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Biorégulation humaine
La communication cellulaire
Il était une fois… (ou plutôt trois)
… un embryon
qui se développait
Figure 47.15
…un enfant qui avait froid
Figure 45.10
…un étudiant poursuivi par un ours échappé du zoo de Lévis-Lauzon
dans ces 3 exemples, les cellules de l’organisme doivent
communiquer entre elles
cette communication s’effectue à l’aide de
molécules chimiques
facteurs de croissance
neurotransmetteur hormone
Figure 11.3
les travaux de E.W. Sutherland
En situation de stress, l’adrénaline stimule la conversion
du glycogène en glucose
adrénaline
glucose
glycogène
glycogène phosphoryla
se+
cellules intactes (contenant glycogène et glycogène
phosphorylase)
adrénaline
glucose
les 3 phases de la communication
cellulaire
Figure 11.5
Figure 11.5
Conversion-amplification
Figure 11.5
Conversion-amplification
Les messagers chimiques peuvent être
hydrosolubles ou
liposolubles
trois types de
récepteurs membranaires
ligand : hormones et neurotransmetteursFigure 11.6
Récepteur couplé à une protéine G
Segment variable et spécifique
Segment variable et spécifique
Figure 11.7
Récepteur
couplé à une
protéine Gex :
développement et sens
ligand : facteurs de croissance (division cellulaire)
Figure 11.8
Récepteur à domaine tyrosine kinase
Plusieurs voies activées par récepteur (plusieurs réponses)
ligand : neurotransmette
ur
Figure 11.9
Récepteur couplé à un canal ionique
conversion du message
La liaison d’un messager à un récepteur
membranaire entraîne une cascade
de réactions chimiques à l’intérieur de la
cellule
Les intermédiaires entre la membrane et la molécule responsable de la réponse
sont souvent des enzymes
Importance de la phosphorylation
Figure 11.11
La phosphorylation
active des protéines
Ex. facteur de croissance
Les protéines phosphatases désactivent les intermédiaires
des voies de conversion
Lien(s) avec le cancer ?
Rôle des seconds messagers (AMP cyclique, IP3 et ions Ca++)
Figure 11.12
Phosphorylation(s) puis réponse
Figure 11.13
ou récepteur couplé à une
tyrosine kinase
Figure 11.14
1 / 10 000
Figure 11.15
Figure 11.15
Figure 11.15
pas toujours présente
amplification du message et de la réponse
(exemple de l’adrénaline)
Figure 11.16
Les récepteurs
cytosoliques ou nucléaires
(intracellulaires)
Le message est-il
converti ?
Est-il amplifié ?
Comment ?
« amplification »
Un adolescent présente une concentration
équivalente à un dé à coudre dans une
piscine olympique !!!
Figure 11.10
Figure 11.17
Attention
Il n’y a pas que les messagers hydrophobes qui peuvent activer des
gènes…
réponse de la cellule au message
Différents types de réponse
Modification du métabolisme (par l’activation ou la désactivation d’enzymes)
Synthèse et sécrétion de protéines (par l’activation de gènes)
Division cellulaire (par la réplication de l’ADN et la formation du fuseau)
Propagation d’un influx nerveux
Contraction musculaire
ETC
spécificité de la communication cellulaire
Seules les cellules possédant le récepteur capable de se lier avec le messager répondront au stimulus
Figure 11.18 The specificity of cell signaling
La réponse de différents types de cellules à un même messager peut différer…
… grâce à des voies de conversion différentes !!! (protéines cytoplasmiques et seconds messagers différents)
Figure 11.18
Figure 45.4
Réponses différentes de cellules différentes à la réception d’un même messager
(exemple de l’acétylcholine)
protéines adaptatrices et temps de
réponse
Figure 11.19