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Cédric Guillermo Travaux 2014

Cédric Guillermodata.over-blog-kiwi.com/1/46/09/79/20150221/ob_f53879_portfolio... · pensées vagabondes ou ironiques. Elle peut se moduler de différentes façons souvent aléatoire

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Cédric Guillermo

Travaux 2014

Vivre à la campagne, aussi pour un certain confort,

et travailler en s'inspirant des codes ruraux sont des choix pleinement

assumés : cela forge ma « mythologie » personnelle.

Mais la pratique de l'art est mouvante, sujette à glissement et translation.

En effet, les objets et les histoires de l'exploitation agricole familiale ne sont

fort heureusement pas les seules préoccupations de mon travail.

La recherche plastique déployée cible d'autres enjeux parfois plus formels,

urbains, plein d'humour et toujours adaptée au lieu

ou à la thématique proposée.

Cédric Guillermo.

A La Soupe!

• Dessin colorisé par oridinateur• Dimensions variables • Feutre & scanner• 2013

Il est des contradictions dans nos campagnes. De celles qui font aimer les boîtes de conserve et les soupes en sachet à certains habitants ruraux âgés, fiers de consommer moderne et productif. Il est des contradictions dans nos villes. De celles qui déculpabilisent de jeunes urbains allant chercher un panier de légumes bio pour y trouver un ersatz de retour à la terre.

Notre nourriture est connectée à la terre, au ciel, aux gens, aux machines, à des savoir-faire, mais ses consommateurs en sont parfois déconnectés.

C’est l’histoire qu’évoque le travail de Cédric Guillermo. Lorsque l’homme manipule la nature et compose sa nouvelle cuisine un peu folle, l’artiste compose en retour un cabinet de curiosités. Aux côtés d’étranges tubercules et de machines improbables, l’accrochage des dessins forme un cabinet graphique qui se remplit d’objets et d’organismes étonnants, hybrides, parfois monstrueux. Ainsi, une lampe de bureau déploie sous nos yeux son potentiel ludique jusqu’au ridicule.

Mêlant sueur du travail physique et outils de production, Cédric Guillermo fait ses dessins à la main et les passe ensuite au traitement numérique pour unifier le trait. Ce traitement graphique redonne aux objets un peu de leur ligne de production industrielle. Les recherches de couleurs ajoutées au pinceau amènent tour à tour de la beauté, de l’étrangeté ou encore du kitsch.

Lorsque l’homme se perd dans l’accélération du temps présent, l’artiste prend du recul et cherche du côté des modes de vie paysans passés, à travers la petite histoire, celle des gens, dans leur intimité, leur spécificité. Fils d’agriculteur, Cédric Guillermo sait de quoi il parle, il est pétri des valeurs du monde agricole et les revendique dans une mythologie individuelle* teintée d’humour et d’ironie.

La pomme de terre est élevée en guest star de cette exposition, comme en témoigne la collection d’assiettes qui vous accueillent à l’entrée. Ingrédient de base de toutes les bonnes soupes qui tiennent au corps, elle fait le lien entre le champ, le tracteur et la cuisine, traversant les générations. Outre que la patate a été ramenée d’un pays exotique paraît-il par Parmentier, elle continue de voyager de la terre à l’assiette, et de nous conter ici un univers coloré. Cédric Guillermo rejoue l’intérieur paysan avec un décalage qui questionne les évolutions qu’il a subit : modernisation, urbanisation, artificialisation. Sans regard passéiste, l’artiste convoque savoir-faire traditionnels et pratiques modernes avec poésie et humour.

Parfois, le dessin devient réalité. Cédric Guillermo est suffisamment bricoleur pour donner vie à ses créations. Les objets sont détournés avec ironie. Le visiteur est appelé à participer à cette entreprise folle, en activant les machines.

Découpez en cube la simplicité des objets familiers de la cuisine rurale. Ajoutez un soupçon de beauté de l’outil traditionnel. Faites cuire à petit feu la fascination pour l’efficacité, l’énormité et la complexité des machines agricoles. Assaisonnez de valeurs chères à l’artiste. Saupoudrez d’ironie les modes de production industrielle. Passez le tout au mixeur de l’art.

Bon appétit !

* Concept développé dans la section « Individuelle Mythologien » de la Documenta 5, commissariat de Harald Szeemann, 1972.

Priscille MagonAdministratrice de L’art dans les chapelles.

A la Soupe!

Ce coffret de huit assiettes en porcelaine, réemploi avec humour l’usage de motifs utilisés sur certains services ménagers anciens.

Cette co-édition a été réalisée par la Galerie Premier Regard, Le Village et le soutien de l’EESAB site de Lorient.

• Coffret de 8 assiettes • Diamètre d’une assiette 23 cm• Porcelaine Véritable• Edition réalisée à 10 exemplaires• 2013

Patates!

Quatre assiettes pour un motif alimentaire différent, les tâches agissent comme des souvenirs et

évoquent une soupe de pomme de terre.

Soupière

Le dessin de cette soupière une fois cuit sur un plateau de porcelaine, crée un décalage ironique.

Coffret de 4 assiettes • Diamètre d’une assiette 23 cm •

Porcelaine Vériatble •Edition réalisée à 5 exemplaires •

2013 •

• Plateau, détail• 30x24 cm• Porcelaine Véritable• Edition unique, collection privée• 2013

Nuage n°1

Nuage, est une mise en forme de dessins accrochés au mur : entre fascinations esthétiques, mécaniques,

pensées vagabondes ou ironiques. Elle peut se moduler de différentes façons souvent aléatoire

et se nourrir de nouveaux dessins.

« Cloud »

Installation •Dimensions variables •

Papier canson, cadres, aquarelle, feutres •2013 •

Eurêka!

Télé-Centrifuge / Télé-Disparition / Télé-Portation

Triptyque, collection privée • 40x50 cm chacun •

Cadre, papier canson 300g, aquarelle, feutres •2013 •

Ces dessins ou plans, représentent des inventions absurdes de machineries

pouvant permettre à l’Homme de voyager.

Pommes! Patates! Pierres!

Co-édité par Le Village et L’art dans les chapelles, ce livre d’artiste associe les spécificités graphiques de Cédric Guillermo et les encres naturelles de L’Atelier du Bourg. La vase ou autre concassage de terre récoltée

une fois sérigraphiées donnent à l’objet une sensibilité au touché.

Pommes!Patates!Pierres!

• Coffret de 3 dépliants sérigraphiés• 10x15 cm fermé• Edité à 50 exemplaires par L’Atelier du Bourg• Papier Munken Lynx 280 gr• 2013

Machinisme

Broyeur à encres

Machine interactive : cet ancien broyeur à pommes, restauré a emprunté à la brouette sa mobilité. Ses couleurs dynamiques lui confèrent un côté ludique. Elle peut être manipulée par le spectateur, et en résulte une séquence papier colorée aléatoirement.

Démonstration disponible à l’adresse URL suivante: https://vimeo.com/74663662.

• Sculpture• 200x110x140 cm• Bois, acier, papier, encres, fonte, pneus• 2013

Frappe de marquage

Une frappe est un outil violent qui permet l’étiquetage des porcs avant

leur abattage. Les couleurs et les symboles

renvoient ici aux politiques européennes imposées en matière

d’élevage, mais rappellent aussi la marque IKEA.

Multiple • Edité à 11 exemplaires avec son kit de montage •

30x10x15 cm •Acier, plexi et mousse •

2010 •

Ratelier

Cette sculpture s’inscrit dans le prolongement de l’entreprise Guillermo SA (entreprise critique présentée en 2008 à L’Atelier de la Gare - Locminé - Morbihan). Elle convoque un univers industriel mais son utilité reste incertaine.

• Sculpture-machine• 60x60x150 cm• Inox & acier• 2010

ECHO-MUSEE Tuerie n°1 & 2

Deux tueries sont représentées, l’une « poétique », l’autre humoristique.

• Dessins aquarellés• 80x60 cm chacun• Papier Canson, feutre, aquarelle• 2013

Fourche

C’est un instrument à deux dents ou plus, utilisé pour divers travaux, essentiellement

agricoles. La fourche, dégagée de ses attributs superflus est à présent placée dans

un contexte d’exposition, perdant son utilité pour gagner en valeur formelle.

Sculpture •300x120x140 cm •

Mousse & acier •2011 •

Vache

Installation réalisée dans le cadre de l’exposition du collectif la rurale, cette vache posée sur un tapis et taillée dans du chêne massif à grands coups de tronçonneuse, regarde sa série B sur un vieux téléviseur noir et blanc.L’émission est sans fin, les images d’un train sur un tourne disque passent sans cesse. J’interroge ici les nouvelles normes bien-être des animaux d’élevage.

• Installation • Dimensions de la vache 230x100x70 cm - de 250 à 300 kg• Bois (chêne massif), moniteur, tapis, lampe• 2012

Lingots

Lingots interroge la valeur marchande des biens alimentaires.Multipe •30x20x20 cm (lingots) •

Pâtes & bois •Collection privée •

2010 •

• Dessin colorisé par oridinateur• Dimensions variables • Feutre & scanner• 2013

Lumimax

Sculpture-luminaire inspirée des objets présentés au musée des arts

et métiers, elle combine étrangement lumière fluo et décor XIXième.

Sculpture - lumière •30x30x90 cm •

Bois, fluo & moteurs •Collection privée •

2009 •

L’amplificateur

Commande réalisé pour le Cri de l’Ormeau support bi-mensuel de communication et d’informations des événements culturels en côtes d’armor.

Métissage d’un phonographe et d’un broyeur à pomme, cette sculpture est surprenante par sa force animal.

Sculpture •  Dimensions 2,3x1,5x1,8 m • 

Bois (chêne) & métal •  2012 • 

Echo-musée

ECHO-MUSEE #2, environnement construit spécialement pour l’exposition au site d’expérimentation artistique, Le Village.

« [...] Un espace scénographié, proche de l’écomusée et du cabinet de curiosités, présente trois types d’habitats

qui font référence aux spécificités des territoires ruraux (magasin, intérieur domestique et étable) [...]  ».

David Chevrier - Directeur artistique du Village.

Démonstration disponible à l’adresse URL suivante: https://vimeo.com/84319048

Installation In Situ •  Dimensions variables •

Plus de 200 m2 de voliges, meubles anciens •2013 •

Souffle, souffle le Loup!

• Visuel du carton d’invitation de l’exposition• Dessin colorisé par oridinateur• Dimensions variables • Feutre & scanner• 2012

J’habite ici.

Être au monde, c’est aussi être de quelque part, avec d’autres. Ce principe simple dans nos sociétés soumises aux lois qu’elles s’imposent comme des évidences, qu’elles soient économiques ou sociétales, ne fait plus partie des éléments productifs indispensables. Il serait même un obstacle aux mobilités et servitudes que le monde du travail érige comme règles absolues. Cédric Guillermo pose ici avec énergie et sensibilité cette question essentielle : Qu’est-ce qu’être un habitant ? Sa géographie personnelle s’inscrit depuis plusieurs générations au sein du monde rural. Il sait d’où il vient avec lucidité et exigence. Il sait le poids des choses, la dureté des matières, leurs forces aussi, c’est ce qui a fait de lui fondamentalement un constructeur. Ses gestes et ses projets ne s’unissent plus au temps de la terre et des animaux, mais ils en sont aujourd’hui le miroir. Son regard a décrit parfaitement les mouvements souvent heurtés du secteur agricole. Auprès de ses parents et de ses proches, il a vécu au plus près, dans un monde rural en mouvement constant, soumis aux contingences et aux contradictions des formes de production. Ses analyses ne sont pas celles d’un observateur distant et désabusé, mais de quelqu’un qui a aussi choisi de ne pas s’éloigner. Sa position d’artiste aurait pu lui faire accepter par facilité toutes les distances, mais Cédric Guillermo se sait profondément de quelque part, que le sens même de ce qu’il a à exprimer se joue en des lieux essentiels. C’est ce qui donne cette densité toute particulière à son travail.

Au cours de cette résidence, il a su interroger des expériences premières qui posent clairement tous ces enjeux. Premières dans plusieurs sens du terme. Tout d’abord sans doute, une expérience de l’enfance, personnelle ou en groupe, de se bâtir une cabane, un lieu où se retrouver et se construire. Premières aussi dans ce qu’elles composent l’essentiel de nos besoins en tant qu’être humain, encore si difficilement équitable dans nos sociétés. Avoir un toit, un chez soi ou se poser, pour être, vivre, regarder et comprendre le monde avec les autres. Les magasins de bricolage n’ont jamais autant été pris d’assaut, par nos besoins d’intérieur. Mais nos maisons et appartements deviennent bien trop souvent les symptômes d’un repli sur soi, plus inquiet qu’accueillant, une enveloppe isolée, isolante, pour le cocon familiale ou communautaire.Tout au contraire les cabanes de Cédric, se refondent en une aventure permanente, ouvrent les horizons, déploient les perspectives, jouent leurs emplacements avec une rigueur plastique affirmant pleinement ses cohérences, surtout sans permis de construire. Tous ces projets sont aussi et sans doute d’abord des moments de partage. Bâtir sans accueillir serait pour lui sans signification. Chaque environnement est conçu pour l’échange et la rencontre. Les lieux qu’il a choisi d’habiter avec son travail, aire de jeux, terrain de football, magasins, rond-point, étang, sont justement des espaces partagés.

Il s’y place toujours avec cet humour, comme une politesse pour nous dire des choses plus graves. Machines exposées, objets accrochés parmi les autres, ils n’attendent que l’échos de nos désirs pour libérer leurs « contre sens ». Pour que tous ces outils et ces fenêtres éphémères, le temps d’une cabane, nous redonnent l’envie maintenant et ici, d’être des habitants.

Georges Peignard

Texte extrait du carnet de résidence Souffle,souffle le Loup! - 2012.

Outils, frappe de marquage, trophée, marteau cloueur et fontaine

Des sculptures ont été créées pour être ensuite disposées dans des magasins de bricolage, des coopératives ou encore chez un armurier. Bien que dépassant l’objet usuel, certaines de ces créations poursuivent un dialogue avec les valeurs d’usage. Ainsi, une fois intégrées aux rayons des magasins elles font naître un doute chez le consommateur.

Sculptures photographiées (extraits) •  67x44 cm •

Tirages contre-cllés sur dibond •2012 •

Les Cabanes

Un kit (composé d’une bâche, de 3 tôles d’acier et de plastique, de 35m² de voliges, de chevrons, de 3 palettes, de 15 bottes de paille, 7 bidons, 2 portes de placards, 2 fenêtres, 1 tonneau et 2 chaises) est utilisé pour la construction de cabanes dans chacune des sept communes composant Saint-Jean communauté. La cabane, installée au coeur de la cité (place, étang, terrain de football, lieu de passage...), est après quelques jours démontée. Dans les jours qui suivent, une autre cabane voit le jour dans la commune suivante, composée des matériaux qui avaient préalablement servi à la réalisation de la première, et ainsi de suite... Un « Tract-o-mobile » (atelier mobile) qui sert au transport du kit et d’outils, rend possible cette action itinérante. Ces cabanes, dont les formes varient au gré des reconstructions, trouvent leur inspiration dans les petits hangars, les appentis, les remises et autres poulaillers domestiques qui ponctuent les paysages de campagne. Ces bâtiments, souvent bricolés avec des surplus de matériel de construction, des éléments divers qui échappent ainsi au rebus, n’en constituent pas moins une part de l’identité - visuelle - du monde rural, échappant à la rationalisation comme au règles administratives.

•  Installations sculpturales photographiées (extraits)•  67x44 cm•  Tirages contre-collés sur dibond• 2012

• Dessin aquarellé imprimé sur bâche• Bâche micro-perforée, 42 oeillets• 10x3m• Acquisition par l’Université Bretagne Sud en Janvier 2014

Supertanker!

« Il était un petit navire qui … »Un bateau-cargo qui commence et ne se termine jamais, celui-ci ne naviguera pas! La bâche entourée par ses oeillets nous rappelle les voiles des bateaux sportifs de la cité Eric Tabarly. Le Paquebot, bâtiment universitaire, emprunte aux bateaux de croisière son esthétique; en contrepoint l’œuvre prend sa place «sur le pont» du bâtiment. Les couleurs aquarellées et complémentaires s’intègrent dans l’espace à forte identité architecturale. L’œuvre évoque trois univers nautiques lorientais : la plaisance, le commerce et le sport.

« Embarquez! »

Cédric Guillermo.

Commandes et Résidences

2014 L’Usine Utopîk - Centre de Création Contemporaine - Relais Culturel Régional - Commissariat Xavier Gonzalez - Citernes ( Tessy-sur-Vire - 50 ).

2014 La Fourmi-e - Champ d’expression - Commissariat Aurélie Besenval - Clôture - ( Lescouët-Gouarec - 22 ).

2012 L’art dans les chapelles - résidence en milieu scolaire - Collège Mathurin Martin - Lit-Clos ( Pontivy - 56 ).

2012 Commande-résidence au titre du 1% artistique à l’occasion de la construction de la maison des services publics de Saint -Jean communauté - Souffle, souffle le loup! ( Saint-Jean-Brévelay - 56 ).

Expositions collectives

2014 Musée des Beaux-Arts de Vannes, la Cohue - Commissariat Marie Françoise Le Saux, conservatrice - Paysage peint - Nature rêvée ( Vannes - 56 ).

2013 Le Village - Site d’expérimentation artistique - avec Frédéric Malette et Joris Javennec -Commissariat David Chevrier - ECHO-MUSEE #2 ( Bazouges-La-Pérouse - 35 ).

2012 Le CENTQUATRE - Commissariat général : Henri Foucault - sélectionné par Catherine Strasser - L’Endroit et L’Envers ( Paris 75 ).

2012 L’écurie ( Morbihan - 56 ) - Atelier d’expérimentations plastiques - La rurale V°1.

2011 Galerie du Faouëdic ( Lorient - 56 ) - Commissariat Christophe Desforges - HORS BORDS 2.

2009 Être un lieu de lumière, ( Mairie de Paris Vième  ) et Olla Valotila, à la Teaik ( Helsinski - Finlande ) - Commissariat Nathalie Junod-Ponsard.

Catalogues et livres d’artiste

2013 Livre d’artiste sérigraphié par L’Atelier du Bourg à 50 exemplaires - Pommes! Patates! Pierres! ( Rennes - 35 ).

2012 Carnet de résidence : Souffle, souffle le loup! - édité à 200 exemplaires ( Morbihan - 56 ).

2011 Catalogue d’exposition: Hors Bords 2 - Direction de la publication Christophe Desforges ( Lorient - 56 ).

2010 Catalogue d’exposition: Relativité de la lumière et des lieux/ Dispositifs visuels - Direction de la publication Nathalie Junod Ponsard et Marc Thébault.

2010 Catalogue des diplômés ENSAD.

Né le 18/08/1986 à Vannes, vit et travaille entre la Bretagne et Paris. Expositions personnelles

2014 Université Bretagne Sud - Bâtiment du Paquebot 4 rue Jean Zay - Commissariat Amélie Guérard - SUPERTANKER! ( Lorient - 56 ).

2013 Galerie Premier Regard - Commissariat Anne Ferrer - A la Soupe! ( Paris - 75 ) Séléctionné par un comité artistique présidé par Henri Jobbé-Duval, co-fondateur de la FIAC,Commissaire Général de Révélations 21e siècle, Grand Palais 2013. 2008 L’Atelier de la Gare - Lieu d’expression contemporaine - GUILLERMO SA ( Locminé - 56 ).

Acquisitions - Collections

2014 Sculptures-objets GUILLERMO SA - Donation par Rose-Marie Barrientos - Collection « Davis Lisboa Mini-Museum of Contemporary Art » ( Barcelone - Espagne ).

2014 Frappe de marquage - Arthothèque de l’Usine Utopîk - Centre de Création Contemporaine - Relais Culturel Régional ( Tessy-sur-Vire - 50 ).

2014 Collection photographique de la résidence - Souffle, souffle le loup! - L’Atelier de la Gare ( Locminé - 56 ).

2014 Bâche micro-perforée, SUPERTANKER! - Université Bretagne Sud ( Lorient - 56 ).

2013 Série photographique des sept Cabanes - Saint Jean communauté ( Saint-Jean-Brévealy - 56 ).

Bourses

2011 Aide à l’installation - DRAC Bretagne.

2009 Lauréat de la Fondation Odon Vallet.

Formations

2010 Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris - section Art et Espace - mention très bien.2009 Mémoire : Les entreprises critiques - mention bien. Directeur de Mémoire Marc Thébault.

2008 Ecole Europpéenne Supérieure d’Art de Bretagne - Site de Lorient - Diplôme National d’Arts Plastiques - admis avec félicitations.

Portrait d’artiste réalisé par le studio MachineMachine à Nantes disponible à l’adresse URL suivante: https://vimeo.com/75613072 .

• Dessins colorisés par oridinateur• Dimensions variables • Feutre & scanner• 2013

Cédric Guillermo

7, rue de Kersimon56 500 Bignan06.60.23.50.96

[email protected]°SIRET: 525 392 239 00022

APE: 9003A N°d’ordre G799339

«  [...] Bon Gars travaille avec d’autres, vit autrement, simplement,

avec amour pour sa femme, pour ses parents, pour quelques amis.

Bon Gars travaille une forme de vie et une forme d’art que tout le monde

peut comprendre, avec des sujets simples, des formes reconnaissables,

des intentions claires, et la générosité, la simplicité, la droiture, la franchise,

l’amitié, l’humour, l’amour. Il n’y a pas de musée pour l’amour, pas de galerie

de vie heureuse et pleine, pas de centre de formation au respect des animaux,

pas de fond régional des amitiés sincères et pas d’école à aimer les enfants.

Pas de colloque pour apprendre à désirer fonder une famille,

pas d’institut pour apprendre à aimer sa femme à tous les âges de sa vie

et la trouver belle toujours...

Les musées, ces chefs d’œuvre, nous les portons tous, certains ont jeté

les clefs, d’autres ne savent plus comment les retrouver et quelques uns

ouvrent encore leurs portes et y exposent leur beauté. Merci Bon Gars Cédric

de nous avoir rappelé la fraicheur des enfants, la beauté du monde

et la richesse des sentiments [...] ».

Extrait de Un Bon Gars! par Patrick Jeannes, 2013.