BULLETIN TECHNIQUE CEREALES MONTAGNE

Haute-Loire

Bulletin N°4718 février 2015

Le point sur l’état de santé des céréales sortie d’hiver Les semis, implantation. La douceur de l’automne (2 à 3°c supérieurFrance) a favorisé un développement important des céréales semées début octobre. Ces conditions météo douces et humides occasionnent également une levée impord’adventices sur les parcelles non désherbées à l’automne. Des levées même tardives de graminées ont pu être observées. Enfin, il est conseillé d’être vigilant sur la présence possible de foyers précoces de rouille jaune, notamment sur variétés sensblé ; Kaulos, Talentroponctuellement dès le mois de décembre, pourrait marquer la campagne 2015, à l’instar de l’année dernière. Pour rappel, cette maladiconséquentes de rendement en blé et surtout en triticale, à toute altitude.

La fertilisation totale à apporter, le fractionnement des apports et la forme de l’engrais.

1. Comment calculer la dose à apporter L’estimation de la quantité globale d’azote à apporter se fait par la méthode des bilans ; elle résulte de la différence entre les besoins de la culture et la quantité d’azote fournie par le sol. La fourniture du sol se compose de l’azote assimilable azoté), de la minéralisation de l’humusl’effet du précédent.

2. Fractionner les apports pour optimiser l’absorption de l’azote Le besoin en azote de la céréale en début de cyau printemps pour atteindre son maximum entre le stade «fractionnement des apports d’azote permet donc de suivre au plus prêt la courbe de ces besoins. Une stratégie en 2 ou 3 apports rédul’azote et rend plus efficient la fertilisation de vos céréales. Un second objectif est de limiter une maladies (oïdium, maladies du pied) ou accidents En système de polycultureune fertilisation en 2 apports

� 1er le redémarrage de la végétation (fin févrierl’altitudeStade correspondanttallage.Objectifdes talles forméesla fin de tallage.Dose préconiséeuN/ha

� 2ème

4 semaines après le 1Stade correspondantObjectifDose préconisée

Association Céréales Montagne Immeuble Interconsulaire

16, Bd Bertrand 43000 Le Puy-en-Velay

� 04.71.07.21.00 Email :egsell@haute-loire.chambagri.fr

La Chambre d’Agriculture de Haute-Loire est agréée par le Ministère de l’Agriculture pour son activité de conseil indépendant phytopharma-ceutique, sous le N°IFO1762 dans le cadre de l’agrément multi sites porté par l’APCA.

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47 février 2015

Le point sur l’état de santé des céréales sortie d’hiver

Les semis, bien que parfois plus tardifs qu’à l’accoutumée, ont permiimplantation. La douceur de l’automne (2 à 3°c supérieurs France) a favorisé un développement important des céréales semées début octobre. Ces conditions météo douces et humides occasionnent également une levée impord’adventices sur les parcelles non désherbées à l’automne. Des levées même tardives de graminées ont pu être observées. Enfin, il est conseillé d’être vigilant sur la présence possible de foyers précoces de rouille jaune, notamment sur variétés sensibles (comme

Kaulos, Talentro ou Tarzan par exemples en triticales). La maladie, recensée ponctuellement dès le mois de décembre, pourrait marquer la campagne 2015, à l’instar de l’année dernière. Pour rappel, cette maladie a pu occasionner des pertes conséquentes de rendement en blé et surtout en triticale, à toute altitude.

La fertilisation azotée des céréales

La fertilisation azotée des céréales doit tenir compte de plusieurs critèrestotale à apporter, le fractionnement des apports et la forme de l’engrais.

Comment calculer la dose à apporter ?

L’estimation de la quantité globale d’azote à apporter se fait par la méthode des ; elle résulte de la différence entre les besoins de la culture et la quantité

d’azote fournie par le sol. La fourniture du sol se compose de l’azote assimilable présent en fin d’hiver (reliquat azoté), de la minéralisation de l’humus, de celle de la matière organique enfouie et de l’effet du précédent.

Fractionner les apports pour optimiser l’absorption de l’azote

Le besoin en azote de la céréale en début de cycle est faible puis augmente rapidement au printemps pour atteindre son maximum entre le stade «fractionnement des apports d’azote permet donc de suivre au plus prêt la courbe de ces besoins. Une stratégie en 2 ou 3 apports réduit ainsi le risque de lessivage de l’azote et rend plus efficient la fertilisation de vos céréales. Un second objectif est de limiter une suralimentation azotée temporaire susceptible de favoriser certaines maladies (oïdium, maladies du pied) ou accidents de culture comme la verse. En système de polyculture-élevage, un bon compromis technique et économique est une fertilisation en 2 apports :

apport : en sortie d’hiver, dès le redémarrage de la végétation (fin février-début mars selon l’altitude et la portance des sols). Stade correspondant : mi à fin tallage. Objectif : permettre le maintien des talles formées, voire favoriser la fin de tallage. Dose préconisée : de 30 à 40 uN/ha.

ème apport : environ 4 semaines après le 1er apport. Stade correspondant : « épi 1 cm ». Objectif : couvrir les besoins importants de la montaison de la céréale.Dose préconisée : le solde du calcul initial (cas de 2 apports).

Repèrer le stade épi 1 cm sur céréales

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Le point sur l’état de santé des céréales sortie d’hiver

parfois plus tardifs qu’à l’accoutumée, ont permis une bonne à la normale, d’après Météo

France) a favorisé un développement important des céréales semées début octobre. Ces conditions météo douces et humides occasionnent également une levée importante d’adventices sur les parcelles non désherbées à l’automne. Des levées même tardives

Enfin, il est conseillé d’être vigilant sur la présence possible de foyers précoces de comme Altigo, Ephoros, Pirénéo en

par exemples en triticales). La maladie, recensée ponctuellement dès le mois de décembre, pourrait marquer la campagne 2015, à

e a pu occasionner des pertes conséquentes de rendement en blé et surtout en triticale, à toute altitude.

La fertilisation azotée des céréales

des céréales doit tenir compte de plusieurs critères : la dose totale à apporter, le fractionnement des apports et la forme de l’engrais.

L’estimation de la quantité globale d’azote à apporter se fait par la méthode des ; elle résulte de la différence entre les besoins de la culture et la quantité

présent en fin d’hiver (reliquat la matière organique enfouie et de

Fractionner les apports pour optimiser l’absorption de l’azote

cle est faible puis augmente rapidement au printemps pour atteindre son maximum entre le stade « 2 nœuds » et floraison. Le fractionnement des apports d’azote permet donc de suivre au plus prêt la courbe de

it ainsi le risque de lessivage de l’azote et rend plus efficient la fertilisation de vos céréales. Un second objectif est de

azotée temporaire susceptible de favoriser certaines de culture comme la verse.

élevage, un bon compromis technique et économique est

: couvrir les besoins importants de la montaison de la céréale. : le solde du calcul initial (cas de 2 apports).

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Repèrer le stade épi 1 cm sur céréales

(Schéma : ARVALIS)

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3. Intérêt d’un fractionnement en 3 apports Un 3ème apport peut être envisagé en réservant 30 à 40 uN/ha sur le calcul initial pour cet apport au stade « dernière feuille étalée / gonflement ». Cette stratégie contribue à augmenter à la fois le rendement et le taux de protéine du grain. En effet, l’azote contenu dans le grain est issu à 80% de l’azote absorbé jusqu’à la floraison. Cette technique peut être intéressante dans le cadre de filières valorisant la protéine du blé produit. 4. Les engrais azotés : forme et conditions d’application Pour assurer une efficacité maximale de l’azote, qui se traduit par une vitesse d’absorption soutenue par la plante, un cumul de 15 mm de pluie dans les 15 jours suivant l’apport est nécessaire. Un temps chaud et sec provoquera des pertes d’azote ammoniacales par volatilisation. La forme ammonitrate reste la plus efficace face à ces pertes potentielles. L’urée simple est quant à elle la plus sensible à la volatilisation. Les urées additionnées d’inhibiteurs d’uréase (UTEC46 ou Nexen) apportent une alternative technique à ces pertes par volatilisation et obtiennent des résultats comparables à ceux obtenus avec de l’ammonitrate dans des situations où l’urée seule présente des problèmes d’efficacité (d’après une étude d’ARVALIS). Ces produits ont cependant un délai d’utilisation court sur votre exploitation (6 mois environ) et ne peuvent être stockés pour la campagne suivante en gardant leur propriété. Enfin, d’autres engrais comme ENTEC26 sont également présents sur le marché ; ce sulfonitrate d’ammoniac additionné de DMPP ralentit le processus de nitrification dans le sol. Testé par ARVALIS, cet engrais soufré apparaît globalement aussi performant que l’ammonitrate. Les conditions météorologiques d’application des engrais azotés prévalent sur le choix de la forme d’azote. Le choix final du produit se fera en tenant compte de leur coût à l’unité d’azote.

Le désherbage des céréales La lutte contre les adventices par des herbicides doit s’inscrire dans une stratégie globale de raisonnement de son système. Des solutions complémentaires ou alternatives existent comme des rotations longues, le déchaumage, le labour, le faux semis…

1. Désherbage de fin d’hiver (stade fin tallage) Les traitements à base d’isoproturon (Quartz GT, par ex) ou de chlortoluron (Lauréat, Carmina) doivent être réalisés sur les blés et orges au plus tard avant le stade fin tallage. La réglementation limite à 1 seule application par campagne l’une ou l’autre de ces matières actives dans la limite de 1800 g/ha de chlortoluron et de 1200 g/ha d’isoproturon.

ATTENTIONATTENTIONATTENTIONATTENTION : vérifier que vos variétés de blés soient tolérantes au chlortoluron : vérifier que vos variétés de blés soient tolérantes au chlortoluron : vérifier que vos variétés de blés soient tolérantes au chlortoluron : vérifier que vos variétés de blés soient tolérantes au chlortoluron (voir liste non exhaustive dans le bulletin ACM n°45(voir liste non exhaustive dans le bulletin ACM n°45(voir liste non exhaustive dans le bulletin ACM n°45(voir liste non exhaustive dans le bulletin ACM n°45 d’octobre 2014d’octobre 2014d’octobre 2014d’octobre 2014).).).).

Applicable dès le stade 3 feuilles sur blé, triticale, orge et seigle : Mextra (ou Quattro2) est un anti-dicotylédone à large spectre (sauf vivaces). Produit foliaire de contact, il est applicable jusqu’à 1 nœud de la céréale à raison de 1,5 L/ha en évitant les amplitudes thermiques. Intéressant sur bleuet et véronique (alternative au traitement à base de Bofix, par exemple). 2. Désherbage de début de printemps (jusqu’au stade 1 à 2 nœuds) Anti-graminées : Axial pratic (ou Alkera) à 1 L/ha avec 1 L/ha d’huile, utilisable jusqu’au stade 1-2 nœuds, est un anti-graminée efficace (sauf sur brome). Après une période de froid, attendre quelques jours après le redémarrage de végétation. Toundra s’utilise dans les mêmes conditions d’emploi pour un résultat similaire. Ces produits peuvent être associés à un anti-dicotylédone de type Ariane en conditions poussantes, hors période à forte amplitude thermique.

Anti-graminées et anti-dicotylédones : Sur blé, triticale et seigle uniquement : Hussar pro (1 L/ha) ou Archipel (200 à 250 g/ha), avec 1 litre/ha d’huile systématiquement. Ces produits, à utiliser de préférence sur adventices jeunes, restent efficaces sur graminées développées et offrent un spectre anti-dicotylédone assez large (bonne efficacité sur gaillet). Ils s’appliquent à des températures supérieures à 5°c et jusqu’au stade

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1-2 nœuds de la céréale. En présence de bleuets, véroniques ou pensées, ces 2 produits ne sont pas suffisamment efficaces. D’autres solutions applicables jusqu’à 1 nœud de la céréale : Abak ou Octogon (ou Radar) à 250 g/ha sont utilisables sur blé, triticale et seigle en association avec de l’huile estérifiée. Le spectre d’action est plus large pour Octogon qui est efficace sur graminées et dicotylédones locales (sauf bleuet et fumeterre). Les anti-dicotylédones seuls :

Produits à base de phytohormones : Bofix, Boston, Ariane peuvent s’utiliser jusqu’au stade 2 nœuds (3 L/ha). Leur usage est limité à une seule application par campagne, à compter du 1er mars. Ils sont efficaces avec des températures supérieures à 8°c et homologuées sur toutes céréales (sauf épeautre).

Les sulfonylurées : Utilisables dès 1°c sur culture en bon état végétatif, leur action anti-dicotylédone a un large spectre : Allié express seul : 45 g/ha Allié star SX : 40 g/ha (efficacité limitée sur gaillet, véronique et fumeterre).

Remarque : Bofix à 2,5 L/ha associé à Allié duo SX à 20 g/ha ; cette association dispose d’un bon spectre d’action sur les dicotylédones et vivaces (mélange possible sur blé, orge, triticale et seigle).

D’autres produits sont présents sur le département : Picotop (1,3 L/ha), utilisable jusqu’au stade « épi 1cm » s’utilise de façon alternée 1 fois tous les 2 ans, sur blé, triticale, orge et seigle. Sunny plus (1,5 L/ha), utilisable jusqu’au stade 1 nœud est efficace sur toutes les dicotylédones locales.

Sur avoine de printemps : Seuls les anti-dicotylédones de type Bofix ou Allié express sont autorisés. Pas de produit homologué en post-levée contre les graminées.

Rappels : Pour les produits en association, consulter leur fiche technique. En cas de mélange de ces produits, la plus forte valeur pour chacun des critères (DAR, ZNT, délai de rentrée) s'applique.

Les inhibiteurs de l’ALS, sélectifs de nombreuses cultures, sont régulièrement employés. Leur utilisation répétée peut entraîner des phénomènes de résistance de la part des adventices. Il est donc conseillé d’alterner les modes d’action de ses herbicides pour éviter ces phénomènes.

Quelques informations complémentaires

� Formation « Optimiser le désherbage de ses céréales » :

Vous souhaitez gagner en efficacité lors du désherbage de vos céréales, maîtriser les réglages de votre pulvérisateur en fonction des produits utilisés… Cette formation basée sur des résultats d’essais régionaux se déroulera en salle et sur le terrain le mercredi 11 mars 2015 à Paulhaguet (lieu modifiable selon inscriptions). Pour plus d’information ou pour vous inscrire : E. Gsell, au 04 71 07 21 00.

� Le « Certiphyto » sera obligatoire pour tout agriculteur utilisateur de produits

phytosanitaires et biocides à partir de novembre 2015. Son obtention peut se faire à l’issue de 2 jours de formation. La Chambre d’Agriculture vous propose des sessions proches de chez vous et gratuites. Pour vous inscrire, vous pouvez appeler le 04 71 07 21 54.

� Retrouver le bulletin de santé du végétal (BSV) chaque semaine, directement sur le site de la Chambre d’Agriculture :

http://www.haute-loire.chambagri.fr

Levées tardives d’adventices et présence ponctuelle de maladies caractérisent cette fin d’hiver

Photo

: E

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SELL

En résumé : Usage des herbicides locaux cités

En présence de chlortoluron : ATTENTION aux variétés sensibles à cette matière active. Toutes les associations de spécialités commerciales proposées sont autorisées. Reportez-vous aux instructions des firmes portées sur les emballages. Nous ne pouvons être tenus responsables d’erreurs ou mauvaises interprétations des conseils qui y sont précisés. * Dernière campagne d’utilisation des produits contenant du Ioxynil (Brennus plus, Foxpro D+, Mextra, Sunny plus,…).

NOMS COMMERCIAUX

MATIERES ACTIVES

DOSE /

HA

STADE DE LA CULTURE HOMOLOGUÉS

PRECONISATIONS

Coût indicatif

en euros par

Ha 1 ta

lle

Fi

n de

talla

ge

Epis

1 c

m

1-2

nœud

s

BLE

TRIT

ICA

LE

SEIG

LE

OR

GE

Axial pratic (ou Alkera)

+ huile

Pinoxaden +

cloquintocet

1 L +

1 L

• ANTI-GRAMINE : bonne efficacité sauf brome • 1 seule application par campagne, dès sortie d’hiver ; DAR : 60 jours ; ZNT = 5m

45-50

Toundra + huile

Pinoxaden + clodinafop + cloquintocet

1 L +

1 L

• ANTI-GRAMINE : sauf brome, chiendent - Uniquement sortie d’hiver –

• Autorisé sur épeautre • 1 seule application par an ; DAR : 60 jours ; ZNT = 5m

35-40

Célio (ou Agdis 100)

+ huile

Clodinafop + cloquintocet

0,3 à 0,5 L + 1 L

• ANTIGRAMINE : sauf brome et agrostis • DAR : 42 jours ; ZNT = 5m

45-50

Mextra (ou Quattro 2) *

Mécoprop + Iioxynil 1,3 à 2 L

• ANTI-DICOTYLEDONE : large spectre, efficacité limité sur pensée développée

• Stade limite : 2 nœuds ; ZNT = 50m • Pas homologué sur épeautre

40-45

Allié express Carfentrazone +

metsulfuron 40 à 45 g

• ANTI-DICOTYLEDONE : large spectre, sauf bleuet

développé • 1 seule application par an ; DAR : 90 jours ; ZNT = 5m

30-35

Ariane sel (ou Bofix ou Boston)

2,4 MCPA + Fluroxypyr + Clopyralid

2,5 à 3 L

• ANTI-DICOTYLEDONE : bonne efficacité par temps poussant, sauf pensée, géranium et véronique développée

• 1 seule application par an ; stade limite : 2 nœuds ; ZNT = 5m

30-35

Sunny plus * MCPP + Bromoxynil + Ioxynil

1,5 L

• ANTI-DICOTYLEDONE : large spectre et bonne efficacité (sauf pensée développée)

• DAR : 90 jours ; ZNT = 20m 40-45

Picotop Picolinafen + dichlorprop 1,3 L

• ANTI-DICOTYLEDONE : large spectre sauf matricaire • Usage 1 fois tous les 2 ans ; stade limite : 1 nœud ;

ZNT = 20m 25-30

Archipel + huile Mésosulfuron +

Iodosulfuron + Méfenpyr-d

0,200 à 0,250 Kg

+ 1 L

• MIXTE : Pas efficace sur brome, bleuet et peu sur

pensée • Pas homologué sur orge • DAR : 90 jours ; ZNT = 5m

60-65

Octogon (ou Radar) + huile Pyroxsulam +

Cloquintocet + Floraxulam

0,270 Kg + 1 L

• MIXTE : large spectre sauf fumeterre • Pas sur orge • Stade limite : 1 nœud ; ZNT = 5m

60-65

Hussar pro Fenoxaprop + Iodosulfuron +

Menfenpyr

1 à 1,2 L

• MIXTE : pas efficace sur brome, bleuet ; efficacité

réduite sur pensée et véronique développée • 1 application tous les 3 ans (BTH), 1 application par an

(autres cultures) ; ZNT = 5m

55-60