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Agenda // Portrait // Vie de quartier // Sports // Tendance // ... Votre info au quotidien sur castres-info.fr le Mag Oct. 2012 # 02 Le mensuel indépendant et gratuit d’information locale Exclusif Castres vue du ciel Patrimoine Les trésors à découvert Sport Castres Massaguel Volley Automobile Coup de frein sur les ventes

CASTRES Info 02

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Magazine mensuel et gratuit de Castres-info

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Agenda // Portrait // Vie de quartier // Sports // Tendance // ...Votre info au quotidien sur castres-info.fr

le MagO c t .2012# 02

Le mensuel indépendant et gratuit d’information locale

ExclusifCastres vue du ciel

PatrimoineLes trésors à découvertSport Castres Massaguel VolleyAutomobile Coup de frein sur les ventes

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N°2 - Octobre 2012 - Tirage : 10 000 exemplaires - Mensuel gratuit publié et distribué par : SARL PGCom - 29, Av de L’Europe - 81600 GaillacTél. : 05 63 41 40 02 - www.castres-info.frDirecteur de la Publication : Patrice [email protected]

Rédaction : Bruno Masarotto, Julie Lelouch, Marie-Jo Alibert, Roxane Nicolas, Pierre-Jean Arnaud, Patrice Gausserand, Yannick Michel.Conception graphique et mise en page : Charlotte Lambert, Emilie Marquès. Service commercial : Caroline Sompayrac - [email protected]édits photo : PGCom, Bruno Masarotto, Pierre-Jean Arnaud, Mairie

de Castres, Aérimage, Lo Bolegason. Crédits photos et Copyright : tous droits réservés textes et images sauf mention contraire.Dépôt légal : à parution. Ne pas jeter sur la voie publique

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Directeur Général : Patrice Gausserand29, Av de L’Europe - 81600 Gaillac Tél. : 05 63 41 40 02 - www.pgcom.frVous voulez communiquer dans castres-info le mag ? Un seul mail : [email protected]

Votre actualité nous intéresse :contactez-nous : [email protected]

Sommaire

4 dossier à la UneCastres vue du ciel

12 SportsLa renaissance du Phénix

14 ÉvénementBeau succès pour les jeunes agriculteurs tar-nais

16 TendanceL’art du cuir à la fran-çaise

18 PatrimoineLes trésors de Castres

22 Portrait L’étoile du nord brille toujours

24 QuartierRoulandou :« Vous avez dit tout doux »

26 AutoCoup de frein sur les ventes

28 Agenda

La charrue avant les bœufs

Hausse du prix de l’essence, crise éco-nomique, journée mondiale sans voi-

ture, lutte contre la pollution, piétonisation des centres-villes, manque de place de stationnement, multiplication des radars, développement des déplacements doux… constructeurs automobiles… Cherchez l’erreur. Cette énumération à la Prévert est loin d’être une invitation à l’achat d’un véhi-cule neuf. À quand les voitures floquées de ces fameux messages : conduire nuit gra-vement à votre santé ou encore avoir un véhicule peut être économiquement dan-gereux pour votre entourage…. Fumeurs et conducteurs même combat. Un paradoxe. Un de plus. Alors face à cette situation critique, il n’est pas étonnant de voir les résultats des ventes de véhicules chuter. Selon des études réalisées, 84% des per-sonnes constatent une hausse sensible de leur budget transport. Du coup, pour pallier cette augmentation ils s’adaptent en chan-geant pour 28% leurs habitudes de trajet. On constate aussi qu’un automobiliste sur quatre laisse son véhicule au garage. Pas de quoi redonner le sourire aux construc-teurs auto. Moins radicale et peut-être une lueur d’espoir pour recharger les batteries. 33% pensent à changer de voiture au profit d’une voiture moins polluante. Un constat qui incite les marques à se mettre au vert. Cette démarche serait-elle la solution pour un redémarrage du secteur automobile ? On en doute. Car en termes d’équipements et d’autonomie de ces véhicules il y a en-core du boulot. On met la charrue avant les bœufs.

Marie-Jo Alibert

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4 • Retrouvez plus d’infos sur notre site : castres-info.fr

2012 © Aérimage

Castres vue du ciel

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castres-info.fr – Octobre 2012 • 5

Dossier

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8 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

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castres-info.fr – Octobre 2012 • 9

Dossier

• Pages 4-5 Vue du centre-ville (Théâtre municipal, Musée Goya, Mairie, Cathédrale Saint-Benoît...)

• Pages 6-7Les maisons sur l’Agout

• Pages 8-9Les jardins à la française de l’ancien évêché de Castres, actuel Musée Goya, dessinés par André Le Nôtre.Détails de la fontaine, des jardins et du Théâtre.

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10 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Dossier

1. Les maisons sur l’Agout.

2. Le Centre Hospitalier InterCommunal (C.H.I.C) de CASTRES-MAZAMET.

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castres-info.fr – Octobre 2012 • 11

Publi-reportage

Voyez le monde de plus haut

La jeune société Aérimage, créée dans le Tarn en ce début d’année, vous propose dans ce numéro des prises de vues inédites du patrimoine archi-

tectural castrais.

Aérimage est une société spécialisée dans la réalisa-tion de prises de vues aériennes qui utilise des aéronefs sans pilote, plus connus sous le nom de drones.

En plus d’être économes et écologiquement correctes, les prises de vues réalisées à l’aide de drones per-mettent des angles de vues différents, au plus proche des sujets.

Aérimage propose différents produits afin de répondre à tous les besoins.

Outils de communicationLa gamme de produits « outils de commu-nication » permet de mettre en avant un patrimoine ou un lieu spécifique. En effet, les photographies aériennes, les visites vir-tuelles de moyenne altitude sont d’excel-lents moyens d’enrichir un contenu web et d’améliorer la compréhension d’un site. La branche Aérimage production propose

même la prise en charge de toutes les étapes de la pro-duction d’un reportage aérien (et sol au besoin) afin de vous proposer un produit vidéo prêt à être exploité sur vos supports de communication.

Applications techniquesLa gamme de pro-duits « applications techniques » per-met une analyse fine d’une situation donnée afin d’ai-der à la prise de décision.

Les champs d’ap-plication sont di-vers : suivis de chantiers, ana-lyse des surfaces, intégration 3D de constructions à venir, études de déperditions ther-miques des grands ensembles...

Les capacités d’évolution des aéronefs utilisés sont ré-volutionnaires et permettent des angles de vues inédits. Nous vous invitons à vous rendre sur le site internet de la société Aérimage, www.aerimage.fr afin de découvrir plus en détail les activités de cette société qui en plus

d’être innovante, s’inscrit dans une démarche de respect de l’environnement.

À voir absolument sur le site www.aerimage.fr un clip inédit de la cathédrale d’Albi. ■

AérimagePrises de vues aériennes

Rémi Grosset directeur de la société Aérimage.

Contact :[email protected]

05 63 54 86 60

aerimage.fr

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Castres Massaguel Volley-Ball

La renaissance du PhénixAprès plusieurs années de galère, le volley castrais s’est appuyé sur la fusion entre les écureuils de Massaguel et le Castres Volley-Ball pour renaître de ses cendres. Résultat : deux titres de champion de France consécutifs. Le club présidé par Nathalie Simon a retrouvélaN1etcomptebiens’yfixer.Enattendantmieux?Quisait?

J par Grégory Andres

M ai 1999. Le Castres Volley-Ball se rend en Avignon pour y disputer le match

retour de la finale du championnat de France de Pro B. Vainqueurs 3 manches à 2 sur leur parquet de Lameilhé une semaine plus tôt, les Castrais s’inclinent sur le même écart dans la cité des Papes. Un match d’appui est donc programmé pour le lendemain. Même punition pour les Tarnais qui voient leur rêve d’élite s’envoler à l’issue du cinquième set.

Sur les bords d’Agout, les plus anciens supporters parlent encore de cette fameuse finale et beaucoup se sou-viennent de l’endroit où ils se trouvaient ce jour-là. Cet « échec » sportif devait s’accompagner de quelques remous ad-ministratifs qui précipitèrent la chute du club en Nationale 2 et dont d’aucun

gardent toujours un goût amer. Après plusieurs voyages en ascenseur (de la N2 à la N1, puis en sens inverse jusqu’en N3), le Castres Volley Ball a décidé de lier son destin à celui du club voisin des Écureuils de Massaguel. Un bon place-ment puisque cette nouvelle structure aujourd’hui baptisée Castres Massaguel Volley Ball n’en finit plus d’accumuler les succès.

S’il faut savoir s’appuyer sur les erreurs et les réussites du passé pour se proje-ter vers l’avenir, et même si plusieurs témoins et acteurs (Merlhe, Arjona, Verscheure) de cette période de va-et-vient sont toujours là, c’est bel et bien de-vant elle que chacune des composantes du CMVB regarde désormais pour ten-ter de stabiliser le club à un échelon re-flétant mieux ce que le volley représente

à Castres. N’en déplaise aux mauvaises langues, la sous-préfecture tarnaise est une terre de volley qui ne demande qu’à s’enflammer pour les nouveaux dieux du gymnase.

Entre jeunesse et expérienceDans les prochaines semaines, cette trace du passé parfois encombrante devrait donc - non pas s’effacer - mais en tout cas s’estomper au profit de l’empreinte que la troupe emmenée par Davy Chedemail est en train de laisser sur les parquets castrais. Car depuis cette fameuse fu-sion intervenue en 2010, les troupes de la présidente Nathalie Simon sont pas-sées de la N3 à la N1 – antichambre du volley professionnel – en raflant au pas-sage deux titres de champions de France consécutifs. Un beau bilan qui mérite

Le calendrier de la N1Poule A - phase 1*

22/09/12 Mende 24/11/12

29/09/12 Conflans-Andresy 01/12/12

06/10/12 Charenton 15/12/12

13/10/12 Grenoble 22/12/12

27/10/12 Centre National 19/01/13

04/11/12 Paris Université Club 26/01/13

10/11/12 Brive 02/02/12

En gras, les matchs du CMVB à domicile

* Les quatre premiers de chaque poule jouent les playoffs (montée), les quatre derniers les playdowns (poule pour le maintien)

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castres-info.fr – Octobre 2012 • 13

Sports

toute sa place au tableau d’honneur de l’histoire d’un club qui compte cepen-dant ne pas laisser ces coups d’éclat sans lendemain.

« L’ambition première après deux montées successives c’est le maintien en Nationale 1 mais en jouant les playoffs » explique Nathalie Simon totalement sur la même longueur d’ondes que Davy Chedemail, entraîneur et joueur de l’équipe fanion masculine. « Les ambitions ça va être de décrocher les playoffs car ça nous per-mettrait d’être maintenus. C’est l’objec-tif, d’abord le maintien et après on verra ce qui se passe au fur et à mesure de la saison. Ça nous ferait plaisir de jouer les playoffs et de continuer à amener du monde dans la salle » explique le grand

numéro 8, par ailleurs d’ores et déjà satisfait de l’apport des jeunes ayant re-joint les cadres dont la fin de carrière est certainement plus proche que leur début mais qui constituent une solide assise pour affronter une saison de N1 qui s’an-nonce dense. « On va jouer des équipes avec des joueurs professionnels alors qu’on était encore dans le niveau amateur ou ou semi pro. On a rajeuni l’équipe avec deux nouveaux joueurs comme Quentin et Alexis. On commence à penser à l’ave-nir du club » poursuit Davy.

Un avenir qui semble se présenter sous de bons auspices puisque dans le sillage de l’équipe masculine, les féminines (voir ci-dessous) et les jeunes poussent.

De bonnes grainesTourné vers la formation, le CMVB vient de mettre en place une deuxième école de baby-volley à Castres (il y en avait déjà une à Massaguel) qui vien-dra compléter l’offre déjà existante et permettra aux plus petits de s’initier à ce sport avant d’intégrer en grandissant l’une des deux écoles de volley si la dé-couverte leur a plu.

Autant d’efforts concrets à destination des jeunes volleyeurs qui permettent au club de nourrir des ambitions dans ces catégories d’âges.

Au niveau des jeunes l’objectif reste en effet le même au fil des années avec l’am-bition d’aller le plus loin possible dans les différentes coupes de France afin de procurer du temps de jeu aux éléments qui représentent l’avenir du CMVB et de leur permettre de découvrir un niveau de jeu autre que celui existant dans la région.

Pour parvenir à ses fins, le Castres Massaguel peut compter sur des for-mateurs de qualité mais aussi sur des entraîneurs en quantité puisque les an-ciens techniciens viennent d’être rejoints par quelques nouvelles têtes.

Quand on vous dit que le volley a de l’avenir à Castres. Pour vous en convaincre poussez la porte du COSEC de Lameilhé. Plaisir garanti ! ■

Flavien Rigal : l’homme à femmesAu Castres Massaguel Volley-Ball, il n’y a pas que ces messieurs qui enchaînent les attaques, contres et autres services smashés. Le volley c’est en effet aussi une affaire de femmes. Comme leurs homo-logues masculins, les filles du CMVB sont d’ail-leurs sorties de leur division par le haut à la fin de l’exercice 2011-2012. Une réussite qu’elles doivent à leur talent mais aussi au travail de leur entraîneur Flavien Rigal (par ailleurs libéro de la N1) qui sera une nouvelle fois à leur tête lors de la saison de pré-nationale qui se profile.

Joueur depuis l’âge de 8 ans, Flavien n’a pas at-tendu longtemps avant d’endosser la tunique de coach. « J’entraîne depuis que j’ai 16 ans. Quand j’étais au club de Massaguel il manquait des entrai-neurs. J’ai commencé à entraîner une petite équipe, ça me plaisait bien. Ensuite c’est allé assez vite. J’ai

été pris pour entraîner la sélection du Tarn. Il y avait des objectifs qui me plaisaient. Deux ans plus tard on m’a proposé de venir travailler au club » explique-t-il pour faire le point sur son parcours passé avant de se projeter vers celui à venir.

« On a perdu la pointue pour ses études et la libéro. Ce sont des pertes importantes mais Laura est une grosse recrue. Elle a joué en N1 et Pro A. La sai-son va être particulière car il y a des filles qui sont à Toulouse et ne s’entraîneront qu’une fois par se-maine avec nous. On va tenter d’aller en play-off après on verra. On aimerait monter sur deux ans mais cette année ça risque d’être un peu juste. On a fait monter les cadettes de l’année dernière ; on a un groupe très jeune mais avec une qualité technique et physique intéressante. On devrait terminer dans les 3 premiers ».

Nom : Rigal

Prénom : Flavien

Âge : 23 ans

Poste : Libéro

Signe particulier : Entraîneur de championnes

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Événement

Lautrec : Destination Terre Gourmande

Beau succès pour les jeunes agriculteurs tarnaisQuelqueséchosd’unvoyageauseind’ununiversde labeur,d’odeurs,desons,desensetdesaveurs.

J par Pierre-Jean Arnaud

G rande fête de la rurali-té organisée par les Jeunes Agriculteurs du Tarn,

Destination terre gourmande a drai-né vers la plaine lautrécoise plusieurs dizaines de milliers de visiteurs. « Rien ne se fait sans le consommateur dont le goût s’affine de jour en jour, car c’est lui qui arbitre au final. La plupart de la valeur ajoutée se trouve là », soulignent François Thabuis et Cédric Carcenac, respectivement présidents national et départemental des Jeunes Agriculteurs. « Mais cette valeur ajoutée doit pouvoir être partagée financièrement par les dif-férents acteurs de la filière. Retour sur les temps forts de la manifestation » ajoutent nos présidents.

Les écoles en visite dans la ferme géante de LautrecLes enfants des écoles primaires du Tarn ont été les premiers visiteurs du vil-lage gourmand de Lautrec le vendredi 14 septembre, à la fois immense classe verte et classe découverte à la fois. Au hit-parade des préférences viennent les animaux, les ateliers des sens et du goût, et aussi la grande roue. Gros succès du concours « Décore ta vache » avec des réalisations très abouties.

Stéphane Le Foll, un ministre sur le site, sensible à l’installation des jeunesLe nouveau ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, était présent sur le site, annonçant « la mise en place d’Assises de l’Installation dès janvier, organisées de manière ouverte et partenariale, nour-ries de la concertation des acteurs des territoires pour construire une politique de l’installation rénovée et renforcée ». Il a également confirmé « la pérennité au même niveau qu’en 2012 des soutiens à l’installation malgré le contexte bud-gétaire tendu ».Il a aussi mis le doigt sur la problématique de l’irrigation qui doit être au service d’une agriculture diversifiée.

L’ESAT de Braconnac présent sur le pré pour mettre en vedette l’ail rose de LautrecL’ESAT de Braconnac était lui aussi sur le pré de Lautrec ; géré par la Fédération nationale des APAJH (Associations Pour Adultes et Jeunes Handicapés), il présentait un atelier pédagogique de conditionnement de l’ail. Pas très loin de Xavier Albert-Couzi, moniteur à

l’ESAT, Robert Molinier, membre de la confrérie de l’Ail rose de Lautrec, plaide pour les vertus médicinales de l’ail : « Il présente l’avantage de pouvoir remplacer 7 antibiotiques et 5 anti-inflammatoires majeurs. »

A la rencontre de Roxane Pailloux et d’Urkan des Fidèles Gardiens : un binôme talentueuxRoxane Pailloux est venue à l’invita-tion de Benoît Redoulès, président de l’ATUCT, association tarnaise pour l’uti-lisation du chien de troupeau. Roxane est bergère au parc des Volcans dans le Puy-de-Dôme et travaille pour M. Jean Joubert, éleveur. Avec juste raison, elle ne tarit pas d’éloges sur son chien Urkan des Fidèles Gardiens, beauceron.■

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castres-info.fr – Octobre 2012 • 15

Publi-reportage

L’intérim au paysAvec deux agences sur Castres et Mazamet et sept employés, API bénéficie d’une réactivité et d’une proximité sur le bassin d’emploi.

Issu du monde de l’entre-prise, Laurent Dupont a créé la sienne en 2007. De trois

personnes, API (Alternative Placement Intérim) est passée à sept employés, répartis sur deux agences, à Castres et Mazamet. En effet, malgré le début de la crise économique, l’agence mazamétaine est née en 2008 preuve de l’activité

croissante d’API. «Nous restons un baromètre de l’em-ploi» explique Laurent Dupont. «Nous sommes la variable d’ajustement nécessaire aux entreprises pour répondre aux fluctuations de l’activité économique et de ses règles. Les entreprises privées et publiques, de toutes tailles, font appel à nous». L’entreprise API intervient dans tous les secteurs : industrie, transport, logistique, commerces, bâtiment, tertiaire… « Nous avons aussi une niche d’em-ploi dans le spectacle et l’événementiel (régisseur, techni-cien son et lumière, monteurs…) ». API est aujourd’hui un des acteurs majeurs de l’intérim : son aire d’influence couvre le sud du Tarn, le Revélois et même une partie de la région toulousaine.

Au rythme de l’économieDans un marché forcément concurrentiel, API a creu-sé son sillon, au-delà « des incertitudes, du flou dans les réglementations. Nous vivons au rythme de l’économie. » Celui de l’intérim n’est pas franchement à la hausse (-13% au niveau national et -15 % en Midi-Pyrénées), à l’image de l’emploi en général. Grâce à sa proximi-té, son implantation et à sa réactivité, API échappe à cette tendance. « C’est compliqué pour nous, les chefs d’entreprise, relève Laurent Dupont, car on nous modifie

les règles sociales en perma-nence, l’équipe y est réguliè-rement formée et nous avons un service d’assistance juri-dique. Chez API c’est ce qui fait notre force. En plus du recrutement, les entreprises nous sollicitent aussi pour du conseil social. » Quant à l’avenir, l’ancien rugby-man, champion de France avec Sor-Agout et l’ASPF , n’entend pas le subir : «Nous continuerons à nous battre, pour notre métier, pour API. J’ai confiance dans mon équipe. Nous sommes structurés pour durer. Nous faisons au mieux pour trouver des salariés pour les entreprises et pour trouver du tra-vail à un maximum de gens, tout en respectant un cadre réglementaire, sécuritaire et garanti. La précarité, nous ne la créons pas, nous la gérons, en espérant que l’emploi durable pour tous revienne.»

Parole de client : Pierre Serres (Cornus, Amen, JPG, Corema) : « Une société sérieuse et locale »« Nos quatre sociétés (bâtiment, plom-

berie, chauffage, éléctricité, métallerie…) sont de grosses consommatrices de main d’œuvre en intérim. Je joue le jeu avec API depuis le début. J’ai suivi la progression. C’est une société sérieuse et locale. Notre collaboration est régulière. Quand nous avons besoin de pourvoir un poste, nous décrivons le profil du candidat, API le trouve rapidement grâce à son portefeuille de CV. » ■

API en chiffres40 : le pourcentage de femmes « placées » en 201195 : en pourcentage l’activité d’intérim d’API (5% en recrutement)510 : le nombre d’entreprises avec qui nous avons travaillé10 000 : les candidats actuellement inscrits dans les deux agences21 000 : le nombre de contrats de travails depuis l’ouverture250 000 : en heures « prestées »

Vos deux agences API3, Quai du Carras 81100 CASTRES

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page : alternative placement intérim

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16 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Jean-Louis Fourès

L’art du cuir à la française Qu’il soitmat, brillant ou biologique, le cuir n’a plus de secret pourVéroniqueBrogniart et André Mazars, les dirigeants de la société Jean-Louis Fourès. Maroquinierfrançaisdepuis1975, lamarquen’adepuiscessédeseréinventerà chacune de ses collections et de conquérir toujours plus le marché de lamaroquinerieenFranceetàl’étranger.

Le savoir-faire tarnais d’une marque internationale Côté coulisses, Jean-Louis Fourès c’est avant tout une histoire où se mêlent passion et raison. La société, créée en 1975 par Jean-Louis Fourès, a construit sa notoriété sur les cuirs très souples, dont le travail nécessite un savoir- faire

particulier. Aujourd’hui encore, la sou-plesse et le naturel restent la règle d’or dans le choix des peaux. Et, l’entreprise met un point d’honneur à s’approvision-ner essentiellement auprès de fournisseurs locaux. En 1989, l’entreprise remporte le 1er prix dans la catégorie ma-roquinerie de poche lors du concours de la Fédération française de maroquinerie parrainé par des noms prestigieux tels que Chanel, Hermès, Lancel ou bien encore Louis Vuitton. Depuis les années 90, Jean-Louis Fourès s’exporte. Japon, Belgique, Suisse et Hong Kong se laissent séduire par cette vision si per-sonnelle de l’élégance et de la qualité à la française.

Les visages derrière la marque - portraits de passionnés « Le cuir, il faut le prendre en main, le toucher avant de le voir », affirme Véronique Brogniart, styliste de la marque. « Chacun des gestes exige pré-cision et dextérité, de la découpe à l’ex-pédition » renchérit André Mazars, res-ponsable de la gestion et des achats. Ces deux phrases résument assez bien l’es-prit de ces deux dirigeants de l’entreprise qui depuis 1996 sont à la tête de l’entre-prise Jean-Louis Fourès. à eux deux, ils incarnent les visages de la marque. Styliste atypique créant directement à partir de la matière, Véronique se re-fuse au croquis préférant le toucher de la matière comme source d’inspiration.

« Chaque morceau de cuir est différent, il faut apprivoiser la matière pour en faire émerger la création, le produit fi-nal » affirme Véronique. L’autre visage

c’est André Mazars. Il gère le développement de la marque, assisté d’une équipe de com-merciaux, puisque Jean-Louis Fourès c’est avant tout la réussite d’une équipe, d’une entreprise

à taille humaine qui a su concilier impératifs créatifs

et attentes du marché pour s’im-poser comme une référence du savoir-faire français.

Le dynamisme d’une entreprise localeSituée dans le Tarn, l’entreprise Jean-Louis Fourès n’a pas à rougir face au

‘‘ Le cuir, il faut le

toucher avant de le voir ’’

J par Yannick Michel

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castres-info.fr – Octobre 2012 • 17

Tendance

M. J. SERVICES Stores intérieurs et extérieurs

Toile de pergolaVolets roulants neufs et réparation

Moustiquaires • Films adhésifsBâches PVC fabrication, réparation

Fabrications Spéciales

Michel JulienSt Martial

81100 Castres

Tél. 06 07 27 12 [email protected]

marché de la maroquinerie. Présente deux fois par an au salon « Première Classe » à Paris, incontournable vitrine internationale dans l’univers des acces-soires de mode, la marque est toujours au cœur de la tendance, et lance deux à trois collections par saison. Une réacti-vité et une énergie remarquables pour cette société à l’écoute des nouveautés, qui joue toujours le jeu du régional.Jean-Louis Fourès, c’est en effet une en-treprise tarnaise qui emploie 30 salariés, tous experts en maroquinerie : une réus-site locale qui rayonne nationalement et

internationalement. Et, c’est aussi plus de 700 clients distributeurs en France, une présence en Belgique, au Japon et aux Etats-Unis pour un chiffre d’affaires de 2,6 millions d’euros en 2011. Ces

chiffres impressionnent au moins autant que le soin et l’inventivité mise au ser-vice d’une élégance à la française. ■

Les coups de cœur de la rédactionDu porte-clefs au sac cabine, en passant par les portefeuilles, porte-monnaie et tous les modèles de sacs… Jean-Louis Fourès propose une gamme complète, dans l’esprit sportswear chic et urbain. Zoom sur quelquespiècesdelanouvellecollection.

Collection Etrier pour lui

Collection Sucre glace pour elle

Vos détaillants dans la régionETS BOUSQUET IVEMA 5 rue St Julien81000 Albi05.63.54.96.47

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NOIX D’ARECCC Portes d’Albi81000 Albi05.63.54.89.27

NOIX D’AREC5 Rue Timbal81000 Albi05.63.38.24.05

L’ECHOPPE15 Rue Portal81600 Gaillac05.63.57.59.79

NOIX D’ARECCC Auchan81100 Castres05.63.74.81.11

NOIX D’AREC13 rue Alquier Bouffard81100 Castres05.63.59.77.62

NOIX D’AREC13 rue Villegoudou81100 Castres05.63.35.06.27

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18 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Patrimoine

Les trésors de CastresToutcequevousavezvouluvoirdeCastres…C’est dans Castres-info ce mois-ci. Votre mensuel vous propose une vision originale de cette ville aux multiples facettes archi-tecturales. L’occasion pour nombre de Castrais de découvrir leur cité avec un autre regard. Avec notamment l’Hôtel de Nayrac et son majestueux portail, le détail du portail de la résidence du sous-préfet, la chaire de la cathédrale Saint-Benoît, l’Agout et ses maisons vues depuis le pont de Metz ou encore les jardins del’Evêché...Autantdesitesquidévoilenttousleurscharmes.

1. Un détail de la façade de l’hôtel de Poncet.

2. L’hôtel de Poncet.

3. Les maisons sur l’Agout.

4. L’Agout et ses maisons vues depuis le pont de Metz.

5.Leclocherdel’égliseStJacquesdomineles toits castrais.

6. La fontaine de la place Pellisson.

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Patrimoine

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Patrimoine

7.LatourSaint-BenoîtestleplusvieilédificedeCastres

8. Un détail de la façade du Théâtre municipal

9. Le château d’eau du parc de Gourjade

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castres-info.fr –Octobre 2012 • 21

publi-reportage

Le partenaire de vos réceptions depuis plus de 15 ansQuarante millions de pièces lavées par an, plus de 100 000 par semaine. Les chiffres sont impressionnants, tout comme la réussite de cette entreprise de location de vaisselle et de matériel de réception, qui accompagne tous les moments festifs de la vie, avec la qualité et la propreté comme maîtres mots.

C’est en 1995, que Pascal Maldant, découvre un marché alors en développement : celui de la location de vaisselle et de matériel de

réception. « J’ai souhaité créer une société de location de vaisselle à grande échelle pour répondre aux besoins de

ce marché porteur, mais dont l’offre existante était bien trop parcellaire» confie le fondateur audacieux de LO.CA.PREST.

L’habilleur de table Implantée sur l’axe autoroutier Toulouse / Albi, la société propose ses services dans la région albigeoise, toulousaine mais aussi de façon régulière dans l’Aveyron et la région basque et béarnaise. Forte de ses capacités matérielles et logistiques, LO.CA.PREST. répond à toutes les attentes

de ses clients. Comme le souligne Pascal Maldant : « Laver la vaisselle est à la portée de tout le monde, laver la vaisselle vite et bien est un métier à part entière ». La passion qu’il accorde à son métier est comparable à celle qu’il voue à son club de rugby fétiche, l’ASM Clermont Auvergne dont l’entreprise porte les couleurs.

De la vaisselle au linge en passant par le mobilier, c’est donc une prestation complète que propose la société de Pascal Maldant. « Avant d’être loueurs, nous sommes des prestataires de services ». Actuellement, la majorité des clients sont des professionnels mais LO.CA.PREST. propose aussi ses services aux particuliers. « Nous allons de 2 à 20 000 couverts » affirme le fondateur, pour attester de la palette de services de son entreprise.

Une société éco-responsable LO.CA.PREST., de par son activité, n’est pas soumise à des contraintes juridiques spécifiques. « Cependant, nous nous imposons de respecter les normes d’hygiène en vigueur chez les traiteurs, restaurateurs et collectivités ». La gestion de l’hydraulique est omniprésente dans tous les processus de lavage. Une grande place est accordée au développement durable. « Nous cherchons à gérer de manière optimale l’eau, élément principal de notre activité ». Preuve de cet engagement éco-responsable, la société fait actuellement concevoir une machine sur mesure capable de nettoyer les gobelets recyclables.

Ce projet de lavage, réalisé en partenariat avec Tryfil et la Communauté de communes du Tarn et Dadou, constitue selon les dires du dirigeant, « une étape essentielle pour LO.CA.PREST. qui doit s’adapter aux évolutions de son marché ».

In fine quand on demande au dirigeant quelle est la partie la plus importante de son activité, il nous répond sans hésitation, le client. « Notre politique vise à ne jamais dire non. C’est pourquoi nous disposons d’une liste de prestataires annexes tels que des fleuristes et des décorateurs, pour satisfaire au maximum notre clientèle ». ■

LO.CA.PREST : 2 sites à votre service

TARN :LO.CA.PREST. La Bouissounade 81150 LAGRAVE Direction : [email protected] : [email protected]

AVEYRON : François Arnaud Traiteur Avenue de la Peyrinie 12000 Rodez

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Location de vaisselle et matériel de réception

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PRESTPREST

LO CA

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Rencontre avec le seul étoilé de Castres

L’étoile du nord brille toujoursSimon Scott : L’Anglais de Newcastle, marié à une Castraise, a obtenu une étoile sur le Guide Michelin en 2009 à Saint-Avit. Depuis 2010, l’amateur de rugby délivre une cuisine tout en… saveurs, du nom de son restaurant de la rue Sainte-Foy.

L es meilleurs professeurs sont souvent les mamans. Simon Scott a appris à aimer la cui-

sine en regardant sa mère devant les fourneaux. « J’ai débuté par les gâteaux. A l’école, j’étais le seul à savoir cuisiner. C’était bien pour draguer les filles. » Humour anglo-saxon rivé au sourire, le malicieux Simon, 43 ans bien portés, ne perd aucune occa-sion de s’amuser. Lui qui aurait pu diri-ger une batterie d’em-ployés dans un grand hôtel londonien, où il a fait ses classes (Ritz, Savoy…), a préféré s’installer dans un petit éta-blissement. « More fun », sûrement. Le hasard – et l’amour pour Marie-Hélène, une jeune Castraise fille au pair à

Londres – l’a conduit en 2001 à Saint-Avit, à quelques encablures de Castres. « C’est Francesco di Bari (chef de la « Demeure de Flore » à Lacabarède) qui m’a indiqué l’endroit. Il faisait beau, les oiseaux chantaient. Le site avait un gros potentiel. J’ai juste oublié que c’était si loin de tout… » De l’Eden isolé de la cam-pagne, Simon et Marie-Hélène passent, en 2010, au cadre plus urbain de la rue Sainte-Foy, en bordure d’Écusson. Ils y exportent l’étoile Michelin, empochée quelques mois avant aux « Saveurs de Saint-Avit ». « Je la dois en grande par-tie au bouche à oreille. » Il apprendra la nouvelle avant la parution du guide – en croyant à une blague – de la bouche de Guillaume Salvan, patron de La Falaise, à Cahuzac-sur-Vère, un autre « étoilé ». « J’ai voulu vérifier auprès d’un inspecteur du Michelin. Il a démenti avec force. » Le secret du petit livre rouge est bien gardé.

Forcément, la distinction ne laisse pas de marbre Simon Scott, aussi britan-nique et flegmatique qu’il soit : « J’étais très heureux. Il y a le côté prestigieux de l’étoile. C’est surtout une reconnais-

sance de mon travail. Je n’oublie pas que j’ai commencé seul avec mon épouse à Saint-Avit. » Aujourd’hui, au cœur de la sous-préfecture, le « Bistrot des saveurs » emploie deux cuisi-

niers (dont un Gallois expatrié), un stagiaire et

deux serveurs, sans comp-ter Marie-Hélène Scott, bien sûr,

au four et au moulin. L’étoile Michelin n’étant jamais acquise, le nouvel établis-sement est régulièrement « visité » par les inspecteurs du « Bib’s ». « Je les ai vus

trois fois depuis 2009, commente Simon. Sur leur bouquin, ils ont marqué « cui-sine créatrice et petite table luxueuse ». Mais cela impose aussi des responsabili-tés quant à la qualité de ce que l’on sert. » Rue Sainte-Foy, dans une salle au style résolument moderne, mais chaleureuse, Scott a opté pour une cuisine ouverte sur les clients. « Les gens aiment de plus en plus voir ce qu’ils mangent et comment c’est préparé. Moi, je voulais les avoir en face. C’est plus convivial. On peut échan-ger. » Voilà pour le cadre. Pour l’assiette, l’étoilé s’est fixé une règle « Il faut étonner les clients. Quand ils poussent la porte d’un « Michelin », ils ne veulent pas être déçus. » Dans tous les cas, ils risquent d’être surpris, car la carte du Bistrot des

‘‘ J’adore cuisiner les

desserts, pour le côté artistique’’

Des classes de cuisineCe n’est pas « Master chef », mais Simon Scott propose une fois par mois de don-ner des cours de cuisine à des amateurs, voire à des passionnés. En petit groupe de six ou de sept, les « apprentis » écoutent les conseils du maître queux du Bistrot des Saveurs. « Ils me posent beaucoup de questions aussi », apprécie Simon. Durant cinq ou six heures, les cuistots d’occasion participent activement, sous l’œil vigilant du chef, à la préparation d’un repas, qu’ils partageront ensemble avant de quitter l’établissement. « J’adore partager des moments, rencontrer des gens qui aiment manger ou faire la cui-sine. » Pour les personnes intéressées, il convient de s’inscrire à l’avance. On peut également offrir en cadeau les cours de Simon Scott.

J par Bruno Masarotto

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Portrait

Saveurs change souvent. « Nous propo-sons une petite carte, que l’on renouvelle constamment. » On ne retrouvera donc pas la « spécialité du chef » chez Scott, qui apprécie à peu près tous les types de cui-sine, avec une préférence pour la pâtis-serie, sa formation initiale. « J’adore cui-siner les desserts, pour le côté artistique. J’aime également préparer les abats et le poisson, pour la précision. » Le poisson qui est, peut-être, le seul mets venu d’ail-leurs dans la carte du Bistrot. « Tout est

local chez nous. Les légumes viennent du marché, les foies gras de Lombers, les vo-lailles des Cammazes. Je fais mon choco-lat… » Simon pousse même le bouchon jusqu’à arpenter la Montagne Noire, à la recherche de plantes aromatiques, à l’image du Savoyard Marc Veyrat. « Je me tourne de plus en plus vers la nature pour ma cuisine. Nos clients sont sen-sibles à ça. » Scott va même – comme le Gersois Maurice Mességué en son temps – jusqu’à guérir ses petits soucis

de santé par de bonnes infusions. « Je ne tourne pas le dos aux nouvelles techniques. J’utilise les très basses températures, par exemple. » Après deux ans rue Sainte-Foy, le chef du Bistrot est plutôt satisfait de son court déménage-ment et n’envisage pas, malgré un succès réel, de viser plus grand : « Je réalise entre quarante et cinquante couverts

chaque jour. Je ne veux pas faire plus, par manque de place. Mais cela nous suffit, mon épouse et moi. Nous vivons bien ici, sans gagner des fortunes. » à tel point que le Bistrot des Saveurs s’offre le luxe de fermer le week-end. En bon Anglais, Simon en profite pour aller au stade de rugby. Quelques joueurs du Castres-Olympique fréquentent d’ailleurs son restaurant. « Chris Masoe est devenu mon ami », se félicite Scott, qui a, dans sa carrière, cuisiné pour la reine d’An-gleterre. L’enfant du nord de l’Angleterre (Alnwick, une cité médiévale où ont été tournées des scènes d’Harry Potter) de-vrait donc continuer à régaler les palais des Castrais et des touristes, attirés par la lueur de l’étoile Michelin. ■

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24 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Quartier

LequartierdeRoulandou

« Vous avez dit tout doux »J par Pierre-Jean Arnaud

UnquartiersituéàdeuxpasduParcdesExpositionsetdu8ème RPIMA : CAF, centre commercial, écoleélémentaire,égliseetcentreparoissial,maisondequartierconstituentlecentrenerveuxdecequartierauxalluresdevillage.

S itué à quelques encablures de là, se dressent Lardaillé et son célèbre 8ème RPIMA. Aves ses

terrains de sport et de manœuvres, voilà une touche verte donnée à ce territoire urbain qui entremêle de façon équili-brée habitat collectif et individuel. Il y a une certaine harmonie. L’église Notre-Dame de l’Espérance, bâtiment mo-derne, planté au milieu d’une belle es-planade au départ du boulevard Giraud attire l’œil.

Des animations à développerCôté animations, la vie du quartier re-naît : il y a un vide-grenier et la nouvelle directrice de la maison de quartier s’est employée en juin dernier à relancer la fête annuelle de Roulandou qui avait disparu depuis une dizaine d’années. La maison de quartier propose un panel d’activités allant de la gymnastique à la danse country en passant par la zum-ba. Le foyer restaurant géré par la mai-rie sert y compris le dimanche quinze à trente déjeuners aux aînés du quartier. Et la jeunesse direz-vous ? Elle est quand même bien présente d’une part avec la crèche et l’école élémentaire. De leur côté, la paroisse et le diocèse organisent des temps de formation ou de rencontre pour les jeunes ou les familles.

Une fresque insolite Si vous passez dans ce quartier, ne man-quez pas de pénétrer dans l’église de Notre-Dame de l’Espérance. Vous se-rez surpris de découvrir une immense fresque qui couvre le mur du fond : 12 mètres de long sur 4,40 mètres de hau-teur. Elle représente l’Apocalypse ; son auteur, Gaston-Louis Marchal. Jean-Pierre Gaubert, poète et journaliste, décrit ainsi cette œuvre constituée au départ de 82 panneaux dessinés repré-sentant une surface total de 78 m2 : « L’artiste a consacré quotidiennement plus de deux ans à résoudre un problème s’apparentant à la quadrature du cercle : traduire en expression de l’an 2000, l’Apo-calypse de Saint-Jean ».

Le quartier vu par ses habitants : Aurélie et Marie-Laure Vaissette : avec le sourire en prime

Ces deux sœurs énergiques dans la vie et dans le commerce, mènent leur barque au milieu du centre commer-cial, dans le quartier de Roulandou qu’elles affectionnent bien sûr depuis qu’elles ont repris l’affaire familiale de tabac-presse. « Ce quartier est calme et ne souffre pas trop de violences ou de dégradations. Nous avons une clientèle fidèle et les habitants trouvent tout type de services : CAF, boucher, crèche, kiné,

médecin, primeur, pharmacie. L’école pri-maire est aussi toute proche. Concernant les équipements du quartier, l’éclairage qui était faible, a été refait, récemment. Parmi les points négatifs, on peut signaler

l’absence d’espace vert ; certains réclament aussi un bar, un fleuriste. Il n’y a pas non plus de marché comme à Soult, Lalbinque ou Lameilhé. Des animations sont pro-posées par la maison de quartier : gym, country, etc. Un vide-grenier annuel est organisé. Cette année, une fête de quar-tier qui ne se faisait plus a été mise sur pied. Le terrain de foot militaire est acces-sible; il y a aussi la bibliothèque. »

Marc Fabriès : « La qualité de vie »

Pour ce commerçant, la qualité de vie du quartier est à signaler : « Cela fait petit village. Parmi les plus, le parking refait il y a peu de temps. Il n’existe pas d’asso-ciation de commerçants et les animations proposées le sont par la maison de quar-tier. » ■

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Publi-reportage

Un courtier en travaux dans le 81

Kévin Arnaudin est un véritable facilitateur de travaux. Qu’il s’agisse de rénovation, de construction ou d’extension, le jeune chef d’entreprise met son expertise du bâtiment au service des Tarnais.

Après sept ans d’expertise à des postes tels que conducteur de travaux, économiste de la construction, conducteur d’opérations en maî-

trise d’ouvrage, Kévin Arnaudin décide de créer son entreprise de courtage en travaux. Pour sécuriser son projet, il s’adosse à l’enseigne Activ Travaux. Ainsi, tout en restant indépendant, il bénéficie d’un réseau national de 90 courtiers en travaux.

« Chez Activ Travaux, un courtier en travaux est un « facili-tateur de travaux » tant pour les aspects techniques que commerciaux. Sélectionneur de savoir-faire, sa mission est de favoriser la réussite des travaux. Les artisans sont très réceptifs à ce que je leurs propose. Ils ont bien compris la valeur ajoutée que je leurs apporte : plus de pénétration sur le mar-ché, vendre leurs devis… et du travail supplémentaire en perspective » explique Kévin Arnaudin.

Courtier en travaux, mode d’emploiDu côté des clients

Qu’il s’agisse de rénovation, de construction ou d’ex-tension, les prestations de Kévin Arnaudin vont bien au-delà de la simple mise en relation clients/artisans. La prestation est gratuite pour le client : il s’assure de la qualité du travail fourni, du respect des délais annoncés et de l’adéquation du coût du chantier avec le marché. Un gain de temps et d’énergie pour des travaux sans stress et sans mauvaise surprise !

À la pointe de la tendance, c’est plus de 15.000 ar-ticles d’agencement et de décoration qui sont présen-tés par univers sur www.activ-tendances.com. Ainsi,

sans bouger de chez eux, particuliers, commerçants et entreprises peuvent, à la fois, concevoir leur futur espace de vie ou de travail, en simulant leur projet en trois dimensions tout en réunissant des professionnels du bâtiment.

Du côté des artisans

En règle générale, un courtier Activ Travaux travaille avec une trentaine de professionnels du bâtiment. Leurs

domaines de compétence cou-vrent tous les corps de métiers : plâtriers, électriciens, maçons, plombiers, spécialistes en éner-gies renouvelables, architectes, bureaux d’études, décorateurs et architectes d’intérieur, etc.

Ces prestataires sont triés sur le volet parmi les entreprises locales. Vérification de leurs statuts, de leurs assurances professionnelles et de la qua-lité de leurs prestations, sont

les conditions sine qua non qui permettent au courtier d’apporter à ses clients une vraie valeur ajoutée.

Votre conseiller sera présent au salon HABITARN d’Albi du 26 au 29 Octobre 2012 : Stand Activ Travaux Hall 2, allée F, Parc des Expositions - Le Séquestre, 81000 ALBI. ■

Kévin ARNAUDIN – Tel : 06 58 73 34 43Courtier Activ Travaux dans le Tarn : Castres, Mazamet, Graulhet…

81440 St Genest de Contest – [email protected]

Retrouvez tous les courtiers en travaux Activ Travaux sur www.activ-travaux.com.

Activ Travaux est l’un des membres fondateurs de la Fédération Française du Courtage en Travaux. Avec une croissance de +14,3% vs. 2010, le volume d’af-faires 2011 du réseau Activ Travaux atteint 40 M€.

Activ Travaux est une enseigne nationale qui fédère quelque 90 courtiers en travaux et plus de 3.000 professionnels de l’Habi-tat, du Bâtiment et de l’Agencement.

 

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26 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Automobile

Coup de frein sur les ventesÇan’auraéchappéàpersonne,«c’estlacrise».Pourl’industriedel’automobileaussi.Quellessontlessolutionspoursauverlemarchédel’auto?Togreenornottogreen.Ledébatestlancé.

J par Marie-Jo Alibert et Roxane Nicolas

A l’heure où s’ouvre le salon mondial de l’automobile à Paris, les concessionnaires

tirent le signal d’alarme. En perte de vi-tesse, les différents constructeurs enre-gistrent une baisse sensible des ventes. Pour beaucoup les compteurs sont dans le rouge. Un rouge qui fait tâche d’huile puisque le Tarn accuse quant à lui une chute de 20%. Un constat que déplore Jacques Toulemonde le prési-dent du CNPA. « Il est urgent de trou-ver des solutions afin de ne pas sombrer et de partir dans des voies de garage »,

avoue-t-il. Alors face à ce malaise social et économique qui peut sauver le sol-dat Automobile ? Les voitures hybrides ou électriques ? « Certainement pas ». Toujours selon Jacques Toulemonde, « cette démarche écologique n’est pas une bonne solution pour le moment. Nous ne sommes pas prêts ». En clair, limités dans leur autonomie, ces modèles ne peuvent pas sauver le marché de l’auto d’autant que leurs prix dépassent sou-vent le budget des ménages. Il est donc trop tôt pour s’emballer et voir une quel-conque amélioration liée à ce genre de véhicules. L’urgence voudrait que l’on réagisse rapidement. « Les concession-naires et les constructeurs sont à bout de ce qu’ils peuvent faire », poursuit le pré-sident. Avant d’ajouter, « plutôt que de donner des aides pour l’achat de véhicules verts, le gouvernement ferait mieux de se pencher sur le problème existant. Nous avons besoin de solutions à court terme ».

Si en France on n’a pas de pétrole il fau-drait quand même que l’on ait des idées.

Dans ce contexte, le virage s’annonce serré dans cette nouvelle galaxie de la religion auto.

Plutôt hybride ou électrique ?Elles font partie des véhicules verts mis en avant à la fois par les écologistes pour lutter contre les gaz à effet de serre et par le gouvernement pour relancer l’industrie au-tomobile. Petit à petit, l’idée de brancher sa voiture sur une prise électrique au lieu de la remplir de carburant n’est plus si farfelue. Alors, vous avez plutôt une conduite hy-bride ou électrique?Les voitures électriques sont alimentées par une batterie qui ne permet pas pour le moment une autonomie supé-rieure plus d’une centaine de kilomètres. Plutôt embêtant lorsqu’on a de grandes distances à parcourir et que l’on n’est pas assuré de rencontrer des bornes de recharges électriques sur la route. Par contre, pour les personnes qui circulent en majorité en ville ou qui sont adeptes de courtes distances, la voiture électrique peut être un bon

plan niveau financier. Plus besoin de faire le plein de car-burant, il suffit de payer mensuellement le contrat de loca-tion de la batterie en lithium d’une cinquantaine d’euros. Conçues pour se brancher sur secteur, elles sont rechar-gées en trois heures et le prix de revient de ces voitures pour une centaine de kilomètres est entre 1 et 2€.

Concernant les voitures hybrides, elles ont un moteur thermique couplé à un moteur électrique. Du coup, pas besoin de la brancher dans le garage, il suffit de mettre un peu de carburant et lorsque le moteur électrique est déchargé, le thermique prend le relais et le recharge. Les personnes ayant une conduite souple trouveront que ce véhicule consomme moins qu’une voiture thermique simple puisqu’en ville par exemple, le moteur électrique permet de ne pas consommer beaucoup de carburant.

Éthylotest obligatoirePapiers, gilet jaune, et éthylotest SVP.

Entré en vigueur le 1er juillet dernier, un décret de loi oblige tous «les conduc-teurs d’un véhicule terrestre à moteur» à posséder au moins un éthylotest non usagé et en cours de validité dans sa voiture. À partir du 1er novembre, toute personne qui se ferait contrôler sans cet «accessoire» risquera une amende de 11€.

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Auto

On passe au vertA cheter un véhicule neuf, ça

a un coût. Et dans le contexte économique et social actuel,

changer de voiture ne semble pas être la priorité des Français. Pour preuve, le rapport de l’Insee qui révèle que le mois d’août dernier a enregistré le plus faible taux d’immatriculations de voitures par-ticulières neuves en France métropo-litaine au moins depuis 2010. La filière

automobile française, qui emploie plus de 800 000 personnes, subit de plein fouet cette perte de vitesse. La produc-tion, qui était de 3,5 millions de véhi-cules en 2005, a été ralenti à 2,2 millions en 2011. Pour doper le marché de l’auto-mobile, l’État avait instauré la prime à la casse à partir de 2008. Le concept est simple. Tout propriétaire d’une voiture de plus de dix ans bénéficiait de 1000€ doublé d’un bonus écologique, versé en contrepartie de l’achat de voiture neuve. Au 1er janvier 2010, cette prime à la casse a été réduite à 700€, puis diminuée une nouvelle fois à 500€ au 1er juillet 2010, avant d’être supprimée au 31 dé-cembre de la même année.

Aujourd’hui, pour soulager cette filière dont les niveaux sont dans le rouge, le gouvernement encourage à se mettre au vert. Aux véhicules verts bien sûr, puisqu’il a mis en place un bonus

écologique allant jusqu’à 7000€ pour tout achat d’une voiture électrique. Une prime à la casse revue à la baisse est aussi instaurée. Si l’ancien véhicule du nouvel acheteur a plus de quinze ans, ce dernier bénéficie de 200€ de prime.■

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L’agenda des sortiesMardi 2 octobre - 21HThéâtre municipal

La Station Champbaudet

De Eugène Labiche - Mise en scène : Gilles Guérin

Interprété par la troupe Jean Vilar.

Madame Champbaudet, veuve mûre, mais encore débordante d’affection, est éprise du jeune archi-tecte Paul Tacarel qui fréquente assidûment son appartement.

C’est en fait Aglaé Garambois, la belle voisine du dessus, jeune femme mariée, qui attire le don juan sans scrupules. Les jeunes amants ont convenu d’un signal lorsque le mari s’absente, lui joue de la trompette pour signaler sa présence et elle lui répond au piano si la voie est libre. Le mari trompé finit par découvrir le stratagème. Les quiproquos s’enchaînent alors à un rythme effréné dans cette pièce où le burlesque, l’absurde et la méchanceté s’entrechoquent avec bonne humeur.

Gratuit

Samedi 6 octobre - 21HThéâtre municipal

Gigi

De Colette, Mise en scène : Richard Guedj. Décor : Stéfanie Jarre. Costumes : Bruno Fatalot. Avec : Pascale Roberts, Sylvie Flepp, Rébecca Potok, Coline D‘Inca et Yannick Debain.

Gigi a seize ans. Sa grand-tante Alicia, sa grand-mère Madame Alvarez et sa mère Andrée, petite chanteuse à l’Opéra Bouffe, l’élèvent avec tous

leurs soins. Mais l’éducation prodiguée par ces trois femmes, pour être sévère n’en est que plus spéciale...On prépare la petite Gilberte à la vie exci-tante des belles qu’on convoite dans les salons. Le trio fera tout pour réduire en esclavage le riche et convoité Gaston…Dans un décor raffiné, les comé-diennes de la série culte Plus Belle la vie revisitent avec enthousiasme l’œuvre de Colette dans une pièce à la fois drôle et piquante dont la mise en scène a été confiée à Richard Guedj, le directeur d’acteurs de la série.

Présenté par Nouvelle Scène et la Ville de Castres

Durée : environ 1h30 Tarifs : de 17 à 36 €Places numérotées

Mercredi 10 octobre - 15HThéâtre municipal

Rue de la Pomme

COMPAGNIE LA VOLIÈRE

Partition chantée aux couleurs swing pour piano, pinceaux, contrebasse et deux voix.Ecriture, composition musicale et interprétation : Catherine Vaniscotte.Mise en scène : Fabrice Guérin et Catherine Vaniscotte.

La rue de la Pomme se situe dans une ville ima-ginaire où vivent des personnages hauts en cou-leurs : Rita-Boule, Julien qui dort pendant les cours, Louis la Castagne et la belle Paloma, les jumeaux Léo et Léa qui jouent toute la journée, Hisham qui vit dans l’école… Certains se croisent, d’autres se regardent de loin, puis un événement va les réunir… Deux musiciens et deux chanteuses donnent vie à ces personnages attachants à travers des chansons aux couleurs variées - jazz, swing ou manouche - dans un décor changeant grâce aux images et aux calligraphies créées en direct par le vidéographe.Un spectacle drôle et poétique à dé-couvrir en famille.

Spectacle accueilli en partenariat avec la F.O.L 81

A partir de 6 ans. Durée : 1hTarif unique : 5 € / Placement libre

Samedi 13 octobre - 21HThéâtre municipal

Si c’était à refaire

COMPAGNIE LES COULEURS DE LA COMÉDIE

Pièce de Laurent Ruquier, mise en scène : Michèle Huet. Avec : Régis Cosset, Michèle Huet, Liliane Brun, Gisèle Guiche, Arlette Guillet et Marie-Jo Salazar. « Dans la clinique du Docteur Jouvence, les femmes célèbres ou anonymes se bousculent pour se faire refaire le nez, la bouche, les seins ou les hanches. L’arrivée d’une nouvelle secrétaire douée d’un franc-parler et la jalousie maladive de Mme Jouvence ne vont rien arranger au monde de la chirurgie esthétique… »

Durée : 1h30Tarifs : de 8 à 15 €Placement libre

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agenda

Jeudi 18 octobre 20H30 Séance scolaire à 14h30Théâtre municipal

Quichotte

COMPAGNIE ISABELLE STARKIER

D’après Miguel Cervantès

Adaptation et mise en scène : Isabelle Starkier

Interprétation : Eva Castro

Isabelle Starkier adapte et met en scène les aventures rocambolesques du personnage le plus flamboyant de la littérature es-pagnole, Don Quichotte, le poète idéaliste, le quê-teur d’absolu, l’incorrigible naïf. Une magnifique comédienne, Eva Castro, campe les différents personnages de cette épopée avec conviction et justesse. Elle jongle entre les dégui-sements, les marionnettes, et autres accessoires, pour incarner Don Quichotte, son fidèle écuyer Sancho, la Duchesse…

A partir de 8 ans. Durée : 1h Tarifs : de 5 à 13 €Placement libre

Dimanche 21 octobre - 17H30Théâtre municipal

Cher Trésor

Pièce de Francis Veber

Avec Gérard Jugnot, Michèle Garcia, Eric Le Roch, Philippe Beglia, Irina Ninova, Claude Brécourt

Comment faire quand on est un chômeur de longue durée et qu’on n’a pas un centime en banque ? Avoir un contrôle fiscal ! C’est la tactique employée par François Pignon pour se remettre à exister auprès de tous ceux qui l’ont abandonné : sa femme, ses amis… Un moyen de devenir brusquement une person-nalité intéressante à leurs yeux.Comment Pignon parviendra-t-il à entraîner un contrôleur fiscal dans son jeu et quels avantages tirera t-il de sa fraude imaginaire ? Après L’Emmerdeur et Le Diner de Cons, ne man-quez pas la nouvelle création de Francis Veber !

Présenté par Pascal Legros Productions et la Ville de Castres.

Tarifs : de 20 à 41 €Places numérotées

Mercredi 31 octobre 10H et 15HThéâtre municipal

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COMPAGNIE DNB

Mise en scène et interprétation : Marlène Bouniort

A partir de 4 ans. Durée : 45mn Blblblb, c’est le lan-gage, les exclamations et le nom de ce personnage clownesque qui n’a que le geste et quelques sons pour s’exprimer… Jusqu’au jour où il se retrouve nez à nez avec des instruments de musique venus du monde entier. Grâce à eux, Blblblb se fera enfin comprendre ! Un spectacle intelligent et drôle.

Ce spectacle sera également présenté à l’Espace Apollo de Mazamet le samedi 12 janvier à 16h.Tarif unique : 5 € / placement libre

FESTIVAL AUTAN DE BLUESOrganisé par Lo Bolegason

Mardi 9 octobre 19H Salle Georges Prêtre à NavèsConcert

BOOG MAT WEAVIL OUVERTURE DU FESTIVAL

Gratuit

Mercredi 10 octobre 20H30Lo BolegasonConcert

Bernard Allison

Tarifs : de 10 à 17 €

Lo BolegasonConcert

Mountain Men

Showcase de Mountain Men le mercredi 10 octobre à 15h30 à l’Espace Culturel Leclerc à Castres

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30 • Retrouvez plus d’infos sur notre site : castres-info.fr

Jeudi 11 octobre - 20 H 30Le Tortill’art à St Amans SoultConcert

NEAL BLACK + JANET MARTIN

Information et billetterie > MairieSt Amans Soult 05 63 98 30 43Le Tortill’ArtAllée de la Traverse - 81240 Saint Amans Soult

Vendredi 12 octobre - 20 H 30Espace Apollo / MazametConcert

KEITH B. BROWN

* à voir samedi 13 octobreà Labruguière dans « Soul of a Man »Tarifs : 12€ - 15€Informations etbilletterie : Espace Apollo - Place maréchal Leclerc81200 Mazamet05 63 97 53 53

Samedi 13 octobre 18 H 00Le Rond Pointà LabruguièreProjection tout public

THE SOUL OF A MAN de Wim Wenders

Tarifs : 6,5€ > 4,5€Information et billetterie >Le Rond Point – Place del’Europe 81290 Labruguière05 63 82 10 64

21HMJC de LabruguièreConcert

I AM A BAND

GratuitInformation >MJC de Labruguière - 1 avenue Victor Avérous Labruguière – 05 63 73 33 50

Dimanche 14 octobre - 17 H 00Centre de Loisirs de Calmon àAiguefondeConcert

MARC ANDRÉ LÉGER

Gratuit

Jeudi 18 octobre - 20 h 30Concert

SUCCESS + PRO7 + AALONE

Concert organisé en parte-nariat avec l’Université de Toulouse, Avant Mardi et le Syndicat Mixte pour la Vie

étudiante de Castres.

Étudiant gratuit - Tarif unique : 10€

Mercredi 24 octobre - 19 h 00Documentaire

SUR LA ROUTE - DOCUMENTAIRE DANAKIL

Organisé en partenariat avec l’Adda 81

Ce documentaire présente le parcours du groupe ces deux dernières années : la tournée en France et à l’étranger, la composition du 3ème album, la créa-tion du label du groupe. La projection sera suivie d’un échange avec le réalisateur et des membres du groupe.

5€ - Abonné gratuit

Vendredi 26 octobre - 20 H 30Concert

CLINTON FEARON & FRIENDS + Jayanah

showcase de ClintonFearon le samedi 13 octobre à 17h à l’Espace Culturel Leclerc à CastresTarifs : de 8 à 15 €

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AUTORAMA EVASION NISSANZI de Mélou – route de Toulouse – 81100 Castres

Tél : 05 63 72 55 00 – Fax : 05 63 72 54 93

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