pour la mettre à profit à l’échelle locale. Ce projet va mettre en avant de nouvelles relations territoriales qui existaient potentiellement mais qui n’étaient pas jusque là matérialisées phy-siquement et conceptuellement.



Les reseaux de la connaissance d'ile de france : un potentiel de structuratio du territoire


L’île de France regroupe sur son terri-toire un quart de l’effectif de l’enseignement supérieur. Ce pourcentage représente près de 600 000 personnes, soit environ 5% de la population de l’île de France. Mais l’impact de la population étudiante sur le territoire franci-lien ne peut pas toujours se jauger au regard de la démographie des territoires universitai-res. Sa répartition est inégale et concentrique. Il est difficile d’établir une théorie rationnelle de l’implantation des universités, qu’elle soit physique, thématique ou institutionnelle. L’organisation de ces établissements se font selon une série de critères hétérogènes. L’Ob-servatoire de la Vie Etudiante a défini quatre axes qui participent au choix des étudiants : La durée de la formation (longue ou courte), Le type de formation (générale ou spécia-lisée), Les coûts directs et indirects et l’ac-cessibilité physique (modalités et coûts). Ce rapport de l’OVE sur le lien des universités à leurs territoires met en évidence la coupure qu’il nous faut observer entre l’attractivité des territoires et les savoirs qui y sont implantées .La logique des savoirs ne rentre pas dans un jeu d’influence directe avec l’attractivité éco-nomique d’un territoire. Une autre logique semble obéir au réseau universtaire. Une car-tographie du savoir ne pourra donc se limiter à emprunter des outils géographiques, éco-nomiques traditionnels. Elle nécessite aussi un nouveau tracé. L’organisation universitaire actuelle est celle instaurée en 1971 et compte dix sept établissements aujourd’hui. Depuis 2005 de nouveaux systèmes de regroupe-ments commencent à émerger, les PRES (Pôles de Recherches et d’Enseignement Supérieur) et les RTRA (Réseaux Thématiques de Recher-ches Avancées). De ces systèmes naissent de

nouveaux besoins pour leur permettre de s’intégrer au réseau universitaire de l’état. L’objectif de ce mémoire est de comprendre les différentes strates qui articulent les orientations universitaires depuis la création de l’univer-sité d’ile de France telle qu’on la connait aujourd’hui.Ce processus dense qui débute à la fin des années soixante dix pour l’université coïncide avec le développement des planifications urbaines et des grands projets en île de France. Le processus de fabrication de l’université met en évidence son rapport au politique et aux territoires. Mon objectif cartographique est d’entrevoir l’espace uni-versitaire au delà de la vision «castramétrique» de l’Etat.


Acheres port urbain : un processus phytoregeneratif PFE - 2011

UN POINT TOPOGRAPHIQUE STRATEGIQUELes altimétries les plus basses sont le récep-tacle des productions des territoiresmais aussi les espaces les plus sensibles aux mo-difications qu’elles peuvent entraîner. Ces pressions inverses qui s’exercent sur ces territoires donnent souvent naissance à des contextes urbains et des paysages atypi-ques : Plaines , estuaires ou vallées. Ces ter-ritoires sont le lieu des grandes routes de communication du fait de leur faible relief et donc de leur plus faible résistance topogra-phique aux implantations d’infrastructures.

UN SITE AU COEUR DU GRAND PARISLes logiques de développement du grand territoire d’Île de France doivent participer à la construction d’un nouveau modèle pour Achères dans la capacité qu’ils ont à déplacer de grands volumes de personnes grâce aux infrastrucutures présentes sur le site mais aussi par l’intérêt que peut porter ce grand territoire sur la commune d’Achè-res qui, à la confluence de la Seine et de l’Oise, devient une porte d’entrée de Paris.

UN SITE POLLUECette pollution est le fruit d’un épandage régulier des sols par les boues de retraite-ment, qui, malgré des efforts entrepris ces trente dernières années pour améliorer leur traitement, ont pollué cet environne-ment pendant près d’un siècle tandis que Paris s’assainissait. Aujourd’hui la plaine d’Achères, au delà des problématiques d’implantations liées à l’inondabilité de la plaine, ne peut se développer sur ces sols sans les dépolluer. Le Support du projet devient un champs de phyto-ré-médiation qui vient inscrire le dévelop-pement de la ville dans sa temporalité.

Acheres port urbain : un processus phytoregeneratif





Mon projet reconsidère le poten-tiel d’Achères à partir de quelquesprincipes majeurs qui redonnerontà la ville la conscience de son territoire.

Il s’agit d’intégrer le port dans la ville, d’autre part faire prévaloir la ville sur les rapports aux qualités naturelles du site . Le projet « Achères, port urbain » a pour objectif de reconsidérer le statut et les rapports de la plaine à son environne-ment en s’appuyant sur les contrain-tes du site pour dégager de nouvel-les opportunités de développementurbain pour la ville et ainsirompre avec les logiques industrielles et économiques qui prévalaient à son aménagement. Ce nouvel élan urbain amène la ville d’Achères à décrypter une réalité enfouie et à en extraire des en-seignements pour son développementà venir. Car comme Achères l’a tou-jours été son avenir sera indus-triel mais aujourd’hui autour denouvelles logiques et perceptions qui permettent l’adéquation des espaces de résidence, de vie et de production.


DSA Architecte Urbaniste - Ecole nationale superieur d'architecture de Marne-la-Vallee

2011-2013

La defense comme espace d'usages partages DSA

Sevran Beaudottes : Renouveau d'un quartier autour d'un centre commercial DSA

La ville disponible : Aulnay sous bois et Sevran DSA

Travaux d'agence et representation2004-2012

Travaux d’agence

10 m

Coupe AA'

Coupe BB'

Parcelle Bernard HIRSCH

Parcelle Bernard HIRSCH

Blv de l'Hautil

Blv de l'HautilAv du SudLes Touleuses

Les TouleusesAv du SudESSEC

ESSEC

Cergy UniversitySurface :bâtie: 7100m2Parking: 4000m2

Parvis Logements étudiantsSurface :bâtie: 7500m2Parking: 4000m2

Logements mixtesSurface :bâtie: 14500m2Parking: 4000m2

Cergy UniversitySurface :bâtie: 7100m2Parking: 4000m2

Logements étudiantsSurface :bâtie: 7500m2Parking: 4000m2

Jardinspartagés

Maisons groupéesSurface :bâtie: 4500m2

Parvis

SUD NORD

NORD SUD

10 m

Travaux d’agence

"Corridor écologique"Fil d'Ariane

Voie RER

1 - L'Université de Cergy Pontoise 1a - Les Chênes 1b - Saint Martin2 - L'ESSEC3 - L'ENSEA4 - L'EISTI5 - Les établissements de l'ILPSL - EPMI - EBI - ISTOM - ILEPS - EPSS - ITIN-ESCIA (CCIV)6 - Ecole Nationale Supérieure d'Arts

LEGENDE

Circulations Bus

Implantation des sitesd'enseignement supérieur

stations de Bus

station vélo2

Résidences étudiantes

VERS Neuville RER

Eragny sur Oise

VERS Liesse RER

Saint Ouen l'Aumône

VERS Pontoise RER

VERS Pontoise

VERS Osny

VERS Cergy saint Christophe RER

Cergy Le Haut RER

VERS Cergy saint Christophe RER

VERS Vauréal

VERS Neuville

Jouy le Moutier

Bernard Hirsch

Corridor écologiqueFil d'Ariane

RER

VERS RER PARIS

1b

1a

2

5

5

5

4

7

3

6

Boulevard du Port

Boulevar de l'H

autil

Boulevard de l'Oise

Bernard HIRSCH

CAMPUS CERGY UNIVERSITY 7100 m2

Plan Campus20,0 M€

CPER 6,5 M€

LOGEMENTS ÉTUDIANTS 7500 m2

Emprise foncière: 24 500 m2Surfaces bâties SHON: 40 350 m2Emprises bâties: 10 915 m2

1140THEMA

1750

SALLE50 X 35

270

210

MRTE

100CPJP LEJEP

2740 m2

M2Sciences Humaines et Sociales

MANAGEMENT COLLEGIUM SHS (4600 m2)

COMPLEXE SPORTS ET VIE ETUDIANTE (3350 m2)

MIR 950 m2Plateformes formation 1200 m2

Emprise foncière: 1750 m2 (bât)




Dojo

Gym

vest

iaire

s bur

eaux

Danse

InstitDoc

centrelinguistique

Auditorium

350 m2

Accueil25 bur.

chercheurs

Espaces5 salles

communs

Enseignementnumérique

Fondation

MIR

250 Logements étudiants 7500

LOGEMENTS MIXTES 19500 m2

175 logements en petits immeubles collectifs 14500 m2

Ressources decomplémentdans le cadredu PPP

Financement collectivités locales

I.S.I.T.2000 m2

30 logements en maisons groupées 4500 m2

Ecole Doc 140

500Studio

musique

200Resto

Bar

150Rencontre

expo


500commerce

prox

Co-financement ISIT et collectivités

Representation assite par ordinateur

Representation a la main

Workshop

Documents

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