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CCBCL Info Février 2012

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Page 1: CCBCL Info Février 2012

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Ce bulletin est réalisé grâce à l’appui du SPF Affaires Etrangères et des Régions

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Actualité

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ACTIVITES DU MOIS DE FEVRIER 2012

Réunion du Conseil d’Administration : le jeudi 16 février 2012

Une réunion du Conseil d’Administration s’est tenue le jeudi 16 février 2012 dans les locaux de la CCBCL.

Assemblée Générale : le lundi 27 février 2012

L’Assemblée Générale annuelle de la CCBCL s’est tenue le lundi 27 février 2012 à l’Hôtel Sultani, sous la présidence de Monsieur Yves Debiesme. A l’issue de cette réunion, le Président sortant, Monsieur Yves Debiesme, a annoncé la fin de son mandat et fait le bilan de ces 3 dernières années passées sous sa présidence. Il a présenté son successeur, Madame Odette Gema, et les autres membres de la nouvelle équipe du Bureau :

- Madame Geneviève DECAMP, Vice-présidente - Monsieur André DURRE, Administrateur Trésorier - Monsieur Alexis NSIKUNGU, Administrateur Secrétaire.

Le cocktail de Nouvel An qui a suivi cette Assemblée Générale, offert à tous les membres présents, était honoré de la présence de l’Ambassadeur de Belgique, Monsieur Dominique Struye de Swielande.

V

Vous trouverez le PV de la réunion de l’Assemblée Générale dans le CCBCL-Info du mois prochain.

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Actualité

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ACTIVITES DU MOIS DE MARS 2012

Séminaire TVA : le lundi 5 mars 2012

La Chambre organise une après-midi de formation sur la TVA le lundi 5 mars 2012, de 14h à 19h, à l’Hôtel Memling (salle Salonga 1). Ce séminaire TVA sera animé par Me Benoît Philippart de Foy, Avocat Associé au sein du Cabinet d’Avocats Joyn Legal scrl-cvba (www.joynlegal.be).

La session commencera par un exposé général du système de la TVA en RDC, en se focalisant sur les aspects pratiques plutôt que sur la théorie. Elle se poursuivra en abordant de façon systémique certaines questions qui se posent dans la pratique actuelle, telles que les activités immobilières et le statut de promoteur, la récupération de la TVA par les exportateurs, les régimes particuliers soumis au taux de zéro pc, les assujettis mixtes... L'approche se veut résolument pragmatique, consistant à identifier les problèmes et proposer des pistes pour leur solution.

L’invitation et le bulletin d’inscription vous ont déjà été transmis par email et par courrier. Ils sont également disponibles sur le site internet de la Chambre : www.ccbc-rdc.be.

Déjeuner-Conférence : le mardi 6 mars 2012

Le mardi 6 mars 2012, la Chambre organise un Déjeuner-Conférence sur le thème « La convention fiscale entre la R.D. du Congo et la Belgique : dangers et opportunités », également animé par Me Benoît Philippart de Foy, Avocat Associé au sein du Cabinet d’Avocats Joyn Legal scrl-cvba (www.joynlegal.be). Ce Déjeuner-Conférence aura lieu à l’Hôtel Memling (salle Virunga), de 12h30 à 14h30.

L’invitation et le bulletin d’inscription vous ont déjà été transmis par email et par courrier. Ils sont également disponibles sur le site internet de la Chambre : www.ccbc-rdc.be.

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Nouvelles de Lubumbashi

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ACTIVITES DU MOIS DE FEVRIER 2012

Déjeuner-Conférence : le 27 janvier 2012

Pour débuter l’année 2012, l’Antenne de Lubumbashi a organisé son premier Déjeuner-Conférence sur le thème « Entreprendre en RDC à l’heure de l’OHADA » le 27 janvier 2012 dans le restaurant du Park Hôtel à Lubumbashi. Ce Déjeuner-Conférence a été brillamment animé par Maître Fabian Tchékémian, Avocat au cabinet De Wolf & Partners (www.dewolf-law.be).

L’Antenne de Lubumbashi a enregistré 33 participants à ce déjeuner-conférence, et a eu le plaisir de constater que certains des participants deviennent très assidus. Elle en a profité pour leur présenter les fiches d’adhésion comme Membre à la Chambre de Commerce Belgo-Congolaise-Luxembourgeoise à Lubumbashi.

Après ce premier séminaire très réussi, le thème de « La relance de la Gécamines » fera l’objet du deuxième Déjeuner-Conférence de l’année. Il sera animé par Mr KALEJ, CEO de la Gécamines. Ce séminaire aura lieu en mars : la date et le lieu seront communiqués aux membres dès que possible.

Réunion de l’Antenne, le 16 février 2012

L’Antenne de Lubumbashi s’est réunie le jeudi 16 février 2012.

ACTIVITES DU MOIS DE MARS 2012

Réunion de l’Antenne, le 15 mars 2012

L’Antenne de Lubumbashi se réunira le jeudi 15 mars 2012.

Cocktail : « Bilan 2011 – Perspectives 2012 »

L’Antenne offrira un cocktail aux membres qui se trouvent à Lubumbashi. Celui-ci aura lieu chez Mr Philip HEUTS. La date et l’heure vous seront communiquées au plus vite.

Les activités et les services organisés par la CCBCL, située à Lubumbashi sont automatiquement valables pour les membres qui se trouvent à Kinshasa et vice versa !

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Annonces

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a) Programme des foires et salons mars – juin 2012

4ème Edition de la Foire de l’Entreprenariat féminin « Investissons dans la femme rurale et la jeune fille pour un avenir meilleur »Lieu : République Démocratique du Congo, Kinshasa 05/03 - 15/03/2012 Organisation: Ministère du Genre, de la Famille et de l’Enfant et MONUSCO Pour tous renseignements : Voir pages Echos du Congo (pp. 15 et 16)

SECOND PLACEL’unique salon Belge de la seconde résidence, Bâtir, Rénove, Immobilier Lieu : Flanders Expo (Artexis Group - Exhibition & Congress Centres) Maaltekouter 1, 9051 Gent (St Denijs-Westrem), Belgique 16/03 - 18/03/2012 Organisation: Fairs Consult Maaltekouter 1, 9051 Gent, Belgique Tél.: 09/241 99 97 - Fax: 09/270 32 56 [email protected]

IDEAAL WONEN IN HUIS EN TUINBâtir, Rénove, Immobilier Lieu : Brabanthal Brabantlaan 1, 3001 Leuven, Belgique 16/03 - 25/03/2012Organisation: Handelaarsverbond Leuven Tiensevest 170, 3000 Leuven, Belgique Tél.: 016/22 93 50 - Fax: 016/29 05 53 [email protected]

Mission d’hommes d’affaires tunisiens à KinshasaLes membres de cette délégation opèrent dans les secteurs ci-après : Agroalimentaire, Chimie, Détergents et lessives, Bâtiment, Textile, Chaussures de sécurité, Papier cellulose, Médical, Sécurité Lieu : RDCongo, Kinshasa 19/03 – 21/03/2012Inscription : Division PME de la FEC Tél. : 099 81 18 531

SALON BOIS & HABITATLe salon de l'aménagement et de la construction en bois Lieu : Namur Expo (Artexis Group - Exhibition & Congress Centres) Avenue Sergent Vrithoff 2, 5000 Namur, Belgique 23/03 – 26/03/2012 Organisation: Artexis (Public & Trade Fairs) Maaltekouter 1, 9051 Gent, Belgique Tél.: 09/241 92 11 - Fax: 09/241 93 25 [email protected]

Exposition sur l’import InternationalChina International Import Expo CIE 2012 Lieu : Kunshan, Province du Jiangsu, Chine 29/03 – 31/03/2012 Organisation: Chambre de Commerce International de la République Populaire de ChineInscription : Au secrétariat de l’Administrateur Délégué au siège de la FEC, Avenue des Aviateurs 10, Kinshasa/Gombe, RDC Tél.: 081 24 88 890 – 081 24 88 809

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Annonces

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Clean Business International Conference & ExpoLieu : Sandton International Convention Centre, Johannesburg, Afrique du Sud Organisation: Cape Media 13/06 - 14/06/2012Pour tous renseignements, prendre contact avec le secrétariat de la Chambre :Tél. 089 89 49 292 – 081 88 48 319

b) Curriculum Vitae

CV Jacqueline KULENDUKA CV Patricia MUHAND MUSONGELA

c) Lecture intéressante

Nous vous invitons à lire l’article de Nicolas Madelénat di Florio, philosophe, enseignant, chercheur-associé au CREEADP, Faculté de Droit et de Science Politique, Aix-en-Provence ; membre du Collège des personnalités qualifiées, Audace Institut Afrique, et Gisèle Dutheuil,directrice d’Audace Institut Afrique, intitulé « L’Afrique doit-elle avoir peur des politiques importées ? », disponible sur le site web d’Audace Institut Afrique à l’adresse suivante : http://www.audace-afrique.net/index.php?option=com_content&view=article&id=285%3Alafrique-doit-elle-avoir-peur-des-politiques-importees-&catid=42%3Alire-aussi&Itemid=18&lang=fr

d) Communiqué

C’est avec une grande peine que nous avons appris le décès de Monsieur Oscar GEMA, Député et ancien Administrateur de la Chambre.

Au nom de tous les membres de son Conseil d’Administration, la Chambre de Commerce Belgo-Congolaise-Luxembourgeoise a présenté ses condoléances émues à sa Présidente, Madame Odette GEMA, la sœur du défunt, ainsi qu’à tous les membres de sa famille.

e) Divers

vous informe de la vie culturelle à Kinshasa! Inscrivez-vous à la newsletter bimensuelle sur le site www.kintonic.net�

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Jacqueline KULENDUKA 190bis Avenue de Clichy Apt 191

75017 Paris (FRANCE)

Tel : +33 6 23 40 40 42

Tel : 081 95 00 752

E-mail : [email protected]

29 ans, mariée

Permis de conduire B

Mobilité internationale

DOMAINE DE COMPETENCE

► Management de projet Déterminer les objectifs, les moyens humains et financiers à mettre en œuvre dans un projet.

○ Conduite de projet :

· Elaborer un projet d'action selon les orientations d’une structure ou d’une politique de développement.

· Coordonner des actions de santé, d'éducation, de solidarités internationales, environnementale, d'insertion professionnelle

ou humanitaire au sein d'un réseau de partenaires.

· Propositions de nouveaux projets

○ Techniques de management :

· Mettre en place des actions et en effectuer le suivi.

· Coordonner les actions d'un groupe lors d'un projet/chantier à l'étranger ou sur le territoire national.

· Suivre et analyser les données d'activité du service ou de la structure et proposer des axes d'évolution.

○ Gestion budgétaire :

· Montage administratif et financier d’une mission ou d’une ation, recherche de subventionnements, suivi budgétaire…

○ Techniques de communication : conduite d’entretien, de réunion & d'animation d'équipe <30 personnes :

· Concevoir des actions de communication sur le fonctionnement d’une structure et proposer son programme d’action.

· Communiquer et échanger des informations sur des bilans d’activités au sein d’une équipe ou auprès de partenaires.

· Organiser et animer des séances d'échanges en groupe.

· Coordonner l'activité d'une équipe.

► Animation

· Organisation et animation d’actions de prévention.

· Techniques pédagogiques & éducatives : animation, organisation & coordination d’activités culturelles, sportives, de jeux,

d’expression corporelle et de sorties.

► Evaluation & Gestion d’études

· Définir les méthodes et les outils de traitement de l'information en fonction des moyens, coûts, délais, organisation...

· Etablir un diagnostic de la situation, du contexte (local, national ou international) ou du service en fonction de l'analyse des

données économiques, démographiques & sociales.

· Adapter les outils de traitement statistique de données, réaliser des études et formaliser les résultats.

· Rédiger l'information produite (études, synthèses, rapports, trames...) et établir des prévisions, des évaluations, des

recommandations ou des perspectives.

· Concevoir des études quantitatives et qualitatives (guide d'entretien, interview, questionnaire...).

· Méthodes d'enquête : recenser les données sur le territoire et déterminer des axes d'intervention.

· Piloter et coordonner le déroulement d'une ou plusieurs études (cahier des charges, méthodologie, grille...).

· Présenter et diffuser les résultats des études réalisées (rédaction de rapports de synthèse, interprétation des résultats…)

· Evaluer un programme

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EXPERIENCES

2011 (1 ans) – Coordinatrice-Animatrice de projet en Prévention Santé– Espace 19 Centre Social et Culturel

– Pole Santé (Paris)

· Coordination et suivi de projet en Santé communautaire dans les Foyers de Travailleurs Migrants.

Thématique : accès aux soins, AIDS/VIH, diabète, cancer du sein.

2009 à aujourd’hui - Déléguée Régionale de Communication - Médecins d’Afrique

· Gestion du plan de communication : mobilisation de fonds, recherche d’appels à projet, manifestations locales…

2010 (3 mois) – Chargée de Prévention et Promotion à la Santé –Mutualité Française Picardie (Saint-Quentin)

· Développement et mise en œuvre d’actions de sensibilisation, d’information, de promotion et d’éducation à

la santé.

Thématique : Santé bucco-dentaire, Nutrition, personnes âgées, prévention des maladies cardiovasculaires…

2010 (4 mois) - Coordinatrice de Projets Associatifs – Rockcorps France

· Mise en place, coordination et supervision de projets de volontariat.

2006 à aujourd’hui - (5 ans) - Chargée de Projet (bénévole) - Association Vijana Ya Congo.

· Management, développement et coordination de projets de solidarité internationale en R.D.Congo.

2008-2009 (6 mois) - Chargée d’Etudes Junior - TNS Healthcare : société d'études de marché et de conseil dans

le domaine de la santé (Montrouge).

· Gestion et recommandation de projet d’études.

2006-2008 (2 ans) - Assistante d’éducation – Lycée d’Enseignement Professionnel d’Application de l’Enna

(Saint-Denis).

2001-2006 (emploi saisonnier)- Animatrice en Centre de loisirs à la Mairie d’Amiens (enfants & adolescents de 3 / 16 ans).

FORMATION

2008 - Master 2 Professionnel – «Evaluation et gestion des risques sociaux» en Santé -. Université la Sorbonne (Paris V).

2007 - Master 1 Recherche en Sciences de la Société « Education, travail et formation »

Spécialité : Management, Expertise, Ingénierie et Direction d'Organisation- Université Paris-Est-Créteil.

2006 - Licence 3 en « Sciences de l’éducation » - Université Jules VERNE (Amiens).

2005 – AFPS - Attestation de Formation aux Premiers Secours (Amiens).

2004 - DEUG (Licence 1 et 2) de « Psychologie » - Université Jules VERNE (Amiens).

2002 – BAFA - Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur en accueils collectifs d’enfants et d’adolescents (Amiens).

2001 - Baccalauréat Economique et Social au lycée Saint-Rémi (Amiens).

LOGICIELS

Pack office (Word, Power point, Excel, Outlook…), SPPS, O², Taski, Microsoft project, toolbox, utilisation d’internet,...

INTERETS

Investissement associative, Hand-ball, Capoeira, Cinéphile, Dessiner, Danse traditionnelle congolaise, lectures diverses…

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Affaires juridiques

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JOURNAL OFFICIEL

Veuillez noter que dans le cadre de notre abonnement 2012, le Journal Officiel de la RDC nous a transmis les numéros suivants :

Ière Partie• n°1/Ière partie/2012 • n°2/Ière partie/2012 • n°3/Ière partie/2012 • n°23/Ière partie/2011 • n°24/Ière partie/2011

Les numéros spéciaux• Décret n°011/42 du 22 novembre 2011 portant mesures d’exécution de l’ordonnance-

loi n°10/001 du 20 août 2010 portant institution de la Taxe sur la Valeur Ajoutée.

Vous êtes les bienvenus à la Chambre si vous souhaitez consulter un de ces exemplaires.

TEXTES LEGAUX TRANSMIS PAR LA FEC

Arrêté Interministériel n°002/CAB/MIN/ECN-T/2011 et n°32/CAB/MIN/FINANCES/2011 du 8 décembre 2011 portant fixation des taux des droits, taxes et redevances en matière d’établissements dangereux, insalubres ou incommodes à percevoir à l’initiative du Ministère de l’Environnement, Conservation de la nature et Tourisme (Source : Ministère de l’Environnement, Conservation de la nature et Tourisme, et Ministère des Finances)

Arrêté Ministériel n°029/MIN/ECONAT/2011 du 15 décembre 2011 portant mesures d’exécution de la loi n°04/016 du 19 juillet 2004 portant lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme (Source : Ministère de l’Economie Nationale)

Arrêté Interministériel n°002/CAB/MIN-ECONAT/2011, n°014/CAB/MIN/IND/2011, n°01/CAB/MIN/COM/2011, et n°001/CAB/MIN/PME/2011 du 12 janvier 2012 portant mesures d’exécution du décret n°11/37 du 11 octobre 2011 (Source : Ministères de l’Economie Nationale, de l’Industrie, du Commerce Extérieur, des Petites et Moyennes Entreprises) Arrêté Ministériel n°078/CAB/MIN/FINANCES/2012 du 25 janvier 2012 portant fixation des coefficients de réévaluation applicables aux bilans clos au 31 décembre 2011 (Source : Ministère des Finances)

Nous vous invitons à passer à la Chambre si vous désirez avoir une copie d’un de ces textes.

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Dossier

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La téléphonie mobile change la vie des agriculteurs pauvresSource : www.worldbank.org du 23/02/2012

� Les petits agriculteurs, qui produisent une grande partie de l’alimentation mondiale, n’ont souvent pas accès aux outils et technologies qui les aideraient à prendre des décisions.

� Cette situation évolue avec l’expansion rapide des services TIC qui améliorent les capacités et les conditions d’existence de ces producteurs.

� Les nouvelles technologies se généralisant et devenant moins coûteuses, la Banque mondiale peut y investir davantage et agir ainsi plus directement pour la petite agriculture. Sa nouvelle publication, ICT in Agriculture e-Sourcebook, va dans ce sens.

Dans l’ouest du Kenya, la téléphonie mobile permet à une organisation d’agriculteurs d’accéder à un marché numérique et de se passer ainsi des intermédiaires. Depuis que ces agriculteurs traitent directement avec les exportateurs, ils ont vu leur revenu progresser spectaculairement. En Afrique de l’Est, les nouvelles applications mobiles servent aussi à informer rapidement des flambées épidémiques, ce qui permet aux éleveurs de se préparer et de protéger leur cheptel.

Ce ne sont là que deux exemples de la capacité des technologies de l’information et des communications (TIC) à améliorer le revenu et la productivité des petits exploitants, dans un contexte où la compréhension des mutations mondiales — positives et négatives — de l’agriculture et l’adaptation à ces évolutions constituent des enjeux cruciaux pour ces agriculteurs. Avec l’essor et la baisse du coût de la connectivité et des technologies, en particulier de la téléphonie mobile, ainsi que les progrès du stockage de données et du libre accès, les TIC revêtent désormais un intérêt particulier pour l’agriculture.

Un intérêt dont s’est saisi le Département de l’agriculture et du développement rural (ARD) de la Banque mondiale, en s’unissant aux forces d’infoDev (un programme de partenariat créé par la Banque en faveur de la technologie et de l’innovation) pour permettre aux petits agriculteurs d’accéder aux savoirs, aux réseaux et aux institutions.

« Ce qui a toujours manqué aux petits agriculteurs pour se développer, c’est l’accès rapide, efficace et peu onéreux à des informations qui les intéressent directement : des informations sur l’amélioration des pratiques agricoles, sur les marchés et les prix, sur les intrants, sur la météorologie ou encore sur les prévisions de catastrophes », indique Mark Cackler, chef sectoriel pour l’ARD.

Les petits agriculteurs, qui produisent encore une bonne partie des denrées alimentaires mondiales, ont besoin de ces informations tout autant que les grands. Or, ils n’ont souvent pas accès à des technologies simples qui procurent des informations essentielles sur les prix, les marchés, les variétés, les techniques de production, les services, le stockage ou la transformation des produits. Ils restent donc principalement tributaires du bouche à oreille, de l’expérience et de la gestion locale.

Mais cette situation est en train de changer grâce à l’essor rapide des services aux petits agriculteurs basés sur les TIC. En permettant par exemple de créer une plateforme d’échange des informations agricoles par SMS, ces services sont de nature à améliorer les capacités et les conditions de vie des agriculteurs pauvres.

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Dossier

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Dans dix États de l’Inde, plus de 200 000 petits agriculteurs recourent ainsi aux services de Reuters Market Light. Moyennant 1,50 dollar par mois, cette société leur envoie chaque jour quatre à cinq SMS qui les renseignent sur les prix des matières premières et qui leur donne des conseils à partir d’une base de données couvrant 150 cultures et plus de 1 000 marchés. Selon les premières estimations, ces agriculteurs ont ainsi engrangé entre 2 et 3 milliards de dollars de recettes supplémentaires, et plus de la moitié d’entre eux achètent déjà moins d’intrants.

La Banque participe activement à l’intégration des TIC dans de grands programmes d’investissements agricoles. Ainsi, en Uruguay, après l’épidémie de fièvre aphteuse de 2001, elle a apporté 25 millions de dollars (prêts et dons) destinés à un système novateur de dépistage des animaux. Ce système a permis d’éradiquer cette maladie dans le pays, qui est devenu une référence mondiale pour la sécurité et la surveillance alimentaires. D’après les évaluations des portefeuilles d’activités, 80 % des projets de la Banque axés sur l’agriculture ont déjà des composantes TIC, mais dont la plupart ont une finalité administrative (livraison d’ordinateurs à des bureaux de pays, par exemple). À mesure que les nouvelles technologies deviennent financièrement plus abordables et que leur utilisation s’accroît, la Banque peut y investir davantage et, ainsi, agir plus directement au profit de la petite agriculture.

ICT in Agriculture e-Sourcebook est une publication récente de la Banque. Produite par son Département ARD et par infoDev, avec un financement du ministère finlandais des Affaires étrangères, cette ressource en ligne donne des orientations techniques ainsi que des conseils sur les politiques publiques aux acteurs et aux autorités des pays en développement, aux organisations internationales et aux agences bilatérales. Elle vise à présenter l’environnement des TIC, en évolution constante, comme un facteur de changement crucial pour la productivité agricole et le développement rural.

« Les TIC dans l’agriculture font éclore une multitude d’initiatives, ce dont attestent de nombreuses données, affirme Eija Pehu, conseiller scientifique auprès du Département ARD et l’un des coordonnateurs de cette publication. Elles peuvent changer la donne. Elles permettent aux petits agriculteurs de s’exprimer et d’accéder à l’information. Les femmes, en particulier, n’avaient jamais encore bénéficié d’un tel accès direct. »

L’e-Sourcebook se compose de modules couvrant 14 secteurs agricoles. Chaque module détaille les problèmes, les constats et les effets positifs des TIC sur les conditions de vie des petits agriculteurs dans ces secteurs. Plus de 200 exemples et études de cas régionaux y sont décrits. On peut consulter gratuitement l’intégralité de cet ouvrage sur le site http://www.ICTinagriculture.org.

« Nous avons opté pour un format électronique, puis décidé d’accueillir un e-Forum interactif avec des partenaires, explique Tim Kelly, spécialiste des TIC et l’un des coordonnateurs du projet. Les TIC ne cessent d’évoluer et, pour rester pertinente, cette source d’information doit être en libre accès, avec de multiples possibilités d’échange et d’actualisation des données. »

Un impact réel

Au Libéria, où la forêt (45 % de la superficie totale) est une source de revenus essentielle, les coupes illégales de bois étaient un véritable fléau. La solution a consisté en un partenariat public-privé, LiberFor, qui, par un suivi de la chaîne logistique depuis la souche jusqu’au point d’exportation, empêche la vente et l’exportation du bois illégal. Ce système a permis l’identification électronique et la localisation de quelque 440 000 arbres, et la vérification des

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Dossier

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données relatives à environ 180 000 arbres. Il a généré plus de 11 millions de dollars de recettes. En savoir plus1.

Dans les zones rurales du Kenya, les applications TIC réduisent le coût des services financiers. Un système de transfert d’argent, M-PESA, proposé par Safaricom, permet aux Kenyans de faire des dépôts, d’envoyer ou de retirer des fonds via un téléphone portable : une somme est confiée à un agent ou à un vendeur de téléphones agréé, qui crédite le compte mobile. La personne qui souhaite envoyer l’argent informe par SMS le destinataire, lequel doit indiquer un mot de passe et s’identifier pour obtenir les fonds. En savoir plus2.

Au Kenya également, deux femmes ont créé en 2010 m-Farm. Ce service communique aux agriculteurs, par SMS, les prix des cultures, ainsi que des informations sur le marché, et les met directement en contact avec les exportateurs de produits alimentaires. m-Farm compte déjà plus de 2 000 clients, dont de nombreuses petites agricultrices, et a remporté plusieurs prix internationaux qui récompensent l’innovation. En savoir plus3.

Dans 39 pays d’Afrique, l’organisation Radios Rurales Internationales diffuse des informations sur les pratiques améliorées de culture et de gestion des terres. Cette ONG canadienne travaille avec 360 stations de radio écoutées par plus de 200 millions de petits agriculteurs, dans une centaine de langues africaines. Ce programme participatif traite de sujets variés : gestion du bétail, innovation agricole, conservation des sols, problèmes spécifiques des femmes en milieu rural... Les agriculteurs participent à la rédaction de scripts radiophoniques, et plusieurs communautés sont associées à la mise en œuvre et à l’évaluation. En savoir plus4.

En Inde, Digital Green diffuse des informations ciblées auprès des xploitations agricoles marginales ou de petite taille, via des vidéos numériques tournées par des exploitants ou des experts. Les divers thèmes sont traités d’une façon qui permet aux agriculteurs d’améliorer progressivement leurs pratiques. . En savoir plus5.

Selon la Banque Mondiale, la pauvreté extrême recule, mais certains facteurs de vulnérabilité persistentSource : www.worldbank.org du 29/02/2012 (Communiqué de presse n°2012/297/DEC)

WASHINGTON — Selon des estimations publiées aujourd’hui par la Banque mondiale, le pourcentage de la population vivant avec moins de 1,25 dollar par jour et le nombre de pauvres ont diminué de 2005 à 2008 dans toutes les régions du monde en développement. Cette baisse générale observée sur un cycle de suivi de trois ans constitue une première depuis que la Banque mondiale a commencé à recueillir des données sur la pauvreté extrême.

Selon les estimations, 1,29 milliard de personnes vivaient avec moins de 1,25 dollar par jour en 2008, soit 22 % de la population du monde en développement. À titre de comparaison, en 1981, 1,94 milliard de personnes vivaient dans l’extrême pauvreté. La mise à jour s’appuie sur les résultats de plus de 850 enquêtes menées auprès ménages dans près de 130 pays. L’année 2008 est la date la plus récente pour laquelle il est possible d’établir une valeur globale ; nous possédons des statistiques plus récentes pour les pays à revenu intermédiaire, mais dans le cas

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Dossier

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des pays à faible revenu, les données plus récentes sont rares ou impossible à comparer avec les estimations antérieures.

Une analyse plus récente portant sur la période postérieure à 2008 révèle que si les crises alimentaires, énergétiques et financières qui ont frappé au cours des quatre dernières années ont par moments eu de graves incidences sur les populations vulnérables et ralenti le rythme de réduction de la pauvreté dans certains pays, la pauvreté a continué de baisser à l’échelle mondiale. En fait, des estimations fondées sur une étude préliminaire réalisée à partir d’un échantillon plus petit que celui de la mise à jour mondiale donnent à conclure qu’en 2010, la proportion des personnes vivant avec moins de 1,25 dollar par jour était inférieure à la moitié de la valeur établie pour l’année 1990. Ainsi, le premier objectif de développement pour le Millénaire — réduire de moitié à l'horizon 2015, par rapport à 1990, le nombre de personnes vivant dans une extrême pauvreté — aura été atteint avant l’échéance de 2015.

« Le monde en développement a fait des progrès considérables dans sa lutte contre la pauvreté extrême, mais les 663 millions de personnes qui ont franchi le seuil de pauvreté typique des pays les plus pauvres sont toujours pauvres au regard des normes des pays à revenu intermédiaire ou élevé. Cette masse de gens qui survivent juste au-dessus du seuil d’extrême pauvreté trahit la situation vulnérable dans laquelle se trouvent beaucoup de personnes pauvres dans le monde. De plus, au rythme où vont les choses, environ un milliard de personnes vivront toujours dans l’extrême pauvreté en 2015 », déclare Martin Ravallion, directeur du groupe de recherche sur le développement à la Banque mondiale et chef de l’équipe qui a produit les statistiques.

Le seuil de 1,25 dollar par jour correspond à la moyenne des 10 à 20 pays les plus pauvres du monde. Le seuil de 2 dollars par jour (seuil médian des pays en développement) laisse constater des progrès plus modestes. En effet, on n’a observé qu’une faible réduction du nombre de personnes vivant avec moins de 2 dollars par jour entre 1981 et 2008 : ce nombre est passé de 2,59 à 2,47 milliards, même si la baisse est plus rapide depuis 1999.

« Une situation où 22 % des gens vivent toujours sous le seuil de 1,25 dollar par jour et 42 % vivent sous le seuil de 2 dollars est intolérable. Nous devons redoubler d’efforts. S’agissant des politiques et programmes, nous devons poursuivre notre lutte contre la pauvreté sur plusieurs fronts : création d’emplois plus nombreux et de meilleure qualité ; prestation de meilleurs services d’éducation et de santé ; construction d’infrastructures de base et protection des plus vulnérables. S’agissant des méthodes, il faut étendre la collecte des données et renforcer les capacités statistiques, en particulier dans les pays à faible revenu», déclare Jaime Saavedra, directeur du Groupe Réduction de la pauvreté et équité de la Banque mondiale.

Le public peut accéder à l’ensemble des données statistiques qui sous-tendent les nouvelles estimations internationales grâce à l’outil en ligne PovcalNet (http://iresearch.worldbank.org/PovcalNet). Ce site présente également des estimations plus récentes que 2008.

« PovcalNet est l’outil interactif de données en libre accès de la Banque mondiale pour la mesure de la pauvreté et de l’inégalité. Il permet aux utilisateurs d’accéder aux données et de reproduire les estimations de la Banque mondiale, ou de calculer les taux de pauvreté en utilisant le seuil ou le groupe de pays de leur choix », explique Shaohua Chen, statisticien principal du Groupe d'étude de la Banque mondiale.

La méthodologie de la Banque mondiale se fonde sur la consommation et sur le revenu, ajusté pour tenir compte de l’inflation dans les pays et des différences de pouvoir d’achat entre les pays.

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FAITS SAILLANTS RÉGIONAUX

Asie de l’Est et Pacifique : Environ 14 % de la population vivait avec moins de 1,25 dollar par jour en 2008. Cette proportion s’établissait à 77 % en 1981, lorsque cette région affichait le taux de pauvreté le plus élevé du monde. En Chine, 13 % de la population (173 millions de personnes) vivait avec moins de 1,25 dollar par jour en 2008. L’Asie de l’Est a atteint le premier ODM il y a environ 10 ans.

Dans les pays en développement autres que la Chine, la proportion de la population vivant dans la pauvreté extrême est passée de 41 % en 1981 à 25 % en 2008. Toutefois, le nombre de personnes vivant dans la pauvreté extrême était à peu près le même en 2008 qu’en 1981, soit environ 1,1 milliard. Il a augmenté au cours des années 1980 et 1990, est en baisse depuis 1999.

Asie du Sud : La proportion de la population vivant avec moins de 1,25 dollar par jour est passée de 61 % en 1981 à 36 % en 2005, et a encore diminué de 3,5 points de pourcentage entre 2005 et 2008. La proportion de la population vivant dans l’extrême pauvreté est aujourd’hui la plus faible enregistrée depuis 1981.

Amérique latine et Caraïbes : La proportion de la population vivant avec moins de 1,25 dollar par jour est passée d’un sommet de 14 % en 1984 à son taux le plus bas jusqu’ici, soit 6,5 % en 2008. Le nombre de personnes pauvres a augmenté jusqu’en 2002, et il est en forte baisse depuis.

Moyen-Orient et Afrique du Nord : La proportion de la population de cette région vivant avec moins de 1,25 dollar par jour s’établissait à 2,7 % en 2008, soit 8,6 millions de personnes. Ils étaient 10,5 millions en 2005 et 16,5 millions en 1981.

Europe orientale et Asie centrale : La proportion de la population vivant avec moins de 1,25 dollar par jour s’établit désormais à moins de 0,5 %, après avoir atteint un sommet de 3,8 % en 1999. En 2008, 2,2 % de la population vivait avec moins de 2 dollars par jour, comparativement à un sommet de 12 % en 1999.

Afrique subsaharienne : Pour la première fois depuis 1981, moins de la moitié de la population (47 %) vivait sous le seuil de 1,25 dollar par jour. Cette proportion s’établissait à 51 % en 1981. La proportion de la population vivant avec moins de 1,25 dollar par jour a diminué de 10 % en Afrique subsaharienne depuis 1999. En 2008, il y avait 9 millions de moins de personnes vivant sous le seuil de 1,25 dollar par jour qu’en 20056.

6 On trouvera un résumé de six pages contenant les principales données, un document de référence sur la méthodologie, des graphiques et d’autres détails à l’adresse http://econ.worldbank.org/PovcalNet . On trouvera par ailleurs à l’adresse http://povertydata.worldbank.org/poverty/home des graphiques et des tableaux de données internationales et nationales sur la pauvreté et l’inégalité. Pour en savoir plus sur les études de la Banque mondiale, consulter le site http://econ.worldbank.org/research.

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Appels d’offres

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Avis d’appel d’offres pour Entreprise de construction de bâtimentsResponsable: COFED Date limite: le 12 mars 2012 Email: [email protected] web: www.cofed.cdAdresse : Bâtiment de la Direction Générale des Impôts (DGI), croisement de la rue Haut-Congo et l’avenue des Marrais, Kinshasa / Gombe

Avis d’appel d’offres pour Service d’un Cabinet d’Audit pour la révision des états financiers de l’Etude de Développement du site hydroélectrique d’Inga et des interconnexions électriques associées (EDIRAFinancement: GBAD Responsable: SNEL Date limite: le 14 mars 2012 Tél: 081 81 03 690Email: [email protected]: 2381, Avenue de la Justice, Kinshasa / Gombe

Avis d’appel d’offres pour Service d’un Cabinet d’Audit pour la révision des états financiers du PEPURFinancement: GBAD Responsable: SNEL Date limite: le 14 mars 2012 Tél: 081 81 03 690Email: [email protected]: 2381, Avenue de la Justice, Kinshasa / Gombe

Avis d’appel d’offres pour Travaux de construction de l’antenne provinciale de la CNC à BomaResponsable: PNUD Date limite: le 19 mars 2012 Email: [email protected] : Immeuble LOSONIA, Boulevard du 30 Juin, 2ième niveau, Kinshasa / Gombe

Avis d’appel d’offres Nettoyage du siège de la CEPTMFinancement: IDA Responsable: PTM-CEPTM Date limite: le 26 mars 2012 Tél: 099 82 05 204 – 099 02 83 235 – 081 24 78 006 – 099 99 86 452 Email: [email protected]: 372, Avenue Colonel Mondjiba, Kinshasa / Ngaliema

Avis d’appel d’offres Fourniture et Livraison des Consommables et Réactifs de Radiographie Rayons-XResponsable: Fond Mondial Date limite: le 27 mars 2012 Tél : 099 93 03 915 Email: [email protected] - [email protected]: 26, Avenue Basoko, Kinshasa/Gombe

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Appels d’offres

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Avis d’appel d’offres Fourniture et Livraison des Réactifs et Consommables de Laboratoire de culture (DST)Responsable: Fond Mondial Date limite: le 27 mars 2012 Tél: 099 93 03 915 Email: [email protected] - [email protected]: 26, Avenue Basoko, Kinshasa/Gombe

Avis d’appel d’offres Gardiennage du siège de la CEPTM et des résidences des Responsables de la CEPTMFinancement: IDA Responsable: PTM-CEPTM Date limite: le 27 mars 2012 Tél: 099 82 05 204 – 099 02 83 235 – 081 24 78 006 – 099 99 86 452 Email: [email protected]: 372, Avenue Colonel Mondjiba, Kinshasa / Ngaliema

Avis d’appel d’offres Gardiennage Travaux de réhabilitation de l’école EPA LIMETEFinancement: BADEA Responsable: BCECO Date limite: le 29 mars 2012 Tél: 081 51 36 729 – (+243) 15 12 64 50 Email: [email protected], - [email protected], - [email protected], - [email protected]: 372, Avenue Colonel Mondjiba, concession UTEXAFRICA, Kinshasa/Ngaliema

Avis d’appel d’offres Fourniture et installation des équipements spécialisés pour le fonctionnement des fermes agricoles pilotesFinancement: BAD Responsable: UEPN-DD Date limite: le 06 avril 2012 Tél: 08171 51 771 Email: [email protected] Adresse: 5088, Avenue Gemena, Quartier Socimat, Kinshasa / Gombe

Avis d’appel d’offres Fourniture et Livraison de 50 Appareils de Radiologie Rayons-x et AccessoiresResponsable: Fond Mondial Date limite: le 12 avril 2012 Tél: 099 93 03 915 Email: [email protected] - [email protected]: 26, Avenue Basoko, Kinshasa/Gombe

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Echos du Congo

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DGI/TVA : 39 milliards de FC de recettes réalisés au mois de janvier 2012Source : www.mediacongo.net du 24/02/2012 (ACP / MCN, via mediacongo.net)

La Direction générale des impôts « DGI » a réalisé en janvier 2012 des recettes de l’ordre de 39 milliards de francs congolais provenant globalement de la TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) de la ville de Kinshasa et la province du Katanga , a révélé mercredi le Directeur général Dieudonné Lokadi Moga devant l’auditoire des étudiants de l’Institut supérieur de commerce (ISC), dans le cadre des journées scientifiques organisées par cet établissement d’enseignement supérieur. Le directeur général des impôts n’a pas caché toute sa satisfaction devant cette performance et s’est engagé à intensifier la campagne de sensibilisation auprès des opérateurs économiques pour des résultats davantage plus performants.

Il a, par ailleurs, noté qu’au 15 janvier 2012, les déclarations enregistrées au titre de la TVA étaient de l’ordre de 31 milliards cent millions FC, en ce qui concerne les opérations de vente et de prestations de services et 2 milliards deux cents millions sur la vente des produits pétroliers au titre de la TVA à régime intérieur. Il a cependant relevé qu’il y a certains opérateurs qui ne se sont pas encore impliqués dans l’application de la TVA, en citant à titre d’exemple, le cas de la REGIDESO (Régie de production et de distribution d’eau) et la SNEL (Société nationale d’Electricité), qui livrent des factures à la fin de chaque mois après avoir procédé aux opérations de prélèvement des index. Il a également cité une autre catégorie d’entreprises bénéficiaires des prestations d’assistance dans la mesure où l’impôt était dû au paiement du CIF. Ces entreprises ont totalisé des souscriptions de l’ordre de trois milliards trois cents millions de francs congolais.

Les recettes réalisées au niveau de Kinshasa et du Katanga sont de l’ordre de 38,7 milliards de FC alors que dans le reste d’autres provinces le travail de centralisation est encore en cours, a indiqué le DG Lokadi. En ce qui concerne les souscriptions enregistrées au niveau de la Direction des Grandes Entreprises (DGE), il a été remarqué un taux de défaillance relativement faible, tandis qu’en ce qui concerne des petites structures, le taux de défaillance reste encore significatif, a-t-il fait constater. Par contre, dans l’examen des différentes déclarations, a-t-il souligné, quelques faiblesses, qui appellent une poursuite de la campagne pédagogique, ont été notées de manière à amener tous les opérateurs économiques à appliquer la TVA.

L’orateur a convaincu l’assistance sur le fait que la TVA a une base large qui permet à l’Etat d’avoir un peu plus de recettes à consacrer au développement socioéconomique du pays. Lokadi Moga avait retracé les origines de la réforme de la fiscalité indirecte en RDC et les dispositions prises dans ce même cadre pour préparer l’administration fiscale et les opérateurs économiques notamment à la réforme de la structure fiscale et administrative, avant que la loi elle-même ne commence à être élaborée.

En ce qui concerne l’élaboration de la loi, l’orateur du jour a insisté sur le fait que le mécanisme a été suffisamment inclusif pour permettre une grande implication de l’ensemble des acteurs économiques. Après avoir évoqué les avantages de la TVA par rapport à l’ICA (Impôt sur le chiffre d’affaires) et les grands principes de l’administration congolaise en matière de ce nouvel impôt, il s’est appesanti sur les problèmes pratiques auxquels la DGI a été confrontée et qui ont appelé des mesures particulières, celles précisément d’encadrement de la TVA. Pour sa part, M. Carol Lutaladio Mbuta, directeur général adjoint de la DGDA (Direction générale des douanes et accises), a expliqué le nouveau système de tarification et l’ensemble des mesures prises par cette régie financière dans le cadre de l’application de la TVA.

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Echos du Congo

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La RDC table sur une croissance de 6,6% en 2012Source : www.mediacongo.net du 03/03/2012 (AFP / MCN, via mediacongo.net)

La République démocratique du Congo (RDC) table sur une croissance de 6,6% pour 2012, susceptible de s'élever si le "regain de confiance" des investisseurs se confirme, a indiqué samedi le ministre des Finances.

"En 2011 nous avons fait un taux de croissance de 6,9%, (...) alors qu'en 2010 nous étions à 7,2%. Il est escompté en 2012, 6,6% de taux de croissance économique", a déclaré Augustin Matata Ponyo lors d'une conférence de presse à Kinshasa. Le ministre avait évoqué en janvier une croissance de 6% pour 2012.

"La spéculation politique relative à la tenue des élections" présidentielle et législatives contestées de fin 2011 "a amené les opérateurs à rester vigilants", a-t-il expliqué.

La "tenue rigoureuse des finances publiques" et la "stabilité macro-économique" ont participé à ce que la confiance revienne "petit à petit", a-t-il ajouté.

Si ce climat se maintient et si les investissements se poursuivent, le taux de croissance "devrait certainement avoisiner les 7%, sinon le dépasser", a-t-il estimé.

Pour atteindre cet objectif, le ministre a notamment souligné l'importance de s'appuyer sur le secteur minier "qui contribue à plus ou moins 33% du produit intérieur brut", et qui n'a "pas été affecté par les deux ou trois mois de la crise électorale".

La RDC détient notamment 10% et 34% des réserves mondiales connues de cuivre et de cobalt, mais aussi du diamant, du fer, du nickel, du manganèse, de la bauxite et de l'uranium.

Le ministre des Finances a par ailleurs évoqué la nécessité de combattre la fraude et la corruption, et d'assainir le climat des affaires. Selon le rapport de la Banque mondiale "Doing Business 2012", qui évalue l'environnement des affaires dans le monde, la RDC se classe 178e sur 183 pays.

M. Matata Ponyo a réchappé le 12 février d'un accident d'avion à Bukavu (est) qui a coûté la vie à six personnes, dont Augustin Katumba Mwanke, éminence grise du chef de l'Etat Joseph Kabila.

Foire de l’entrepreneuriat féminin : « Investissons dans la femme rurale et la jeune fille pour un avenir meilleur »Source : www.digitalcongo.net du 06/03/2012 (Le Potentiel via digitalcongo.net)

Selon le Bureau genre de la Mission de l’organisation des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (Monusco), cette foire a pour objectif de créer un forum pour le renforcement des capacités de la femme dans tous les domaines.

Dans le cadre des célébrations de la journée de la femme, le 08 mars 2012, le ministère du Genre, de la Famille et de l’Enfant, en partenariat avec le système des Nations unies, organise la quatrième édition de la foire de l’entrepreneuriat Féminin, du 05 au 15 mars 2012, sous le thème : « Investissons dans la femme rurale et la jeune fille pour un avenir meilleur».

(éducation, santé, réhabilitation socioéconomique, paix et reconstruction nationale).

Exposants, conférenciers, artistes, rapporteurs, chercherons à rendre visible le travail de la femme pour la prise en compte dans les politiques économiques du pays. La foire sera également un espace qui favorisera la vente et l’écoulement des produits commercialisés par les femmes afin de stimuler la créativité et la productivité de la femme congolaise, fait savoir le Bureau genre de la Monusco.

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Echos du Congo

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Depuis 2008, plus de 20 000 personnes ont participé à cet évènement annuel, en qualité d’exposant, de partenaire ou de visiteur. Chaque année, les meilleurs exposants reçoivent un prix d’encouragement dans leur domaine d’activité. La foire offre une occasion unique à toutes les composantes de la Société civile, du gouvernement, des autorités locales, des femmes rurales, de jeunes filles et garçons, des artistes et des universitaires de participer à travers des réflexions et échanges, indique le Bureau genre. Tout en précisant que cette foire concourt à la réhabilitation socioéconomique de la femme et renforce son aptitude à s’engager plus activement pour son épanouissement.

Le Bureau genre de la Monusco a organisé systématiquement des activités de sensibilisation visant à renforcer les capacités analytiques des femmes et jeunes fille vivant en milieu rural en vue de leur meilleure implication et contribution aux initiatives de prévention et de réponses aux violences faites aux femmes notamment les violences sexuelles et les autres formes de violences fondées sur le genre perpétrées par les groupes armés durant, pendant et après les conflits, informe le Bureau.

L’objectif majeur est de renforcer les capacités des femmes/filles rurales, du sommet à la base, afin qu’elles s’engagent plus efficacement dans les mécanismes de protection des civils et de consolidation de la paix tout en luttant contre l’impunité et pour le respect des droits des femmes en République démocratique du Congo, fait savoir le Bureau genre de la Monusco.

Elaboration de la stratégie d’investissement et d’entretien routier en RdcSource : www.digitalcongo.net du 08/03/2012 (ACP via digitalcongo.net )

Le Vice–ministre des ITPR, Gervais Ntirumenyerwa, a relevé à cette occasion la nécessité de la refondation de l’Etat par des investissements conséquents dans le secteur des infrastructures physiques, notamment les routes, les chemins de fer, les voies fluviales et lacustres ainsi que les voies aériennes.

La cellule des infrastructures, organe technique du ministère des Infrastructures, travaux publics et reconstruction (ITPR) a présenté le rapport sur l’état des infrastructures routières en République Démocratique du Congo afin de définir une stratégie cohérente d’investissement et d’entretien routier, au cours d’un atelier organisé mercredi au cercle de Kinshasa dans la commune de la Gombe.

Le Vice–ministre des ITPR, Gervais Ntirumenyerwa, a relevé à cette occasion la nécessité de la refondation de l’Etat par des investissements conséquents dans le secteur des infrastructures physiques, notamment les routes, les chemins de fer, les voies fluviales et lacustres ainsi que les voies aériennes.

L’action du gouvernement, avec l’assistance technique et financière des partenaires, a permis d’intervenir sur près de 6.000 Km de routes dont 1.322 km de routes revêtues réhabilitées, 137 km de nouvelles routes bitumées, 4.365 km de routes en terre ouvertes et 198 km de voiries modernisées, a-t-il indiqué.

M. Ntirumenyerwa a souligné que le programme d’investissement et d’entretien du secteur routier à définir porte sur l’ensemble du réseau, constitué de 152.400 km,

L’administrateur directeur général de l’Office des routes, Herman Mutima Sakrini, a précisé que ce programme d’investissement et d’entretien prioritaire portera sur le réseau des routes d’intérêt national, soit 58.129 km de routes inter provinciales et une partie des 7.400 km de la voirie urbaine. L’Office des routes a participé à l’élaboration des termes de référence pour l’étude de la stratégie d’investissement et d’entretien routier à mettre en place, a-t-il renseigné.

Par ailleurs, l’Agence Egis International, qui a présenté l’état des infrastructures routières en RDC, a noté une forte implication de l’Etat congolais dans la mise en place du FONER (Fonds national d’entretien routier). 400 millions de dollars américains ont été décaissés pour l’achat du matériel pour l’Office des routes. L’aide au développement au bénéfice de ce secteur a été estimée à près de deux milliards 132 millions de dollars américains pour la RDC, indique-t-on.

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Echos de l’étranger

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La Grèce restructure sa dette avec succès et évite la failliteSource : www.lefigaro.fr du 09/03/2012

83,5% des créanciers privés ont apporté à l'échange de dette 85,8% des obligations de droit grec qu'ils possèdent, selon les chiffres officiels dévoilés ce matin. Les réticents vont pouvoir être obligés de participer.

Soulagement sur le front grec. La restructuration de la dette du pays, la plus importante opération de ce type au monde, est un succès. Quelque 107 milliards d'euros de dette du pays vont donc pouvoir être effacés sur un montant global de 206 milliards d'euros d'obligations détenues par des créanciers privés. Et, in fine, le prêt de la troïka (UE, BCE, FMI) de 130 milliards d'euros va pouvoir être débloqué.

Le taux de participation des créanciers privés à l'opération de conversion a en effet atteint près de 83,5%. Ces participants ont mis à disposition 85,8% des titres obligataires de droit grec qu'ils possèdent (pour un montant toptal de 177 milliards d'euros) mais seulement 69% des créances de droit international, selon les chiffres officiels dévoilés ce vendredi matin à 7 heures, heure de Paris, par le gouvernement grec.

Le taux de participation devrait atteindre 95,7%

Fort de cette mobilisation supérieure aux 75% minimum requis, le gouvernement grec peut maintenant exiger des détenteurs d'obligations de droit grec encore réticents qu'ils rejoignent l'opération en activant les clauses d'action collectives. Grâce à elles, le taux de participation des créanciers privés détenteurs d'obligations de droit grec devrait atteindre 95,7%, a indiqué le communiqué du ministère des Finances grec. Athènes a par ailleurs prolongé jusqu'au 23 mars l'offre d'échange pour les obligations ne relevant pas du droit grec.

Le ministre grec des Finances, Evangelos Venizelos, détaillera les résultats de cette opération devant la presse à midi, heure de Paris, puis dans le cadre d'une conférence téléphonique avec les ministres de Finances de la zone euro à 13 heures.

Un «beau succès» selon Baroin

En attendant, le ministre des Finances, François Baroin a qualifié ce matin sur RTL, le résultat de «beau succès» qui permet d'atteindre «tous les objectifs que nous nous étions fixés», «sur une base volontaire». Selon le ministre, la Grèce va ainsi «éviter le défaut, donc le risque de faillite». De leur côté, les responsables de l'Institut de la finance internationale (Ifi), principal organisme à avoir négocié au nom des créanciers, ont «salué les résultats de l'opération de l'échange volontaire de dette de la Grèce, annoncés ce matin par les autorités grecques».

Les marchés avaient anticipé le succès de cet échange de dette. Après les Bourses européennes et américaines, les indices asiatiques se sont envolés ce matin (le Nikkei de Tokyo progresse de 1,65% à 9929,74 points à une heure de la clôture), l'euro s'est en outre raffermi face au dollar et les marchés de taux se détendent dans la perspective d'une issue favorable pour la Grèce.

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Echos de l’étranger

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Budget : « Ne vous attendez pas à des mesures incolores et inodores »Source : www.lesoir.be du 04/03/2012

Les vice-premiers ministres se sont réunis cet après-midi afin de dégager 2 milliards d’euros dans le budget. « De nouveaux impôts ne seraient pas une bonne solution si on veut soutenir la croissance en 2012 », a affirmé Reynders

Les vice-premiers ministres ont entamé dimanche à 15H00 un conclave budgétaire qui doit leur permettre de dégager deux milliards d’euros, afin de limiter le déficit à 2,8 % du PIB cette année. L’exercice n’est pas impossible, ont souligné les négociateurs à leur arrivée au Lambermont, « mais ne vous attendez pas à des mesures incolores et inodores », a prévenu le ministre des Finances, Steven Vanackere (CD&V) Pour Didier Reynders (MR), « de nouveaux impôts ne seraient pas une bonne solution si on veut soutenir la croissance en 2012 ». Il a pointé le déficit de 4 à 500 millions dans la sécurité sociale des salariés et le surplus enregistré par celle des indépendants.

Joëlle Milquet (CDH) a évoqué pour sa part un déficit de 2,5 milliards d’euros dans les recettes fiscales. Les travaux se poursuivront vraisemblablement jusqu’à 21H00 ou 22H00 dimanche soir et reprendront lundi.

Groen réclame la fin des déductions pour des activités de loisir Groen a plaidé dimanche pour que le gouvernement supprime la déduction fiscale dont peuvent actuellement bénéficier certaines dépenses liées aux loisirs. « Des déductions pour l’inscription à un club de sport, des bateaux de plaisance ou des fêtes de mariage ne doivent plus être possibles », a affirmé le chef de groupe à la Chambre, Stefaan Van Hecke, dans un communiqué.

Groen introduira la semaine prochaine une proposition de loi visant à réduire fortement les déductions octroyées aux activités n’ayant aucun lien avec l’activité économique. Van Hecke espère que l’idée retiendra toute l’attention du gouvernement, réuni actuellement en conclave budgétaire. « On a déjà trop épargné sur le dos des classes moyennes et des pauvres », a-t-il souligné.

Un an après le séisme, l'économie japonaise rebonditSource : www.rfi.fr du 08/03/2012 (Frédéric Charles, correspondant à Tokyo)

L'économie japonaise s'est remarquablement redressée après le séisme, le tsunami géant et l'accident nucléaire de Fukushima dont on va commémorer le premier anniversaire ce dimanche 11 mars. La catastrophe avait, dans les mois qui suivirent, provoqué une chute de l'activité d'un bout à l'autre du Japon. Sur l'ensemble de l'année 2011, le PIB japonais n'aura reculé que de 0,7% en termes réels en dépit en plus d'une conjoncture internationale difficile.

Le PIB (produit intérieur brut) japonais avait connu un trou d’air terrifiant dans les semaines qui suivirent le séisme et le tsunami géant. Les circuits d’approvisionnement, composants électroniques et automobiles avaient été paralysés par les destructions de routes et d’usines dans le nord-est du Japon, perturbant à travers le monde des entreprises comme Apple dont les produits intègrent des composants japonais très sophistiqués.

L’économie japonaise a été victime en plus des inondations en Thaïlande qui ont noyé d’importants centres de production japonais, du yen fort, de la crise de la dette en Europe, de la mélancolie des consommateurs japonais, de leur angoisse face aux rejets radioactifs de la centrale de Fukushima.

Ces derniers mois, la demande intérieure japonaise grâce aux investissements des entreprises a recommencé à tirer un peu la croissance. Mais elle reste très fragile. Le Japon risque de manquer d’électricité cet été. Il doit importer chaque mois pour près de 20 milliards d’euros de gaz et de pétrole pour alimenter ses centrales thermiques, rendant pour la première fois depuis 1980 déficitaire sa balance commerciale.