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graphic design : horology

Brandlift | Design for watchmaking

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g r a p h i c d e s i g n : h o r o l o g y

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Client: Journal suisse d’horlogerie | Mise en page

de montres qui pensaient alors à leur identité authentique et à la cohérence entre celle-ci et leurs produits».

«Si, aujourd’hui, le designer est devenu un maillon incontournable du processus de création d’une montre, l’horlogerie entretient toujours une relation bien à part avec ses desi-gners. Dans un monde qui valorise avant tout les prouesses techniques et les belles mécaniques, les desi-gners ne sont que rarement reconnus, peu d’entreprises en parlent. Les qua-lités et performances du mouvement passent bien avant. C’est là tout le paradoxe puisque celui-ci reste caché aux yeux du consommateur la plupart

du temps. Cela explique certainement pourquoi, à ma connaissance, aucun ouvrage n’existe sur les designers horlogers contemporains, ni sur leurs méthodes de recherche ou de tra-vail». n

Expresso avecXavier Perrenoud Designer

Propos recueillis par Joël A. Grandjean

«Dans un monde qui valorise avant tout les prouesses techniques et les belles mécaniques, les designers ne

sont que rarement reconnus.»

EPHJ-EPMT-SMT

Du 11 au 14 juin 2013, dans le cadre de ses programmes évé-nementiels et de conférences, le plus important salon profession-nel annuel de Suisse orchestrera une série d’animations mêlant les designers et les créateurs de l’hor-logerie et de la joaillerie. Tables rondes, expositions de travaux de designers, participation des écoles de design…

www.ephj.ch Dans le cadre d’un travail de recherche qu’il effectue, en mars 2013, pour l’ECAL, haute école d’art et de design à Lausanne, le fondateur de l’Atelier XJC, à La Chaux-de-Fonds, se penche sur les origines de son métier. En prime, trois images inédites.

«Avant les années 1960, le designer horloger – dans le sens contemporain du terme – n’existait quasiment pas. Alors que dans d’autres domaines du design – Charles et Ray Eames en Californie étaient au sommet de leur art –, l’horlogerie confiait la créa-tion de ses modèles aux fabricants eux-mêmes. Avec comme corollaire que bien souvent, les mêmes parties de montres étaient vendues à des marques concurrentes. Les marques ne ressentaient pas le besoin de créer, pour leurs produits, une réelle identité qui s’inscrirait dans le temps. Elles s’employaient avant tout à répondre à une demande ou à la tendance du marché. Rares étaient les marques

Exemple de montres de trois marques

différentes dont le design est identique

à part le cadran et les aiguilles: modèles

Longines, Milber et Clebar, années 60.

15JOURNAL SUISSE D’HORLOGERIE Printemps 2013

Bio express

Professeur titulaire du Master of Advanced Studies en design de luxe à l’ECAL, Lausanne, Xavier Perrenoud fonde son atelier en 2001. De pro-jets d’art contemporain en exposi-tions nationales et internationales, il se spécialise dans la conception de produits de luxe, en particulier pour l’horlogerie et la joaillerie. Il collabore durant de nombreuses années avec des marques presti-gieuses pour qui il enfante ou revi-site quelques modèles iconiques. Il acquiert ainsi un haut niveau de savoir-faire et offre une palette de prestations: conception de produits, de bijoux, mise en place de collec-tions, façonnage d’emballages et lancement de produits vedettes. Du prototypage au suivi des fournis-seurs. Ainsi peut-il assurer le déve-loppement complet d’un concept de marque, sur le mode du conseil.

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D’HORLOGERIE137e année

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6 JOURNAL SUISSE D’HORLOGERIE Septembre 2012

Quilvest investit dans le groupe Acrotec Active dans le décolletage de composants pour l’in-dustrie électronique depuis plus de vingt-cinq ans, Vardeco SA est partenaire d’Acrotec, groupe indépen-dant composé de professionnels complémentaires des domaines de la micromécanique et de l’horlogerie. L’entreprise produit un volume supérieur à un milliard de pièces par an, dont 95% sont destinées à l’expor-tation. Le 2 juillet dernier, le groupe familial Quilvest est entré dans le capital d’Acrotec, comme action-naire de référence. Le groupe et son équipe de direc-tion s’en félicitent, puisque ce nouvel appui conforte son développement sur le long terme. Acrotec est un groupe indépendant de plus de 300 salariés qui génère un chiffre d’affaires de plus de 70 millions de francs suisses. n BRwww.vardeco.com

L’ÉCHO DES FABRIQUES

Haute performance et écologie Installée à Bienne depuis 2003, Techno-Finish œuvre principalement pour l’hor-logerie et la bijouterie. De la préparation à la finition, elle offre ses fournitures pour le traitement de surfaces méca-niques et cultive des savoir-faire aux noms évocateurs: ébavurage, éméris-sage, polissage ou domaine du thermo-formage. D’ailleurs, elle crée, en 2005, TechnoFormage SA, une société sœur spécialisée dans le développement et la fabrication d’emballages thermo-formés sur mesure. La société a aussi développé une gamme de machines de polissage et de satinage hautes perfor-mances. Soucieuse de respecter l’envi-ronnement, TechnoFinish s’entoure en partenariat de spécialistes reconnus dans de nouveaux produits les plus éco-logiques possible. Ainsi naissent des pâtes à polir sans graisse animale ou des sprays nettoyants végétaux. n BRwww.technofinish.ch

Matériaux du futur Créée en 1988, Composites Busch SA, du groupe mondial Busch, entraîne ses 45 employés sur la voie de la conception et de la fabrication de produits en com-posites carbone hautes performances et de pièces de prototypage rapide, selon la technologie «Direct Laser Sintering». Active pour le médical, la mécanique, le sport, le luxe, l’automobile et l’aéronau-tique, l’entreprise fabrique, par exemple, des barres et des fixations externes trans-parentes aux rayons X. Les qualités des

matériaux composites – légèreté alliée à des propriétés de hautes performances mécaniques – en font des matériaux du futur. Depuis longtemps, l’entreprise jurassienne, certifiée ISO 13485, déve-loppe des technologies pour la réalisa-tion d’éléments d’habillage en carbone pour la haute horlogerie et le luxe: boîtes, cadrans, lunettes, fonds, éléments de mouvements... Elle maîtrise également le surmoulage, l’usinage, la gravure et la sérigraphie. n BRwww.compositesbusch.ch

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Existe-t-ild’autres solutions aumonopole d’ETA,quand le SwatchGroup fermera – c’estprogrammé –, partielle-ment ou définitivement, lerobinet de l’approvisionnementd’ébauches et de mouvements?Parmi les foyers indépendantistes quise sont créés, ici et là, la perspective Soprod surgit comme la plus sérieuse. Etat deslieux non exhaustif d’un univers en effervescence,qu’une glace saphir du plus bel effet ne parvient pasà contenir…

Joël A. Grandjean

DOSSIER

JOURNAL SUISSE D’HORLOGERIE No 1/2009 – MAI 2009

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JOURNAL SU ISSE D ’HORLOGERIE

E tonnant. Tandis que l’ère du «Time is money» n’en finit plus de

dicter sa rigueur, l’heure continue de se donner, gratuitement, à

qui la demande. Pour la première fois, un garde-temps s’ap-

plique à vous donner du temps, ou plutôt, à vous en rendre une par-

celle. Ainsi, le Septagraph de BorgeauD vous restitue ce qui vous

appartient: entre le lever et le coucher du soleil, soit entre 7 h 30 et

18 h, chaque jour, il existe 90 minutes qui ne devraient plus vous

échapper. Selon trois-mille ans d’observation des cycles planétaires, ce

huitième de jour est à vous. Utilisez-le pour vous recentrer, pour vous

autoriser une pause salutaire et le respect des rythmes naturels, invi-

sibles. Vous n’en serez que plus efficace lorsque, au sortir de cet œil

du cyclone temporel, la folie du temps qui passe reprendra ses

droits…

NOUVELLE COMPLICATION:L’INDICATEUR DE RÉSERVE TEMPORELLESur un plan manufacturier, l’indication de cette restitution quotidienne

passe par la création d’un mécanisme compliqué inédit. Tout d’abord

un compteur spécifique, indiquant le moment de la journée qui vous

revient – jamais aux mêmes heures dans une semaine –, puis un indi-

cateur de réserve temporelle qui, à la manière d’un sablier, se vide de

sa substance colorée au fur et à mesure que les 90 minutes s’écoulent.

Esthétiquement sublime, posée sur un cadran dont la profondeur

extrême découle de l’assemblage de sept pièces en trois dimensions,

la flèche évidée, porteuse de cette indication, est de celles qui vont

droit au cœur. La complexité naît du fait que ces plages de 90 minu-

tes ne sont jamais consécutives. Ainsi, si pour le lundi, ces 90 minutes

se situent entre 7 h 30 et 9 h, il faudra attendre le samedi pour

qu’elles surviennent de 9 h à 10 h 30.

Passée l’approche chronométrique, dotée de fascinations microtech-

niques, le Septagraph est un concentré de valeurs subliminales. Ces

non-dits s’apparentent à la recherche initiatique d’un Graal humain

qui commence par l’envie de s’extraire de la spirale du temps pour

taquiner les symboliques «over-culturelles» des chiffres 7 et 8. Nos

sept jours hebdomadaires ne sont-ils pas dédiés aux sept planètes qui,

en plus de la Terre, constituent le système solaire? Lundi – Monday, le

jour dédié à la Lune; mardi, celui qui revient à Mars; samedi –

Saturday, le jour de Saturne…

BORGEAUD CODE?SYMBOLES DU SEPT ET DU HUITSept planètes et non huit? Oui, puisque depuis 2006, lors du 26e

congrès de l’Union astronomique internationale à Prague, Pluton a été

destituée jusqu’à nouvel avis de son titre de planète. Ce renvoi à ses

origines astéroïdales, les astronomes d’antan semblaient l’avoir déjà

découvert, puisque aucun jour de la semaine ne lui correspond.

Intéressant. De la même manière, la symbolique entourant le chiffre 8

trouve dans le Septagraph une singulière résonance. Nos douze heures

de jour, selon une définition tempérée âgée de trois-mille ans, se com-

prennent entre 6 h du matin et 6 h du soir et se divisent en huit tran-

ches de 90 minutes. Alors pourquoi faudrait-il ne s’en réapproprier que

sept fois une part? Simplement parce que les jours de la semaine ne

sont qu’au nombre de sept et que la huitième manquante surviendrait,

n’en déplaise à ceux qui se lèvent tôt pour mieux posséder le monde,

durant un laps de temps où il fait encore nuit, de 6 h à 7 h 30 du matin.

Le sort récemment réservé à Pluton semble donc admis depuis la nuit

des temps. Les Jeux olympiques de Pékin ont été déclarés officiel-

lement ouverts le 8 août 2008 à 20 h 08 et huit secondes.

SEPTAGRAPH: LE TEMPS RESTITUÉUniquement pour les initiés? BorgeauD célèbre, grâce à une nouvelle complication horlogère, les tranches horaires qui vousappartiennent chaque journée. Vos prochaines semaines ne seront plus jamais les mêmes… Trois millénaires d’observa-tion céleste l’attestent. Par Joël A. Grandjean | Rédacteur en chef JSH – Journal Suisse d’Horlogerie

Marc Aeschbacher, rescapé de la finance à hauts risques, est devenu l’âme de BorgeauD.

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MoteurLa course aux indépendances

JOURNAL SUISSE D’HORLOGERIE No 1/2009 – MAI 2009

Calibre Minerva.

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Particulièrement vivace en Asie, la symbolique

du chiffre 8, symbole d’infini, d’harmonie,

voire d’opulence, est inscrite dans les anales

temporelles. Le Septagraph s’en réclame

jusque dans son originelle expression.

Einstein disait: «Tout homme qui prétend

pouvoir interpréter et enseigner les choses de

l’au-delà doit être la risée des dieux…» La

paternité même de la citation interpelle.

L’homme de science aurait donc à la fois émis

la supposition de l’existence d’un au-delà

tout en lui attribuant quelque divine ori-

gine… Muni de sa complication inédite,

autant que visuellement empli de poésie, le

Septagraph ouvre les portes d’un temps

initiatique. �

Du haut de ses 46 mm de diamètre, le Septagraph deBorgeauD célèbre les héritages horlogers suisses des

vallées. Appliques en or sur cadran gravé et azuré, chiffresromains et, pour le 7 et le 8, chiffres arabes. Initiatiques

initiales «SP». Calibre BRG 11501 (réserve de marche: 42 h;25 rubis). Boîte en or rose ou blanc, étanche à 5 atm.

Boucle déployante, verre saphir convexe, aiguilles facettées main, cabochon monogrammé B.

Marc Aeschbacher,l’âme de BorgeauD A ceuxqui trouveraient cette complication-là bien

inutile, ce rescapé de la finance à hautsrisques, reconverti dans le concret d’une

production horlogère tangible, argue qu’unpossesseur de chronographe ne joue, en

moyenne, avec ses poussoirs que six à dixminutes durant la première année de sonachat. Originaire de Fleurier, celui qui pas-sait son enfance entre odeurs de fabriqueset légendes horlogères fait revivre un nommythique de l’horlogerie comtoise au XIXe

siècle. Sans pour autant abattre la cartehistorique, il crée un pont entre deux val-

lées gorgées d’histoire horlogère et entraînel’amateur mondial sur la voie jamais

explorée du temps initiatique…www.borgeaudwatches.com

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� THE PHASE DE LUNE BRAND CELEBRATES LEATHER WITH ITSWATCH AND JEWELLERY TRAVEL CASES.

� LA MARQUE PHASE DE LUNE CÉLÈBRE LE CUIR À TRAVERS DESÉCRINS DE VOYAGE POUR MONTRES ET BIJOUX.

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In 1571 or 1572, the Earl ofLeicester offered Queen

Elizabeth 1st of England a roundwatch set with diamonds suspendedfrom an armlet. For DominiqueFléchon, first historian of theFondation de la Haute Horlogeriein Geneva, “historians believe thiswatch to be the ancestor of thewristwatch. Almost a century later,in his History of Port Royal, M. Gazier indicates that Pascal(1623-1662) wore his watch on hiswrist.” Finally, and it’s by then thegreat time of the arrival of thewrist watch, in May 1927, theRevue Horlogère published anengraving, in which one of thefour horse riders is apparentlywearing a watch on his wrist. Little by little, from the twentieson, the pocket watch emergedfrom its hiding place. In order toshow itself off and be seen on thewrist, it left the waistcoat of theelegantly dressed men and thefemale accessories, where it hadbeen hidden away in a highly

WATCHMAKINGAND LEATHER: COMBINED DESTINIES

THE HISTORY OF WATCHMAKING BECAME ASSOCIATED

WITH LEATHER AS SOON AS THE TIMEKEEPER LEFT THE POCKET FOR THE

WRIST. APART FROM TEMPUS COMPUTARE, THE ONLY WATCH BRAND

INVOLVED WITH VEGANISM, OTHER BRANDS HAVE USED IT…

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miniaturised form. Such a revolutiongreatly favoured the leatherbracelet, as this material was availablein many different finishes and fromvarious sources. Moreover, its processing, as part of the art ofwatchmaking, involves many craftsman skills and practical know-how. It was in fact during this periodthat the Hermès brand, originally amaster craftsman in harness-makingand saddlery, became interested inwatchmaking. Firmly believing in astrategy of involvement aiming toestablish itself everywhere thatexpertise was present in its mostconcentrated form, the brand actedas precursors and established itselfalready in 1978, in Brügg near Biel.Quite recently, the knot has beenfully tied: La Montre Hermès hasnow started producing leatherbracelets. “Since 2006, our factoryin Brügg has integrated the leatherbracelet workshop, thus combiningits saddlery know-how with itswatchmaking creativity. Thanks tothe Hermès heritage, our leather

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The time is on display everywhere, and there’s no need towear a mechanical timekeeper on one’s wrist, equipped

with many complications, each no doubt more justifiable thanthe other. Said more simply, the smartphone, touch screens andcomputers, all synchronized via their operating systems, take itupon themselves to record how precisely the time is passing, andsometimes without being asked to. Before the nth crisis thatshook the watch industry at the beginning of 2009, a certainsector of luxury watchmaking that was different began to reinterpret the reactions to the reading of time, with a stream ofbold innovations, often so visible that they made the dial redundant. This niche phenomenon, born thanks to the arrivalof independent watchmakers who were bursting with creativityand an impressive mastery of the art of manufacturing, evenattracted the large brands, for whom a rich heritage and historicbackground should have already been enough. All phenomena are heralded by precursors. To put it in termsthat country people would understand, watchmaker RogerDubuis calls them “snowploughs”. Thus, in the world of those producers of watchmaking UFOs, who areto watchmaking what strip cartoons or caricatures are to literature, the Urwerk brand played the role of theprecursor. Finally, if the worst deviations were allowed to surface, it was because the highly skilled watchmaker, Felix Baumgartner, and the designer, Martin Frei, had already opened the way in 1995. Theywere followed by brands such as Ladoire, Hautlence—an anagram of Neuchâtel—, AK Genève, no longerin existence today, Cabestan, Les Maîtres du Temps, Manufacture Royale and, another of the most creativeand timeless snowploughs, the MB&F brand, alias Maximilian Büsser & Friends. Through his HorologicalMachines, this man, whom history will record as being the author of the Opus saga at Harry Winston—in

HAVING EATEN ITS FILL OF THE UNUSUAL AND THE TECHNOLOGICAL, AND

RECOVERED FROM AN UNCOMFORTABLE CRISIS IN 2009, WATCHMAKING HAS COME BACK TO ITS

FUNDAMENTALS. A RETURN TO THE SAFE VALUES, TO WATCHES THAT FINALLY JUST TELL THE TIME!

THE BIG COMEBACKOF THE CLASSIC

� OPPOSITE, ABOVE: H. MOSER & CIE INCARNATES TODAY’S CLASSI-CISM. OPPOSITE, BELOW: BLACKSAND GENÈVE AND ITS UNIFORMITYMODEL. BELOW: VACHERON CONSTANTIN: THE ART OF THE SLIMLINE.

� CI-CONTRE, HAUT: H. MOSER & CIE INCARNE LE CLASSICISME D’AU-JOURD’HUI. CI-CONTRE, BAS: BLACKSAND GENÈVE ET SON MODÈLEUNIFORMITY. CI-DESSOUS: VACHERON CONSTANTIN, L’ART DESEXTRAPLATES.

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Client: Heure Magazine | Flyer Baselworld

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Client: Heure Magazine | Mise en page

Deux marques, comme deux nou-

veaux emblèmes pour la matière

plastique dans l’horlogerie. La

première, Bill’s Technologies, est suisse

et a été imaginée par deux jeunes

étudiants en commerce, désireux de

lancer une marque de produits innovants

et originaux. Le modèle Bill’s Slap

Watch cartonne un peu partout dans le

monde. Il faut dire qu’il a de quoi séduire

les amateurs d’horlogerie fun et ludique,

mais aus si les adeptes de nouvelles ten-

dances. Cette montre caméléon dispose

de deux cadrans interchangeables et

pouvant se marier avec quinze coloris

différents. En achetant deux montres, il

est donc possible d’en avoir trente. Une

idée simple qui rencontre un énorme

succès. Etanche à dix mètres, la Bill’s

Slap Watch dispose d’un mouvement

japonais, d’un bracelet en silicone et

d’une fermeture de bracelet originale

puisqu’il suffit de la faire «claquer» sur

son poignet pour qu’elle se referme d’elle-

même. Un modèle adapté aux enfants et

à la gent féminine est également dispo-

nible; il a été baptisé Bill’s Slap Watch

Mini et ressemble au précédent, mais est

doté d’une taille réduite. Par son côté

original et ludique, la marque Bill’s

Technologies a encore de beaux jours

devant elle. D’autant que son marketing,

principalement basé sur les réseaux

sociaux, colle au plus près de son public.

RETOUR EN GRÂCE: LE PLASTIQUE, C’EST FANTASTIQUE!

Souvent décrié alors qu’il est à la base de profonds changements dans le milieu horloger, le plastique revienten force avec deux marques qui cartonnent: Bill’s Technologies et Ice Watch. Par Fabio Bonavita

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La société suisse Bill’s Technologies propose des montresen plastique avec cadrans interchangeables.

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A-t-on atteint le sommet? Tant que le moteur sera la quête du com-

plexe, le défi et la nouveauté, le sommet ne fera que s’éloigner de

plus en plus.

POÉSIE, UNE AUTRE LECTURE DU TEMPS Dans le premier épisode de ce dossier «La montre compliquée: à la

conquête du cœur des dames», il était question des messages et des

versets codés dans les montres émaillées genevoises du XVIIIe siècle.

La montre était alors un messager; le commanditaire faisait part

de ses joies, espoirs, souhaits du moment en les «inscrivant»

pour de longues années dans des garde-temps précieux. Cette

valeur symbolique et intime a été transcrite en un conte enchan-

teur que le joaillier parisien Van Cleef & Arpels a su animer à

travers les garde-temps à complications.

IDERRIÈRE LA POÉSIE, LA COMPLEXITÉ La liberté d’esprit des créateurs joailliers, qui peuvent recréer la

nature, s’est approprié la formidable scène que leur présentait

l’horlogerie. Comme dans une pièce de théâtre, chacune des

Complications Poétiques fait vivre et revivre son thème – la

nature, la surprise, l’amour… – selon la fonctionnalité choisie et

érigée en rôle principal. Les visions poétiques des joailliers de la

maison sont transcrites par les horlogers-concepteurs des manu-

factures suisses de renom. Ou alors, elles sont le fruit d’associa-

tions avec des horlogers avant-gardistes. Chaque métier a sa

juste valeur, comme c’était d’ailleurs le cas dans la pratique,

entre les ateliers genevois d’horlogers, émailleurs et joailliers.

35

MÉTIERS D’ART ET SOPHISTICATION TECHNIQUE

La complication féminine exprime, en cette fin de décennie,des valeurs suprêmes, fruits de la synthèse des savoir-faireséculaires, des métiers d’art, de la maîtrise des hautes techno-logies, aussi bien horlogères que de taille de diamants et pierresprécieuses de couleur et du sertissage. Pas étonnant que lataille baguette prime, s’adressant aussi bien aux femmesqu’aux hommes. La haute performance est le résultat d’unevolonté de dépassement des contraintes, de conceptionsingénieuses et d’un outil technique de pointe, plus le fait d’oser.La plus grande fierté est de maîtriser la totalité de ces opérationsà l’interne. Ce type de produits renforce l’identité de manu-facture. Ce sont des emblèmes. �

Chopard, Genève, 2009, L.U.C Tourbillon Lady. Mouvementà remontage manuel, tourbillon et petite seconde, cal.

L.U.C 4T.

Audemars Piguet, Le Brassus, 2007. Millenary Ciel Etoilé. Mouvement à remontage automa-tique 3123/3908, seconde au centre, phases de lune, date et réserve de marche.

32-41 femmes:maquette base heure_05 21.10.11 19:08 Page35

Eterna

KonTiki DateCommémorant l’épopée de Thor Heyerdahl et ses compagnons,

qui, en 1947, naviguèrent en radeau de la côte péruvienne à l’atoll

de Raroia, en Polynésie, pour démontrer la possibilité d’une

colonisation de celle-ci par des Amérindiens, la montre KonTiki,

lancée il y a un demi-siècle, renoue avec ses racines pour sa

collection 2011. En témoigne ce modèle arborant les célèbres

triangles cardinaux de la toute première KonTiki de 1958 et

affichant, au centre de son cadran, les contours de l’atoll de Raroia. �

RSW

WonderlandCe garde-temps démontre le courage de prendre des risques, de

persévérer et de résister, une philosophie que RSW a depuis

longtemps fait sienne. Avec un design sculpté de veines et

vallées comme creusées par de la lave brûlante, la Wonderland

offre la vision spectaculaire d’une dévastation troublante et belle

comme la terre meurtrie par un tremblement. Déclinée dans une

version classique ou glamour avec d’audacieux sertissages, elle

écrit d’ores et déjà une nouvelle page de la marque. �

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Philip Stein

Prestige TitaniumCette nouveauté Philip Stein, dotée de l’exclusive Technologie des fréquences naturelles visant

à améliorer le bien-être, présente un design en forme de 8, emblématique de la marque grâce

au contraste entre l’extérieur du cadran en fibre de carbone noire et son intérieur argenté.

Outre l’heure et la date, le cadran supérieur est équipé d’une fonction chronomètre qui mesure

les durées au dixième de seconde près. Les deux fuseaux horaires sont mis en mouvement

par un mouvement à quartz indépendant. �

14-21 FR Lancements_maquette base heure_05 20.06.11 18:13 Page18

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UV

EAU

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RE IWC SCHAFFHAUSEN:

L’ASTRONOMIQUE PORTUGAISEIl aura fallu dix ans de recherche et une poignée d’éminences horlogères de haut vol pour parvenir à glisserdans une montre-bracelet, outre un concentré de complications, le temps sidéral et le temps solaire combinés.Par Joël A. Grandjean / TàG Press +41

C ette sidérante montre-bracelet,

répondant au nom de Portugaise

Sidérale Scafusia, ne sera produite

qu’à la demande. Son diamètre atteint

46 mm, même si elle donne l’impression,

galbes et classicisme aidant, d’en faire

moins. Quel meilleur diamètre que celui de

cette ligne iconique pour accueillir, en ses

entrailles, autant de complexités, même

miniaturisées à l’extrême? La collection

Portugaise, devenue mythe, fêtait, en 2009,

son 70e anniversaire. Elle voit le jour en

1939 lorsque deux marchands portugais,

des clients exigeants, de passage à

Schaffhouse, passent commande directe-

ment à la manufacture, née en 1868, d’une

montre-bracelet ultraprécise, disposant des

mêmes fonctionnalités que celles dont se

servaient les grands navigateurs de leur

nation. Elle a ainsi été la première à forma-

liser le format géant au poignet – devenu

ces quinze dernières années un standard

communément plébiscité. Avant de s’impo-

ser en légende dans l’univers des aviateurs,

elle était aussi la première montre-gousset

à être portée en bout de bras.

Il était temps que la manufacture schaff-

housoise, embarquée ces derniers temps

dans une communication dont on aurait

pu retenir, à tort, que le flonflon facile de

tapis rouges foulés par les pieds de celebri-

ties, renoue avec son ADN manufacturier

et tape un grand coup. A force de feuilleter

les pages people, on oublierait presque la

profondeur historique de ce grand vaisseau

horloger, disposant à l’interne des capaci-

tés pour produire ses propres calibres,

comme le 51011, et, surtout, maîtrisant les

arts horlogers les plus aboutis. A l’interne?

Ou, comme la tradition horlogère séculaire

l’autorise en matière de quête de l’absolu,

en puisant dans le vivier scientifique de

haut vol alentours et en s’arrogeant les

compétences des plus grands esprits.

Ainsi, preuve que le style «and

friends» lancé par Maximilian

Büsser fait des émules au pays

de la transparence convenue,

le professeur Ben Moore et

le concepteur indépendant

Jean-François Mojon, respe -

cti vement directeur de

l’Institute for Theoretical

Physics de Zurich et fondateur

de Chronode SA, côtoient, sur la

documentation luxueuse, Stefan

Ihnen, Thomas Gäumann et Mario Klein,

les plus grandes compétences internes

d’IWC en matière de recherche et de mou-

vements. Sans oublier le maître horloger

Stefan Brass.

De cette jonction d’excellences naît une

pièce hors norme, réunissant un panel

d’indications astronomiques affichées avec,

selon la formule, une précision absolue. Un

défi pétri d’ambition, dont l’histoire

méritait largement deux méga events, à

Schaffhouse et au Chili, ainsi qu’une pluie

d’attentions imprimées ou filmées. �

www.iwc.com

26

IWC Schaffhouse a mis, durant dix ans, ses meilleurs éléments sur le développement de ce garde-temps qui sera pro-duit à la demande, n’hésitant pas à faire appel à des compétences externes. Comme au Locle, le concepteur indépen-

dant Jean-François Mojon.

Ci-dessus: Ici, le moduleastronomique ajouté au calibre

94900. Dans un espace minuscule sont indiqués lavoûte céleste, la ligne d’horizon, les coordonnéesgéographiques, le temps solaire, le temps sidéral,l’indication du lever et du coucher du soleil, ainsi

qu’un affichage des phases diurnes et nocturnes, et ducrépuscule. Derrière l’affichage du rang du jour se trouve

un quantième perpétuel entièrement intégré.

Ci-contre: La face de la Portugaise Sidérale Scafusiaconcentre les indications d’usage – heures et minutes –,un temps sidéral lisible sur son sous-cadran placé à 12 h,une jauge de réserve de marche, ainsi qu’un tourbillon

une minute à force constante. A relever, l’aiguille bleuiedes secondes, arrimée à même la cage tournante du

tourbillon.

22-27 Nouveauté:maquette base heure_05 21.10.11 17:40 Page26

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22-27 Nouveauté:maquette base heure_05 21.10.11 17:40 Page27

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finewatches

AndAe plAccAessit re quod quAsimicAt. nAm re eA necAtin

ciusAndit, quiA commod.

E D I T O

102

sollis simust Atur, si odiscil eictAtemqui delest, tem enim lAbo.

Dellam si quam sit, omnimus, tem-porum voluptatur, a iumene audipis di vende endit que porum et event.Ditaquisqui ut vendam fugia pratia voluptatur atur simillabore, sam et,

exceper ferempo repudipsus.

Quodis as ma dicit ommodit oditatur rendess itaesed magnis es molorero estrum latusan debitam sitas iliquat endaest orehene ssundiantiae porae repudig nimoditibus eum hicilit prae

mosto voluptibus quassimus.

S O M M A I R E

4

- 1 -dellAm si quAm sit, omnimus

QuODIS AS MA DIcIT OMMODIT ODITATuR REnDESS ITAESED

- 3 -omnimus

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- 12 -dellAm si quAm sit, omnimus

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QuODIS AS MA DIcIT OMMODIT ODITATuR REnDESS ITAESED

- 37 -omnimus

QuODIS AS MA DIcIT OMMODIT ODITATuR REnDESS ITAESEDODITATuR REnDESS ITAESED

AndAe plAccAessit re quod quAsimiprorepe rferis

R u b R I Q u E

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AndAe plAccAessit re quod quAsimi, cumqui con con et ut Atentiscius, nobisqui que pArcium

Autem voloris rAtius, tetndAe plAccAessit re quod qAsimi, cumqui con con et ut Atentiscius,

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pAtek philippe

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hublot

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tat voluptaqui sitem es ipitis res eum quo blaciassi.

1998 | Repère chrono. 12005 | Reprèe chrono. 22012 | Reprèe chrono. 32013 | Reprèe chrono. 42014 | Reprèe chrono. 5

Client: Fine Watches | Identité Visuelle

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Client: ELLE Magazine | Mise en page

NOEL

TrendyCraquante! C’est l’adjectif qui définit, sans doute,le mieux la nouvelle collection Ladymatic d’Omega. Les montres

affichent des boîtiers polis de 34 mm, avec une bague en céramique. Elles existent avec des biseaux polis ou pavés de

diamants, donnant un effet enneigé.Montre Ladymatic d’Omega.

Mini La J12 de Chanel, qui fête ses dix ans, se présentedans une version nano, dotée d’un cadran de 29 mm. Cette

nouvelle taille accentue le graphisme du boîtier rond à lunettecrantée et exacerbe la force des lignes profilées. Le modèle

existe en céramique noire ou blanche, sertie ou non de diamants.Montre J12 de Chanel.

XVIII

Féminine TAG Heuer joue la féminitéextrême avec la montreCarrera Calibre 5 Lady. Le boîtier de 36 mm, ultrachic,dispose d’une lunette richementsertie de 60 diamants, tandisque le cadran s’orne de 13 diamants avec effet spiral.Elle se porte sur un bracelet cuirou acier.Montre Carrera Calibre 5 Ladyde TAG Heuer.

Années 30 Cocktail de sophistication et devirtuosité, la 883 Extravaganza de Bedat & Co affichel’heure sur une sobre rosace de nacre, autour de laquelleles cercles d’or blanc sertis semblent former une spirale. Lebracelet est inspiré des bijoux des années trente.Montre 883 Extravaganza de Bedat & Co.

Racé La Royal Oak Offshore d’AudemarsPiguet affirme son caractère avec un mariage

entre acier et caoutchouc et un boîtier de 37 mmde diamètre. Les cadrans jouent des contraires:chiffres arabes et index blancs s’inscrivent sur le

cadran noir, tandis que, sur le cadran argenté, lesheures et la trotteuse, noires, se

détachent visiblement. Montre Royal Oak

Offshored’Audemars

Piguet. Glamour La nouvelle Lovely de Tissot porte bien

son nom. Petite et précieuse, elle se pare de 37 diamants,entourant son boîtier rond et lisse d’un diamètre d’à peine 19 mm. Le modèle se décline en six variantes distinctes, en différentes couleurs et matières pour créer différents looks

«haute couture». Les cadrans sont argentés ou nacrés. Montre Lovely de Tissot.

Bleu intense Hermès s’est inspirée de la beauté du bleu de Malte poursa nouvelle montre Cape Cod. Sur un braceleten veau lisse bleu de Malte vient s’attacher leboîtier de ce garde-temps, dont les formesdouces, évocatrices d’un maillon de chaîned’ancre, s’arrondissent dans une version tonneau. Le cadran blanc est orné d’aiguillesargentées et de chiffres arabes stylisés, dontle contour se dessine également en bleu. Montre Cape Cod d’Hermès.

Par ODILE HABEL

Page 12: Brandlift | Design for watchmaking

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Publi-reportage

Patek Philippe

Sommaire Patek Philippe dans Le TempsAu cœur de son histoire

Page 1 Les Salons: quintessence d’un mot ordinaire

Page 2 & 3Une bâtisse historique si accueillantePatrick Cremers, motivations horlogèresAntoine Norbert de Patek, voyages obligés

Page 5, 6 & 7Agapes chaleureuses sur le coup de midiLes thèmes des Midis HorlogersPetra de Castro, bâtisseuse ès relationsPartages prolongés en vitrineLa Nautilus révolutionQuantièmes Perpétuels, symphonie en battements d’ailes

Rue du Rhône, les salons Patek PhilippeLa marque se sert de mots familiers qu’elle érige en repères. Derrière la façade séculaire, une vision d’avenir

Dans Les Salons, le garde-temps Patek Philippe travaille pour les équipes. Il est à la fois prétexte de la rencontre et cœur de la relation.

Qui s’attendrait à tant de jouvence venant d’une marque créée en 1839, enracinée dans le terroir local au point de disposer d’un musée horloger qui embrase bien plus que son unique histoire, ainsi que de sa propre Manufacture intégrant l’ensemble des métiers et des savoirs dont elle se réclame ? Lorsque l’enseigne historique se met en mouvement, c’est toujours en éclaireuse, en baliseuse de terrain. Souvenez-vous, c’était en 1996, dans un contexte de morosité communication-nelle et d’uniformité corporatiste, la marque adoptait déjà un concept publicitaire qui osait taquiner la notion d’éternité. Aujourd’hui encore, sous l’appellation campagne géné-rations, une récente déclinaison de visuels continue de prôner la transmission qui relègue l’objet à un prêt passager, au fruit d’un gardiennage. Qui d’autre aurait pu ainsi jouer avec l’éternité sans être soupçonné de suffisance ? N’empêche que la formule a pris l’avantage sur toute dimension patrimoniale dont un garde-temps d’exception se voudrait chargé. Cet héritage-là se nourrit avant tout de valeurs.

Dans Les Salons, le garde-temps Patek Philippe travaille pour les équipes. Il est à la fois prétexte de la rencontre et cœur de la relation.

En matière de commerce de détail, l’horloge-rie n’a de cesse de se réinventer. Historiquement, cet univers est construit sur un savant dosage entre relations fidèles avec des détaillants et implantation de boutiques dites monomarques, puisqu’elles ne sont le temple que d’une seule enseigne. Tandis que tous rivalisent d’ingénio-sité et de discours disruptifs, les uns multipliant les happenings, les corners vip, les autres les opérations de séduction, la visite médiatisée de célébrités ou l’orchestration d’events, la marque Patek Philippe, qui dispose de temps et de vision, ose et impose une terminologie nouvelle, bien plus innovante qu’il n’y paraît: Les Salons.

Les Salons, des espaces habitésLe mot ne paie pas de mine, de prime abord,

il est simple et semble ordinaire. Il pourrait même produire une certaine confusion pour peu que l’actualité traverse une période d’expositions, de foires. Seulement voilà, ce mot s’installe, se fraie un chemin dans les échanges entre amis ou connaisseurs. Peu à peu il dévoile l’immensité de ses territoires d’exploration. Il est comme cette lumineuse auberge espagnole

dans laquelle chacun peut accrocher son vécu et ses souvenirs. Les Salons sont chargés d’une symbolique profonde où entrent en réso-nance des notions telles que chaleur, intimité, confiance, ouverture d’espaces exclusifs, réser-vés. Et surtout habités.

De part et d’autre, le respect A l’heure où les réseaux sociaux ont redéfini

en l’édulcorant le sens du mot ami, le groupe nominal Les Salons fait office de repère. Il tranche, il s’érige en un formidable rempart contre la flagornerie clientéliste ou contre les proximités trop travaillées. On entre ici avec la conscience qu’on y est sincèrement invité et que l’hôte des lieux, à taille humaine et familiale, s’est employé à tout mettre en œuvre pour que le séjour de quelques minutes ou de plusieurs jours marque le début ou la continuité d’une relation inscrite hors des contingences commer-ciales.

Ici, le produit travaille pour les équipes, il est à la fois le prétexte de la rencontre et le cœur de la relation. Vendeurs et clients baignent ensemble dans une atmosphère bercée de

passion commune, traversée d’envies de partage, saupoudrée du sel de la connivence. Du hall d’entrée aux pièces les plus privées, le marke-ting expérientiel selon Patek Philippe – c’est l’appellation donnée à ce nouveau graal par les gourous du genre – ne se la joue pas hôtel particulier en pleine opération portes ouvertes. Il emprunte les espaces et les étages d’une demeure habitée par des êtres de chair et de sang, organisés de manière à pouvoir passer avec l’invité le temps qu’il faut, sans jamais avoir à le compter. Ce vrai luxe est perceptible, il n’a rien de feint ni d’imité. Il est un retour aux fon-damentaux, la matérialisation d’une relation. A Genève, berceau historique, à Paris et à Londres, Les Salons se conjuguent aux temps bénis du respect.

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Philippe dispose également, à Paris et à Londres, de ses propres Salons de vente, tous frappés de ce sens de l’accueil si particulier. Reste que Genève, il s’agit d’un investissement majeur pour la marque, est le seul endroit au monde où se trouve expo-sée toute la collection. Une autre manière d’exprimer, de la part de la famille Stern, à quel point ce haut lieu compte à ses yeux. Et quand bien même une importante équipe y officie, c’est toujours comme si les maîtres des lieux vous recevaient en personne. Ce qui d’ailleurs se produit régulièrement.

Qui pourrait supposer qu’envi-ron 50’000 personnes franchissent annuellement à Genève le seuil des Salons ? La première question est d’ordre mathématique. Comment peut-on recevoir une telle marée humaine, selon les valeurs chères à la maison, comme cette optique de ne jamais compter son temps lorsque l’on est en entretien ? Tout a été pensé ici pour que les 150 à 200 per-sonnes qui s’y rendent chaque jour ouvrable – il s’agit d’une moyenne – puisse vivre un moment intense. Une parenthèse attentionnée qui, selon la passion, peut s’éterniser. Le team compte 10 conseillers de vente ainsi qu’une collaboratrice spécifi-quement dédiée à l’accueil, chargée

d’orienter les hôtes en fonction de leurs besoins et… de leur langue, car celles parlées ici sont au nombre de 27 !

Genevois et Suisses aux premières loges

Passée la première exaltation de se trouver en ce lieu, c’est un sentiment de proximité humaine qui domine. Le sentiment d’être admis dans un chez soi, celui d’une famille dont l’âme est présente, jamais envahissante car placée sous le signe du partage. Une présence particulièrement ancrée dans ses racines puisque le lieu vit également par et pour Genève. En effet, le programme des Midis Horlogers se destine à emplir ce bel écrin d’une actua-lité locale, d’une vie concitoyenne orientée culture et transmission des savoirs horlogers. Y sont conviés, dans la mesure d’un nombre limité de places, confort de la relation oblige, les amis locaux de la marque. Ceux qui, sur place ou en provenance du reste de la Suisse, ont un jour acquis un de ces trésors dont ils ont désiré être les gardiens. Et qui demeurent à de-meure, les ambassadeurs privilégiés d’une famille synonyme d’enseigne prestigieuse.

***

Entrée principale Les Salons Patek Philippe, 41 Rue du Rhône, Genève.

Les Salons Patek Philippe, vue du Quai du Général- Guisan, Genève, vers 1907.

Visionnaire, Antoine Norbert de Patek est l’un des premiers acteurs de l’économie locale à quitter la rive droite et les Bergues pour élire domicile à la Rue du Rhône. Son acte signe le début de l’essor de cette partie de Genève.

Qui pourrait supposer qu’environ 50’000 personnes franchissent annuellement à Genève le seuil des Salons ? Tout a été pensé pour qu’elles vivent ici un intense moment de partage.

Salons privés

Tribulations sur le coup de midi

Antoine Norbert de Patek, voyageur malgré lui

Appelés à alimenter l’actualité locale, Les Salons Patek Philppe se transforment régulièrement en lieu de conférence et de culture pour les clients et amis de la maison.

Quelques privilégiés embarqués dans ces échanges culturels eurent l’occasion de suivre les pérégrinations voyageuses du fondateur de la marque. Faut-il rappeler que c’est au cours de l’un de ces voyages, à l’Exposition Universelle de Paris, qu’il rencontre l’horloger Adrien Philippe, père de la première montre à remontoir et mise à l’heure à la couronne ? Il le convaincra de revenir à Genève, de prendre la direction technique de sa fabrique, avant de s’associer avec lui pour créer en 1851 la société Patek Philippe & Cie.

Sous le titre «Les tribulations d’Antoine Norbert de Patek, Voyageur malgré lui», grâce à l’inestimable travail réalisé par les historiens du Musée et grâce aux archives historiques de la manufacture, l’assistance s’est vu replongée dans une époque où les déplacements transnationaux et intercontinentaux avaient valeur d’épopées. A grands renforts de mappemondes annotées et de citations intimes, ce sont de belles pages de l’histoire de la marque qui ont été lues.

Pour faire connaître son exceptionnelle production et afin qu’elle rencontre un public d’acheteurs à travers le monde, Antoine Norbert de Patek, qui apparemment aurait sincèrement préféré rester à Quai, n’hésitait jamais à payer de sa personne. Avec lui, on embarque dans des tournées riches en anecdotes. De Varsovie à Versoix, de ses tous premiers voyages à ses tournées aux Etats-Unis et en Europe orientale… Il y est même question d’une fausse tournée en Angleterre.

L’histoire permet d’asseoir dans le marbre la trajectoire d’un homme, bien avant que son nom ne s’érige en marque. On le suit de Lublin, ville de la Petite Pologne d’où il s’exile, jusqu’à Versoix où il échoue puisque

l’un de ses compatriotes y séjourne. Pêle-mêle, on relit un article de l’édition 179 du Journal de Genève datant du 31 juillet 1851. Antoine Norbert de Patek, au nom du secteur horloger de l’époque, remercie publiquement les commissaires fédéraux en charge de l’exposition de Londres, dont un compte-rendu avait été publié quelques jours plus tôt. Toujours dans le même journal, cette fois en 1854, il est question de la problématique du commerce avec les Etats-Unis, dont l’attitude en matière de contraintes respire le plus arbitraire des protectionnismes. Enfin, on découvre son acte de naturalisation au travers d’un document qui fleure bon les faiseurs de Suisses de l’époque : «En conséquence, nous déclarons que le susdit Norbert Antoine de Patek, ses enfants encore mineurs et ceux à naître, jouiront de tous les droits attachés à la qualité de Citoyen Genevois». Il est ainsi naturalisé le 29 mai 1843 après avoir prêté serment en séance publique et s’être acquitté d’une somme de cinq cents francs…

Au fil de ses écrits personnels ou de cartes postées de ses escales, cer-taines phrases de l’horloger témoignent de ses réticences au voyage. De sa désillusion lorsqu’un navire du nom de Niagara est réquisitionné par le gouvernement anglais, l’empêchant de se rendre à Londres. «Vous savez que je devrais être déjà à Londres. Eh bien, j’ai appris hier soir que Nia-gara a été pris par le gouvernement anglais pour transporter les troupes en Orient…» Autre confession au détour d’une lettre, qui témoigne de sa concentration sur ses objectifs: «Je ne suis pas allé chez Sleszinski, afin que les compatriotes ne sachent pas mon séjour ici, pour éviter grand nombre de visites.» Ou encore «…Par un temps épouvantable. Dieu seul sait combien j’en ai souffert.»

«Resserrez-vous car la crise est grande»Il y a aussi ce témoignage d’un brigandage qui démontre que New York était déjà de son temps une mégapole insécure: «Nous sommes arrivés à midi, à 5 heures nous sommes descendus pour dîner. Pendant ce temps, on a crocheté les portes de quatre chambres, dont la mienne, on y a arra-ché les serrures de nos malles, coupé les sacs, volé tout ce qu’il pouvait y avoir en or ; heureusement que je n’avais pas de bijoux...» - «Jugez donc de la sécurité qui règne ici, on m’a répondu que c’est ainsi dans tous les Etats Unis, le maître de la maison n’est responsable que de ce qu’on lui remet. Enfin à la garde de Dieu, je ferai mon possible, mais je ne présage pas grande chose de cette expédition. Resserrez vous car la crise est grande.»

Finalement, c’est en ces termes qu’il exprime son mal du pays lorsqu’il est à l’étranger. «Mes amis, les tribulations du voyage commencent. Quand pourrons-nous fabriquer assez avantageusement pour attendre les acheteurs chez nous, au lieu de courir le monde avec nos produits à grands frais d’argent et de santé ?» Aurait-il imaginé qu’un jour, les acheteurs se déplaceraient du monde entier pour venir chercher leur garde-temps dans Les Salons de Genève ou pour renchérir dans des excès de fièvre acheteuse sous le bruit des marteaux des grandes ventes aux enchères ? Visionnaire, assurément, Antoine Norbert de Patek était un visionnaire.

Publi-reportage Patek Philippe

dimension générationnelle, entrete-nue par une campagne publicitaire en phase avec ce composant d’ADN, entretient le mythe. «La montre constitue physiquement comme philosophiquement, surtout pour les hommes, un objet de transmis-sion à la génération suivante. On lègue ainsi un des rares objets très personnels que l’homme porte sur lui quotidiennement. On lègue son histoire, car au poignet la montre aura vécu toute une histoire, on lègue une certaine responsabi-lité et une conscience du temps.» explique Petra de Castro, l’âme des Salons, chargée de leurs liens avec l’extérieur et des relations avec leurs clientèles. Cette dimension incarne l’héritage laissé par les huguenots accueillis à Genève, à savoir qu’un être humain doit se garder de se croire puissant et éternel, qu’il doit avec humilité compter les jours que Dieu fait. La démarche relève de la passation de la vie, à la génération d’après.

Construire la relationLes collectionneurs interna-

tionaux font l’objet d’attentions multiples, telles ces visites à la Manufacture ou ces réceptions courues à Château Blanc. Elles sont, pour ces inconditionnels, l’occasion de primeurs et d’introductions autorisées dans le saint des saints. Les Genevois ne sont pas en reste. Un programme taillé pour eux, pro-pice à s’insérer harmonieusement dans des agendas chargés, leur est réservé. Ainsi, sur le coup de midi, au rythme des saisons, Les Salons s’ouvrent à eux.

Les hôtes du lieu se mettent en quatre pour pratiquer l’art d’un accueil exempt de lourdeurs, tout en finesses. Jusque dans leurs accompagnements gastronomiques, ces moments bénis baignent dans la convivialité et l’envie de partage. Et si des programmes similaires, ponctuent l’actualité des autres Salons Patek Philippe, plutôt en soirée, à Paris ou à Londres, ils n’auront jamais autant la saveur de ces Midis réservés aux amis de la marque qui vivent ici, à ces voisinages si précieux. D’ailleurs, faut-il le rappeler, l’ultime marque d’une attention inégalable est le fait que les Salons de la rue du Rhône sont le seul endroit au monde où se trouve exposé l’ensemble de la collection de la marque.

***

La poésie rythmée du temps

Les Midis Horlogers, partages culturels

Salon 5ème étage style Art Déco, Les Salons Patek Philippe, 41 Rue du Rhône, Genève.

Salon d’accueil, Les Salons Patek Philippe, 41 Rue du Rhône, Genève.

Patek Philippe Publi-reportage

Les Midis Horlogers: une thématique animée par des gens de l’intérieur. Dès le début, la marque a érigé son sens de la consignation par écrit en art de transmission.

Au cœur du splendide écrin que sont Les Salons de Patek Philippe à Genève, une relation

très forte avec les habitants n’en finit pas de se tisser. Au travers notamment d’événements qui transcendent l’envie de partage et d’échange. Au fil d’une théma-tique qui se distancie de la simple volonté commerciale, ces immer-sions dans la culture horlogère et ses savoirs spécifiques, sur le coup de midi, réjouissent les amoureux de la belle horlogerie.

Sur invitation seulement, les Midis Horlogers ont le don d’attiser les passions avérées comme les curiosités naissantes. Le virus horlo-ger, lorsqu’on l’attrape, ne laisse jamais indemne. Il s’agit d’une affection – le mot s’y prête particu-lièrement – qui, une fois attrapée, n’a de cesse de progresser. Ainsi le novice, soudainement contaminé, ne sera jamais mal à l’aise face au connaisseur patenté, tant cette pas-sion appelle à la communion. En ce genre de petits comités que sont ces agapes horlogères, il ne sera jamais gêné de ce qu’il ne sait pas mais de ce qu’il n’ose pas demander. Quant à celui qui sait, son envie de transmettre supplante toute forme de jugement. Au contraire, pouvoir participer aux explications devient un privilège et le moteur puissant de relations durables.

Proximités réciproquesA Genève, sur les 40 à 50’000

visiteurs qui poussent la porte annuellement des Salons, 65% viennent d’ailleurs. Cette clientèle nationale et internationale, fascinée par cette incursion au cœur d’un univers familial, vit ce moment comme un pèlerinage. Patek Phi-lippe, avant d’être le fleuron d’une horlogerie suisse d’excellence, reste une enseigne chargée d’émotionnel. Pour les 35% restants, la clientèle locale, la proximité n’a jamais été une cause de tiédeur relationnelle. Au contraire, ils perçoivent le privilège teinté de fierté de vivre dans le berceau mondial de l’hor-logerie suisse, d’en côtoyer l’un des fleurons, et surtout de pouvoir faire partie d’une famille. D’être aussi

à quelques pas du Patek Philippe Museum, un musée dont les trésors historiques dépassent largement l’univers d’une seule marque, de vivre à proximité d’une Manufac-ture indépendante générant plus d’un millier d’emplois et entrete-nant des savoir-faire mythiques. Une fierté enfin régulièrement alimentée par des articles dans les médias relatant les vertigineuses performances de pièces anciennes et rares vendues à l’encan.

En retour, la famille Stern a toujours été profondément reconnaissante des témoignages d’affection qui la conforte dans son enracinement local. La maxime qui voudrait que nul ne soit prophète en son pays ne s’applique pas à son histoire. Au contraire, la force de son assise se nourrit de ces conni-vences exceptionnelles, de ce tissu d’amitiés rapprochées. De ce qu’elle doit aussi à cette ville où Antoine Norbert de Patek avait élu domicile. Philippe Stern n’a-t-il pas choisi d’installer, et de montrer lors de la réouverture des Salons en 2006, sa

collection personnelle de peintures lacustres, toute dédiée à l’étendue du Léman et aux scènes de vie qui s’y jouent. Ces toiles tapissent le feutré d’un des étages les plus pri-vés de cette bâtisse, le cinquième. Sur fond de décors naturels avec vue privilégiée sur la rade, le jet d’eau et les rives du lac.

Etincelle historiqueRarement produit horloger ne se

sera à ce point nourri d’histoire et de culture. Des garde-temps Patek Philippe, qu’il s’agisse de pièces rares et exclusives ou de modèles produits en des volumes plus conséquents, il n’est pas une référence qui n’échappe aux registres ni un registre qui n’aie été soigneusement conservé. Car depuis le dé-but, la marque et ses deux familles propriétaires ont érigé le sens de la consignation par écrit en art de transmission. C’est d’ailleurs cette richesse d’archive qui affole les collectionneurs et les chineurs de trésors, c’est elle qui rassure les acheteurs actuels. Car la

Les Midis Horlogers, partages culturels et passionnels

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La poésie rythmée du temps

Vitrine d’été, Les Salons Patek Philippe, 41 Rue du Rhône, Genève.

Vitrine d’été, Les Salons Patek Philippe, 41 Rue du Rhône, Genève.

Heure Universelle Dames Réf. 7130.

Pour les Genevois et la clientèle locale, un programme taillé sur mesure, propice à s’insérer harmonieusement dans des agendas chargés.

Invitations Midi-Horlogers «Chronographe».

Invitations Midi-Horlogers «Nautilus».

Publi-reportage Patek Philippe

Client: Patek Philippe | Encart Le Temps

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Les saLons Patek PhiLiPPe Genève, sur le coup des Midis HorloGers

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Programme d’échanges culturels et de transmission des savoirs horlogers, les Midis horlogers contribuent à raffermir les liens privilégiés que la marque entre-tient avec ses publics locaux. au cœur du berceau qui l’a vu naître, dans un écrin historique, au 41 rue du Rhône.

Autrefois désignée le Magasin, la bâtisse qui se dresse façon hôtel particulier face au lac, avec vue imprenable sur ses berges naissantes et son célèbre jet d’eau, devient les salons en 2006. elle vient de connaître d’ultimes réaménagements. en matière d’appropriation de concepts novateurs, à l’image de sa fameuse campagne publicitaire générationnelle qui conjugue l’éternité et non le temps, la nouvelle terminologie lancée par patek philippe creuse un sillon avant-gardiste dans l’univers du commerce de détail. Quel meilleur terme pour résumer la quintessence d’un savoir accueillir placée sous le signe du respect mutuel et de la réception dans un chez soi? en ces murs en 1939, la marque signait encore «les Maîtres Joailliers». plus tard, l’actuel président de patek philippe, Thierry stern, y jouera enfant. ici, pas d’uniforme derrière lequel se dissimuler, juste un concentré de person-nalités qui se concertent au quotidien pour cultiver des relations durables. un accueil pétri d’une humilité qui ne vire jamais à l’obséquieux, qui cultive sa différence: plus d’une vingtaine de passionnés, dont des horlogers, pour 27 langues parlées. une vraie famille.

Connivences exceptionnelles et moments bénissur les 40 à 50’000 personnes qui fran-chissent le seuil des salons patek philippe au 41 rue du rhône – 150 à 200 quotidien-nement –, 35% sont des locaux. des voisins,

des amis, des clients et des gens d’ici dont la proximité nourrit l’assise de la marque en sa ville. ces visiteurs particuliers seront toujours aux premières loges. la demeure leur est ouverte, pour un café, un anni-versaire, ou pour tout autre témoignage d’amitié. evidemment, aussi pour y parler

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antoine norbert de Patek, visionnaire.

A son époque, il est l’un des premiers acteurs de la vie locale économique à se déplacer de ce côté-ci de Genève, sur la rive droite, délaissant un Quai des Bergues dont l’attractivité se comparait alors à celle des champs-elysées. en achetant en 1891 l’immeuble dans lequel il a installé son entreprise déjà en 1853, il amorce le phénomène rue du rhône dont l’essor est aujourd’hui connu du monde entier. désireux d’y apporter des modifications, il finit par le reconstruire entièrement. sous la houlette de l’archi-tecte Jacques elysée Goss, sommité à qui l’on doit entre autres le palais Wilson et Grand Théâtre, il le dote des dernières avancées technologiques, comme l’électricité et le chauffage central. Antici-pant l’inéluctable industrialisation de son secteur, c’est dans cette demeure qu’il installe ses ateliers. depuis 1932, lorsque la famille stern rachète la marque, ce lieu originel, encore avant la construction de la nouvelle Manufacture en 1996 et l’ouverture du patek philippe Museum en 2001, résonne de toute sa charge historique.

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1. Petra de Castro, à l’entrée du salon historique Patek Philippe.2. En 1850, l’immeuble Patek Philippe abritait la manufacture d’horlogerie3. Au programme des Midis Horlogers: Les Quantièmes Perpétuels, comme cette première pour dame, la référence 71404. Les Salons Patek Philippe, une demeure face au lac: salon VIP au 5ème étage5. xxxxxxxxxxxx6. xxxxxxxxxxxxxx

pied un programme unique. sur invitation, exclusivement réservés aux gens d’ici, les Midis Horlogers, des agapes d’excellence, offrent une dizaine de fois par année leur concentré de culture à grands renforts d’at-tentions. Tout y est finesse. les experts de la Manufacture de plan-les-ouates y font ré-gulièrement le déplacement, ils racontent, ils expliquent. ensemble, on apprend, on échange, sur fond d’une gastronomie légère, délicieuse, en phase avec le thème. «l’invité pourra entendre ici des choses qu’il n’entendra ou ne verra nulle par ailleurs», s’enthousiasme petra de castro, en charge de ces Midis Horlogers. entrée en 1982 en ce lieu dont elle connaît tous les recoins, elle en est l’âme et le visage, aux côtés du directeur patrick A. cremers, une figure incontournable de la marque, appréciée des connaisseurs et des inconditionnels.

echanges et confidencespetra de castro peaufine chaque détail de ces programmes spécifiquement concoc-tés pour les clients et amis de la marque basés alentours. elle s’appuie sur le savoir des historiens, participe aux recherches, à l’élaboration de la documentation, tant dans sa forme que son fond. les thèmes sont variés, certains reviennent et se com-plètent au fil des ans. elle se souvient de l’un des premiers, en décembre 2010. sous l’intitulé «diamonds are girl’s best friends», s’étaient retrouvées uniquement des

femmes, fascinées par l’exposé d’un ex-pert venu tout droit du département haute joaillerie de la Manufacture. Magique! en petit comité, toutes s’étaient nourries de brillances et d’éclats. Au cours de ces mo-ments bénis, elle découvre des histoires de vie, des reliefs de voisinages. des histoires de distance si proches pourtant. comme cette lettre d’une cliente genevoise, racon-tant son parcours de vie et son arrivée à Genève à l’âge de 8 ans. en provenance de varsovie… comme Antoine norbert de patek.

JoëL GRandJean

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de belle horlogerie puisque ces salons, preuve que le lieu est cher à la famille stern, est le seul endroit au monde où se trouve exposé l’ensemble de la collection patek philippe.

comme pour sceller cette présence parti-culière, afin d’emplir cet écrin unique d’une actualité locale et d’une citoyenneté événe-mentielle, les hôtes des salons ont mis sur

Midis horlogers, quelques thématiques:

les chronographes, «diamonds are girl’s best friends», «les Tribulations d’Antoine norbert de patek», les Quantièmes perpétuels, les répétitions Minutes, Anthologie nautilus, World Time, ou le style patek philippe au féminin (en nov. 2012)

Client: Patek Philippe | Encart ELLE Magazine

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M. Lugaz a effectué une mise en page originale et efficace d’un dossier de vente pour notre société. Toutes les relations de travail ont été faites par e-mail. Son travail a été à notre entière satisfaction.

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Un immense merci pour votre aide et participation à concrétiser ce beau publi-reportage. C’était un réel plaisir.

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