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16-21 OCTOBRE 2013 LA ROCHE SUR YON PROGRAMME Du collège à l’université 4 e édition festival international du film www.fif-85.com PROGRAMME Du lycée à l’université

Brochure scolaire Lycée - Université - FIF 85

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Brochure scolaire Lycée - Université - Festival International du Film de La Roche-sur-Yon

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16-21 OCTOBRE 2013LA ROCHE SUR YON

PROGRAMME Du collège à l’université

4e édit ion festival international du film

www.fif-85.comPROGRAMME Du lycée à l’université

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L’édito

Contacts

Madame, Monsieur,

La 4ème édition du Festival International du Film de La Roche sur Yon se tiendra du 16 au 21 octobre 2013 prochain.

Événement cinématographique yonnais, le festival est chaque année l’occasion de découvrir des œuvres inédites, de (re)voir les films des réalisateurs mis à l’honneur, ainsi que des films de patrimoine, ou encore de découvrir des cinématographies de diverses nationalités. En 2012, le festival a fédéré plus de 18 000 spectateurs, dont plus de 6 000 scolaires, autour de sa programmation éclectique constituée de près d’une centaine de films.

Cette année, le festival se déclinera en plusieurs rendez-vous phares et notamment : les films en compétition ; des rétrospectives autour de Xavier Beauvois, Roee Rosen ou Kelly Reichardt, qui nous fera en outre l’honneur de proposer une programmation associée ; une programmation thématique intitulée « Le rayon vert » signée Hervé Aubron sur le cinéma et l’écologie, (...)

L’éducation artistique constituant pour le Festival, comme pour le Concorde, une mission prioritaire, une sélection des films de cette programmation vous est proposée en séances scolaires : des séances adaptées, avec un accompagnement spécifique autour des films. Des ateliers d’analyse filmique seront également proposés.

En parallèle, nous avons conçu une programmation spécialement pour le jeune public, dont une partie est également destinée aux lycéens. Cette année, elle est articulée autour du thème de l’environnement et de l’écologie.

Ces propositions constituent autant d’opportunités pour nourrir des projets d’éducation artistique et culturelle pendant l’année scolaire. Autant d’occasions données aux élèves de voir, entendre, analyser et commenter des œuvres actuelles ou du patrimoine.

Les films et thématiques abordés pourront être approfondis en classe grâce à l’appui de documents pédagogiques disponibles sur notre site www.fif-85.com.

Vous trouverez dans la brochure le détail des films sélectionnés avec les informations concernant les séances proposées.

Nous restons à votre disposition pour vous conseiller et répondre à vos questions.

L’équipe jeune public et scolaires

Coordination Jeune public et scolaires 02 51 36 37 73

Julie AUZOU / Carmen LEROI [email protected] [email protected]

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Infos pratiquesTarifs - Séance : 3€ / élève, gratuit pour les accompagnateurs (dans la limite de la règlementation) - Atelier d’analyse de 2h en classe : 50 € par classe

Une facture ne comptabilisant que les élèves présents lors des séances sera envoyée directement à l’établissement après le festival.

InscriptionsLes inscriptions se font en ligne via un formulaire disponible sur le site officiel du festival www.fif-85.com à la rubrique «scolaires»

Les écoles maternelles et élémentaires peuvent s’inscrire du 3 au 22 septembre 2013 inclus. Les collèges, lycées et universités peuvent s’inscrire du 3 au 29 septembre 2013 inclus.

Vous recevrez un mail de confirmation de votre inscription, à partir du 25 septembre pour les écoles primaires et à partir du 2 octobre pour les autres. Vous trouverez dans ce mail le détail de la séance, du lieu et de l’horaire choisis.

Attention : En fonction des inscriptions, les horaires et lieux de certaines séances peuvent être modifiés. Le cas échéant, vous en serez informés dans votre mail de confirmation.

Lieux de projection

TransportLignes régulières

Les écoles yonnaises qui souhaitent assister à une séance et venir sur les lieux du festival avec une ligne régulière des bus de ville Impuls’yon, peuvent directement contacter l’agence afin d’obtenir un laissez-passer gratuit.Merci d’attendre la confirmation de notre part de l’heure et du lieu de votre séance avant toute demande auprès d’Impuls’yon.

Bus spéciauxLes transports sont partenaires du festival. Si vous le souhaitez, vous pouvez donc emprunter un bus spécial Rigaudeau et bénéficier des tarifs préférentiels du festival. Nous prenons en charge la coordination de ces transports et son organisation. Il vous suffit simplement d’en faire la demande sur le formulaire d’inscription en ligne de votre séance.Toutes les informations relatives aux transports de vos élèves vous seront transmises par mail à partir du 30 septembre.

Tarifs : - 45 € aller-retour pour les écoles yonnaises. - 100 € aller-retour pour les écoles extérieures à la Roche-sur-Yon (rayon de 20 km) - Décentralisation : Pour les communes dans un rayon de 15 km autour d’Aubigny le tarif est de 90 € aller-retour.

Vous pouvez nous contacter pour savoir si la commune de votre école est concernée par ce partenariat.

Il vous est possible de regrouper plusieurs écoles dans un même bus pour partager le coût du transport. La contenance du bus est de 63 places, accompagnateurs inclus.

Aubigny - cinéma le Carfour : 180 places

La Roche-sur-Yon - Le grand R : 300 à 500 places - Théâtre municipal : 250 places - Concorde 1 : 195 places - Concorde 2 : 99 places

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Accompagnement pédagogique

InvitésParticiper à un festival offre l’opportunité d’un contact direct avec ceux qui font vivre le cinéma. A l’occasion de cette nouvelle édition, des acteurs, réalisateurs, techniciens ou critiques viendront accompagner les projections et dialoguer avec le public.

A l’heure de l’impression de la brochure, le programme des rencontres (dates et horaires) n’est pas totalement définitif. Nous ne pouvons donc garantir l’exactitude de toutes les informations fournies.

N’hésitez pas à consulter notre site www.fif-85.com pour vous tenir informé des éventuelles modifications.

Présentations et discussionsAccompagner un film nous semble primordial pour faciliter l’appropriation d’une œuvre , donner quelques clés de compréhension et quelques codes esthétiques. Une présentation en salle sera systématiquement proposée par un professionnel de l’éducation à l’image ou du cinéma avant chaque séance et, dans la mesure du possible, une discussion sera animée après le film.

Documents pédagogiques

Faire entrer le cinéma dans la classe et utiliser cette forme de création artistique pour accéder à une nouvelle lecture du monde nous paraît un objectif éducatif déterminant. Portés par cette ambition, nous vous proposons d’approfondir l’analyse des films dans le cadre d’ateliers de 2h avec un groupe à effectif réduit (une classe).

Dominique et Pierre Laudijois de l’association Petite lanterne, enseignants de cinéma, animeront ces temps. Ils appuieront leur analyse sur des extraits du film visionné et proposeront d’aller plus loin en étudiant la manière dont les codes esthétiques et le langage cinématographique donnent des pistes d’interprétation de l’oeuvre.

Tarif : 50€ par classe

FILMS PROPOSÉS La Force des choses

Jeudi 17 octobre à 14hPonette

Vendredi 18 octobre à 14h

Pour vous aider à concevoir un travail autour du film dans votre classe, en amont ou en aval de la projection, des documents pédagogiques, dossiers de presse et/ou critiques sont disponibles sur le site du festival www.fif-85.com à la rubrique « scolaires »

Ateliers d’analyse filmique

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Réunion de présentation

Le mercredi 18 septembre à 18h au Cinéma Le Concorde

REUNION DE PRESENTATION DU FESTIVAL

Animée par Emmanuel Burdeau, programmateur et critique

et L’équipe Jeune Public et Scolaires

Nous vous présenterons les films de la programmation, accompagnés d’extraits commentés en salle. Cette réunion sera l’occasion de mettre en lumière les intérêts pédagogiques et artistiques de nos propositions pour les classes et, pour vous, de

poser toutes vos questions.

Merci de nous confirmer votre présence avant le vendredi 13 septembre par mail [email protected] ou [email protected] ou au 02 51 36 37 73

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L’environnement au cinémaCette année, l’environnement est une thématique centrale de la programmation destinée au public scolaire, à travers des films qui traitent de la nature, de la biodiversité, de la société de consommation ou encore de la conscience de notre planète de manière tantôt didactique, tantôt plus contemplative et poétique. Des univers esthétiques différents pour une thématique commune qui sera l’occasion de (re)découvrir le regard de certains réalisateurs qui ont placé l’écologie au centre de leurs œuvres et, à travers le cinéma, de réfléchir à l’avenir de notre planète.

Cette thématique écologique se trouve être en lien avec un programme du festival consacré à l’éco-cinéma signé Hervé Aubron, « Le Rayon vert ».

Libre court(s) à l’environnement

Programme 3INÉDITCourts-métrages - 56’Ce programme inédit de courts-métrages a été spécialement conçu pour le festival avec pour film phare L’homme qui plantait des arbres de Frédéric Back. Adapté d’une nouvelle de Jean Giono narrée par Philippe Noiret, ce chef d’œuvre évoque la vie d’un berger, qui entreprit un peu avant la première guerre mondiale de planter des arbres dans une région déserte aux confins des Alpes et de la Provence : un véritable manifeste de la cause écologiste et une œuvre incontournable lorsque l’on aborde l’écologie au cinéma.

Pour l’accompagner, ce programme réunit des films aux esthétiques, univers, et genres des plus divers : films d’animation et films en prise de vue réelle, documentaires et fictions, films d’anticipation et comédies corrosives. Des paysages de Provence de L’homme qui plantait des arbres à une décharge à Porto Alegre de L’île aux fleurs en passant par un zoo ou encore une ville morose, les décors des films parcourent en outre une diversité d’environnements.

Un point commun cependant à travers ces films : celui de nous amener à nous interroger sur ce qu’est l’écologie et sur les conséquences des comportements humains sur l’environnement et les générations futures. Et parce que l’écologie ne se restreint pas à la question de la protection de la nature, ce programme traverse une conception de l’écologie dans ses différentes dimensions : scientifiques, sociales, politiques…

À partir de la 2ndeVendredi 18 - 9h / 10h35

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L’HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES de Frédéric Back /animation / 1987 / Canada / 30’ D’après Jean Giono. L’ÎLE AUX FLEURS de Jorge Furtado / Documentaire / 1989 / Brésil / 13’ MAN de Steve Cutts / animation / 2012 / Grande Bretagne / 4’ (sous réserve)MORE de Mark Osborne / animation / 1998 / Etats-Unis / 7’ (sous réserve)ZOOLOGIC de Nicolle Mitchell /animation / 2007 / Etats-Unis / 4’

Mots clés : [ écologie, environnement, société de consommation, destruction, animaux en captivité, conscience de la planète, adaptation littéraire, animation, humour noir ]

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Le Rayon vertJournaliste, enseignant, ancien critique aux Cahiers du cinéma, rédacteur en chef adjoint du Magazine Littéraire et auteur de Génie de Pixar (aux éditions Capricci), Hervé Aubron signe cette année une programmation, « Le Rayon vert », spécialement conçue pour l’édition 2013 du Festival et consacrée au cinéma et à l’écologie.

« Cette programmation évitera les films « militants », ou bien se contentant de décliner des motifs et thématiques écologistes. La question qui l’anime est celle d’une écologie en (plutôt qu’« au ») cinéma. Nous tenterons dès lors de solliciter des cinéastes d’époques diverses, nous semblant intimement convaincus que l’environnement est la hantise et l’horizon de leur art ; des films aussi qui n’éludent pas la lourdeur de leur propre production, qui ne se pensent plus comme « vision » des choses, mais peut-être choses parmi les choses. Cette programmation se nourrira aussi, sous forme d’interventions en public, de visions et de pensées forgées hors du champ cinématographique (dans la philosophie, la littérature, les arts plastiques…). » Hervé Aubron

The Host de Bong Joon HoFantastique / Corée du Sud / 2006 / 1h59 / VOSTF

À partir de la 2nde

Mots clés : [ film de monstre, comédie/burlesque, catastrophe écologique, famille, Corée ]

Séoul. Park Hee-bong tient un petit snack au bord de la rivière Han où il vit avec son fils aîné Gang-du, sa fille Nam-joo, une championne malchanceuse de tir à l’arc, et Nam-il, son fils cadet au chômage. Tous idolâtrent la petite Hyun-seo, la fille unique de Gang-du. Un jour, un monstre géant et inconnu jusqu’à présent surgit des profondeurs de la rivière et se met à attaquer la foule, détruisant tout sur son passage. Le snack démoli, Gang-du tente de s’enfuir avec sa fille, mais la perd dans la foule. Quand il l’aperçoit enfin, Hyun-seo est en train de se faire enlever par le monstre qui disparaît avec elle au fond de la rivière...

« La stupeur que l’on peut éprouver devant un film aussi riche et nouveau que The Host s’explique d’abord par le mélange des genres qu’il traverse au pas de charge. C’est un film fantastique se débarrassant des conventions habituelles du film de monstre ; une comédie tournant en dérision chaque situation jusqu’au grotesque ; un pamphlet politique rageur contre les Etats-Unis, et plus profondément contre l’État ; un mélodrame primitif empruntant à la mythologie, à la fable et au conte de fées. Comme son monstre fait de bric et de broc, comme la famille Park brinquebalante qui, seule, se préoccupe de lutter contre lui (avec les moyens du bord : arc et fusils), The Host semble un joyeux hybride imprévisible. » Dossier pédagogique du dispositif Lycéens et apprentis au cinéma

DISPOSITIF LYCÉEN AU CINÉMA Mercredi 16 - 9h

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Ce programme rassemble quatre courts métrages, tournés entre 1949 et 1970 : la donne environnementale est alors absente du débat public, puis marginale, tout au mieux. Si ces films sont “écologiques”, ce n’est pas par militantisme, mais par nécessité, par la force des choses : portés par un mouvement de fond de la mo-dernité, leurs auteurs sont enclins à sortir des studios et à humer l’air du dehors. Ce faisant, ils investissent des friches encore peu filmées et sont dès lors bien obligés d’y être attentifs, d’inventer une manière de les regarder. Ils révèlent dès lors, comme de manière collatérale, la manière dont le genre humain bouleverse et modifie radicalement son écosystème. Ainsi de Georges Franju qui, hanté par les massacres de la Deuxième Guerre, s’aventure dans un espace demeurant aujourd’hui tabou – les abattoirs. Ainsi de Maurice Pialat qui, se souvenant de sa vie banlieusarde sur un mode quasi proustien, en vient à faire une géographie périurbaine, à dessiner la forme d’une non-ville, de terrains vagues en barres bétonnées. Ainsi d’Artavazd Pelechian qui, rêvant d’une symphonie animalière, finit par donner aux bêtes, et non aux spectateurs, le dernier regard. Ce sont aussi des films qui ne mésestiment pas l’incidence de la culture elle-même, du cinéma lui-même, dans la folle dépense ambiante. Dans Que sont les nuages ?, Pasolini fait du dépotoir l’horizon de toute figure humaine, qu’elle soit fictionnelle ou non. Dans Le Chant du styrène, Alain Resnais filme quant à lui la fabrication du plastique. Devant cette seconde Genèse, capable de recréer toutes les formes et couleurs, le cinéaste paraît à la fois glacé et fasciné : il entrevoit que les arts plastiques sont passés du côté des machines et de l’industrie.

La Force des choses À partir de la 2nde

Mots clés : [ court-métrage ; patrimoine ; banlieue ; abattoirs ; animaux ; usine plastique ]

LE CHANT DU STYRÈNE d’Alain Resnais / 1958L’AMOUR EXISTE de Maurice Pialat / 1960 QUE SONT LES NUAGES ? de Pier Paolo Pasolini / 1968 LES HABITANTS d’Artavaz Pelechian / 1970

Courts-métrages / 1h05 / VOSTF

DISPOSITIF LYCÉEN AU CINÉMADISPOSITIF LYCÉEN AU CINÉMA

Jeudi 17 - 9h

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Kelly ReichardtDu 16 au 21 octobre, la cinéaste américaine Kelly Reichardt sera à La Roche-sur-Yon pour présenter une rétrospective inédite de ses films. Ode, River of Grass, Old Joy, La Dernière Piste recomposent un paysage cinématographique, celui de l’indépendance, et une aire géographique personnelle et mystifiée : celle de son enfance et du western revisité.

Kelly Reichardt présente également une programmation associée, avec notamment Safe de Todd Haynes, Wanda de Barbara Loden, Kes de Ken Loach, …

Kelly Reichardt sera accompagnée par la costumière de son dernier film, Victoria Farrell.

Wendy et Lucy Drame / États-Unis / 2009 / 1h20 / VOSTF Avec Michelle Williams

RétrospectiveÀ partir de la 2nde

Une jeune Américaine solitaire, Wendy, visiblement sans domicile fixe, taille la route avec sa chienne, Lucy, en direction de l’Alaska. Dans une petite ville de l’Oregon, elle perd l’animal et sa voiture tombe en panne…

« Sur la toile, en vertu de la justesse des acteurs et de la manière de les filmer, en vertu de l’attention portée à cet enchaînement de détails qui participent au cercle vicieux de la détresse sociale, cela devient une preuve par l’exemple de la dimension éminemment pragmatique de la morale. Face à une société dont les règles sont iniques, il appartient à chacun de se déterminer sur le respect qu’il convient de porter à la loi. Par là, le film est plus que jamais contemporain, renvoyant aux débats qui ont entouré la sortie de Welcome, de Philippe Lioret, ou aux effets désastreux du libéralisme économique. » Le Monde

Mots clés : [ cinéma indépendant américain, rêve américain, errance, crise, précarité, amitié homme/animal, migration de travail, cercle vicieux ]

Jeudi 17 - 14h15

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La Dernière Piste Western / États-Unis / 2011 / 1h44 / VOSTF Avec Michelle Williams, Paul Dano, Bruce Greenwood

À partir de la 2nde

1845, Oregon. Une caravane composée de trois familles engage le trappeur Stephen Meek pour les guider à travers les montagnes des Cascades. Parce qu’il prétend connaître un raccourci, Meek conduit le groupe sur une piste non tracée à travers les hauts plateaux désertiques. Ils se retrouvent perdus dans un désert de pierre. La faim, la soif et le manque de confiance dans l’instinct de survie de chacun d’entre eux sont autant d’obstacles qui se dressent sur leur chemin.

« D’une intelligence rare, le film saisit par sa pureté esthétique (les modèles hollywoodiens semblent revenir d’entre les morts) et son acuité – parfois déstabilisante – à poser de véritables questions morales. Avec une sobriété et une humilité qui ne contredisent jamais le talent, la réalisatrice revisite les mythes fondateurs américains » Critikat

Mots clés : [ western, conquête de l’Ouest, mythe, cow-boy, indien, errance, désert, soif ]

Programmation associée

Kes de Ken LoachDrame / Grande-Bretagne / 1970 / 1h50 / VOSTF

Billy Casper vit dans une petite ville minière du nord-est de l’Angleterre, à Barnsley, dans le Yorkshire. Il a une douzaine d’années et l’univers dans lequel il vit ne correspond pas à son attente. Sa mère ne s’occupe guère de lui son frère aîné Jude, le traite en souffre-douleur. Quelques petits travaux avant l’heure d’ouverture de l’école et de menus larcins lui procurent un peu d’argent de poche. A l’école, Billy est distrait indiscipliné, entouré de camarades et de professeurs plus hostiles qu’amicaux. Un jour, Billy déniche un jeune rapace; il vole alors dans une librairie un traité de fauconnerie et entreprend de dresser l’oiseau…

« En se contentant d’opposer, avec subtilité, l’intelligence avec laquelle Billy apprivoise le rapace à la stupi-dité du « dressage » dont sont victimes les enfants, Ken Loach dénonce système social et système éducatif. Tourné avec une équipe légère, en décors réels, avec des acteurs non professionnels, Kes est la première et brillante réussite d’une méthode que Ken Loach, héritier de l’école documentaire anglaise, allait appliquer à toute son œuvre. On y découvre sa sensibilité, le contraire de la sensiblerie. » Télérama

Mots clés : [ film social britannique, milieu ouvrier, amitié enfant/animal, échec scolaire, critique du système éducatif, fauconnerie, la passion comme échappatoire ]

À partir de la 2ndeDISPOSITIF LYCÉEN AU CINÉMA Vendredi 18 - 14h

Vendredi 18 - 14h

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Xavier BeauvoisD’un coté, Xavier Beauvois réalise, de l’autre il joue ; d’un côté il façonne une idée, de l’autre il est façonné. C’est dans ce double-jeu que ce programme s’est construit, proposant une rétrospective de son travail (Des hommes et des dieux, Le Petit lieutenant …), et trois films dans lesquels il est acteur. Parmi eux, le très émouvant Ponette de Jacques Doillon, dans lequel il est le père d’une petite fille qui vient de perdre sa mère, peut-être son plus beau rôle.

Des Hommes et des dieux Drame / France / 2010 / 2h

CinéasteÀ partir de la 2nde

Avec Lambert Wilson et Michael Lonsdale

Un monastère perché dans les montagnes du Maghreb, dans les années 90. Huit moines chrétiens français vivent en harmonie avec leurs frères musulmans. Quand une équipe de travailleurs étrangers est massacrée par un groupe islamiste, la terreur s’installe dans la région. L’armée propose une protection aux moines, mais ceux-ci refusent. Doivent-ils partir ? Malgré les menaces grandissantes qui les entourent, la décision des moines de rester coûte que coûte, se concrétise jour après jour…

Ce film s’inspire librement de la vie des Moines Cisterciens de Tibhirine en Algérie de 1993 jusqu’à leur enlèvement en 1996.

« Ce qui intéresse le cinéaste dans cette tragédie relève moins du martyre des moines, que de la conscience - éthique, politique - des hommes qu’ils sont, et des questions existentielles que pose leur confrontation avec cette force armée qui piétine tout ce en quoi ils croient. Comment éprouver la liberté ? Qu’est-ce qu’une communauté ? Peut-on être soi en niant l’existence d’autrui ? […] La prière, les chants à l’unisson, les réunions au cours desquelles se prennent, à l’issue d’un tour de parole et d’un vote, les décisions enga-geant la vie de la communauté, et qui témoignent ici de la réduction progressive des antagonismes vers une communion spirituelle, structurent le film. Mais la place est faite, aussi, aux moments partagés avec les villageois (travail de la terre, dispense de soins, fêtes familiales...), dans le respect de l’islam.» Le Monde

Mots clés : [ terrorisme, extrémisme, religions, clergé régulier, rites, communauté, fait historique, Algérie, relations religieux/civils ]

Jeudi 17 - 14h

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Le Petit lieutenant Drame / France / 2005 / 1h50

À partir de la 2nde

Avec Nathalie Baye, Jalil Lespert, Roschdy Zem

A sa sortie de l’école de police, Antoine monte à Paris pour intégrer la 2ème division de police judiciaire. Caroline Vaudieu, de retour dans le service après avoir vaincu son alcoolisme, choisit le petit lieutenant pour son groupe crim’. Plein d’enthousiasme, Antoine fait son apprentissage du métier aux côtés de ses hommes.

Le petit lieutenant est basé sur une solide documentation sur les milieux de la police grâce à plusieurs semaines passées en immersion dans un commissariat avec Jean Eric Troubat, commandant de police et co-scénariste et David Barbas, lieutenant de police et conseiller technique sur le plateau.

« Avant que le film revienne impeccablement dans [la] dernière demi-heure aux affaires habituelles du polar, il aura passé l’essentiel de son temps à musarder, à observer patiemment ce qui tisse le quotidien des flics de la PJ, pas très éloigné de celui de salariés d’autres domaines : rapports hiérarchiques, temps morts, repas entre collègues, scènes de cafétéria, conversations à bâtons rompus, relations entre les anciens et le petit nouveau, vie de bureau. » Les inrocks

Mots clés : [ police judiciaire, enquête, milieu policier, deuil, alcoolisme, aspect documentaire, monde du travail ]

DISPOSITIF LYCÉEN AU CINÉMA Vendredi 18 - 9h30

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ActeurÀ partir de la 2ndePonette de Jacques DoillonDrame / France / 1996 / 1h37

Ponette a quatre ans lorsque sa mère meurt accidentellement. Après l’enterrement, son père, qui travaille à Lyon, la confie à sa tante, à la campagne, chez qui elle retrouve ses cousins Mathias et Delphine. Ponette ne se résout pas à la mort de sa mère et cherche un moyen de lui parler, de la faire revenir.

« Ponette est un film étonnant dans l’histoire du cinéma. Il aura fallu la foi d’un cinéaste comme Jacques Doillon pour qu’un projet artistique si ambitieux aboutisse. En effet, c’est une petite actrice de 4 ans, Victoire Thivisol, qui porte le film sur ses épaules ! De plus, le sujet traité est très difficile.(…) C’est un film unique qui prouve que si le cinéaste fait confiance au cinéma et à sa relation aux acteurs, s’il est bien au clair avec ses intentions, s’il a une solide morale du cinéma et s’il est prêt à prendre tous les risques, le miracle peut avoir lieu et il peut éviter les nombreux écueils qui menaçaient son projet et parvenir à réaliser un film limpide, mis en scène avec la plus grande rigueur, au-dessus de tout soupçon quant à son rapport à l’enfance, un film dont l’émotion n’est jamais obtenue par un quelconque chantage aux sentiments et dont on sort – que l’on soit grand ou petit – parfaitement apaisé, plus léger et confiant dans les puissances de la vie qu’on n’y était entré... » Cahier de note des Enfants de cinéma

Mots clés : [ deuil ; épreuve ; enfance ; croyance ; religion ; relation père/fille ; relation enfant/enfant ; fugue ]

Avec Victoire Thivisol, Xavier Beauvois, Claire Nebout, Marie Trintignant

N’oublies pas que tu vas mourir

Drame / France / 1996 / 1h58

À partir de la 1ère

Avec Xavier Beauvois, Chiara Mastroianni, Roschdy ZemUn jeune étudiant en histoire de l’art apprend lors des trois jours avant son incorporation pour l’armée qu’il est séropositif. Pour lui tout bascule et, à l’image des héros romantiques, il choisit de refuser son destin.

«Film éminemment romantique, sorte d’équivalent à La mort de Sardanapale de Delacroix que Benoît analyse durant le premier tiers du film. S’il ne veut pas que sa vie soit vraiment gâchée, il lui faut refuser son destin de victime et transformer son existence en exaltation renouvelée de tous ses sens... Comme chez Delacroix, la linéarité du dessin scénaristique importe moins que les grands blocs colorés juxtaposés.»

Mots clés : [ jeunesse ; SIDA ; service militaire ; drogue ; voyage initiatique ; destin ]

INTERDIT AUX - DE 16 ANS

Jeudi 17 - 9h30

Mercredi 16 - 9h15

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À partir de la 2ndeDe Bon matin de Jean-Marc MoutoutDrame / France / 2011 / 1h31

Comme tous les lundis, Paul Wertret, la cinquantaine figée, procède minutieusement à sa toilette, resserre le noeud de sa cravate et prend le chemin de son bureau de chargé d’affaires à la Banque internationale de commerce et de financement. Sur place, il sort un revolver de son sac et met fin à la carrière comme à la vie de ses deux supérieurs hiérarchiques. Ses collègues s’enfuient. Il s’enferme dans son bureau. En attendant son arrestation, il revoit défiler sa vie. Loyal serviteur de son entreprise, après avoir démarré dans une petite agence, il a fini par en devenir le paria, alors même que sa vie personnelle et son mariage partaient à vau-l’eau...

« Première surprise, Jean-Marc Moutout s’intéresse moins aux mécanismes du harcèlement moral qu’au portrait psychologique — et poignant — d’un homme dont l’existence vacille. Deuxième surprise : le réalisateur décourage longtemps l’identification avec cet antihéros qui, toute victime qu’il est, est loin d’être un saint. Troisième surprise — et belle audace : il confie ce personnage difficile à un acteur dont le physique débonnaire attire la sympathie. La composition de Jean-Pierre Darroussin n’en est que plus impressionnante. Entre Paul et ses persécuteurs, il n’y a pas une différence de nature mais de degré. Le récit en flash-back reconstitue l’histoire d’un manager modèle, rouage efficace d’un système dans lequel il a cru pendant des années. Par petites touches, on découvre un homme qui s’est tant investi dans sa carrière et sa vie professionnelle qu’il a contaminé sa vie privée. » Télérama

Mots clés : [ travail ; monde de l’entreprise et des finances ; libéralisme ; crise ; harcèlement ; morale faits de société ; famille ; amitié ]

Avec Jean-Pierre Darroussin, Valérie Dréville, Xavier Beauvois

Vendredi 18 - 9h15

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Roee RosenRoee Rosen est un artiste israélo-américain, écrivain et réalisateur. Il enseigne la théorie de l’art à Jérusalem. À travers son œuvre protéiforme (vidéo, peintures, dessins), il travaille notamment sur la notion de double, le « je » et les médias. A la question « Qui est Roee Rosen », Jean-Pierre Rehm, programmateur du FID Marseille, répond dans un article à propos de l’artiste : « à la fois Mabuse et Rupert Pupkin, à la fois Geppetto et Pinocchio, à la fois une jeune femme qui chante sa joie de mourir et un russe ses amours perdues, à la fois un chien blanc et un démon à face rougeoyante, un saint et un pervers, un dadaïste et une surréaliste, à la fois l’Etat d’Israël et une femme de ménage immigrée clandestine.

À partir de la 1èreProgramme de courts métrages de Roee RosenIsraël / 45’ / VOSTF

DR CROSS / 1995 / 15’ TWO WOMEN AND A MAN / 2005 / 17’ CONFESSIONS COMING SOON / 2007 / 9’I WAS CALLED KUNEY-LEMEL / 2007 / 4’

Vous pouvez visiter le site de Roee Rosen : http://roeerosen.com

Mots clés : [ cinéma expérimental ; double ; médias ; surréalisme ; Israël ; politique ; fiction/réalité ]

Rétrospective

Jeudi 17 - 14h15

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À partir de la 2ndeLa Valse des pantins de Martin ScorseseComédie / États-Unis / 1983 / 1h50 / VOSTF

Un comique méconnu, pour se faire reconnaître, enlève le présentateur d’un show télévisé et n’accepte de le libérer qu’à la condition de participer à son spectacle.

« King of Comedy » apparaît aujourd’hui comme une oeuvre quasi visionnaire sur le devenir des médias et de la culture en Amérique. Du fait notamment d’un savant mélange entre angoisse et humour, l’une toujours contrebalancée par l’autre et inversement, formellement, le film apparaît totalement unique : il s’agit d’un pur divertissement qui laisse transparaître l’expression d’un profond malaise : Robert De Niro dans l’interpré-tation du « psycho » Ruppert Pupkin en est l’incarnation la plus vivace. » www.arte.tv

Mots clés : [ Comédie ; médias ; télévision ; show business ; célébrité ; fan ]

Avec Robert De Niro, Jerry Lewis, Diahnne Abott

Programmation associée

Jeudi 17 - 14h

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Séances spéciales (sous réserve)À partir de la 2nde

Le festival international du film de La Roche-sur-Yon a décidé de faire place cette année à deux films – Mille soleils qui a obtenu le Grand prix du FID en 2013 –, dans le prolongement des relations privilégiés qu’entretiennent les deux événements. Ces deux films sont présentés ensemble car ils se répondent : avec Mille soleils, Mati Diop revient sur le film réalisé par son oncle 40 ans plus tôt, Touki Bouki, et ainsi sur ses origines, son identité. Ces séances spéciales seront par ailleurs l’occasion de présenter des œuvres en provenance d’un continent à la cinématographie méconnue, l’Afrique.

Mille soleilsde Mati DiopDocumentaire / France / 2013 / 45’ / VOSTFMille soleils enquête sur l’héritage personnel et universel que représente le film Touki Bouki réalisé à Dakar en 1972 par l’oncle de Mati Diop, le cinéaste Djibril Diop Mambety. Elle part à la recherche de ses origines sur les traces de ce mystérieux film et fait la connaissance, en chemin, des deux acteurs principaux de Touki Bouki trente-cinq ans après le tournage. Histoires de famille, de cinéma et d’exil se propagent comme des ondes les unes vers les autres, entre la sphère de l’intime et celle du mythe.

Mati Diop, à propos de son film : « C’est parti d’une conversation avec mon père, à qui je posais des questions sur ma famille et sur la place que le cinéma occupait dans ma vie. Il m’a parlé de mon oncle et de Touki-bouki dont mon grand-père disait qu’il contenait “toute notre histoire”. Ça a fait naître un désir chez moi. Retrouver l’histoire d’un film. Savoir d’où il vient. Quelles traces il laisse… »

Mots clés : [ documentaire, mémoire, héritage ]

Touki Boukide Djibril Diop MambetyFiction / Sénégal / 1972 / 1h35 / VOSTFMory, jeune berger un peu marginal, et Anta son amoureuse, étudiante provocante, viennent de partir pour Paris. Pour réaliser leur rêve, il ne leur manque que l’argent du voyage. Mory decide de se le procurer par des moyens peu orthodoxes.

« Dans cette comédie aigre-douce, c’est la situation d’une Afrique des années 70 qui se raconte, celle déchi-rée entre l’exil et la décision de rester, entre le rêve et la débrouille, entre l’ancien et le nouveau, mais c’est aussi une réflexion ample et drolatique sur le choix » Jean-Pierre Rehm, directeur du FID Marseille

Mots clés : [ tradition/modernité ; émigration ; voyage ; racines ]

Jeudi 17 - 9h

Jeudi 17 - 11h

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Compétition internationale

Comme chaque année, le Festival international du film de La Roche-sur-Yon organise une compétition internationale. Huit films seront en compétition pour quatre prix décernés : le Grand prix du jury, le Grand prix du jury Ciné +, le prix de la presse et le prix du public.

« Une compétition est une découverte et non une consécration. […] Une compétition est le moment où les spectateurs, dans une disposition d’esprit qu’il est difficile de retrouver ailleurs, découvrent des films et des cinéastes que pour la plupart ils ne connaissent pas. C’est le moment où ces mêmes films et ces mêmes cinéastes se découvrent, souvent pour la première fois. C’est un risque et une promesse » écrivait Emmanuel Burdeau, programmateur, à propos de l’édition 2012. L’édition 2013 ne dérogera pas à cette ambition et nous souhaitons associer les scolaires à cette découverte. C’est pourquoi, un film de la compétition est proposé aux classes. La compétition n’étant actuellement pas encore dévoilée, cette séance vous sera communiquée prochainement. N’hésitez pas à vous tenir informé sur notre site www.fif-85.com

Andreï Gryazev le réalisateur de Tomorrow qui reçoit le prix de la presse en 2012.

Vendredi 18 - 14h

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Planning des séances scolaires *

* Les horaires et lieux sont susceptibles d’être modifiés en fonction des inscriptions

à partir de la 2nd

à partir de la 1e

MA

TIN

ÉÉA

PRÈS

-MID

IMERCREDI 16 JEUDI 17 VENDREDI 18

09:00 >11:00

The Host -> CONCORDE 1

09:15 >11:20

N’oublie pas que tu vas mourir

-> CONCORDE 2

09:00 >10:10

La Force des choses -> CONCORDE 2

09:00 >10:40

Touki Bouki -> THÉÂTRE

09:30 >11:15

Ponette -> MANÈGE

11:00 >11:45

Mille soleil -> THÉÂTRE

ATTENTION : L’horaire de fin de séance ne prend pas en compte le temps de discussion

09:00 >10:20

prog. libre courts 3 -> THÉÂTRE

09:15 >10:50

De Bon matin -> CONCORDE 1

10:35 >11:50

prog. libre courts 3 -> THÉÂTRE

09:30 >11:30

Le Petit Lieutenant -> CONCORDE 2

14:00 >16:00

Des Hommes et des dieux

-> MANÈGE

14:15 >15:35

Wendy et Lucy -> CONCORDE 2

14:00 >16:00

La Valse des pantins-> CONCORDE 1

14:15 >15:05

prog Roee Rosen -> THÉÂTRE

14:00 >16:00

ATELIER LA FORCE DES CHOSES

-> MANÈGE - SDM

14:00 >film en compétition -> CONCORDE 1

14:00 >15:50

La Dernière piste -> CONCORDE 2

14:00 >16::00

Kes -> MANÈGE

14:00 >16:00

ATELIER PONETTEd’analyse filmique

-> MANÈGE - SDM

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Avant-première pour les familles

Formation école et cinéma

3,50 €* au lieu de 6,50 €

Mercredi 16 octobre à 14h30 au ManègeAvant-première

Loulou, l’incroyable secret de Grégoire Solotareff

*Contremarques en vente dans les maisons de quartier yonnaises et dans les mairies d’Aubigny et les Clouzeaux.

Animation pédagogique : Rencontre avec un professionnel du cinéma

Le cinéma Le Concorde porte la coordination départementale du dispositif national « Ecole et cinéma ». Ainsi depuis trois ans, nous offrons aux enseignants un temps de formation avec un professionnel du cinéma.

Nous avons déjà eu la chance d’avoir parmi nous Nicolas Philibert ou Jean-François Laguionie par exemple. A ce jour, nous ne pouvons pas encore vous dévoiler cet invité, mais nous pouvons d’ores et déjà assurer que cette rencontre permettra à chacun d’approfondir ses connaissances cinématographiques, de confronter le rapport entre cinéma et éducation et tout simplement d’entrer dans l’univers d’un artiste.

En lien avec notre programmation, nous vous proposons cette année une rencontre de deux heures avec un professionnel (réalisateur, directeur artistique, etc …) qui nous éclairera sur son travail.

Inscriptions auprès de Julie Auzou / [email protected] / 02 51 36 37 73Plus d’informations prochainement sur le site : www.fif-85.com

Mercredi 16 octobre 16h30-18h30