Cahier Pro Retraite Plus - Eté 2013

Dédiés aux professionnels du social et de la santé

www.retraiteplus.fr

N°4

ÉTÉ

201

3Les cahiers PrOde retraite Plus

Dossier Aides sociales et Aides Fiscalesvolet 2

Les CAhiers Pro – N°4

L’Organisme Retraite Plus est fier de vous présenter cette quatrième édition de ses Cahiers Pro qui, nous l’espérons, contribuera à mieux vous éclairer sur les différentes aides qu’il est possible d’obtenir lorsque la famille ou la personne âgée, n’est plus en mesure d’assumer les frais liés à sa dépendance.Destinés aux professionnels de la santé, mais aussi aux personnes âgées et à leurs familles, les Cahiers Pro ont pour vocation de diffuser de la façon la plus complète possible, toute l’information concernant le grand-âge et la protection des âgés. Dans ce numéro 4, nous vous présentons notre deuxième volet concernant les différentes aides financières permettant de prendre en charge les aînés dans la dignité.Nous y passons en revue : les aides des caisses d’Assurance Maladie, la Majoration pour Tierce Personne, les aides exceptionnelles destinées aux personnes âgées ou handicapées ainsi que les différentes aides fiscales existantes.Au rendez-vous également, nos nouvelles rubriques dédiées au bien vieillir et parmi elles : notre rubrique spéciale assistantes sociales, le courrier des lecteurs, la rubrique Vie Pratique présentant des objets utilitaires destinés à faciliter le quotidien des personnes âgées, la rubrique cuisine avec « les recettes de nos grand-mères » et enfin notre rubrique insolite : «nos seniors ont la forme».Bonne lecture.

Laurent Arama, Directeur Général de Retraite Plus

editOrialPar Laurent Arama, Directeur Général de Retraite Plus

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dossier : les Aides Sociales volet 2 ........................................................................................ p.10

Zoom sur la ville de Paris ............................................................................................................. p.16

Actualité du grand-âge : quoi de neuf au gouvernement ? ......................................... p.30

des seniors exeptionnels ....................................................................................................... p.36

Les familles nous remercient ................................................................................................. p.38

Vie pratique ................................................................................................................................. p.24

Nos chères Assistantes sociales ........................................................................................... p.6

sOmmaire

Les recettes de nos grands-mères ......................................................................................... p.40

Le Courrier des lecteurs .......................................................................................................... p.44

Vie pratique ................................................................................................................................. p.28


Les cahiers pro de retraite pLusdédiés aux professionneLs du sociaL et de La santé

Numéro 4Les aides sociales volet 2

Directeur général de Retraite Plus Laurent araMa

Rédactrice en chef anaelle eVY

Rédaction et documentationisabelle azerouaL

Conception graphique zelda Leotardi

Responsable publicationYael di napoLi

Contacts publi reportagepatrick seGaLfeLix attaL

Copyright Tous droits réservés 2013-Retraite PlusLes cahiers Pro de Retraite Plus

Aucune partie de cet ouvrage ne peut être reproduite de quelque manière que ce soit, par impression, procédé anastatique, microfilm, microfiche, ou par tout autre moyen, sans autorisation préalable de l’éditeur. la loi du 11 Mars 1957 n’autorisant, au terme des alinéas 2 et 3 de l’article 41, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage du copiste, cette représentation ou reproduction, par quelque

procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du code pénal.

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ProFessioN :NOs chères assistaNtes sOciales

Force est de constater qu’une ma-jorité de patients Alzheimer font désormais partie des principaux

résidents de maisons de retraite médi-calisées et EHPAD de France. Actuelle-ment, certains établissements abritent plus de 60% de personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Pourtant, 70% des malades Alzheimer demeurent à domicile, bénéficiant dans le meilleur des cas d’un panel d’aides spécifiques : aide-ménagère, soins infirmiers, aide-soignante, garde-ma-lade, lit médicalisé, portage de repas…et du soutien financier apporté par l’al-location personnalisée d’autonomie. Malgré toutes ces mesures, le reste à

charge pour la famille reste encore trop élevé, faisant de cette maladie une « double injustice ».

De plus, bien souvent l’aidant familial, conjoint ou enfant, croule sous la sur-charge de travail quotidien et les pro-blèmes psychologiques qu’engendrent de telles situations d’épuisement.

Au détriment de sa propre santé, l’ai-dant doit faire face, coûte que coûte. Parfois au risque de négligences graves, voire de drames familiaux, comme ceux fréquemment rapportés par les médias.


COMMENT L’ASSISTANTE SOCIALE CONTRIBUE T-ELLE A AMELIO-RER LA PRISE EN CHARGE DU PATIENT ALZHEIMER ?

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Nastasia Balandier est assistante sociale depuis 5 ans dans une clinique de rééducation fonctionnelle comprenant un service de soins de suite gériatrique de 45 lits, et un service de méde-cine physique et réadaptation d’une capacité d’accueil de 30

lits et 20 en accueil de jour. Sa fonction : Assurer le lien entre la clinique, la famille et les partenaires extérieurs pour organiser et préparer l’entrée du patient au sein d’un EH-PAD, particulièrement adapté aux malades d’Alzheimer…

L’AssistAnte sociALe Doit fAiRe vALoiR, souvent DAns L’uR-Gence, tous Les DRoits Du PAtient et constitueR un DossieR soLiDe PouR une entRée en eHPAD. comment PRocéDez-vous ?Je procède tout d’abord à l’évaluation des besoins du patient tant au niveau médical que social. Pour ce faire, l’évaluation sociale et les réunions de synthèse hebdomadaires me permettent de recueillir l’avis de l’équipe pluridisciplinaire qui est primordiale à la prise en charge globale du patient. Ensuite, je rencontre obligatoirement la famille pour les inclure dans le projet via une écoute, des conseils, je les oriente et recherche avec eux un établissement médicalisé adapté à la dépendance du patient, au budget mais aussi au secteur géographique souhaité. J’informe régulièrement patient et famille sur l’avancée des recherches et constitue les dossiers d’aide au financement des EHPAD. Dans la mesure où le patient est isolé, nous nous substituons à la famille et effectuons les démarches de « A à Z » jusqu’à l’accompagnement du patient dans son futur lieu de vie.

Dans un tel contexte, le travail de l’assistante sociale est primordial. Comment faire valoir dans l’urgence tous les droits du patient Alzheimer et respecter son choix de lieu de vie, alors même qu’il n’est plus en mesure de donner son consentement éclairé ?A CES qUESTIONS CRUCIALES, NOTRE ASSISTANTE SOCIALE, NASTASIA BALANDIER, A ACCEPTé DE RéPONDRE. VOICI SES ExPLICATIONS :

Les CAhiers Pro – N°4Les CAhiers Pro – N°3

QueLs sont Les DéLAis ReQuis entRe LA DemAnDe et L’entRée en eHPAD ?

Nous n’avons malheureusement souvent que le temps de l’hospitalisation pour trouver une maison adaptée. La moyenne de séjour en soins de suite est d’un mois, mais bien souvent les démarches de maisons de retraite sont longues. Il faut pouvoir trouver rapidement des solutions adaptées aux souhaits familiaux du patient et au budget, sans compter les délais d’attente dans l’instruction des dossiers d’aides financières. Cette durée se voit souvent prolongée quand les démarches n’ont pas été entreprises avant le séjour du patient dans notre établissement.

QueLs sont Les PRobLèmes sPécifiQues RencontRés PAR L’Assis-tAnte sociALe LoRsQu’iL s’AGit D’un PAtient ALzHeimeR ?

Le patient Alzheimer peut présenter d’importants troubles cognitifs susceptibles d’altérer sa capacité de décision et son jugement et par conséquent altérer ses capacités à décider ou non d’entrer en établissement. Il se peut que le patient présente une « anosognosie » (NDLR : terme un peu barbare, venant du grec nosos/maladie et gnosie/connaissance, l’anosognosie est un symptôme caractérisant la méconnaissance, voire le déni, par un malade de la maladie dont il est atteint alors que celle-ci apparaît de façon évidente). Il n’a donc pas conscience de ses incapacités intellectuelles ou motrices, il est difficile de lui faire comprendre que le projet d’EHPAD est le plus sécurisant comme projet de sortie de la clinique.

Certains patients sont dans le déni, d’autres n’ont aucune valeur de l’argent, aucune notion de l’espace et du temps, ce qui complique les explications à fournir au patient quant au projet, à son financement et à sa nécessité.

Enfin la famille peut, elle aussi, mettre des freins au placement. En effet, quand il y a un conjoint aidant ou un enfant au domicile, celui-ci même épuisé physiquement, moralement et psychologiquement par la lourde prise en charge du patient, se culpabilise de l’entrée en institution, se sentant impuissant. Il est important d’adapter son discours tout en rendant le patient acteur de son projet. Pour ce faire, la psychologue est aussi une aide à l’acceptation du projet aussi bien pour le patient que pour la famille. Enfin, rares sont les patients dont le jugement est altéré qui bénéficient d’une mesure de protection juridique (sauvegarde de justice, curatelle simple curatelle renforcée ou tutelle), ce qui complique les démarches au niveau financier.

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comment LA fAmiLLe PARvient-eLLe Au bout Du comPte à Ré-GLeR LA fActuRe mensueLLe De L’eHPAD?

Il existe quand le patient n’a pas les moyens de régler seul le prix de l’hébergement, des aides sociales comme l’APA en établissement qui permet de financer la partie dépendance de la maison de retraite et l’aide sociale à l’hébergement qui permet de financer la partie hébergement. Il est possible de faire valoir les APL également. Nous rencontrons des difficultés dans l’adhésion des familles au dossier d’aide sociale à l’hébergement qui est sur succession. Nous avons pour mission d’orienter et de guider les familles dans l’instruction de ces dossiers, voire, quand le patient est isolé, de l’instruire.

Propos recueillis par Isabelle Azeroual

Chères AS, cette rubrique vous est dédiée. Faites-nous part de vos témoignages, de vos difficultés quotidiennes sur le terrain, et de vos remarques pour améliorer la prise en charge des personnes âgées hébergées en Ehpad ou maison de retraite. Retraite Plus se fait un devoir de publier les points les plus pertinents dans ses colonnes...écrivez nous à l’adresse suivante : [email protected]

comment AboRDez-vous Les PRobLèmes De mise sous tuteLLe ?

quand le patient a de la famille, le rôle de l’équipe médico-sociale est d’interpeller la famille sur la nécessité d’une mise sous protection juridique. Il faut que cette question soit traitée sur les deux plans : les médecins doivent évaluer puis expliquer les incapacités du patient à gérer son patrimoine, voire à prendre des décisions. De son côté, l’assistante sociale conseille, oriente et guide les familles, voire instruit elle-même une demande de protection juridique, via le procureur de la République. En ce qui concerne le patient, c’est parfois difficile pour lui de se voir déposséder de son pouvoir de gestion de sa vie financière.

comment ResPecteR Le cHoix De Lieu De vie Du PAtient LoRsQue ceLui-ci n’est PLus en mesuRe De DonneR son consentement écLAiRé suR LA Question ?

Le discernement du patient atteint de la maladie d’Alzheimer à un stade léger n’est pas forcément altéré. Le patient devient dépendant progressivement, de manière plus ou moins importante, et les décisions médicales dépendent de la volonté, de l’état, des désirs du patient. Un droit à agir ne peut se concevoir sans la reconnaissance du respect des choix du patient dans tous ses actes.Aujourd’hui, il faudrait dans l’idéal respecter les préférences du patient tout en recherchant son avis, ses désirs, s’en tenir aux préférences et aux valeurs qui étaient celles de la personne lorsque celle-ci était encore capable d’autonomie. On peut alors se référer aux directives anticipées (s’il y en a, c’est rare) ou recourir à des histoires de vie mais bien souvent la culture, la culpabilité des proches et l’importante perte d’autonomie du patient nous empêchent d’agir selon une norme.


CoNNAîTre TouTes Les aides sOciales VoLeT 2

Pour qui ? Pourquoi ? comment les obtenir ?Quels sont les montants alloués ?voici le mode d’emploi des aides so-ciales destinées à soulager le quoti-dien de nos ainés. Dans ce deuxième volet, Retraite Plus passe en revue cha-

cune des aides suivantes : Les aides des caisses d’Assurance maladie, la majoration pour tierce Personne, les aides exceptionnelles destinées aux personnes âgées ou handicapées ain-si que les aides fiscales à domicile ou en maison de retraite.


• Pour les personnes âgées hébergées en maison de retraite, ayant cotisé à une mutuelle et bénéficiant de l’assurance maladie pour couvrir les frais engendrés par leur pathologie. Ainsi, durant leur séjour en maison de retraite ou en EHPAD, leur assurance maladie couvrira leurs soins médicaux conformément aux accords entre les maisons de retraite et l’assurance maladie.

•Pour les personnes âgées séjournant en maison de retraite, et qui ne sont pas en mesure de prendre en charge tous les frais relatifs aux soins médicaux. La caisse d’assurance maladie peut alors leur accorder la possibilité de recevoir une CMU complémentaire.

• Parallèlement, une assurance complémentaire santé (ACS) peut prendre les frais de santé en charge lorsque la personne âgée a cotisé.

Bon à savoir : Toutes les démarches en vue de l’obtention des aides de la CNAV, des caisses de retraite ou des caisses d’assurance maladie, doivent être directement adressées aux organismes en question. Une assistante sociale peut vous y aider. Les conseillers en gérontologie de Retraite Plus vous guident et vous orientent en permanence, à ce sujet. N’hésitez pas à les contacter au numéro vert suivant : 0 805 696 631

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LA MAjorAtion pour tierce perSonne (Mtp) : de quoi s’AgiT-iL ?

Il s’agit d’une subvention allouée par la caisse d’assurance, aux assurés ayant besoin

de l’aide d’une personne extérieure pour accomplir les gestes de la vie quotidienne : S’alimenter, se lever, se déplacer, faire sa toilette, s’habiller, se déplacer à domicile. Des actes qui nécessitent une assistance et une surveillance pour garantir la sécurité des personnes concernées.

Quel est sON mONtaNt ?

La MTP vient d’être revalorisée de 2,1 % depuis le 1er avril 2012. Son montant est à présent 1082,43 euros mensuels.

DeS AiDeS SociALeS : Pour qui ?


LA MTP : cOmmeNt l’ObteNir ?

POur les mOiNs de 60 aNs : La demande doit être adressée à l’organisme qui verse la pension d’invalidité, accompagnée d’un certificat médi-cal du médecin traitant établissant la nécessité d’avoir recours à l’assistance d’une tierce per-sonne pour accomplir les actes ordinaires de la vie. Une fois arrivé à l’âge légal de départ à la retraite, la MTP est maintenue.

POur les Plus de 60 aNs : La demande doit être adressée à l’organisme qui verse la pension de retraite, accompagnée d’un certificat médi-cal établissant la nécessité d’avoir recours à

l’assistance d’une tierce personne.Les pièces à joindre à la demande de MTP sont les suivantes : • Le dossier de demande de pension d’invalidité • L’avis de non imposition • La carte d’identité ou carte de séjour en cours de validité• Le relevé des allocations chômage versées • L’attestation de travail du dernier employeur.

A NOTER : La majoration pour tierce personne n’est pas imposable.

la m.t.P. est cumulable avec :

• une pension militaire d’invalidité, • une pension de victime de guerre, • une rente, • un accident du travail, • une maladie professionnelle, • une pension d’invalidité d’un autre régime d’assurances sociales (salariés des professions agricoles, mineurs, marins), • une pension vieillesse liquidée ou révisée au titre de l’inaptitude au travail justifiant avant leur 60e anniversaire de l’impossibilité d’exercer une activité professionnelle et de l’obligation d’avoir recours à l’assistance d’une tierce personne, pour être classé invalide du 3ème groupe.

la m.t.P. N’est eN revaNche Pas cumulable avec :

• L’Allocation Compensatrice pour Tierce Personne (ACTP)• La prise en charge d’une aide-ménagère au titre de l’aide sociale ou de l’action sociale d’une caisse d’assurance vieillesse.• L’Allocation Personnalisée à l’Autonomie (APA)• La M.T.P. est déduite du montant alloué au titre des aides humaines de la Prestation de Compensation du Handicap. (PCH)

M.T.P: POur Qui ?

• Pour les bénéficiaires d’une pension d’invalidité de 3ème catégorie• Pour les personnes âgées de moins de 60 ans au titre de séquelles d’accident du travail ou d’une maladie professionnelle ou au titre de l’invalidité. • Pour les personnes entre 60 et 65 ans (impérativement avant 65 ans), au titre de la pension vieillesse pour inaptitude.

À NOTER : Si l’assuré dépose sa demande après 65 ans, le certificat médical doit préciser que son état de santé nécessitait l’assistance d’une tierce personne avant cet âge.


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En effet, en complément de toutes les aides so-ciales que nous venons de passer en revue, visant à soulager la perte d’autonomie d’une personne âgée à domicile (allocations spécifiques, aide-mé-nagère, amélioration de l’habitat etc…) des aides exceptionnelles peuvent être octroyées pour faire face à des dépenses rendues nécessaires par un état de santé défaillant. L’étendue des besoins est vaste, la prise en charge est toujours liée aux ressources du demandeur, après passage en commission d’attribution. Aus-si, il peut s’avérer très utile de solliciter une telle aide, auprès du fond d’action sociale des caisses de retraite et complémentaires, des mutuelles, du centre communal d’action sociale, des services sociaux des municipalités. Pour tous les besoins suivants :L’achat d’une prothèse auditiveL’entrée en établissement pour un séjour tempo-

raire, en accueil de jour ou de nuit.La participation aux frais d’un déménagement vers un logement adapté.Une facture EDF trop élevée.Des heures supplémentaires d’aide à domicile.L’accompagnement aux transports.Les dépenses pour les protections hygiéniques.Les soins de pédicurie.Une aide psychologique.L’installation de la télé assistance ou un abonne-ment à la téléassistance.Le recours à une garde de nuit itinérante.Des petits travaux ou du jardinage La consultation à domicile d’un ergothérapeute. Des sorties ou des séjours de vacances accompa-gnées afin de maintenir le lien social.Une aide à la gestion administrative.La participation à des ateliers mémoire, ateliers équilibre, ateliers nutrition.

Faire Face à uN imPrévu Ou à uNe urgeNce : VoiCi Les Aides exCePTioNNeLLes desTiNÉes Aux Per-soNNes âgÉes eT ou hANdiCAPÉes


Qui cONtacter POur l’aide à l’améliOratiON de l’habitat ?

Afin de demeurer chez soi le plus longtemps possible, il est souvent impératif d’adapter son logement en fonction de l’état de santé, du handicap, et du niveau de dépendance. Pour ce faire, différents organismes interviennent financièrement.

• L’Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat (ANAH)• Le PACT habitat et développement• Les caisses de retraite• Le Conseil Général• La maison départementale des personnes handicapées

Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation (ARDH) Une aide temporaire permettant d’éviter une rupture de prise en charge de la personne entre la fin de son séjour hospitalier et son retour à domicile. L’ARDH offre, sous conditions de ressources, et pour une période de trois mois, des heures d’aide ménagère à domicile, de garde de nuit, le portage de repas ou encore des aides techniques.

La prestation temporaire de maintien à domicile: Cette nouvelle aide concerne les personnes âgées dont l’autonomie et/ou le maintien à domicile serait menacé en raison d’une maladie ou d’une indisponi-bilité des aidants familiaux... L’intervention du RSI consiste à financer pendant trois mois des interven-tions diverses nécessitées par la situation de ces per-

sonnes telles que le relais d’une garde de nuit ou un hébergement temporaire.

Prise en charge des frais liés à des séjours de va-cances accompagnés: Cette aide vise à favoriser le maintien du lien social pour les retraités en leur per-mettant de participer à des séjours de vacances ac-compagnés, encadrés par des bénévoles ou des pro-fessionnels. Le RSI encourage les initiatives pour l’organisation de ces séjours pour soulager les aidants familiaux et leur permettre de concilier cette fonction avec leur vie personnelle. La personne en perte d’au-tonomie est alors prise en charge dans une alternative de tourisme social adapté.

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ZooM sur la ville de Paris :un modèle à suivre pour l’aide en faveur des personnes âgées !

Plus de deux millions de personnes âgées de plus de 60 ans vivent actuel-

lement en Ile de France. Or, d’ici 2030, 76 000 personnes âgées en perte d’autonomie

sont à prévoir. Selon les pro-jections de l’INSEE, les deux-tiers resteraient à domicile, tandis qu’un tiers intégrerait une institution.


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aiNsi, eN 2020, Plus de 8 FraNcilieNs POteNtiellemeNt déPeNdaNts suPPlémeNtaires sur 10 aurONt Plus de 85 aNs.

C’est une fois encore, grâce à l’augmentation de l’espérance de vie, et donc au vieillissement de la population, qu’une politique dynamique et responsable en faveur des séniors s’impose comme une nécessité.

et vu l’extraordinaire diversitée des prestations et activités proposées aux personnes âgées de plus de 65 ans dans la capitale, on serait presque tenté de dire que s’il n’est pas nécessaire d’être « vieux » pour vivre à paris, cela aide énormément !

Favoriser le maintien à domicile le plus longtemps possible à travers un large panel d’aides disponibles, tout en créant davantage encore d’établissements pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) en Ile de France, fait partie des priorités de la ville de Paris et de la région Ile de France.

une constance dans la politique en faveur des séniors : solidarité et multiplication des aides adaptées

Force est de constater qu’en matière de lutte contre la précarité des personnes âgées ou handicapées, la ville de Paris a toujours su se distinguer favorablement au niveau national, et probablement international.

Et cela, semble t-il, quels que soient les différents maires au pouvoir.

Ainsi, Jacques Chirac, a toujours été qualifié de « super maire » par les personnes âgées, lesquelles ne tarissaient pas d’éloge à son égard. Aujourd’hui âgé de 80 ans, il reste très présent dans le cœur de ses ex-administrés. Son ami Jean-Louis Debré, confiait récemment au micro d’Europe 1 son inquiétude vis-à-vis d’un homme très fatigué par « une maladie de la vieillesse »…

Depuis, son successeur Bertrand Delanoë a su garder le cap, et selon certains, est allé même bien au-delà dans l’aide quotidienne apportée aux séniors les plus vulnérables.

ainsi, fidèLe enVers ses ainés, La ViLLe de paris, a Mis en pLace depuis pLus d’un an des Mesures exceptionneLLes :

La création d’une aide complémentaire au minimum vieillesse : «Paris Solidarité».La réforme du « Complément Santé Paris »,

L’extension du bénéfice de « Paris Logement ». De très nombreuses prestations spéciales Ville de Paris dédiées aux personnes âgées et ou handicapées telles que :• La pédicure à domicile• La coiffure à domicile• Le portage de repas à domicile• L’aide à l’installation de la téléalarme• Le diagnostic habitat et l’aide à l’amélioration du logement • L’accès aux loisirs, avec notamment des sorties organisées et promenades sur la Seine ainsi que des mini-séjours de vacances• Les clubs séniors et les cafés littéraires, y compris au sein des EHPAD de Paris avec des rencontres intergénérationnelles sur le thème « grandir c’est vieillir et vieillir c’est grandir ! »

• Les séjours verts en EHPAD de banlieue pour une durée de 15 jours à 2 mois• L’allocation d’accompagnement pour les personnes qui décident de cesser totalement leur activité professionnelle pour s’occuper d’un proche malade• L’allocation pour le maintien à domicile d’une personne âgée• La carte Paris à Domicile• La carte Sénior + qui permet dès 55 ans de bénéficier d’activités physiques et sportives gratuites, telles que la gymnastique douce, l’aquagym ou le taekwondo• L’aide au paiement des factures d’électricité pour les personnes âgées démunies.• L’accès aux restaurants Paris Emeraude pour les personnes âgées et handicapées • Le Pass Navigo Améthyste pour le transport des personnes handicapées• Le Pass Navigo Emeraude pour le transport des personnes âgées…


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On le voit, la liste des avantages dont peuvent bénéficier les parisiens et parisiennes habitant la capitale depuis au moins 3 ans, âgés de plus de 65 ans, ou 60 ans en cas d’incapacité, de manière entièrement gratuite ou moyennant une petite participation selon leurs revenus, est tout à fait impressionnante. Loin de se limiter à la traditionnelle, et toujours appréciée, boite de chocolat offerte à tous les séniors au moment des fêtes, ces aides sont revalorisées chaque année au mois d’Avril.

Ainsi, il convient de vérifier pour chacune d’entre elles, les conditions d’obtention et les montants alloués, directement sur le site de la Ville de Paris ou auprès de chaque mairie d’arrondissement. Cela va de la gratuité complète ou partielle des transports, à une aide financière mensuelle, en passant par différents compléments d’allocations nationales, tout en privilégiant l’accès aux loisirs, le maintien à domicile, mais également l’accompagnement à l’entrée en établissement pour personnes âgées dépendantes.

De quoi faire pâlir de nombreuses municipalités qui ont pourtant à cœur de développer l’aide en faveur du 3ème âge. Ainsi, la ville de Paris, si bien nommée « ville des Lumières », brille réellement de mille feux dans ce domaine.

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• Mise au point de la démarche et installation d’un groupe d’évaluation,• Examen des pratiques professionnelles,

• Vérifications et éclairages complémentaires (usagers, salariés et parties prenantes),• Analyse et recommandations.

AREDIANCEHabilitation ANESM : H 2010 – 03 – 350 | Directeur : François SALATKO | 4 rue Pasteur – 14000 CAEN |

Tél : 02 31 95 08 00 – Fax : 02 31 94 21 85 | [email protected] |

Dans le respect des principes de l’ANESM et de la loi 2002-2, la démarche d’évaluation externe des établissements et services du secteur social et médicosocial doit contribuer à la cohérence des pratiques, des processus et de l’organisation au service de l’usager.

Notre approche de l’évaluation externe renforce la mobilisation de l’ensemble des salariés autour du projet d’établissement et favorise le développement d’une culture commune. Elle contribue à l’amélioration de la qualité des pratiques et à la conformité aux exigences réglementaires. Elle fait appel à une large participation des salariés et des parties prenantes

et se déroule en quatre phases :

Nos Références : EHPAD - SSIAD – SAD - Aide à la personne- MAS—- ESAT - FOA -FAM - MECS

Implantés en Normandie et en Bretagne, nous constituons l’équipe la mieux adaptée pour répondre de manière pluridisciplinaire à chaque demande. Nos intervenants possèdent une solide expertise issue de 15 à 25 ans d’expérience professionnelle dans le conseil et dans des fonctions de direction ou d’encadrement au sein d’établissements du secteur social et médico-social. Leurs savoir-faire reposent en particulier sur une pratique éprouvée d’évaluations internes ou externes, de défi nitions de projets associatifs ou d’établissements, d’accompagnements d’équipes de direction et des professionnels (analyse de pratiques,

supervision,…).


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paris soLidarité : Lutter efficaceMent contre La précarité des personnes âGées

Comme son nom l’indique, cette allocation basée sur le principe de la solidarité, s’est fixé comme objectif de départ, en 2011, cet ambitieux défi :

qu’aucune personne seule, qu’elle soit âgée ou en situation de handicap, résidant à Paris depuis plus de trois ans ne puisse vivre avec moins de 840 euros par mois !

Ainsi, « Paris Solidarité » vient en complément des ressources mensuelles du demandeur, pour les

porter, plus d’un an après sa mise en place à 875 € par mois pour une personne seule et à 1391 euros pour un couple. Une prestation unique qui constitue une sérieuse garantie pour les plus démunis.

Paris Solidarité se substitue ainsi à l’allocation Ville de Paris (AVP) et concerne déjà 24 175 bénéficiaires. Pour en savoir plus sur et connaitre vos droits, allez sur le site de la Mairie de Paris.

www.paris.fr/aidesaulogement

Le coMpLéMent santé paris : Garantir à tous L’accès aux soins

13 161 parisiens en bénéficient déjà. Sans cette aide, ils ne pourraient pas avoir accès à une mutuelle santé et donc à des soins intégralement remboursés, avec pour conséquence des négligences dans le suivi et la tendance à reporter des soins importants, et prendre ainsi le risque d’une aggravation de l’état de santé général.

Cette prestation concerne donc les bénéficiaires de Paris Solidarité et les personnes en situation de handicap.

Pour en savoir plus sur tous les droits et avantages accordés aux personnes âgées résidant à Paris, allez sur le site de la Mairie de Paris.

Pouvoir recevoir et savoir donner…sont les principes de base d’une politique dynamique et généreuse mais non d’assistanat, aussi, la mairie de Paris incite également les retraités qui le désirent et qui le peuvent à s’engager dans le bénévolat auprès d’une multitude d’associations qui ont bien besoin du savoir faire, de l’expérience et de la disponibilité des personnes âgées.

Par ailleurs, afin de favoriser l’emploi pour les plus de 50 ans et les personnes handicapées, la Mairie de Paris organise chaque année le salon « Paris de l’expérience et de l’emploi des séniors ». 1200 offres adaptées sont ainsi proposées dans la région Ile de France. Pour en savoir plus : www.senior-competence.fr

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La CAHPP vous apporte des solutions en matière de : . Stratégie, d’organisation et de gestion, de

conseils en management. Analyse des circuits internes de l’établissement au regard des bonnes pratiques et de la régle-mentation

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La CAHPP vous propose : . Une aide au positionnement par rapport aux critères de l’ANESM

. Une assistance dans la formalisation de bench-marks sur les indicateurs de performance

. Une adaptation de vos stratégies internes en tenant compte des orientations liées au déve-loppement durable (éco-responsable)

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La CAHPP vous aide à : . La mise à jour des connaissances et des com-pétences des collaborateurs par le biais d’ate-liers régionaux d’information et de formation

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domaines d’activités . Un accès privatif à la totalité du référencement

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Tel est le défi quotidien de tout établissement à vocation sanitaire ou médico-sociale.

Parce que les volumes d’achats ne sont pas les seuls paramètres à prendre en compte en vue de l’optimisation des équilibres budgétaires, notre expertise dépasse les clivages classiques d’une simple centrale d’achats et positionne nos actions sur l’établissement et son environnement, ses besoins, ses contraintes.

Conseil et référencement sont les piliers de notre philosophie où chaque établissement reste totalement indépendant dans sa gestion, il n’y a pas de volume d’achat minimum à atteindre pour bénéficier des accords négociés.

Bienvenue dans l’univers CAHPP, au-delà des simples solutions…

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ciées aux produits et tarifs négociés. Une réponse individualisée à vos attentes

en termes de projets et de suivi

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vie PratiQue :


C’est la nouvelle idée de nos voisins américains, inven-ter une petite maisonnette à placer dans leur jardin pour héberger leurs ainés en perte d’autonomie.Nommées

‘’granny Pod’’ou « capsules de grand-mere’’ ces petites maisons de poupée sont en fait des mobile homes entièrement médi-calisés et équipés de toutes les infrastructures d’une véritable maison de retraite.

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Face au problème de la dépendance, les familles sont souvent confrontées à un choix cornélien :Comment allier soins et sécurité avec le désir de leur proche de garder son indépendance de vie ? Eh bien les américains ont trouvé la solution : acheter un Granny Pod et installer leur proche dans leur

jardin. Cette parade pour le moins originale permet aux personnes âgées qui refusent l’hébergement en maison de retraite de garder leur indépendance de vie tout en vivant dans des conditions parfaitement sécurisées.

Ce petit bâtiment préfabriqué comprend bien sûr une chambre à coucher, une cuisine, une salle de bains et une éventuelle chambre pour un aide-soignant mais il est également équipé de fonctionnalités pour le moins originales : Un revêtement destiné à amortir les chutes recouvre le sol, le lit est pourvu d’un lève malade, des barres d’appui sont fixées aux murs et les placards sont conçus pour pouvoir être abaissés vers le sol pour être d’accès plus facile. Selon vos besoins, vous pouvez également choisir le Granny Pod « toutes options ». Utilisant ce que les américains nomment des « smart robotic features », c’est-à-dire des fonctionnalités de robotique intelligente. En bref, équipée de ces fonctionnalités, cette unité de vie peut tout faire : filtrer l’air pour le décontaminer, garantir la sécurité de son occupant grâce à un système de surveillance vidéo, éviter les chutes grâce à un système d’éclairage à hauteur des genoux et surtout communiquer avec l’extérieur !

eT si Vous hÉbergieZ VoTre grANd-Mère daNs vOtre jardiN ?

un véRitAbLe Petit APPARtement entièRement AménAGé PouR Les PeRsonnes DéPenDAntes ou souffRAnt De HAnDicAPs

une nouveLLe iDée AméRicAine RévoLutionnAiRe PouR Rem-PLAceR Le séjouR en mAison De RetRAite : Les GRAnny PoD.


Car attention, ce n’est pas tout ! Cette petite merveille de la technologie américaine est également pourvue de toute une panoplie d’outils médicaux High Tech : matériel médical contrôlant la santé de la personne âgée,tensiomètre, défibrillateur automatique... tout a été prévu ! Des capteurs avertissent l’auxiliaire de soins des problèmes éventuels et des rappels de prise de médicaments sont déclenchés par l’intermédiaire d’un système informatique perfectionné. De quoi rêver ? Eh bien vous n’êtes pas au bout de vos surprises puisqu’il est possible d’après le site internet d’une des compagnies commercialisant ces Granny Pods, (http://www.medcottage.com), d’y ajouter des options divertissement : films, musique ou émissions de littérature ! Facile à installer dans le jardin familial, ce nouveau lieu de résidence pour personnes âgées dépendantes

ou handicapées permet aux familles de pouvoir garder un œil sur leur ainé qui continuera à vivre de façon indépendante.Néanmoins, cette mini maison de retraite de luxe a un prix et c’est là, que l’affaire se corse! Ces maisonnettes fabriquées par la société MEDCottages, coûtent la coquette somme de 85 000 dollars lorsqu’elles ne sont pas équipées, et de 125 000 dollars si elles le sont. Une deuxième société :PALS Built, bien décidée à exploiter ce nouveau filon vend ses maisonnettes sous forme d’éléments préfabriqués que l’on peut assembler et équiper à la demande. Leur prix débute à 17 000 dollars auxquels il faudra ajouter 60 000 dollars pour l’assemblage puis 16 000 dollars de plus pour les médicaliser. Onéreuses, ces Granny Pod ! Pourtant l’idée est intéressante … à quand l’exploitation du concept en France ?

(source : Le Point.fr)

une unité De vie Qui Peut éGALement suRveiLLeR Les constAntes méDicALes De son occuPAnt

Formations et accompagnements

des salariés

Avec plus de 25 ans d’expériences et d’ excellents retours en « Formations et Accom-pagnements des salariés », nos deux organismes se sont forgés une solide expérience

dans le domaine sanitaire et social.

Notre éthique de travail :Une approche personnalisée des établissements,

Un engagement total des équipes, Une démarche qualité éprouvée,

quelques thématiques les plus populaires animées ces dernières années :- Accompagnement de la personne âgée au quotidien et dans ses pathologies.

- La Communication « Quand le regard se fait Parole » Silence et accompagnement.- Se protéger pour mieux aider.

- Prendre confiance en soi par le Théâtre.- Apprivoiser et apaiser le stress.

Des sessions in-situ et inter- maisons de retraite sont régulièrement organisées.Pour une meilleure appréciation du travail coordonné et des prestations proposées,

contactez nous et rencontrons-nous.Contact : 06 66 60 16 70

Nasser RAIRI Baya FECIHDirecteur Directrice

internationaL forMation conseiL2/4 Cité de l’ameublement

75011 Paris.Tel 01 53 36 11 90- Fax 01 53 36 11 91

n-f forMations- Siège: 15 Allée de L’ Empereur_82000

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L’AumoneTél: 05 63 20 75 49 Fax: 09 83 06 75 49


ces Objets Qui NOus FaciliteNt la vie...


Faciliter la vie des personnes âgées qui nous sont proches est un sujet qui nous tient à coeur. C’est pourquoi nous vous présentons dans cette rubrique, des objets pratiques

destinés à améliorer les conditions de vie des seniors.

Voici une deuxième idée pratique destinée à faciliter la prise des repas par les personnes âgées. Lorsqu’une personne âgée voit sa mobilité réduite, même la prise des repas peut devenir source de

difficultés voire de douleur lors des déplacements. Ce plateau repas se pose sur le lit et permet de prendre ses repas tout en restant alité. Pratique et ergonomique, ce plateau est muni de poignées

pour une meilleure prise en main et de pochettes de rangement.

Disponible en plusieurs coloris, ce plateau mesure.34 x 26 cm sur 19 cm de hauteur et coute 23.95€. Il peut vous être livré sous 48 heures

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PLATeAu rePas

quand on est en fauteuil roulant, la vie quotidienne est peuplée de petits obstacles comme des poignées de porte trop hautes et difficilement a t t e i g n a b l e s . La solution : un prolongateur de

poignée de porte qui permet d’adapter toutes les poignées de porte à leur utilisation depuis un fauteuil roulant. Une personne âgée en fauteuil roulant a souvent du mal à atteindre la poignée de certaines portes. Ce problème est maintenant réglé grâce à cet adaptateur de poignée de porte qui vous permettra de manipuler les poignées de manière beaucoup plus simple. En effet, cet

adaptateur permet une prise en main dégagée, antidérapante et surtout, plus facile à atteindre car positionné plus bas que la poignée de la porte. Cet adaptateur est la solution idéale pour les personnes en fauteuil roulant. Il peut également être utilisé pour certaines fenêtres.

Ce prolongateur de poignée est en aluminium peint et mesure 35 cm de long. Il vous sera livré sous 48 heures et coute 25.50 €

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uN ProLoNgATeur de POigNée de POrte

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QuOi de NeuF au gOuverNemeNt ?Les Mesures 2013 eN FAVeur du grANd-âge

Un budget en aug-mentation pour les personnes âgées,

une convention internatio-nale pour les droits des ainés,

l’amélioration du parcours de soins avec moins de médica-ments mais davantage de per-sonnel en EHPAD…


QuOi de NeuF au gOuverNemeNt ?Les Mesures 2013 eN FAVeur du grANd-âge

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une MeiLLeure prise en charGe en ehpad

De plus, une mission gouvernementale sur la prise en charge médicamenteuse des résidents en EHPAD vient d’être confiée par Marysol Touraine, ministre de la santé, à Philippe Verger, directeur adjoint du CHU de Limoges, chargé de la politique gérontologique. Il devra notamment vérifier le problème de la surconsommation de médicaments –environ 8 par jour et par personne en moyenne dans les établissements- ce qui entraine des conséquences nuisibles sur la santé des résidents, augmentant le risque de chute, de dénutrition ou les troubles du comportement. Une situation préoccupante en ce qui concerne la préservation de l’autonomie des personnes âgées et également un souci constant pour les dépenses d’assurance-maladie.

Le pLfss: un nouVeau projet de Loi de financeMent de La sécurité sociaLe

Par ailleurs, un fond de restructuration d’un montant de 50 millions d’euros est prévu pour améliorer l’aide à domicile, avec une plus grande professionnalisation des services « pour permettre aux personnes âgées qui le souhaitent de rester à domicile le plus longtemps possible sans être abandonnées ou en difficulté » précise la ministre.

La Lutte contre L’isoLeMent des personnes âGées reste effectiVeMent Le cheVaL de bataiLLe de MichèLe deLaunaY.

Dont acte. Michèle Delaunay a réuni, en novembre dernier, vingt grandes associations et organismes, afin de lancer une mobilisation nationale contre l’isolement des personnes âgées, autour des trois objectifs suivants :

• Développer le bénévolat des jeunes en faveur des personnes âgées et ainsi faire de la lutte contre l’isolement un axe majeur de l’implication citoyenne. A l’instar des remarquables actions menées par l’agence nationale du service civique et les associations de jeunesse et d’éducation populaire.• Donner plus de cohérence et de convergence à toutes les actions menées par les associations et les organismes sur le terrain pour pouvoir échanger les bonnes pratiques sur tout le territoire.• Créer un label national contribuant à la visibilité et à la promotion de ces actions.

« Il s’agit d’une démarche positive et dynamique, non d’une initiative compassionnelle », a expliqué la ministre au cours de cette réunion, « la mobilisation autour des âgés doit constituer le catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensables à la cohésion sociale ».

teLLes sont Les GRAnDes LiGnes Annoncées PAR LA ministRe DéLéGuée cHARGée Des PeRsonnes âGées et De L’Autonomie, LA DynAmiQue micHèLe DeLAunAy.

« Je voudrais souligner l’importance du budget consacré aux âgés, déclare la ministre sur le site gouvernemental, une augmentation de 4,6 % par rapport à l’année précédente, cela représente 9,4 milliards d’euros dont 360 millions pour de nouvelles mesures en faveur des personnes âgées. C’est un bon budget qui montre que les âgés constituent une des priorités de ce gouvernement. »

En effet, ces moyens conséquents devraient permettre d’améliorer le parcours de santé des personnes en perte d’autonomie avec davantage de personnel en établissement ainsi qu’une meilleure coordination afin d’éviter des hospitalisations abusives.


Michèle Delaunay entend également élargir le cadre légal de la protection des droits des ainés au-delà des frontières nationales. Lors de son voyage à Vienne, en Autriche, elle a proposé à la conférence ministérielle de l’ONU, l’établissement d’une convention internationale visant à garantir les droits des ainés, de la même façon qu’il existe depuis 1979 la convention des droits des femmes, celle des enfants établie en 1989 et plus récemment la convention des personnes handicapées, datant de 2006.

Cette convention aurait le mérite d’assoir et de renforcer toutes les mesures protectrices existantes permettant de lutter contre la maltraitance des plus vulnérables. Elle permettrait également de mieux prendre en compte la notion d’âge dans tous les projets de politique publique, et de développer ceux en faveur des séniors. Enfin, l’objectif visé est aussi de changer et d’améliorer le regard porté sur les personnes âgées.Un rendez-vous est déjà pris à Paris en 2013 pour le suivi intergouvernemental de ce plan.

eTAbLir uNe CoNVeNTioN iNTerNATioNALe POur garaNtir les drOits des aiNes

Enfin une mission d’évaluation du Plan Alzheimer 2008-2012, dont la poursuite a été confirmée par le président François Hollande, vient d’être confiée à d’éminents spécialistes de la question. Leurs résultats sont attendus pour le mois de Mai prochain. Ils devraient permettre d’ajuster et d’améliorer davantage encore la lutte contre la maladie d’Alzheimer et l’aide apportée aux malades

et à leurs familles.Rappelons que le plan Alzheimer français reste sans précédent et ses mérites sont régulièrement vantés à l’international. D’autant que la maladie d’Alzheimer concerne à présent 36 millions de personnes à travers le monde, dont 850 000 en France.

POursuivre et améliOrer Le PLAN ALZheiMer

Retraite Plus consacrera d’ailleurs son prochain Cahier Pro exclusivement à l’information sur la maladie d’Alzheimer : Les dernières découvertes, la prise en charge du patient Alzheimer, le couple aidant-aidé, les structures adaptées, les témoignages de ceux qui souffrent ainsi que leurs immenses espoirs de guérison…Rendez-vous dans notre prochaine publication.

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Pour la ministre en charge des personnes âgées, Michèle Delaunay: «cette succession d’accidents dramatiques pose avec acuité la question de la limite entre liberté d’aller et venir, et sécurisation des conditions de vie». Elle entend ainsi «lancer une réflexion avec tous les acteurs concernés (...) où doit être discuté l’usage de dispositifs de géolocalisation à des fins de protection de la personne».

En effet, un bracelet de géolocalisation n’entrave en rien la liberté de circuler, il n’empêche même pas la fugue, il permet simplement de retrouver une personne disparue dans un délai très court, avant qu’elle ne soit, par exemple, ensevelie sous la neige.

Pour l’heure, et dans l’attente de voir se généraliser l’utilisation des bracelets de géolocalisation au sein des EHPAD, ce qui de toutes évidences prendra un certain temps et requiert des moyens financiers plus conséquents -le coût d’un tel bracelet est estimé à 500 euros-il semble urgent de renforcer les dispositifs de sécurité aux abords des établissements accueillant des patients Alzheimer, par un gardiennage efficace 24 heures sur 24. Ce qui fort heureusement existe dans la majorité des maisons de retraite. Et compte tenu des tarifs élevés des places d’hébergement, variant selon les régions et les standings de 50 à 150 euros par jour, c’est bien le minimum que les familles des résidents sont en droit d’exiger !

derNière miNute : FACe Aux drAMATiques disPAriTioNs de PersoNNes âgÉes MALAdes d’ALZheiMer, reTrouVÉes sANs Vie, CeT hiVer, Le gouVerNeMeNT eNVisAge Le brACeLeT de gÉoLoCALisATioN des PATieNTs Au seiN des ehPAd eT MAisoNs de reTrAiTe MÉdiCALisÉes…

On ne cesse pas de rire en devenant vieux, on devient vieux quand on cesse de rire…

On aspire tous à vivre le plus longtemps possible dans les meilleures conditions, on aspire tous à atteindre cette sa-gesse et à nager dans les profondeurs des années qui se cheminent devant nous. Pour SARIEL Santé, la vieillesse est un trésor qu’il nous faut respecter, c’est pour cette rai-son que notre société met à la disposition des personnes qui vous sont chères, tant à domicile qu’au sein de leurs établissements de santé, des infirmiers, des aides-soignants, des aides médico psychologiques, des auxiliaires de vie, des masseurs kinésithérapeutes et divers autres corps de métiers dans le domaine de la santé.

SARIEL Santé, parce que les personnes âgées sont notre richesse, faisons de leur vitalité notre promesse…

Pour toutes informations complémentaires appelez-nous au 01 42 12 75 79.

SARIEL Santé38, rue Jouffroy d’Abbans 75017 [email protected] tél : +33(0)142127579 portable : + 33(0)663129506Tél : +33(0)142127575 fax : +33(0)142679111


des seNiOrs eXcePtiONNels a 84 aNs, lOuise del bustOgOmeZ devieNt avOcate !

Elle vient de prêter serment au tribunal de Toulouse il y a seulement quelques mois…Agée de 84 ans, cette fran-çaise d’origine espagnole, réalise ainsi son rêve de tou-

jours : Plaider ! Voici son parcours exceptionnel…

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S i sa voix tremble dans l’imposante salle de la cour d’appel du tribunal de Toulouse, c’est uniquement d’émotion. Portée par des années d’études acharnées et une motivation

hors du commun, Louise Del Busto Gomez, née le 17 Août 1928 à Barcelone, a prêté serment le 30 Oc-tobre 2012…

Là voila désormais avocate, son rêve de toujours. Plaider, une revanche sur la vie. Elle qui n’avait qu’un certificat d’étude en poche, et s’accommodait de toutes sortes de petits boulots : Les vendanges, caissière à Monoprix dix années du-rant, puis dactylo chez un avoué. Peut-être le début d’une vocation naissante.

Réfugiée de la guerre civile d’Espagne, elle fuit les bombardements et s’installe en France en 1939Tout avait si mal commencé. A l’âge de 8 ans, elle doit fuir avec sa famille l’Espagne de Franco et les bombardements. Commence alors l’errance dans les camps de réfugiés de France, en 1939, avant de s’établir à Béziers, puis à Castres en 1952.Il lui faut très vite maitriser le français, rien d’évi-dent pour cette petite espagnole déracinée : «Mes maitresses ont été formidables » se souvient-elle. Un soutien précieux qui l’a conduite jusqu’au certi-ficat d’étude.

Poussée par son grand amour, son mari Victor, elle reprend 50 ans plus tard, le chemin de la fac…Puis, tant il est vrai que derrière chaque homme au parcours exceptionnel, il y a généralement une grande femme qui veille, l’inverse est également–parfois-vrai…

C’est au cœur des vignes, en pleine saison des ven-danges, qu’elle rencontre Victor. Un grand résistant. Réfugié comme elle, il était entré dans la Résistance française avant d’être arrêté et déporté à Dachau, des faits qui lui ont valu la médaille militaire française et la Légion d’honneur.

Ensemble ils auront deux enfants et ne ménageront pas leurs peines à travers mille métiers, mille mi-sères. Arrivés à l’âge de la retraite, Louise découvre les vertus du droit au sein d’une association de dé-fense des consommateurs. Une révélation ! Son mari, aujourd’hui décédé, insiste : « Inscris-toi à la fac ! »

Aussitôt, elle saute le pas et se tourne vers la faculté de Toulouse pour une « capacité en droit » ouverte à tous les non-bacheliers. Louise ne s’arrêtera plus d’étudier et enchaine une licence de droit et deux maitrises, l’une en droit privé et l’autre en droit so-cial.

« Étudier, cela m’apporte une force et une envie de vivre, je ne me vois pas vieillir. Et puis, on a telle-ment souffert de la guerre civile. Je voulais faire vraiment du droit pour la justice, et pour aider les autres » confie-t-elle à «La Dépêche du Midi» juste après avoir prêté serment au tribunal de Toulouse.

Histoire de régler ses comptes avec l’Espagne de Franco « qui m’a volé mon enfance », elle repasse tous ses diplômes de droit en espagnol : « Ce n’était pas facile…J’ai l’accent français, je n’ai jamais encore plaidé là-bas, mais j’espère le faire (…) La France, c’est mon pays d’accueil, alors bien-sûr que j’ai envie d’y plaider et de gagner des procès ! »

Pour l’heure, Maitre Louise Del Busto Gomez, ap-précie cette première victoire contre une vie si péni-blement commencée. C’est bien évidemment à son mari qu’elle pense en sortant du tribunal : « Je veux le remercier, je lui porterai des fleurs, c’est grâce à lui que je suis devenue avocate (…) C’est un métier merveilleux, c’est un honneur. On ne doit pas le de-venir par défaut mais parce qu’on le sent. »

Un parcours qui donne tout son sens à cette citation de Léon Trotski, le révolutionnaire russe : «De tous les événements inattendus, le plus inattendu c’est la vieillesse… »

Isabelle Azeroual

des seNiOrs eXcePtiONNels a 84 aNs, lOuise del bustOgOmeZ devieNt avOcate !


Les FAMiLLes NOus remercieNt


Témoignages spontanés ou remerciements, Retraite Plus a choisi de les publier pour plus de transparence. Im-pressions des familles, avis des médecins, témoignages

du personnel... sont une mine de renseignements précieux. En voici quelques extraits :

Retraite Plus

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Bonjour Cynthia,,

J’envoie ce mail, pour vous remercier pour l’aide que vous nous avez apportée lors de la recherche (en urgence) d’une structure adaptée à l’état de ma mère.Vous avez été rapide, efficace, et très aimable. De plus, vous suivez véritablement vos dossiers.Grâce à votre réactivité, maman est depuis, entrée dans une structure à Layrac dans le 47.Dès les premiers jours qu’elle y a passé, il semble qu’elle soit apaisée et en confiance.Le personnel est extrêmement à l’écoute et pour une fois une soignante m’a demandé ou j’en étais, (cela m’a tellement touchée que j’ai pleuré).

Mille mercis.Sylvie G.

« Vous avez été rapide, efficace, et très aimable»

Bonjour Edith,

Grâce à vous mon père est depuis hier dans une maison de retraite vraiment adaptée à son état de santé, et je vous en suis très reconnaissante. Heureusement qu’il existe un service comme le votre pour aider les familles qui se retrouvent dans une situation si difficile à vivre. Vous êtes formidable, un énorme merci !

Marie France T. Clermont

«heureusement qu’il existe un service comme le votre...»

vous souhaitez témoigner? écrivez-nous à [email protected]

Bonsoir Lionel,

Je vous remercie de l’intérêt et du suivi que vous avez apporté à ma recherche. Avec les informations que vous m’avez données, j’ai réussi à trouver une place dans la future maison de retraite qui va ouvrir en Juillet à Montivilliers où, j’ai pu rapidement et efficacement monter un dossier. J’ai eu la réponse définitive de l’acceptation lundi. Ainsi j’ai pu trouver une solution d’hébergement pour ma mère en moins d’un mois dans une zone géographique correspondant à ce que je souhaitais. Je ne peux que me féliciter de la rapidité et de l’efficacité de votre démarche. Je recommanderais sans retenue votre organisme. Mes amis, collègues de travail, et famille n’en reviennent pas de la rapidité avec laquelle nous avons pu trouver une maison de retraite.

Encore merci.

Sincères salutations.

Didier L.

« Je recommanderais sans retenue votre organisme»

Bonjour Valérie,

Je tiens à vous remercier pour votre réactivité et votre efficacité lorsque vous nous avez aidés à trouver une maison de retraite pour ma belle mère. Confrontés à ce problème, nous n’aurions pas forcément su par où commencer. Votre réactivité nous a fait gagner un temps fou, je ne manquerai pas de vous tenir informée de la suite des évènements. Vous avez su nous entendre et cibler nos besoins.Dans ce moment difficile, il est important d’être soutenus. Je trouve que votre service est nécessaire, même si nous ne savions pas que ça existait. Quelle bonne initiative d’avoir créé cette assistance.

A bientôt au téléphone.

Jackie F.

«Votre réactivité nous a fait gagner un temps fou... »


Les reCeTTesde NOs graNds-mères


Saveurs et senteurs d’autrefois, recettes du temps béni de nos grand-mères…Retraite Plus vous propose aujourd’hui la recette des Iles flotantes de mamie :

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Préparation de la recette : Les iles flottantes de mamie

Ingrédients : Pour 6 personnes

• 6 oeufs • 450 g de sucre semoule• 3 c. à soupe d’eau• 3/4 de l de lait• 1 noix de beurre

Préparation :

1 Commencez par préchauffer le four th.7/8 (220°C).

2 Cassez ensuite les oeufs en séparant les blancs des jaunes. Battez les jaunes avec 100 g de sucre jusqu’à obtenir un mélange de couleur blanche.

3 faites un caramel brun dans une casserole en mélangeant 150 g de sucre et de l’eau. Versez-y le lait froid et portez à ébullition, ensuite fouettez le tout pour bien dissoudre et passez le tout au chinois (passoire fine en forme d’entonnoir).

4 Versez le lait au caramel sur les jaunes d’œufs avant de mettre le mélange à feu doux. Il vous faudra alors faire épaissir len-tement le tout sans cesser de tourner. Au premier frémissement, retirez du feu.

5 Fouettez la crème puis versez-la dans un saladier froid.

6 Montez les blancs en neige très ferme puis incorporez-y le reste de sucre. Beurrez un moule à charlotte, remplissez avec les blancs et faites cuire au bain mari, au four, pendant 45 min.

7 Laissez refroidir, démoulez et placez l’île au milieu de la crème caramel.

Les iles FlOttaNtes de MAMie par isabelle, Paris.Voila un souvenir qui est resté ancré dans la mémoire de mon enfance : le mercredi après-midi, on allait goûter chez mamie. Elle nous préparait toujours de délicieux gâteaux mais ce que je préférais c’était les Iles flottantes !Je sens encore cette odeur de caramel qui emplissait la cuisine et se répandait dans toute la maison…

Temps de préparation : 30 minutesTemps de cuisson : 45 minutesCoût de la recette : Pas cherNiveau de difficulté : Intermédiaire

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www.ifrdp.com Tel : 03 80 28 79 79

Relation d’Aide Centrée sur la Personne

Des formations expérientielles où la relation de personne à personne

est au coeur du processus pédagogique

12 jours d’Initiationdans toute la France

Deuxième semestre 2013Paris - Lyon

Nantes - Toulouse

Premier semestre 2014Paris - Strasbourg - Dijon

Lille - Aix en Provence

Formation possible directement en institution

96 heures

Eligibles au DIF

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AccompAgnement des personnes âgées Avec l’Approche centrée sur lA personne*

Initiée par le psychologue Américain Carl Rogers (1902 – 1997) l’approche centrée sur la personne s’est développée dans un premier temps sous le nom de Psychothérapie centrée sur le client. S’intéressant à d’autre domaines, Carl Rogers a appliqué sa démarche à l’enseignement, l’entreprise, aux groupes et aux institutions. Il a ainsi éla-boré la notion d’Approche Centrée sur la Personne. Tout en conservant les mêmes fondements, cette approche a été transposée de la psychothérapie à différents champs professionnels, en prenant des notes spécifiques et en tenant compte des organisations.Les valeurs humanistes et les attitudes développées par l’Approche Centrée sur la Personne invitent les profes-sionnels, soignants, référents, accompagnants et béné-voles, à accompagner la personne vieillissante dans toute sa globalité et sa singularité. L’accompagnement psychique ne relève pas de la thérapie mais permet d’être proche du vécu de la personne, tout en lui offrant une plus grande qualité relationnelle.

InstItut de FormAtIon et de recherche pour le développement de lA personne

Situé à Dijon, l’Institut fut créé en 1997 par Elisabeth Kremer, formée par Carl Rogers et ses collaborateurs. Il fonde son action sur l’Approche Centrée sur la Personne de Carl Rogers et sa conception de la relation d’aide basée sur « La confiance dans le potentiel de dévelop-pement de chacun » ainsi que sur un postulat qui lui est propre, fruit de 25 années d’expérience en institution : « Les changements profonds et durables des institutions ne peuvent passer que par l’accompagnement des per-sonnes ».L’IFRDP reste ouvert à d’autres approches psycholo-giques qui ont démontré leur efficacité et sont reconnues pour leur apport dans le domaine de la relation d’aide et de la psychothérapie.

Les formations proposées par l’IFRDP sont adaptables aux besoins spécifiques des équipes en institution. Aux professionnels en exercice désireux de compléter leurs connaissances, d’approfondir leur pratique, l’Institut offre des réponses concrètes dans ces formations : - Initiation à la relation d’aide- Supervision et analyse de pratique.- Agressivité et conflits- Souffrance et plaisir au travail- Travail prescrit, travail réel- Analyse de pratiques professionnelles- La personne en fin de vie- Authenticité et jeux de rôles

Les cycles longs proposés par l’IFRDP préparent et qualifient les personnes à l’exercice de la relation d’aide et de la psychothérapie Centrée sur la Per-sonne.

orgAnIsme de FormAtIon AccrédItéL’Institut de Formation et de Recherche pour le Dé-veloppement de la Personne est habilité au niveau national, par la Fédération Française de Psychothé-rapie et Psychanalyse et au niveau européen par l’Association Européenne de Psychothérapie.

InstItut de FormatIon et de recherche pour le développement de la Personne

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Le Courrier des lecteurs

Cette rubrique est consacrée aux nombreuses questions des familles. Retraite Plus leur répond :


Cher Monsieur,Dans votre cas, le recours à l’assistante sociale du conseil général de votre département s’impose. En effet, l’APA étant versée directement par le Conseil Général à l’EHPAD, ce qui est, je vous rassure, régulièrement le cas pour permettre le bon règlement de l’hébergement au bailleur, en l’occurrence l’EHPAD en question. Toutefois, après une étude minutieuse de votre dossier, toutes les dépenses engagées pour votre père seront prises en compte par l’assistante sociale. Elle seule peut faire valoir ces frais, y compris auprès du juge des tutelles, qui est là avant tout pour faire appliquer le bon fonctionnement de la tutelle et qui de toute évidence, tient compte des situations les plus alarmantes. Il ne s’agit en aucun cas de sanctionner le tuteur... Des aides exceptionnelles existent de la part des caisses de retraite, des organismes complémentaires, des CCAS de la municipalité et bien-sûr du conseil général. L’assistante sociale pourra prendre contact avec le service social de l’EHPAD pour faire réévaluer tout le dossier de votre père. Vous devez insister sur le caractère d’urgence de cette situation.Nous vous souhaitons de trouver là une réponse concrète à ces grandes difficultés que vous rencontrez et de pouvoir ainsi vous consacrer plus sereinement à votre père et lui procurer toute l’affection que son état nécessite.

Nous restons à votre disposition pour toute autre question.

Très cordialement,L’équipe de Retraite Plus

BonjourJe me permets de vous écrire dans l’espoir de trouver, auprès de votre organisme, une assistance ainsi que des conseils techniques. En effet, je suis actuellement le tuteur de mon père âgé de 94 ans et qui souffre de la maladie d’Alzheimer. Mon père est actuellement hébergé dans une EHPAD à laquelle je verse tous les mois, une somme d’argent permettant de compléter ses revenus insuffisants. Pourtant, aujourd’hui, je ne peux plus assurer le complément financier nécessaire à payer la facture de la maison de retraite. En effet, mon père recevait l’APL mais le montant perçu a récemment diminué. De plus, l’argent qu’il avait mis de coté pour ses vieux jours a été entièrement utilisé pour compléter le

montant de sa maigre retraite et ainsi parvenir à payer la facture de sa maison de retraite. Je ne sais plus que faire car je suis moi-même très proche de l’âge de la retraite. En effet, je suis aujourd’hui confronté, aux mêmes difficultés, aux mêmes déceptions avec pour seule réponse, pour l’instant, cet article 205 du code civil. C’est pourquoi, je m’adresse à vous afin de savoir s’il existe d’autres aides financières dont je n’aurais pas, à ce jour, connaissance, avant que le juge des tutelles ne m’assigne, à cette fameuse obligation alimentaire.Je voudrais également savoir pourquoi l’APA n’est pas versée sur le compte de mon père comme du temps où il habitait encore chez lui ?Michel C.


vous souhaitez nous poser vos questions? écrivez-nous à

[email protected]

Bonjour,

Je me permets de vous solliciter pour vous demander de l’aide dans la recherche d’une structure médicalisée pour mon père.En effet, depuis maintenant près d’un an que nous sommes en recherche, nous avons beaucoup de mal à trouver une structure qui veut bien accepter mon père en raison de sa maladie. Toutes les maisons que nous avons contactées refusent de le prendre en charge après réception de son dossier médical chargé. Pourtant, c’est là la raison de notre décision de lui trouver une maison de retraite adaptée. Chez Retraite Plus, ce problème nous est hélas, familier.

Nombreuses sont les personnes qui ont a leur charge un proche âgé souffrant de poly pathologies et qui peinent à trouver une maison de retraite adaptée où tous les aspects médicaux et pratiques sont convenablement pris

en charge. Nous nous chargerons de toutes les recherches grâce à notre base de données nationale nous indiquant les disponibilités dans les différentes maisons de retraite et les structures qui y sont présentes. Un conseiller vous sera attribué et il vous rappellera régulièrement pour suivre l’évolution de la situation et vous mettre au courant de l’avancée de ses recherches. Ensemble, nous trouverons une structure qui prendra votre mon père en charge.

Bon courage et bonne continuation.

Cordialement, Olivier

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Documents

Cahier Pro Retraite Plus - Eté 2013