CGEM Infos N°2683 du 22 Juin 2009

Banque Mondiale. Comment

juguler le ralentissement du commerce international

N°2

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Le

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ai 2

009

Sommaire CGEM-Deve-Network. Conférence sous le thème «Pour une équité mesurable en Entreprise»

Pacte Emergence. Réunion du comité de pilotage

Commission «Proximité Sociale». Conférence sur «l’Entreprenariat Social, Innovation et Dynamique de Changement»

«MIN’YADINA by FEA». Un évènement pour la promotion de l’artisanat

Agadir. Séminaire sur «La qualité : Quel rôle dans la gestion de la crise économique ?»

Souss Massa Daraa. Préparatifs au Salon «Maroc Forum Germany 2009»

Le Premier Ministre Sao-Toméen reçu à la CGEM

Banque Mondiale. Comment juguler le ralentissement du commerce international

Visite d’une délégation de journalistes français à la CGEM

PAAP. Débat sur la crise financière mondiale et son impact sur le Maroc

INTERNATIONAL 16

ACTU CGEM

FOCUS

ACTUALITÉ 4-5

FÉDÉRATION 6

UNION REGIONALE 7

ÇA NOUS INTÉRESSE 8

DOSSIER 12

APPEL D’OFFRES 18

FOIRES & SALONS 17

10

4

CGEM INFOS 4 Mai 20094

ACTUALITÉ CGEM

Directeur de publication : Moulay Hafid ElalamyAdministration et Rédaction : 23, bd Mohamed Abdou, Palmiers - Casablanca.Tél : 05 22 99 70 00 Fax : 05 22 98 39 71 E-mail : [email protected] en chef : Mustapha MoulayRégie publicitaire : Agence AUTOGRAPH, Bd Brahim Roudani (ex Route d’El Jadida). Rés. Al FathTél : 05 22 98 29 64 /75 Fax : 05 22 98 29 82 E-mail : [email protected] : Malika Charafi, E-mail : [email protected] : 0851-123X D.L : 214/99 Web : www.cgem.ma

Impression : IMPRIMAHD

Visite d’une délégation de journalistes français à la CGEM

Une importante délégation de journalistes français a été reçue, 24 vril au siège de la Confédération, par M. Moulay Hafid Ela-

lamy en présence de M. Mohamed Kettani, PDG d’Attijariwafa Bank et de plusieurs présidents de fédérations. Au cours de cette rencontre, les jour-nalistes français ont pu s’enquérir des réformes économiques, intervenues au cours des dernières années. Ces avancées témoignant ainsi, non seulement du renforcement de la vigueur de l’économie et de sa capacité d’adaptation aux mutations mondiales mais également du dynamisme des secteurs pro-ductifs. Ces domaines connaissent, depuis les cinq dernières années, une croissance de 5,2%/an grâce à l’émergence de nouveaux secteurs, notamment les télécommunica-tions, les activités financières et d’assurances, le tourisme et le BTP. MM. Elalamy et Kettani ont souligné que le dynamisme de ces secteurs s’est affirmé à la faveur des politiques sectorielles mises en place, basées sur une approche partenariale

et contractuelles entre le public et le privé. La soutenabilité de la croissance a été réali-sée sans pour autant compromettre la sta-bilité macro-économique et sociale comme en attestent la maîtrise de l’inflation durant les cinq dernières années, l’excédent en-registré au niveau du compte courant de la balance des paiements et la maîtrise du déficit budgétaire. Pour ce qui de l’impact de la crise mondiale sur l’économie marocaine, M. Elalamy a indiqué que face à la tempête économique mondiale, le Maroc a décidé de prôner une gestion prudentielle et de maintenir le cap sur les réformes sectorielles, tout en réser-vant un traitement particulier aux secteurs les plus touchés.

D’autre part, M. Elalamy a passé en revue les grands acquis de la CGEM et ses réalisations durant ces trois dernières années qui ont permis à la confédération de gagner en crédibilité, en action et en écoute par rapport aux pouvoirs publics qui vient aujourd’hui en la CGEM un véritable partenaire.

5CGEM INFOS 4 Mai 2009

Événement La CGEM et Deve-Network, association qui oeuvre pour promou-voir l’équité en milieu professionnel organise une conférence nationale sous le thème « Pour une équité mesurable en Entreprise », le 6 Mai 2009 de 9H à 12h au siège de la Confédération.

Pacte Emergence. Réunion du Comité de pilotageEn mobilisant et coordonnant les ac-

tions de l’Etat et des opérateurs économiques, le Pacte National pour

l’Emergence Industrielle vise à construire un secteur industriel fort et à créer un cer-cle vertueux de croissance. Il consacre, en outre, les principes démocra-tiques de dialogue et de la transparence, et l’importance des ressources humaines. Et dans le cadre d’accompagnement à la mise en œuvre du pacte Emergence, une réunion préparatoire au comité de pilotage de lancement de pacte a eu lieu, le 16 avril 2009 au siège de la CGEM.Ont pris part à cette réunion, consacrée aux échanges avec le secteur privé autour des chantiers du pacte Emergence et sur l’organisation des travaux, les représentants du Ministère de l’Industrie , Commerce et des Nouvelles technologies, du Ministère des Affaires Economiques et Générales, la CGEM et certaines Fédérations profession-nelles ainsi que le cabinet Valyans consult-ing.La mise en œuvre des mesures du Pacte Emergence a nécessité leurs traductions en chantiers pour chaque domaine. Une présentation de ces chantiers a été ex-posé lors de cette réunion, tout en spécifiant les chantiers où la CGEM et les fédérations sont impliquées et appelées à intervenir dans l’aboutissement de leurs travaux.Une seconde présentation a détaillé les instances de gouvernance, comité de pi-lotage (décisionnelles) et comité de suivi (opérationnelles), prévues par le pacte pour chaque domaine, ainsi que l’articulation des interactions entre les parties prenantes sur la base des instances et le planning de mise en œuvre. Ces instances auront pour mission de suiv-re l’état d’avancement de la mise en œu-vre du contrat- programme, de débattre

des problèmes rencontrés dans le cadre de la mise en œuvre et proposer des solu-tions adéquates, ainsi de communiquer au-près des différents intervenants concernés, l’avancement des travaux en vue de main-tenir une forte mobilisation autour de la mise en œuvre de ce Pacte.Les parties ont souligné aussi l’importance de désigner de façon nominative les mem-bres de ces instances ainsi que leurs supplé-ants et d’identifier le point focal.

• La Commission « Proximité Sociale », organsie en collaboration avec le Ministère du développement social, de la famille et de la solidarité, une conférence sous le thème «l’Entreprenariat Social, Innova-tion et Dynamique de Changement», et ce le vendredi 15 mai à 17H au siège de la CGEM.Cette conférence vise à redynamiser l’engagement sociétal et mobiliser davan-tage les entreprises dans leur implication dans les volets sociaux en général et édu-catifs en particulier.L’engagement sociétal est l’un des piliers de la charte de la Responsabilité Sociale de La CGEM qui vient appuyer la volonté du changement lancée par la Confédéra-tion pour une culture de partage.Au menu de cette conférence, la présentation des thèmes portants sur :- L’Entreprise et le Développement Social- La Responsabilité Sociale de l’Entreprise, - L’Entrepreneur Social “Ashoka FEL-LOW”: Des témoignages de réussites so-ciétales par les entreprises sont également prévus dans le programme.


Dans le cadre de la réalisation de sa stratégie de communication et de promotion des entreprises d’artisanat

au Maroc, la Fédération des Entreprises d’Artisanat (FEA) compte organiser la pre-mière édition de l’expo- vente Artisanat « MIN’YADINA » du jeudi 25 au dimanche 28 juin 2009 et ce, dans l’espace du Jnane El Harti (du côté de l’hivernage) et dans les locaux de la Chambre de Commerce, de l’Industrie et des Services de Marrakech (CCIM).Cette manifestation à caractère économique et promotionnel sera composée d’une Ex-po-Vente, d’un séminaire sur l’emballage et d’une opération de visites et interviews par 15 journalistes étrangers pour faire la cou-verture médiatique de l’artisanat du Maroc à l’international. L’Assemblée Générale Ordinaire de la FEA ainsi qu’une soirée de Gala seront organisés à cette occasion ayant pour signature « Le savoir-faire au cœur de la tendance ». Ainsi, et pour information et validation du projet d’organisation de cette évène-ment, devant promouvoir le meilleur de l’artisanat Marocain et donner un souffler supplémentaire aux entreprises d’artisanat plus particulièrement en cette phase de cri-se, la FEA et en partenariat avec la CGEM a tenue, le mardi 28 avril 2009 de 10h à 12h30 au siège de la CGEM, une présen-tation devant plus de trente participants représentant des membres de la fédération et quelques partenaires d’accompagnement de ce évènement.Après la séance de présentation du projet MIN’YADINA, les membres du bureau de

la FEA se sont réunis pour étudier et con-cevoir le projet d’un plan de soutien aux entreprises d’artisanat pour cette phase de crise ayant touché assez profondément ce secteur à l’échelle nationale.

FédérationACTUALITÉ CGEM

«MIN’YADINA by FEA». Un évènement pour la promotion de l’artisanat

• La FNT (Fédération Nationale du Tour-isme), en partenariat avec l’UAP (Unité d’Appui au Projet Meda2-FP), la FNIH (Fé-dération Nationale de l’Industrie Hôtelière) et le GIAC Hôtellerie Tourisme (Groupe-ment Interprofessionnel d’Aide au Conseil) organise, le 14 Mai matin à Casablanca, une rencontre nationale, visant à restituer aux décideurs du Tourisme, la valeur ajoutée développée par l’étude de motivation du per-sonnel du secteur touristique, les actions du GIAC et celles du programme Meda2-FP.Cette manifestation a comme ambition de réunir les dirigeants du Tourisme et de valo-riser des pratiques managériales, qui, au Ma-roc, comme à l’étranger ont porté leurs fruits. Nous vous remercions de donner par votre présence, un éclat à cette manifestation.

Dans le cadre de son plan d’action PAAP, l’union régionale Souss Massa Draa a organisé, le 24 avril 2009, un séminaire traitant la théma-

tique de la qualité en tant que facteur de réponse à la crise économique animé par Mme Claire Watier, Conseillère Internationale en gestion, enseignante de la gestion internationale et de la qualité à l’Ecole Nationale de l’Administration au Canada et Con-férencière dans plusieurs écoles et instituts à travers le monde. Ce séminaire a réuni plus de trente par-ticipants, des responsables et cadres dirigeants intéres-sés par la thématique de la qualité. Le président de l’union régionale Souss Massa Draa, M. Khaïr Ed-dine Soussi a rappelé, à l’ouverture de cette rencontre, que le choix du thème relève des propositions des en-treprises adhérentes à l’union régionale Souss Massa Draa et a souligné l’ouverture de la CGEM à toute proposition émanant des entreprises. Dans une dé-marche participative, Mme Claire Watier a rappelé la notion de la qualité, son historique, son évolution ainsi que ses modèles de gestion. Par rapport à une période de crise, il s’agit de placer la qualité dans le contexte spécifique à chaque entreprise, à chaque secteur et à chaque pays. La crise n’étant pas universelle. Ce sémi-naire a permis de mettre l’accent sur « les valeurs en entreprise » et la parcellisation des problèmes comme moyen de réactivité de l’entreprise. Des cas concrets d’entreprises et des solutions de réflexion ont été re-pérées au fur et à mesure.

Salon « Maroc Forum Germany 2009 »Dans une perspective de promotion et d’ouverture à l’international, la Région Souss Massa Drâa participe à la Troisième Edition du Salon « Maroc Forum Ger-many 2009 ». Cette manifestation, organisée en col-laboration avec l’Ambassade du Maroc en Allemagne sous le thème “ le Maroc des Régions, Souss Massa Draa à l’honneur”, aura lieu à Frankfurt, du 07 au 10 Mai 2009.

Objectifs - Contribuer au développement des échanges économiques et culturels entre l’Allemagne et le Ma-roc- Sensibiliser les investisseurs sur les opportunités d’investissement offertes par toutes les régions du Ma-roc, notamment la région Souss Massa Draa.- Faire découvrir aux allemands la culture, les arts et les tradition du Maroc notamment ceux de la région souss Massa draa Pour plus d’informations, veuillez prendre contact avec : Mlle Imane CHARAF EDDINE Tél : -028 82 17 99

Union régionaleAgadir. Séminaire sur le rôle de la qualité dans la gestion de la crise économique ?»


pour l’année 2010.

REME/GTZ. Projet du nouveau portailUn atelier sur le projet du nouveau portail web envi-ronnemental maghrébin du REME sera organisé par le projet REME/GTZ au cou-rant de la dernière semaine du mois de Mai 2009 à Tunis. Cet atelier regroupera les partenaires UTICA, CGEM et CACI, les chargés de web des trois organisations et des

représentants des ministères chargés de l’environnement ainsi que les assistant(e)s com-munication du projet et des représentants des trois pro-gramme environnementaux de la GTZ ( Algérie, Tunisie, Ma-roc). Il sera animé par le Dr. Julien Biere, expert en communica-tion.

Pays-Bas. Programme Match Making FacilityLa division économique de l’Ambassade du Royaume des Pays-Bas à Rabat appelle les Petites et Moyennes Entre-prises (P.M.E) Marocaines tous secteurs confondus, intéres-sées par des partenariats com-merciaux, techniques ou stra-tégiques avec des entreprises Néerlandaises à se porter can-didates au programme Match Making Facility (M.M.F)Match Making Facility est un programme entièrement pris en charge par le gouvernement du Royaume des Pays-Bas pour soutenir la coopération économique du secteur privé

Exportations. Nouvelle stratégie La nouvelle stratégie de promo-tion des exportations agricoles et agroalimentaires, qui sera bientôt mise en oeuvre, cible 17 marchés.Cette stratégie cible six pays de l’Union européenne, deux en Amérique latine, ainsi que la Russie, l’Ukraine, le Japon, Singapour et des pays de la région Mena et l’ouverture de nouvelles antennes de Maroc Export (Centre Marocain de Promotion des Exportations) sur les grands marchés straté-giques pour “être plus proche de la clientèle”.Ce plan d’action vise aussi la restructuration et le renforce-ment des organismes en charge de la promotion et de la com-mercialisation (Office de Com-mercialisation et d’Exportation +OCE+ et Etablissement au-tonome de contrô le et de co-ordination des exportations +EACCE+) des produits ag-ricoles et agroalimentaires, la normalisation, la labellisation et la certification des produits. Pour accompagner cette stra-tégie et faire face aux effets de la crise mondiale, le gouverne-ment a mis en place un fonds de promotion des exportations de 250 millions de dirhams pour l’année 2009, et une autre enveloppe du même montant

entre le Royaume du Maroc et le Royaume des Pays-Bas.Est éligible à ce programme toute entreprise vérifiant les critères suivants :

• Enregistrée en tant qu’entreprise de droit maro-cain,• Etre de petite ou de moyenne taille (plus de 10 employés), • Existante depuis plus de deux années civiles à la date de la candidature, • Disposer d’une bonne santé financière,• Avoir réalisé un Chif-fre d’Affaires minimum de 2.500.000 dhs lors de l’exercice 2008.Les dates limites de candida-tures pour l’année 2009 sont le 15 Mai et le 15 Octobre.Les formulaires de candida-ture ainsi qu’un complément d’informations sont disponible en contactant par email la division économique de l’Ambassade du Royaume des Pays-Bas à Rabat ([email protected] ) ou le départe-ment des affaires économiques au Consulat Général à Casa-blanca ([email protected] ).

Links. ConférenceDans le cadre des festivités organisées à l’occasion du 60e anniversaire de la Fac-ulté des Sciences Juridiques, Économiques et Sociales – Casablanca - le Centre de Re-cherches LINKS organise, le

ÇA NOUS INTÉRESSE


“Algorithmes et bioinforma-tique”, “Architecture des or-dinateurs et Systèmes temps réel”, “Systèmes d’information géographique et systèmes satel-litaires de navigation” et “In-génierie des logiciels”, figurent parmi les thèmes qui seront abordés.Outre la présentation des travaux de recherche, le pro-gramme prévoit des conférenc-es, des workshops ainsi qu’une table ronde.La première édition de

l’AICCSA a été initiée au Li-ban en 2001. Par la suite, elle a été organisée successivement en Tunisie en 2003, en Egypte (2005), aux Emirats Arabes Unis (2006), en Jordanie (2007) et l’année dernière au Qatar.

Naissance d’un “Forum del’innovation et des savoirs” “ Un groupe d’universitaires, de chercheurs, d’experts, de gestionnaires d’institutions publiques, d’artistes, de jour-nalistes et de critiques ont procédé, les 25 et 26 mai 2009, à El Jadida, à la créa-tion d’un forum de réflexion et d’échanges, baptisé “Fo-rum de l’innovation et des savoirs” (FOIS). Les membres du forum, connus aux niveaux national et international, pour leurs compétences dans divers champs de la connaissance et de la création, ont adopté lors

Jeudi 7 Mai 2009 à 15h00 à la salle de Conférences du Centre de Recherches Links, à la Fac-ulté des Sciences Juridiques, Économiques et Sociales - Université Hassan II, Km 8 Route d’El Jadida, une con-férence-débat sur le thème « L’économie marocaine dans le nouveau contexte économique mondiale : Quelles perspectives ? ». Cette rencontre sera ani-mée par M. Zouhair CHORFI, Directeur du Trésor.

Conférence des systèmes informatiques La septième édition de la con-férence internationale des sys-tèmes informatiques et applica-tions (AICCSA) sera organisée à Rabat, du 10 au 13 mai 2009. Cette manifestation scienti-fique, qui se tiendra pour la première au Maroc, est organi-sée par l’Ecole Mohammadia d’Ingénieurs (EMI), les Sociétés savantes ACS (Arab Computer Society) et l’IEEE Computer Society (Institute of Electri-cal and Electronics Engineers Computer Society).Vette conférence, qui réunira plus de 150 chercheurs et ex-perts de divers pays, constitue une plate-forme de rencontre et d’échange d’informations entre les chercheurs universi-taires, les industriels et les pro-fessionnels dans le domaine de l’informatique.

de l’assemblée constitutive une plate-forme fondatrice définissant leurs objectifs et leurs ambitions. Le Forum, ambitionne d’assumer, en tant qu’”espace intellectuel multidisciplinaire et indépen-dant”, un rô le de “veille stratégique” dans différents domaines des savoirs et des expressions qui mettent en jeu des défis d’avenir pour la société marocaine dans ses différentes composantes.Evoquant les objectifs cette plate-forme multidisciplinaire, les membres fondateurs du “FOIS” soulignent que la motivation centrale de ce Fo-rum est d’oeuvrer à la pro-motion “de nouvelles et in-novantes approches d’analyse et d’action face aux diverses et mouvantes réalités du Ma-roc d’aujourd’hui et à l’aune de l’irréversible marche des sociétés modernes vers une économie du savoir et de l’intelligence qui soit soutenue et nourrie par le cadre de l’Etat de droit et par le choix de la démocratie”. Ce forum est un “espace ouvert à toute compétence partageant cet horizon de réflexion et de pro-duction intellectuelles souci-euses d’éclairer et d’anticiper le Maroc de demain, à long terme”.Les membres fondateurs du “FOIS” tablent, de manière particulière, “sur l’apport de la jeunesse, dépositaire de l’avenir, et sur les innom-brables opportunités de com-munication qu’offrent de nos jours, à toutes les sociétés éprises de progrès, les tech-nologies modernes et leurs outils”. Parmi les fondateurs de ce forum, figurent notam-ment Mme Zohra Mezgueldi et MM. Abderrahman Tenk-oul, Ahmed Akhchichine, Has-san Boukentar, Moubarak Ra-bie, Larbi Abaakil, Moulime Laaroussi, Jamal Eddine Naji et Mohammed Maazouz.


Tout en considérant que cette crise risque de s’installer dans

la durée, M. Abouyoub a plaidé pour une action con-certée et cohérente au sein de la communauté interna-tionale pour y apporter des réponses, appelant les puis-sances économiques mon-diales à remédier correcte-ment à tous les errements, les dysfonctionnements et autres incohérences du sys-tème financier mondial.

Pour une intelligence économique

M. Abouyoub a aussi plai-dé pour une intelligence économique, le partage des informations entre les Etats et les communautés, la ré-gulation des marchés finan-

ciers et aussi la t r a n s p a r e n c e et la transcen-dance de toutes les formes de d i v e r g e n c e d ’ i n t é r ê t s , p r é c o n i s a n t l’adoption et l ’ i n s t a u r a t i o n d’une véritable g o u v e r n a n c e mondiale. Concernant le Maroc, il a es-timé qu’il s’agit

d’ores et déjà de préparer l’après crise car, selon lui, ce qui compte le plus c’est la sortie de crise et non pas sa gestion.Et d’inciter les entreprises

à s’engager réellement dans le processus de dépasse-ment de cette crise, à tisser des solidarités entre elles et surtout à devenir de vérita-bles «champions nationaux» pour pouvoir conquérir les marchés internationaux et booster l’économie nation-ale.Il a aussi insisté sur la né-cessité d’instituer une véri-table transparence dans les marchés publics et de lut-ter contre toutes les formes de corruption, incitant les opérateurs nationaux à ne pas céder au catastrophisme face à cette crise qui peut être bénéfique pour l’avenir de l’économie nationale et mondiale.

FOCUS

M. Hassan Abouyoub, ambassadeur itinérant du Royaume du Maroc a animé, le 28 avril 2009 à la CGEM, une conférence sur “la crise financière mondiale et son im-pact sur le Maroc : Quel rôle pour les associations professionnelles ?’’, organisée par Programme d’appui aux associations professionnelles (PAAP). M. Abouyoub a estimé que le Maroc affiche plus que d’autres pays une résistance face à la crise fi-nancière internationale par le fait que le principal moteur de l’économie nationale reste l’investissement public.

PAAP. Débat sur la crise financière mondiale et son impact sur le Maroc



DOSSIER

BANQUE MONDIALE. Comment juguler le ralentissement du commerce internationalLe moteur du commerce mondial a du mal à tourner. Les exportations sont en chute, les entreprises licencient, voire ferment pour certaines... Les rouages sont grippés. Des Philippines au Pérou, les entreprises qui souhaitent exporter du textile, du fer ou encore des asperges ont des difficultés à obtenir des crédits auprès des banques pour pouvoir continuer à mener à bien leurs activités et expédier leurs marchandises.

Apporter des solutions à ce problème constituait l’un des enjeux majeurs du sommet du G-20, qui s’est tenu

dernièrement à Londres. Aujourd’hui, les dirigeants ont annoncé qu’au moins 250 milliards de dollars seront débloqués au cours des deux prochaines an-nées en faveur du financement des échang-es commerciaux, sous forme de crédits à l’exportation ainsi que par le biais des agenc-es d’investissement et des banques multila-térales de développement. Le Groupe de la Banque mondiale et plusieurs de ses parte-naires vont unir leurs efforts dans le cadre du nouveau Programme de liquidité pour le commerce mondial (GTLP), qui pourrait fi-nancer les échanges commerciaux à hauteur de 50 milliards de dollars. «Nous saluons le haut niveau de coopéra-tion entre les institutions du secteur public et privé, qui nous permet de lancer le Pro-

gramme de liquidité pour le commerce mon-dial en faveur des pays en développement», a déclaré Robert B. Zoellick, président de la Banque mondiale.Le commerce risque d’enregistrer son recul le plus significatif depuis 80 ansLes nouvelles prévisions de la Banque mon-diale brossent un tableau sombre pour 2009 et anticipent un faible redressement en 2010. D’après les Perspectives économiques mon-diales 2009, la croissance du PIB des pays en développement ralentira de 5,8 % par rap-port à 2008, pour s’établir à 2,1 % cette an-née. Dans son ensemble, la croissance mondi-ale devrait se contracter à 1,7 % – le premier déclin de la production mondiale enregistré depuis la Deuxième Guerre mondiale. La Banque mondiale prévoit désormais pour 2009 un tassement de 6,1 % du volume des échanges de biens et de services au niveau

mondial. En rai-son de la chute des prix des mat-ières premières, la valeur des échanges inter-nationaux va ac-cuser une baisse encore plus mar-quée. «Les statis-tiques du com-merce extérieur sont en chute libre, en par-ticulier pour les pays et les entre-prises spécialisés dans les produits m a n u f a c t u r é s , l’électronique et le textile», af-firme Bernard


Hoekman, directeur du Département du commerce international de la Banque mon-diale. Plus de six mois après le début de la crise, la baisse de la demande mondiale de biens et de services a entraîné une réduction des flux commerciaux de plus de 1,5 billions de dollars. Ce chiffre est en partie imputable à l’augmentation des coûts et à la moindre disponibilité des crédits commerciaux. « Il est clair que la pénurie de financement est un véritable handicap pour les exportateurs dans un certains nombre de pays qui, aujourd’hui, ne bénéficient plus du même accès aux res-sources financières ».

Il est facile de «fermer les vannes» du financement commercialLe commerce international a commencé à s’essouffler en septembre dernier, quand cer-tains acteurs majeurs du financement (Leh-man Brothers, Wachovia) ont disparu dans le sillage de la crise. Ceux qui ont survécu devaient reconstituer leur capital. « Il est fac-ile de fermer les vannes du financement com-mercial, qui a tendance à se faire sur le court terme – 180 jours en moyenne. Ainsi, si vous essayez de préserver votre capital et que vous avez besoin de reconstituer vos fonds pro-

pres, cet argent peut rentrer assez facilement », explique M. Hoekman. James Bond, de l’Agence multilatérale de garantie des inves-tissements (MIGA), filiale de la Banque mon-diale qui assure les investissements contre les risques politiques dans les pays en dével-oppement, a vu la confiance des investisseurs et des institutions s’effriter fin septembre. « Le financement des échanges commerciaux a tout pour rebuter : des marges faibles, une rétractation facile. L’exportateur rembourse la banque lors de l’expédition des march-andises. La banque ne renouvelle pas son crédit. Il s’agit d’un mécanisme très simple », affirme M. Bond.

«La pénurie de crédit a un impact considérable»Dans l’économie réelle, les producteurs, les exportateurs et les expéditeurs ont subi les ef-fets de ce soudain ralentissement économique. Un index mesurant les coûts de transport à l’échelle internationale a affiché une baisse supérieure à 90 % au cours du deuxième se-mestre 2008. D’après les entretiens réalisés et les données recueillies par les Départements du commerce international de la Banque mondiale et de la Société financière interna-


DOSSIER

tionale (IFC), les exportateurs ont des diffi-cultés à couvrir leurs frais d’expéditions, en particulier à l’heure où les clients cherchent à acheter moins cher et mettent plus de temps à régler leurs factures. Dans le même temps, les banques internationales se replient vers leurs sièges dans des villes comme New York, Londres et Madrid. Elles coupent les lignes de crédit qui assuraient les fonds de roule-ment et contraignent même certaines grosses entreprises à laisser leurs clients le bec dans l’eau. «La pénurie de crédit a un impact considérable», déclare German Vegarra, responsable des marchés financiers interna-tionaux à l’IFC. « Par exemple, la réduction des lignes de crédit destinées aux activités de pré-exportation des exportateurs éligibles se traduit par une insuffisance des fonds de roulement, et donc par l’impossibilité pour l’entreprise de continuer à fonctionner. Elle ne peut pas payer ses employés, ses fournis-seurs ou ses factures d’électricité. Nous som-mes pris dans un cercle vicieux. Les banques ont été amenées à réduire les crédits accor-dés, ce qui a produit un effet boule de neige ». «Aujourd’hui, aucun pays n’est épargné.

En Amérique latine, le Brésil a été le premier pays touché. L’Europe de l’Est est sévère-ment affectée. À présent, le problème s’étend progressivement à d’autres régions, voire à certains pays que nous pensions pourtant solides. Les marchés estimaient que l’Afrique était isolée, mais on voit désormais que la crise s’y propage de façon spectaculaire», ajoute M. Vegarra.

Mise en place du GTLP pour rétablir la confianceLe Programme de liquidité pour le commerce mondial (Global Trade Liquidity Program, GTLP) constitue un effort coordonné sans précédent de la part des institutions finan-cières internationales et des gouvernements. Il permettra de mobiliser cinq milliards de dollars par le biais de huit ou dix banques internationales ou régionales, avec pour ob-jectif de soutenir les échanges commerciaux à hauteur de 50 milliards de dollars sur trois ans. «Nous fixons à trois ans la durée de vie maximale du programme, l’expérience nous ayant démontré que les crédits commerciaux constituaient la première classe d’actifs à être


affectée en cas de ralentissement des activi-tés, mais également la première à connaître une amélioration lors du redressement de l’économie. Nous voulons nous assurer de pou-voir mettre en place des mesures rapidement, une fois que le soutien du GTLP ne sera plus nécessaire», explique M. Vegarra. Le GTLP et des banques internationales et régionales partageront les risques d’un pool de créanc-es d’exploitation récemment générées. Le fi-nancement sera assuré à 40 % par le GTLP et à 60 % par les banques. Le Programme per-mettra aux banques d’octroyer des prêts plus importants en faveur des échanges commer-ciaux des marchés émergents. Chaque banque signera un accord de facilité de financement avec les partenaires du programme. L’IFC, en tant que représentant des partenaires du pro-gramme, suivra l’ensemble des transactions. «Nous demandons aux banques de prendre grand soin de notre argent. Nous disposons de critères et de filtres nous permettant de ga-rantir que les fonds seront bien alloués aux activités commerciales des marchés émergents et qu’ils seront utilisés efficacement», soutient M. Vegarra. Les deux premières banques partenaires du programme seront la Standard Chartered Bank et la Standard Bank (Afrique du Sud). Par le biais du programme, elles bé-néficieront de lignes de crédit qui leur per-mettront d’intensifier considérablement le flux des financements commerciaux en faveur des banques des marchés émergents. La Stan-dard Chartered Bank recevra une ligne ini-tiale d’un montant de 500 millions de dollars, et la Standard Bank de 400 millions. Par ail-leurs, l’IFC a étendu en décembre son Plan de financement du commerce mondial de un à trois milliards de dollars, afin d’accroître l’aide apportée aux petites banques privées et entreprises. La Banque mondiale mettra également en place un Mécanisme pour la facilitation du commerce. Ce fonds fiduci-aire multidonateurs de 40 millions de dol-lars financera des mesures visant à améliorer l’infrastructure, la logistique du transport et les procédures douanières dans les pays en développement. «Les institutions financières de développement déploient des efforts de co-ordination sans précédent. Je pense que notre action commune permettra d’envoyer un sig-nal fort», estime M. Vegarra.

SOURCE BANQUE MONDIALE

Les actions menées par la Banque mondiale en faveur du commerce

• Contribution à hauteur d’un milliard de dollars en tant que partenaire du Programme de liquidité pour le commerce mondial. Cette initiative internationale coordonnée, à laquelle participent des gouvernements, des institutions financières de développement et des banques du secteur privé, devrait soute-nir les échanges commerciaux sur les mar-chés en développement à hauteur de 50 mil-liards de dollars, pour une période de trois ans. L’IFC agira en tant que représentant des partenaires du programme et jouera un rôle essentiel dans la mobilisation des fonds desti-nés à financer le commerce.

• Soutien des activités commerciales sur les marchés émergents grâce au Plan de finance-ment du commerce mondial, mis sur pied par l’IFC. Ce mécanisme, dont les ressources sont passées de un à trois milliards de dollars en décembre dernier, apporte une aide aux petites banques privées et entreprises.

• Soutien apporté aux pays en développement pour améliorer la compétitivité et réduire le coût des échanges, par le biais du Mécanisme pour la facilitation du commerce. Ce fonds fiduciaire multidonateurs de 40 millions de dollars financera des mesures visant à amé-liorer l’infrastructure, la logistique du trans-port et les procédures douanières dans les pays en développement

• Augmentation des prêts commerciaux con-sentis par la Banque mondiale, qui s’élèveront à 3,6 milliards de dollars pour l’exercice budgétaire 2009, contre 1,4 milliard de dol-lars pour l’exercice 2008 (entre juillet 2007 et juillet 2008). Ces crédits financeront l’infrastructure commerciale, l’intégration régionale, le développement des exporta-tions et la facilitation de la compétitivité et des échanges commerciaux.

• Suivi des frais d’expéditions et autres coûts dans les pays en développement, grâce à l’indice de performance logistique (LPI)de la Banque mondiale et aux recherches sur la fa-cilitation du transit routier.


Le Premier Ministre Sao-Toméen reçu à la CGEM

M. Moulay Hafid Ela-lamy, président de la CGEM, a reçu, le 28

avril au siège de la confédéra-tion, M. Joaquim Rafael Bran-co, Premier Ministre, Chef du Gouvernement de la Répub-lique de Sao Tomé et Principe lors de sa visite de travail au Maroc, accompagné de M. DA Graca Andrade, Ministre du Commerce de l’Industrie et du Tourisme, Mme Ferreira Araujo, Ministre du Travail, de la Solidarité et de la Famille, Mme Melo, Ambassadeur de la République de Sao Tomé et Principe au Maroc et M. Olivei-ra Afonso, Cadre à la Direction de la Coopération au Ministère des Affaires Etrangères et des Communautés. Du côté de la CGEM, M. Elalamy était ac-compagné de M. Omar Ak-kouri, président de la Fédéra-tion de la Pêche Maritime et de l’Aquaculture, M. Said Alj, président du Conseil d’Affaires Maroco-Mauritanien, M. Has-san Sentissi, président de la Fédération Nationale des In-dustries de Transformation et

de Valorisation des Produits de la Pêche (FENIP), M. Mou-lay Abdellah Alaoui, président de la Fédération de l’Energie, M. Ali Ghannam, président de la Fédération Nationale des Industries Hôtelières et vice-président général de la Fédéra-tion Nationale du Tourisme, et M. Abdelhakim Marrakchi, président de la Fédération Na-tionale de l’Agro-alimentaire. Lors de cette rencontre, chacun des présidents a présenté une

vue d’ensemble sur les secteurs qu’il représente. Ces secteurs sont, en effet, les plus impor-tants pour le développement de l’économie santoméenne. Sao-Tomé-Et-Principe est Etat de l’Afrique occidentale, situé à environ 300 km au large de la côte atlantique dans le golfe de Guinée, face au Gabon et à la Guinée équatoriale et formé de deux îles principales, Sao-Tomé (855 km²) et Principe (306 km²). Le Premier Ministre Sao-Toméen, M. BRANCO a présenté les projets et chantiers en cours à Sao-Tomé-Et-Princ-ipe, qui consiste notamment en le réaménagement du port et la modernisation de l’aéroport. En effet, le pays souffre énor-mément des problèmes liés à l’infrastructure et au transport, mais reste, toutefois, très opti-miste se fixant comme objec-tif la transformation du pays en plateforme de services. L’énergie représente égale-ment un secteur très important puisque le pays dispose d’un potentiel hydraulique consid-érable.

I N T E R N AT I O N A L


CHIMIEXPO Le premier Salon International d’Afrique du Nord pour l’Industrie chimique et para-chimique aura lieu,

du 2 au 5 juin 2009 à la Foire Internationale de Casablanca. Le sect-eur de la chimie et de la parachimie des pays d’Afrique du Nord con-naît un niveau de crois-sance inédit. Grâce à une puissante relance économique dans tous les pays d’Afrique du Nord, et des revenus pétroliers et gaziers durablement élevés, notamment en Algérie, en Libye, au Maroc et en Égypte, le revenu disponible des popula-tions croissantes est ori-enté à la hausse.

POLLUTEC MAROCLe 1er Salon international des équipements, des

technologies et des services de l’environnement aura lieu du 21 au 24 Octobre 2009 à la Foire internationale de Casablanca.

POLLUTEC MAROC constitue le Rendez-vous des acteurs de l’Environnement et sera le premier salon pro-fessionnel dédié aux enjeux et défis environnementaux au Maroc. 150 exposants présenteront une offre diversifiée et inter-nationale adaptée aux besoins du pays dans les domaines de l’Eau, des Déchets, du Recyclage, de l’Air, des Energies et des Sites et sols.5 000 visiteurs professionnels issus des industries (textile, cuir, métaux, plastique, phosphates, chimie, etc.) - entre-prises publiques et privées -, collectivités locales (régions, communes), administrations, universités et recherche & développement sont attendus pour l’événement.

SICCAM 2009Le Salon International des Centres de Contacts et

d’Appels au Maroc, tiendra sa 6ème édition le Mardi 12 et Mercredi 13 Mai 2009 à Casablanca. 60 expos-ants et partenaires, plus de 1000 visiteurs professionnels d’une dizaine de pays viendront débattre et construire des partenariats inter - méditerranéens.Cette année le SICCAM fêtera les 10 ans de la création du secteur des centres d’appels, qui emploi désormais plus de vingt cinq mille personnes, et compte pas moins de 250 entreprises spécialisées (centres d’appels, fournisseurs à titre principal dans les domaines des télécoms, informatique, logiciels, formation, conseil, immobilier…).

Expo Maintenance 2009La première édition du Salon international de la

maintenance et sécurité industrielle, “Expo Mainte-nance’’, se tiendra du 27 au 30 mai 2009 à Casablanca, sous le signe “Maintenance et maîtrise des risques indus-triels’’ avec la participation d’exposants venus des quatre coins du monde. Ce rendez-vous professionnel, organisé par l’association marocaine pour le développement de la maintenance (AMDM) ambitionne de contribuer à structurer l’offre de la maintenance et sécurité industrielle dans un contexte de développement de l’extermination, de promouvoir les métiers liés à la maintenance, tout en sensibilisant les opérateurs économiques à l’importance de la prévention des risques industriels et de réunir les professionnels autour d’un projet fédérateur. ‘’Expo main-tenance 2009’’ permettra à quelque deux-cent exposants, dont une centaine représentant 10 pays étrangers, d’offrir un large éventail d’opportunités à travers la compétitivité et la flexibilité via l’externalisation et la mise à niveau de l’entreprise. Ce salon porte sur la disponibilité des équipe-ments notamment la maîtrise des procédés et technologies correspondantes qui sont devenus une nécessité incon-tournable pour faire face à la compétitivité internationale, ainsi que sur les équipements et installations industriels. Le salon, étalé sur une superficie de 3.000 m2, sera marqué par la participation des représentants de plusieurs organ-ismes parmi lesquels l’OCP, l’ONCF, l’ONE, la SAMIR ainsi que d’associations professionnelles oeuvrant dans le secteur.

F O I R E S & SALONSO


MISE EN RELATION

Mater Footwear Co. Ltd.Adresse Firuzkoy Cad No:44 Avcilar – ISTANBULTel +90 212 428 25 20Fax +90 212 428 26 40E-mail [email protected] web www.mater.com.trObjet de la demande Importateurs de chaussures et de pantoufles

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Personne à contacter Hasan ASLANE-mail [email protected] de la demande Importateurs de textile

Yunus Tekstil Urunleri San. ve Tic. Ltd.Personne à contacter Tarik BILGINAdresse Terazidere Mah. Ciftehavuzlar Cd. Feza Sk. No:12 Bayrampasa / ISTANBULTel +90 212 674 48 76 / 567 30 96 / 567 09 20Fax +90 212 613 08 59E-mail [email protected] web www.yunustekstil.comObjet de la demande Sociétés marocaines de textile et accessoires de textile

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Atakan Celik KapiPersonne à contacter Eray AKBASE-mail [email protected] de la demande Importateurs de portes en acier et de meubles

MISE EN RELATION

Documents

CGEM Infos N°2683 du 22 Juin 2009