Campagne 1914 1918 - Historique du 131e …tableaudhonneur.free.fr/131eRI.pdfCampagne 1914 – 1918 - Historique du 131e Régiment d’Infanterie Imprimerie du Loiret ± Orléans Source

Campagne 1914 – 1918 - Historique du 131e Régiment d’Infanterie

Imprimerie du Loiret – Orléans

Source : B. D. I. C. - Droits : Domaine public - Transcription intégrale : P. Chagnoux - 2015

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BATAILLES INSCRITES AU DRAPEAU

avant la Guerre 1914 – 1919

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LUTZEN

BAUTZEN

LA BÉRÉZINA




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MOTIFS DES CITATIONS À L’ARMÉE

obtenues par le 131e R. I.

PENDANT LA GUERRE 1914 – 1919

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Ordre de la 6e Armée, n° 541, du 5 décembre 1917 :

« Sous les ordres du Lieutenant-Colonel ARDOUIN, s’est distingué partout où il a été engagé,

particulièrement en Argonne, le 13 juillet 1915, en Champagne en 1915, dans la Somme en 1916,

puis sur l’Aisne en avril 1917. Le 21 novembre 1917, s’est brillamment emparé, sur un front de

1.500 mètres, d’organisations puissamment défendues, conquérant d’un seul élan tous ses

objectifs, faisant 450 prisonniers et repoussant toutes les contre-attaques ennemies ».

Ordre de la 3e Armée n° 409, du 5 mai 1918 :

« Régiment d’élite qui, sous l’habile direction de son chef le Colonel ARDOUIN, vient de se

couvrir de gloire. Ayant reçu l’ordre d’enrayer à tout prix la progression des masses allemandes,

s’est lancé à l’attaque, le 23 mars 1918, avec une superbe crânerie, et a défendu ensuite le terrain

conquis avec une rare opiniâtreté. Pendant les jours suivants, a continué à combattre contre des

forces supérieures, poussant la résistance jusqu’à l’extrême limite ; a accompli ainsi noblement

et avec un plein succès la mission périlleuse et délicate qui lui avait été confiée ».

Ordre de la 3e Armée n° 488, du 10 août 1918 :

« Sous le commandement du Lieutenant-Colonel BEURTON a enrayé la ruée des masses

allemandes déclenchée après un bombardement d’une extrême violence, s’opposant à tous les

débordements, maintenant sous ses feux les attaques furieuses de l’ennemi et lui faisant subir des

pertes énormes. A ensuite brisé toutes les attaques et avec une opiniâtreté exemplaire a pendant

quatre jours défendu et maintenu inviolé le point d’appui qu’il avait reçu ordre de conserver ».




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HIST

ORIQ

UE

SUCCINCT

du 131e Régiment d’Infanterie

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LA CONCENTRATION

Le 131e, sous le commandement du Colonel FOUREST, quitte Orléans le 5 août 1914 et le 6

débarque à Lérouville.

Il est composé de nombreuxx Orléanais, de Tourangeaux, de Parisiens, etc.., et fait partie de la 18e

Brigade (9e Division).

La journée du 22 août — Signeulx

Le Régiment est engagé le 22 août dans la lutte pour Longuyon. Il attaque avec un élan

magnifique, mais l’ennemi est solidement retranché sur les hauteurs au nord de la voie ferrée

Buzancy – Signeulx et pour l’en déloger on pousse toute la journée de continuels assauts ; le

Commandant BRIÈRE, grièvement blessé, regroupe son unité sous le feu et continue la lutte. Au

cours de l’action, le Lieutenant GIRAUD, porte-drapeau, et plusieurs sapeurs qui composent la

garde sont tués, le Soldat SIMÉON et le Caporal GAILLARDIN s’emparent du drapeau et le

relèvent sous les balles. A midi, par une chaleur étouffante, le combat bat son plein ; l’ennemi,

précédé d’un feu très violent d’artillerie, avance sur Cussigny, des groupes très nombreux

progressent sur la voie ferrée vers Signeulx. Quelques hommes chargés de protéger la retraite

résistent jusqu’à l’épuisement complet des munitions.Le Caporal BRIOT, blessé déjà deux fois, fait

mettre sa baïonnette au canon de son fusil, une balle le couche aussitôt. Ce premier choc a été

particulièrement dur et si l’ennemi a réussi à progresser grâce à son énorme supériorité numérique,

les rudes assauts du 131e R. I., qui ont fait dans ses rangs des ravages énormes, lui font payer si cher

son entrée sur le sol français que, désormais, sa marche va devenir très lente.

Cierges, le 2 septembre

Cierges marque, le 2 septembre, un nouveau temps d’arrêt dans la progression des armées

allemandes. Dès la pointe du jour, la fusillade éclate sans répit ; les groupes ennemis s’infiltrent

derrière les gerbes, dans les fossés, les avoines hautes. Le 3e Bataillon, sous le commandement du

Capitaine BONNET, part à l’assaut dans un ordre admirable. L’avance atteint 4 kilomètres et

l’enthousiasme s’accroît à la vue des premiers prisonniers capturés.




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Le soir, Cierges est en feu.

Dans la nuit du 3 au 4, le Capitaine CHAIRÉ se fortifie dans la ferme du Jarcq dont les murs

sont immédiatement crénelés ; les patrouilles de cavalerie et d’infanterie ennemies passent sans la

fouiller, les nôtres ne se révèlent pas, mais quand l’artillerie veut s’installer en lisière du bois, ils

ouvrent sur elle un feu terrible qui couche servants et chevaux. L’Adjudant BOUDARD, perché sur

un arbre, fait feu sur un détachement qui tente de s’approcher. Le Caporal CIMBEAU et le Soldat

BEAUDOUIN tiennent en respect pendant plus de deux heures des mitrailleuses ennemies. Enfin,

les munitions manquant, le détachement qui a pleinement rempli sa mission s’échappe à travers bois

et rejoint le Régiment le lendemain à Lisle-en Barrois.

C’est à Louppy, le 8 septembre, que le 131e reçoit l’ordre du jour du Général JOFFRE portant à

la connaissance des troupes que l’ennemi a été battu dans les plaines de la Marne et que la marche

en avant va commencer. En fin de mois, par suite de glissements successifs vers l’ouest, le

Régiment va se trouver en pleine forêt d’Argonne ; le 30, il attaque sur la Haute-Chevauchée et,

le soir, emporte de haute lutte la cote 285.

A la fin de 1914, il se bat autour de deux villages dont les noms, désormais historiques, rappellent

des combats sanglants qui compteront parmi les plus acharnés de la guerre :

VAUQUOIS : observatoire d’où l’on domine 30 kilomètres de terrain ;

BOUREUILLES : clef de la route qui contourne l’Argonne.

L’attaque sur Vauquois est fixée pour le 8 décembre, les Allemands se sont retranchés

formidablement sur les hauteurs et les assaillants sont, par la nature même du terrain, dans les

conditions les plus désavantageuses, mais rien ne peut briser leur élan, le 131e atteint les lisières de

Vauquois et s’y cramponne. Les nuits humides et glacées causent de nombreuses gelures aux pieds.

Dans la soirée du 9, le 1er

Bataillon attaque le village même sous une pluie battante et par une nuit

très noire, mais l’ennemi parfaitement outillé et qui dispose de projecteurs aveugle nos vagues

d’assaut et ses mitrailleuses invisibles et nombreuses entrent en action.

La même ténacité est déployée dans l’attaque de Boureuilles, le 21 décembre, par le 3e Bataillon

qui, sous le commandement du Chef de Bataillon QUINQUE, réussit à progresser sous les

mitrailleuses ennemies.

Le même jour, la 2e Compagnie opère sur Vauquois, tous ses Officiers tombent successivement au

cours de l’action, un Fourrier la commande en fin de combat.

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ANNÉE 1915

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1° Combat en Forêt pour la cote 263

Après quelques jours de repos, le Régiment remonte en secteur dans la forêt de Hesse ; au cours de

la reconnaissance d’un point particulièrement délicat, le Colonel FOUREST tombe frappé d’une

balle au cœur. Le Lieutenant-Colonel POIGNON le remplace.




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A la fin du mois de janvier, le 131e est devant la cote 263, observatoire convoité par tous. Il

occupe l’endroit réputé le plus dangereux. Les tranchées, creusées dans un sol friable, constamment

effondrées par l’explosion des projectiles ennemis, ne peuvent être occupées que par un travail de

réfection constant, opiniâtre et d’autant plus dangereux que l’adversaire perçoit les moindres bruits.

Une première action est montée le 26 janvier. Le Sous-Lieutenant d’AMADE est tué au cours

d’une patrouille.

Le Lieutenant BORGNIS-DESBORDES se jette le premier dans une brèche du réseau allemand,

puis se précipite, revolver au poing, dans une tranchée où il est frappé mortellement.

Le 17 février, nouvelle action ; le Commandant BOURDELOIS est tué en donnant le signal

d’attaque. Les mitrailleuses ennemies crépitent de tous côtés et imposent un temps d’arrêt. Le

Lieutenant JEULIN se lève pour entraîner ses hommes, mais il est tué aussitôt. La 2e Compagnie,

sous les ordres du Lieutenant BLANCHARD, se couvre de gloire, mais bientôt tous ses Officiers

sont tués. Le Sergent ARTHEBISE la commande, elle réussit à se maintenir toute la journée,

accrochée à la pente du ravin, et sa belle conduite lui vaut une citation à l’ordre de la D. I.

2° Devant la cote 263

Le Régiment y soutient tout le printemps de 1915 la lutte des engins de tranchées. Le

Commandant SDILON, secondé par le Sergent COUVILLERS, les organise et gêne

considérablement l’ennemi qui les fait prendre à partie par ses batteries de 150. Un jour, un canon

Aasen installé en position est particulièrement visé, ses servants se dispersent, la pièce va être

détruite. Le Chef de Bataillon, qui observait le résultat de ses tirs, regagne la pièce sans hâte, la

relève sous une avalanche de 150, la charge sur ses épaules et la met à l’abri dans la tranchée de 1re

ligne.

A la fin de mai, le 131e quitte la 9

e D. I. pour entrer dans la composition de la 125

e Division et

change de secteur.

3° Bolante, 13 juillet

Le 4 juillet à Bolante, le Lieutenant-Colonel ARDOUIN prend le commandement du 131e dans

des circonstances particulièrement graves et qui vont mettre à la plus rude épreuve les qualités

guerrières du Régiment ; une bataille sans précédent s’engage dans les ravins et les fourrés de l’âpre

forêt d’Argonne avec les masses d’infanterie et d’artillerie du kronprinz impérial, réunies contre

nous.

Le 10 juillet, au matin, les Allemands commencent le réglage de leur artillerie lourde, et, pendant

deux jours, un tir précis et serré de 210 et de gros minen s’abat sur nos hommes qui tiennent depuis

déjà 18 jours. Le 12 juillet, le Capitaine de SAINT-JOUAN, Officier de cavalerie venu dans

l’infanterie sur sa demande, est tué. Le soir, on reçoit l’ordre de relève : les hommes harassés

exécutent sous les barrages et à travers les ravins une marche exténuante. Arrivés au Claon, ils ont

à peine mis le sac à terre que la canonnade redouble de violence sur toute l’étendue du front.

Le 3e Bataillon aussitôt alerté remonte vers les Courteschausses, sous le barrage. Il croise les

premiers blessés que l’on emporte pantelants, brûlés, aveugles et parlant de gaz asphyxiants et de

liquides enflammés. Le Colonel ARDOUIN, enfourchant un cheval d’éclaireur, gagne à vive allure

le P. C. du Cottage et donne ses ordres aux Chefs de Bataillon.

Le 3e (Commandant PAUL) doit gagner Bolante et le Cottage. La forêt est hachée, les pistes sont

jalonnées de cadavres, et le ravin tout entier est rempli de fumée, de poussière et surtout de gaz




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asphyxiants. Les hommes, sans lunettes ni masques protecteurs, exténués par une nuit entière de

marche à travers des ravins abrupts, exécutent le mouvement haletants et suffoqués, mais résolus.

Des pentes sud de la Fille-Morte et de la naissance du ravin des Courtechausses partent des

rafales de mitrailleuses. Les tirailleurs allemands sont arrivés presque au P. C. du Colonel du 91e

R. I. Le 3e Bataillon reçoit l’ordre de contre-attaquer. Il doit conquérir l’extrémité est du plateau

de Bolante et enlever la crête de la Fille-Morte ; le 2e Bataillon tiendra l’Étoile et le Doigt de

Gant. Dans le barrage qui redouble de violence, le Commandant PAUL lève sa canne et, montrant

la crête, il crie : « Mes enfants ! les Boches sont là-haut ! » et le premier il s’élance sur la pente

raide, entraînant tous ses hommes qui le suivent, électrisés par son exemple. Tapis dans les hautes

fougères, les ennemis tentent de résister, mais, très vivement bousculés, ils ne tardent pas à

déguerpir.

Les bonds se font plus courts, car les hommes sont à bout de forces, mais la progression continue

sur le plateau de Bolante. Le Capitaine BOUSSION entraîne la 9e Compagnie en brandissant sa

canne qu’une balle lui casse en deux. « Ah ! les bandits ! » dit-il, et il pousse ce cri que tous les

hommes répètent : « En avant la 9e ». Mais il tombe horriblement blessé à la cuisse ; essayant de se

relever, il encourage encore ses hommes de la voix et du geste. Un brave, le Soldat PINAULT, qui

veut venger son Chef, tue le tirailleur ennemi qui a tiré sur le Capitaine, mais il tombe à son tour,

mortellement blessé par un obus.

Ainsi, de haute lutte, à la baïonnette, et sans appui d’artillerie, le plateau de Bolante et la crête de

la Fille-Morte, que les troupes du kronprinz devaient prendre et garder coûte que coûte, sont

dégagés. Le soir, sous une pluie battante, après une lutte d’enfer, malgré les fatigues et les pertes,

sans ravitaillement, fiévreux et brûlés par les gaz, les hommes, que soutiennent leurs Chefs toujours

au milieu d’eux, organisent le terrain, patrouillent et harcèlent l’ennemi.

Quelques jours après, s’adressant aux premiers permissionnaires, le Colonel ARDOUIN leur dit :

« Poilus du 131e qui dans les tranchées avez donné des preuves de votre courage et de votre

endurance, montrez-vous soldats disciplinés ! Portez avec une belle crânerie votre uniforme

glorieusement déteint ! Apportez à l’arrière un peu de l’atmosphère du front ! ».

Le 25 septembre 1915

Au début de septembre, le Régiment quitte l’Argonne Occidental et va au repos dans les bois

des Hauts-Bâtis. Mis à la disposition du 20e Corps, il s’achemine le 24 à la nuit tombante vers

Saint-Thomas par un labyrinthe de boyaux.

L’attaque se déclenche le lendemain et aussitôt le 131e vient occuper les anciennes positions. Il

pleut ; vers midi, l’affluence est telle dans les boyaux et tranchées par suite des corvées de toutes

sortes et du transport des blessés que la circulation est impossible. Aussi le cycliste LABORIE,

dont la bravoure est légendaire au Régiment, porteur d’un pli urgent pour le Chef de Corps, franchit

la plaine, insouciant et calme, malgré les balles et les rafales d’obus. L’attaque étant arrêtée, par

ordre, le 131e regagne les bois des Hauts-Bâtis sous l’averse qui continue toute la nuit.

La Champagne

Dès le 10 octobre, le Régiment est en lignes vers Beauséjour, Maisons de Champagne. Le

secteur a été entièrement bouleversé lors des attaques de septembre ; les abris sont effondrés. On

travaille à la remise en état, ouvrant des tranchées et creusant des sapes. Le 12 octobre, l’ennemi

inquiet de nos travaux déclenche sur les 5e et 6

e Compagnies un tir de minen très violent, qui




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bouleverse toutes les organisations : le Capitaine RAYNAUD, commandant la 6e Compagnie, est

tué au moment où il se porte dans un endroit particulièrement exposé pour inciter ses hommes à la

confiance et au courage. La conduite héroïque du Sous-Lieutenant MAYAUD-MAISONNEUVE

lui vaut cette proposition pour la Légion d’honneur :

« Véritable type de l’entraîneur d’hommes. Le 12 octobre 1915, devant le bois au 1/20.000e, sous

un bombardement incessant par gros minen, indice d’une attaque menaçante, a pris les

dispositions les plus judicieuses pour organiser la défense de son secteur, a donné l’exemple d’un

courage superbe et calme qui semblait s’ignorer et d’une remarquable ténacité au feu, a obtenu

de ses hommes une succession d’efforts prodigieux, est tombé glorieusement dans la tranchée

avancée que l’ennemi n’a pu aborder, car elle était tenue par une poignée de héros voulant

venger leur chef et se montrer dignes de lui. »

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ANNÉE 1916

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Lutte de mines, Printemps - Été

Le 131e retourne à Bolante en novembre 1915, pour y soutenir, neuf mois durant, une lutte atroce

que seuls pourraient évoquer ceux qui ont vécu l’horreur de ces journées d’Argonne : alertes du

matin ou du soir, séances de crapouillots ou de minen, à toute heure du jour ou de la nuit ; combats

de grenades incessants ; terrain accidenté, difficile et chaotique, à force d’être bouleversé ; et, par-

dessus tout, y ajoutant une horreur spéciale, la guerre de mines, où tant d’hommes seront de part et

d’autre ensevelis vivants.

La 11e Compagnie peut entièrement revendiquer l’honneur des luttes d’entonnoirs. Le 26 janvier,

une mine saute, bouleverse nos petits postes et nos surprend. Le Lieutenant COMBE se précipite

vers l’entonnoir, en plein jour, à découvert, une lutte s’engage, violente, rapide, mais les Allemands

tiennent bon. Il est impossible de les déloger. Le 2 février, la Compagnie remonte en ligne et

reprend ses mêmes emplacements. L’ennemi domine toujours et rend l’occupation extrêmement

pénible. Il ne reste plus qu’à faire sauter cet entonnoir si gênant, l’explosion a été fixée au soir et la

secousse formidable se produit, un vacillement s’empare des choses et fait culbuter les hommes.

Puis la détonation épouvantable et simultanée des deux mines : une immense gerbe de feu, un

soulèvement, une projection puissante de roches, de terre, d’arbres, d’objets, de débris de toute

sorte, à toutes les distances, dans toutes les directions. Pendant des secondes, c’est la pluie infernale

qui retombe en s’écrasant sur le sol. Une odeur âcre se dégage, de terre remuée, de poudre, de gaz

délétères. Et de l’entonnoir allemand, ainsi que de nos tranchées voisines, il ne reste plus qu’une

méconnaissable et gigantesque boursouflure du sol.

Les hommes de la 11e Compagnie s’y précipitent. En tête grenadiers et guetteurs au pas de course ;

la section de ligne les suit. On saute à découvert. Le Lieutenant COMBE en tête avec un brave, le

Soldat FERRAND qui ne le quitte jamais, puis le Sergent BUFFET avec ses grenadiers. Les balles

font rage ; on monte, on court, on passe quand même.Les hommes gravissent les flancs de

l’excavation, s’y accrochent, tombent, se redressent, tout cela sans un cri, dans un calme




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impressionnant. Le Lieutenant COMBE atteint l’entonnoir, s’y porte et de là donne des ordres dans

le plus grand calme. La lutte bat son plein lorsque, profitant de la nuit, un groupe audacieux de

grenadiers allemands s’avance résolument sur l’entonnoir où se trouve le Lieutenant COMBE et en

atteint presque la lèvre. Il les aperçoit et fait cette simple réflexion : « Mais que viennent-ils donc

faire ici, ceux-là ? » Ses hommes se dressent et à bout portant ouvrent le feu sur l’ennemi qui,

décontenancé, hésite, recule, fait volte-face, puis redescend brusquement l’entonnoir en laissant de

place en place des blessés et des morts.

Toute la nuit se passe à échanger des grenades et des coups de feu. Au lever du jour, le Lieutenant-

Colonel ARDOUIN vient visiter les nouvelles positions. Il félicite personnellement le Lieutenant

COMBE, lui donne l’accolade et le décore sur les lieux mêmes ; il exprime également sa

satisfaction aux Sous-Officiers et hommes de la 11e Compagnie qu’il dit être heureux d’avoir parmi

les braves qu’il commande.

Le 2 avril, la scène recommence. Une mine saute, un commandant de compagnie d’une trempe

merveilleuse, le Capitaine SCELLOS, entraîne vigoureusement sa Compagnie pour occuper

l’entonnoir qui était un point important dans la défense du secteur. Il est mortellement frappé au

milieu de ses grenadiers, participant lui-même à la lutte et communiquant à tous son ardeur

héroïque. Le Soldat BRAUD qui le suit est debout sur le parapet, jetant des réseaux Brun en avant

de l’entonnoir, quand un grenadier allemand l’ajuste et le tue.

Pour nous priver d’un saillant qui nous donne des vues et des feux sur leurs positions, les

Allemands font exploser une grosse mine le 23 avril. Le saillant a disparu et du haut de la lèvre du

cratère l’ennemi nous guette et nous harcèle. On décide de faire sauter sa position. Le génie se met à

l’œuvre et le 8 le travail est achevé. Le Capitaine AUPÉRIN conduit l’attaque ; il est secondé par

des Sous-Officiers courageux éprouvés dans maints combats, les Sergents AUBERTIN et LEXA.

A 18 heures, l’explosion se produit, démoralisante pour l’adversaire. Aussitôt les nôtres se

précipitent dans l’entonnoir dont ils atteignent sans tarder la lèvre Nord. Cependant l’ennemi se

ressaisit, il lance une série de contre-attaques qui toutes sont repoussées. L’une d’elles qui est

presque parvenue à nos tranchées est magnifiquement reconduite par le Sous-Lieutenant

BRANCHET, que l’on voit dans un corps à corps tuer à bout portant des Allemands qui tentent de

lui échapper. L’ennemi changeant de tactique veut rendre la position intenable : un tir de minen et

de gros obus est dirigé sur l’entonnoir qui disparaît dans la fumée. Mais les nôtres tiennent toujours.

Quelques jours après, un prisonnier interrogé sur l’affaire dit qu’elle avait coûté 109 hommes à

l’ennemi.

Peu après, le 2 juin, à la suite d’un tir violent de minen, les Allemands exécutent un coup de main.

Les vagues arrivent, déferlent avec une violence sauvage : grenadiers, tireurs, terrassiers..., par

lignes successives. Un jeune Sous-Lieutenant, MIRON de L’ESPINAY, se porte au secours du

poste menacé. Une mêlée terrible s’engage ; les hommes luttent corps à corps avec un acharnement

indescriptible. Les grenades éclatent en pluie meurtrière autour du jeune Chef qui se bat

furieusement au premier rang. Soudain on le voit porter sa main à son visage et pâlir sans prononcer

une parole. Les assaillants déconcertés par cette réplique audacieuse ont évacué les postes envahis

et fuient dans une déroute complète. Mais 11 hommes sont tués, 48 sont blessés et le chef est

mourant. Cet officier de 18 ans, que tout le monde aimait pour sa bravoure enthousiaste, son cœur

ardent et sa nature droite, est décoré sur son lit de mort, le plus jeune Légionnaire de France.

Durant cette période de neuf mois, le dévouement sans bornes du service médical contribue

puissamment à maintenir très haut le moral du Régiment. Médecins et Brancardiers se portent de

jour et de nuit dans les postes les plus avancés, recherchant les morts, relevant les blessés tombés

dans les trous d’obus, prodiguant leurs soins sur la ligne même de feu. Le Médecin auxiliaire




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LATOUR, connu pour sa bravoure intelligente, ses soins éclairés et sa conscience professionnelle,

l’Aumônier de Bataillon PIRUS qui s’impose à l’estime et au respect de tous par l’élévation de son

caractère et son esprit de sacrifice, sont par leur seule présence au milieu des hommes un précieux

réconfort moral.

Au mois d’août, le Régiment quitte enfin cette rude terre d’Argonne où il s’est cramponné

désespérément, entendant montrer à l’ennemi qu’il voulait conserver intacte l’avancée de Verdun.

La Somme — Septembre – Octobre 1916

Après un court passage au Camp de Mailly, le Régiment arrive dans la Somme à la fin de

septembre. L’ennemi tient solidement le bois de Saint-Pierre-Vaast. Le 131e reçoit l’ordre de

s’emparer des lisières du bois, afin d’établir une base de départ en vue de l’attaque ultérieure de la

ferme du Gouvernement. Il faut enlever, sur une profondeur d’un kilomètre, un terrain hérissé de

défenses accessoires, de mitrailleuses et d’abris, remplis d’ennemis.

L’attaque est fixée au 27 septembre. Mais, à l’aube, un groupe d’une cinquantaine d’Allemands

sortant de leurs tranchées la devance. Le Lieutenant GUYONNAUD et le Sous-Lieutenant

MATHIEU se jettent sur eux avec la poignée d’hommes qui les entourent et leur élan qui gagne

tout le Régiment précipite l’attaque. Voici le texte de la citation d’un vaillant mitrailleur du 1er

Bataillon, le Soldat LECLERC (Florian) : « Soldat mitrailleur d’une trempe exceptionnelle. Le 27

septembre 1916, s’est précipité, d’un superbe élan et avec un sublime mépris du danger, sur la

tranchée allemande, y a fait une dizaine de prisonniers et a ainsi déterminé le mouvement en

avant. A puissamment contribué à la conquête et à la conservation de la position ennemie ».

Trois zones battues par les 150 et les 210 sont successivement franchies d’un seul élan ; devant la

deuxième position allemande un feu d’enfer accueille nos premiers éléments qui de suite terrassent

et se creusent de hâtives tranchées. Mais, dans sa rage de vaincre, l’adversaire s’acharne sur cette

ligne qu’il a dû nous abandonner. Des hauteurs de Malassisse qui dominent le champ de carnage,

ses observateurs règlent le tir, comme au polygone, et posent leurs obus là où il leur convient.

Quand des groupes se forment, c’est par rafales effroyables qu’il retourne profondément le sol. Le

Sous-Lieutenant MATHIEU est tué ; sa belle conduite lui vaut cette proposition pour la Légion

d’honneur : « Jeune officier d’élite d’allure bien française, affrontant le danger avec une élégante

insouciance. Avait su par son abord séduisant et sa belle attitude au feu conquérir l’estime de ses

camarades et l’affection de ses hommes. Le 27 septembre 1916, a profité d’une occasion

favorable pour enlever d’un élan superbe sa section à l’assaut de la position ennemie et a fait

quarante prisonniers ; mortellement blessé en organisant le terrain conquis ».

Sous ce déluge d’obus et de balles, la liaison est devenue impossible ; mais elle existe dans les

cœurs. Chacun sent que , de sa résistance sur place, dépend le sort du Bataillon et l’issue de toute la

bataille. Et la fatigue disparaît. Les mitrailleuses trouvées dans la boue, les fusils-mitrailleurs aux

mécanismes raidis, quelques grenades jalousement conservées, tout se dresse contre les colonnes

ennemies qui ne peuvent parvenir jusqu’à nos éléments avancés. La nuit se fait : on apprend que le

Capitaine AUPERIN a été atteint par une balle au ventre : « Mes amis, j’appréhendais la mort,

s’écria-t-il, mais après une si belle journée il m’est égal de mourir ». La journée du 27

septembre laisse dans le cœur des chefs et des soldats un souvenir inoubliable et un sentiment

d’estime réciproque : « Je ne les ai jamais vus aussi admirables, disait le Capitaine POMMIER,

parlant de ses hommes : j’ai dû plusieurs fois les arrêter ».




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Le 26 septembre, le 3e Bataillon prend position à droite du 1

er Bataillon, tandis que le 2

e aménage

son terrain. Le soir, obliquant vers la gauche, le 2e va relever les chasseurs devant Raucourt, aux

lisières des jardins. Puis s’étalant l’un vers l’autre, le 2e et le 3

e se rejoignent, tandis que le 1

er

s’éclipse insensiblement vers l’arrière pour prendre position devant la route de Béthune.

Il pleut à verse. Le temps est d’un gris sombre. Le champ de bataille est sinistre de dévastation et

d’horreur.

Le 3 octobre, c’est le tour d’attaque du 2e Bataillon, il faut enlever les organisations ennemies de la

lisière sud-ouest du bois Saint-Pierre-Vaast. Au moment où la lisière apparaît toute proche, la

fusillade se déchaîne et, à gauche du Bataillon, quelques combats à la grenade annoncent la lutte

sans merci. Le Lieutenant TROTIN stoppe dans un trou d’obus : l’observateur allemand l’a vu et

toutes les mitrailleuses tirent sur l’Officier. La nuit venue, il veut parcourir le front de son unité ; il

secoue ses hommes, aucun d’eux ne répond. Ils ont tous été fauchés par les mitrailleuses.

Les pertes sont sévères ; au cours du repos passé à Etinehem, de gros renforts composés de la

classe 1917 arrivent et sont aussitôt incorporés. Dès leur premier contact, à l’exemple de leurs aînés,

ils feront bonne figure, malgré la violence particulière de l’artillerie et sous de véritables ouragans

de feu. Le 29, ils sont en ligne dans un secteur bouleversé par les obus. La pluie a effondré

tranchées et gourbis, il n’existe plus de retranchements et les petits postes sont tapis dans des trous

que les averses d’automne transforment en marais. Et cependant, telle est l’activité du Régiment,

qu’au bout de quelques jours, le secteur n’a plus le même aspect ; c’est de là que vont partir les

attaques de la Brigade MESSIMY. Le Lieutenant-Colonel ARDOUIN sera cité à l’ordre de cette

Brigade pour avoir dans une large part contribué à son succès. La relève se fait sous la neige ; elle

est très pénible sur ces longues routes de Somme, transformées en bourbiers. A force de volonté,

elle s’effectue en bon ordre, malgré le froid, la fatigue et la douleur.

Le 131e passe l’hiver dans le secteur de Beaumarais, Berry-au-Bac ; il fait un froid terrible. C’est

l’époque des coups de main. Une brillante action qui nous vaut 25 prisonniers est menée par le

Capitaine PASCAL sur le bastion du Choléra. Les grenadiers ennemis essaient de résister, mais

nos braves engagent la lutte. Le Caporal de ROCQ soutient le combat seul contre un groupe

d’Allemands qu’il maintient dans la tranchée de soutien pendant que ses nettoyeurs visitent les

abords. Le Soldat BOUARD blessé ramène un prisonnier, puis il se précipite à nouveau vers la

tranchée ennemie pour aller chercher un de ses camarades qu’il ramène dans nos lignes, il est blessé

une deuxième fois.

Offensive du 16 avril 1917

Le 131e , réserve de C. A., est placé derrière la 10

e Division ; il doit exploiter le succès et ne quitter

ses emplacements qu’après l’enlèvement de la deuxième position.

Le 18, il nettoie le bois des Boches et le 19 un sous-secteur est organisé sous les ordres du

Lieutenant-Colonel ARDOUIN. Après l’attaque, l’artillerie ennemie réagit violemment. Les

travaux d’organisation sont activement poussés en vue de la reprise de l’offensive. Sur le plateau

qui regarde Juvincourt, les hommes creusent des trous individuels qu’ils relient ensuite. Du haut

de la butte de Prouvais l’observateur allemand dirige sur toutes nos positions un tir incessant de

jour et de nuit. Le Lieutenant SCHUTZ, tué le 29, est proposé pour la Légion d’honneur : « Jeune

officier de glorieuse espérance, nature d’élite, répandant autour de lui la bonne humeur et

l’entrain, communiquant à tous son ardeur à exécuter les ordres reçus avec un optimisme

confiant. Le 29 avril 1917, devant Juvincourt malgré un bombardement incessant, a obtenu de sa

Compagnie une activité au travail, une résistance à la fatigue, une attitude sous le feu qui lui ont




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permis de se consolider sur une position récemment conquise ; a donné une nouvelle preuve

éclatante de ce que peut le Chef aimé et admiré par ses hommes. A été tué glorieusement dans la

tranchée dont il avait la garde ».

Bien qu’il n’ait pas été appelé à participer effectivement à l’attaque, le 131e joue un rôle aussi

brillant dans la défense du terrain conquis que naguère dans l’attaque. Sous un feu bien réglé et très

meurtrier, il a su trouver et créer la position la plus favorable pour de nouveaux combats.

Juvincourt — 21 novembre 1917

Le 21 novembre, l’attaque du saillant de Juvincourt, confiée au Régiment, est conduite par les

Bataillons BARRANQUE et BUISSON, le deuxième ravitaillant en matériel et munitions.

Le départ des vagues s’exécute dans un ordre parfait ; le Lieutenant SIBIEUDE est frappé le

premier. « Commandant de Compagnie énergique, exigeant pour lui-même comme pour ses

subordonnés, d’une bonne humeur communicative, a fait preuve d’un entrain qui ne s’est jamais

ralenti. A entraîné personnellement sa Compagnie dans un élan superbe et a trouvé la mort dans

les tranchées conquises. » Moins de deux heures après, tous les objectifs sont atteints ; 450

prisonniers sont déjà dénombrés, dont 3 Officiers. Un jeune Aspirant, ROBERT de SAINT-

VICTOR, blessé grièvement au moment où il va atteindre son premier objectif, fait un suprême

effort pour pénétrer dans la tranchée allemande. Le Sous-Lieutenant LAVAULT, qui, malgré son

jeune âge, a su inspirer à tous une confiance sans borne, conquiert de haute lutte l’objectif qui lui est

assigné et de sa propre initiative, par un habile mouvement de flanc, arrête net une contre-attaque.

Une Section de la 9e Compagnie, surnommée la « Compagnie des As du Régiment », — ses quatre

Officiers ne comptent pas à eux tous 80 ans — pénètre profondément dans les lignes ennemies. Le

Sous-Lieutenant JAUNON, qui a eu la cuisse fracassée, peut être rapporté dans nos lignes grâce au

dévouement de ses hommes, et quand le Chef de Corps les complimente, leur réponse est unanime :

« Notre Chef de Section est un As ; nous ne voulions à aucun prix le laisser entre les mains des

Boches. »

L’artillerie ennemie reste très active, à l’aube, le Lieutenant-Colonel ARDOUIN, visitant les

tranchées et les petits postes, félicite les hommes ; la satisfaction du devoir crânement accompli et

couronné de succès est sur tous les visages. Au petit jour, l’ennemi, revenu de sa surprise, lance de

furieuses contre-attaques qui sont toutes repoussées. La lutte a été particulièrement vive devant la 3e

Compagnie, où les grenadiers allemands ont atteints les réseaux. Grâce au sang-froid du Lieutenant

THIÉBAUT, debout au milieu de ses hommes, et au courage d’une poignée de braves tels que le

Caporal GAVEAU, qui monte sur le parapet, abat à la grenade l’Officier qui commande les vagues

d’assaut, le détachement ennemi se disperse laissant des morts et des blessés.

Le 12 décembre 1917, le Régiment est cité à l’ordre de la 6e Armée dans les termes suivants :

« Sous les ordres du Lieutenant-Colonel ARDOUIN, s’est distingué partout où il a été engagé,

particulièrement en Argonne, le 13 juillet 1915, en Champagne en 1915, dans la Somme en 1916,

puis sur l’Aisne en avril 1917. Le 21 novembre 1917, s’est brillamment emparé, sur un front de

1.500 mètres, d’organisations puissamment défendues, conquérant d’un seul élan tous ses

objectifs, faisant 450 prisonniers et repoussant toutes les contre-attaques ennemies » (Ordre n°

541).

Tout l’hiver se passe dans le secteur de Craonne. Aux premiers jours de repos que le Régiment

prend à Verberie, le Général PELLÉ, commandant le 5e Corps, remet la Croix de guerre au

Drapeau.




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Après quelques exercices avec chars d’assaut, organisés au camp de Champlieu, une série

d’étapes conduisent le 131e dans la région de Guny – Pont-Saint-Mart ; mis à la disposition de la

161e D. I., il commence sur la deuxième position d’importants travaux.

Attaques de mars (21-24) — Tergnier

Quand se déclenche la grande offensive allemande, le 131e, alerté le 22 mars, quitte

précipitamment ses emplacements pour se porter au secours de la 5e Armée anglais bousculée. Il se

dirige sur les lignes sous un brouillard qui rend l’orientation très difficile. L’ordre d’attaque arrive le

soir même : il faut, à l’aube, enlever Tergnier, rejeter l’ennemi au-delà du canal de Saint-Quentin

et enrayer à tout prix l’avance des armées allemandes sur Noyon. Le Régiment attaquera sans appui

d’artillerie et avec deux Bataillons, le Bataillon BARRANQUE est en réserve de la 50e Division

anglaise dans la région d’Autreville.

La marche à travers Chauny est exténuante. A 6 heures, cependant, les unités sont en place. Sans

aucune préparation d’artillerie, les deux Bataillons se lancent à l’assaut dans le plus grand ordre. La

progression se fait par bonds successifs et rapides et bientôt les lisières de Tergnier sont en notre

possession.

A la suite de concentrations de réserves très denses dans Tergnier, l’ennemi prononce deux contre-

attaques. Tous ses efforts restent vains. Le Capitaine BERTHOUT tombe mortellement frappé,

alors qu’il incitait la poignée d’hommes qui lui restait à la confiance et au courage.

Quelques instants après, une autre contre-attaque très puissante se déclenche sur le 2e Bataillon ; le

brouillard, très épais, paralyse notre orientation et facilite au contraire l’infiltration. L’ennemi

contourne le 3e Bataillon, nos pertes sont élevées : il ne reste plus que trois Officiers.

Les pionniers, Lieutenant DUFRENOY, la liaison, Lieutenant LAURENT et les secrétaires avec

l’Adjudant-Chef BILLOT constituent l seule réserve que le Colonel peut opposer à un flot qui

apparaît de plus en plus envahissant. Tous sont déployés sur les pentes nord de Viry-Noureuil,

afin de barrer les chemins venant de Tergnier. Le crépitement des balles se rapproche ; les blessés

qui affluent disent tout l’acharnement de l’ennemi, nos pertes et la résistance héroïque des deux

Bataillons.

L’Officier de renseignements, le Lieutenant SERVOINGT, exécute à plusieurs reprises des

reconnaissances hardies jusqu’aux lignes avancées allemandes : « Officier de haute valeur morale

et professionnelle, modeste comme les natures d’élite, il trouve une mort glorieuse en entraînant

à la contre-attaque divers éléments français et anglais qui fléchissent devant la ruée de

l’ennemi. »

Avec la nuit, le choc s’amortit : dans la tranchée où il a fixé son P. C., le Colonel reçoit le Capitaine

d’un Groupe cycliste venu se mettre à sa disposition.

Un beau clair de lune favorise l’aviation ; des escadrilles allemandes survolent à faible hauteur nos

positions, mitraillant colonnes et convois. A l’aube, le Chef d’un Groupe d’auto-mitrailleuses vient

se mettre également à la disposition du Colonel.

La mission du groupement ARDOUIN est de tenir sur place et de ne se décider au repli vers

Chauny que s’il y a danger d’encerclement. Au petit jour, dans le brouillard, la progression

ennemie s’accentue. Un instant même, le Peloton de pionniers et le 3e Bataillon se trouvent en

flèche, mais ils sont dégagés grâce au dévouement d’autos-mitrailleuses qui se jettent à corps perdu

sur la route, dispersent des groupes d’ennemis et facilitent la capture des prisonniers.




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On se bat dans Viry-Noureuil : il n’existe plus de Section ni de Compagnie, mais des groupes

mêlés d’Anglais et de Français. Quelques Chefs survivants qui conduisent ces groupes sont armés

de fusils. Le Colonel ARDOUIN prend le commandement de tous les éléments des divers

Régiments pour coordonner les efforts et prolonger la résistance.

Toutes les liaisons avec l’arrière et avec les unités voisines sont rompues. On se fixe aux lisières de

Chauny, mais aussitôt une reconnaissance d’Officiers se trouve face à face avec les avant-gardes

ennemies, à Ognes. Il faut gagner Abbécourt sans tarder. Les lisières du village sont héroïquement

défendues toute la nuit : à la faveur du brouillard et de l’obscurité, les Allemands s’infiltrent et

tentent de forcer le passage à niveau. Le Lieutenant LAULHÉ contre-attaque : les autos-

mitrailleuses multiplient leurs incursions. La Compagnie BOUVET offre une résistance opiniâtre :

le Sous-Lieutenant GODEFROY empêche l’ennemi de franchir la voie ferrée.

Nous sommes menacés d’un complet enveloppement, quand l’ordre de repli est donné par le

Général de Division : le mouvement s’exécute avec ordre comme à la manœuvre, sous la protection

du Groupe de mitrailleuses DUBOIS et du Peloton de pionniers. Vers 14 heures, l’Oise est franchie

sans incident au pont de Manicamp.

Le Lieutenant-Colonel BEURTON, Chef d’état-major de la 125e D. I., remplace dans le

commandement du Régiment le Colonel ARDOUIN, nommé au commandement de l’I. D. et ses

premières paroles sont un hommage d’admiration envers tout le 131e, ses morts glorieux, ses

blessés héroïques et son ancien Chef, âme de la résistance durant ces dures journées. L’heure était

terrible, dit-il, l’ennemi déferlant comme une vague en furie dans les plaines de Chauny a trouvé

devant lui le Chef qui, se mettant en travers des masses envahissantes, avait dit : « Je suis là avec

mon Régiment, celui de Bolante et de Juvincourt. »

Le 5 mai, le Général commandant la 3e Armée cite à l’ordre le 131

e : « Régiment d’élite qui, sous

l’habile direction de son chef, le Colonel ARDOUIN, vient de se couvrir de gloire. Ayant reçu

l’ordre d’enrayer à tout prix la progression des masses allemandes, s’est lancé à l’attaque, le 23

mars 1918, avec une superbe crânerie, et a défendu ensuite le terrain conquis avec une rare

opiniâtreté. Pendant les jours suivants, a continué à combattre contre des forces supérieures,

poussant la résistance jusqu’à l’extrême limite ; a accompli ainsi noblement et avec un plein

succès la mission périlleuse et délicate qui lui avait été confiée ». (Ordre n° 409).

Par décision du Général Commandant en Chef, en date du 5 mai 1918, le port de la fourragère aux

couleurs du ruban de la Croix de guerre a été conféré au 131e qui a obtenu deux citations à l’ordre

de l’Armée pour sa belle conduite devant l’ennemi. Le Général PÉTAIN attache lui-même la

fourragère au drapeau.

Attaque du 9 juin : Le Matz, Ricquebourg, Antheuil

A peine reconstitué, le Régiment entre en secteur à Cauny-sur-Matz.

Le 5 mai, à 16 heures, un groupe de volontaires,sous les ordres du Sous-Lieutenant BERNARD,

saute sur un petit poste ennemi à la lisière du bois des 21 peupliers. La sentinelle est enlevée,

bâillonnée, par le Caporal MENARD, qui l ramène dans nos lignes. Mais le Sous-Lieutenant

BERNARD, n’écoutant que sa jeune intrépidité, se jette à la poursuite des Allemands, pénètre le

premier, revolver au poing, dans un grand abri souterrain occupé par de nombreux adversaires, et,

seul, engage audacieusement une lutte au cours de laquelle il succombe.

Le 17 mai, un coup de main exécuté par la 10e Compagnie réussit pleinement : l’Adjudant

VARENNE, Chef de Section d’une énergie farouche et d’un sang-froid merveilleux, s’avance avec

quelques hommes, s’impose à l’adversaire par son attitude et réussit à faire prisonniers un




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Commandant de Compagnie, un Sous-Officier et trois Soldats.

Les renseignements des prisonniers nous fixent sur l’emplacement de la tombe du Sous-Lieutenant

BERNARD ; le 18 mai, au cours d’un nouveau coup de main exécuté par la Section

RINGUENET, le Caporal CROZAT, vieux Soldat de la meilleure trempe, et le jeune Daniel

FONTVIEILLE partent volontairement chercher le corps de leur Officier dans les lignes

ennemies ; ils réussissent à l’exhumer et à le ramener, pendant que la reconnaissance a engagé le

combat, montrant ainsi la fraternité d’âme et le dévouement au Chef, qui sont la règle au 131e.

Le Régiment est tout entier en réserve sur la deuxième position, lorsque dans la nuit du 9 juin

l’ennemi déclenche un violent bombardement sur une très grande profondeur. Dans la région basse

de la Neuville-Ricquebourg, le nuage de fumée est particulièrement dense et l’air irrespirable. Des

nuages artificiels, créés par bombardement, sont posés en arrière de nos premières positions et

s’échelonnent ensuite, d’après les progrès de l’infanterie allemande, surveillée par ses avions.

Au petit jour, une reconnaissance en forêt met le Colonel au courant des progrès de l’infanterie

ennemie.

Il est 8 heures, quand les agents de liaison signalent que l’ennemi pénètre dans le parc de

Ricquebourg et aborde Mareuil. Le Bataillon DUBOIS, menacé sur son flanc droit, contre-attaque

à plusieurs reprises. Le Capitaine MOURGUES dirige personnellement l’attaque sur un groupe

d’Allemands qui tente d’aborder nos lignes, le met en fuite et capture un prisonnier. Un brave, le

Caporal DARROUX, de la 5e Compagnie, se poste sur un talus, et avec son fusil mitrailleur défend

pendant plus de deux heures la grande route de la Berlière. Un jeune et vaillant mitrailleur,

PRUNET (Émile), voit tous ses camarades tués ou blessés autour de lui ; resté seul à sa pièce, il

décime les groupes qui veulent l’encercler et ne rejoint son unité qu’au dernier moment, en

ramenant son arme.

De grand matin, le Commandant de l’I. D. 125, suivi de son état-major, quitte Ricquebourg et

rejoint le Colonel commandant le Régiment. La pression est forte sur les deux ailes, malgré la

résistance héroïque sur la droite, tenue par des territoriaux.

La journée est claire : l’aviation ennemie très active survole la plaine et bombarde nos troupes qui

dans les champs de Bourmont ne trouvent de couvert que dans les avoines et les blés très hauts.

Jusqu’au soir la lutte reste très âpre. Chaque sillon est solidement défendu ; les chemins creux de la

distillerie et de Bourmont sont le théâtre de sanglants combats.

Devant un fort groupe ennemi muni de mitrailleuses légères, une portion de la ligne fléchit un

instant ; le Colonel ARDOUIN, armé d’un fusil, regroupe des Soldats sans Chef et les reporte

personnellement sur la ligne de combat.

Le Matz est franchi sans incident. Il faut tenir à tout prix sur les lignes Antheuil – Vignemont et

empêcher toute infiltration de Marquéglise vers Antheuil.

La nuit tombe : tous nos blessés réfugiés dans les caves de Marquéglise sont évacués par le service

sanitaire du Régiment, avec des moyens de fortune.

Le lendemain dans la matinée, on voit s’emplir de troupes les bois de Ressons et du Petit-Mont.

L’infiltration commence : ce sont des groupes de tirailleurs qui cheminent dans les blés ; ils

marchent en échelon et chaque bond est marqué d’une fusée blanche.

Vers midi, après une préparation rapide, les Allemands attaquent à droite le bois de la Montagne, et

bientôt l’on voit descendre des hauteurs de grosses fractions du Régiment de gauche qui découvrent

notre flanc. Le Colonel ARDOUIN et le Lieutenant-Colonel BEURTON se fixent au passage à

niveau d’Antheuil et, grâce à leur sang-froid, stabilisent la ligne en ce point.

Il ne faut plus dès lors songer à se replier, mais organiser Antheuil en centre de résistance et le

conserver malgré tout.




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Et de fait l’Allemand ne pourra entamer l’îlot d’Antheuil, grâce à l’héroïsme de nos mitrailleurs,

qui briseront tous les assauts.

Durant cette journée du 9 juin, malgré les gaz et l’obscurité complète, débordé sur ses ailes, le

131e n’a cessé de manœuvrer constamment dans les mains de ses Chefs, effectuant sur ordre et avec

la plus grande régularité, les mouvements qui ont imposé des retards considérables à la progression

ennemie et permis l’arrivée des renforts. Bien que durant cette période du 9 au 14 juin l’effort

demandé fut considérable beaucoup d’hommes n’avaient pas dormi depuis le 6 juin, chacun dans

ces circonstances difficiles, s’est efforcé de bien faire, de faire mieux, d’être digne de la belle

renommée du Régiment.

Le 10 août 1918, par décision du Général Commandant en Chef, le 131e est cité à l’ordre de la 3

e

Armée : « Sous le commandement du Lieutenant-Colonel BEURTON a enrayé la ruée des

masses allemandes déclenchée après un bombardement d’une extrême violence, s’opposant à

tous les débordements, maintenant sous ses feux les attaques furieuses de l’ennemi et lui faisant

subir des pertes énormes. A ensuite brisé toutes les attaques et avec une opiniâtreté exemplaire a

pendant quatre jours défendu et maintenu inviolé le point d’appui qu’il avait reçu ordre de

conserver ».

Attaque du 15 juillet — Jaulgonne

Le 28 juin, le Régiment est en secteur dans la boucle de la Marne, devant Jaulgonne, en liaison à

gauche avec une unité américaine qui tient la vallée du Surmelin.

Il a pour mission de défendre le terrain qui lui est confié. Aucun mouvement de repli ne doit être

envisagé. Le secteur est d’ailleurs renforcé par une puissante organisation d’abatis et de réseaux.

Dans la nuit du 14 au 15 juillet, l’artillerie ennemie jusqu’alors silencieuse ouvre un feu violent

d’abord sur les batteries, puis sur les positions de l’infanterie. Des tirs de minen sont dirigés sur les

berges de la Marne. Toutes les pistes, tous les sentiers sont battus, les obus toxiques sont

nombreux.

Sous le couvert de la fumée, l’ennemi traverse la Marne sur des embarcations légères ; les avant-

postes résistent désespérément. La 9e Compagnie, sous les ordres du Lieutenant LAVAULT un tout

jeune Officier d’un entrain endiablé, disperse une batterie qui s’installe à proximité ; des

parlementaires sont reçus à coup de feu. Pendant que la 9e Compagnie lutte jusqu’à épuisement

complet des munitions, à Reuilly la 6e Compagnie se groupe autour de son Chef, le Capitaine

VERSE, et se fait massacrer plutôt que d’enfreindre l’ordre reçu. Une lutte se poursuit dans les rues

et les maisons. Le Capitaine est tué ; son texte de citation dira de lui : « Commandant de

Compagnie d’une trempe merveilleuse, fidèle à la vieille devise : « A cœur vaillant, rien

d’impossible ». S’est fait remarquer dans tous les combats auxquels il a pris part par une attitude

énergique et calme au feu, par sa fermeté et son esprit de décision. Quatre fois cité. Le 15 juillet

1918, commandant une Compagnie aux avant-postes devant Reuilly, a donné l’exemple de la

plus haute valeur morale par l’oubli de soi pour autrui, a rempli héroïquement sa mission de

sacrifice, s’est fait tuer sur les bords de la rivière qu’il devait défendre à tout prix ».

Le Commandant RENÉ, atteint aux premières heures du bombardement, meurt en excitant ses

hommes à la résistance et en manifestant sa joie de verser son sang pour la Patrie.

Le Bataillon DUBOIS tient le plateau ; privé dès le matin de toute liaison à la suite d’un

bombardement sans répit il multiplie les contre-attaques pendant que derrière lui le Bataillon

NAEGELIN tente de se relier avec le 76e qui opère à droite. Le Soldat DECHARIÈRE se heurte à

des groupes ennemis qui lui barrent la route, engage la lutte, repousse l’adversaire, rend compte et




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tient le sentier pendant cinq heures.

A 9 heures, le Bataillon DUBOIS complètement encerclé ne possède plus aucune communication

avec le Chef de Corps. Un jeune Soldat qui s’était révélé lors d’un coup de main devant Canny,

Frédéric GROS, s’offre comme volontaire pour effectuer la liaison entre le Colonel et le Capitaine

DUBOIS ; plusieurs de ses camarades ont été tués, dont le Cycliste LABORIE, sans pouvoir

exécuter l’ordre. GROS traverse les lignes tenues par l’ennemi ; sommé de se rendre, il fait le coup

de feu et revient près du Colonel apportant des renseignements précieux.

Vers midi, le cercle se refermant autour de lui, le 1er

Bataillon gagne la lisière du bois des Étangs

et grâce au merveilleux sang-froid du Capitaine NAEGELIN les éléments sont tous groupés et se

fixent définitivement en ce point.

Une fois de plus, le 131e qui avait ordre de combattre sur place sans idée de repli et d’arrêter

l’ennemi remplit sa mission, le Bataillon d’avant-postes s’est fait tuer sur place ; le Bataillon

DUBOIS encerclé s’est défendu héroïquement et luttait encore contre l’ennemi à 15 heures 30 ; il

n’a pas lâché pied. Le 1er

Bataillon, ne disposant d’aucun élément de réserve, a supporté les coups

les plus furieux. Le Régiment tout entier est resté digne de son passé des journées de Bolante, de

Juvincourt, Chauny et Antheuil.

Pendant un court séjour dans un secteur de Lorraine (15 août – 23 septembre 1918), le

Lieutenant-Colonel BEURTON quitte le Régiment, il est remplacé par le Lieutenant-Colonel

LAPRADE.

Rappelé de Lorraine, le 131e rentre en secteur le 6 octobre devant Monthois et Challerange ;

l’ennemi se cramponne désespérément aux falaises de Primat où, de longue date d’ailleurs, il a

aménagé d’innombrables blockhaus à ciel ouvert où se cachent des mitrailleuses. Le Régiment

progresse rapidement jusqu’à l’Aisne.

Devant lui la rivière est considérablement grossie par les pluies d’automne : toutes les prairies

d’Olizy sont inondées ; il n’y a plus ni pont, ni jetée. Plus loin les falaises de Primat sont

recouvertes de taillis et coupées de ravins profonds ; l’ennemi tient là dans ces grands bois qui

vont de la rivière à la Croix-au-Bois.

Le 12 octobre, ordre est donné de franchir l’Aisne et de continuer la poursuite dans la forêt de

Boult, le 2e Bataillon est chargé de l’opération. Malgré le bombardement, sous une fusillade intense

les Compagnies se lancent à l’assaut « Garde à vous ! En avant ! » s’écrie le Capitaine GALAUP

et tous s’élancent sur la passerelle. Devant l’entrain et le cran de nos hommes le Commandant des

avant-postes ennemis lance trois fusées qui sont le signal du repli. Malgré les obstacles, les

Compagnies, à l’aube, occupent le sommet des croupes et découvrent la pointe du clocher de

Primat.

Mais les mitrailleuses ennemies qui dominent nous infligent des pertes. Un ordre de repli atteint le

2e Bataillon alors que déjà il fait grand jour. Il est impossible de regagner la passerelle ; les

Capitaines GALAUP et ROUDEIX rassemblent quelques chargeurs de F. M. et les brûlent sur les

vagues qui l’enserrent.

Un ordre allemand tombé entre nos mains quelques jours après relate que l’ennemi, surpris par

l’ardeur de nos Soldats et leur mordant audacieux, a cru à une attaque menée par au moins deux

Bataillons.

Le Bataillon MAGNE recommence le lendemain la même opération avec le même cran et le même

esprit de devoir. Sous un bombardement par obus toxiques d’une violence inouïe, il atteint les

lisières d’Olizy ; comme la veille, un ordre de repli rappelle en plein jour sur la rive gauche nos

troupes qui ne se décrochent qu’au prix de grosses pertes sous le feu d’un ennemi qui occupe les

positions les plus avantageuses.




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Le franchissement de l’Aisne apparaît dès lors comme une opération très difficile ; on tente une

progression parallèle aux rives, en direction de Primat – Longwé. Les trois Bataillons y coopèrent

efficacement ; c’est la lutte sous bois, dans les ravins à pic. L’ennemi, qui dispose d’un nombre

incalculable de mitraillettes, gêne considérablement notre progression qui continue cependant. Des

nids de résistance sont cernés, plusieurs postes enlevés, la 2e Compagnie capture 28 prisonniers.

A bout de force, le Régiment est relevé, près de la moitié de l’effectif a dû être évacué à la suite

d’intoxication par les gaz.

A la suite de ces opérations le Régiment était proposé pour une Citation à l’ordre de l’Armée

GOURAUD, dans les termes suivants :

« Régiment héroïque, dont l’ardeur combative dans l’attaque est égale à l’esprit de sacrifice dans

la défensive. « Le 15 juillet 1918, sur la rive sud de la Marne, devant Jaulgonne et reuilly, a opposé à

l’offensive ennemie une résistance héroïque, se maintenant en fin de journée sur la position

assignée, et permettant aux troupes en réserve d’intervenir. « Les 10 et 11 octobre, a réalisé une avance de plusieurs kilomètres au sud de Vouziers,

bouscuant l’ennemi et conquérant de haute lutte les villages de Monthois et Brécy. « Les 12 et 14 octobre, a franchi à deux reprises et sur des passerelles de fortune l’Aisne

considérablement grossie par de vastes inondations ; s’est porté audacieusement à l’attaque des

falaise et des hauteurs puissamment fortifiées de Primat et d’Olizy ; algré le feu le plus violent

d’artillerie et de mitrailleuses, a progressé en subissant des pertes sensibles qui n’ont pas entamé

son moral. « Enfin, les 24 et 25 octobre, a réduit de nombreux nids de mitrailleuses dans la partie nord de la

forêt d’Argonne, capturant des mitrailleuses et faisant des prisonniers. « Déjà cité 3 fois à l’ordre de l’Armée. »

Telle est, dans cette lutte atroce pour les libertés du monde, l’histoire écrite par le 131e R. I. au prix

de souffrances physiques et morales que n’avaient pas connues les phalanges républicaines des plus

rudes années de la Révolution.

Dans les heures tragiques où il donnait la mesure de son esprit de sacrifice, comme dans les

combats victorieux où s’affirmait sa valeur offensive, il répondit toujours aux efforts que ses Chefs

lui demandaient, il sut garder sans défaillances une discipline et une foi inébranlables. Il avait puisé

cette force dans son sol natal qui vit l’aube de la victoire au sein de nos plus sombres revers.....

COULMIERS, courte revanche de l’honneur, prélude des grandes réparations, et, dans le passé, la

prise d’ORLÉANS par JEANNE D’ARC, qui annonçait la délivrance totale.

L’héroïque guerrière, peinte sur les fanions pour évoquer les origines du Régiment, symbolise sa

petite patrie qui, toujours prête pour défendre la plus grande, peut regarder avec une légitime fierté

tous les champs de bataille de la grande guerre où tant des siens sont tombés pour que

VIVE LA FRANCE !




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LISTE

des

Officiers, Sous-Officiers, Caporaux et Soldats

du 131e RÉGIMENT D’INFANTERIE

tombés au Champ d’Honneur ou disparus




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Liste des Officiers tués

ou morts des suites de leurs blessures

————<O>————

Nom (Prénom), grade Classe Nom (Prénom), grade Classe

ARTHEBISE (André), sous-lieut.,

AUTIÉ (Maurice), sous-lieutenant,

AUPÉRIN (Edgard), capitaine,

BASCHET (Louis), capitaine,

BAUDIN (Émile), sous-lieutenant,

BERGERON (Frédéric), capitaine,

BERMON (Louis), lieutenant,

BERNARD (Louis), sous-lieutenant,

BERTHOUT (Joseph), capitaine,

BILLARD (Henri), sous-lieutenant,

BLANCHARD (René), sous-lieut.,

BLONDEL (Maurice), sous-lieut.,

BLONDIN (Paul), sous-lieutenant,

BOCQUET (Aimé), sous-lieutenant,

BOISSEAU (Eugène), sous-lieutenant,

BOITIER (Raoul), sous-lieutenant,

BORGNIS-DESBORDES, sous-lieut,

BOUDARD (Claude), capitaine,

BOURDELOIS (Philippe), command,

BOURREAU-GUÉRINIÈRE, lieut.,

BOUSSION (Alexandre), sous-lieut.,

BOUSAT (Pierre), lieutenant,

BRIOL (Maurice), chef de musique,

CHARTIER (Henri), sous-lieutenant,

CHATEAUX (François), lieutenant,

COLAS des FRANCS, commandant,

COMBE (Lucien), lieutenant,

CONTANT (Lucien), lieutenant,

COUVILLERS (Xavier), sous-lieut.,

CUTU (Charles), sous-lieutenant,

D’AMADE (Gérard), sous-lieutenant,

DASTARAC (André), capitaine,

DAUTEL (Gaston), lieutenant,

De LA CROIX (Urbain), lieutenant,

De LA FOYE (Eugène), capitaine,

DELIGNY (Louis), capitaine,

1907

1914

1899

1899

1906

1890

1906

1916

1904

1912

1912

1902

1911

1918

1916

1910

1914

1903

1890

1910

1902

1907

1894

1912

1906

1878

1908

1910

1913

1907

1915/13

1898

1907

1905

1905

1897

DREVON (Fabien), sous-lieutenant,

DUHAMEL (Léon), capitaine,

ESCARRET (René), sous-lieutenant,

DUCLOS (Charles), sous-lieutenant,

EYMAIN (Noël), sous-lieutenant,

FOUREST (Maurice), colonel,

FREGUIN (Henri), sous-lieutenant,

GAMBRELLE (Georges), capitaine,

GAMBS (Frédéric), capitaine,

GEORGET (Albert), lieutenant,

GERBEAUT (Louis), lieutenant,

GILLES (Silvain), capitaine,

GIRAUT (Robert), lieutenant,

GUIBLET (Louis), sous-lieutenant,

GUILLAUME (Valéry), capitaine,

HERGAULT (Georges), capitaine,

HUET (Adolphe), sous-lieutenant,

JEULIN (Édouard), sous-lieutenant,

JOSNON (Alcide), lieutenant,

JUMEL (André), sous-lieutenant,

LÉCUYER (Jean), capitaine,

LEHÉRICEY (Daniel), lieutenant,

LE SAULNIER de SAINT-JOUAN

(P.), capitaine,

LIVACHE (Georges), sous-lieutenant,

LORON (André), sous-lieutenant,

LUSSAN (Raoul), sous-lieutenant,

MACHEREAU (Louis), lieutenant,

MAYAUD-MAISONNEUX (Paul),

sous-lieutenant.

MALEVIALE (Pierre), sous-lieut.,

MARLIN (Jean), capitaine,

MASSON (Georges), sous-lieutenant,

MATHIEU (René), sous-lieutenant,

MIRON de LESPINAY (Antoine),

sous-lieutenant,

1910

1887

1910

1908

1896

1878

1911

1902

1911

1903

1906/08

1882

1902

1900

1906

1891

1910

1910

1906

1913/14

1895

1911

1908

1908

1910

1910

1903

1908

1902/3

1889

1903

1914

1916




22 / 69


MOTTE (Léon), capitaine,

NALBERT (Pierre), capitaine,

NIVERT (André), sous-lieutenant,

PANISSE (Fernand), sous-lieutenant,

PARCOT (Mathias), commandant,

PELFORT (Pierre), capitaine,

PIGELET (Marie), sous-lieutenant,

PINAUX (Paul), capitaine,

PAINCHAULT (Hippolyte), s.-lieut.,

PLOTARD (Germain), sous-lieut.,

POILPRE (Émile), sous-lieutenant,

POMPON (Marius), sous-lieutenant,

PONCHON (Henri), sous-lieutenant,

1877

1897

1910

1913

1886

1908

1905/03

1901

1908

1904

1911

1910

1909

RAYNEAUD (François), capitaine,

RENÉ (Jules), commandant,

RICHÉ (Jean), sous-lieutenant,

SCELLOS (Gustave), capitaine,

RIÉGER (Jacques), sous-lieutenant,

ROUGÉ (Joseph), lieutenant,

SCHUTZ (René), lieutenant,

SERVOINGT (Alphonse), lieutenant,

SIBIEUDE (Louis), lieutenant,

SORY (Léon), capitaine,

TAILI (Jean), sous-lieutenant,

VASEUX (Paul), sous-lieutenant,

VERSE (Joseph), capitaine,

1899

1898/0

1900

1900

1914/06

1898

1913

1908

1901

1883

1904

1900

1906/08

————<O>————




23 / 69

131

e RÉGIMENT D’INFANTERIE

————

Liste des Sous-Officiers, Caporaux et Soldats

tués à l’ennemi

ou morts des suites de leurs blessures

————<O>————

Nom (Prénom) Classe Nom (Prénom) Classe

ABADIE (François-Élie)

ABADIE (Joseph-Édouard)

ABRASSANT (Jules-Édouard)

ADAM (Ephrem)

AGNEL (Paul-Adrien)

AGUENIER (Arthur)

AHOUD (Joseph)

ALBERT (André-Georges)

ALDRIN (Henri)

ALÉPÉE (Pierre-Eugène)

ALEXANDRE (Louis)

ALIBRAN (Gabriel-Louis)

ALLEAUME (Adrien-Charles)

ALLOITTEAU (Désiré-Auguste)

ALLONAS (Victor)

ALLONCLE (Henri)

ALOPH (Eugène-François)

ALVEZARD (Albert-Marcel)

AMARY (Alexandre-Gabriel)

AMARY (Léon-Frédéric)

AMIARD (Jules-Eugène)

AMIRAULT (Albert-Louis)

AMY (Eugène)

ANCELIN (Louis-Georges)

ANDRÉ (Fernand)

ANDRÉ (Paul-Aimable)

ANDRÉ (Robert-Alphonse)

ANDROUIN (François-Victor)

ANGLADE (François-Jean)

ANGLADE (Jean-Armand)

ANNECOU (Jean-Baptiste)

ANRY (Paul)

1903

1903

1903

1894

1917

1902

1900

1913

1907

1912

1911

1900

1902

1916

1905

1913

1904

1912

1903

1900

1900

1909

1908

1913

1907

1900

1916

1917

1917

1901

1912

1900

APOUX (Gabriel-Fernand)

ARBOUYS (Jules)

ARNAUD (Léon-Émilien)

ARNAUD (Pierre)

ARNAULT (Armand-Philibert)

ARNOULT (Louis-Anatole)

ARRAULT (Henri)

ARRIGHI (Pierre-Augustin)

ARSON (Ernest)

ASNAIN (Maurice-Léopold)

ASTIER (Jules-Antoine)

AUBENEAU (Félix-Armand)

AUBERT (Édouard)

AUBERT (Léonce-Émilien)

AUBEY (Alfred-Paul)

AUBIN (Eugène-Étienne)

AUBIN (Jules-Louis)

AUBINEAU (Georges-Théodule)

AUBRY (Ernest-Louis)

AUBRY (Yves-Eugène)

AUCOULON (Louis)

AUDIGIER (Fernand-Antoine)

AUDINET (Marcel-Gabriel)

AUDOIN (Alphonse-Victor)

AUGAT (Abel-Gustave)

AUGÉ (Léon-Germain)

AUGER (Émile)

AUGER (Ernest)

AUGER (François)

AUGER (Paul-René)

AUGIS (Constant-Paul)

AUGIS (Prosper-Louis)

1917

1898

1915

1901

1902

1916

1904

1914

1900

1912

1917

1898

1912

1904

1912

1912

1905

1894

1917

1915

1910

1901

1914

1907

1914

1917

1904

1901

1905

1908

1902

1912




24 / 69


AUVILLE (Arsène-Théodore)

AVISSE (André-Narcisse)

AVOY (Eugène-Marius)

AVRIL (Auguste-Joseph)

AVRILLON (Maurice)

BABOT (Pierre-René)

BACHELARD (Marius)

BACHELET (Augustin)

BACHELIER (Arthur)

BACONNET (Charles-Émile)

BADARD (Pierre-Claude)

BADAROUX (Émile-François)

BADUEL (Charles)

BAGNOULS (Firmin)

BAHUET (Ernest)

BAILLARD (Simon-Louis)

BAILLIF (Julien-Clément)

BAILLY (Alfred)

BALAIS (Octave-Gabriel)

BALLY (Jean-Claude)

BAPTISTE (Jean)

BAQUÉ (Jean-Bertrand)

BAQUIÉ (Georges-Pierre)

BAQUIN (Robert-Edme)

BARACHET (Marc-Louis)

BARATIN (Paul-Édouard)

BARBA (Edmond-Georges)

BARBELION (Désiré)

BARBERON (Louis-Félix)

BARBIER (Arsène-Augustin)

BARBIER (Charles)

BARBIER (Ernest-Auguste)

BARBIER (Louis-Gaston)

BARBIN (René)

BARBOUX (Alfred)

BARDARY (Émile)

BARDET (Armand)

BARDET (Pierre)

BARDIN (Auguste-Clément)

BARDIN (Célestin-Valentin)

BARDIN (Raymond)

BARILLEAU (Désiré-Victor)

BARILLIET (Léon-Albert)

BARNAULT (Alphonse-Victor)

BARNAULT (Clotaire-Alcide)

1912

1915

1914

1900

1913

1910

1917

1915

1909

1909

1917

1907

1902

1917

1908

1905

1900

1913

1917

1909

1910

1917

1910

1905

1909

1903

1903

1911

1907

1912

1907

1908

1900

1894

1914

1914

1903

1904

1905

1914

1913

1907

1907

1894

1910

BARNAULT (Lucien)

BARON (Alfred-Lucien)

BARON (Émile)

BARON (Joseph)

BARON (Louis)

BAROUX (Fernand-Émile)

BARRA (Émile-François)

BARRÉ (Gabriel)

BARRÉ (Gaëtan-Adolphe)

BARREAU (Clovis-Arsène)

BARRET (Daniel-Georges)

BARRIER (Clovis-Ulysse)

BARS (Gabriel-Marie)

BARSACQ (Pierre)

BARTHEL (Eugène)

BARTHÉLÉMY (Paul-Henri)

BASCHARD (Camille)

BASTARD (Marcel)

BASTIDE (Eugène)

BATAILLE (Abel-Auguste)

BATAILLE (Aimé-Georges)

BATAILLE (Constant)

BATAILLE (Georges-Louis)

BATÉ (Émile-Auguste)

BATIFOL (Jean-Marie)

BATON (André-Marcel)

BATTESTI (Charles-Dominique)

BATTINGER (Joseph-Adolphe)

BAUDEMONT (Raoul-Maurice)

BAUDET (Amédée-Marcel)

BAUDET (Henri)

BAUDOIN (Charles)

BAUDOIN (Marcel-Gabriel)

BAUDOIN (René-Constant)

BAUGÉ (Sylvain-Albert)

BAULARD (Alfred-Ernest)

BAULON (Julien)

BAZON (Auguste-Florentin)

BEAUDRON (Maurice-Alexis)

BEAUFILS (Gaston-Georges)

BEAUGÉ (Georges-Louis)

BEAUJARD (Auguste)

BEAUJOUAN (Alfred)

BEAUJOUAN (Casimir)

BEAUJOUAN (Georges-Édouard)

1905

1909

1914

1914

1908

1907

1909

1916

1900

1905

1913

1900

1913

1903

1893

1903

1900

1916

1914

1916

1900

1917

1902

1909

1910

1913

1902

1910

1908

1914

1909

1900

1912

1913

1908

1908

1905

1914

1912

1908

1911

1914

1900

1905

1900




25 / 69


BEAUJOUAN (Georges-Robert)

BEAULANDE (Victor-Eugène)

BEAUSOLEIL (Clément-Émile)

BEAUVALLET (Marcel)

BEAUVY (Armand-Joseph)

BECK (Gaston-Émile)

BEDÉ (Eugène)

BEDOIS (Gaston)

BELER (Maurice)

BELLANDE (Gaston-Albert)

BELLANGER (Joseph)

BELLANGER (Louis)

BELLANGER (Louis)

BELLARD (Paul-Marie)

BELLEMAIN (François)

BELLENOUE (Gentien-Jacques)

BELLIER (Charles-Arthur)

BELLOCQ (Ferdinand-Joseph)

BELORY (Eugène-Victor)

BELNAVE (Edmond)

BÉNARD (Léon-Frédéric)

BÉNARD (Marius-Alphonse)

BENARDEAU (Alphonse-Joseph)

BÉNESSE (Joseph)

BENOIT (Désiré-Edmond)

BENOIT (Alfred)

BENOIT (Louis)

BENOIT (Marcel-Émile)

BENQUE (Jean-Marie)

BÉQUET (René-Eugène)

BÉRAULT (Gaston-Jules)

BERBILLE (François)

BERE (Joseph-Albert)

BERCE (Auguste)

BERCHER (Odile-Ernest)

BERCQ (Louis)

BERGE (Julien-Sylvain)

BERGEOT (Adolphe-Joseph)

BERGER (Alcide-Octave)

BERGER (Louis)

BERGERARD (Clotaire-Henry)

BERGERON (Albert)

BERLANDI (Charles)

BERNARD (Bernard)

BERNARD (Georges)

1908

1909

1901

1900

1917

1909

1911

1913

1915

1905

1898

1906

1914

1913

1911

1913

1900

1903

1905

1914

1900

1904

1909

1902

1900

1910

1910

1902

1918

1914

1909

1902

1917

1917

1903

1914

1908

1908

1908

1913/4

1908

1914

1912

1909

1915

BERNARD (Henri-Louis)

BERNARD (Joseph)

BERNARD (Pierre-Marie)

BERNADI (Frédéric)

BERNHEIM (René-Léopold)

BERNIER (Adolphe-Georges)

BERNIER (Eugène-François)

BERNIOT (Gaston)

BERRANGER (Pierre-Marie)

BERRUET (Émile-Fernand)

BERST (Antoine)

BERT (Antoine-Hubert)

BERTEAUX (Jules-Louis)

BERTHELIN (Alexandre)

BERTHELIN (Marcel-Marie)

BERTHELOT (Désiré-Georges)

BERTHIER (Auguste)

BERTHIER (Marcel)

BERTIN (Albert)

BERTON (Georges-Henri)

BERTRAND (Arsène-Louis)

BERTRAND (Charles-Louis)

BERTRAND (Clodomir-Louis)

BERTRAND (Henri-Alphonse)

BERTRAND (Louis)

BERTRAND (Marcel-Émile)

BERTRAND (Robert-Auguste)

BESCHON (Arsène-Saturnin)

BESNARD (Fernand-Frédéric)

BESNARD (Henri-Alexandre)

BESNIER (René-Émile)

BESSEMOULIN (Émile-Julien)

BESSIÈRE (Louis-Joseph)

BESSONNEAU (Louis-Jules)

BESVEL (Raymond-Prosper)

BETIN (Eugène-Désiré)

BEUCHER (Georges-Louis)

BEUNIER (Georges-Albert)

BEULLÉ (Albert)

BEULLÉ (Georges-Maurice)

BEYER (Fernand-Eugène)

BÉZARD (Henri-Paul)

BÉZILLE (Adréa-Julien)

BIARD (Paul-Ulysse)

BIELER (Benjamin)

1908

1898

1914

1905

1914

1907

1900

1914

1907

1902

1914

1905

1908

1909

1909

1906

1916

1917

1914

1912

1903

1918

1916

1903

1910

1906

1916

1913

1901

1901

1917

1905

1905

1894

1914

1908

1915

912

1914

1912

1912

1909

1909

1905

1900




26 / 69


BIDAN (Marcellin)

BIDAULT (Léon-Alphonse)

BIDOIS (Marcel-Baptiste)

BIENVENU (Léon-Victor)

BIGÉ (Paulin-Ludovic)

BIGOT (Raymond-Marie)

BIGOT (Roger-Alexis)

BIHAN (Yves-Marie)

BILLARD (Jean-Charles)

BILLOD-LAILLET (Edmond-Éloi)

BILLON (René-Jules)

BINAN (Émile)

BINOIS (Clodomir-Zéphir)

BINTZ (Paul-Georges)

BIOUX (Antoine)

BISCH (Albert)

BITARD (Roger-Jean)

BIZEUX (Raymond-Eugène)

BLAESSINGER (Joseph-Marie)

BLAISE (Ferdinand-Lucien)

BLANC (Gaston-Julien)

BLANCHARD (Alexandre)

BLANCHARD (Joseph)

BLANCHARD (Robert-Charles)

BLANCHEMAIN (Auguste-Antoine)

BLANCHET (André-Marcel)

BLANCHON (René-Eugène)

BLANCHY (Honoré)

BLANDIN (Émile-Henri)

BLANDIN (Émile-Marcel)

BLANDIN (Joseph-Eugène)

BLANDIN (Louis-Pierre)

BLANSTIER (Louis-Édouard)

BLANLUET (Henri-Eugène)

BLIN (Auguste-Jean-Baptiste)

BLOCH (André-Charles)

BLOCHET (Léopold-Eugène)

BLOND (Amédée)

BLONDEAU (René)

BLONDET (Pierre)

BLOT (Louis-Charles)

BLOTTIN (Fernand-René)

BLOUIN (Pierre-Marie)

BOBAULT (Désiré-Alexandre)

BOBAULT (Léonard)

1900

1906

1917

1900

1909

1909

1902

1914

1902

1900

1912

1916

1915

1911

1908

1918

1916

1914

1913

1910

1908

1913

1909

1910

1909

1913

1916

1902

1908

1917

1903

1909

1908

1906

1918

1914

1908

1911

1900

1909

1900

1914

1916

1903

1904

BOBIER (René)

BOCQUET (Georges-Émile)

BOCQUIER (Pierre-Henri)

BODIER (Louis-Baptiste)

BODIER (Victor-Julien)

BODIN (Émile-Robert)

BODIN (Georges-Alfred)

BODIN (Marcel-Roger)

BOELHER (Adolphe-Gustave)

BOILEAU (Daniel-Albert)

BOILLET (Albert-Camille)

BOIRÉ (Julien)

BOIS (Henri-Édouard)

BOISNIER (Alphonse)

BOISSAY (Camille-Alexandre)

BOISSAY (Paul-Maximilien)

BOISSIÈRE (Grégoire-Adrien)

BOISTARD (Eugène-Raymond)

BOISTEAU (Louis-Joseph)

BOITIER (André-Léopold)

BOIVIN (Marien-Eugène)

BOIZIAUX (Georges-Vulfranc)

BOLACRE (Charles-Henri)

BOMBAL (André-Pierre)

BONAMY (Albert)

BONCORPS (Georges-Léon)

BONDON (Édouard-Henri)

BONDOUX (Raoul-Eugène)

BONIER (René-Marie)

BONIN (Joseph-Lucien)

BONJOUR (Henri)

BONNARD (Jules-Ernest)

BONNARD (Georges-René)

BONNE (Lucien-Émile)

BONNEAU (Albert-Moïse)

BONNEAU (Séraphin-Marcellin)

BONNET (Ernest-Henri)

BONNET (Gustave-Ernest)

BONNET (Henri-Victor)

BONNET (Maurice)

BONNET (René-Albert)

BONNEVILLE (Alfred-François)

BONNEVILLE (Georges-Simon)

BONNIER (Marcel-Victor)

BONNIN (Maurice-Jean)

1911

1914

1899

1914

1907

1909

1915

1914

1914/18

1911

1904

1908

1899

1911

1890/92

1909

1918

1911

1907

1913

1902

1900

1914

1915

1911

1911

1901

1909

1912

1913

1898

1907

1916

1916

1909

1911

1915

1911

1899

1903

1907

1910

1904

1914

1910




27 / 69


BONNIN (Paul)

BONNION (André-Émile)

BONNIVARD (Émile-Albert)

BONSERGENT (Gustave-Eugène)

BONTEMPS (Édouard)

BOQUEL (Jules-Félicien)

BOQUET (Alban-Gustave)

BORDEAUX (Léon-Ernest)

BORDELET (Marcel)

BORDIER (Alfred)

BORDIER (Marcel)

BORDIER (Maurice-Désiré)

BORDRON (Joseph-Auguste)

BORGNE (Désiré)

BORNE (Jean-Pierre)

BORNET (Louis-Charles)

BORNETTE (Clément-Gabriel)

BOSEL (Robert-Georges), E. V.

BOSSARD (Raymond-Pierre)

BOST (Ernest-Auguste)

BOTHEREAU (Paul-Jules)

BOTREAU (Fernand)

BOTTÉ (Fernand-Jacques)

BOTTIER (Joseph-Louis)

BOU (Adolphe)

BOUC (Léon-Albert)

BOUCARDIER (Charles)

BOUCHÉ (Georges-André)

BOUCHER (Auguste)

BOUCHER (Marcel-Auguste)

BOUCHET (Daniel-Louis)

BOUCHET (Léon-René)

BOUCHET (Raoul-Louis)

BOUCHET (René-Gabriel)

BOUCOT (Lucien-Louis)

BOUDARD (Georges-Olivier)

BOUDARD (Paul-Ernest)

BOUDET (Edmond-Émile)

BOUDIER (Albert-Eugène)

BOUDIER (Clément-Joseph)

BOUÉ (Marcel-Anatole)

BOUÉ (Paul-Émile)

BOUFFARD (Louis-Olivier), E. V.

BOUGAIN (Laurent)

BOUGOUIN (Émile-Louis)

1911

1913

1917

1902

1905

1916

1912

1901

1916

1902

1900

1908

1902

1904

1912

1916

1915

1916

1914

1908

1912

1913

1909

1917

1917

1914

1905

1913

1910

1916

1903

1916

1914

1916

1900

1908

1900

1917

1911

1913

1911

1915

1900

1918

1906

BOUILLOUX (Charles-Jean)

BOUILLY (Georges-Marcel)

BOULAY (Marie-Charles)

BOULAY (Omer-Julien)

BOULINGUEZ (Augustin)

BOUQUET (André-Arcade)

BOUQUET (Camille-Eugène)

BOUQUET (Jules-Joseph)

BOUQUET (Paul-Émile)

BOURBON (Raymond-Charles)

BOURDAIS (Raymond-Albert)

BOURDANTON (Paul-Auguste)

BOURDEAU (Eugène-Albert)

BOURDELOT (Robert)

BOURDETTE (Jean-Simon)

BOURDIER (Henri)

BOURDILLON (Silvain-Alexandre)

BOURDON (Achille-Joseph)

BOURDON (Albert)

BOURDON (Hugues)

BOURDON (Robert-Joseph)

BOUREAU (Aimé-Marie)

BOUREAU (Édouard-Alexandre)

BOURGEOIS (Paul)

BOURGEOIS (Georges)

BOURGES (Marcel-François)

BOURGOIN (Almire-Pierre)

BOURGOIN (Auguste)

BOURGOIN (Louis-Eugène)

BOURGOIN (Marcel)

BOURGOIN (Paul)

BOURIEL (Théophile-Marie)

BOURIENNE (Fernand-Joseph)

BOURILLON (Eugène-Sébastien)

BOURLARD (Fernand-Jules)

BOURLON (Maurice-Louis)

BOURLOT (Maxime-Albert)

BOURREAU (Charles-Eusèbe)

BOURREAU (François-Alphonse)

BOURSIN (Paul-Lucien)

BOURY (Milcar-Paul)

BOUSQUET (Jean)

BOUSSIN (Georges-Antoine)

BOUTARD (René-Constant)

BOUTAUD (Pierre-Léon)

1906

1910

1902

1914/18

1895

1916

1911

1898

1911

1914

1913

1908

1909

1914

1918

1909

1898

1915

1916

1917

1915

1916

1911

1906

1904

1917

1910

1911

1916

1908

1901

1913

1913

1898

1910

1913

1908

1899/01

1900

1913

1910

1903

1913

1912

1914




28 / 69


BOUTET (Armand-Célestin)

BOUTROU (Albert-Fernand)

BOUTTEFORT (Georges)

BOUZAT (Albert)

BOYER (Hippolyte)

BOZEC (Marcel)

BRACONNIER (Hippolyte)

BRAGARD (Pierre)

BRANCHEREAU (Simon-Julien)

BRANDSTETTER (Robert), E. V.

BRARD (Henri-Joseph)

BRASSANT (Lamé-Appolinaire)

BRAULT (Albert-François)

BRAULT (Ignace-Eugène)

BRAÜN (Jules-Henri)

BRAUNSCHWEIG (Robert)

BRAZÈS (Jseph-Thomas)

BRÉARD (Henri-André)

BRÉBION (Julien-Georges)

BRÉDIER (Abel-Pierre)

BRÉJOU (Jean-Frédéric)

BRENET (Arsène-Octave)

BRET (Sylvain-Félix)

BRETHEAU (Maurice-Alphonse)

BRÉTHOUS (Paul)

BRETON (Gabriel-Adrien)

BRETONNEAU (Maximilien-Henri)

BREUILLÉ (Louis-Wulfranc)

BREVET (René-Pierre)

BREYER (Georges-Victor)

BRIAIS (Louis-Victor)

BRIAND (Louis-Toussaint)

BRIAND (François-Joseph)

BRIÈRE (Armand-Hyacinthe)

BRIÈRE (Eugène-Georges)

BRIÈRE (Gustave-Victor)

BRION (Camille)

BRIOT (Charles-Émile)

BRISOLARY (Arthur-Henri)

BRISSARD (Joseph-Rosaire)

BRISSET (Adolphe-Georges)

BRISSON (Pierre)

BRISSONNEAU (Gustave-André)

BRIZARD (Louis-Jules)

BROCARD (Armand-Étienne)

1914

1916

1905

1918

1917

1911

1907

1918

1908

1914

1916

1900

1913

1911

1903

1908

1908

1913

1901

1910

1903

1900

1911

1914

1914

1900

1909

1914

1907

1911

1912

1901

1901

1900

1917

1909

1913

1912

1914

1902

1908

1912/13

1914

1912

1916

BROCARD (Émile-Joseph)

BROCHARD (Paul-Marie)

BROCHERION (Paul-Julien)

BROCHET (Clovis-René)

BROCHET (Louis-Victor)

BROCHON (Alfred-Eugène)

BRODIN (Lucien-Jules)

BROSSARD (Georges)

BROSSARD (Roland-Étienne)

BROSSE (René)

BROSSILLON (Marie)

BROUARD (Lucien)

BROUSSE (André-François)

BROUSSEAU (Robert-Félix)

BROUSSOULOUX (Jean-Marie)

BROUTIN (Fernand-Paul)

BRUCY (Henri-Pierre)

BRUGIER (Jean-Lucien)

BRULÉ (Albert-Marcel)

BRULÉ (Gaston-Alfred)

BRUN (Alexandre-Norbert)

BRUN (Léonce-Marcel)

BRUN (Paul)

BRUNAUD (Joseph)

BRUNEAU (Anatole)

BRUNEAU (Clément-Charles)

BRUNEAU (Louis-Maximilien)

BRUNEAU (Henri-Charles)

BRUNEAU (Henri-Émile)

BRUNEAU (Pierre-Alphonse)

BRUNET (Émile-André)

BRUNET (Louis)

BRUNIN (Marcel-Louis)

BRUNO (Adrien-Eugène)

BRUNOT (Victor)

BRUNETEAU (Barthélemy)

BU (Marcel-Henri)

BUCLIER (Camille-Émile)

BUJAU (Louis-Ludovic)

BURE (Constant-Pierre)

BUREAU (Maurice)

BURGER (Frédéric), E. V.

BURON (Moïse-Paul)

BURY (André-René)

BYACK (Léon)

1910

1908

1911

1916

1915

1918

1915

1914

1914

1914

1909

1916

1910

1900

1916

1910

1908

1911

1911

1916

1908

1911

1908

1911

1913

1895

1900

1901

1913

1906

1911

1903

1915

1908

1915

1913

1914

1916

1916

1900

1907

1918

1911

1912

1916




29 / 69


CABANEL (Alfred-Émile)

CADIOU (Jacques)

CADORNE (Eugène-Alexandre)

CADOT (Georges)

CAGNAT (Jules-Alexis)

CAILLAUT (Toussaint-Eugène)

CAILLEAU (Louis)

CAILLETTE (Marcel-François)

CAILLON (Léo-Émile)

CAIREY-REMONAY (François)

CAITUCOLI (Pascal)

CALAIS (César)

CALIBET (Albert)

CALLAULT (Adrien-Fernand)

CALLEWAERT (Albert)

CALLU (Delphin-Léopold)

CALMETTES (Fernand-Joseph)

CAMUS (Henri-Victor)

CAMUS (René-Sylvain)

CANCÉ (Maurice)

CANCEL (Jean-Jacques)

CANEZIN (Louis-Antoine)

CANTÉ (Gaston-Louis)

CANTET (Jean-Baptiste)

CANTIN (Hypolite-Henri)

CANTON (Henri)

CAPDEPONT (Victor-Jean)

CAPELLE (Paul-Éloi)

CAPY (Alfred-Louis)

CARAVEN (Louis-Henri)

CARDOLLE (François-Victor)

CARLIER (Albert-Désiré), E. V.

CARLOTTI (Charles-Jérôme)

CARNIS (Camille-Alphonse)

CARRAUD (Jean-Édouard)

CARREAU (Martel-Ferdinand)

CARRIGNON (Marceau-Gaston)

CARTON (Achille)

CASPER (Raymond-Paul)

CASTAGNIÉ (Georges-Édouard)

CASTANET (Georges)

CASTAIGNÈDE (Pierre)

CASTEL (Pierre-Marie)

CASTETS (François-Jean-Marie)

CATEL (Auguste-Octave)

1911

1911

1910

1909

1900

1908

1910

1910

1913

1907

1906

1900

1918

1901

1913

1900

1916

1904

1916

1914

1918

1911

1913

1900

1911

1914

1903

1914

1911

1908

1918

1914

1905

1900

1911

1906

1909

1898

1902

1915

1916

1903

1916

1902

1901

CATOR (Eugène-René)

CAUCHOIX (Albert-René)

CAUHAPÉ (Fernand-Louis)

CAVILLIER (Jacques-Jean)

CAVOIZY (Charles)

CAZAUX (Pierre)

CAZENAVE (Jean-Baptiste)

CAZENEUVE (Jean-Louis)

CETHAY (Isidore)

CÉLIBERT (Jean-Marie)

CEPPE (Eugène-Albert)

CERTAIN (Jean-Marie)

CERTEUX (Joseph-Alexandre)

CHABALLIER (Jean-Pierre-Marius)

CHABRIÉ (Jean)

CHABROL (René-Henri)

CHAILLOT (Constant-Eugène)

CHAILLOU (Eugène-François)

CHAILLOU (René-Georges)

CHAILLOU (Marcel)

CHAINAY (Maurice-René)

CHALAULT (Edmond-Émile)

CHALLIER (Georges-Louis)

CHALMEL (Clément-Marie)

CHALON (Basile-Hippolyte)

CHALUBERT (Georges)

CHAMAILLARD (Adrien-Joseph)

CHAMAILLARD (Maurice)

CHAMBAULT (Charles-Désiré)

CHAMBERT (Louis-Alexandre)

CHAMBLAS (Jean-Étienne)

CHAMPAGNE (Eugène-Pierre)

CHAMPEAUX (Théophile-André)

CHAMPION (Émile-Louis)

CHAMPION (Maurice-Fernand)

CHANDELILLE (Adrien)

CHANDOISEAU (Joseph-Paul-A.)

CHANGEUX (Henri-Julien)

CHANGEUX (Jules-Pierre)

CHANSARD (Marius-Jules), E. V.

CHANSARD (Gaston-André)

CHANSARD (Moïse-Valère)

CHANTOISEAU (Étienne-Désiré)

CHANUT (Eugénie)

CHAPELLIER (Louis)

1911

1910

1918

1916

1900

1910

1904

1917

1902

1916

1904

1913

1908

1918

1900

1912

1913

1916

1914

1908

1913

1913

1903

1913

1917

1909

1915

1916

1896

1916

1898

1901

1918

1914

1910

1910

1916

1911

1902

1915

1900

1903

1902

1914

1916




30 / 69


CHAPERON (Léon-Jean-Marie)

CHAPERON (Jean-Marie-Léon)

CHAPTAS ((Alphonse-Joseph)

CHAPUIS (Gaston)

CHAPUT (Louis)

CHARAMON (Alyse-Régina)

CHARAMON (Xavier)

CHARANTON (Gaston-Léon)

CHARAUDEAU (René-Georges)

CHARBONNEL (Antonin)

CHARDÈS (Hippolyte-Louis)

CHARDON (Albert-Marius)

CHARDON (Désiré-Louis)

CHARDON (Victor-Louis)

CHARDON (Rose-Auguste)

CHARLES (Georges-Auguste)

CHARPENTIER (Ernest-Clément)

CHARPENTIER (Henri-Célestin)

CHARREAU (Jean-Lucien)

CHARRETON (Albert)

CHARRON (Alcide-Augustin)

CHARRON (Alfred)

CHARRON (Marcel-Désiré)

CHARTIER (Arsène-Isidore)

CHARTIER (Jean-Ernest)

CHARTIER (Joseph-Louis)

CHARTIER (Louis-Léon)

CHARTRAIN (François-Auguste)

CHARTRAIN (Jules-Eugène)

CHARTRAIN (René-Jules)

CHASSAGNE (Fernand-Louis)

CHASSANY (Adrien)

CHASSINE (Marcel-Marie)

CHAT (Louis)

CHATAIN (François)

CHATEAU (Ferdinand)

CHATELAIN (Joseph)

CHATELET (Charles-Arthur)

CHATREFOU (Charles)

CHAUDEAU (André-Alexis)

CHAUFFERT (Georges-Léon)

CHAUMILLON (André-Georges)

CHAUSSEPIED (Albert)

CHAUSSEPIED (Ernest-Eugène)

CHAUSSEPIED (Henri)

1913

1913

1900

1910

1898

1897

1900

1909

1911

1915

1905

1917

1910

1911

1915

1912

1911

1915

1901

1914

1909

1916

1902

1903

1912

1912

1913

1915

1902

1909

1916

1918

1909

1899

1899

1908

1914

1908

1916

1909

1914

1911

1910

1911

1910

CHAUVEAU (Eugène-Henri)

CHAUVELIN (Rigobert)

CHAUVET (Abel-Marie)

CHAUVIÈRE (Armand-Paul)

CHAUVIGNÉ (Jean-Marie)

CHAUVIN (Aimé-Jules)

CHAUVIN (Georges-Alexandre)

CHAUVIN (Gustave-Jean)

CHAUVIN (Pierre-François)

CHAVAROCHE (Georges-Lucien)

CHAVIGNY (Louis-Joseph)

CHAZETTE (Jean-Eugène)

CHEMINANT (Louis-François)

CHEMLA (Édouard-Chaluan)

CHENAIS (Raymond-Georges)

CHENAUD (Léon-Adolphe)

CHENAULT (Camille-Émile)

CHENAULT (Marcel-Louis)

CHENAULT (Valère-Charles)

CHENET (Louis-Jules)

CHÉRAMY (Désiré)

CHÉREAU (François)

CHÉRET (Julien-Joseph)

CHÉROUTE (Louis-Albert)

CHÉROUVRIER (Eugène-Jules)

CHERRIER (Aristide)

CHESNAIS (Victor-Jules)

CHESNEAU (Louis-François)

CHESTIER (Joseph-Sylvain)

CHÉTAIL (Charles-Louis)

CHEVALIER (Eugène-Louis)

CHEVALIER (René)

CHEVALLIER (Constant)

CHEVALIER (Georges-Alfred)

CHEVEREAU (Georges-Albert)

CHEVRÉ (René-Eugène)

CHEVRIER (Pierre-Louis)

CHEVY (Hilaire)

CHÉZIÈRES (Louis-Adolphe)

CHICAUD (Étienne)

CHOLET (Pierre-Victor)

CHOLIÈRE (Fernand-Célestin)

CHOLLET (Camille-Marie)

CHOLLET (Jules-Célestin)

CHOPPIN (Marcel-Désiré)

1918

1910

1896

1915

1913

1913

1906

1909

1912

1910

1900

1913

1913

1917

1916

1914

1912

1909

1910

1914

1915

1903

1913

1906

1908

1911

1913

1913

1909

1910

1913

1910

1913

1906

1898

1909

1902

1902

1913

1897

1915

1910

1917

1910

1914




31 / 69


CHRÉTIEN dit COTEL (A.-Alph.)

CHRÉTIEN (Louis-Armand)

CLAMENS (Marius-Antoine)

CLARENS (Abel-Jean)

CLAUDE (Paul-Émile)

CLAUDE (Louis-Emmanuel)

CLAVÉ (Julien-Louis)

CLAVÉ (Noël-Armand)

CLAVE (Louis-Joseph)

CLAVERIE (Laurent-Jean)

CLÉMENCEAU (Georges-Théo.)

CLÉMENT (Georges-Robert)

CLERC (Paul-Félix)

CLÉREMBAULT (Louis-Baptiste)

CLITEUX (Abel-Marcel)

CLOLUS (Charles-Alcide)

CLOQUETTE (Henri-Édouard)

CLOUET (James-Constant)

CLOURY (Camille-L2on)

COCHARD (Paul-Gaston)

COCHOIS (Jules-Louis)

COCHONNEAU (René-Albert)

COCU (Lucien)

CODOL (Marius-Henri)

COGÉ (Jean-Marie-Armand)

COIGNARD (Émile)

COINTAULT (Lucien)

COL (François-Gustave)

COLADANT (Marcel-Joseph)

COLARD (Auguste-Delphin)

COLAS (Auguste)

COLAS (Émile-Joseph)

COINSE (Marius)

COLIN (Charles-Ernest)

COLLEAUX (Julien-Marie)

COLLET (Louis-Albert)

COLLIER (Louis-Julien)

COLLIN (Alexandre-Marius)

COLLIN (Charles-Alexandre)

COLLIN (Eugène-Léon)

COLUMEAU (Marcel-Eugène)

COLOMIES (Jules-Marie)

COMBI (Justin)

COMMÈRE (François-Eugène)

CONAN (Ferdinand)

1908

1905

1917

1918

1914

1914

1910

1908

1903

1918

1917

1903

1909

1915

1914

1913

1908

1914

1908

1913

1897

1910

1915

1903

1913

1912

1909

1908

1901

1908

1913

1913

1917

1909

1911

1908

1901

1909

1909

1908

1905

1918

1917

1901

1911

CONSTANTIN (Pierre)

COQUEMARD (Joseph-Alfred)

CORBEAU (Armand-Alfred)

CORBEL (Jean-Marie)

CORBIÈRES (Gustave)

CORBON (Edmond-Paul)

CORDIER (Louis-Germain)

CORNEILLE (Paul-Louis)

CORNICHON (Fernand)

CORNU (Émile)

CORPORON (Léon-Élie)

COSSET (Henri)

COSSON (Fernand-Louis)

COT (Octave-Henri)

COTHEREAU (Jules-Maurice)

COTTÉ (Georges-Léon)

COUDRAY (Pierre-Marie)

COUESPEL (Henri-Mathurin)

COUFFRANT (Benjamin-René)

COUINEAU (Louis)

COULET (Eugène-Paul)

COULON (Marcel)

COULEYON (Joseph)

COULON (Théophile)

COURBE (Fernand-Émile)

COURDUAN (Francisque)

COURSINAULT (Léon-Xavier)

COURTAULT (Firmin-Silvain)

COURTAULT (René-Eugène)

COURTELLEMONT (Arm.-Simon)

COURTÉS (Lucien)

COURTIN (Jacques-Louis)

COUSIN (Alexandre-Alexis)

COUSSON (Vital)

COUTAN (Jules)

COUTANT (Adolphe-Théodore)

COUTANT (Robert-Fernand)

COUTARD (Georges-Marcel)

COUTÉ (Raymond-Louis)

COUTIÈRE (Ernest-Sylvain)

COUTOUX (André-Joseph)

COUTURE (Georges-Eugène)

COUTURE (Georges-Gaston)

COUTURIER (Pierre-Alexandre)

COYAUD (Aimé)

1910

1895

1917

1914

1912

1898

1903

1912

1904

1909

1900

1906

1912

1918

1915

1915

1911

1911

1904

1909

1911

1917

1910

1913

1912

1900

1906

1910

1912

1900

1900

1914

1914

1913

1906

1900

1918

1915

1905

1903

1915

1911

1909

1913

1913




32 / 69


CRAMONE (Abel-Fernand)

CRAMPÉ (Jean-Louis)

CRAMPÉ (Dominique-Jean)

CRAPEAU (Raoul-Désiré)

CRAPEL (Henri)

CRAS (Léon-Fernand)

CRÉPIEUX (Edmond)

CRESPEAU (Georges-Albert)

CREVEAU (Aristide-Isidore)

CRESSENT (Albert)

CROCHET (Jules-Henri)

CROIX (Sylvain)

CROSNIER (Camille-Auguste)

CROSNIER (Hyacinthe-Albert)

CROTET (Maurice)

CUISSOT (René-Édouard)

CULIOLI (Paul-Xavier)

DABARD (Joseph-Maurice)

DACHER (Antonin-Louis)

DAGNEAU (René-Louis)

DAILLAND (Étienne)

DAMOIS (Marcel)

DAMON (Gabriel-Louis-Félix)

DANDOL (Jean-Louis)

DANDRIEUX (Maurice-Jacques)

DANET (Jean-Marcel)

DANGEL (Auguste)

DANGEY (Pierre)

DANIEL (Pierre)

DANTON (Émile-Vincent-Marie)

DANTAGNAN (Norbert-Jules-M.)

DANTHU (Eugène-Armand)

DARAUX (Jean-Marie)

DANTAN (Albert-Eugène)

DARBAS (Antonin-Raymond)

DARBAUD (Jean-Eugène)

DARCQ (Moïse)

DARDELAY (Désiré-Stanislas)

DARGENTON (Georges-Victor)

DARIÈS (Jean-Gaston)

DARLAN (Pierre)

DARNAULT (Antonin)

DARRÉ (Jean-Émile)

DARRIEAU (Joseph)

DARROUX (Jean)

1908

1910

1905

1900

1910

1910

1910

1910

1900

1916

1915

1901

1904

1900

1912

1912

1908

1912

1912

1912

1910

1916

1909

1911

1912

1913

1915

1904

1911

1911

1918

1909

1918

1909

1908

1904

1909

1908

1900

1918

1901

1917

1913

1912

1911

DASTÉ (Henri-François)

DATHÉE (René-Eugène)

DAUBERT (Flavien-Charles)

DAUBERT (Léon-Joseph)

DAUBIGEON (Pierre-René)

DAUBIGNARD (Eugène-Louis)

DAUCHY (Victor-Henri)

DAUDÉ (Henri-Edmond)

DAUDIN (Armand-Frédéric)

DAUDIN (Vincent-Yvan)

DAUPHIN (Georges-Clovis)

DAUVEL (Eugène)

DAVALO (Louis-Marie)

DAVEAU (Théophile-Eugène)

DAVID (Augustin)

DAVID (Eugène-Auguste)

DAVID (Henri)

DAVID (James)

DAVID (Joseph-Henri)

DAVOINE (Alfred-Albert)

DAVY (Jean-Marie)

DAYMARD (Fernand-Eugène)

De BLONAY (Louis-Roger)

De BOUSSIGNAC (Henri-Marie)

DEBRAY (Octave-Émile)

DEBRUÈRES (Léonce-Henri)

DECHEZLEPRÊTRE (Georges-P.)

DECKERT (Joseph)

DÉCOMPS (Jules)

DECOS (Paul-Clément)

DECOSSE (Léon-Jules)

DEDIEU (Raymond-Joseph)

DEFRANCISCO (Paul-Henri)

DEGARNE (Virgile-Julien)

DEIFFEL (Eugène-Henri)

DELACHENAL (Jean-Marie)

DELAGE (Alcide)

DELAHAYE (Félix-Henri)

DELAIN (Paul-Abel)

DELAINÉ (Loïs-Georges)

DELAIRE (Octave-Désiré)

DELALANDE (Désiré-Louis)

DELALANDE (Émile)

DELALANDE (Pierre-Marie)

DELALANDE (François-Rustique)

1918

1912

1910

1905

1903

1910

1906

1905

1910

1916

1903

1907

1911

1913

1898

1912

1916

1917

1904

1903

1913

1914

1910

1907

1913

1911

1905

1911/18

1918

1909

1907

1918

1909

1908

1907

1908

1906

1908

1900

1912

1901

1909

1906

1911

1904




33 / 69


DELANEAU (Émile-Auguste)

DELANOÉ (Eugène-Louis)

DELARUE (Camille-Émile)

DELAS (Alexandre-Jules)

De LA SELLE de LIGNÉE (A.-M.)

DELAUNAY (Hubert)

DELAVA (Lucien)

DELAVEAU (André)

DELAVILLE (Raoul-Albert)

DELAVILLE (Raymond)

DELBOSE (François)

DELCROIX (Pierre-Joseph)

DELÉCHENEAU (Jacques-Octave)

DELÉPINE (René)

DELÉTANG (Louis-Auguste)

DELETANT (Théodule-Arsène)

DELHOMMAIS (Alfred)

DELMAS (Joseph-François)

DELMONT (Joseph-Fernand)

DELMOTTE (Augustin-Henri)

DELMOTTE (Édouard-Louis)

DELOBEL (Achille-Léon)

De LORENZO (Maxime)

DELORME (Armand)

DELPECH (Léon)

DELPLACE (Gaston-Louis)

DELPORTE (Fernand-Léonce)

DELTOUR (Paul-François)

DEMAISON (Georges-Constant)

De MARTEL de JANVILLE (Geoffroy-Gaston)

DEMONAZ (Lucien)

DEMOPHOND (Maurice-Raphaël)

DENEL (Alexandre)

DENIAU (Gabriel-Omer)

DENIOT (Eugène-Auguste)

DENIS (Alfred)

DENIS (Camille-François)

DENIS (Charles)

DENIS (Fernand-Émile)

DENIS (Georges-Paulin)

DENIS (Roger)

DENIS de SENNEVILLE (Guy-Mar.)

D’ENNETIÈRES (René-Ernest)

DEPEINT (Léon-Georges)

1918

1911

1901

1900

1901

1916

1916

1906

1910

1912

1918

1910

1913

1909

1908

1913

1912

1918

1914

1895

1911

1914

1906

1899

1918

1919

1904

1919

1903

1913

1908

1913

1905

1900

1910

1904

1904

1916

1913

1900

1913

1915

1907

1913

DERANCOURT (Charles-Rémy)

DERAY (Albert-Arthur)

DERENNES (Joseph-Marie)

De ROCQ (Maurice-Albert)

DEROIN (Émile)

DERÔME (Désiré-Simon)

DÉRON (Octave-Henri)

DEROUIN (Camille-Irénée)

DEROUIN (Victorien-Pascal)

DEROUX (Georges-Marcel)

DERRÉ (Hubert-Henri)

DESCAT (Jean)

DESCAMPS (Édouard)

DESCHAMPS (Henri-Marcel)

DESCHAMPS (Jules)

DESCHAMPS (Lucien-Benjamin)

DESCHAMPS (Roger-André)

DESFONDS (Régis-Auguste)

DESGRONAS (Adonis-Maurice)

DESHAYES (Léon-Alfred)

DÉSILES (Moïse)

DESLANDES (Marcel-Charles)

DESLAURIERS (Paul)

DESMORTIER (Germain)

DESPIAU (Abel-Noé)

DESPIERRES (Gaston-Paul)

DESPLAT (Henri-Louis)

DESSAUSÉDATS (Philippe-Marius)

DESSIS (René-Albert)

DESROCHES (Julien)

DESROCHES (Gaston-Désiré)

DETHOREY (Émile-Pierre)

DÉTIANGE (Paul-Marcel)

DESTOUCHE (Paulin)

DEVAUX (André-Paul)

DEVAUX (Paul-Louis)

DEVERGE (Valère-Adonis)

DEVILLERS (Léon-Victor)

DEVILLERS (Louis-Auguste)

DEVILLERS (Henri)

DEVIRGILLE (Henri-Fernand)

DEYANS (Henri-Jean)

DHOUET (Marcel)

DIARD (Pierre-Édouard)

DIBOINE (Joseph)

1917

1914

1914

1912

1903

1900

1913

1912

1909

1911

1910

1910

1908

1917

1906

1912

1917

1917

1913

1911

1914

1916

1900

1903

1918

1908

1918

1904

1918

1911

1905

1905

1917

1907

1914

1912

1912

1911

1906

1904

1902

1908

1913

1901

1910




34 / 69


DIÉBOLT (Charles-Eugène)

DIGUET (Adrien)

DIGUET (René)

DIJOUX (Louis-Paul)

DINDAULT (Jacques-Ulysse)

DINET (Célestin-François)

DINOUARD (Urbain-Nestor)

DIODONAT (Cyprien)

DION (Robert-Arthur)

DODET (Paul)

DOLLÉ (Robert-Georges)

DOMALAIN (Narcisse)

DOMECQ (Auguste)

DOMENGE (Jean)

DOMPIÉTRINI (Pascal-Antoine)

DORMAL (Ludovic)

DORON (Léopold-Aimé)

DOUARD (Jean-Baptiste)

DOUAT (Émile)

DOUCET (François-Ernest)

DOUCET (Germain)

DOUELLE (Henri)

DOUET (jean)

DOUIS (Georges)

DOURU (Antonin)

DOUSSET (Marcel)

DOUSSET (Raymond)

DOUSSINEAU (Edgard)

DOUZILLE (Gabriel)

DOYEN (Édouard)

DRESCO (Paul)

DREUX (Georges)

DROUARD (Eugène)

DROUILLOT (René)

DRUGEAULT (Paul)

DRUT (Laurent)

DUBERNARD (Jean)

DUBOIS (Armand)

DUBOIS (Arsène)

DUBOIS (Charles)

DUBOIS (Joseph)

DUBOIS (Raoul)

DUBOIS (René)

DUBOR (Albert)

DUBRAY (Lucien)

1908

1912

1912

1909

1910

1916

1914

1910

1910

1900

1913

1911

1903

1898

1913

1916

1908

1914

1918

1909

1904

1905

1908

1905

1909

1909

1909

1905

1912

1904

1912

1909

1913

1913

1914

1910

1917

1914

1908

1898

1909

1912

1909

1907

1912

DUBREUIL (René)

DUCARRÉ (Jean)

DUCASSÉ (André)

DUCASSE (Jules)

DUCHÈNE (Désiré)

DUCHER (Élie)

DUCONGÉ (François)

DUCOUT (Joseph)

DUCRET (Eugène)

DUCROCQ (Raymond)

DUCRUIT (Claude)

DUFAYET de LA TOUR (Jean)

DUFFAU (Émile)

DUFFIER (Octave)

DUFOUR (Georges)

DUFRESNE (Louis)

DUGAST (Prudent)

DUFOUR (Victor)

DUHAIL (Gaston)

DUJON (Antoine)

DULION de LAUNOIS (Stephen)

DUMAS (Marcel)

DUMAS (Aristide)

DUMET (Pierre)

DUMIOT (Fernand)

DUMONT (Henri)

DUNY (Georges)

DUPAS (René)

Du PASQUIER (Jehan)

DUPIN (Alphonse)

DUPINET (François)

DUPONT (Joseph)

DUPRAT (François)

DUPRAT (Théophile)

DUPRÉ (Daniel)

DUPRÉ (Gaston-René)

DUPRÉ (Gaston)

DUPRÉ (Henri)

DUPUCH (Gaston)

DUPUIS (Clotaire)

DUPUY (Maurice)

DUPUY (Octave)

DUPUY (Pierre)

DUPUY (Raoul)

DUQUESNE (Gabriel)

1907

1910

1918

1901

1903

1904

1899

1893

1909

1906

1904

1917

1918

1903

1904

1909

1909

1909

1917

1917

1906

1912

1901

1917

1916

1908

1914

1913

1917

1918

1904

1913

1918

1913

1913

1906

1914

1904

1911

1910

1910

1913

1901

1913

1914




35 / 69


DURAND (Arthur)

DURAND (Auguste)

DURAND (Clotaire)

DURAND (Georges)

DURAND (Georges)

DURAND (Georges)

DURAND (Eugène)

DURAND (Félix)

DURAND (Octave)

DURPAIRE (Léopold)

DURQUETY (Henri)

DUSSASSOIS (Albert)

DUSSEAU (Pierre)

DUSSILLOL (Henri)

DUSSIN (Rémi)

DUTARTRE (Eugène)

DUVAL (Zéphirin)

DUVET (Eugène)

DUVERNOY (Edmond)

DUVIGNEAU (Pierre)

ECHARD (Alphonse-Louis)

EMBRY (Alphonse-Jean)

ÉMILE (Raoul)

EMPEYRON (Albert-Vital)

ENAULT (Paul-Frédéric)

ENAY (Félix-Constant)

ENFER (Guy-Édouard)

ÉPIPHANE (Louis)

ÉPRINCHARD (Edmond)

ESPAGNE (Jean)

ESQUERRE (Romain-Pascal)

ESTÈVE (Jean-Gabriel)

ESTRADE (Paul)

ETHAIN (Charles)

ÉTIEN (Clovis-Jean)

ÉTINEAU (Fulbert)

EUGELVIN (Alban-Théophile)

ÉVEILLARD (Georges-Aimé)

FABRIES (Laurent-Julien)

FAGÈS (Fernand-Henri)

FAGUERET (Louis-Auguste)

FALAVANTOUR (Roger-Charles)

FARGEAUD (Jean)

FARGUE (Pierre)

FARNAULT (Émile-Georges)

1905

1912

1912

1909

1912

1900

1900

1906

1905

1902

1903

1910

1918

1913

1907

1913

1908

1914

1913

1918

1900

1917

1909

1918

1913

1913

1917

1912

1913

1906

1910

1910

1917

1910

1906

1909

1918

1918

1918

1918

1909

1913

1903

1899

1900

FASSOT (Octave-Armand)

FAUCHEUX (Joseph-Louis)

FAUCONNEAU (Étienne)

FAURÉ (Noël-Auguste)

FAURY (Paul)

FAUVIN (René-Eugène)

FAVARD (Paul-Maurice)

FAVERJON (Gérard-Maximilien)

FAVREL (Anatole-Oscar)

FAVRICHON (Claude)

FELLMANN (Jean-Émile)

FÉRARD (François-Alfred)

FERRAN (Justin-Guillaume)

FERRAND (André)

FERRAND (Charles-René)

FERRAND (Gaston-Marie)

FERRAND (Victor)

FERRASSE (Jean-Marie)

FERRET (Marie-Henri)

FERRIER (Paul-Aurélien)

FERRU (Adrien)

FERRY (Robert-Victor)

FESNEAU (Louis-Raymond)

FESNIÈRES (Valérien-Joseph)

FEUFEU (Louis-Henri)

FEUILLATRE (Albert-Désiré)

FEUILLAS (Gaspard-Émile)

FICHET (Hildebert-Alphonse)

FICHET (Abel-Hilaire)

FILLASTRE (Robert-Léon)

FILLION (Maurice-Charles)

FILLON (Fernand-Léopold)

FILLON (Grégoire-Gaspard)

FIRMIN (Alexandre)

FISCHER (Edmond-Pierre)

FIX (Léon-Alexandre)

FLÈCHE (Joseph-Louis)

FLEURENTIN (Alfred-Antoine)

FLEURET (Aristide)

FLEURIAU (Eugène-Silvain)

FLEURIER (Ovide-Charles)

FLEURY (Arsène)

FLEURY (Paul)

FLOQUET (Fernand-Louis)

FLORENCE (François-Jean)

1896

1912

1903

1917

1912

1908

1909

1906

1904

1916

1905

1907

1918

1908

1913

1914

1909

1908

1902

1908

1913

1901

1910

1910

1912

1905

1910

1907

1913

1916

1917

1913

1906

1890

1908

1905

1915

1905

1911

1912

1913

1889

1901

1910

1897




36 / 69


FLORENCE (Léon-Joseph)

FOCH (Germain-Jules)

FOHRER (Georges)

FOISSEAU (Frédéric)

FONTAINE (André)

FONTAINE (Fernand-Henri)

FONTAINE (Léopold-Théodore)

FONTBOSTIER (Benoît-Baptiste)

FONTENY (Jules-Eugène)

FOREST (Alcide-Albert)

FORGET (André-Marcel)

FORHAN (Clotaire-Émilien)

FORT (Louis)

FORT (Louis)

FORTEAU (René-Alphonse)

FORTIER (Armand-Alphonse)

FORTIN (Eugène-Désiré)

FORTIN (Robert-Georges)

FOSSARD (Maurice-Félix)

FOUQUÉ (Henri-Georges)

FOUQUEREAU (Albert-Léon)

FOUQUEREAU (Norbert-Théod.)

FOUQUET (Alphonse-Armand)

FOURAGE (Albert-Eugène)

FOURCADE (Paul-Joseph)

FOURNAND (Julien-Silvain)

FOURNIER (François)

FOURNIER (Georges)

FOURNIER (Louis-Marcel)

FOURNIER (Maxime)

FOURNIER (Marcel)

FOURNIER (Pierre-Marius)

FOURRÉ (Émile)

FRADET (Alcide)

FRAIGNAUD (Armand)

FRANC (Élie)

FRANCE (Emma-Ernest)

FRANCHET (Georges)

FRANCHET (André-Victor)

FRANCHEL (Mayer)

FRANÇOISE (Léon-Alfred)

FRAPPIN (Maurice-Paul)

FRASSON-MARIN (Claude)

FRAUDEAU (Auguste)

FRÉBAULT (Abel-Jean)

1897

1909

1908

1913

1918

1914

1910

1908

1903

1901

1913

1910

1918

1913

1911

1909

1914

1910

1914

1901

1907

1913

1909

1912

1900

1910

1912

1908

1912

1910

1910

1916

1905

1913

1913

1917

1899

1910

1913

1908

1908

1917

1906

1913

1912

FRÉMON (Louis-Valentin)

FRESNAY (Victor-Arsène)

FREYBURGER (Émile)

FREYRIE (Marius-Albert)

FRICHER (Lucien-Armand)

FRIDOLIN (Gaston-Robert)

FRIOT (Octave-Philibert)

FROMENTIN (Marcel-Charles)

FRONTANEAU (Clément-Marius)

FRUMENT (Célestin-Eugène)

FURET (Marcel-Émile)

FURET (Lucien-Gaston)

FUSEAU (André-Émile)

FUSELLIER (Louis-Marie)

FUSIL (Georges-Louis)

GABEREAU (Georges-Albert)

GABILLÉ (Ferdinand-Louis)

GABILLET (Auguste-Georges)

GABRIEL (Eugène)

GACON (Louis-Yves)

GAGNAIRE (Fernand)

GAGNARD (Louis-Pascal)

GAGNON (Désiré)

GAGNON (George-Maurice)

GAHÉRY (Joseph-Robert)

GAILLARD (Ernest-Clément)

GAILLARD (Raoul-Jean)

GAINIER (Georges-Louis)

GAINIER (Georges-Marie)

GALBRUN (Constant-Georges)

GALDEMARD (Léon-René)

GALICHET (Georges-Philippe)

GALINAND (Camille-Martin)

GALLAIS (Louis-Auguste)

GALLIANO (Pierre-Maurice)

GALLIER (Henri-Joseph)

GALLIER (Louis-Lazare)

GALLIER (Maurice-Irénée)

GALLON (Augustin)

GALMARD (Lucien-Victor)

GALY (Aristide-Marius)

GALY (Henri)

GAMET (Eugène-Ernest)

GANDRILLE (Jules-Anatole)

GANGLOFF (Eugène)

1912

1904

1905

1911

1910

1913

1913

1898

1918

1901

1909

1914

1913

1900

1909

1909

1912

1913

1902

1913

1913

1908

1912

1908

1916

1916

1907

1902

1908

1916

1913

1902

1901

1913

1905

1909

1896

1906

1909

1913

1918

1917

1902

1909

1902




37 / 69


GANGNERY (Léon-Charles)

GANGNEUX (Alcide-Albert)

GANSSER (Paul-Émile)

GARDENET (Jean-Baptiste)

GARENTE (François-Joseph)

GARGOT (Alcide-Auguste)

GARNIER (Adrien(Fernand)

GARNIER (Paul-Arthur)

GARNIER (Victor-Louis)

GAROUSTE (Georges)

GASNAULT (Louis-Joseph)

GASNAULT (Paul-Marie)

GASSON (Henri-Mathias)

GASTINEAU (Henri-Alphonse)

GASTON (Charles)

GATARD (Moïse-Omer)

GATINEAU (Henri-Sylvain)

GAUBERT (Maximin-Émile)

GAUCHARD (Théomède)

GAUCHER (Eugène)

GAUCHER (Georges-Arthur)

GAUCHET (Louis-Auguste)

GAUCHET (Raymond-François)

GAUDIN (Pierre-Sulpice)

GAUDRY (Louis-Alexandre)

GAUGUÉ (Louis-Georges)

GAUJARD (Jules-Eugène)

GAULON (Henri-Georges)

GAULTIER (Félix)

GAURON (Auguste-Paul)

GAUTHIÉ (Paul-Antoine)

GAUTHIER (Julien-Désiré)

GAUTHIER (Marcel-Léon)

GAUTHIER (Raymond-Édouard)

GAUTHIER (René-Félix)

GAUTIER (Fernand-Ernest)

GAUTIER (Honoré-Ferdinand)

GAUTIER (Maurice-Arthur)

GAUTRON (René-Pierre)

GAUTRON (Robert-Paul)

GAUVOIN (Robert-Gabriel)

GAY (Émile-Louis)

GAY (Marcel-Auguste)

GAZALE (Abel-François)

GAZANNOIS (Charles-Georges)

1911

1908

1913

1906

1901

1913

1914

1906

1909

1910

1904

1908

1894

1909

1917

1913

1902

1913

1910

1900

1900

1903

1903

1916

1913

1905

1910

1900

1913

1906

1910

1902

1915

1908

1910

1913

1900

1912

1909

1908

1916

1917

1917

1900

1917

GÉAN (Almire-Eugène)

GEAY (Léon-Raoul)

GELIN (Antonin)

GELINKA (Louis-Eugène)

GELPI (Henri-Paul)

GÉNARD (Roger-Auguste)

GENETTE (René-Antoine)

GENIN (Louis-Alexandre)

GENEVELLE (Albert-Jules)

GENOU (Adelmar-Oscar)

GEORGES (Charles-Henri)

GEORGES (Constant)

GEORGET (Raphaël-Camille)

GEORLIN (Justin-Ulysse)

GÉRARD (René-Adolphe)

GERBEAU (Pierre-Louis)

GERMAIN (Adrien)

GERMAIN (Léon-Gaston)

GÉRON (Raymond)

GERPHAGNON (Claude-Michel)

GERPHAGNON (Marcellin)

GERVAIS (Maurice)

GESCHICKT (Émilien)

GÉZAULT (Justin-Sylvain)

GIBOIN (Armand)

GIBOURET (Clément-Étienne)

GIDON (Louis)

GIGOI (Gabriel-Louis)

GILBERT (Daniel)

GILBERT (Émile-Louis)

GILLES (Gustave-Adolphe)

GILLES (Pierre)

GILLET (Albert-Aurélien)

GILLET (Gustave-Arthur)

GILLET (Raymond-Louis)

GILLON (Georges)

GILLOT (Léon-Marcel)

GILTAT (Henri-Marie)

GIMONET (Maurice-Lucien)

GIQUELLO (Charles-Gaston)

GIRARD (Edmond-Alphonse)

GIRARD (Édouard-Achille)

GIRARD (Louis)

GIRARD (Marc-Henri)

GIRARD (Octave)

1904

1913

1900

1909

1904

1913

1913

1896

1908

1914

1914

1913

1915

1901

1901

1898

1903

1913

1909

1917

1917

1913

1913

1908

1902

1901

1910

1914

1913

1906

1913

1901

1900

1907

1905

1917

1915

1910

1914

1911

1902

1912

1910

1913

1909




38 / 69


GIRAUD (Joseph)

GIRAUD (Roger-Louis)

GIRAULT (Edmond)

GIRAULT (Fernand-Jules)

GIRAULT (Isaïe-Daniel)

GIRAULT (Marcel)

GIRAULT (Victor-Emmanuel)

GIRAUX (Ernest-Armand)

GIRODIT (Marius-Hippolyte)

GIROGUY (Désiré-Alcide)

GIRONNET (Adrien-Constant)

GIRONNET (Léopold-Louis)

GISLAIN (Marcel-André)

GLAIN (Eugène-Georges)

GLATRE (Camille-Charles)

GOBLET (Marcel-Louis)

GODARD (André-Philippe)

GODARD (Paul-Julien)

GODEAU (René-Valentin)

GODEFROY (Abel)

GODIN (Louis-René)

GODIN (Maurice)

GODU (Adrien-Alfred)

GOGET (Maurice-Gaston)

GOGLU (Léon-Charles)

GOIMIER (Théophile)

GOINEAU (Sylvain-Auguste)

GOISLARD (Auguste-Louis)

GOMBAULT (Gaston-Albert)

GOMMIER (Henri-Alcide)

GONDOUIN (Adrien)

GONNEAU (Alphonse)

GONNEAU (Joseph-Eugène)

GONTARD (Maurice)

GODIN (Louis)

GONTIER (Abel-Henri)

GORON (André-Gabriel)

GORON (Paul-Gustave)

GOUACHE (André-Jules)

GOUILLÉ (Pierre-Clément)

GOUILLON (Louis-Anselme)

GOUJON (Maurice-Louis)

GOULET (Émile-Georges)

GOUPY (Laurent-Alphonse)

GOURDON (Pierre-Jean-Baptiste)

1900

1909

1913

1913

1913

1909

1909

1900

1914

1894

1909

1903

1915

1913

1903

1909

1911

1916

1913

1913

1905

1913

1913

1903

1908

1913

1904

1908

1912

1898

1909

1913

1913

1903

1908

1915

1915

1915

1916

1913

1900

1915

1913

1916

1915

GOURLAY (Henri)

GOURON (Louis-Anatole)

GOUTTE (Maurice-Georges)

GOUZON (Jules)

GOYEAU (Casimir)

GOUYET (Marc)

GRABOT (Édouard-Fernand)

GRAFF (Adolphe), E. V.

GRAFFIN (Albert-Germain)

GRANDIN (Ernest-Victor)

GRANDJEAN (Lucien)

GRANET (Jean-Baptiste)

GRANDPRÉ (François)

GRANJENT (Paul)

GRAS (Claudius)

GRASSIN (Émilien-Léon)

GRATTEAU (Fernand-Édouard)

GRAULE (Eugène)

GRAUX (Gabriel)

GRAUX (Georges-Auguste)

GRELLET (Abel-Basile)

GREMILLON (Alphonse)

GRENADAU (Albert-Charles)

GRENIER (Alphonse-Gabriel)

GRENIER (Louis)

GRENIER (Raoul)

GRESAULÉ (Camille-Albert)

GRIFFAULT (Alfred)

GRIFFOL (Alexandre-Eugène)

GRILLON (Gaston-Désiré)

GRILLON (Louis)

GRIMAUD (Pierre)

GRISON (Amédée-Ernest)

GRIVEAU (Anselme)

GRIVEAU (Eugène)

GROGNET (Clément)

GROSBOIS (Camille-André)

GROSBOIS (Louis-Pierre)

GROSBOIS (René-Étienne)

GROSBOIS (Gaston-Charles)

GROSBOIS (Henri)

GROSHEUS (Henri-Pierre)

GROULT (Charles)

GRUIN (André-Paul)

GUDIN (Eugène)

1906

1908

1911

1901

1916

1916

1908

1900

1914

1902

1907

1902

1908

1903

1917

1917

1913

1909

1918

1902

1908

1913

1915

1905

1913

1908

1913

1913

1900

1900

1914

1913

1894

1900

1899

1909

1913

1917

1917

1912

1908

1916

1906

1912

1903




39 / 69


GUÉDON (André-Xavier)

GUÉNARD (Julien-Joseph)

GUÉNARD (Marcel-André)

GUÉNAULT (Gabriel)

GUÉNIER (François-Julien)

GUÉRIAU (André-Gustave)

GUÉRIDON (Sylvain-Paulin)

GUÉRIN (Alfred)

GUÉRIN (Camille-Adrien)

GUÉRIN (Charles-Georges)

GUÉRIN (Charles-Henri)

GUÉRIN (Émile-Sylvain)

GUÉRIN (Ernest-Désiré)

GUÉRIN (Georges-Gabriel)

GUÉRIN (Jean-Pierre)

GUÉRIN (Joseph-Louis)

GUÉRIN (Marcel-André)

GUÉRIN (Marcellin)

GUÉRIN (René-Joseph)

GUERRIER (Camille)

GUERTIN (Gaston-Florent)

GUESTAULT (Sylvain-Auguste)

GUICHARD (Henri-Georges)

GUICHARD (Octave)

GUIDOT (Louis-Eugène)

GUIGNÉ (Bienaimé)

GUIGUIN (Joseph-Ulysse)

GUIHO (Jean-Louis)

GUILLAUD (Gabriel)

GUILLAUT (Marius-André)

GUILLEMET (Armand-Paul)

GUILLEMET (Émile-Félix)

GUILLET (Maurice-Henri)

GUILLET (René-Élie)

GUILLOIS (Henri-Joseph)

GUILLON (Armand-Cyrille)

GUILLON (Louis-Fernand)

GUILLONNEAU (Émile-Alphonse)

GUILLOT (Louis)

GUILLOT (Raymond-Athanase)

GUILLOT (Valentin-Abel)

GUILLOTEAU (Maurice-Pierre)

GUILLOTIN (Henri-Ernest)

GUILLON (Pierre)

GUILPAIN (Louis-Désiré)

1900

1904

1916

1913

1916

1907

1909

1909

1916

1910

1900

1901

1913

1913

1910

1909

1910

1913

1908

1893

1913

1913

1905

1913

1913

1916

1902

1910

1913

1911

1904

1914

1913

1911

1908

1901

1907

1908

1910

1905

1900

1910

1900

1913

1904

GUILPIN (Albert)

GUINIER (Daniel-Raymond)

GUINOIS (Léon-Désiré)

GUIOCHEAU (Maurice-Jules)

GUION (Pierre-Charles)

GUIRAUD (Raymond)

GUISNET (Georges-Abel)

GUYARD (Henri-Alfred)

GUYARD (Léon-Désiré)

GUYMON (Camille-Paul)

GUYON (Paul-Alfred)

GUYOT (Césaire-Louis)

HABERT (Henri-Gaston)

HABERT (Joseph-Octave)

HALGRIN (Edmond-Louis)

HALLET (Émile-Octave)

HALLOUIN (Marie-Herménegil.)

HAMEAU (Achille-Victor)

HAMEL (Gabriel)

HAMOND (Toussaint-Jules)

HAMONNIER (Roger-William)

HARANG (Pierre-Eugène)

HARDILLIER (Armand-Ernest)

HARDOUIN (Isaïe)

HARDY (Paul-Eugène)

HARRANG (Léon-Julien)

HARRANGER (Joseph-Marc)

HARRY (Georges-Alfred)

HAUDEBOURG (Ferdinand-Maxim.)

HANER (Alfred)

HAUGUEL (Gustave-Henri)

HAURE (Pierre)

HAYEM (René)

HEBERT (Maurice-André)

HEBINGER (Edgard), A. L.

HECQUET (Georges)

HÉLIE (Edmond-Charles)

HÉMOND (Charles-Désiré)

HÉNAULT (Gaston-Eugène)

HÉNAULT (Léon-Louis)

HÉNAULT (Roger-Sylvain)

HENRI (Adrien-Joseph)

HENRI (Joseph-Anatole)

HENRION (Louis)

HENRY (Désiré)

1910

1913

1916

1909

1912

1904

1908

1909

1900

1908

1902

1914

1909

1898

1910

1909

1916

1916

1913

1894

1909

1902

1909

1904

1903

1908

1915

1910

1901

1918

1915

1900

1914

1909

1908

1905

1901

1903

1912

1915

1913

1908

1914

1914

1900




40 / 69


HENRY (Louis-Désiré)

HENRY (Marcel-Maurice)

HÉRAS (Charles)

HERBAUDIÈRE (Alcide)

HERBELOT (Charles-Georges)

HERBINOT (Pierre-Henri)

HÉRIPRET (Clément-Joseph)

HÉRISSON (Ernest)

HÉRITIER (Fernand-Amédée)

HERPHELIN (Louis)

HERPIN (Alexis-Albert)

HERSARD (Alphonse-René)

HERVÉ (Albert-Joseph)

HERVÉ (Émile-Jules)

HERVET (Joseph-Léon)

HEYER (Louis), E. V.

HÉZARD (Jérôme-Émilien)

HIAULT (Albin-Abel)

HIGELIN (Armand), E. V.

HIRON (Jules-Fernand)

HIRSCH (Jean)

HOBLE (Louis)

HODÉE (Émile)

HODIN (Alfred-Jules)

HOLLINGER (Georges), E. V.

HOMPS (Marie-Charles)

HONTAS (Antonio-Joseph)

HOPSORE (Albert-Louis)

HORNEC (Joseph)

HORNECK (Louis)

HOSSARD (Robert-Marcel)

HOUDRÉ (Raoul-Théotime)

HOUELLEBECQ (Paul)

HOURCAN (Jean)

HOUSSÉ (Henri-Maurice)

HOYAU (Georges-Louis)

HUARD (Henri-Louis)

HUBERT (Gustave-François)

HUBERT (Désiré-Léon)

HUBERTY (Auguste-Jacques)

HUDELOT (Camille-Roger)

HUE (Alexandre)

HUE (Alfred-René)

HUET (Albert-Raphaël)

HUET (Cléophas-Eugène)

1901

1912

1917

1905

1908

1913

1914

1918

1918

1910

1899/04

1908

1913

1910

1909

1903

1908

1909

1909

1902

1912

1909

1912

1909

1913

1913

1913

1908

1918

1911

1905

1907

1914

1909

1914

1913

1913

1916

1914

1903

1917

1902

1900

1910

1900

HUET (Étienne)

HUGÉ (Gaston)

HUMBERT (Michel), E. V.

HUSSON (Maurice-Eugène)

HUSSON (René-Georges)

HUTTEAU (Édouard-Fernand)

HUTTEAU (Louis-Abel)

HY (Léonce)

ILHARESCOUDO (Saint-Jean)

IMBAULT (Athanase-Louis)

IMBAULT (Jules)

IMBAULT (Charles)

INGRAND (Pierre)

IRLANDE (Antoine)

IZARD (Henri)

JACOB (Hubert)

JACOB (Maurice), E. V.

JACOPIN (Paul)

JACQUELIN (Marius)

JACQUET (Léonce)

JAGET (Lucien)

JAHIER (Louis)

JAILLETTE (Paul)

JAMET (Jean)

JAMIN (Louis)

JANSSEN (Eugène)

JANVIER (Camille)

JANVIER (Émile)

JANVIER (Henri)

JANVIER (Phrygien)

JAOUEN (Mathieu)

JARDINIER (Émile)

JARRIGE (François)

JATTEAU (Alcide)

JEAN-BAPTISTE (André)

JEANROY (Georges)

JEANTY (Jacques)

JEMIN (Joseph)

JEUFROY (Georges)

JEULIN (Georges)

JOBRON (François)

JOHANET (Maurice)

JOLIVET (Gaston)

JOLY (Eugène)

JORY (Gaston)

1902

1900

1915

1913

1913

1900

1903

1913

1904

1905

1910

1907

1913

1914

1907

1913

1907

1913

1907

1914

1907

1900

1912

1916

1916

1913

1902

1905

1917

1900

1903

1903

1902

1909

1909

1912

1900

1917

1916

1909

1912

1907

1913

1911

1910




41 / 69


JOSEPH (Ernest)

JOSSÉ (Lucien)

JOOS (Martin)

JOUANNEAU (Moïse)

JOUANNIN (Marie)

JOUHEAU (Albert)

JOUSSELIN (Paul)

JOUSSET (Émile)

JOUY (Auguste)

JUD (Charles)

JUDE (Eugène)

JUDÉ (Jean)

JUETTE (Paul)

JUILLET (Georges)

JULLIEN (Raymond)

JUMENTIER (André)

JUMENTIER (Étienne)

JUNOD (Paul)

JUTTIN (Marcel)

JUVILLE (Émile)

JUVING (Marc)

KAUFFMANN (Joseph)

KEMPF (Jean)

KEMPF (Jean)

KLEIN (Xavier)

KRIANIS (Georges)

KRIEGER (Albert)

KUNTZMANN (Octave)

KWENBECKE (Léon)

LABARBE (Gaston)

LABARRE (Jacques-Philippe)

LABARTHE (Édouard)

LABAT (Jean)

LABAUME (Léon)

LABBÉ (Georges)

LABLÉE (Camille)

LABLÉE (Eugène-Désiré)

LABLÉE (Paulin-Alexandre)

LABORDE (Élie-Baptiste)

LABORIE (Henri-Antoine)

LABOUS (François-Marie)

LABRETTE (Alexandre)

LABROUILLE (Joseph)

LACAY (Jean-Félix)

LACLAVERIE (Émile)

1916

1911

1914

1907

1912

1900

1899

1913

1913

1900

1913

1906

1916

1902

1908

1916

1914

1911

1908

1908

1915

1914

1898

1909

1914

1909

1914

1913

1914

1903

1913

1907

1902

1904

1910

1900

1909

1903

1903

1912

1916

1908

1902

1911

1904

LACOMBE (Hyacinthe-Alexis)

LACROIX (Jules-Hubert)

LADUNE (Paul-André)

LAEMLÉ (Jean-Baptiste)

LAFFRAY (Alfred-Jules)

LAFONT (Adolphe-Auguste)

LAFORGE (Jean-Baptiste)

LAGARRIGUE (Maximin)

LAGOUTTE (Maurice)

LAGUERRE (Émile)

LAINÉ (François-Charles)

LAJUS (Jean-André)

LALANNE (Jean-Édouard)

LALANNE (Louis)

LALANNE (Pierre)

LALUBIN (Jules-Paul)

LAMANDÉ (Adolphe-Adrien)

LAMBERT (Gaston-Georges)

LAMBERT (André-Louis)

LAMPTAÉS (Louis-François)

LANCELOT (Auguste)

LANCHER (Raphaël-Léon)

LANDRÉ (Léon-Eugène)

LANGE (Louis-Célestin)

LANGE (Louis-Édouard)

LANGER (Raoul-Étienne)

LANGER (Jacques-Michel)

LANGLET (Charles-Julien)

LANGLOIS (Pierre-Louis)

LANNOIS (Louis-Joseph)

LANOUE (Adolphe-Louis)

LANSIAUX (Victor)

LANSON (Louis-Léon)

LANTOINETTE (Léon-Jean)

LANDONNET (Henri)

LAPARRA (Eugène)

LAPRÉVOTE (Louis)

LARCHER (Émile-Eugène)

LARIGAUDERIE (Maurice-Paul)

LARIVÉ (Alexis)

LAROCHE (Narcisse-Irénée)

LARRIEU (Marius)

LARROUDÉ (Fernand-Henri)

LARROUY (Jean-Baptiste)

LARTIGAU (Jean-Jules)

1910

1904/06

1913/16

1914

1900

1910

1903

1916

1916

1906

1913

1899

1907

1909

1913

1901/03

1904

1909

1916

1912

1906

1902

1913

1913

1901

1913

1913/14

1908

1909

1914

1913

1909

1912

1908

1913

1900

1900

1908

1910

1916

1905

1906

1911

1906

1901




42 / 69


LASBATS (Jean-Marie)

LASNE (Léon-Auguste)

LATASTE (Cyprien)

LAUDIN (Charles-Jules)

LAUMONIER (Armand)

LAUNAY (Jean-Marie)

LAUNAY (Paul)

LAURE (Charles)

LAURE (Lucien-Cyrille)

LAURENCEAU (Arthur-Narcisse)

LAURENCEAU (Octave-Alcide)

LAURENT (Alphonse-Jules)

LAURENT (Félix)

LAUTIER (Auguste)

LAVEAU (Gustave)

LAZARE (Marcel)

LE BAYON (Jean-Marie)

LEBEAU (Jules)

LEBLANC (Adolphe)

LEBLANC (Maurice)

LEBLANC (René-Albert)

LEBLEU (Robert-Lazare)

LEBLOIS (Charles)

LEBRETON (Maurice)

LEBRETON ULRIOT d’ANGLURE (Louis)

LEBRUN (Louis)

LEBRUN (René-Paul)

LE CAM (Jean-Louis)

LECAS (Emmanuel)

LECLERC (Alphonse)

LECŒUR (Léon)

LECŒUR (René)

LECOFFRE (Georges)

LECOIN (Ernest-Auguste)

LECOINTE (Clotaire-Aristide)

LECOMTE (Albert-Cléophas)

LECOMTE (Ernest-Raymond)

LECOMTE (Georges-Robert)

LECOMTE (Paul)

LECOMTE (René-Marie)

LECONTE (Maximilien)

LECOQ (Léon-Auguste

LECQUYER (Félix)

LE CUNFF (Julien-Marie)

1902

1904

1904

1904

1905

1903

1899

1901

1900

1910

1907

1907

1906

1914/15

1898

1914

1915

1911

1904

1914

1905

1906

1908

1913

1908

1911

1908

1916

1909

1900

1902

1894

1914

1912

1905

1903

1902

1913

1915

1911

1911

1913

1913

1916

LEDUC (Albert-Augustin)

LEDROIT (Henri-Baptiste)

LEDUC (Lucien)

LEFAYE (Marius-Raymond)

LEFÈVRE (Louis-Alfred)

LEFORT (Octave-Clotaire)

LEFRANC (Paul-Maxime)

LEFRANÇOIS (Paul-Léon)

LEFROIT (Maurice-Émile)

LEFEBVRE (Ernest)

LEGENDRE (Michel-Marie)

LEMITRE (Ferdinand)

LEGENDRE (Raoul-Charles)

LEGER (Constant-Émile)

LEGER (René-Albert)

LÉGLISE-CARDOIT (Pierre)

LEGOU (Albert-Adrien)

LEGOUT (Marcel-Albert)

LEGRAND (Achille-François)

LEGRAND (Maurice)

LEGRAS (Louis-Augustin)

LEGROS (Pierre-Marie)

LE GUEVEL (Alexandre)

LEHAUT (Emmanuel)

LEHNERT (Honoré-Laurent)

LEJEUNE (Henri)

LEJEUNE (Marcel)

LELAIT (Joseph-Alexandre)

LELIMOUSIN (Raymond)

LELONG (Marius)

LEMAIRE (Alexandre)

LEMAIRE (Auguste)

LEMAIRE (César-Jules)

LEMAIRE (Charles)

LEMAIRE (Gaston)

LEMAIRE (Gilbert-Ernest)

LEMAIRE (Henri-Émile)

LEMAIRE (Rustique)

LEMAIRE (Théodore)

LEMAITRE (François-Étienne)

LEMAITRE (Raymond)

LEMANS (Victor-Lucien)

LE MAUDEZ (Ambroise)

LE MAZURIER (Émile-Léon)

LEMELLE (Philippe)

1914

1901

1914

1914

1911

1908

1908

1908

1913

1914

1909

1912

1904

1899

1910

1901

1903

1913

1906

1914

1902

1901

1906

1911

1910

1914

1910

1902

1908

1901

1910

1899

1898

1903

1905

1902

1900

1910

1908

1901

1909

1911

1906/08

1903

1911




43 / 69


LEMERCIER (René-Auguste)

LEMESLE (Maurice-Joseph)

LEMIÈRE (Pierre-Maurice)

LEMIRE (Jean-Henri)

LEMOINE (Michel-Charles)

LEMOSSE (Auguste-Eugène)

LEMOSSE (Georges-Victor)

LENGLET (Georges-Alexandre)

LEPAGE (André)

LEPAGE (Léon-Ernest)

LEPAGE (Émile)

LEPAGE (Maurice-Émile)

LEPÉCULIER (Georges)

LEPIN (Léon)

LEPRÊTRE (Eugène)

LEPRÊTRE (Paul-Adrien)

LEPRINCE (Louis-Prosper)

LERAULT (Armand)

LE RÉGNIER (Auguste)

LEROUX (Gaston)

LEROUX (Georges)

LEROUX (Robert)

LEROUX (Victor)

LEROY (Antonin)

LEROY (Edmond)

LEROY (Léon-Désiré)

LEROY (Octave-Lucien)

LEROY (Paul-Eugène)

LEROY (Victor-Eugène)

LESAGE (Jean-Baptiste)

LESOURD (Georges-Félix)

LESPILLE (Jean)1

LESUEUR (Louis-Gustave)

LETARD (Léon-Georges)

LETESSIER (Auguste-Joseph)

LETHON (Clovis-Félicien)

LE TONNELIER de BRETEUIL (Charles)

LEURET (Désiré-Eugène)

LEURGON (Francisque)

LEVACHER (Alphonse)

LEVALLET (Émile)

LEVANNEUR (Hippolyte)

1913

1912

1904

1914

1899

1906

1901

1909

1908

1909

1898

1910

1909

1914

1905

1909

1912

1914

1900

1909

1905

1916

1909

1907

1909

1905

1904

1910

1908

1903

1900

1910

1900

1901

1917

1902

1914/13

1910

1908

1899

1898

1910

LEVÊQUE (Gaston)

LEVERRAND (Charles-René)

LEVESQUE (Edmond)

LÉVY (Marcel)

LHOMME (Marcel-Adolphe)

LHOMME (Edmond)

LHOMME (Eugène-Ernest)

LHUILLERY (Édouard-Lucien)

LIÉTIN (François)

LIGER (Clément)

LIGER (Léon-Louis)

LIGNIÈRES (Julien)

LIMOUSIN (Raoul-Félix)

LINARD (Louis-Eugène)

LINTZER (Ernest-Henri)

LOIRE (Georges-Paul)

LOISEAU (Auguste-Charles)

LOISEAU (Camille)

LOISEAU (Xavier-Cyprien)

LOISEAU (Célestin)

LOISEAU (Charles)

LOISEAU (Maurice)

LOISELET (Achille)

LOISELEUR (André-François)

LOM (Jean)

LOMBRE (Victor)

LOPEPÉ (Jean)

LORDEREAU (Adhémar)

LORELLE (Aimé)

LORGEOUX (Jean-Mathurin)

LORILLARD (André)

LORILLARD (Eugène-Albert)

LORJOU (Émilien)

LORPHELIN (André-Adrien)

LORPHELIN (Émile)

LOSTAL (Henri-Jean)

LOUIS (René-Léon)

LOURS (Julien-Georges)

LOURS (Édouard)

LOUSTE (Constant)

LOUVENCOURT (Victor)

LOYAL (Paul-Émile)

LOYEAU (Albert)

1914

1912

1912/14

1914

1916

1910

1913

1912

1909

1910

1900

1909

1913

1907

1913

1913

1894

1898

1914

1908

1912

1900

1910

1915

1912

1905

1907

1904

1895

1916

1914/15

1903

1916

1910

1902

1918

1915

1908

1908

1912

1906

1914

1912

1 Note de transcription : Jean LESPIELLE




44 / 69


LEVEAU (Edgar-Georges)

LEVÊQUE (Désiré)

LUCAS (Louis-Joseph)

LUCAS (Pierre-Georges)

LUCBERNÉ (Jean-Gabriel)

LUCE (Maurice)

LUNEAU (Ernest)

LUPUYO (Jean-Baptiste)

LUQUET (Georges-Maxime)

LUQUET (Louis)

LUTZ (Charles)

LUTZ (Gaston)

MACÉ (Jules)

MACHU (Marceau)

MADAULE (Auguste)

MADORÉ (Alfred-Léon)

MADRE (Émile-François)

MAGNAN (André)

MAGNANT (Paul)

MAGNÉ (Maurice)

MAGNIEN (Henri)

MAGENTIER (Albert-Alphonse)

MAGET (Lucien-André)

MAHAUX (Eugène)

MAHÉ (Alfred-Marie)

MAHOU (Moïse-Lucien)

MAHOUDEAU (Georges-Louis)

MAHAUT (Henri-Joseph)

MAIGNAN (Albert-François)

MAILLARD (Georges-Charles)

MAILLARD (Léon-François)

MAILLET (Étienne-René)

MAISONNEUVE (Paul)

MALACHON (Victor-Henri)

MALAGNAS (Pierre)

MALAIS (Lucien-Eugène)

MALAPLATE (Abel)

MALCUIT (Georges)

MALÉPART (Charles-Aimé)

MALLET (Bertrand)

MALLET (Marcel-Jules)

MALLIER (Joseph-Gaston)

MALOISEAU (Jean-Baptiste)

MALRAISON (Louis)

MALVESIN (Antoine)

1901

1901

1910

1910

1908

1918

1910

1900

1909

1908

1907/18

1913

1910

1913

1917

1909

1911

1904

1892

1914

1913

1913

1912

1903/18

1915

1912

1912

1908

1894

1909

1908

1905

1900

912

1901

1906

1909

1917

1908

1908

1906

1900

1913

1894/97

1913

LUBIN (René-Georges)

LUCAS (Ernest)

MANTELET (Hippolyte)

MARTINET (Jules-Fernand)

MANUGUET (Émile)

MAPELLE (Louis)

MAQUET (Arsène)

MARCAULT (Abel-Étienne)

MARCÉ (Louis-Augustin)

MARCHAL (Paul-Gustave)

MARCHAND (André-Émile)

MARCHAND (Charles-Louis)

MARCHAND (Louis)

MARCHÉ (Jules)

MARCILLIÈRE (André)

MARCILLY (Maurice-Émile)

MARCONNES (Louis-Charles)

MARDELET (Paul-Maximin)

MAREAU (Julien)

MARÉCHAL (Alexandre)

MARÉCHAL (Pierre-Marcel)

MARET (Jean-Baptiste)

MARETTE (André-Arémis)

MARGUERITAT (Charles-Pierre)

MARGUERITTE (Louis-Léon)

MARGUIN (Jean-Marie)

MARIA (Charles-Paulin)

MAROIS (Alphonse)

MAROIS (Arthur)

MAROIS (Victor-Charles)

MAROTTE (Édouard-Félix)

MARQUET (Alexandre-Jean)

MARTEAU (Élie-Marien)

MARTELLIÈRE (Alexis-Pierre)

MARTIN (André-Georges)

MARTIN (Albert-Léon)

MARTIN (Albert-Georges)

MARTIN (Francis)

MARTIN (Jacques-Marie)

MARTIN (Louis-Henri)

MARTIN (Marius-Marcel)

MARTIN (Maurice-Gilbert)

MARTIN (Paul)

MARTIN (Louis-Marius)

MARTIN (Paul-Célestin)

1900

1909

1912

1903

1910

1915

1912

1908

1912

1907

1913

1900

1900

1910

1913

1916/19

1913

1916

1915

1908

1913

1913

1900

1905

1902

1901

1907

1910

1917

1900

1909

1905

1910

1902

1916

1913

1907

1913

1914

1901

1916

1911/12

1898

1905

1915




45 / 69


MANE (Lucien)

MANŒUVRIER (Fernand-Raymond)

MARTINEAU (Pierre-Louis)

MARTINET (Louis-Joseph)

MARTY (Adelain-Pierre)

MASSARD (Charles-Louis)

MASLÉ (Albert-Valentin)

MASSA (Laurent-Jean)

MASSE (Ernest-Edmond)

MASSÉ (Gabriel-Louis)

MASSÉ (Henri-Armand)

MASSILLON (Henri-Louis)

MASSON (Albert)

MASSON (Lucien-Georges)

MASSON (Paul)

MASSOT (Ernest)

MASSOT (Raymond)

MAZURE (Raymond)

MATHIEU (Camille)

MATHIS (Henri)

MATTÉI (Dominique)

MATTEI (Louis-Joseph)

MATTENDI (Charles-Victor)

MAUGER (Charlemagne)

MAUPERTHUIS (Camille)

MAUPETIT (Henri-Hubert)

MAURAUX (Abel-Jean)

MAUREL (Bernard)

MAURICE (Henri)

MAURY (Alcide-Florentin)

MAURY (Rodolphe-Urbain)

MAZALEYRAT (Fernand-Daniel)

MAZÉ (Louis-Eugène)

MAZET (Émile-Nicolas)

MAZET (Louis-Joseph)

MAZETIER (Stéphan-Fernand)

MAZIAU (Julien-Victor)

MAZIER (Maurice-Léon)

MAZURAY (Achille)

MAZOUER (Désiré-Louis)

MÉALLIER (Jean-Rémy)

MÉCHE (Georges-Léon)

MEGESSIER (Armand)

MEIGNAN (Léon-François)

MÉNAGER (Albert)

1915

1914

1912

1915

1917

1910

1918

1915

1902

1903

1906

1912

1901

1911

1900

1915

1914

1910

1912

1911

1906/03

1903

1900

1909

1905

1909

1902

1903

1906

1913

1915

1912

1912

1913

1914

1915

1915

1915

1910

1908

1911

1900

1902

1915

1902

MARTINE (Ferdinand)

MARTINEAU (Frédéric)

MENEAU (René-Maurice)

MENEUX (Hippolyte)

MENON (Émile)

MENONVILLE (Marcel-Émile)

MÉRANDON (Albert-Jules)

MERCEROLLE (Pierre-Marie)

MERCIER (Armand)

MERCIER (Armand)

MERCIER (Camille-Albert)

MERCIER (Gaston-Désiré)

MERCIER (François-Ernest)

MERCIER (Georges-Alphonse)

MERCIER (Henri)

MERCIER (Louis-Charles)

MERCIER (Louis-Pierre)

MERCIER (Maurice)

MÉRILLON (Télémaque)

MERLATEAU (Fernand)

MERLIN (Clément)

MESNY (Théodore)

METAYER (Louis-Jean)

MÉTAYER (Pierre-Henri)

METHIVIER (Henri-Maurice)

MÉTIER (Émile-Gustave)

MEUSNIER (Robert-André)

MEUNIER (Ernest-Clément)

MEUNIER (François)

MEUNIER (Georges-Edgard)

MEUNIER (Henri-Alfred)

MEUNIER (Léon-Henri)

MEUNIER (Maud-Paulin)

MEUNIER (Victorien)

MEURAT (Marcel-Pierre)

MEYER (Ernest), A. L.- E. V.

MÉZENGE (Louis-Alphonse)

MICHAUD (Ernest-Antonin)

MICHAUD (Joseph)

MICHAUD (Clovis-Camille)

MICHAUD (Raymond)

MICHAUT (Gustave)

MICHAUX (René-Charles)

MICHEL (Fernand), A. L.

MICHEL (Georges)

1902

1918

1912

1907

1902

116

1900

1913/14

1900

1907

1908

1917

1916

1915

1910

1900

1913

1913

1910

1911

1900

1900

1907

1913

1909

1903

1913

1910

1910

1910

1915

1903

1913

1910

1914

1912

1910

1914

1909

1912

1917

1899

1906

1907

1903




46 / 69


MÉNAGER (Léon)

MENEAU (Henri)

MICHELET (Christophe)

MICHELET (Sylvain)

MICHON (Antoine-Joseph)

MICOUREAU (Jules)

MIGNON (Victor)

MIGNOT (Auguste)

MIGNOT (Célestin-Henri)

MILCENT (Jean-Louis)

MILCENT (Joseph-Albert)

MILLEQUANT (Achille-Édouard)

MILLET (Jean)

MILLIASSEAU (Godefroy-Alex.)

MILLION (Gustave-Léon)

MINARD (Henri-Auguste)

MINARD (Henri-Auguste)

MINEROT (Georges)

MINIER (Alfred)

MINIÈRE (Jules-Alfred)

MIQUELESTORÉMA (Isidore)

MIRAY (André-Ernest)

MIREMONT (Jean-Baptiste)

MOILEAU (Julien)

MOIGNEU (Henri-Charles)

MOISNÉ (Fernand-Maurice)

MOIRON (Lucien-Maurice)

MOISSON (Alphonse-Paul)

MOIZARD (Émile-Auguste)

MOLE (Arthur-Gabriel)

MOLLE (Henri-Ernest)

MOLLE (Jean-Joseph)

MOLLEREAU (René)

MOLLET (Maurice-Henri)

MOLVEAU (Émile)

MONCELET (Ernest-Sylvain)

MONCOURT (Georges-Léon)

MONFÉFOUL (Marcel-Félix)

MONMARCHÉ (Lucien-Honoré)

MONNIER (Célestin-Albert)

MONNIER (Jean-Louis)

MONNOT (Georges)

MONSELET (Georges-Robert)

MONSELLIER (Armand-Arthur)

MONSION (Émile-Célestin)

1904

1910

1914

1906

1918

1906

1912

1908

1912

1914

1899

1906

1917

1914

1910

1913

1913

1908

1910

1900

1912

1914

1902

1908

1914

1910

1906

1904

1913

1903

1904/06

1906

1914

1915

1914

1909

1916

1906

1916

1900

1912

1908

1916

1912

1910

MICHEL (Louis-Émile)

MICHEL (Lucien)

MONTAGNE (Jean-Pierre)

MONTARON (Pierre-André)

MONTARU (Louis-Michel)

MONTEIL (Eugène)

MONTENOT (Gaston-Alphonse)

MONTIGNY (Lucien-Marcel)

MONTMUSSON (Alphonse-Kléber)

MONTREYNAUD (Ernest-René)

MOREAU (Arsène-Émile)

MOREAU (Arsène-Zéphirin)

MOREAU (Clotaire-Ambroise)

MOREAU (Joseph)

MOREAU (Lucien-Cléophas)

MOREAU (Marcel-Albert)

MOREAU (Maurice-Ernest)

MOREAU (Urbain-Victor)

MOREL (Henri-Eugène)

MORELLE (René)

MORÈRE (Henri)

MORÈVE (Jérémie-René)

MORICE (Adrien-Césaire)

MORIN (Emmanuel)

MORIN (François-Antonin)

MORIN (Henri-Gustave)

MORIN (Henri-Jean)

MORIN (Maurice-Émile)

MORISSEAU (Alfred-Désiré)

MORISSEAU (Victor-Étienne)

MORIZET (Joseph)

MORLET (Armand-Henri)

MORLON (Charles-Louis)

MORONI (Gaston-Émile)

MOSNY (Adrien)

MOTHU (Charles-Eugène)

MOTTE (Albert-Séraphin)

MOUCHOT (Arsène-Charles)

MOUGIN (Georges-Louis)

MOUILLET (Gabriel-Edmond)

MOUILLOT (Louis-François)

MOULIN (Félix-Sabin)

MOULIN (Maximin)

MOUNIER (Julien-Maurice)

MOURE (Louis)

1907

1903

1912

1917

1904

1913

1911

1912

1910

1914

1902

1908

1910

1909

1914

1904

1910

1910

1912

1916

1906

1912

1916

1902

1903

1910

1909

1910

1912

1912

1902

1903

1910

1913

1900

1908

1912

1911

1913

1903

1906

1905

1900

1910

1904




47 / 69


MONTAGNAC (René-Eugène)

MONTAGNE (Henri-Richard)

MOUSSET (Émile)

MOUSSET (Gabriel-Paul)

MOUSSINEAU (Albert)

MOUTARD (Charles)

MOUTY (René-Francis)

MOYER (Robert)

MOYÉ (Eugène-Maxime)

MULARD (Maurice-Charles)

MULTON (François-Alexandre)

MUNIER (André-Robert)

MUTZIG (Georges)

NADAUD (Joseph-Camille)

NAIL (Maurice-Joseph)

NARDOUX (François-Antoine)

NAU (Léon)

NAUDET (Raymond-Robert)

NAUDIN (Louis-Isidore)

NAUDIN (Jules-Marcellin)

NAUDIN (Lucien-Eugène)

NAUDIN (René-Léon)

NAUDOT (Pierre-Jean)

NAULET (Auguste-Julien)

NAULET (Raoul-Louis)

NAVARRE (Jean-Marcel)

NAVASSE (Félix-Charles)

NAVEAU (Jules)

NÉRET (André)

NEVEUX (Clément-Adrien)

NEVOUET (Victor-Louis)

NIEDINGER (Édouard)

NIOCHE (Charles-Louis)

NION (Joseph-Marcel)

NIVELLE (Henri-Eugène)

NIVELLE (René-Auguste)

NOËL (Léon)

NOLLENT (Eugène-Joseph)

NOLLET (André-Eugène)

NORET (Roger-Eugène)

NORMAND (Auguste)

NORMAND (François-Louis)

NOULLET (Henri-François)

NOUVEAU (Jules-Eugène)

NOVARA (Marcel)

1913

1917

1910

1900

1910

1915

1913

1912

1908

1901

1910

1914/15

1914

1909

1908

1907

1908

1906

1909

1902

1910

1908

1917

1916

1912

1908

1910

1897

1913

1912

1909

1918

1899

1912

1909

1908

1903

1895

1916

1906

1904

1913

1900

1910

1911

MOURETE (Jean)

MOURTON (Eugène)

OLIBÉRA (Moïse-René)

OLIVÈRES (Pierre-Clément)

OLIVIER (Adelmar-Daniel)

OLLIVIER (Auguste-Désiré)

ONGARO (Gaspard-Célestin)

ORGEUR (Louis-Alfred)

ORSAL (Gabriel)

ORY (Louis-Armand)

OTONDO (Jean-Pierre)

OTTELÉ (Mathieu-Auguste)

OUDARD (Albert)

OUVRARD (Aimé-François)

OUVRARD (Georges-Léon)

PAGENOT (Victor)

PAGET (André-Pierre)

PAILLAS (Jean-Marie)

PAILLERET (Emmanuel)

PAIN (Ernest-Arthur)

PAIN (Pierre-Alphonse)

PAJON (Désiré-Fernand)

PALANQUE (Raymond-Henri)

PALLE (Georges-Paul)

PAPELIER (Noël-Marie)

PAPIN (Pierre)

PAPION (Fernand-Albert)

PAPON (Jacques-Célestin)

PARAGOT (Gilbert-Ernest)

PAVARD (Désiré-Arthur)

PARÉ (Jean-Marie)

PARENT (Alfred-Lucien)

PARIS (Albert-Alfred)

PARIS (André-Émile)

PARIS (Félix-Marie)

PARIS (Georges-Louis)

PARIS (Jean)

PARRAULT (Georges-Louis)

PASQUEREAU (Emmanuel)

PASQUET (Auguste-Célestin)

PASQUIER (Auguste-Eugène)

PASQUIER (Émile)

PASQUIER (Gabriel)

PASQUIER (Gaston-François)

PASSEGUÉ (Germain-Jules)

1908

1913

1899

1909

1912

1901

1908

1913

1912

1916

1902

1905

1918

1899

1912

1900

1914

1918

1912

1915

1909

1902

1906

1903

1912

1902

1900

1914

1916

1902

1912

1905

1910

1915

1910

1914

1916

1915

1906

1900

1916

1912

1912

1904

1903




48 / 69


OBERLÉ (Joseph)

OGER (Prudent-Pierre)

PATÉ (Paul-Henri)

PATEAU (Georges-Albert)

PATRON (Jules-Eugène)

PATURANGE (Prosper)

PAU (Gaston-Paulin)

PAUL (François)

PAULICE (Édouard)

PAULIN (Pierre-Alphonse)

PAUTARD (Fernand)

PAUTRA (Fernand-Nestor)

PAUTRAT (Virgile-Paul)

PAUVERT (Albert-Joseph)

PAVARD (Jules-Constant)

PAVÉ (Henri)

PAY (Henri-Joseph)

PAYELLE (Ferdinand-Joseph)

PÉAN (Alfred-Rodolphe)

PÉAN (Octave-René)

PÉCHARD (Émile-Armand)

PÉGOUT (Charles-Louis)

PEIGNÉ (Camille-Maurice)

PELÉ (Édouard)

PELLÉ (Georges-Alfred)

PELLÉ (Henri-Louis)

PELLÉ (Julien-Désiré)

PELLÉ (Léon-Adrien)

PELLÉ (Maurice-Aimé)

PELLEFIGUE (Irénée)

PELLETIER (Alphonse)

PELLETIER (Camille-Alfred)

PELLETIER (Henri-Louis)

PELLETIER (Julien-Stanislas)

PELLETIER (Pierre-Joseph)

PELLETIER (Pierre-Paul)

PÉNILLEAU (Maurice-Eugène)

PERCHERON (André-René)

PERDEREAU (Georges-Fernand)

PERDRIAUD (Paul)

PERÉ (Joseph-Gabriel)

PÉRON (Joseph)

PÉRON (Louis-Henri)

PÉRONNET (Pierre-Désiré)

PERRAULT (Maurice-Gaston)

1914

1907

1916

1905

1914

1905

1913

1899

1912

1909

1909

1915

1905

1910

1901

1910

1916

1904

1902

1911

1911

1915

1909

1899

1912

1909

1900

1900

1915

1918

1902

1909

1914

1913

1909

1912

1912

1911

1915

1900

1907

1914

1908

1910

1902

PASSELOIRE (Maurice-Gabriel)

PATAUD (Édouard-Gaston)

PERRET (Auguste)

PERRET (Benoist-J.-P.)

PERRET (Maurice-Joseph)

PERRET (Régis-Charles)

PERREY (Auguste-Victor)

PERRIER (Francis)

PERRIN (Marcel-Clément)

PERRINET (Georges-Léon)

PERRIOT (Robert-André)

PERROT (Maurice-Alphonse)

PERSEVAL (Joseph-Sylvain)

PERTHUISOT (Georges-Alexandre)

PESTY (André-François)

PESTY (Marcel)

PETIOT (Charles)

PETIT (Albert-Alfred)

PETIT (Jules)

PETIT (Pierre-Arthur)

PETITFILS (Eugène)

PETITJEAN (Marie-Émile)

PEUREUX (Eugène-Émile)

PEYRIÈRE (Alexis-Louis)

PEYTOU (Adrien-Pierre)

PFEIFFER (Henri-Mary)

PHILIPPE (Robert-Casimir)

PHILLIPEAU (Albert-Alphonse)

PIAU (Gaston-Jules)

PIAULT (Marcel)

PIAULT (Raoul)

PIAULT (Gabriel-Francisque)

PICARD (Jules)

PICARD (Raymond)

PICHARD (Émile-Eugène)

PICHARD (Oscar)

PICHAUD (Pierre)

PICHEREAU (Henri-Léon)

PICHONNAT (Georges-Gabriel)

PICOT (Abel-Jean)

PICOT (Léon-Louis)

PIERRE (André-Maurice)

PIERRE (Urbain)

PIGEYRE (Élie-Joseph)

PILATE (Abel-Paul)

1910

1909

1906

1913

1913

1914

1909

1899

1910

1908

1914

1912/14

1900

1906

1910

1910

1904

1902

1909

1904

1910

1906

1913

1917

1918

1913

1909

1899

1911

1909

1915

1911

1910

1903

1914

1907

1914

1899/14

1909

1912

1912

1912

1900

1918

1912




49 / 69


PERRAULT (Théodore)

PERREAU (René-Maurice)

PILON (Émile-Ferdinand)

PILON (Gustave)

PILON (Marcel-Honoré)

PILORGER (Auguste-Alexandre)

PILOT (Pierre-Georges)

PINAULT (Alexandre-Ernest)

PINAULT (Henri)

PINEAU (Fernand-Paul)

PINGUET (Clément-Fernand)

PINGUET (René-Georges)

PINSART (Henri-Félix)

PINSON (Victor-Aristide)

PINSON (François-Eugène)

PINSON (Louis-Émile)

PION (Marcel-Ernest)

PIQUET (Henri-Joseph)

PIQUET (Paul-Gustave)

PIQUOT (Auguste)

PITANCIER (Georges-Joseph)

PITON (Ulysse-Alphonse)

PITOU (Paul-Raymond)

PITROU (Gaston-Fernand)

PIVOTEAU (Jules)

PIZIER (Charles-Henri)

PLACIDET (Emmanuel-Ludovic)

PLAGNE (Pierre-Léopold)

PLAINT (Alfred-André)

PLATEAU (André-Salomon)

PLAUT (Octave)

PLISSON (André-Paul)

PLISSON (Émile-Charles)

PLUVINET (Lucien-Eugène)

POIGNARD (Camille-Élie)

POIGNARD (Émile-Ambroise)

POIGNARD (Gaston-Maxime))

POIGNARD (Henri-David)

POINCLOUX (René-Désiré)

POINÇON (Marcel-Constant)

POIRIER (Antoine-France)

POIRIER (Armand)

POIRIER (Camille)

POIRIER (Camille-Fernand)

POIRIER (Jean-Baptiste)

1905

1909

1910

1912

1911

1912

1911

1908

1910

1909

1906

1910

1910

1907

1914

1910

1907

1898

1912

1900

1909

1912

1911

1912

1909

1910

1912

1911

1918

1907

1909

1905

1903

1911

1900

1903

1910

1900

1910

1915

1912

1910

1907

1907

1908

PILAUDEAU (Maurice-Louis)

PILET (Henri-Urbain)

POISSON (Camille-Théophile)

POISSON (Louis-Georges)

POISSON (Marcel-Henri)

POISSON (Marius-Eugène)

POISSON (Maurice-André)

POISSON (Théodore-Eugène)

POISSON (Victor-Célestin)

POISSONNET (Georges-Auguste)

POITOU (Émile-Auguste)

POLICARD (Louis)

POMADE (Jean-Louis)

POMMIER (Paul-Albert)

POMPON (André-Aristide)

POMPON (Robert)

PONS (Léon)

PONS (Marc)

PONT (Jules-François)

PONTAL (Romain-Émile)

POPOT (Paul-Louis)

POPOT (Philippe-René)

PORCHER (Jean-Robert)

PORCHEREAU (Albert)

PORCHERON (François-Alexandre)

PORCHERON (Léon-René)

PORCHON (Marcel)

PORTAGNIER (Eugène-Maurice)

PORTNOI (Henri)

POTHÉE (Eugène-Georges)

POTHIER (Alexandre-Léonce)

POTHIER (Marie-André)

POTIER (Marie-Ange)

POTIER (Georges-Albert)

POTIER (Gustave-Joseph)

POTIER (Louis-René)

POTIER de la BERTHELIÈRE (H.)

POUCHALAN (Joseph)

POUET (Gabriel)

POUGET (Justin-Pierre)

POULAIN (Auguste-Constant)

POULAIN (Georges-Justin)

POULAIN (Philibert)

POULET (Claude)

POULIN (Rodolphe)

1911

1912

1900

1904

1911

1911

1913

1908

1910

1910

1897

1914

1912

1913

1918

1917

1902

1918

1909

1917

1910

1910

1916

1911

1906

1904

1905

1914

1914

1914

1905

1914

1900

1916

1900

1910

1913

1901

1900

1917

1912

1911

1911

1898

1911




50 / 69


POIRIER (Maurice-Albert)

POISCHIS (Albert)

POUPÉE (Maurice-Gabriel)

POUPLARD (Henri-Auguste)

POUPON (Antonin-Marius)

POUPION (Gabriel)

POURMARIN (Jules-François)

POURNOT (Gaston-René)

POUSSET (Louis-François)

POUSSIN (Louis)

POUTHAS (Louis-Jules)

POUZOULET (Clément-Jérémie)

PRADAL (Émile)

PRADINES (Albert-André)

PRAT (Antoine)

PRÉJEAN (Moïse-Pascal)

PRÉSUMEY (Paul-Joseph)

PRÉTÉSEILLE (Georges-Albert)

PRÊTRE (Georges)

PRÉVOST (Camille)

PRÉVOST (César-Cyrille)

PRIEUR (Maurice-Victor)

PROCHASSON (Louis-Georges)

PROÉRÈS (Jean-Baptiste)

PROT (Henri-Lucien)

PROUST (Henri-Désiré)

PROVOST (Sylvain-Hyppol.)

PROVOST (César-Amédée)

PROVOST (Germain-Gilbert)

PRSKOUREC (Jules-Émile)

PRUDHOMME (Henri)

PRUDHOMME (Jacques-Alfred)

PRUDHOMME (Jules-René)

PRUNEAU (Louis-Marie)

PROUST (Paul-Adrien)

PRUVOST (Charles-Henri)

PUCHAULT (Albert)

PUFFÉRA (Fernand-Charles)

PUIS (Paul-Charles)

PUJOL (Henri)

PUJOL (Jean-Louis)

PURIÈRE (André-Marius)

PUZENAT (Georges)

QUÉNETTE (Victor-Jean)

QUENTIN (Charles-Louis)

1909

1915

1906

1913

1907

1904

1915

1900

1902

1907

1918

1918

1909

1899

1902

1905

1909/11

1910

1910/11

1900

1916

1906

1900

1912

1914

1912

1910

1914

1911

1908

1913

1904

1912

1912

1914

1905

1910

1916

1903

1910

1918

1916

1911

1914

1912

POULLIN (Henri-Siméon)

POUMAT (Célestin)

QUIERS (Henri)

QUINARD (Maurice-Louis)

QUINIO (Joseph-Mathurin)

QUINOT (Ferdinand)

QUINTY (Raymond)

RABEREAU (Albert)

RABOUIN (Étienne)

RABOURDIN (Louis)

RABOTEAU (Roger)

RABY (Maurice)

RACINE (Gaston)

RADIQUE (Eugène)

RAFFET (Édouard)

RAGNEAU (Clément)

RAGUENET (Félix)

RAGOBERT (Auguste)

RAIMBAULT (Clotaire)

RAISIN (Victor)

RANCIEN (Gustave)

RAVIER (Maxime)

RAVISÉ (Émile)

RAVON (Paul)

RAY (Pierre)

RAYGAUT (Joseph)

RAYDARD (Georges)

RAYNAUD (Fernand)

REBILLARD (Georges)

REBÈCHE (Marcel)

REBONDY (Amboise)

RECULÉ (Placide)

REDON (Gustave)

RÉE (Harry)

REFAIX (Henri)

RÉGIEN (Robert)

RÉGNARD (Jean)

REGOURY (Paul)

REGOURY (Constant)

REIGNAUD (Louis)

REINE (Gustave)

RÉMY (Paul)

RENARD (André)

RENARD (Aristide)

RENARD (Auguste)

1909

1912

1915

1911

1915

1904

1917

1914

1914

1905

1917

1913

1908

1914

1915

1912

1912

1914

1912

1909

1903

1915

1907

1915

1906

1911

1910

1914

1917

1906

1910

1903

1903

1912

1900

1916

1913

1898

1906

1904

1893

1911

1914

1909

1910




51 / 69


QUENTIN (Daniel)

QUÉRÉ (Alain-Corentin)

RENARD (Raoul)

RENARD (Robert)

RENAUDIN (Marcel)

RENAULT (Georges)

RENAULT (Marcel)

RENAULT (Léon)

RENAULT (Louis)

RENAULT (Lucien)

RENAULT (Raymond)

RENAULT (Victor)

RENIER (Émile)

RENONCÉ (René)

REPESSÉ (François)

REPINÇAY (Marcel)

RÉTHORÉ (Hubert)

RETION (Ernest)

REUGE (Pierre)

REVAULT (Marcel)

REVAULT (Pierre)

REVAUX (Louis)

REVEL (Paul)

REVERDY (Fernand)

REVERDY (Léon)

REVERSÉ (Albert)

REYNARD (Albert)

REYNAUD (François)

RIANT (Clovis)

RIBAILLY (Gaston)

RICHARD (Albert)

RICHARD (Eugène)

RICHARD (Gabriel)

RICHARD (Jules)

RICHARD (Louis)

RICHARD (Louis)

RICHARD (Marcel)

RICHARD (Pierre)

RICHARDEAU (Virgile)

RICHER (Roger)

RICHET (Étienne)

RICOIS (Henri)

RICQUIER (Pierre)

RIDART (Marcel)

RIDEAU (Auguste)

1916

1912

1916

1909

1909

1910

1914

1911

1906

1908

1908

1906

1911

1906

1909

1913

1915

1907

1900

1913

1900

1908

1911

1911

1911

1900

1917

1900

1907

1903

1915

1909

1917

1913

1910

1917

1911

1914

1911

1911

1915

1915

1911

1917

1910

RENARD (Léon)

RENARD (René)

RIGOLET (André)

RIHOUEY (Henri)

RIMASSON (Alfred)

RIMBAULT (Auguste)

RIMBAULT (Désiré)

RINGUÉDÉ (Edmond)

RINGUET (Gaston)

RIOLLET (Théodule)

RION (Marcel)

RIOUX (Gaston)

RIPAULT (Maurice)

RIVEMALE (Émile)

RIVET (Charles)

RIVIÈRE (Jules)

ROCHE (Marcel)

ROCHELLE (Lucien)

ROCHE (Henri)

ROCHE (Henri)

ROCHER (Alphonse)

ROBERT (Alfred)

ROBERT (Albert)

ROBERT (Charles)

ROBERT (René)

ROBERT (Prosper)

ROBERT (André)

ROBILLARD (Lucien)

ROBILLOT (Georges)

ROBIN (Eugène)

ROBIN (Henri)

ROBIN (Georges)

ROBIN (Léon)

ROBIN (Joseph)

ROBIN (René)

ROBIN (René)

ROBINEAU (Auguste)

ROBINEAU (Henri)

ROBINET (Célestin)

ROBINET (Émile)

ROBINET (Eugène)

ROBINET (François)

ROBLET (Maurice)

ROBLIN (Octave)

ROBOUAN (Auguste)

1917

1901

1913

1907

1913

1910

1910

1909

1914

1907

1913

1915

1907

1917

1902

1899

1912

1911

1904

1918

1900

1914

1917

1917

1904

1909

1905

1915

1915

1914

1898

1900

1901

1904

1910

1909

1910

1909

1903

1903

1911

1912

1916

1913

1912




52 / 69


RIEDINGER (Alphonse)

RIEU (Abel)

ROCHER (Émile)

ROCHERIEUX (Cyrille)

ROCHERON (Georges)

ROCHETEAU (Maurice)

ROCHETTE (François)

ROHAERT (Camille)

RODRIGUES (André)

ROGER (Armand)

ROGER (Césaire)

ROGER (Charles)

ROGER (Georges)

ROLLAND (Lucien)

ROLLON (Georges)

ROMAN (Frédéric)

ROMAZON (Fernand)

ROSARD (Raphaël)

RONNET (Léandre)

RONDONNEAU (Eugène)

RONDET (Gilbert)

RONDET (André)

RONCHER (Victor)

RONCERAY (Louis)

RONCE (Fernand)

ROSSIGNOL (François)

ROSSIGNOL (Fernand)

ROSE (Eugène)

ROSSIGNOL (Louis)

ROTH (Édouard)

ROUCH (Adolphe)

ROUBALLAY (Maurice)

ROUBERT (Edmond)

ROUBERTY (Léopold)

ROUET (Auguste)

ROUGER (Pierre)

ROUGERIE (François)

ROUGEYRON (André)

ROUGIER (Georges)

ROUILLON (Georges)

ROULET (Sylvain)

ROULLEAU (Alfred)

ROULLET (Arthur)

ROUMIER (Pierre)

ROUSSEAU (Armand)

1902

1917

1909

1900

1908

1907

1902

1911

1911

1910

1910

1901

1915

1914

1907

1918

1917

1911

1903

1910

1905

1914

1911

1905

1908

1913

1909

1902

1893

1914

1915

1913

1911

1909

1906

1910

1908

1912

1915

1909

1902

1902

1909

1918

1911

ROBUCHON (Louis)

ROCHER (Pierre)

ROUSSEAU (Émile)

ROUSSEAU (Jules)

ROUSSEAU (Sylvain)

ROUSSEAU (Léon)

ROUSSEAU (Maurice)

ROUSSEAU (Paul)

ROUSSEAU (Raymond)

ROUSSEAU (René)

ROUSSEAU (René)

ROUSSEL (Pierre)

ROUSSELET (André)

ROUSSELET (Georges)

ROUSSET (Louis)

ROUTABOUL (Ludovic)

ROUX (Aimé)

ROUX (Arthur)

ROUX (Henri)

ROUX (Joseph)

ROUX (René)

ROUX (Robert)

ROUY (Marcel)

ROUYER (Jean)

ROUYER (François)

ROUZEAU (Robert)

ROUZIC (François)

ROY (Georges)

ROY (Jean)

ROY (René)

ROY (Victorien)

ROYER (Ernest)

ROYER (François)

ROYER (Gaston)

ROYER (Georges)

ROYER (Henri)

RUAU (Georges)

RUBY (Georges)

RUELLAN (Maurice)

RUET (Lucien)

RUFFIN (Lucien)

RUZÉ (Alphonse)

ROMBAUTS (Maurice)

SABAROT (Pierre)

SABATIE (Oscar-Alphonse)

1901

1912

1914

1908

1908

1905

1913

1909

1905

1915

1912

1909

1908

1917

1911

1917

1917

1914

1909

1917

1917

1915

1909

1906

1901

1914

1912

1915

1911

1911

1911

1911

1905

1910

1909

1911

1911

1911

1910

1911

1916

1900

1911

1898

1900




53 / 69


ROUSSEAU (Arthur)

ROUSSEAU (Célestin)

SACHÉ (Louis-Auguste)

SAILLANT (Georges-François)

SAILLANT (René)

SAILLARD (Gaëtan-Louis)

SAILLEAU (Gaston-Henri)

SAINTOURENS (Jean-Pascal)

SALDUMBIDE (Bernard)

SALÈS (Henri-Fernand)

SALESSES (Émile)

SALEUR (Bertrand)

SALGUES (Henri-André)

SALLARD (Louis)

SALLENAVE (Charles-Henri)

SALMON (Gaston-Louis)

SALVAT (Alexandre)

SALTZMAN (Marcel)

SAMOUR (Marcel)

SAMSON (Paul-Louis)

SANSON (Louis-André)

SAPIN (Georges)

SARAH (Rémy-Octave)

SARRAZIN (Paul-Maurice)

SARTHOU (André-Benoît)

SARTON (René)

SASSIN (Maurice-Louis)

SAUGÉ (Henri)

SAUGERON (Charles)

SAUGRAIN (Émile-Clément)

SAUMÈRE (Louis-Émile)

SAUSSET (Léon)

SAUSSOY (Lucien-Georges)

SAUTOUR (Émile)

SAUVAGE (Alexandre)

SAUVÉ (André-Georges)

SAUVÉ (Pierre)

SALMON (Gaston-Louis)

SAVAREAU (René-Joseph)

SAVARY (Jean-Paul)

SAVARY (Marcel)

SAVIGNARD (Émile-Henri)

SAZEIRAT (Georges-Fernand)

SCHACKÉ (Albert)

SCHAUB (Auguste)

1906

1911

1910

1908

1904

1916

1909

1901

1907

1912

1900

1908

1914

1911

1911

1908

1915

1910

1911

1908

1916

1912

1908

1901

1913

1913

1901

1910

1909

1911

1914

1913

1913

1912

1908

1912

1908

1918

1910

1919

1911

1913

1915

1910

1900

SABIN (Valentin-Célestin)

SABRE (Charles-Désiré)

SCHMID (Julien-Louis)

SCHMIDT (Jules)

SCHMITT (Jacques-Nicolas)

SCHMITT (Lucien-Paul)

SCHNEIDER (Jules-Ernest)

SCHNEIDER (Jules-Louis)

SCHNEIDER (Robert)

SCHREYER (Heymann-Robert)

SCHUHMACHER (Joseph)

SCHWAYDER (Cerf)

SCHWARTZ (André)

SCHWOBMANN (Hermann-Fred.)

SCIAUVEAU (Georges-Élie)

SCOUMANNE (André-Pierre)

SEAUTIER (Albert)

SECRETIN (Maurice-Joseph)

SÉGRÉ (Raymond)

SEGUÈS (Jean)

SEGUELTES (Jean-Marcel)

SEGUIN (Ernest-Alexandre)

SEIGNEURIE (Élie-Jean)

SEGUY (Michel-Jean)

SEIGNEUR (Pierre-Gilbert)

SEILER (Joseph)

SEUVERT (André-Félix)

SEJOURNÉ (Maurice-Albert)

SELLIER (Camille-Omer)

SELLIER (Charles-Placide)

SEMELLE (Narcisse)

SENELLIER (René)

SENLANNE (Jean-Marie)

SENOT (Eugène-Alphonse)

SENSEY (Gaston-Jean)

SEPTIER (Maurice-Louis)

SERREAU (Louis-Désiré)

SERPIN (Auguste)

SERON (François-Louis)

SERRE (Henri-Eugène)

SERVOIN (Aimable-Désiré)

SEUBE (Baptiste-François)

SEVIN (Charles-Victor)

SIBIEUDE (Benjamin-François)

SIGONNEAU (Maurice-Victor)

1913

1892

1915

1893

1910

1905

1898

1911

1914

1913

1914

1911

1910

1911

1909

1915

1908

1914

1913

1908

1914

1915

1912

1893

1911

1905

1915

1913

1909

1903

1911

1915

1912

1911

1911

1913

1911

1903

1904

1912

1900

1903

1900

1911

1911




54 / 69


SCHERIER (Jean-Pierre)

SCHIRARDIN (Charles)

SILVIN (Charles-Georges)

SILVOZ (Paul-Lucien)

SIMON (Albin-Raoul)

SIMON (Armand)

SIMON (Charles-Xavier)

SIMON (Étienne-Prosper)

SIMON (Louis-Eugène)

SIMON (Sylvain-Auguste)

SIMOND (Henri-Philibert)

SIMONNET (Maurice-Gaston)

SIMOULIN (Joseph)

SINEAU (André-Jacques)

SINET (Henri)

SINET (Roland-Charles)

SIONNEAU (Roger-Charles)

SOLA (Laurent-Jean)

SOIBINET (Maurice-Louis)

SIORY (Auguste-Émile)

SOLON (Léon-Félix)

SOMMIER (Frédéric-Charles)

SOUBIÉ (Georges-Albert)

SOUBIEUX (Albert-Fernand)

SOUBIEUX (Henri-Adrien)

SOUBIEUX (Louis-Jacquelin)

SOULAGE (Alfred-Charles)

SOULÉ (Célestin-Jean)

SOULEYREAU (Raymond-Jules)

SOUPIZON (François)

SOURD (Lucien-Edmond)

SOURDEAU (Eugène-Louis)

SOURDEAU (Évariste-Joseph)

SOUSTRE (Pierre-André)

SOUVILLE (Désiré-Gaston)

SOYER (Bernard-Octave)

SOYER (Marcel-Henri)

SPACTH (Marcel-Georges)

STAHL (Albert)

STAUB (André)

STEFAN (Georges)

STOBRE (Gaston-Ernest)

SUGT (Paul-Louis)

SURGÉ (Dominique -Henri)

SURSAIN (Émile-Armand)

1900

1915

1905

1911

1912

1907

1909

1912

1900

1909

1911

1912

1908

1913

1914

1910

1912

1911

1911

1900

1903

1913

1905

1905

1905

1908

1903

1916

1914

1910

1911

1900

1912

1909

1912

1911

1911

1905/18

1901

1909

1901

1911

1913

1913

SIGOT (Georges-Émile)

SILVESTRE (Armand)

TABARANT (Jean)

TABART (Léo)

TACNET (François)

TAFOUREAU (Georges)

TAILLADE (Félix)

TAILLEFER (François)

TALBOT (Paul)

TALMON (Maurice)

TAMISIER (Camille)

TANGUY (Joseph), E. V.

TANGUY (Henri)

TARANNE (Fernand)

TARDIVEL (Charles)

TARNIER (Hubert)

TAUREL (Lucien)

TAVERNIER (François)

TAZÉ (Anatole)

TELLIER (René)

TELLIÈRE (Albert)

TERRIEN (André)

TERRIEN (Lucien)

TERRIER (Charles)

THAUVIN (Léon)

TESSIER (Henri)

TESSIER (Ernest)

TESSIER (Joseph)

TESSIER (Joseph)

TESTELIN (Gustave)

TÉTARD (Émile)

TÊTU (Joseph)

THAUVIN (Clodomir)

THEIL (Gabriel)

THEMELIN (Marc)

THÉPIN (Abel)

THÉVENIN (Germain)

THIBAULT (Henri)

THIBAULT (Isidore)

THIBAULT (Robert)

THIBOUT (Octave)

THIENNOT (Eugène)

THIERCELIN (Ernest)

THIERRY (Jules)

THIÉRY (Henri)

1900

1900

1906

1900

1907

1909

1916

1909

1908

1912

1899

1914

1913

1914

1901

1916

1913

1903

1895

1905

1894

1912

1912

1902

1901

1906

1897

1908

1902

1899

1906

1917

1902

1909

1899

1901

1913

1907

1908

1910

1914

1903

1893

1900

1909




55 / 69


SUSSET (Paul-Charles)

SUTTIN (Camille-Alexandre)

THIREAU (Auguste)

THIROT (Abel)

THOMAS (Aristide)

THOMAS (Edmond)

THOMAS (Maurice)

THOMAS (Léon)

THOMAS (Robert)

THOMAZET (François)

THORET (Marcel)

THUILLIER (Gabriel)

THUILLIER (Marius)

THURIN (Auguste)

TILLEUL (Edmond)

TILLET (Gaston)

TILLIER (Pierre)

TIMBERT (Lucien)

TIQUET (André)

TIRADON (Olivier)

TIXIER (Jean-Marie)

TIXIER (René)

TONNELIER (Marius)

TOUCHAIN (Gaston)

TOUCHOTTE (Gaston)

TONNELIER (Maxime)

TORT (Henri)

TOULHOAT (Henri)

TOURAINE (Marcel)

TOURNEUX (Pierre)

TOUTAIN (Paul)

TOUTIN (Alfred)

TOUTIN (Georges)

TRABESSE (Jean-Marie)

TRACLET (Célestin)

TRÉCUL (Georges)

TRIFFAULT (Paul)

TROLET (Théophile)

TROUILLET (Henri)

TROUVAT (Georges)

TUFFIER (Wilfrid)

TULASME (Louis)

TULIVET (Louis)

TURBÉ (Pierre)

TURBET (Léonce)

1914

1907

1909

1916

1912

1900

1913

1904

1916

1902

1905

1914

1914

1910

1914

1909

1905

1912

1914

1905

1914

1905

1917

1915

1907

1913

1913

1909

1904

1913

1906

1901

1901

1905

1912

1913

1909

1912

1907

1911

1904

1912

1906

1911

1901

THIÉRY (Pierre)

THIOLLET (Eugène)

URRÈRE (Pierre)

VACHERET (Michel)

VACHOT (Eugène)

VADIS (Fernand)

VADURET (Julien)

VALLERET (Edmond)

VALLET (Ernest)

VALLIANDET (Alexandre)

VANBROUCK (Jean)

VANDENDRIESSCHE (Charles)

VANDEN VAERO (Franck)

VANDRISSE (Georges)

VANNIER (Paul)

VAPPEREAU (Alexandre)

VAPPEREAU (Florentin)

VAPPEREAU (Maurice)

VASLIN (Lucien)

VASSORT (Robert)

VATIN (Eugène)

VAUDEMONT (Charles)

VAUTIER (Achille)

VAUX (Jean)

VAVASSEUR (Lucien)

VAYHINGER (Émile)

VEILLARD (Louis)

VELLARD (Henri)

VELLUET (Émile)

VENDEVILLE (Léon)

VENEAU (Charles)

VENON (Eugène)

VENOT (Alfred)

VENOT (Henri)

VENTUCI (Noël)

VERDIER (Casimir)

VERÊME (Robert)

VERDUN (Camille)

VERGER (Clotaire)

VERGÈS (Jean)

VERGER (Jean)

VERNEAU (Jean-Baptiste)

VERNEUIL (Jean-Baptiste)

VERNUSSET (Louis)

VÉRY (Henri)

1901

1908

1906

1917

1914

1908

1916

1908

1907

1913

1912

1912

1901

1899

1914

1893

1909

1906

1913

1916

1901

1912

1911

1906

1915

1910

1916

1916

1900

1899

1907

1898

1911

1906

1911

1917

1912

1905

1897

1912

1905

1909

1913

1913

1916




56 / 69


TURREL (Clément)

UHADELBORDE (Jean)

VIAL (Robert)

VIAS (Joseph)

VIDAL (Henri)

VIDAL (Michel)

VIDDELEIR (Georges)

VIETE (Roger)

VIGNAL (Raphaël)

VIGROUX (Albert)

VIGNIER (Adolphe)

VILLAIN (Auguste)

VILLANNÉ (André)

WORMS (André)

VILLARDRY (Gaston)

VILLEMAIN (Félix)

VILLETTE (Abel)

VINGENEAU (Jules)

VINCENT (Alphonse)

VINCENT (Léon)

VINCENT (Léon)

VINCLER (Ernest)

VINDREAU (Paul)

VIOLOT (François)

VIRON (Fernand)

VISAGE (Ernest)

VITET (Alexandre)

1902

1914

1915

1911

1905

1904

1909

1914

1913

1917

1918

1902

1915

1907

1905

1912

1904

1917

1909

1913

1914

1901/18

1908

1904

1900

1903

1909

VERVIN (René)

VEZIN (Clément)

VITRÉ (Ludovic)

VIVEN (Bernard)

VIVIER (Charles)

VIVIER (Joseph)

VOIRY (Robert)

VOISIN (Octave)

VOLTZ (Léon)

VONNET (Albert)

VOUILLARMET (Paul)

VRILLON (Charles)

VRILLON (Marcel)

VIGNEUL (Marcel)

VILLETTE (Georges)

VOLLMER (Nicolas)

WABRAVENS (Alfred)

WALLET (Joseph)

WALTHER (Georges)

WATRIN (Victor)

WEIL (Léon), A. L.

WEISSENBACH (Aimé)

WOLF (René), A. L.

WOLF (Jacques)

ZIMMERLI (Fernand)

ZURFLUH (Henri)

1913

1909

1903

1902

1909

1913

1911

1916

1910/14

1913

1899

1902

1908

1909

1903

1910

1906

1906

1914

1908

1914/11

1917

1902

1902

1904

1910




57 / 69

Liste des Officiers, Sous-Officiers, Caporaux et Soldats disparus

————<O>————


BOURGEOIS (Marius), sous-lieut.

CHAMPAULT (Fernand), lieutenant

CIAIS (Clément), sous-lieutenant

DUBROCA (Georges), méd. aid.-maj.

GIABICANI (Antoine), lieutenant

GRAPIN (Henri), capitaine

1910

1905

1916

1910

1910

1901

LEFÈVRE (Marcel), lieutenant

LENZI (Jean), sous-lieutenant

NASPLESE(Paul), lieutenant

PASCAL (Albert), capitaine

VINCENT (Maurice), sous-lieutenant

LAURENS (Gabriel), capitaine

1909

1894

1902/05

1907

1900/02

1883

============


ADAM (Albert-Maurice)

AGOGUÉ (Placide-Aimable)

ALLARD (Adolphe-Philadel.)

ALLIOU ((Charles-Adolphe)

AMI (Auguste-Jean)

AMIOT (René-Georges)

ANGLEMENT (Auguste-Louis)

ANTONY (Henri-René)

ARNOULT (Georges-Albert)

ASSELIN (René-Baptiste)

ASSÈRE (Ernest)

AUBRÉE (Gaston-Louis)

AUCHÉ (Eugène)

AUCORDIER (Gaston-Eugène)

AUDEBOURG (Fernand-Eugène)

AUGER (Alphonse)

AUGER (André-Aimé)

AUGUSTIN (Édouard-Eugène)

AVIGLAIN (Émile-Eutrope)

AVRILLON (Clotaire)

AYRINHAC (Raymond-Alfred)

BAGARIA (François-Augustin)

BAJON (Louis-Henri)

1901

1908

1909

1915

1918

1909

1916

1908

1902

1909

1908

1906

1917

1903

1902

1901

1907

1908

1900

1912

1913

1917

1915

BALI (Octave-Eugène)

BALLAND (Francis)

BALLOT (Louis-Henri)

BARABANT (Aimé)

BARAT (Eugène-Charles)

BARATIN (Aimé-Lambert)

BARBE (Albert-Adrien)

BARDET (Jules-Joseph)

BARDIN (Robert-Louis)

BARDOU (Célestin-Auguste)

BARNOUX (Abel-Marie)

BARON (Pierre-Paul)

BARRÉ (Anatole)

BARREAU (Modeste-Isidore)

BARRON (Jean-Clément)

BARTHÉLEMY (Édouard-Eugène)

BARTHÈRE (Gaston-Henri)

BASSEREAU (François-Charles)

BATMALE (Baptiste)

BAUDOU (Jules-Élie)

BAZIMON (Alfred-Maurice)

BEAUDOIN (André-Louis)

BEAUDRON (Henri-Eugène)

1900

1917

1905

1902

1898

1903

1903

1902

1905

1910

1900

1899

1901

1903

1908

1900

1904

1909

1905

1913

1907

1903

1906




58 / 69


BEAULANDE (Célestin-Laurent)

BEAUVALLET (Gaston-René)

BEIGNET (Joseph-Désiré)

BEITZ (Antoine), E. V.

BENAIS (Jules-Louis)

BÉNARD (Camille-Marcel)

BENOIST (André)

BENOIT (Abel-Marc)

BENOIT (Maurice-Léopold)

BENOIT (Pierre-François)

BER (Henri-Georges)

BERGERET (Jules), E. V.

BERNARD (Georges)

BERRUET (Eugène-Henri)

BERTHE (Octave-Paul)

BERTHIAUX (Roger-Fernand)

BERTHINIER (Antoine-Jean)

BESNARD (Ambroise-Abel)

BESNARD (Eugène-Victor)

BESNIER (Gaston-Louis)

BESNIER (Louis-Auguste)

BESRET (Constant-Pierre)

BESSON (Jean-Jacques)

BESSON (Marcel-Henri)

BIBIAN (Désiré-François)

BIENVENU (Gaston-Maurice)

BILLARD (Jean-Paul)

BINGERT (Nicolas-Marcel)

BIORÉ (Georges)

BIRE (Honoré-Marie)

BIRON (François-Léon)

BISSON (Charles)

BISSON (Louis-Aristide)

BIZET (Alexis-Laurent)

BLAIN (Eugène-Désiré)

BLANC (Georges-Louis)

BLANC (Joannès)

BLANCHARD (Clotaire-Léon)

BLANCHARD (René-Fernand)

BLANCHARD (Robert-Charles)

BLANCHET (Raphaël-Eugène)

BLANDIN (Armand-Florentin)

BLEIN (Maurice-Eugène)

BLIN (Émile)

BLONDET (Louis-Raphaël)

1901

1908

1901

1914

1910

1906

1900

1908

1908

1900

1912/14

1918

1914

1900

1900

1908

1915

1909

1917

1905

1917

1913

1911

1903

1916

1900

1911

1900

1913

1913

1903

1916

1908

1908

1902

1900

1917

1909

1916

1910

1908

1902

1906

1917

1914

BREYSACH (Charles), A. L., E. V.

BODEREAU (Arthur-Eugène)

BODIN (René-Georges)

BODIN (Raphaël-Victor)

BOISSEAU (Germain)

BOISSON (Ernest-François)

BONDONNEAU (Jules-Félix)

BONIMARE (Albert-Joseph)

BONIN (Léon-Albert)

BONIN (Robert-Paul)

BONNEAU (Marcel)

BONNECARRÈRE (Rodolphe)

BONNEFOY (Marcel)

BONNIGAL (Rémy-Augustin)

BORDE (Paul-Théodore)

BORDIER (Arcade)

BOREL (François-Marius)

BOTTEAU (Charles-Émile)

BOUCHER (Charles-Henri)

BOUCHER (Charles)

BOUCHER (Désiré-Maurice)

BOUDEGOURD (Charles-Eugène)

BOUGES (Émile-Adrien)

BOUILLON (Camille-Anselme)

BOULAGE (Frédéric-Firmin)

BOULARD (Louis)

BOULAY (Jean-Marie)

BOULLÉ (Théophile)

BOURACHOT (Valentin)

BOURCIER (Maurice)

BOURDEUX (Ernest-Jean)

BOURDON (Achille-Robert)

BOURGEOIS (Jules)

BOURGEOIS (Raoul-Émile)

BOURGEOIS (Pierre-Edmond)

BOURGEOIS (Vincent-Nestor)

BOURROUEL (Édouard-Antoine)

BOUTEVIN (Eugène-Louis)

BOUTIN (Édouard-Théophile)

BOYER (Henri-Alphonse)

BRAUER (Charles)

BRAULT (Pierre-Auguste)

BREBOIN (Gabriel)

BRECHEMIER (Gabriel-Virgile)

BREMONTIER (Marcel-Georges)

1914

1903

1913

1909

1909

1910

1906

1911

1909

1916

1916

1918

1914

1908

1909

1909

1917

1910

1913

1914

1910

1914

1914

1900

1901

1911

1913

1900

1914

1908

1909

913

1908

1900

1914

1908

1918

1906

1918

1917

1914

1900

1911

1909

1913




59 / 69


BREYSACH (Charles-Louis)

BREXEL (Désiré-Jean)

BRIAND (Joseph-Marie)

BRIANTAIS (Pierre)

BRILLANT (Albert-François)

BRILLET (Maurice-Raphaël)

BRIN (Léon-Émile)

BRISMUR (André-Désiré)

BRISSET (Alphonse)

BROCHON (Désiré-Eugène)

BROUARD (Maxime-Louis)

BROUSSIN (Auguste-Louis)

BRUÈRE (Alexandre)

BRULEZ (Louis-Émile)

BRUNEAU (André-Émile)

BRUNEL (Pierre-Joseph)

BRUNET (Octave)

BRUYÈRE (Jules-Octave)

BUCHERRE (Marcel-Em.), E. V.

BUÉ (Jules-Louis), A. L.

BUCKAN (Charles), A. L., E. V.

BUECHER (L.-J.), A. L., E. V.

BUFFET (Aimé-Louis-Joseph)

BUIRET (François-Hippolyte)

BUQUET (Victor-Louis)

BURET (Arsène-Ludovic)

BURIEZ (Clovis-Joseph)

CAILLARD (Fernand-Émile)

CAILLARD (Maurice-Eugène)

CAILLAUX (Pierre-André)

CAILLOUX (Maurice-Émile)

CARATY (Raoul)

CARRÈRE (Albert-Jean-Marie)

CARRON (Eugène-Théodore)

CARRUELLE (Eugène-Auguste)

CASSAUD (Camille)

CASSARD (Jean-Gaston)

CASTELBOUT (Louis-Prosper)

CASTEL-LAVIE (Frédéric-Léon)

CASTOR (Maurice-Edgar)

CAUSSE (Albert-Marcel)

CAZABAT (Bernard-Julien)

CAZENAVE (Jean-Alfred)

CAZAUX (Étienne-Jean-Marie)

CÉRÉ (Paul)

1913/14

1907

1913

1913

1908

1917

1901

1916

1909

1909

1905

1898

1908

1910

1914

1918

1909

1914

1916

1908

1918

1918

1911

1904

1902

1905

1914

1909

1903

1909

1907

1902

1918

1916

1906

1908

1917

1918

1918

1902

1910

1918

1918

1908

1914

CHAIGNAUD (Gaston)

CHAISNÉ (Adrien)

CHAMBERT (Désiré)

CHAMPAULT (Marie-Alfred)

CHANCELIER (Maurice-Paul)

CHANTEPIE (Charles-Albert)

CHAPELIN (Germain-Marcel)

CHAPELLE (Hippolyte-Ernest)

CHARDON (Gaston-Émile)

CHARDONNEAU (Henri-Marie)

CHARMY (Aristide-Louis)

CHARPENTIER (André-Émile)

CHARPENTIER (Auguste-Élie)

CHARPIGNY (Eugène)

CHARRIER (Théophane-Henri)

CHARRUYER (Samuel)

CHASSIN (Jules-Alphonse)

CHATAIN (Jérôme-Gaston)

CHAUD (Antonin)

CHAUNIER (Claude)

CHAUSSEPIED (Ernest-Louis)

CHAUVEAU (Antoine)

CHAUVET (Adrien-Jules)

CHAUVIER (Abel)

CHAVANY (Julien-Félix)

CHAZAL (Émile-François)

CHEBROUX (Louis)

CHELETTE (Joseph-Alphonse)

CHENESSEAU (Raymond)

CHERPEAU (Paul-Marie)

CHEVALIER (Joseph-Auguste)

CHEVALLIER (Ernest-Maurice)

CHEVRIER (Émile-Adolphe)

CHEVRON (Albert-Maurice)

CHOISNARD (Edmond-Jules)

CHOLET (Jean)

CISEAU (Émile-Alexandre)

CLAIN (Ernest)

CLARIS (Henri)

CLAVIÈRE (Claudius-Jean)

CLÉMENT (Maurice-Charles)

CLERC (Félix-Barthélemy)

CLEVIER (Georges)

CLÉZARDIN (Clovis)

CLUZEL (Léon-Jules)

1913

1908

1893

1900

1917

1904

1912

1918

1900

1913

1905

1909

1903

1909

1913

1913

1916

1909

1917

1917

1910

1913

1914

1909

1917

1907

1913

1917

1902

1902

1905

1913

1904

1916

1908

1902

1900

1917

1918

1904

1911

1918

1907

1909

1918




60 / 69


COCHARD (Modeste-Grégoire)

COCHET (Auguste-Henri)

COCHIN (Léon-Ernest)

COIGNET (Lucien-Gaston)

COINTEPAS (Homère-Wilfrid)

COLAS (Georges)

COLAS (Léon-Henri)

COLIN (Joseph)

COLLI (Camille-Pierre)

COLOMBIER (Hippolyte-Alphonse)

CONAN (Jean-Marie)

CONSTANTIN (Marcel-Victor)

CONTER (Alexandre)

CORBET (René-Alexis)

CORBON (Fernand-Élie)

CORDELLIER (Marcel-Camille)

CORMERY (Eugène-Arsène)

CORNU (Lucien-Eusèbe)

CORNUT (Basile-Marie)

COSNIER (Charles-Auguste)

COSTALLAT (Albert)

COTÉ (Pierre-André)

COTTEREAU (Eugène-Maurice)

COULÉARD (Émile-Julien)

COULET (Léon-Étienne)

COURSON (Lucien-Camille)

COURTAS (Robert-André)

COURTE (Henri-Alphonse)

COURTOIS (Louis-Pierre)

COUTADEUR (Théodore-Placide)

COUTANCEAU (Albin-Noël)

COUTON (Eugène)

COUTY (Émile-Victor)

CRÉPIN (Jules-Émile)

CRÉPIN (Henri-Alfred)

CROZAT (Gaston-Joseph)

CRUCHET (Maurice-Eugène)

CUIRBLANC (Gaston-Joseph)

DABURON (Baptiste-Victor)

DAGUET (André)

DAILLY (Joseph-Pierre)

D’ALÈS-BOSCAUD (Jean-M.-J.)

DALIN (Louis-Pierre-Yvan)

DALINO (Jean-François-Marie)

DANDIN (Marcel-Joseph-Albert)

1903

1913

1910

1905

1915

1913

1916

1913

1914

1916

1911

1910

1901

1915

1912

1914

1913

1910

1917

1908

1918

1911

1910

1910

1903

1912

1912

1905

1915

1901

1901

1913

1909

1914

1909

1918

1912

1913

1902

1898

1912

1908

1912

1911

1911

DANO (Gabriel-Jean-Marie)

DARÉES (Ferdinand-Frédéric)

DARGERY (Marcel-Marius-Gab.)

DAUBRY (Georges-Alphonse)

DAUDIER (Gustave-Adrien-Jos.)

DAUPHIN (Charles-Albert)

DAVID (Camille-Jules)

DAYE (Auguste-Léon)

DAYE (Louis-Octave-Frédéric)

DEBRAY (Arthur-Jacques-Alb.)

DEBURE (Charles)

DEGEILH (Georges)

DEJOIE (Edmond)

DELABROUILLE (Marcel-Méd.)

DELAFAYE (Charles-Albert)

DELAFOY (Paul-Alfred)

DELAGE (Julien)

DELAIRE (Émile-Louis-Eugène)

DELAITRE (Eugène)

DELÉCHENEAU (Achille)

DELECROIX (Léon)

DELÉPINE (Camille)

DELIGEON (Marcel-Jean-Arthur)

DELPAL (François-Germain)

DELPRAT (Joseph-Jean-Baptiste)

DEMAISON (Charles-René)

DEMION (Armand)

DÉMON (Eugène-Victor-L.-A.)

DENGLOS (Albert-Louis-Joseph)

DERAIN (Marcel)

DEROUET (Auguste)

DEROUIN (Julien-Cyrille-P.)

DESAUNAY (Henri)

DESBOIS (Gabriel-Joseph)

DESFRAY (André-Charles-Paul)

DESLANDES (Alfred)

DESMAISONS (Eugène-Jos.-Fr.)

DESNEUX (Laurent-Joseph)

DESPONT (Roger)

DIARD (Désiré-Alphonse)

DIVRAY (Valmar-Georges-F.)

DOINEAU (Auguste-Baptiste)

DOLLO (Jean-Baptiste)

DOMINÉ (Léon)

DONGNY (Georges-Jean-Victor)

1911

1917

1909

1917

1901

1902

1909

1902

1904

1903

1913

1918

1916

1903

1905

1907

1913

1912

1913

1912

1914

1913

1913

1918

1917

1909

1913

1912

1917

1900

1901

1910

1912

1910

1912

1907

1911

1912

1913

1908

1912

1910

1911

1904

1906




61 / 69


DORGEBRAY (Désiré-Alexandre)

DORNEAU (Marie-Charles-A.)

DORON (Gustave)

DOUCIN (Albert-Désiré-L.-B.)

DOZIAS (Adrien-Anatole)

DREUIL (Jean-Gaston)

DRIEU (Paul-Auguste)

DRON (Georges-Victor)

DROUANT (Émile-Constant-E.)

DROUARD (Louis-Albert)

DRUGRAULT (Casimir-Joseph)

DUBOIS (Charles)

DUBREUIL (Gustave-Léon)

DUCHESNE (Albert-Georges)

DUFESTEL (Élie-Maurice-Alix)

DUFFAU (Armand-Pierre)

DUFOUR (Arthur-Isidore)

DUFOUR (Gustave-Clément)

DUGUÉ (Georges)

DUMAS (Jean-Louis-Alexandre)

DUPUIS (Ernest-Jules)

DUPUY (Raymond-Maurice-R.)

DURAND (Alexandre-Achille)

DURAND (Émile-François)

DURAND (Charles-Eugène)

DURAND (Lucien)

DURAND (Lucien-Charles-Léon)

DURAND (Raymond-Ernest)

DUSSERT (André-Victor)

DUTEIL (Jules-Henri-Marcel)

DUVAUD (Alfred)

DUVIVIER (Fernand)

EICHHOLTZER (Émile-A.), E. V.

ERIPEL (Charles-Albert)

ESCUDIER (Marcel-Louis)

EVEN (Alphonse), E. V.

FAGES (Frédéric)

FALCE (Joseph-Hubert-Vincent)

FARAUD (Albert-Marie-Danton)

FARNAULT (Henri-Georges)

FASTRÉ (Lucien-Eugène)

FATIN (Élie-Léon)

FAUCHEUX (Louis-Georges)

FAUCHEUX (Roger-Albert)

FAUST (Eugène), E. V.

1912

1901

1912

1908

1903

1918

1909

1913

1911

1918

1900

1902

1901

1901

1905

1904

1903

1902

1913

1908

1902

1913

1917

1918

1908

1913

1903

1916

1916

1908

1913

1908

1914

1910

1913

1914

1906

1912

1908

1910

1908

1908

1908

1904

1914

FAUZÉ (Edmond-Auguste)

FAVRE (Émile)

FAVRE (Francis-Lucien-Paul)

FAVRE (Pierre-Marie)

FAVREAU (Jean-Baptiste)

FAUVY (Henri)

FAYOLLAT (Louis-Henri)

FAYOUX (Jean-Claude)

FELBERT (Henri), E. V.

FERMÉ (Eugène-Robert)

FERRAND (Armand-Henri-V.)

FERRAND (René-Lucien)

FERRÉ (Jean-Adolphe-Ed.)

FERRY (Gontran-Albert)

FESNIÈRES (Eugène-André)

FILLON (Charles-Eugène)

FISCHER (Léon-Jules), E. V.

FITON (Henri)

FLAVIEN (Léonce-Léopold)

FLEURY (Henri-Narcisse-D.)

FOLLÉA (Julien-Maurice)

FOLTIER (Henri-Gustave)

FONTENAS (Georges)

FONTEYN (Émile-Jules)

FOREL (Ferdinand)

FORESTIER (Léonce)

FORQUERAY (Lucien-Émile)

FORT (Georges)

FORTÉPAULE (Jules)

FORTIER (Julien-Clément)

FOUBERT (Maxime-R.-G.)

FOUBERT (René-Fernand)

FOUET (Joseph)

FOUGEREAU (Eugène-Émile)

FOUQUEREAU (Albert-Baptiste)

FOUQUET (Albert-Sosthène-A.)

FOURCADE (Pierre)

FOURNIER (Émile-T.-F.-A.)

FOURNIER (Jean)

FRADET (René-Henri)

FRALION (Gaston-Émile)

FRANÇOIS (Désiré-Jules)

FRANGEUL (Pierre-Marie)

FRÉMONT (Armand-Gustave)

FRÉNEAU (Albert-Julien-Clém.)

1901

1913

1910

1917

1908

1912

1907

1912/14

1914/18

1913

1897

1913

1903

1910

1916

1917

1907/08

1900

1908

1912

1910

1900

1910

1912

1906

1913

1913

1910

1901

1903

1913

1908

1911

1903

1909

1912

1902

1916

1912

1912

1909

1900

1912

1914

1912




62 / 69


FROMMER (Albert)

FROMONT (Marie-Louis-J.-P.)

FROUIN (Ernest-Maximilien-C.)

FRUSSIEN-DEMAUFOND (E.-R.)

GABARROU (Henri)

GABRIEL (Eugène)

GAIGNARD (Émile-Louis)

GALY (Alcide-Raymond)

GARANTIE (Auguste)

GARNIER (Eugène-A.-G.-F.)

GARNIER (Maurice-Louis-Roger)

GARREAU (Clément-Louis-Sér.)

GARRIGOU (Henri-Léon)

GASNIER (Raymond-Gaston-A.)

GASSELIN (Robert-Aristide-D.)

GATELIER (Fernand-Eugène)

GATIEN (Léon-Georges-Gustave)

GATINEAU (René-Robert)

GAUBERVILLE (Ulysse-Lucien)

GAUCHER (Justinien-Firmin)

GAUCHER (Marcel-Louis)

GAUGUIN (Georges-Émile)

GAUTHIER (Édouard-Désiré)

GAUTIER (Marcel-René)

GAUTIER (Maurice-Émile)

GAYE (Julien surn. Niouette)

GAUVIN (Désiré)

GENDARME (Léon-Désiré)

GÉNÉRAT (Georges-Marcellin)

GENÊT (Jean-Eugène)

GENNETAY (Georges-Maur.-H.)

GEORGETTE (Louis-Jacques-E.)

GÉRARD (Abel-Alfred)

GERBERON (Charles)

GILBERT (Edgar-Louis-Désiré)

GIBERT (Gabriel-Henri-Désiré)

GILBERT (Henri)

GILIS (Auguste-Paul)

GILLE (René-Étienne-Bernard)

GILLES (Jules-Auguste)

GILLET (René-Alfred)

GILLET (Robert-Auguste-Élie)

GIRARDIN (Fernand-Alexandre)

GIRAULT (Georges-Gustave)

GIROIR (Didier-Étienne)

1918

1903

1913

1912

1918

1913

1901

1917

1902

1916

1913

1910

1903

1907

1916

1910

1908

1913

1905

1909

1913

1900

1906

1913

1909

910

1907

1908

1901

1900

1919

1912

1917

1909

1908

1910

1916

1917

1915

1917

1910

1908

1913

1897

1909

GODAR (Paul-Victor)

GODEFROY (Élie-Joseph)

GODIN (Louis-Achille)

GOENSSENS (Edmond-Ernest)

GOGET (Anatole-Émile)

GOGET (Maurice-Victor)

GOIN (Joseph-Désiré)

GOJON (Alexandre)

GOMBEAU (Jean)

GONTIER (François-Jules)

GORIN (Théophile-Emmanuel)

GOUACHE (Firmin-Hippolyte)

GOUDON (Jean-Baptiste)

GOUEFFON (William-Octave-T.)

GOUFON (Charles-Ernest)

GOUPIT (Camille-Ernest)

GOURDEAU (Gustave-Émile)

GOURMAUD (Clément-A.-G.)

GOURNAY (Raymond-Jules-A.)

GOUX (Camille-Charles)

GOUZÉ (Alain-André)

GRANGE (Pierre-Marie)

GRELIER (Charles-Léon-Stan.)

GRIET (Maxime-Joseph)

GRIFFAULT (Julien)

GRIMAULT (Lucien-R.-M.-A.)

GRIVEAU (Noël-Étienne-Louis)

GRIVOT (Lucien-Clotaire)

GRODET (Léon-Fernand)

GROSSOLEIL (Pierre)

GROUX (Émile-Jules-Alcide)

GUDIN (Octave-Magnus)

GUÉ (Athanase-Eugène)

GUELFUCCI (François)

GUÉNARD (Denis-Henri)

GUÉNAULT (Arthur-Fern.-E.)

GUÉRIN (Charles-Georges)

GUÉRIN (Louis-Ernest)

GUÉRINEAU (Gustave-Armand)

GUÉRINEAU (Octave-Valentin)

GUERNON (Albert)

GUERTON (Désiré)

GUESNIER (Octave-Lucien-H.)

GUESPIN (Henri-Émile)

GUIDET (François-Benj.-Marc)

1903

1913

1911

1917

1901

1910

1905

1905

1901

1908

1909

1908

1898

1903

1912

1909

1916

1916

1913

1908

1908

1910

1914

1910

1913

1902

1910

1912

1916

1903

1913

1910

1902

1905

1910

1908

1903

1900

1900

1900

1902

1909

1914

1908

1915




63 / 69


GUIGNARD (Moïse)

GUIGNEBERT (Émile-Désiré)

GUILLAUME (Jacques-Joseph)

GUILLAUMIN (Armand-Louis-J.)

GUILLEBAUD (Louis-Eugène)

GUILLET (Jacques-Camille-A.)

GUILLIN (Henri-Fernand-L.)

GUILLON (Jules-Octave)

GUINEDOT (Auguste-Désiré-Noël)

GUINET (Marcel-Louis)

GUITON (Henri-Clément)

HAAS (Georges)

HAESSLÉ (Jules)

HALLAIS (Raymond-Armand)

HAMELIN (Joseph-Maurice)

HARDOUIN (Jules-Louis-Victor)

HARDOUIN (Victor-Auguste)

HAY (Félix-Henri-Edmond)

HEINRICH (Joseph)

HÉNAUD (Antonin-André)

HÉNAULT (Auguste-Germain)

HÉNAULT (Camille-Maurice)

HENRY (Auguste-Jules-Joseph)

HENRY (Louis-Clément)

HERRY (Marius-Raymond)

HERVÉ (Auguste)

HIAULT (Octave-Cléoptas)

HIPP (Alphonse-Auguste)

HIRLAY (Albert-Gaston)

HONORÉ (Louis-Fidèle-And.-J.)

HOTTARD (Jules-Alphonse)

HOUDET (Marcel-Stanislas-Jos.)

HOUDIN (René-Léon)

HOUDON (Eugène-André-Arth.)

HOULIER (Georges-Henri-G.)

HUARD (Henri-Fernand-Aug.)

HUDEBINE (Gabriel-Eugène)

HUET (Rodolphe-Désiré)

HUGON (Paul-André)

HUMBLOT (Louis-Émile)

HURBAULT (Albert-Félix-Ch.)

HUTTEAU (Camille-Léon)

HUTTEAU (Désiré-Édouard-A.)

IHLER (René)

IMBAULT (Georges-Alfred)

1903

1908

1908

1900

1910

1905

1913

1900

1916

1910

1910

1918

1918

1910

1913

1911

1908

1909

1918

1916

1906

1913

1906

1906

1909

1903

1910

1914

1908

1906

1913

1905

1913

1910

1916

1912

1913

1901

1908

1905

1911

1911

1905

1912

1902

JAHN (Charles)

JANICOT (Maurice-Émile-Aris.)

JEANJEAN (Lucien-Basile-Louis)

JÉNARD (Georges)

JOASNEAU (Georges-Auguste)

JOLY (Émile-Étienne-Laurent)

JOLY (Henri)

JOREAU (Auguste-Louis)

JOREAU (Charles)

JOUANNEAU (Gaëtan-Gustave)

JOUANNEAU (Maxime)

JOUDIOU (Camille-Paul)

JOUSSEAUME (Auguste)

JOUSSET (Gaston-Jules-Alphonse)

KAPPELIN (Victor), pseudonyme

CHARLOT (Henri)

KIEFFER (Jean-Georges)

KIEFFER (Victor)

KLINGENBERGER (Louis),

pseudonyme CABOT (Léon)

KLIEBER (Joseph)

KOENIG (Albert)

KOENIG (Eugène)

LABORDE (Jules)

LABOURDETTE (Albert)

LABRETTE (Émile)

LACOMBE (Alfred-Ernest)

LACOMBE (Henri-Camille)

LACROIX (Ambroise)

LAFON (Émile-Laurent)

LAMBERT (Arthur)

LAMBERT (Raymond)

LAMI (Charles)

LAMIRAULT (Georges-Léon)

LAMY (Désiré)

LANCEL (Pierre-Joseph)

LANDRY (Eugène-Louis)

LANGER (Narcisse)

LANGEROME (Auguste)

LANIER (Georges-Gustave)

LANZANO (Louis)

LARDEUX (Albert)

LATREMOLIÈRE (Maurice)

LAURIER (Alphonse)

LAVALEIX (Raymond)

1914

1900

1918

1902

1908

1917

1902

1906

1913

1914

1913

1905

1913

1900

1918

1914

1914

1914

1918

1909

1914

1918

1903

1912

1913

1902

1900

1908

1902

1913

1916

1908

1909

1910

1902

1902

1902

1914

1914

1917

1918

1916

1909




64 / 69


LEBEL (Pierre)

LEBLANC (Eugène)

LEBOSSÉ (François)

LECLERC (Marie-Sylvain)

LECOMPTE (Édouard-Georges)

LEDUC (César-Auguste)

LEFIÈVRE (Alfred-Désiré)

LEFOL (Eugène-René)

LEFRANC (Élie-Hubert)

LEGENDRE (Louis-Charles)

LEGESNE (Henri-Aristide)

LEGIVRE (Camille-Eugène)

LEGRAND (Ernest-Maximilien)

LEGRAND (François)

LEJEUNE (Louis-Auguste)

LE MAUFF (Maurice-Léon)

LEMESLE (Albéric-Nestor)

LEMESLE (Georges-Anselme)

LEMOINE (Auguste)

LEPRÊTRE (Henri)

LERMURIER (Jocelyn-Fernand)

LEROY (Jean-Baptiste)

LEROY (Marcel)

LEROY (Raymond-Albert)

LESAGE (Auguste-Adelmar)

LEVÊQUE (Alexandre)

LHARIDON (Hervé)

LIÉGEOT (Jean-Firmin)

LIGUET (Albert)

LINTZ (Joseph)

LOLLIOT (Raymond-Georges)

LOUIS (Raymond-Irénée)

LOURS (Georges-Alphonse)

LOUVAIN (France)

LOUVET (Camille-Marcel)

LUBIN (Eugène-Pierre)

MACÉ (Auguste-Louis)

MAILLER (Louis-Cyr)

MAISON (Émile-Marie)

MAITRE (Joseph-Alexandre)

MAITRE (Jules-Henri)

MALFRAY (Paul-Henri)

MALLET (Théodule-Louis)

MABRIEU (Maurice)

MANGEARD (Ernest)

1916

1907/10

1917

1903

1916

1895

1910

1902

1908

1915

1910

1900

1902

1900

1911

1913

1910

1910

1903

1916

1913

1915

1909

1913

1908

1907

1901

1913

1914

1904

1918

1909

1910

1908

1914

1910

1916

1901

1910

1908

1909

1909

1898

1913

1916

MANIGAULT (René-Louis)

MANTION (Georges-Auguste)

MARCEAU (Henri-Eugène)

MARCHAL (Henri-Auguste)

MARCHAND (Ernest)

MARCHAND (René-Jean)

MARCHAUDON (Lucien-Alph.)

MARION (André-Auguste)

MARPEAUX (Émile-Vincent)

MARTIN (Albert)

MARTIN (Henri-Victor)

MARTIN (Maurice-Léon)

MARZIN (Alain)

MASCARELLE (Lucien-Georges)

MASSON (Lucien-André)

MATHÉ (Jean-Henri)

MAUGER (Arthur-Paul)

MAUPRONT (Désiré-Julien)

MAURER (Joseph)

MAURICE (Léopold-Gustave)

MAYNARD (Louis-Élie)

MAZAUD (André-Antoine)

MAZEL (Aimé-Jules)

MAZOUÉ (Auguste)

MÉCHIN (Paul-Fernand)

MELOU (Firmin)

MÉNARD (Albert)

MÉNARD (Marcel)

MÉNARD (Raymond-Arthur)

MENEL (Georges-Alexandre)

MENET (Philippe-Paul)

MENOURY (Maurice)

MERCIER (Alexandre)

MERCIER (Félix-Adrien)

MERCIER (Germain-Joseph)

MERCIER (Jules-François)

MERCIER (Marcel-Joseph)

MÉRILLON (Alcide-Firmin)

MERLAND (Eugène)

MERVILLE (Auguste)

MESNARD (Auguste)

MESNY (Gustave-Eugène)

MESSIER COLLET de SAINT-

JAMES (Jean-Edmond)

METZ (Marius)

1917

1908

1910

1913

1912

1902

1904

1904

1900

1909

1900

1900

1902

1900

1918

1914

1903

1913

1918

1907

1912

1915

1908

1906

1905

1900

1915

1905

1900

1900

1917

1901

1908

1899

1912

1916

1908

1902

1918

1910

1910

1900

1919

1908




65 / 69


MICHARD (Henri-Georges)

MICHAU (Ferdinand-René)

MICHAUD (André)

MICHAUD (Eugène-Léon)

MICHAUT (Édouard-Augustin)

MICHOUX (Henri-Adrien)

MIGNAN (Léon-Désiré)

MIGNARD (Alexandre-Joseph)

MIGNOT (Raymond-André)

MILLET (Maurice-François)

MILLON (Germain-Eugène)

MILLOT (Louis-Octave)

MILLOUET (Émile-Victor)

MILOT (Georges-Clément)

MINEZ (Jules-Auguste)

MINIER (Daniel)

MISSLIN (Jean-Joseph)

MOINARD (Émile)

MOINE (Clodomir)

MOÏSE (Albert-Amédée)

MONCOMBLE (Alfred-Alphonse)

MONGENDRE (Charles-Albert)

MORMAIN (Fernand)

MONNOT (François)

MONPOUX (Lucien-Eugène)

MONTAUDON (Louis)

MONTIGNY (Alcide)

MOREAU (Alexandre-Louis)

MOREAU (Henri-Louis)

MORESTIN (Jean-Claude)

MORICEAU (Pierre-Eugène)

MORLET (Pierre-Louis)

MOURON (Henri-Paul)

MOUTON (René-Maurice)

MOY (Émile-Alexandre)

MULLER (Robert-Henri)

NANTOIS (Henri-Alexandre)

NASLINS (Émile-Eugène)

NAULET (Auguste)

NEEL (Robert-Joseph)

NEMARQ (Achille)

NIAF (Georges-Victor)

NICOLAS (Édouard), E. V.

NICOLAS (Lucien-Laurent)

NOËL (Alexandre)

1914

1912

1916

1917

1916

1910

1905

1900

1916

1911

1910

1910/13

1912

1917

1913

1906

1908

1910

1910

1910

1908

1910

1909

1912

1903

1908

1910

1910

1909

1911

1912

1901

1913

1912

1918

1914

1902

1901

1912

1914

1900

1910

1918

1916

1906

NOTTA (Henri-Louis)

NOVANT (Georges-Alphonse)

ODEAU (Albert-Émile)

OLIVIER (Jean-Claudius)

OLLIVIER (Marceau)

OUDIN (Élie-Louis)

OUIN (Marcel-Louis)

OURY (Joseph)

PACCAUD (Jean dit Julien)

PAGOT (Gaston-Armand-Roger)

PAILLET (Georges-Eugène)

PALAU (Marcel)

PANTALÉON (René-Maxime)

PARIS (Louis)

PASSEGUÉ (Clovis-Louis-René)

PAULIN (Ferdinand-Gabriel)

PAULMIER (Albert-Sylvain)

PAUMIER (Léon-Albert)

PAVARD (André-Désiré)

PÉAN (Gaston-Georges-Albert)

PALLU (Gaston-Lucien-Désiré)

PELLÉ (Alexandre)

PELLETIER (Eugène-Louis-Ad.)

PERAULT (Casimir-Théodore)

PERCHAUD (Jules-Ernest-René)

PERCHE (Désiré-Adrien)

PERELLE (Ferdinand-Désiré)

PERRIN (Jean)

PERRIN (Louis)

PERRONNET (Léon)

PERVEAUX (Jules-Arthur)

PETIBON (Louis-Eugène)

PETIT (Eugène)

PETIT (Fernand)

PETITSIGNE (Maurice)

PETOT (Louis-Alexandre-Eug.)

PEYCELLON (Pierre)

PHILIPPON (Louis-Philippe)

PICARD (Léonce-Allyre)

PICARD (Maurice-Xavier)

PICARD (Yves-Jules)

PICHARD (Pierre-André)

PICHON (Georges-Maxime)

PICHON (Paul-Victor)

PICOT (Eugène)

1898/14

1910

1910

1918

1909

1902

1907

1902

1905

1908

1908

1914

1910

1911

1907

1911

1903

1901

1916

1916

1909

1910

1900

1900

1914

1909

1910

1914

1899

1902

1909

1909

1914

1916

1909

1916

1917

1913

1909

1904

1905

1912

1910

1900

1916




66 / 69


PIED (Alexandre-Marcel-Fr.)

PIÉDALU (Louis-Joseph)

PIERRET (Fernand-Louis)

PILATE (Fernand-Marc-Marie)

PILBOUT (Ludovic-Alphonse)

PILLAS (Maxime-Léon-Désiré)

PILLAULT (Ernest)

PILLETTE (André-Zacharie)

PINARD (Alphonse-Octave)

PINAULT (René-Augustin-Alex.)

PINGNON (Frédéric-Auguste)

PINON (Irène-Léon)

PINSON (Charles-Raphaël)

PIONNEAU (Raphaël)

PITRA (Célestin-Édouard)

PIZIER (André-Étienne-Alex.)

PLARD (Raymond-Adrien)

PLATHEY (Jean-Léon)

POINCLOUX (Camille-Vincent)

POINTEAU (Fernand-Plauzel)

POINTEAU (Jules-Charles)

POMMÉ (Célestin-Rémy)

POMMIER (Germain-Pierre)

PONS (Antoine)

POTARD (Alfred)

POTDEVIN (Alphonse-Maurice)

POULAIN (Aimé-Charles)

POULAIN (Ernest-Gabriel)

POULIN (Henri-Gustave)

POYAN (Ernest-Léon-Allyre)

PRÉTESEILLE (Louis-Fern.-V.)

PREVOST (Abel-Étienne)

PROUST (Arthur)

PROUST (Marcel-Léon)

PROVINTE (Victor-Ulysse-Cél.)

PRUD’HOMME (Joseph-Marc.-A.)

PUSSARD (Eugène-Cyrille)

QUATREHOMME (Germain-Alb.)

QUÉNOT (Félix)

QUILLIER (Édouard-Eugène)

QUIGNON (Joseph-Albert)

QUINTARD (Fernand-Paul)

RADOU (Georges-Louis)

RAGET (Raymond-Léon)

RAIGNAULT (Lucien)

1910

1913

1902

1903

1902

1910

1914

1910

1903

1914

1912

1915

1909

1910

1915

1914

1913

1907

1918

1900

1903

1915

1903

1901

1909

1914

1914

1907

1911

1907

1910

1909

1911

1914

1913

1911

1900

1900

1912

1913

1911

1917

1908

1915

1905

RAMBURE (Gaston-Charles)

RAPHANEAU (Marius)

RAVIER (Émile-Albert)

REBUFFEAU (Émile-Gaston)

RÉMOND (Jean-François)

REMY (Henri-Fernand)

RENARD (Camille)

RENARD (Ludovic-Paulin)

RENARD (Martin-Henri)

RENAULT (Désiré)

RENAUD (Louis)

RENIER (Henri-Louis)

RENONCÉ (Marius-Alexandre)

RENOU (André-Edmond)

RENOU (Louis)

RENOULT (Alfred-Léopold)

REVERSÉ (Paul-Lucien)

RIBASSIN (Sylvain-Joseph)

RICATEAU (Louis-Albert)

RICHARD (Maxime-Anatole)

RICHER (Augustin-Clément)

RICHY (Jean-Maurice)

RICOUT (Auguste-Joseph)

RIDOR (Martin-Jules)

RIÉGLER (Joseph)

RIEU (Fernand)

RIGAL (Eugène-Jules)

RIGAUT (René)

RINGUEDÉ (Désiré-Raymond)

RIOTTE (Philémon-Victor)

RISS (Charles)

RISSE (Charles-Marcel)

RIVIÈRE (Alfred-Léon)

RIVIÈRE (Camille)

ROBILLARD (Adolphe-Maurice)

ROBIN (Alexandre-Émile)

ROBIN (Henri-Félix)

ROBIN (Jules)

ROBY (Joseph-Henri)

ROCHARD (Henri-Paul)

ROCHE (Émile)

RODAT (Louis-Fernand)

ROËHRIG (Fernand)

ROGER (André-Louis)

ROGER (Joseph-Louis)

1904

1900

1900

1909

1910

1900

1913

1910

1902

1906

1911

1899

1902

1915

1911

1911

1900

1911

1912/13

1908

1902

1904

1911

1903

1914

1913

1900

1911

1908

1903

1918

1913

1912

1913

1911

1911

1911

1908

1904

1913

1911

1911

1904

1914

1902




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ROHFRITSCH (Daniel-Édouard)

ROLS (Marcel-Édouard)

ROMAND (Lucien-Jean)

ROMILLON (Gaston-Félix)

RONAT (Pierre-Antoine)

RONDENET (Joseph)

ROQUES (Jean)

ROSIÈRE (Louis-Henry)

ROTH (Edgard)

ROUAULT (Alphonse-Georges)

ROUBALLAY (Raoul-Hubert)

ROUDIER (Fernand-Jean)

ROULEAU (Lucien-Louis)

ROUSSEAU (Alfred-Auguste)

ROUSSEAU (Auguste)

ROUSSEAU (Jules-Désiré)

ROUSSEAUX (Armand-Auguste)

ROUSSELET (Arthur-Georges)

ROUX (Alfred-Alphonse)

ROY (Augustin-Lucien)

ROY (Clément-Adrien)

ROY (Étienne)

ROY (Louis-Émile)

ROYER (Henri-Pierre)

ROZIÈRE (Marius-Prosper)

RUAULT (Auguste-Louis)

SABARD (Abel)

SABOURIN (Henri-Omer)

SACALAIS (Louis-Eugène)

SAILLARD (Adrien)

SAINSARD (Viry-Charles)

SALMON (Pierre-Louis)

SAMETT (Alexandre)

SAMOUR (Marie-Louis)

SANDRI (Marcel-Désiré)

SAULE (Étienne)

SAUSSET (Maurice-Émilien)

SAUVESTRE (Georges-Félix)

SCHAEFER (Paul-Georges)

SCHLECHT (Marius-Laurent)

SCHNEIDER (René)

SCHWIMMER (Charles)

SEGRETTE (Claude-Irénée)

SEGUIN (André-Henri)

SEGUIN (Maurice-Jean)

1911

1917

1917

1902

1916

1908

1908

1909

1913

1900

1910

1915

1902

1910

1911

1903

1901

1900

1900

1913

1909

1910

1908

1911

1917

1909

1911

1917

1908

1911

1905

1911

1908

1909

1911

1913

1913

1903

1916

1911

1911

1914

1914

1900

1917

SELLIER (Léon-Eugène)

SERPIN (Arsène-François)

SERVOIN (Georges-Désiré)

SIMÉON (Cyprien-Victor)

SOLNAIS (Gustave-Louis)

SOMMAIRE (Camille-Ernest)

SITTELER dit SORDET (Jules)

SORG dit SALLE (Albert-Ed.), E. V.

SOUBIÉ (Jean-Marcel)

SOUCHU (Julien)

SOURIOU (Georges-Célestin)

STRIEBEL (Antoine), E. V.

STURNE (Edmond-Henri)

SUPLICE (Léopold-Casimir)

SURATTEAU (Henri-Lucien)

SILVESTRE (Georges)

TAFFALEAU (Marcel)

TAFFOUREAU (René-Gabriel)

TALANDIER (Alexis)

TAUPIN (André-Eugène)

TELLERIN (Robert-Albert)

TELLIER (Léon-Camille)

TESSIER (Abel-Valentin)

TESSIER (Charles-Louis)

TESSIER (Georges-François)

TETU (Maurice-Didier)

THÉET (Paulin-Eugène)

THIBAULT (Albert-Alphonse)

THIBAULT (Julien-Paulin)

THIERCELIN (Édouard-Eugène)

THIÉRY (Roger-Bernard)

THION (Gustave)

THOMAS (Cyprien-Désiré)

THORIN (Émile-Eugène)

THUILLIER (Georges)

TONDEREAU (Paul-Gaston)

TONDU (Henri)

TOUCHON (Henri-Alfred)

TOUZÉ (Alexandre-Jean)

TRANCHANT (Moïse-Élie)

TRÉCUL (P.-A.), E. V. 7-4-13

TRIMOULLET (Gabriel-Georges)

TROCHET (Marcel-Théodore)

TROISPOUX (Albert)

TROUPEAU (Gaston-Athanase)

1905

1911

1901

1913

1913

1905

1914

1914

1914

1916

1911

1899/14

1908

1911

1903

1905

1900

1909

1910

1910

1908

1908

1902

1908

1900

1909

1906

1908

1905

1913

1900

1903

1908

1916

1905

1912

1910

1909

1909

904

1915

1909

1907

1912

1908




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TUFFARD (Marius)

TURPIN (Léon-Henri)

UTHALDEBORDE (Dominique)

VALLÉE (Amaurice-Étienne)

VALLET (Paul-François)

VANONI (Michel-Ocus)

VANOOTEGHEM (Camille-Arm.)

VACQUET (Philibert-Laurent)

VASSORT (René-Anatole)

VATHÈRE (Émile-Alexandre)

VENOT (Jules-René)

VENOT (Léon-Émile)

VENOT (Louis-Albert)

VENOT (Marcel-Pierre)

VERDAVAINNE (Marcel)

VÉRET (Charles-Constant)

VERGNET (Roger-Célestin)

VERNOUILLET (Charles)

VERRIER (Jules-Joseph)

VERRON (Pierre)

VESINE (François-Noël)

VEZIN (Robert-Lucien)

VIALADE (Auguste)

VIALETTE (Victor-Léon)

VIANEY (Henri-François)

VIDIL (Pierre-Romain)

VIGOUREUX (Louis-Charles)

1911

1913

1910

1908

1916

1905

1913

1904

1901

1916

1904

1917

1909

1912

1893

1901

1913

1900

1915

1917

1902

1913

1913

1913

1913

1909

1910

VIGOUROUX (Louis-Édouard)

VIGREUX (Auguste-Oct.)

VILLEQUENAUD (Maur.-Arsène)

VILLOING (Eugène-Gaston)

VILLETEAU (Maurice)

VINATIER (Étienne)

VINAUGER (Fernand-Joseph)

VINCENT (Maurice-Louis)

VINOTTI (Albert-Paul)

VIVET (Joseph-Jacques)

VIVET (Louis-Laurent)

VOGEL (Louis)

VOISIN (Joseph-Cyrille)

VOITURIN (Paul-Gabriel)

VOLANT (René)

VOUILLON (René)

VOYER (Antoine-Jacques)

VOYER (René-Frédéric)

WAGNER (Paul-Philémon)

WEISS dit VIDARD (Alphonse-

Henri), E. V. 1914

WICKERSHEIM (Jacques), dit

VACHER (Prosper), E. V. G. 1918

WILMART (Jules)

WINCKLER (Jean)

ZIMMERMANN (Albert)

1906

1912/09

1913

1912

1902

1913

1904

1902

1917

1912

1913

1914

1910

1906

1912

1912

1899

1914

1913

1910

1896

1903

1909/14

1898




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Documents

Campagne 1914 1918 - Historique du 131e …tableaudhonneur.free.fr/131eRI.pdfCampagne 1914 – 1918 - Historique du 131e Régiment d’Infanterie Imprimerie du Loiret ± Orléans Source