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Gbu info - June 2010 Gbu info - Juin 2010 Belgique – België P.P. 1150 BRUXELLES 15 BC 6454 L’année scolaire 2009–2010 prend fin, déjà. Pour la majorité des étudiants, les examens se terminent. Les vacances mo- bilisent de plus en plus les esprits. C’est l’occasion de jeter un dernier regard sur l’année écoulée. Le refrain est annuel, les dix mois passés furent chargés, pleins de défis, mais aussi d’encouragements et de bénédictions. Comme chaque année, nous avons eu un camp en automne et un au début du se- cond semestre. Le premier s’est déroulé à Spa sur le thème de l’Apocalypse, le se- cond à Thieusies avec Ichtus, les GBU flamands, sur le thème de la communau- té en Philippiens. Même si nous espérons augmenter le nombre de participants à ces camps, ils laissent tous les deux de bons souvenirs. Nous avons continué d’œuvrer sur le chantier permanent des groupes. Deux groupes ont débuté, l’un à Charleroi, l’autre à Érasme (Bruxelles). Nous som- mes reconnaissants pour tout le travail fourni par les responsables volontaires de ces groupes et pour tout ce qui s’y passe. Ils permettent d’étudier les Écritures en- semble, de lier et de solidifier des amitiés, de nouer des contacts avec étudiants qui ne connaissent pas l’Évangile, ce qui s’est passé à plusieurs reprises dans différents groupes. Périodique trimestriel– Juin 2010 –Numéro d’agrément P302426 Éditeur responsable : E. Ochsenmeier – 147 Av Madoux, Bte 6 –1150 Bruxelles Bureau de dépôt : 1150 Bruxelles 15 Calendrier FORMATION 18 septembre 2010 : Formation pour res- ponsables et animateurs de groupes CAMP Du 22–24 octobre 2010. Détails à venir. « Or, tout ce qui a été écrit d’avance l’a été pour notre instruction, afin que, par la patience et par la consolation que donnent les Écritures, nous pos- sédions l’espérance. » Romains 15.4 Soutenir les GBU Le travail des GBU se poursuit année après année grâce à vos dons. De nouveaux donateurs sont nécessaires. Vous avez à cœur ce que les GBU tentent d’accomplir? Vous êtes an- ciens des GBU? Pourquoi ne pas y contribuer financièrement par un versement régulier ou un don occa- sionnel? Compte Fortis 001-1227915-68 Amis des GBU asbl Avenue Slegers, 96 1200 Bruxelles 8 ÉDITORIAL Éditorial 1 Les groupes 2 Départ des Hays 3 Signes et foi en Jean 4–5 Ifes? 6 Témoignages 7 Annonces 8 Camp GBU-Ichtus Fév. 2010 (Photo R. Coraj - Ichtus)

Calendrier Soutenir les 1150 BRUXELLES 15 GBU BC …gmail.com 0497362981 Charleroi - Cyrielle Werquin- [email protected]. Liège - Frédéric Stilmant - 0486/97.18.36 - [email protected]

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Belgique – BelgiëP.P.

1150 BRUXELLES 15BC 6454

L’année scolaire 2009–2010 prend fin, déjà. Pour la majorité des étudiants, les examens se terminent. Les vacances mo-bilisent de plus en plus les esprits. C’est l’occasion de jeter un dernier regard sur l’année écoulée.

Le refrain est annuel, les dix mois passés furent chargés, pleins de défis, mais aussi d’encouragements et de bénédictions.

Comme chaque année, nous avons eu un camp en automne et un au début du se-cond semestre. Le premier s’est déroulé à Spa sur le thème de l’Apocalypse, le se-cond à Thieusies avec Ichtus, les GBU flamands, sur le thème de la communau-té en Philippiens. Même si nous espérons augmenter le nombre de participants à ces camps, ils laissent tous les deux de bons souvenirs.

Nous avons continué d’œuvrer sur le chantier permanent des groupes. Deux groupes ont débuté, l’un à Charleroi,

l’autre à Érasme (Bruxelles). Nous som-mes reconnaissants pour tout le travail fourni par les responsables volontaires de ces groupes et pour tout ce qui s’y passe. Ils permettent d’étudier les Écritures en-semble, de lier et de solidifier des amitiés, de nouer des contacts avec étudiants qui ne connaissent pas l’Évangile, ce qui s’est passé à plusieurs reprises dans différents groupes.

Périodique trimestriel– Juin 2010 –Numéro d’agrément P302426Éditeur responsable : E. Ochsenmeier – 147 Av Madoux, Bte 6 –1150 BruxellesBureau de dépôt : 1150 Bruxelles 15

CalendrierFORMATION

18 septembre 2010 : Formation pour res-ponsables et animateurs de groupes

CAMP

Du 22–24 octobre 2010. Détails à venir.

« Or, tout ce qui a été écrit d’avance l’a été pour notre instruction, afin que, par la patience et par la consolation que donnent les Écritures, nous pos-sédions l’espérance. »

Romains 15.4

Soutenir les GBU

Le travail des GBU se poursuit année après année grâce à vos dons. De nouveaux donateurs sont nécessaires.

Vous avez à cœur ce que les GBU tentent d’accomplir? Vous êtes an-ciens des GBU? Pourquoi ne pas y contribuer financièrement par un versement régulier ou un don occa-sionnel?

Compte Fortis 001-1227915-68

Amis des GBU asbl

Avenue Slegers, 961200 Bruxelles

8

ÉDITORIAL

Éditorial 1

Les groupes 2

Départ des Hays 3

Signes et foi en Jean 4–5

Ifes? 6

Témoignages 7

Annonces 8

Camp GBU-Ichtus Fév. 2010 (Photo R. Coraj - Ichtus)

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Nous avons également organisé plu-sieurs conférences Focus, accompagnées à quelques reprises d’un repas. Elles ont permis non seulement de se revoir, de manger ensemble, mais aussi d’aborder certains sujets pertinents en laissant à tous un temps de question et de débat permettant d’approfondir les réflexions. Nous continuons d’essayer d’affiner la formule de ces conférences.

Plusieurs projets sont en chantier pour la rentrée pour lesquels vous pouvez prier. Comme toujours l’organisation des groupes reste un défi puisqu’elle dépend des étudiants, des nouveaux contacts, de leur horaire à la rentrée. Nous voulons aussi continuer d’accen-tuer le suivi personnel des étudiants (le travail un à un), que ce soit avec des étudiants croyants ou non qui veulent découvrir l’Évangile. Enfin, une réorga-nisation s’impose avec le départ de Tim et Emily Hay et l’aide qu’apporteront Marianne et David Dees-Moulinasse.

Merci en tout cas pour vos prières, vos encourage-ments et vos dons et bonnes vacan-ces à tous.

Les groupesL’horaire des groupes pour la rentrée est encore à fixer en fonction des horaires des étudiants. Voici les groupes déjà prévus pour la rentrée et les contacts.

Bxl Central - IBB, 7 rue du Moniteur, 1000 Bxl. A. Manlow - [email protected], Han-nah Meersseman, [email protected].

Erasme - Karine Niclin [email protected]

ERM- Jérôme Gongotchame - [email protected].

UCL Woluwé - Anastasia Dawant - 0479/ 479 116 - [email protected].

ULB Solbosch Kader Mayou - [email protected] 0497362981

Charleroi - Cyrielle Werquin- [email protected].

Liège - Frédéric Stilmant - 0486/97.18.36 - [email protected].

Louvain-La-Neuve - Erwin Och-senmeier - [email protected].

Mons - Guy André Pierlot - [email protected].

Témoignages

« Les GBU ont été très importants durant mes cinq années d’études en Belgique. Dans un environnement nouveau aux exi-gences de réussite très élevées, retrouver des amis et partager quelques instants à lire la Bible, à prier et à se soutenir mutuelle-ment fut très réconfortant! Cela change un peu le quotidien et fait vivre de nouveau quand vous pensez que tout semble perdu. »

Valentin Akotegnon, a terminé ses études à l’École Royale Militaire et est Lieutenant dans les Forces Armées Béninoises

« Je ne rate jamais une réunion GBU. C’est pour moi un temps privilégié pour grandir dans la connaissance de Dieu et dans l’amitié avec d’au-tres chrétiens. C’est toujours un défi, mais sur-tout une source d’encouragement, un peu la bouffée d’air frais de la semaine. C’est aussi une occasion d’inviter des amis curieux, où ils en-tendront la Parole tout en discutant avec des jeunes.  »Hannah Meersseman, Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles

« Les GBU me permettent de retrouver un groupe sympa où tout le monde se connaît. Mais c’est avant tout le retour au calme avec la Parole de Dieu. Cela me permet de vivre ma foi au quotidien et de découvrir ce que le Seigneur veut me dire par l’Évangile. Ainsi, avec son amour comme guide, je peux af-fronter les difficultés de la vie et le remercier de son action quotidienne. »

Damien Nachtergaele, UCL - LLN

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Erwin OchsenmeierSecrétaire Général

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6 3Les Hays nous disent au revoir

Après cinq ans avec Ifes et les GBU, Tim et Emily Hay rentrent en Angleterre pour travailler avec une église à Birmingham. À eux la parole!

C’est avec un sentiment partagé que nous quittons la Belgique. Nous gardons le souve-nir des défis, de périodes parfois difficiles et de nos propres faiblesses. Mais nous som-mes surtout conscients des encouragements, des raisons que nous avons de remercier le Seigneur. Nous avons été très contents de nous associer à l’œuvre tellement stratégique des GBU, d’augmenter un peu le nombre des équipiers étrangers. Nous avons été en-couragés de voir Dieu à l’œuvre dans la vie des étudiants, surtout ceux avec qui nos équipiers et nous-mêmes ont pu prier et étudier la Bible de manière individuelle. Nous sommes aussi reconnaissants pour les semaines d’évan-gélisation, les camps, les moments de formation des étudiants.

Plus personnellement, nous avons également pris plaisir à vivre à Bruxelles, une ville très cosmopolite, dans un quartier bien belge à Ixel-les. Nous sommes reconnaissants pour nos an-nées à l’église de Ganshoren, les parcs de Bruxelles, la Stib (en général), les restaurants et traiteurs asiatiques près de chez nous, etc.

Nous sommes fiers que, comme ce fut le cas de Tim, nous enfants ont passé au moins une par-tie de leur enfance en Belgique. Joël sera tou-jours Ixellois de naissance, même s’il ne s’en souviendra sans doute pas!

Quant à l’avenir, vous vous demandez peut-être pourquoi nous quittons un pays pluvieux, et pour l’instant sans gouvernement! Nous serons en effet tristes de quitter ce travail et cette ville, mais surtout ceux que nous tenons à cœur. Nous voudrions continuer de recevoir des nouvelles du mouvement, et si possible, nous vous enverrons des étudiants francophones bien motivés de Birmingham ! Mais nous sommes contents de nous rapprocher de nos familles et de quelques bons amis en Angleterre, d’aller travailler dans une chouette église à Birmingham où Tim s’occupera des étudiants internationaux.

Nous tenons à vous remercier pour votre patience avec nos nombreuses erreurs linguis-tiques, pour votre soutien, et surtout pour votre amitié.

Merci, et à bientôt nous espérons!

IFES?

On évoque souvent dans le cadre des GBU une organisation appelée IFES. Mais de quoi s’agit-il? Quels sont les liens entre les GBU et Ifes?

Ifes est l’acronyme pour International Fellowship of Evangelical Stu-dents. Ifes est une organisation internationale qui travaille parmi les étu-diants dans plus de cent cinquante pays et à laquelle les GBU sont affi-liés. Ifes met en réseau les mouvements similaires aux GBU dans le monde, leur offre des ressources, organise des conférences, des ren-contres de formation et d’échange. Chaque mouvement national garde son indépendance, adapte la vision et le matériel proposé par Ifes selon ses besoins, sa situation.

C’est aussi par Ifes que des volontaires de certains pays viennent travailler avec les mouvements nationaux d’au-tres pays pour des périodes de longueur variée. C’est par Ifes que Tim et Emily Hay, Lucy Haslam et Miriam Ford sont avec les GBU pour l’instant.

Dans le cadre d’Ifes, les différents mouvements sont en train de développer une présentation de leur travail sous le titre « Pierres Vivantes », illustrée par la photo ci-contre, inspirée de 1 Pierre 2.4–5 et formulée ainsi : Des étudiants formés en communautés de disciples, transformés par l’évangile et ayant un impact sur l’université, l’eglise et la société pour la gloire de Christ.

Des modalités pour mettre cela en œuvre sont proposées, à charge pour chaque mouvement, et donc pour les GBU, de les adopter, les adapter, les réaliser selon la situation et les ressources disponibles. Dans le cadre du Conseil

d’Administration et de l’équipe des GBU nous avons commencé a en discuter. Vos réflexions et vos prières sont les bienvenues.

Pour en savoir plus sur Ifes et le programme « Pierres Vivantes », con-sultez le site http://www.ifesworld.org/home/.

Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et pré-cieuse devant Dieu, et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, en vue d’offrir des victimes spiri-tuelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ. (1 Pierre 2.4–5)

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Étude biblique

LES SIGNES ET LA FOI

DANS L’ÉVANGILE DE JEAN

Le quotidien peut être éprouvant pour la foi. Commencer ou continuer de croire n’est pas toujours facile, d’où, parfois, le besoin de voir, l’envie de signes.

C’est ici que l’Évangile de Jean marque sa spécificité. Au contraire de Matthieu, Marc et Luc, Jean n’utilise en effet jamais le mot « miracles », il parle de « signes » (même si certaines Bibles utilisent malheureusement le mot « miracles »). Pour Jean, les œuvres extraordinaires accomplies par Jésus ont pour fonction de faire voir au-delà d’elles-mêmes, de signaler la direction vers laquelle tourner les yeux pour bâtir sa foi, de dévoiler qui Jésus est.

Les signes dans Jean

Si Jésus a fait beaucoup de signes (11.47; 20.30; 21.25), le premier étant celui de Cana (Jean 2.1–11), Jean en rapporte très peu. On estime en général qu’il en évoque sept (2.1–11; 4.46–54; 5.1–9; 6.4–13; 6.16–21; 9.1–12; 11.30–44), dont trois guérisons (4.46–54; 5.1–9; 9.1–12). À l’évidence, l’intention de Jean n’est pas de s’étendre sur les signes en tant que tels, mais sur ce qu’ils sont censés montrer.

On remarque que dans Jean les signes sont accomplis en présence de témoins, qui peuvent les vérifier, les authentifier, les comptabiliser, les

rapporter (21.24–25). Les gens s’étonnent lorsque l’aveugle voit, lorsque le paralytique marche. On ne peut s’empêcher de contraster cela avec ceux qui aujourd’hui prétendent multiplier les signes, mais des signes qui se font invérifiables, que l’on ne peut clairement documenter.

Ensuite, la fonction des signes n’est pas de pousser le croyant à croire en les signes, mais en Jésus. Il ne s’agit pas de développer une foi qui se nourrira de la répétition de signes, mais qui fera croire que Jésus est le Christ. Il est d’ailleurs intéressant qu’à plusieurs reprises le signe aboutisse à la foi, la foi naît du signe. En d’autres termes, plusieurs bénéficiaires des signes ne sont pas encore ou pas tout à fait, croyants quand le signe est accompli (4.53–55; 7.51). Cela induit quelques remarques sur la foi et les signes.

Voir et croire, croire sans voir

Tout d’abord, ce qui frappe, c’est que le signe ne fait pas toujours croire (6.64; 12.37). Même les frères de Jésus ne crurent pas en lui au début (7.4–5). Le cœur de l’homme étant ce qu’il est, il ne suffit pas de voir Dieu à l’œuvre pour croire. Combien souvent pensons-nous que si Jésus était présent et accomplissait des signes visibles, les gens sans aucun doute croiraient, j’aurais moi-même une foi inébranlable. C’est compter sans nos failles et aveuglements.

En outre, les signes n’ont pas pour but de susciter l’attente et le désir d’un

surplus de miraculeux, de développer une foi dont le seul aliment est la répétition de signes, mais de faire croître une foi qui puisse subsister sans béquilles, sans voir, sans les signes. Le signe n’est pas une promesse de répétition, mais un encouragement à croire sans eux. C’est la raison pour laquelle, à plusieurs reprises, Jean souligne que malgré les signes, certains ne croyaient pas, et qu’il loue ceux qui croient après avoir vu un signe, mais plus encore, en finale, ceux qui croient sans voir. « Heureux ceux qui ont cru sans voir » conclura d’ailleurs Jésus (20.29). Alors que Jean écrit à la fin du premier siècle à des croyants qui n’ont ni vu, ni connu Jésus, et ne le verront pas, il s’agit de croire sur base du récit des témoins comme Jean. Il s’agit pour Jean de faire croire non pas que Dieu accomplira des signes si vraiment nous les réclamons avec puissance, même s’il le peut et le fait parfois, mais de croire que Jésus est bien celui qu’il dit être et d’avoir la vie en son nom. C’est bien pour cela que les signes sont, à plusieurs reprises, très brièvement racontés dans Jean, mais suivis de longs textes sur leur portée (ex. Jean 9) et qu’il n’y aura plus de signes après Jean 11.

Pour Jean, le signe n’est qu’une première étape vers la foi, une foi qui doit dépasser la dépendance au signe et continuer sans voir. Il est d’ailleurs remarquable à partir du moment où l’Évangile de Jean se concentre sur les disciples, à partir du chapitre 13, il n’est plus question de signes, de guérisons, etc. Au contraire, Jésus évoquera à de multiples reprises le fait que les disciples auront dans certains cas à souffrir comme leur maître, sans

voir aucune intervention miraculeuse. Croire, c’est être prêt à souffrir, à ne pas mettre sa vie par-dessus tout (12.25–26). Ce sera surtout développé dans les chapitres 15–17 qui évoqueront la haine du monde, l’épreuve, etc. Et tout au travers de ces chapitres, les disciples se reconnaîtront non pas par la multiplication des guérisons et des bénédictions, mais à l’amour qu’ils auront les uns pour les autres (13.35).

En somme, l’Évangile de Jean nous invite à vivre une foi qui tout en croyant que Dieu peut encore opérer des signes aujourd’hui, s’alimente et vit de la Parole de Dieu transmise et se fonde en l’œuvre de salut de Jésus.

Erwin Ochsenmeier

Suggestion : Pourquoi ne pas (re)lire l’Évangile de Jean et le méditer durant les vacances d’été?

(Texte extrait résumé du Focus du 8 mai 2010 : Être croyant et souffrir : c’est normal?)

Jésus lui dit: Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru! Jésus a fait encore, en présence de ses disciples,

beaucoup d’autres signes qui ne sont pas écrits dans ce

livre. Mais ces choses ont été écrites afin que vous croyiez

que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant,

vous ayez la vie en son nom.

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