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CARAVANE Sujets presse

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Reportages photographiques destinés à la presse, avec synopsis et légendes

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Sujets Presse

Juillet 2010

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Interessé par ces gens qui cherchent inlassablement à trouver une bouffée d´air frais au coeur de leur ville, de leur quartier, je suis allé à leur rencontre dans les potagers, les jardins collectifs, les fermes urbaines de Bruxelles. Ce que j´ai découvert aussi ce sont des gens aux origines très differentes qui ont besoin de la terre pour se rappeler qui ils sont, pour ne pas se perdre au millieu de la jungle urbaine dans laquelle on est entraîné, mais aussi parfois pour donner un sens à leur existence, s´échapper des problèmes quotidiens, laisser le temps s´arrêter, le bruit disparaître...

URBAN AGRICULTUREPhotographies I Hector Martin MorenoBruxelles I 2009-2010

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# 01 Yuseff Kaja, 70 ans, Turquie. Jardin collectif à côté de la gare d´Etterbeek, Bruxelles. Mai 2010.

# 02 Jardin collectif à côté de la gare d´Etterbeek, Bruxelles. Mai 2010.

# 03 Musa Kolpan, 73 ans, Turquie. Potagers derrière l´hôpital de Jette, Bruxelles. Dec 2009.

# 04 Potagers derrière l´hôpital de Jette, Bruxelles. Dec 2009.

URBAN AGRICULTURE

# 05 José, Espagne, dans sa petite ferme à Mo-lenbeek, Bruxelles. Juin 2010.

# 06 Dans la ferme de José à Molenbeek, Bruxelles. Dec 2009.

# 07 Orlando Vincenzo, 76 ans, Sicile. Potagers à Mo-lenbeek, Bruxelles. Mai 2010.

# 08 Potager d´Orlando Vincenzo à Molenbeek, Bruxelles. Mai 2010.

# 09 Bruno, 72 ans, Sicile. Potagers à Molenbeek, Bruxelles. Juin 2010.

# 10 Potagers à Molenbeek, Bruxelles. Juin 2010.

URBAN AGRICULTURE

# 11 Claire, Belgique. Elle cultive des fleurs dans son potager à Molenbeek, Bruxelles. Juin 2010.

# 12 Potager à Molenbeek, Bruxelles. Juin 2010.

# 13 Sebastian, 82 ans, Espagne. Potagers derrière l´hôpital de Jette, Bruxelles. Mai 2010.

# 14 Potagers derrière l´hôpital de Jette, Bruxelles. Mai 2010.

# 15 Antoine, 80 ans, Belgique. Potagers derrière l´hôpital de Jette, Bruxelles. Octobre 2009.

# 16 Potagers derrière l´hôpital de Jette, Bruxelles. Octobre 2009.

URBAN AGRICULTURE

# 17 Aldo, 77 ans, Sicile. Potagers à Molenbeek, Bruxelles. Juin 2010.

# 18 Dans la ferme de José à Molenbeek, Bruxelles. Dec 2009.

# 19 Renaldo, Sicile. Potagers derrière l´hôpital de Jette, Bruxelles. Juin 2010.

# 20 Potagers à Molenbeek, Bruxelles. Juin 2010.

A la fois orientale et européenne, moderne et ancienne, Istanbul grouille d’ambivalences et de paradoxes. Taksim, le quartier le plus moderne de la ville est un petit écrin de liberté. Sibel, Tatiania, Rozalinda ou Deniz ont toutes un point commun. Elles sont homme et femme, transgenres dans une ville où l’homosexualité est taboue et où la police tente de nettoyer sans cesse ce que les hommes ne veulent pas voir le jour. Pour-tant, la nuit, les clients sont bien réels et nombreux dans le deuxième pays comptant le plus de travestis après le Brésil, un paradoxe dans une société musulmane conservatrice.

Improbable IstanbulPhotographies I Laure GeertsIstanbul - Turquie I 2009/2010

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# 01 I Nana est cross-dresser. Quand il sort de chez lui, il s’habille en homme. Seuls ses sourcils bien dessinés, sa manucure ou ses gestes gracieux pourraient le trahir.

# 02 I Nana se balade au bord du Bosphore pendant que Sibel est occupée dans l’appartement avec un client.

# 03 I Tatiana est un transsexuel qui travaille depuis plus de 20 ans. Elle a tendance à boire beaucoup en atten-dant les appels des clients.

# 04 I Vivant à 3 dans un bel appartement, dès qu’un reçoit un client, les autres se cachent dans une chambre et attendent sans faire de bruit pour ne pas déranger.

improbable istanbul

# 05 I Maquillage, coiffure, parfum, tous les artifices sont deployés pour se feminiser et ainsi attirer les clients.

# 06 I De plus en plus de travestis travaillent grâce à in-ternet via des sites spécialisés avec des photos sexy et un numéro de téléphone pour prendre rendez-vous.

# 07 I Beaucoup de travestis possèdent un animal de compagnie qu’ils considèrent souvent comme un com-pagnon fidèle ou un enfant.

# 08 I Asli attend la sortie de prison de son fiancé. Elle ne peut pas lui rendre visite. Ce soir, elle a invité sa belle-mère pour boire des bières, être ensemble et rigoler.

# 09 I Deniz ne se prostitue pas. En journée, il travaille dans un bureau et doit s’habiller en chemise et cravate, tout en essayant de cacher sa petite poitrine.

# 10 I Travailler dans la rue rapporte plus, mais c’est beaucoup plus dangereux et la police donne souvent des amandes d’environ 30€.

improbable istanbul

# 11 I Se transformer n’est pas simple. Les conséquences sont lourdes physiquement et socialement. La prostitu-tion est souvent le seul métier qu’ils peuvent exercer.

# 12 I Sibel se prostitue dans un bar de Tarlabasi. Elle rêve de partir travailler au Luxembourg, danser dans un spectacle et bien gagner sa vie.

# 13 I Sibel et son petit copain avec qui elle vit au-dessus du bar dans une chambre sombre. D’autres prostitués se partagent les étages de cet immeuble insalubre.

# 14 I Rosalinda possède une voiture. Ca lui permet un certain confort et sécurité dans son travail.

# 15 # 16 I Mini-jupe et bas résille, être sexy et faire illusion.

improbable istanbul

# 17 I Certains clients sont réguliers et tres appreciés. Ils sont pour la majorité des « secret gays », ayant une femme et des enfants a la maison.

# 18 I Sur leur site, pas de tarifs, mais une liste de pres-tations. Quand le client appelle, les voix sont enjouées et aguicheuses. Il s’agit de leur plaire et convenir du rdv.

# 19 I Pour leur site internet, ils ont besoin de photos. Maquillage, robe et pose sexy et ensuite sur photoshop pour une retouche parfois grossière.

# 20 I Quand Aysun se travestit, c’est pour la drague. Il a aujourd’hui moins de succès qu’avant, mais ne déses-père pas de trouver le prince charmant de ses nuits.

# 21 # 22 I Deniz ne se prostitue pas. Lorsqu’il sort en boîte, c’est pour draguer de jeunes garcons et passer une nuit d’amour avec eux.

Quelle réalité se donne-t-elle à voir depuis le siège arrière d’une voiture de police, lorsqu’on n’est ni suspect, ni policier soi-même ? Depuis deux ans, Sébastien Van Malleghem pose cette question, inlassablement, dans le sillage des inspecteurs de la police d’Uccle et de la zone de Nivelles/Genappe ou encore dans l’ombre desinspecteurs de Bruxelles Ouest, à travers le reportage qu’il mène actuellement auprès du Service de l’Appui à la Recherche (S.A.R.). D ’une réalité de terrain, parfois sordide, percevoir le quotidien d’hommes et de femmes qui veillent, jour et nuit, à la sécurité de leurs concitoyens : discerner la part d’humanité jusque dans les confrontations, débusquer l’insolite au coeur de la routine, capter la vibration d’un travail qui semblerait à première vue dénué d’émotion…

La police belgePhotographies I Sébastien Van MalleghemBelgique I 2008 - 2010

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# 01 Les inspecteurs se lancent dans une fouille de bâtiment suite à un appel pour vol avec effraction.

# 02 Arrestation d’un jeune homme ivre, ayant cassé la vitre d’un café.

# 03 Les policiers sont appellés afin de régler undifférend entre voisins...

# 04 Un homme est placé en cellule de dégrisement pour ivresse sur la voie publique.

La police belge

# 05 Un policier maintient à l’écart un suspect en transfert alors que ce dernier essaie de lui cracher dessus.

# 06 La police interroge et contrôle un cocaïnomane dans les rues du Nord de Bruxelles.

# 07 Fouille d’un bâtiment désaffecté. Suite à un tapage nocturne. Aucun suspect ne sera retrouvé sur place.

# 08 Un incendie est déclaré dans une maison de la ville de Genappe. La police et les pompiers interviennent.

# 09 Les policiers prennent les empreintes d’une dame à l’origine d’un violent conflit dans un snack.

# 10 Un jeune garçon est emmené à l’hôpital suite à une bagarre dans les rues de Nivelles.

La police belge

# 11 Suspect en cellule sous les effets de la drogue. # 12 Fouille d’un suspect dans les bureaux de la police de Bruxelles.

# 13 Un suspect en cellule simule une crise d’asthme, afin que les policiers lui ouvrent la porte.

# 14 Fouille et contrôle d’indentité de personnes se trouvant à bord d’un véhicule volé.

# 15 Un dealer est intercepté et fouillé par les services de recherche de la police bruxelloise.

# 16 Suspect emmené à l’hôpital pour faire soigner les blessures qu’il a reçues lors d’une bagarre.

la police belge

# 17 Un policier part fêter le nouvel an déguisé en shérif alors que son collègue prend son service de nuit.

# 18 Suspect coopérant.

# 19 Une policière veille sur une jeune maman, suite à une dispute familiale.

# 20 Un policier contrôle un bâtiment sous scellé, qui a été cambriolé suite à une affaire mafieuse.

# 21 Les inspecteurs vérifient les portes du jardin d’une maison cambriolée.

# 22 Le nuit du carnaval, un panda ivre est ramené au petit matin à son domicile par les policiers nivellois.

A l’heure où Istanbul est Capitale Européenne de la Culture, ces portraits et témoignages soulignent l’importance majeure des femmes qui participent aux aspirations de modernisation. Qu’elles soient célibataires, mariées ou di-vorcées, ayant des enfants ou non, elles sont indépendantes financièrement et s’épanouissent dans leur carrière professionnelle. Toutes ont atteint des postes clés prouvant leur détermination à s’affirmer sur le marché du travail.

Chacune milite à sa façon pour une amélioration de la condition féminine par un message fort d’émancipation qu’elles veulent faire passer à une société conservatrice mais aussi en dehors de ses frontières, la Turquie étant souvent mal connue et vue à travers le prisme des stéréotypes.

FEMMES AFFRANCHIES Photographies I Marie OzanneIstanbul I 2010

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# 01 I Mahan D, consultante qualité. « Je ne peux pas ac-cepter le fait que les femmes couvrent leur corps et leurs che-veux. Je ne veux pas qu’un jour on m’oblige à le faire aussi. »

# 02 I Zelal Y, travailleuse sociale (Non à la domination mas-culine). « Nous attendons que l’Etat s’engage contre la violence envers les femmes. Cela relève de la société entière, tout est politique. »

# 03 I Canan K, juge criminel. « Mes parents m’ont beaucoup soutenue dans mon parcours scolaire. Nos voisins ne voulaient pas envoyer leur fille à l’école, ce qui est encore le cas dans certaines villes de Turquie. »

# 04 I Serra Yilmaz, comédienne. « Dans un pays conserva-teur comme la Turquie, il faut renverser les règles. Les artistes sont là pour critiquer et non pas pour applaudir. »

FEMMES AFFRANCHIES

# 05 I Seyma D, psychologue. « Ma mère était avocate mais elle a du renoncer à son travail pour m’élever. Elle ne voulait pas que je fasse des études pour connaître la même frustra-tion. »

# 06 I Ipek D, artiste plasticienne. « Mon art a été mal reçu en Turquie car je ne peins pas des fleurs et des oiseaux. Dans Love Game, je pointe le doigt sur la violence domestique et les crimes d’honneur. »

# 07 I Leyla A, directrice d’entreprise. « Je milite pour l’indépendance financière des femmes. Elles réalisent qu’elles n’ont plus besoin du soutien d’un homme pour survivre. »

# 08 I Dilara E, chef gastronomique. « Je fais ma politique avec ma cuisine, je veux rappeler aux gens l’identité locale et le vrai goût de la nourriture. »

# 09 I Oya B, chirurgienne réparatrice. « Mon travail me passionne, il faut redonner vie à une partie du corps. La chirur-gie est un art. »

# 10 I Aysegul S, critique d’art. « Il est parfois difficile d’échapper aux règles sociales, culturelles et religieuses, même en évoluant dans un environnement libéral. »

FEMMES AFFRANCHIES

# 11 I Handan B, artiste plasticienne. « Je vais souvent en France pour des expositions mais je regrette qu’on connaisse si peu la Turquie et l’histoire que nous avons en commun. »

# 12 I Zeynep G, journaliste. « J’adhère à l’idéal européen de paix. L’Europe, en intégrant la Turquie, peut être un très bon exemple pour le reste du monde. »

# 13 I Zeynep T, chorégraphe. « Mon travail est lié aux pro-blèmes du monde contemporain, à la situation politique du pays et aux discriminations. »

# 15 I Aysen E, médecin responsable d’ONG. « Je suis ré-voltée par le fait que des femmes et des filles soient encore soumises à des coutumes liberticides, comme le fait d’être ma-riées de force à 13 ans. »

# 14 I Nilufer N, sociologue. « J’interviens dans des émis-sions et je parle des droits des femmes chaque fois que je le peux au travers d’articles et de conférences. »

Construite par l’administration coloniale française à la fin du XIX siècle, inaugurée en 1924, la ligne des chemins de fer reliant Bamako au port de Dakar (1.287 km) servait à acheminer troupes et matières premières entre les deux villes. Aujourd’hui laissée quasi à l’abandon, cédée par tronçons à différents consortiums étrangers, la gestion chaotique de la ligne a entraîné le déclin du trafic et la dégradation des installations. Sans pour autant décourager les voyageurs qui y embarquent chaque semaine.

Récemment, les vieux wagons dépareillés d’Europe ont fait place au « train bleu » hérité du continent indien pour le transport des voyageurs. Plus moderne et confortable, plus sûr aussi. Lorsqu’un train est annoncé au départ, c’est tout le hall de gare qui s’anime. Petits marchands, voyageurs, accompagnateurs, quelques touristes parfois aussi perdus dans le brouhaha, chacun s’occupe de charger son bagage et d’y trouver sa place...

Bamako quai n°1Photographies I Anne RansquinBamako I 2005-2007

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# 01 A travers le hublot du dernier wagon, on apereçoit un long convoi de marchandises.

# 02 Symbolique de l’enfermement dans une capitale sans accès à la mer. Le train pour Dakar est une des voies menant à l’océan.

# 03 Voies sans issues, vieilles locomotives et wagons sans avenir.

# 04 De nombreux échanges commerciaux passent par la voie ferrée : denrées produites au Sahel, climat sec et aride (Mali, Burkina) et celles des régions tropicales des pays côtiers (Ghana, Côte d’Ivoire).

Bamako quai n°1

# 05 Vieille locomotive abandonnée sur des voies de garage à proximité de la gare.

# 06 La voie de chemin de fer traverse le centre de Bamako. Lorsque le train traverse la ville, à pas d’homme, de nombreux échanges et petits commerces s’organisent encore le long de la voie.

# 07 Tag humoristique. Artiste inconnu. # 08 Wagons surpeuplés dessinés à la craie sur un mur des hangars de réparation. Artiste inconnu.

# 09 Hall de gare. Lorsque le train hebdomadaire s’apprête à embarquer voyageurs et multiples bagages, le grand hall si-lencieux retentit alors d’éclats de voix et s’anime en tous sens.

# 10 Quai numéro 1. Voyageurs et accompagnateurs se pres-sent pour remettre les derniers paquets, messages et recom-mandations.

Bamako quai n°1

# 11 Guichets de la gare à l’aspect désuet. # 12 Tableau de prix fictifs tracés à la craie dans les hangars de répatation des trains qui se trouvent à quelques kilomètres de la gare, à la sortie de la ville. Artiste inconnu...

# 13 Le train est constitué de wagons dépareillés dont le “con-fort” correspond aux différents prix par classe.

# 14 Les wagons-couchettes.

# 15 Les compartiments 6 places, prisé des familles et groupes. La fenêtre est polie par le temps. Il faut l’ouvrir pour apercevoir le paysage défiler.

# 16 Les nouveaux trains indiens. En 2007, je rencontre l’ingénieur venu faire l’ajustement des rails et la formation des cheminots maliens et sénégalais.

Bamako quai n°1

# 17 Homme aveugle et son parent demandant la charité au départ du train.

# 18 Embarquement des derniers voyageurs la nuit tombée.

# 19 Porte donnant sur la voie. # 20 Couloir latéral, lieu de pas-sage, de rencontre.

# 21 “Porte donnant sur la voie.”

# 22 Wagons à quai. # 23 Scène d’adieux. # 24 Petites marchandes pro-posent des fruits, des petits sac d’eau potable, des plats cuisinés.

Regard poétique et intimiste sur la Camargue qui tente de révéler l’esprit de cette terre de tradition

Au sud d’arlesPhotographies I Anne Sophie CostenobleArles I 2008-2009

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Au sud d’arles

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Le 16 novembre 2009, la production de coils d’acier a repris au laminoir de Chertal.

Un redémarrage qui suscite l’espoir de relance dans le bassin Sambre-et-Meuse sur fond de climat social européen plutôt moro-se (fermetures, licenciements, flexibilité et précarité grandissante des travailleurs, recours accru à la sous-traitance...).

Le défi n’était pas aisé : il fallait convaincre Lakshmi Mittal de la rentabilité d’un outil fonctionnant avec une production réduite de moitié. Ce reportage en images ouvre le premier volet d’une série documentaire sur les sites sidérurgiques belges encore en activité dont les destinées sont maintenant liées aux impératifs stratégiques du géant mondial de l’acier.

ARCELOR-métalPhotographies I Anne RansquinLiège/Chertal I 2010

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