CHLOROVILLEMagazine d’information de la ville de Meudon

Mars 2013N°103

meudon.fr

Filles, garçons,parlons-en!

BUDGETLa Ville maintient sescomptes dans le vert

VAL FLEURYDialoguer avant d’aménager le quartier

RENCONTRELe cuisinier étoilé Eric Lecerf nous invite à sa table

103 MARS 13_Mise en page 1 15/02/13 10:43 Page1

ÉDITO 02/03CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

SOMMAIRE

Hervé MARSEILLESénateur-Maire de Meudon

Le 8 mars prochain, la journée internationalede la femme nous rappelle de tristes et terribles statistiques car elle fait écho à la journée du 25 novembre consacrée à l’élimination de la violence à l’égard desfemmes : en France, une femme meurt tous

les trois jours sous les coups de son conjoint. De plus,neuf femmes sur dix ne portent pas plainte quand ellessont victimes de tels faits. Rappelons que ces violencestouchent tous les milieux et qu’elles sont tues au seinmême du cercle familial… Cette année, les Nations Uniesont placé ce thème de lutte contre les violences faites aux femmes dans le cadre de cette journée de mobilisation. Pour alerter sur les violences intrafamiliales, il est utilede rappeler que la Ville de Meudon se mobilise. En effet,dans le cadre de sa stratégie territoriale, le contrat localde sécurité et de prévention de la délinquance comporte une action sur la prévention des violences intrafamiliales dont les travaux sont principalementaxés sur les violences faites aux femmes. Il réunit despartenaires tels que l'ADAVIP 92 (association spéciali-sée dans l'aide aux victimes et qui a une permanenceau centre social Millandy) et le centre Flora Tristan, associations soutenues par le Conseil général dans le cadre du dispositif FVV 92 (femmes victimes de violences 92).

Pour mieux prévenir les comportements discrimi-nants, voire violents à l’égard des femmes, il s’agitégalement d’informer bien en amont et de sensibili-ser le public dès le plus jeune âge à une éducationégalitaire. Ainsi dans le cadre de cette journée de lafemme, le CLPSD en partenariat avec le service jeunesse, le centre social Millandy et les média-thèques, organise du 26 février au 9 mars l'opéra-tion « Filles-garçons, parlons-en ! » qui réunit desexpositions, des rencontres musicales ou encore des animations, afin d’apporter un éclairage sur le nécessaire respect de la singularité de chacun.

L

05 12 17 22 26 30

4 Arrêts sur image

6 Ils font l’actualité

7 Actualité

8 Vie municipale

9 SocialViolences conjugales, osez en parler

10 Finances publiquesUn budget stable pour la Ville

12 AménagementDe nouvelles perspectives pourVal Fleury

14 Grand Paris Seine Ouest

17 CultureL’art contemporain entre par Effr’actions à Rodin

18 DossierJeunes et Meudonnais, une équation qui marche

25 Associations

26 Rencontreavec Éric Lecerf

28 Entreprendre

30 Sports

32 Tribunes

34 Pratique

34 Carnet

Femme à l’honneur

ARRÊT SUR IMAGE

Richard Anconinaet ses stars à MeudonSéance cinéma et séquencenostalgie au Centre d’art et de culture. Stars 80 étaitprésenté, le 14décembre. Tête d’affiche avec PatrickTimsit, l’acteur RichardAnconina était présent et s’estplié avec un plaisir visible au jeu des questions réponses à la fin de la projection.

Escapade photographiqueDe l’Abyssinie à l’Ethiopie, l’exposition présentée au Centre d’art et de culture du 8 au 31 janvier, a étonné, ému, et surtout beaucoup fait parler.Invitation photographique à l’évasion, l’exposition des infatigables globe-trotters Françoise et Jean-Luc Ziegler. Une réussite, en somme.

Bienvenue à vousMeudonnais depuis peu, et heureux de l’être! Les nouveauxarrivants étaient nombreux à la matinée de bienvenueorganisée par le Sénateur-Maire, Hervé Marseille, samedi 26 janvier au Centre d’art et de culture. Sur place, ils ont pu rencontrer les élus et découvrir l’éventail des activitésassociatives et municipales à leur disposition à Meudon.

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04/05CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

60 ans d’amitié franco-allemande

La France et l’Allemagne fêtaient le 22 janvier les cinquanteans du Traité de l’Elysée. Mais il ne faut pas oublier queMeudon est la première ville de France à avoir signé un serment de jumelage avec sa cousine d’Outre-Rhin, Celle,en 1953. Dirigé par David Zambon, le concert de l'orchestredu Grand Dauphin, donné mardi 22 janvier au Centre d’artet de culture, avec les voix du Chœur de Meudon et de la soliste Sylvie Vucic, l’a bien rappelé. Hervé Marseille ad’ailleurs profité de la visite de son homologue allemandDirk-Ulrich Mende pour renouveler le serment pour les dix années à venir. l

ILS FONT L’ACTUALITÉ

Un nouveau commissaire à MeudonYannette Bois est nommée à la têtedu commissariat de Meudon. À 32 ans, la nouvelle commissaireconnaît sa troisième affectation.Après l’École nationale supérieurede la police, elle a été commissairecentrale adjointe à Palaiseau en2009, avant de prendre les rênes de la circonscription de Longjumeau l’année suivante.

Police

Saint-Jo fête ses 150 ansL'école Saint-Joseph de Bellevuesouffle cette année ses 150 bougies. Un évènement rassemblera tous les amis de Saint-Jo le samedi 5 octobre 2013. Rendez-vous sur le sitewww.saintjoseph-meudonbellevue.orgpour découvrir les détails de cette journée festive, retrouver les membres de lacommunauté de Saint-Jo, et raconter vos meilleurs souvenirs.

Copains d’avant

Cinq lycéens prennent le largees Meudonnais qui prennent lamer… Omer, Arnaud, Alix, Blaiseet Malo sont loin d’être des ma-

rins d’eau douce. Étudiants en première Set ES au lycée Rabelais, ils pratiquent la voile depuis plusieurs années. C’estdonc avec un certain capital confianceque Blaise, le skipper, les a inscrits au 24e Trophée des lycées, qui brisera lesvagues lorientaises du 18 au 20 mai.Seulement, cette régate n’est pas unebanale course de bateaux. L’équipagedoit trouver des financements afin decouvrir ses dépenses. Nos représen-tants recherchent donc des fonds, enéchange de quoi, ils s’engagent à s’habiller, ainsi que leur bateau, aux couleurs de leurs sponsors. La coursecommence maintenant! lteam.rabelais@gmail.com06 31 24 37 46

D

La promotion du 1er janvier dansl’ordre de la Légion d’honneurcompte trois Meudonnais, tous nommés chevaliers.

• Florence Foullon, médecincoordonnatrice nationale de la médecine de prévention.

• Maureen Mazar, directricerégionale adjointe de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale, de Haute-Normandie.

• Claude Dulamon, sous-préfète d'Avranches, dansle département de la Manche.

Meudonnais à l’honneurPermis B comme bénévolatIls vont donner un peu de leur personne,mais ils passeront leur permis deconduire à moindres frais. C’est lecontrat passé depuis 2009 entre la Villeet les jeunes bénéficiaires de la «bourse au permis ». Le principe est simple: enéchange de quelques heures de béné-volat, la Ville leur octroie une aide financière dans le but de décrocher leprécieux sésame. Quand on connaît le prix des cours aujourd’hui, un coup de pouce n’est jamais de trop. Les 15 jeunes promus de l’édition 2013 l’ontbien compris! l

Omer, Arnaud, Alix, Blaise et Malo pratiquent la voile depuis plusieurs années.

ACTUALITÉ 06/07CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

Porter plainte en ligne

Green Office: promessetenueous venez d’être cambriolé? Votre véhicule a été volé? Vous êtes la

victime d’une escroquerie ou d’un abus de confiance? Vous pouvez déposer une pré plainte en ligne. Cette démarche n’exclut pas l’appel au

17 pour les constatations techniques nécessaires à l’enquête et à la recherche du ou des auteur(s) des faits. Une fois la déclaration adressée, un officier de police judiciaire prendra contact avec vous, sous 24heures, pour fixer un rendez-vous et ainsi finaliser votre déclaration. Ce rendez-vous doit impérativementavoir lieu sous 30 jours. La pré plainte en ligne se généralise progressivement.Elle a été limitée volontairement aux vols dits «simples», lorsque la victime n’a pas été confrontée directement à l’auteur et n’a pas été victime de violence.Ce système tend à accélérer la gestion des dossiers de vols et à réduire les délais d’attente auxquels les victimes sont souvent confrontées. lpre-plainte-en-ligne.gouv.fr

CondamnationFaux aide-mémoireEn décembre, le Tribunal degrande instance de Paris ainterdit à la société EURL Galloisde distribuer des tractspublicitaires dans vos boîtes auxlettres avec le blason de la Ville,des numéros de téléphone de services municipaux et surtout un service de dépannagelaissant supposer qu'il est recommandé par la Ville.Des aide-mémoire sontrégulièrement distribués avec lenom de la Ville, du bleu, du blancet du rouge ou avec encore laMarianne ou le blason de la Ville,leur donnant l’aspect d’undocument officiel. C'est faux:aucune entreprise privée n'estrecommandée par la Ville pourdes interventions de plomberie,

de serrurerie ou toutes autresurgences, sauf par courrierofficiel et ciblé.En cas de doute, appelez lamairie ou la police municipale 01 41 14 80 01/01 46 26 03 05

MineursL’autorisation de sortie de territoire est suppriméeDepuis le 1er janvier, les mineursn’ont plus besoin d’uneautorisation de sortie deterritoire individuelle ou collective pour leurs voyages endehors de l’hexagone. Ils peuvent franchir les frontièresavec une carte d’identité en cours de validité dans l’espace Schengen et/ou unpasseport valide pour toutes autres destinations.

En bref

Après une année d’occupation, l’immeuble Green Office occupé parStéria, a produit plus d’énergie àpartir de sources renouvelables,qu’il n’en a consommée, concréti-sant ainsi ses dix ans d’avance par rapport à la ré�glementation ther-mique 2020. La différence entre laproduction d’énergie et la consom-mation a ainsi atteint 9 %, contre 3 % initialement prévus. l

V

Meudon, au fil de la ville

ieu de vie, mosaïque de quar-tiers, points de vue et pers-pectives… Meudon, qui séduit

les artistes et stimule les architectes,excite aussi le regard des photo-graphes. Organisé comme une balade, ce nouveau recueil photo-graphique, publié par la Ville, porteun regard à la fois étonnant et fami-lier sur Meudon. Le format généreuxde l'ouvrage met en valeur lesimages, présentées avec une miseen page moderne, aérée et beau-coup de doubles pages magnifiques.

Au fil des 140 pages, se dresse unportrait de l'art de vivre à Meudon.À feuilleter et à commander surMeudon.fr (15 € + frais de port). l

L3130

La Duchesse de Galliera, femme de cœur à Meudon,

y a fondé l’orphelinat Saint-Philippe, qu’elle voulait

comme un palais pour «assurer perpétuellement

à 300 orphelins un asile, une éducation chrétienne

et la connaissance d’un métier»

2928

Les parcs et jardins sont autant

d’invitations à la détente et à la découverte

de la flore locale.

VIE MUNICIPALE

haque début d’année est marquépar l’adoption des taux d’imposi-tion locale (habitation, foncierbâti et foncier non bâti) et dubudget de la Ville. Pour la on-

zième année consécutive, la part communalen’augmentera pas malgré la baisse des recettes etl’augmentation des dépenses. La contribution desMeudonnais au budget municipal représentera26,5 millions d’euros, soit près de 40% du bud-get global. L’élaboration du budget est chaqueannée plus difficile en raison de la baisse desdotations de l’Etat et des droits de mutation,des péréquations, des prix de l’énergie, de lamasse salariale… Le choix de la Ville est depoursuivre ses efforts de désendettement,d’autofinancement grâce aux excédents bud-gétaires et de rationalisation des dépenses touten maintenant son niveau de service à la po-pulation et en augmentant ses subventions auxassociations, au CCAS… (lire aussi À budget

constant, pages 10-11).

VIDÉOPROTECTION RENFORCÉEMis en place en 2011, le dispositif de vidéoprotec-tion compte treize caméras. En 2013, cinq camé-ras supplémentaires compléteront le maillage :

une à proximité de la gare SNCF de Meudon,une près de la cité scolaire Rabelais et trois àMeudon-la-Forêt. Ce dispositif est avant toutune aide à la résolution d’actes de délin-quance et a un double effet sur le nombre defaits constatés (-7,8% en 2011) et sur le senti-ment d’insécurité en net recul.

RAPPORTS D’ACTIVITÉSAu cours de cette séance, il a été proposé auxélus de prendre acte de plusieurs rapportsd’activité, celui de Grand Paris Seine Ouest,des syndicats des eaux (SEDIF), du gaz et del’électricité (SIGEIF) et du cimetière des Ulis(SICOMU). Quelques chiffres repères ressor-tent de ces rapports tels que les 7222 tonnesd’encombrants et les 125 026 tonnes de dé-chets collectées par Grand Paris Seine Ouesten 2011, les 80 kms du réseau de gaz dans lesous-sol meudonnais et les 229 kms du réseauélectrique.

LE PACTE FINANCIER ET FISCAL DE GPSOCe pacte redéfinit les relations financièresentre la communauté d’agglomération et lescommunes, notamment les répartitions de ladotation de solidarité communautaire et dufonds de péréquation des ressources inter-communales et communales. Ces mécanismesfiscaux permettent aussi à GPSO de maintenirses capacités à faire face à ses obligations et son potentiel d’autofinancement (lire aussiA budget constant, pages 10-11). LR l

Objectif budgetPremière séance de l’année 2013, le conseil du 14 février a adopté les taux d’imposition et le budgetde la Ville avant de se prononcer, entre autres délibérations, pour l’adhésion de Vélizy-Villacoublayet de Marnes-la-Coquette à Grand Paris Seine Ouest.

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Le maillage de la vidéoprotection serarenforcé en 2013 avec 5 nouvellescaméras, soit 18 sur l’ensemble de la Ville.

GPSO bientôt à 9!

Le 1er janvier 2014, Grand Paris Seine Ouest passera de sept à neuf communes avec l’arrivée deVélizy-Villacoublay et de Marnes-la-Coquette. La première, située dans les Yvelines, a sonhistoire très liée à celle de Meudon. Les deux communes cohabitent dans la zone d’activitésindustrielles et technologiques depuis les années 60. La seconde est la plus petite ville desHauts-de-Seine avec moins de 1 800 habitants dans un paysage très résidentiel. Grand ParisSeine Ouest reste dans le top 5 des communautés d’agglomération d’Île-de-France en termesde population.

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En 2013, la Ville va investir plus de 12 millions d’euros en privilégiant l’autofinancement et la recherche de partenariat à l’image de la construction de l’espace culturel de Meudon-la-Forêt.

SOCIAL 08/09CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

aisir une main tendue peut être simplecomme un coup de fil. En l’occurrence, lenuméro à composer est le 01 47 91 48 44,celui de la permanence téléphonique dudispositif d’aide aux femmes victimes deviolences dans les Hauts-de-Seine, FFV92.

Au bout du fil, des psychologues, des travailleurs sociaux et des chargés d’écoute se tiennent à disposi-tion des victimes et de leur entourage. Chaque année,plus de 2000 appels anonymes trouvent ainsi uneoreille attentive. Suis-je victime de violences? Vers quime tourner? «Quand amour et violence se mélangent,on a souvent du mal à faire la part des choses », explique Nicole Leriche, directrice du centre d’héber-gement Flora Tristan, à Châtillon.

UN NUMÉRO POUR DE NOMBREUX SERVICESQue l’on soit victime ou témoin de faits troublants, sousquelque forme que ce soit, la ligne du FVV92 peut êtreune ressource où puiser pour répondre à ces questions.

«Plus vite on tire la sonnette d’alarme, plus on se protège,et plus on peut se préparer et en apprendre davantagesur la marche à suivre », poursuit Nicole Leriche.Car derrière le numéro du FFV92, il y a quatre associa-tions, des centres d’accueil, des permanences fixes avecou sans rendez-vous. En 2011, pas moins de 3000 per-sonnes sont venues chercher conseil directement auprès d’une association du dispositif départemental.Malgré cela, la structure reste trop peu connue des particuliers, mais aussi des professionnels, qui ne savent pas toujours quelle conduite adopter quand une victime se manifeste.C’est pourquoi le conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) de Meudon mèneune campagne de sensibilisation auprès des popula-tions concernées. Après les gardiens d’immeuble en 2011, c’est au tour des professionnels de santé et sociaux: cette année, ils recevront un répertoire mis àjour des interlocuteurs appropriés à chaque problèmerencontrée. RG l

Violences conjugalesosez en parlerLa journée de la femme nous le rappelle chaque année. En France, des centaines de femmes, mais aussi d’enfants, sont victimes de violences au sein de leur famille. Plusieurs structures spécialisées leur viennent quotidiennement en aide à Meudon et plus largement dans les Hauts-de-Seine.

Regards de femmes

Deux Forestoises, la photographe Céline Benoît et la plasticienne Vicente Nilsa, exposent leurs regardssur les femmes avec une série de portraits et de tableaux. Leurs œuvres seront à la médiathèque deMeudon-la-Forêt le samedi 9mars de 16h à 18h, en présence de la comédienne Marianne Auricoste, quifera une lecture de poèmes donnant la parole aux femmes. L’exposition sera ensuite présentée àl’Espace Jules Verne du 9 au 30mars 2013 dans le cadre des Samedi’s Arts.

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La photographe forestoiseCéline Benoît présenteraune sélection de portraitsde femmes le 9 mars à la médiathèque de Meudon-la-Forêt.

Association d’aide auxvictimes – Adavip 92Service gratuit et confidentiel� Permanence juridique au commissa-riat de police de MeudonJeudi: 14h à 17h, sans rendez-vous94 rue de Paris01 41 14 79 00� Permanence juridique au Point d’accès au droit au centre social Mil-landyrue Georges Millandy92360 Meudon-la-Forêt01 41 07 94 79

Centre d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF)5 rue des Quatre cheminéesBoulogne-Billancourt01 41 31 08 74� Permanence au Point d’accès au droitCentre social Millandy01 41 07 94 79� Permanence juridique: Vendredi 9hà 12h30, sur rendez-vous� Permanence conseil conjugal et familial: Lundi 9h à 13h, sur rendez-vous

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Centre Flora Tristan(association SolidaritéFemmes)Centre d’accueil et d’hébergementpour femmes victimes de violencesconjugales.142 avenue de Verdun92320 Châtillon01 47 36 96 48Lundi au vendredi: 10h-12h30 et 14h-18h, avec ou sans rendez-vous.lServices gratuits et confidentiels:accueil, écoute, accompagnementdans les démarches et suivi globalspécialisé hors hébergement.l Hébergement d’urgence etd’insertion (accès direct) et serviced’hébergement de moyen séjour pourles femmes victimes de violencesconjugales avec ou sans enfants des Hauts-de-Seine, inséréesprofessionnellement.

Ils renseignent

Ils accompagnent

01 47 91 48 44Permanence téléphonique du lundi au vendredide 9h30 à 17h30

À savoir

Mots clés

FINANCES PUBLIQUES

a grave crise que nous su-bissons depuis cinq ans,rend l’élaboration d’unbudget difficile. Les besoinsdes Meudonnais changentau gré des évolutions dé-

mographiques, sociales et économiques.Les recettes de la Ville venant del’État, sous la forme de dotations, dela Région Île-de-France et du Départe-ment (aides et subventions) dimi-nuent d’une année à l’autre. Derrièrece tableau très noir d’un contexte actuel dont nous constatons au quo-tidien les effets, la situation finan-cière de la Ville reste stable.La part communale des taxes d’habi-tation et du foncier bâti est identiqueà celle des années précédentes. Cela fait 10 ans qu’elle n’a pas été révisée pour la taxe d’habitation.Malheureusement, cela ne signifiepas que le montant total à payer soitidentique. Les bases ont été rééva-luées de 1,8%, dans la loi de Financesvotée par le Parlement.

ANTICIPER UNE CONJONCTUREMOINS FAVORABLEPour cet exercice 2013, il y a une bonnenouvelle et une moins bonne. Commen-çons par la moins bonne, l’augmentationde la contribution de la Ville à deuxfonds obligatoires: le fonds de solidaritéde la région Île-de-France, dont la contri-bution augmente de près de 72%, et lefond de péréquation intercommunale etcommunale, auquel la Ville ne versaitrien jusque là et qui représente un montant de 128000 € aujourd’hui. Le premier a une vocation de solidaritéentre les villes dites « riches » et cellesdites « pauvres » d’Île-de-France, le se-cond a la même vocation pour les villes françaises. Les deux fonds réunis repré-sentent une augmentation de plus de98% par rapport à 2012.La bonne nouvelle vient du 2 rue deParis, siège de GPSO. La contributionde solidarité communautaire serarevue à la hausse : + 57 %. Cettecontribution est indexée sur la bonnesanté des entreprises présentes sur la

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Un budget stable pour la VilleStabilité. C’est la principale caractéristique de cebudget 2013. Dans un contexte économiquechancelant, cette qualité rassure. Pour la 11e annéeconsécutive, le conseil municipal n’augmente pas les taux des impôts de notre ville.

AutofinancementLe désendettement et la maîtrise de sesdépenses font de Meudon une ville capable de financer tout ou partie de ses projets à hauteur de 3millions d’euros en 2013. Ce montant représente la presque totalité de la somme allouée aux travaux d’entretiendes équipements communaux (écoles, crèches, gymnases, parcs et jardins, cimetières…).

DésendettementMeudon s’est désendettée de 6 millionsd’euros au cours des quatre dernières années.Comme toute personne ayant contracté un crédit, la Ville réduit chaque année le nombre de ses mensualités restantes par le versement d’une partie de ses excédents de fonctionnement. Un tiers des emprunts a été contracté à taux variable. Les taux d’intérêts étant à la baisse, les fraispour la Ville suivent cette même courbe.

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Le groupe scolaire Paul-Bert sera agrandi pour la prochaine rentrée

Le skate-park vieillissant sera modernisé en fin d’année

L’informatisation des écoles se poursuit en 2013

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ÉquilibreContrairement à ce que prétendent certainsexperts, l’équilibre budgétaire reste la règle d’or de toutes finances locales, en tout cas à Meudon.Les investissements d’aujourd’hui sont lesdépenses de fonctionnement de demain qu’ilfaudra financer. Malgré la baisse des recettes et la volonté de ne pas rajouter un peu plus de perte de pouvoir d’achat aux Meudonnais par uneaugmentation des impôts locaux, les efforts de laVille se concentrent sur une maîtrise des dépenses.

Le budget en chiffres

68,2 millions d’eurosC’est le budget de la ville pour 2013, soit une augmentation de 5,85% par rapport à 2012.

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Un budget stable pour la Ville

commune. Ce « bonus » ne sera pasconsommé pour faire fonctionner lesservices, mais épargné pour ne pastrop s'endetter et faire face aux prévi-sions nationales préoccupantes desannées à venir.

ÉCOLES, CULTURE, LOISIRS,SPORTS, SÉCURITÉ, SOCIAL…L’espace culturel de Meudon-la-Forêtouvrira ses portes à l’automne avecune offre de spectacles dédiée à lajeunesse et à la famille ainsi qu’uneprogrammation cinéma complémen-taire à celle du Centre d’art et de culture. Juste à proximité, le gymnaseMichel-Vignaud verra sa façade ravalée (90 000 €). Rappelons quel’ensemble de l’opération représenteune dépense de près de 12 millionsd'euros TTC, dont 2,535 millions de subventions (Région et Département).Le groupe scolaire Paul-Bert seraagrandi, après la transformation del’ancien local du club seniors en un espace médical et administratif (820 000 €).Le groupe scolaire Maritain-Renan-La Fontaine sera restructuré avec, dansun premier temps, la déconstruction du

gymnase Renan. Un accueil de loisirsmaternel et un restaurant scolaire seront ensuite construits. L’activitésportive des écoliers sera déplacée dansle gymnase Bussière, que la Ville achèteau Conseil général et réaménagera pourla rentrée 2013 avec un mur d’escaladeet un pas de tir à l’arc à l’extérieur(385 000 €).Côté sport toujours, les utilisateurs du skate-park ont été consultés pourconnaître leurs souhaits de réaménage-ment des rampes et des sols. Des tra-vaux sont prévus pour la fin de l’année.La diffusion des nouvelles technologies(42 tableaux interactifs installés fin2013, ordinateurs) dans les écoles sepoursuit (125 000 €) avec des travauxde câblage en plus pour les écoles Rodinet Paul Bert. Sur les 89 classes élémen-taires, 41 seront pourvues d'un TBI à la rentrée 2013 (soit 46 %).Le dispositif de vidéoprotection, installéen 2011, sera étendu avec de nouvellescaméras (200 000 €).Le CIO, installé au centre Millandy, doit laisser sa place au Pôle emploi, actuellement rue du Ponceau. La Ville,propriétaire du bâtiment, effectuera lestravaux nécessaires (290 000 €). LR l

En hausse

La solidaritéLe budget du centre communal d’action socialeaugmente de 16% (+ 11% en 2012)

Les fonds de péréquationLa contribution de la Ville au fonds de solidaritéde la région Île-de-France passe de 467 000 € à 800 000 € en 2013 et celle au fonds de péréquation intercommunale et communale passe de 0 € à 128 000 €, soit une dépense obligatoire de 928 000 €.

L’intercommunalitéLa dotation de solidarité communautairedevrait rapporter à la Ville au minimum 2,7 millions d’euros cette année au lieu de 1,7 million en 2012.

En baisse

L’endettementLe paiement des intérêts des empruntscontractés se poursuit avec le produit desexcédents budgétaires annuels. Quant àl’endettement, il a diminué de 18% de 2008 à 2012.

En hausse modérée

Les frais de personnelsCette part importante du budget defonctionnement (+ de 54 %) augmenteraisonnablement (+ 3,64 %) après seulement les 2 % constatés entre 2011 et 2012. Les hausses de salaires pour 2013 sont liées à l'augmentation des cotisations à la charge des employeurs (caisses de retraite notamment),mais également aux promotions et àl’ancienneté, aux indices de certaines catégories,aux cotisations sociales plus élevées et à la participation forfaitaire de la Ville aux complémentaires santé des agents. De 2002 à 2012, les coûts salariaux aurontaugmenté de 2,7 % en moyenne annuelle.

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AMÉNAGEMENT

LE PROJET EN QUELQUES MOTS…Le projet général, dessiné en 2009,prévoit de couvrir une partie de la voieferrée du RER C, entre la gare de ValFleury et la place Henri-Brousse, pourcréer une grande esplanade. Autour,trottoirs et chaussées doivent être redessinés. Entre le réaménagementdes espaces publics et les travaux d’accessibilité de la gare, l’opérationest estimée à 26millions d’euros.Ce chantier d’envergure vise trois objectifs : � Créer un environnement plus agréable, � Développer le commerce, � Renforcer la sécurité des piétons touten fluidifiant la circulation automobile.Priorité aux piétons et aux transportsen commun: la réorganisation mettrafin à certaines absurdités qui voyaient

les voyageurs sortant de la gare tra-verser deux rues pour rejoindre leurarrêt de bus. Plusieurs d’entre eux seront par conséquent déplacés.À quoi reconnaît-on le centre d’un quar-tier? À sa place centrale. À terme, lespiétons auront accès plus facilement à lagare et pourront faire leurs achats aumarché du jeudi soir, sur l’esplanadeaménagée au-dessus des voies.

CE QUI A DÉJÀ ÉTÉ FAIT…� Le centre de santé de la Croix Rougea emménagé rue Henri-Barbusse fin2010, tandis que ses anciens locauxont laissé place à la résidence LesJardins de Louvois. Plusieurs maga-sins ont récemment ouvert en piedd’immeuble.� De l’autre côté de la gare, la Ville pilote les projets sur trois parcelles,

situées respectivement sentier et ruedes Grimettes. La démolition des petitesconstructions disparates interviendradans les toutes prochaines semainespour laisser place à de nouveaux im-meubles. En tout, 26 appartements sontvendus en accession à la propriété à prix maîtrisés (en moyenne 25 % infé-rieur au prix du marché). Un équipe-ment public sera construit, avec dessalles pour les associations et un espacepour les jeunes, etc.� Grand Paris Seine Ouest, le Syndicatdes transports d’Île-de-France (Stif) et laSNCF travaillent ensemble sur les ques-tions de voirie et de réaménagement dela gare RER. La station de Val Fleury aété définie comme site de référencepour la mise en accessibilité. En 2012,Christophe Chevallier, architecte urba-niste au sein du cabinet Arep, a été

De nouvellesperspectivespour Val FleuryPlus agréables, plus sûrs et plus pratiques, les abords de la garede Val Fleury seront tout cela au terme de l’opérationd’aménagement menée conjointement par la Ville, la SNCF, RFF etGPSO. Afin de recueillir l’avis des usagers et des riverains sur ce projet d’urbanisme, une concertation publique a lieu ce mois-ci.Chacun est invité à s’exprimer.

4 500 voyageurs transitent

chaque jour en gare de Val Fleury.

Le chiffre

À droite, le projetd’aménagementdonne la priorité auxpiétons, avecl’esplanade construiteau-dessus des quais,pour relier lescommerces ou les transports en commun.

Ci-contre, la Ville prépareactivement troisopérations avec deslogements et deslocaux commerciauxet associatifs.

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retenu pour dessiner puis diriger lesabords de la station, empruntée chaquejour par plus de 4500 passagers.

ET MAINTENANT ?Qui dit projet d’urbanisme, dit concerta-tion avec la population. Grand ParisSeine Ouest prendra le pouls des Meu-donnais du 18mars au 15avril. Ceux quile souhaitent pourront s’exprimer direc-tement via Meudon.fr en commentant lapage dédiée au programme d’aménage-ment. Une réunion publique est égale-ment prévue le samedi 30 mars, à10h30 au complexe René Leduc, rue duPère Brottier. La communauté d’agglo-mération expliquera à cette occasion lestenants et aboutissants de la requalifi-cation du quartier, avant de répondreaux questions du public. Après recueil et analyse des avis exprimés, une copierévisée du projet sera proposée à la population fin juin.

QUE SE PASSERA-T-IL ENSUITE ?� Construire une esplanade au-dessusd’une voie de chemin de fer ne se faitpas sans prendre une infinité de pré-

cautions. Comment le sous-sol va-t-ilréagir ? Comment conserver la lumièresur les quais du RER? Forages et me-sures à l’appui, des études techniquescontinuent d’être menées pour y répondre. Tous ces éléments font que le projet avance à pas mesurés, maissûrs, dans la bonne direction.� Pour toutes ces raisons, les travaux nedébuteront pas avant deux ou trois ans.«Nous définissons en ce moment, avecla SNCF et Réseau ferré de France(RFF), nos besoins en termes de travauxpour les cumuler sur un même cré-neau », indique Christophe Chevallier,l’architecte. Il est plus probable que lestravaux interviendront lorsque le traficest au plus bas. De cette façon, l’impactsur la circulation des transports encommun et des véhicules sera réduit,mais pas totalement annulé. RG l

Christophe Chevallier, architecteurbaniste d’Arep, le cabinet qui a déjà procédé au réaménagement deplusieurs gares TGV dont Belfort etMarseille.

Quelles difficultés rencontrez-voussur ce projet?Notre réflexion a été en partie guidéepar des contraintes ferroviaires et par la complexité inhérente auxdifférents systèmes de transports quise concentrent autour de la gare. Àl’heure actuelle, pas moins de sept ruesconvergent vers ce lieu de fort passage.L’un de nos objectifs est d’offrirdavantage de confort aux usagers et derevoir à la fois l’accessibilité et lalisibilité de l’espace public.

Quel esprit voulez-vous donner auquartier?Meudon compte peu de grandes places,de lieux où les populations peuvent secroiser et se rencontrer. Notre projetpar conséquent propose une approcheà échelle humaine des abords de lagare. Ainsi, ce bout de ville pourras’affirmer comme un pôle de transporten même temps qu’une porteouverte sur le quartier et sur le restede Meudon.

Esthétiquement, à quoi celaressemblera-t-il?Alors que les environs immédiats sont plutôt fleuris, la gare gagnerait à accueillir davantage d’arbres etd’espaces verts. Ainsi, l’on retrouveraitl’esprit « coteaux de Meudon » si cherau quartier. Nous prévoyons aussi de dénuder le bâtiment de la gare des multiples ajouts inesthétiques effectuésau fil du temps, afin de lui rendre sonaspect premier.

3 QUESTIONS À

RÉUNIONPUBLIQUEPrésentation à lapopulation du projetd’aménagement duquartier de Val Fleury. Le samedi 30 mars, à 10 h30, au complexeRené Leduc.

Concertation

Ceux qui le souhaitent peuvents’exprimer sur Meudon.fr

en commentant la page dédiée au programme d’aménagement.

Les agents de terrain de Grand Paris Seine Ouest interviennent au quotidien pour rendre votre cadre devie encore plus sûr et agréable sur les sept communes que compte l’agglomération. Coup de projecteur.

GRAND PARIS SEINE OUEST

Halte aux dépôts sauvagesEn dehors du jour de collecte mensuelledes encombrants, sur la voie publique,GPSO propose un service d’enlèvementsur rendez-vous par téléphone. Vousdéménagez ou emménagez à Meudon et vous avez besoin de vous débarrasserde vos cartons, meubles… Les modalités de présentation des encombrants vousseront expliquées lors de la prise derendez-vous. Consignes de tri sur agglo-gpso.fr

Encombrants

Textiles usagésNous jetons en moyenne 6 à 7 kilos de textiles par an !Pensez à déposer vos vêtements d’occasion, linges de maison, chaussures et accessoires de maroquinerie dans les conteneurs mis à votredisposition : 11 et 41 rue de la République (2 conteneurs sur le parking du Monoprix) et rueGeorges Millandy. Évitez les sacs lourds etvolumineux. Les textiles seront réemployés, utiliséscomme chiffons ou recyclés en isolant. Les kilos ainsidétournés de l’incinération représentent une chargeen moins pour les collectivités et le contribuable. lerelais.org

Containers

Les agents de GPSO sur tous les fronts

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14/15CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

Une visite à ne pas manquerL’Agence Locale de l’Energie vous invite àdécouvrir les efforts accomplis par unpropriétaire sévrien pour limiter son impactsur le climat en améliorant la performanceénergétique de sa maison des années 1950.Un exemple très intéressant par la diversitédes travaux entrepris et les aides financièresmobilisées. Un conseiller énergie répondra à toutes vos questions. Samedi 30 mars de 10h à 12hInscription obligatoire au 0 800 10 10 21

Conseils

Maison de la nature Expositions sur l’environnement et le développementdurable, un jardin pédagogique avec ses milieux naturelsreconstitués et un parcours d’empreintes, des ateliers pourenfants et des sorties en famille… la Maison de la naturesatisfait la curiosité des petits comme des grands. Lesactivités sont gratuites et réservées aux habitants de GPSO.Vendredi 29 mars, la structure propose, entre autres, une « soirée chouettes » à Meudon de 20h à 22h30. Programme sur agglo-gpso.frMaison de la Nature14 ruelle des ménagères à MeudonEntrée libre de 14h à 18h les mercredi, samedi etdimanche

Plus de 77 tonnes de sapins recyclésL'opération de récupération dessapins, menée du 26 décembreau 20 janvier 2013, a permis la collecte et le recyclage de plus de 17 600 sapins dansles sept villes de Grand ParisSeine Ouest.

Animations Bilan

Les agents de GPSO sur tous les fronts GPSO stocke 1 500 tonnes de sel, dont 400 aucentre technique de Trivaux à Meudon. Alertés par les bulletins de Météo France, les agents de lacommunauté d’agglomération et ceux de la Villeutilisent cette réserve pour effectuer un salagepréventif, quelques heures avant la prévision deschutes de neige ou de gel. Ce fut le cas le vendredi18 janvier, comme en atteste cette photo.

Collecte des ordures ménagères en porte-à-porte, collecte sélective et collecte des encombrants...Les services de la communauté d'agglomérationœuvrent chaque jour afin de garantir aux riverains un environnement le plus agréable possible. Malgré lerenforcement du service de collecte des encombrants(sur rendez-vous), encore trop de dépôts sauvagessont constatés, liés à des actes d’incivilité. Les agents sont alors mis à contribution pourramasser les déchets en tout genre abandonnés en dehors des jours de collecte autorisés.

Balayage et lavage mécaniques des chaussées,balayage manuel des trottoirs, des escaliers ouencore des caniveaux, ramassage des feuillesmortes, nettoyage avant et après les manifestationslocales… tout au long de l’année, GPSO déploied’importants moyens matériels et humains pourgarantir aux habitants un cadre de vie agréable.

Nid de poule, potelet tordu, panned’éclairage public, réfection des trottoirs et deschaussées, travaux d’assainissement, rénovation de la signalisation lumineuse… pour assurer votresécurité, les services techniques gèrent au quotidienquelque 300 km de voies communales, dont 66 km à Meudon (les routes départementalesétant entretenues par le conseil général des Hauts-de-Seine).

Près de 170 enfants meudonnais de la maternelleau collège sont transportés chaque jour sur les 2 circuits de ramassage scolaire de GPSO. CF

Compétences obligatoires de GPSO

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> Développement économique> Aménagement du territoire> Transport> Habitat> Politique de la Ville

> Voirie communautaire> Assainissement> Eclairage public> Réseaux divers> Propreté des rues> Transports> Ramassage scolaire> Equipements sportifs et culturels> Enseignement de la musique, de la danse et de l’art dramatique.

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Renseignements et inscriptions

Appel gratuit d’un poste fixe

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Autres compétences

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CULTURE 16/17CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

u’est-ce que l’art contem- porain, au juste? Posée à un auditoire d’élèvesde CM2 de l’école Le Val,la question, commentdire… divise. L’air sûr de

lui, Jocelin prend la parole en premier ets’élance parmi la forêt de mains levées:« l’art contemporain, c’est celui où onvoit plein de choses différentes.» «Maisnon, c’est l’art d’aujourd’hui », reprendWissam, proche du but. Là dessus, Théo,son voisin de gauche, lance la charge:« le contemporain c’est beaucoup plusfacile à faire.» Tandis que là, en pointantdu doigt une œuvre monumentale deRodin: « y a des détails, poursuit Hugo.Si tu te trompes, tu dois tout refaire. »Dans un décor comme seul peut en offrir l’atelier du sculpteur meudonnais,on ne s’étonne pas que les corps figésen mouvement raflent la majorité dessuffrages, y compris celui de Camille:« Comparé aux peaux d’orange de Michel Blazy, qu’on a vu au Frac (NDRL:fonds régional d’art contemporain), c’estquand même beaucoup plus difficile. »Laissons-là un moment le débat artis-tique, l’important est ailleurs.

DES PARALLÈLES ÉVIDENTSLes établissements scolaires meudon-nais répondaient à l’invitation du MuséeRodin. Celui-ci servait de rampe de lan-cement à une nouvelle édition du festi-val Effr’actions. De l’école élémentaireau lycée, 120 classes de seize villes des Hauts-de-Seine vont découvrir l’artcontemporain dans différents hautslieux culturels du département. Sur leshauteurs de Val Fleury, la nouvellevague est incarnée par une œuvre d’Aurélien Froment. Au côté des plâtresdu maître sculpteur, « Table de rappel »

est présentée comme un faux jeu de Memory composé de 96 cartes etd'autant d'images différentes. Manifes-tement, son jeune public ne partage pasla même idée de l’art. «C’était ça l’œu-vre? s’étonne un petit, les yeux grandouverts avant de repartir, en gloussant,« j’aurais pu faire la même chose. »Maud, malgré son jeune âge, n’est pasde cet avis: « Tout a déjà été fait, il faut donc inventer des choses, aller dans l’originalité.»

Passés par le Frac, le Musée Rodin deParis puis celui de Meudon, les élèvesdevront à leur tour mettre leur fibreartistique à contribution en présen-tant, seuls ou à plusieurs, un projet de fin d’année. La classe de CE2 del’école Paul Langevin à Nanterre a pudonner un aperçu du travail accomplien seulement quelques semaines.Aidés d’une chorégraphe, ils ont pré-senté à leurs petits camarades un véritable spectacle, aussi bien visuelque sonore. Très impressionnée, IsabelleBissière, du service culturel du musée,fait le parallèle avec le travail de Rodin:« comme la chorégraphie, son œuvrenous parle de corps, de gestes, d’émo-tions. Des choses que les enfants res-sentent et comprennent. » Dans tousles cas, l’événement a touché sa cible.Si l’entrée s’est faite sur une « effr’ac-tion », étrangement rien n’a été volé. Ilsemblerait même que tout le mondesoit reparti du musée avec un petitquelque chose en plus… RG l

L’art contemporain entre par Effr’actions à RodinSi les jeunes ne vont pas spontanément à l’Art, il arrive que l’inverse se produise. C’est précisément le postulat du festival Effr’actions, dont le musée Rodin accueillait en janvier le lancement de la 3e édition, dans l’antre du maître…

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Quatre classes meudonnaises participent à cette édition des Effr’actions, une de l’école Le Val, deux de Paul Bert, et une classe de 6e du collège Rabelais.

120 classes des Hauts-de-Seinevont découvrir l’art

contemporain

Jeunes et Meudonnais, l’équation qui marcheDOSSIER

La journée de la jeunesse propose chaque année un programme différent. Après le contest au skate-park en 2011, et une après-midibondissante l'an dernier (photo), que nous réservera la prochaine édition ? Rendez-vous le 21 septembre pour le découvrir !

as évident de sortir à Meudon lorsque Paris vous tend les bras.Depuis quelques semaines, les jeunes réfléchissent à deux foisavant de faire leurs plans du samedi soir. Chaque édition des Samedis’Arts voit défiler une soixantaine d’entre eux à l’EspaceJules Verne. Lequel, pour quelques heures, se métamorphose

en salle de concert. Volontairement éclectique, la programmation pioche dansun large répertoire de registres musicaux. Martin Pré est monté sur scène le 1erdécembre dernier. Le jeune Meudonnais est fa-milier du studio musique du Potager du Dauphin, pour y avoir répété. Sur l’estradede l’espace Jules-Verne, il découvre un public qu’il ne connaît pas. Le chanteurbranche sa guitare et s’élance au micro: « Pour accrocher le public, j’ai mélangé lesreprises, des Beatles et de Jimi Hendrix, avec les compositions de mon groupeMeadow Barber.» Séduit par cette première expérience, Martin apprécie d’autantplus l’initiative de la Ville d’offrir à la jeunesse des occasions de passer un bonmoment à deux pas de chez soi. Prochain rendez-vous musical, rap et slam, le 27avril.

COUP DE POUCE FINANCIERPour qui a besoin d’aide pour financer l’achat d’un instrument, d’un équipement spor-tif, voire des cours particuliers, « Coup de pouce à ta passion » porte bien son nom. Deux salves d’une dizaine de jeunes, tous inscrits dans une des structuresjeunesse peuvent bénéficier chaque année de cette aide fixe de 150€. Il n’est pastrop tard pour y prétendre, les inscriptions pour la session d’avril seront encore ouvertes au moment où vous lirez ces lignes. Sonia, elle, ne s’est pas fait prier.En décembre, cette Meudonnaise de 17 ans décide de reprendre le sport. En comp-tant bien, avec le soutien de ses parents, elle a de quoi financer son adhésion à unclub sportif et une partie de son équipement. Reste une dépense de taille, l’achat dechaussures. « J’ai rédigé une lettre de motivation, qui expliquait pourquoi j’avais besoin de cette aide» indique la jeune fille. Quelques semaines plus tard, un courrierl’informe que son dossier est accepté. En contrepartie, la Meudonnaise doit s’inves-tir 10heures dans une action du service jeunesse. Résultat, Sonia a pu acheter seschaussures, et donner l’envie à plusieurs amis de tenter le coup… de pouce.Pour obtenir ces 150 €, Sonia aurait aussi pu se tourner vers le baby-sitting. Du 11 au13 mars, ils seront une douzaine (à partir de 16 ans) à suivre la formation mise enplace par le service jeunesse, avec la Croix rouge et plusieurs autres acteurs de la petite enfance. À l’issue de leur formation, les stagiaires recevront une lettre de recommandation de la Ville. L’an dernier, plusieurs familles meudonnaises ont trouvéune baby-sitter par ce biais.

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Jeunes et Meudonnais, l’équation qui marche18/19

Texte Romain Gouloumès et Christophe Ferreira. Photographe Studio 9

Il y a deux sortes de jeunes. Ceux qui connaissentl’offre du service jeunesse de la Ville, et ceux pourqui ça ne saurait tarder. De soirées concerts encoups de pouces financiers, on voit mal ce qui neconvaincrait pas les jeunes de 12 à 25 ans de sepencher sur les propositions qui leur sont faites .

CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

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DOSSIER

>>> SOUTIEN SCOLAIRE ET AU-DELÀLes structures municipales interviennent aussi sur un autre aspect dela vie des jeunes, et pas le moins important puisqu’il s’agit de leursétudes. Cette année, les collégiens qui souhaitent réviser leur brevetpendant les vacances de Pâques, s’assiéront sur les bancs du centresocial Millandy. Du 29 avril au 3 mai, ils reverront chaque matinée lesprogrammes de mathématiques, histoire-géo, et français, avant l’exa-men final en juin. Les étudiants du cycle supérieur se confrontent àd’autres difficultés. Qu’ils soient à la recherche d’un stage de fin d’an-née, d’un emploi ou d’un coaching, ils ont la possibilité, via le dispositif« un parrain pour l’emploi des jeunes », de trouver un adulte meudonnais pour les épauler.C’est ce qu’avait en tête Alicia, quand elle s’est rendue à l’Espace jeunesse. « J’étais un peu perdue, raconte l’étudiante, qui achève sa 3e année en école d’ingénieur. Je ne savais pas vers quel secteurm’orienter. Comme mon projet n’était pas clair, ma lettre de motivationne l’était pas non plus.» Aidée de sa marraine, Alicia a posé les chosesà plat. Finalement recrutée en stage chez Bouygues, elle sait désormais qu’elle fera carrière dans l’aménagement urbain: « Ma marraine m’a vraiment aidée à garder confiance. Quand vous ne recevez que des réponses négatives, à un certain moment vous ne savez plus comment faire. Elle a été d’une grande aide.» Parole dejeune! RG l

Service jeunesse. Direction de l’animation locale

6 avenue le Corbeiller

01 41 14 81 42

La prochaine soirée deconcerts Samedis’artsaura d’ailleurs lieu le27avril à l’espace Jules-Verne. À l’image deMartin Pré, lesmusiciens ont la possibilité de bloquerun créneau au studiomusique du Potager du Dauphin pour répéterà moindre frais.

La journée de lajeunesse, organiséechaque automne, est l’occasion pour les 12-25 ans de se rencontrer, et dedécouvrir l’éventaild’activités proposéespar la Ville tout au longde l’année. Lyes et Thibault à votre service... civique!

Le service civique est rénuméré 540 €par mois, et permettra aussi à Lyes et à Thibault de passer le Bafa, dont une partie sera financée par la Ville.

i NFORMATIONS PRATIQUES

uand on les a rencontrés, ils avaienthâte de se mettre au travail. Lyes, 18 ans, et Thibault, de deux calendriersson aîné, ont entre temps rejoint les

rangs de la mairie en tant que volontaires enservice civique. D’une durée de 8 mois, leurcontrat n’est pas tout à fait comme les autres,puisqu’il est assorti d’une mission d’intérêt général. En résumé, Lyes et Thibault vont apporter un peu d’eux-mêmes à la société.Affecté au centre communal d’action sociale,le plus jeune de nos deux volontaires inter-viendra auprès des seniors inscrits dans lesateliers de prévention des chutes organisésquatre fois par semaine dans la ville. Confiantdans ses compétences de communicant, Lyes a déjà une bonne idée du travail qui l’at-tend: «En général, j’ai un bon contact avec les

personnes âgées. Je serai là pour leur parler,et les aider à rester motivées.» De son côté,le Meudonnais veut profiter de ce laps detemps au service des autres pour réfléchir àlui, et à la poursuite de ses études: « Aprèsavoir obtenu mon bac technologique, je ne savais pas où me tourner. J’espère trouver la réponse d’ici à la fin de mon volontariat.»Avec en moyenne 24 heures de travail par semaine, le service civique laisse aux volon-taires du temps libre pour leurs projets personnels. Lyes l’utilisera à des fins utiles,comme passer son permis de conduire et son Bafa, dont le premier stage théoriquesera pris en charge par la Ville.Plus guidon que volant, Thibault révise luiaussi son code. Un hasard du calendrier plutôt heureux puisque le jeune homme sera

investi du volet prévention routière au sein duservice jeunesse. Étudiant pour devenir pro-fesseur de sport, Thibault ne pouvait pasrêver mieux: « Autant m’habituer tout desuite à travailler avec des jeunes, et à organi-ser des événements, si c’est ce que je veux faire plus tard. » Contrairement à soncollègue, Thibault n’arrive pas en terrainvierge: «Je vais reprendre ce qui a été fait parmon prédécesseur l’an dernier, comme le Festival junior du court métrage vidéo d’hu-mour, confirme-t-il. Je participerai par ailleursà la mise en place de la journée de la préven-tion routière en octobre prochain.» Valoriséesur leur curriculum vitae respectif, cette première expérience professionnelle riche en enseignements fera à n’en pas douter sonpetit effet. RG l

Lyes et Thibault à votre service... civique!Réservé aux 16 - 25 ans, le service civique permet d’exercer une activité socialementutile, au profit d’une association ou d’une collectivité. La mairie a accueilli récemment deux nouveaux volontaires.

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20/21CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

DOSSIER

our les filles, les poupéesBarbie et la dînette. Pourles garçons, les trains élec-triques et les petites voi-tures. C’est bien connu, lesfemmes sont plus douces,

studieuses et bavardes que leurs homo-logues masculins. Elles s’intéressent da-vantage à la littérature et aux arts. Leshommes, quant à eux, sont plus ma-nuels, autoritaires et directs. Les filièrestechniques et scientifiques leur convien-nent mieux. Voici des exemples d’idéespréconçues qui marquent l’inconscientcollectif. Pour déconstruire ces stéréo-types, le conseil local de sécurité et deprévention de la délinquance (CLSPD) etle service jeunesse de la Ville ont mis enplace un événement « Filles, garçons,parlons-en! » Du 25 février au 9 mars,les jeunes s’exprimeront sur ce sujet. Undes moments forts de cette quinzaineest la présence du J Bus dans les col-lèges et lycées meudonnais. « Ce véhi-cule permet d’aller à la rencontre despublics, il offre un cadre chaleureux etneutre qui facilite les échanges, note Sophie Parasote, animatrice. Une se-maine avant notre passage, des affichesont été diffusées dans leurs établisse-ments pour les faire réfléchir. À partir deleurs propres représentations, nous lesinterrogeons en insistant sur l’impor-tance de l’écoute et du respect de l’opinion d’autrui. Notre rôle est de créerles conditions d’un débat entre eux et non de leur apporter des réponses. Relations amoureuses, sida, drogue…aucun thème n’est tabou!»

DES ACTIONS DE PRÉVENTION ENDIVERS LIEUXLes accueils de loisirs élémentaires vontaussi recevoir la visite du collectif d’artistes Sangs Mêlés. Sous les yeuxdes enfants: des comédiens et unegrosse valise qui fonctionne comme unmini théâtre. « Cette valise est interac-

tive, elle contient différents accessoires,des cartes postales, des jouets, de lavidéo, indique Christelle François, direc-trice artistique. Nous l’utilisons pourévoquer des clichés ou des situations dediscrimination. Les enfants réagissent,et c’est ce que nous voulons. » De leurcôté, les médiathèques présenterontaux scolaires une sélection d’albumsjeunesse non sexistes, tandis que la pro-jection du film Polisse, suivie d’un débat,est programmée au centre d’art et deculture, le 1er mars. Le lendemain, untournoi sportif, accompagné de standsd’informations sur les violences faitesaux femmes et l’égalité filles - garçons,est proposé au complexe Georges Millandy. Bien sûr, les équipes sont mixtes!Ce programme s’achèvera sur une noted’espoir, le 9 mars, avec un « bœuf mu-sical » au studio musique où les musi-ciennes seront à l’honneur. CF l

Stéréotype, toi-même!En théorie, les femmes et les hommes sont égaux. Mais les stéréotypes ont la vie dure. Dans le milieu professionnel, la parité n’est pas toujours la règle. Pour lutter contre ces injusticeset favoriser le dialogue entre jeunes, la Ville lance un programme d’animations « Filles, garçons,parlons-en ! »

P 26février et 1ermarsPrésentation aux écoliersd’albums non sexistes dans les médiathèques

26févrierJ Bus au collège Bel air et au LEP Côtes de Villebon

27févrierJ Bus au collège de Meudon-la-ForêtIntervention du collectif d’artistesSangs Mêlés dans les accueils de loisirs élémentaires

28févrierJ Bus au collège et lycée Rabelais

1ermarsProjection/débat du film Polissede Maïwenn au centre d’art et de culture à 20h

2marsGrand jeu sportif et standsd’informations au complexeGeorges Millandy

9mars• À la médiathèque de Meudon-la-Forêt (de 16h à 18h):Lecture de poèmes tirés de Voix de femme, Anthologie par la comédienne Marie-Anne AuriscoteExposition photos Regards de femme (cette exposition sera aussi présentée à l’espace Jules Verne, du 9 au 31mars)• Au studio musique (Potager du Dauphin de 15h à 18h):Rencontres musicales au féminin.

Programme

Plusieurs affichescomme celle-ci ont étédiffusées dans les écolespour faire réfléchir lesélèves sur les relationsfilles - garçons.

22/23CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

ls ont des idées plein la tête!Cette année, le conseil consulta-tif des jeunes regroupe douzecollégiens et lycéens issus de dif-férents établissements scolaires.Inscrits sur la base du volonta-

riat, ils font partie de cette instance pourporter des projets qui leur tiennent àcœur. Mais pas n’importe lesquels.Conseillés par des animateurs, leurs actions doivent être utiles au plus grandnombre. Mise en place de groupes detravail, visites, rencontres avec des éluset des professionnels… ils apprennent à s’organiser, à définir ensemble despriorités. Des qualités dont ils doiventfaire preuve pour rénover le skate parkde Trivaux. Créé à l’initiative des Ccjistesen 1996, cet équipement est très appré-cié par la jeunesse meudonnaise. Maisil montre des signes de fatigue. Lesjeunes ont suggéré de le moderniseravec des modules plus adaptés aux pra-tiques actuelles. La Ville leur a donnéson feu vert et les travaux devraient débuter cette année. Mais avant cela, ils ont dû préciser leurs attentes en

effectuant tout un travail de terrain:sondage auprès des utilisateurs et d’associations spécialisées, visites de structures dans d’autres villes.

JOINDRE L’UTILE À L’AGRÉABLELes Ccjistes sont aussi à l’origine des « teufs solidaires. » Le concept ? Organiser des soirées dansantes auprofit d’une association caritative oud’une cause particulière. Le but n’estpas de récolter de l’argent mais dedonner des fournitures scolaires, desjouets, toutes sortes d’objets suscep-

IÀ l’image du conseil municipal, les Ccjistes élaborent des projets de solidarité ou de citoyennetéen faveur des Meudonnais, notamment des jeunes. L’occasion pour eux de vivre une expériencecivique enrichissante et de mieux comprendre le fonctionnement de leur ville.

De jeunes porte-parole

”

J’ai rejoint le groupe desCcjistes cette année.

Les animateurs de l’espace jeunesse nous ontdemandé quels projets on souhaitait mettre en place. J’ai eu l’idée d’organiser une actionautour du handicap avec l’accueil de loisirs Le Val, qui propose déjà des animations dans cedomaine. Ces questions me touchent de près,car il y a aussi des élèves malvoyants dans mon collège. Les personnes handicapées sontparfois rejetées et je trouve ça injuste. Mon projet a plu et d’autres jeunes pourraientbientôt venir m’épauler.

Lucina (13 ans)Collège Rabelais

J’avais envie de m’investirpour ma ville et de me rendreutile. Je m’occupe surtout des « teufs solidaires. »

S’il s’agit juste de s’amuser, je peux très bien le faire avec mes amies. Là, c’est différent ! En plus de décorer la salle et de lancer desinvitations, nous aidons une association,comme l’Unicef en février par exemple. Pour entrer, il faut apporter quelque chose, une peluche, des fournitures scolaires qui serviront à d’autres jeunes. Nous passonsun moment agréable ensemble et réalisons une bonne action.

Micro trottoir

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Maxime (13 ans)Collège Rabelais

”

Rendre service etreprésenter les jeunesmeudonnais du mieux

possible. Ce sont là mes motivations. Depuisl’année dernière, je m’implique dans plusieursprojets, en particulier celui du skate park. En 2012, j’ai participé à l’organisation d’une compétition de skate et de trottinette.Je me suis occupé de la mise en place des stands, des questions de sécurité, de prendre des photos, etc. L’idée était de rassembler du monde et de faire vivre ce lieu. Le skate park est trèsapprécié des jeunes mais mérite d’êtreamélioré.

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Gracia (14 ans)Collège Bel Air

“

tibles de faire des heureux. De quatreà cinq teufs ont lieu durant l’annéescolaire, généralement dans une salledu complexe René Leduc, le samedisoir. Une manière de s’amuser sanspour autant oublier les personnesdans le besoin. Si vous souhaitez àvotre tour faire bouger les choses etrejoindre le CCJ, rien de plus simple :il suffit d’avoir entre 11 et 17 ans, d’êtreporteur d’un projet et de contacterl’espace jeunesse. CF l69 rue de la République01 46 26 06 63

Les prix de la Bourse de l'aventure 2012 remis par Florence de Pampelonne, maireadjoint déléguée à la jeunesse.

103 MARS 13_Mise en page 1 15/02/13 10:47 Page4

24/25CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

ASSOCIATIONS

’association familiale deMeudon-la-Forêt souffle ses50 bougies cette année. Elleest l’un des symboles deMeudon-la-Forêt. Celle-ci aaccompagné et animé toute

l’histoire de ce quartier. Encoreaujourd’hui, elle affiche une vitalité sansfaille, avec 460 familles adhérentes.Soutien scolaire, cours d’alphabéti-sation, baby bourse, aquagym, yoga,tennis de table, broderie, peinture,visites de quartiers et sorties en tousgenres… Plus de 100 bénévoless’investissent au quotidien en donnant

un peu de leur temps. «À une époque,l’association familiale de Meudon-la-Forêt et l’église étaient les deuxentités qui donnaient vie au quartier,précise Gérard Chastres, président del’association. Favoriser une entraideentre citoyens a toujours été notrecheval de bataille. Mais nousproposons aussi quantité d’activitésculturelles et sportives. » Ce 50e

anniversaire devrait être célébré en find’année. Dans une prochaine édition,Chloroville reviendra sur le programmedes festivités. CF l

0146316294

L

Une association familiale au service des Forestois

Tout pour dépannerDéjà présente à Saint-Cloud, à Sèvres et àBoulogne-Billancourt, l’association intermédiaireActive Présence a ouvert son antenne àMeudon. Spécialisée dans l’économie sociale etsolidaire, elle propose des services de proximité ponctuels ou réguliers auxparticuliers, aux entreprises et aux collectivités :ménage, repassage, bricolage, jardinage,manutention, assistance administrative, etc.86 rue de la République Lundi au jeudi : 9h à 12h30. 01 45 07 99 72

Service

Créez, décorez, admirez…Les Amis des fleurs et jardins de Meudon vousinvitent à leurs cours d’art floral. Un mardiaprès-midi par mois, au complexe René Leduc,les séances sont l’occasion d’aborder un thèmeparticulier : bouquet naïf du douanierRousseau (19 mars), printemps japonisant (2 avril), bouteille végétale (23 avril) et bouquet à la main (28 mai).Cours d’art floralYvette Rousselet01 46 38 35 53

Comité des seniors Le comité des seniors vient de tourner une nouvellepage de son histoire. Situé toujours au 11 rue de laRépublique, il a fait l’objet de travaux de rénovationpuisque les locaux de l’ancien vestiaire municipal ont été refaits à neuf (peinture, électricité, fauxplafonds…) Le comité a ainsi doublé sa surface, avec des espaces plus modernes et un hall d’accueilspacieux. Dans sa nouvelle formule, il développe aussi des activités inédites, dont le meilleur exemple est la mise en place d’un cybercafé avec webcam dans les clubs seniors.

Loisirs Modernisation

C’est du propre!Voilà un butin dont on aimerait pouvoirse passer. Organisée par le comité desauvegarde des sites de Meudon, l’opé-ration Forêt propre a mobilisé 420 bé-névoles en 2012. Résultat : 5 tonnes dedéchets en tous genres ramassés en un après-midi seulement. Cette action,pour laquelle le public est attendu nom-breux, sera renouvelée cette année pourla 31e fois. Elle se déroulera aux étangsde Trivaux et de Meudon, à la maison forestière du Bel Air et au parc du Tronchet. lSamedi 23 mars à partir de 14h. 01 45 34 25 69

Particuliers, scouts et membresassociatifs se réunissent à

chaque printemps pour retirer lesdétritus qui polluent la forêt.

Pupilles de la nationL’association nationale des pupilles de la nation et orphelinsde guerre ou du devoir recherche, dans les Hauts-de-Seine,les enfants de parents déportés, fusillés ou tués au cours dela Seconde guerre mondiale. Ceux-ci peuvent prétendre à uneindemnisation.> 01 46 03 93 42 / 06 80 66 87 97 / ja.bonnet@wanadoo.fr

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Les membres del'association lors d'unebaby bourse.

RENCONTRE

EXPRESSBIO

ÉRIC LECERF

13 décembre 1963Naissance à Montargis

1979-1982Apprenti, puis commis à l’hôtel de la Gloire, à Montargis

1982-1989Sous-chef de Joël Robuchon au Jamin, à Paris

1992-1996Chef des cuisines du Park Hôtel à Perpignan,une étoile au guide Michelin

1996-2003Chef des cuisines de l’Astor, à Paris

1999Décroche sa deuxièmeétoile au guide Michelin

2003-2012Chef de l’Atelier de Joël Robuchon, rue Montalembert

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Si Joël Robuchon m’ainfluencé ? Au bout detant d’années ensemble,vous êtes forcément un peu marqué.

26/27CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

On parle de la cuisine comme d’unmétier de passionné. Avez-vous toujourseu envie de porter la toque ?Tout en tout cas je me destinais auxmétiers de bouche. Mes parents étaientbouchers charcutiers, et c’est d’ailleursune formation de ce type que j’aurais dûsuivre. Faute de place, j’ai bifurqué vers lacuisine. Ce monde était à la fois nouveauet familier, mais je n’ai jamais regretté cechoix.

Comment s’est négociée votre entréedans la brigade de Joël Robuchon ?J’étais alors en formation à l’hôtel de laGloire à Montargis. Des viennoiseries aupain qui accompagnait les plats, onfaisait absolument tout nous-mêmes.Nous étions une petite équipe où lesmembres veillaient les uns sur les autres.C’est entre ces murs que j’ai découvertvéritablement le métier de cuisinier. Ilétait de coutume qu’à la fin de leurapprentissage les élèves restent six moissupplémentaires pour former la relève.Cela laissait aussi le temps au patron,Monsieur Joly, de nous trouver uneplace à Paris. Je devais entrer au Crillon,mais à l’arrivée on nous a annoncé que lepersonnel était au complet pour aumoins six mois. Mon patron a parconséquent contacté Joël Robuchon quivenait d’ouvrir le Jamin. C’est ainsi quej’ai commencé chez lui comme commis.Le hasard fait parfois bien les choses…

Faire ses débuts au côté d’un grandchef, ça ne doit pas être évident…Ces premières années ont été aussi difficiles qu’enrichissantes. Ça doit êtrecomparable à ce que traverse unétudiant de grande école : vous n’avezpas un moment à vous. D’autant plus,quand vous avez la chance, comme moi,

d’arriver au début de l’histoire etd’obtenir, en trois ans, autant d’étoiles au guide Michelin. C’est peu dire que ces huit années au Jamin ont constituéun tournant dans ma carrière. Là-bas, j’ai acquis savoir-faire, rigueur etorganisation.

Avez-vous des points communs avecJoël Robuchon ? En tant que chef,n’est-ce pas difficile de grandir dansl’ombre du cuisinier le plus titré del’histoire ?C’est vrai, nous partageons des idéessimilaires sur un certain nombre desujets, notamment dans la recherche du meilleur producteur. Que ce soit auJamin ou à l’Atelier, nous n’avons jamaisconfié nos commandes à un seul etunique fournisseur. Au contraire, ontenait à en avoir un pour la viande deveau, un autre pour la volaille, afind’offrir le meilleur produit qui soit. S’il m’ainfluencé ? Au bout de tant d’annéesensemble, vous êtes forcément un peumarqué. Patricia, mon épouse, se plaît àdire qu’elle nous a épousés tous les deux,Joël Robuchon et moi. Petit à petit, voustrouvez votre propre voie. Mais la lignequ’il a tracée reste bien là pour vousguider.

Vous travaillez à Paris depuis plus dedix ans, mais vous êtes Meudonnais defrais…On a déménagé d’Issy-les-Moulineaux il ya moins d’un an. Nos enfants étantscolarisés à l’Institut Notre-Dame, nousavons souhaité nous rapprocher.Meudon représente exactement ce qu’ilnous fallait : la proximité de Paris et uncadre beaucoup plus calme que notreprécédent logement. Mais cela ne nousempêche pas de rentrer régulièrement à

la campagne, pour un week-end, dansnotre maison de Sologne.

Pourquoi quitter la grande gastronomiepour ouvrir un bistrot ?Ça fait longtemps que j’y songe. Monépouse et moi ne voulons pas nous lancer dans la course aux étoiles. Voussavez, c’est une immense joie d’enremporter une, puis une seconde. Lareconnaissance de la profession constitueune belle récompense aussi bien qu’unaboutissement pour toute l’équipe, maiscela fait peser beaucoup de pression survos épaules. Moins de tracasseriesadministratives, d’argenterie… Je veuxrevenir à plus de simplicité. En cuisine,notre mot d’ordre restera le même. Le produit avant tout. RG l

Un meudonnais étoiléCommis de cuisine quand il rencontre Joël Robuchon, il est chef doublement étoilé lorsqu’il lequitte. Si l’épopée de 30 ans, qui a vu les deux chefs s’accomplir et rafler les macarons Michelin, a pris fin l’an dernier, l’amitié, elle, est restée. Tout comme l’amour de la cuisine et des produits de qualité, qui habitent Éric Lecerf et son épouse Patricia, à l’aube d’une toute nouvelle aventure :un restaurant, cela va de soi, mais le leur.

Quantité de chefspréfèrent le noir au blanc. Cette modevestimentaire estpartie des cuisines de l’Atelier de Joël Robuchon, raconte Éric Lecerf. « Les cuisinierstravaillaient devant lesclients et la décorationdu restaurant étaitrouge et noire, on atrouvé que c’était plusélégant comme ça. »Voilà toute l’histoire !

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près 20 ans passés comme assistante de direction, la Forestoise Pascale Lépinay a fait le pari d’une reconversion

à 180°. Elle est aujourd’hui masseurcanin. Passionnée par le monde animaldepuis sa tendre enfance, elle réaliseainsi son rêve. Titulaire d’un certificat decapacité obtenu auprès de l’associationChien-Zen, Pascale Lépinay se déplaceà votre domicile pour l’aider à maintenirun bon équilibre physique et émotionnelainsi que soulager ses tensions muscu-laires. Les bienfaits sont les mêmes queceux des massages humains. Le mas-sage canin ne se substitue en aucun cas aux soins vétérinaires dont l'avis seratoujours demandé en cas de doute. l06 68 03 82 18monchienrelax.com

ENTREPRENDRE

rès du carrefour de la Ferme, dans le quartierdes Montalets, Stéphane Zamolo a ouvert unmagasin de cycles, spécialisé dans les VTT,

vélos de route, vélos électriques et vélos de compé-tition de la marque allemande Cube, ainsi que tousles accessoires nécessaires pour la pratique inten-sive du vélo (chaussures, tenues complètes et matériel d'entretien). Pour la pratique en loisir,comme en club, sur les routes comme sur terre,Cube et son représentant meudonnais se targuentd'avoir un vélo adapté à chaque usage. Au premier abord, la reconversion de Stéphane Zamolo, qui sortait de 15 ans de distribution de dé-codeurs satellites puis d'abonnements audiovisuels,tient plus du grand écart professionnel que de l'évidence. Au contraire, explique-t-il, au momentd'enfourcher la carrière de vendeur de cycles, c'est

la passion qui a parlé : « Je fais du vélo depuis unbon moment, ça m'est apparu naturel. Je me disaussi que j'ai quitté le virtuel pour retrouver du ma-nuel, les bases de la créativité et du plaisir. » Installédans une ancienne boulangerie qu'il a entièrementréaménagée, il reçoit depuis juin des pratiquants de VTT de tous les environs, venus étrenner leurmatériel en forêt de Meudon. Le commerçant commele vététiste en lui sont aux anges : « De Chaville àBoulogne, en passant par Issy-les-Moulineaux, il y aune vraie communauté qui vient rouler à Meudon. » l

Vélo vente6 rue de Paris. 09 82 21 22 82Du mardi au samedi de 10h30 à 12h30 puis de 14h à 19h, et le lundi de 14h à 19h

Les vélosc’est son rayon

Des murs pas comme les autres Dessinateur passionné et ancien compagnondu devoir, Pascal Lesellier s’est installé à Meudon-la-Forêt et propose des illustrationsà l’aérosol sur mur. Chambres d’enfants, murs extérieurs ou intérieurs, vous luisoumettez vos idées, il les réalise à la bombeavec dextérité.Da Overground Kolorz’sCentre commercial Joli Mai4 square des Colonnes06 24 80 16 29

DécoLibrairie

PStéphane Zamolo a ouvert voilà quelques mois son magasin de cycles,Vélo vente, rue de Paris. Une reconversion qui lui réussit.

i NFORMATIONS PRATIQUES

Les petits mots succèdent à la librairie LépineAu départ de Monsieur et Madame Lépine, la librairie-papeterie du centre-ville a étéreprise mi-janvier par Catherine Fons.Attention, le numéro de téléphone et les horaires d’ouverture ont changé. 160 rue de Paris 09 83 82 14 26Du mardi au samedi de 9h30 à 13h et de 14h30 à 19h, et le lundi de 14h30 à 19h

Relax,Max!

A

Catherine Fons et Sarah Maupetit.

28/29CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

Conseil emploiGestion de carrières (bilans de compétence, transitions etreconversions professionnelles) et orientation pour les jeunes, telssont les domaines d’intervention de Sophie Luksenberg qui vient de s’installer sur Meudon.34 avenue du Général Galliéni06 20 98 73 78

Secrétariat et traductions à la carte !Vous êtes chef d’entreprise, artisansou vous exercez une professionlibérale ? L’embauche d’unesecrétaire peut être compliquéefinancièrement ou d’un point vuematériel. Parmi les solutions, il y a lerecours à un(e) professionnel(le) enfree-lance. C’est ce que vous proposeCéline Michelot avec du soutienadministratif classique ou spécialisé,de la traduction français-anglais, de la gestion logistique. Tous ces services fonctionnent à la carte, sur devis, sans engagement, en télétravail ou sur site. 42 allée de la Forêt06 63 56 16 98 celassistante.com

Face à la gare de Val Fleury, une nouvelleenseigne, Bio c’Bon, ouvre le 9 mars. Cemagasin d’alimentation bio et de pro-duits naturels fait partie d’une chaîne quicompte 28 magasins. L’enseigne pro-pose plus de 4000 références de pro-duits frais, à des prix accessibles. En plusdes fruits et légumes de saison, des pro-duits frais, de l’épicerie salée et sucrée,des céréales, des fruits secs et d’un espace traiteur avec pain et fromage à la coupe, vous découvrirez aussi unrayon dédié au bien-être. Enfin, le maga-sin propose un panier fruits et légumesbio à 10 € tous les jours de la semaine et sans réservation. lBio c’ bon8 ter rue Banèswww.bio-c-bon.eu

Un Carrefour Cityplace Stalingrad

a supérette de la place Stalingrad a changéd’enseigne le 9 janvier dernier. Elle s’appelledésormais Carrefour City. C’est un Meudonnaisqui, en indépendant, a repris l’affaire. Carrefour

City est une surface de proximité de 300 à 400 m2. Le magasin a été entièrement relooké, de la façade aux rayonnages et le personnel de caisse a été repris.Côté produits, la gamme a été largement étendue et

bonne nouvelle pour les clients fidèles, les points sur les anciennes cartes Shopi peuvent être transférés sur la nouvelle carte du magasin. l1 place StalingrandDu lundi au samedi: 7h à 22hDimanche de 9h à 13h 01 45 34 11 81

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En bref

Meudon-la-Forêt: AppolinoAvenue de Celle, le petit magasin longtemps fermé vient d’être repris par Reza Syed qui tient également le Burger Forest. Le maga-sin propose des cadeaux en tous genres à petits prix : bijoux, accessoires, petits meubles, quincaillerie et articles pour animaux. 17 avenue de Celle01 41 28 57 42Lundi au dimanche : 10h à 12h30 et 14h à 19h30

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Et le vainqueur de la voiture est...Alain His est désormais l’heureux propriétaire d’une Citroën C1 flambant neuve. Comme de nombreux Meudonnais, il a participé au jeu concours organisé par les commerçants des marchés de Maison rouge,Bellevue et Meudon-la-Forêt, en décembre dernier. Patientant gentiment chez le concessionnaire, son prixà quatre roues lui a été remis par Léon Hovnanian,maire adjoint chargé du commerce, le 29 janvier.L’histoire ne dit pas si Alain His fait désormais ses emplettes à bord de son nouveau véhicule. l

Du bio àVal Fleury

Un cours de zumbapermet de brûlerentre 500 et 800 calories.

SPORTS

vec un nom pareil, lesuccès est forcément aurendez-vous. Lors duforum des loisirs, la mêmequestion revenait sanscesse: où peut-on

pratiquer la zumba? Partout, cenouveau sport qui allie rythmesendiablés, chorégraphies et fitness faitfureur. Face à un tel engouement, laMaison pour tous a mis en place nonpas un, ni deux, mais trois cours dansla semaine. Si 64 personnes s’y sont inscrites, 50 autres demandesn‘ont pu être satisfaites. Cesaficionados de danses effrénées etsensuelles se retrouvent à la salleMonnet à Meudon-la-Forêt. « La profest top, elle met une ambiance du tonnerre et sait se montrerpédagogue, s’enthousiasme Nassira,32 ans. La zumba est un bon moyen defaire du sport sans vraiment s’enrendre compte. Mais il faut êtreendurant, car c’est très physique.» Unavis partagé par Florence, 47 ans :« Cela donne la pêche et permet definir la semaine en beauté. J’aimedanser sur des musiques entraînantes.Les mouvements sont parfois un peu compliqués à retenir… alors ons’accroche!»

BOUGEZ, TRANSPIREZ, DÉFOULEZ!Élisabeth Fylla, qui donne égalementdes cours à l’espace Jules Verne, posedeux clés USB devant une chaîne Hifi :une avec des musiques « soft » pourl’échauffement et une autre avec deschansons plus rapides. Étirements, rotations des hanches et du cou, laséance débute en douceur. Le calmeavant la tempête. Décontractée et toutsourire, ce professeur fait monter latempérature, frappe dans ses mains,enchaîne les pas : en avant, en arrière,sur le côté, tour complet sur soi-même, bras en l’air. « Alors, ellesassurent, non ? », lâche-t-elle pour

encourager ses troupes. Au bout dequinze minutes, les filles s’accordentune courte pause pour boire un peud’eau, s’éponger et reprendre leursouffle. Et ça repart de plus belle !«Le but n’est pas d’apprendre à dansermais de s’éclater, de se vider la têteaprès une journée de travail, indique Élisabeth Fylla. Ma priorité est de mettretout le monde à l’aise. Je passe tous lesstyles musicaux, de la salsa, du hip-hop,de la musique africaine, etc. C’est unebonne activité cardio-vasculaire quipermet de se muscler. Toutes les partiesdu corps sont sollicitées, surtout lesjambes. Certaines filles viennent pourperdre du poids, pour retrouver unventre plat après avoir accouché. Elles ont entre 18 et 53 ans et ne seprennent pas au sérieux. On travailledes chorégraphies en groupe, avecdes mouvements que l’on répète surplusieurs séances. » Pour s’initier à la zumba, une paire de basket et un

jogging suffisent. L’essentiel est delaisser ses inhibitions au vestiaire. À l’image de la Maison pour tous, lescours proposés par les associationsTisbafunk et l’Amicale loisirs et culture(ALC) sont pris d’assaut de la mêmemanière. Popularisées par Véroniqueet Davina, les séances d’aérobic avaientmarqué les années 80. Aujourd’hui,c’est au tour de la zumba de défrayerla chronique. Pour entrer dans la danseà votre tour, pensez donc à vous inscrire très tôt. CF l

A

Tous accros à la zumba!On ne parle plus que de ça! À mi-chemin entre le cours de danse latine et de fitness, la zumba est la nouvelle discipline à la mode pour se défouler, oublier ses soucis et affiner sa silhouette. Un seul mot d’ordre: transpirer et se faire plaisir.

Histoire d’une cassetteAu milieu des années 90, le professeur d’aérobic colombienAlberto Beto oublie la musique avec laquelle il donnaithabituellement ses cours. Il improvise avec la seule cassette à sa disposition: un enregistrement de salsa et de merengue.Ses élèves ont adoré faire de l’exercice sur ces musiqueslatines. La zumba venait de naître par accident.

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30/31CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

En plus de supporterles footballeursarméniens, cesamoureux du ballonrond vont fouler lesterrains lors derencontres sportivesamicales.

ous sommes le 11octobre2011. Ce jour-là, l’équipenationale arménienne defootball affronte l’Irlandeà Dublin, lors d’un matchqualificatif pour le cham-

pionnat d’Europe. Après une rencon-tre haletante, l’Arménie s’incline 2 à 1.Une déception mêlée de fierté pourde nombreux Meudonnais présentsdans les tribunes. Ils font tous partiede l’association Armenian nationalteam supporters, dont le siège estdésormais installé à Meudon.

UNE COMMUNAUTÉ BIEN REPRÉSENTÉERegroupant une cinquantaine d’adhé-rents de 18 à 30 ans, dont quinzefemmes, ces mordus de ballon rond se sont aussi déplacés deux fois enBelgique pour encourager leur équipefétiche. Ils ont toute la panoplie du

supporter, écharpe, banderole, dra-peau… et revendiquent une ambiancefamiliale, festive. Car pour eux, lesport est d’abord un moyen de vivredes émotions fortes et d’affirmer leur amour pour leur pays d’origine. « Cette formation existe depuis 1991,date de l’indépendance de l’Arménie,précise le forestois Sarkis Danielian,

président et membre fondateur del’association. C’est une nation de foot-ball jeune mais très prometteuse.Nous retrouver dans un stade au plusprès des joueurs est notre priorité.Cela nous fait forcément vibrer ! Maisil n’est pas toujours simple de partir à l’étranger. Le plus souvent, nous regardons les matchs sur la chaîne EU Armenian TV. La communauté arménienne est bien représentée à Clamart, à Issy-les-Moulineaux et,bien sûr, à Meudon. Nous sommes sou-dés et partageons la même passion. »

S’ils ne font partie d’aucun champion-nat, ils proposent toutefois des ren-contres sportives amicales à Clamartd’une part, et au stade de la Pointe de Trivaux, l’été, lorsque les terrainssont libres.

LES NOUVEAUX SUPPORTERS SONT LES BIENVENUSEn juillet dernier, l’association a d’ail-leurs mis en place son 1er tournoi de football en salle au complexe sportifGeorges Millandy. Un franc succès: plusde 100 personnes, venues de toute l’Île-de-France, étaient présentes dansles gradins pour applaudir les douzeéquipes participantes. « Notre objectifest de nous faire connaître et d’accueillirde nouveaux membres, qu’ils soient ou non d’origine arménienne, poursuit Sarkis Danielian. Nous envisageons de créer notre propre site Internet. En attendant, les personnes intéresséespeuvent prendre connaissance de notreactualité sur Facebook.» En septembreprochain, ces supporters franchiront les Alpes pour assister au match Italie- Arménie. Une place à la prochainecoupe du Monde est en jeu. Même sileurs joueurs vedettes ont peu dechances de se qualifier, le plus impor-tant est de profiter pleinement de cetévénement dans un pays où le footballest roi. CF lRenseignements au 06 03 04 29 56

facebook.com/armenian.nts

N

Le football: lien de fraternitéIl y a du nouveau dans le paysage associatif meudonnais. Installée depuis peu à Meudon, l’associationArmenian national team supporters (ANTS) réunit des fans de football. Leur plaisir: encourager leurs joueurs vedettes et tisser des liens d’amitié forts entre personnes d’origine arménienne.

8eGarance Degos n’en finit plus de faire trembler les bassins.Au championnat de France élite,l’étoile montante de la natationmeudonnaise s’est classée 8e

à la finale du 50 m brasse (catégorie : 14-18 ans).

RÉSULTAT DU MOIS

TRIBUNES

Des milliers de personnes motivées ont défié les frimas pour défiler dans la rue « Pour » ou « Contre » le Mariage pour tous. C’est un vrai sujet d’évolution sociétale : un passupplémentaire dans l’acceptation de ladifférence et de la diversité qui a déjà étéfranchi dans d’autres pays. La problématiqueréside cependant dans les conséquences dumariage et en particulier sur la problématique

des Mères porteuses (Gestation pour autrui)heureusement exclue du projet de loi actuel.C’est un sujet qui relève de la Protection del’Enfant et de la Protection de la femme et quidemande une réflexion éthique et une stricteréglementation.

Nadia MORDELET-CARRIÈREnadia.mordelet@gmail.com

GPSO vient d’adopter son budget. Et ce sont lesménages qui paieront ! Depuis la suppression de lataxe professionnelle, nous avons toujours insistépour qu’aucune « fiscalité ménage » ne soitinstaurée sur le territoire de notre communauté. Or avec cette décision, seuls les ménagessupporteront l’effort fiscal à venir. Bien sûr, lamajorité UMP/UDI de Meudon comme celle desautres villes de GPSO, va se glorifier de ne pas avoiraugmenté le taux des taxes locales. Pas de haussedes fiscalités communales en apparence ? Mais enapparence seulement, car sans un mot sur les 10,9millions d’impôts pesant en réalité sur les ménagesde GPSO du fait des décisions des maires !

Une hausse de 9% du taux communautaire de la TH,combiné avec la hausse des bases, entraînera doncune augmentation de 12 % du produit de cet impôt surles ménages. Or cette taxe est inégalitaire comptetenu de l’obsolescence des bases locatives, et n’est pasprogressive. De fait, elle frappe tous les ménagesaveuglément ! A quoi s’ajoute la création d’une taxefoncière communautaire à 0,65 %. Au total, sur les 11,5 millions de recettes fiscales supplémentaires del’exercice 2013, 10,9 millions sortiront de la poche desménages. 95 % de l’effort fiscal supplémentairedemandé en 2013 par la communauté sera supportépar les ménages. Bien sûr des efforts sont à faire ; maisjustement répartis entre tous les contributeurs.

Pas comme ici. Cette fiscalité est une atteinte directeau pouvoir d’achat des ménages de GPSO.Sur les investissements, compte tenu des enjeuxconstatés officiellement, nous demandons quele budget 2013 consacre beaucoup plus demoyens à l'habitat. GPSO doit s'engagerdavantage dans la production et la réhabilitationde logements sociaux. Un appui financierbeaucoup plus significatif doit permettre à notreOffice Seine Ouest Habitat de participer à ceteffort indispensable.

MEUDON OXYGÈNE et ses élusMarc MOSSÉ, Bernard JASSERAND,

Philippe CARAMELLE

Les rois du bonneteau !

LISTE Meudon Oxygène

LISTE Meudon en action

À l’heure où les sondages de l’Élysée, sousSarkozy, font l’objet de plusieurs plaintes etqu’une instruction est en cours et où lesélections municipales se préparent, le maire deMeudon songe à l’avenir.En effet, il a fait réaliser une étudetéléphonique par Opinionway, auprès de 607personnes (population : 45058 habitants, corpsélectoral 30598) sur « la perception de la villeet de l’action municipale » par les meudonnais.Lorsque nous avons eu connaissance de cesondage, nous avons souhaité obtenir du maireplusieurs informations dont les questionsposées, à qui et le prix. Nous attendons depuisle 24 novembre la réponse. Nous avonsdécouvert, comme vous, dans le dernierChloroville, sous le titre « Votre avis nousintéresse », le résultat de cette « enquête »revu et corrigé à la sauce « du maire ».Et oui, il y a même un sujet où les 25-35 anssont satisfaits à 100% ! Et 83% des sondés

trouvent la ville moderne et dynamique… Il n’ya que 103 personnes pour apprécier de façondéfavorable le travail de la municipalité ou de laville, on ne sait trop, car là les analyses sontplus floues.Poser des questions afin d’obtenir les réponsesqui nous arrangent, faire parler des chiffres,est-ce bien raisonnable ? Gaspiller ainsi l’argent des meudonnais, pour que « l’équipemunicipale ajuste son action sur le terrain »…un an avant les élections municipales cela n’estpas acceptable, d’autant que cela évite defigurer dans les comptes de campagne.Un certain nombre de réponses à des questionspourtant semble-t-il posées ne figurent dansl’article: la notoriété du maire, l’image de lamunicipalité et des conseillers municipaux…Et la dernière : « êtes-vous de droite ou degauche ». Nous comprenons donc bien la démarche quin’est évidemment pas celle de l’ensemble des

élus. Pour notre part, nous avons plutôt desquestions de ce type :Êtes-vous satisfait(e) de : L’absence de logements sociaux à BellevueL’attribution des logements sociauxLa possibilité de loger dans le parc social touten disposant d’une résidence secondaireLa quasi absence de bus le soir et le week-endL’absence de lieux conviviaux destinés auxjeunes en particulier le soir et le week-enddu : Cumul des mandats et des fonctions pour unmaire ?Désert commercial de la ville en comparaisondes villes voisines ? Nous les poserons donc dans un autre cadre.

Loïc LE NAOUR, Solange MARLE, Françoise ROURE et Marie-Pierre ZUBER

cera.meudon@gmail.com ethttp://citoyens.ecologistes.radicaux.

et apparentes.over-blog.com

GROUPE Citoyens, Écologistes, Radicaux et Apparentés

Comment nous prendre pour des Consultés ?

En application de la loi du 2 février 2002 relative à la démocratie de proximité, un espace d’expressionest réservé aux groupes politiques composant le conseil municipal. Les textes, informations et chiffrespubliés engagent l’unique responsabilité de leurs auteurs et reflètent leur seule opinion.

32/33CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

LISTE Ensemble pour Meudon

Réforme des rythmes scolaires : trop vite, trop tôt, trop cher…À peine installé dans ses bureaux rue deGrenelle en mai 2012, le ministre de l’Éducationnationale annonçait, à grands renfortsmédiatiques, sa volonté impatiente de lancer laréforme sur les rythmes scolaires et de passerà la semaine des quatre jours et demi. Neuf mois après, où en est-on ?

On assiste à la montée en puissance des grèvesdes enseignants, aux interrogations inquiètessoulevées par les familles, aux préoccupationsdes communes qui objectent les importantesdépenses engendrées par une telle réforme.

Le Conseil supérieur de l’Éducation a rejeté le 8 janvier le projet de décret sur les rythmesscolaires. Quant aux représentants del’Association des Maires de France, s’ils neremettaient pas en question l’intérêt pour lebien de l’enfant, ils ont formulé de fortesréserves sur les modalités d’application et sur l’impact financier pour les contribuables. La mairie de Paris voulant donner l’exemplecomme gage d’efficacité auprès dugouvernement socialiste a décidé d’être parmiles premières villes à appliquer cette réformedès septembre 2013. Las  ! Comme le dit ledicton, «  les cordonniers sont les plus malchaussés  », puisque le 22 janvier, un largemouvement de grève affectait les écolesparisiennes du premier degré.

Au moment où la France devrait s’efforcer deréduire sa dette, ses déficits et de résorber lechômage, au moment où les collectivitésterritoriales sont durement touchées par labaisse de leurs ressources, il est demandé auxcommunes de s’engager dans une réforme desrythmes scolaires dont la mise en œuvres’avère plus compliquée que prévu par lesresponsables ministériels. Ainsi pour Meudon,cette réforme a un coût estimé entre 500 000

et 800 000 euros, ce qui n’est pas anecdotique.En fait, «  les collectivités se retrouvent àassumer un transfert de charges sans qu’il soitprécisé ce qui est pris en charge par l’Éducationnationale dans le temps scolaire et ce qui relèvede l’initiative communale dans un tempspériscolaire non obligatoire » mais nécessaire.

Pour calmer un peu la grogne, le gouvernementa annoncé qu’une enveloppe de 250 millionsd’euros sera consacrée à aider les villes àcondition que celles-ci s’engagent à mettre enplace ces rythmes scolaires dès septembre2013. Pour les autres qui auraient la prudence(ou l’imprudence, c’est selon  !) de prendre leurtemps et de la mettre en œuvre en 2014,circulez, il n’y a rien à voir ! Si on saisit bien, unpeu de précipitation ne nuirait pas selon leministre de l’Éducation nationale. Pour autant,les maires via les associations d’élus lui ont faitsavoir que la situation n’était pas aussi simplecar il faut prendre en compte les activités péri- et extrascolaires, les intervenants etl’encadrement des enfants, l’organisationmême des associations sportives, culturelles,de loisirs qui ont investi les mercredis et dont lefonctionnement s’en trouve forcément affecté.C’est sans compter aussi tout ce qui concerneles modes de transport.

Bref, on comprendra aisément que cetteréforme, qui pourrait recueillir l’assentiment denombreux Français selon de récents sondages,mérite mieux que précipitation, injonctions oureprésailles ! Pour qu’un projet soit acceptable,il faut qu’il recueille l’adhésion de la majoritédes acteurs concernés dans toutes sesdimensions et ne pas devenir une crispationdogmatique.

Or il faut se rendre à l’évidence : le compte n’yest pas puisque même les enseignants, ontcommencé à critiquer fortement la manièredont s’engage cette réforme. Ainsi le principalsyndicat des enseignants du primaire a-t-il jugéle projet en l’état «  incomplet, bricolé etinsatisfaisant ».

Dès qu’elle a eu connaissance de ce projet deréforme, la Municipalité a bien entendu travaillésur le sujet et elle a engagé une largeconcertation de tous celles et ceux concernésdirectement ou indirectement par cetteréforme  : représentants des parents d’élèves,communauté éducative, équipements etassociations qui proposent des activitéssportives, culturelles ou de loisirs et égalementles représentants des cultes… Un questionnairea été diffusé auprès des Meudonnais et dont lecompte-rendu sera livré lors d’une conférencesur le sujet des rythmes scolaires le 23 février.

Cette réforme, dont nous ne contestons pasl’intérêt pour l’enfant (encore que certainsenfants auront des journées tout aussi longuesqu’actuellement…), demeure floue et ambiguëdans son dispositif  : les impacts budgétairespour les communes et les familles sontminimisés par le gouvernement, les exigencesen matière d’organisation des nouveaux tempspéri-éducatifs ne sont pas toujours connues…

Espérons que le bon sens prendra le dessuspour que les familles comme les communes nepâtissent pas d’une nouvelle réforme malpréparée, mal partagée.

La majorité municipale (liste Ensemble pour Meudon)

PRATIQUE

NaissancesMohamed SALHI n Hugo JOYEUX n Isaure et Roxane JOUFFRAY n Louise

LEBEAU n Adam SALHI n Gaëtan JAGUIN n Eléonore MICHEL n Sélyan REB-

BANI n Eléonore EWALD n Rafaël VASILEV n Mahamadou HAIDARA n Selma

DOUZI PAWLOWSKI n Alice BODEN n Mouhamed CAMARA n Thao-Mien

NGUYEN n Naïm BOURGUIBA n Nahil ATITA n Riyad AMZAOUI n Meriem

GHAZLI n Eva DECKER n Noémie PAUMIER n Mia BONNEFEMME n Alicia

PAQUEROT n Maxime NESTOR n Lyana MOLLAT WILLIAM n Massé SAKHO n

Manon SILHOL n Julia BERTHELIER n Lou TOUZEAU n Wendy LEVÊQUE CARO

n Adrien SOREL n Sandro CARRET n Anaïs JORDAO LIMA n Lucas ONEA n Nino

SANCHEZ NOYAL n Linda MAROUSÉ n Thomas LEVAVASSEUR n Mathieu

CHABANNE VAN SOOM n Mohamed-Amine SAIDI n Esteban LOZAC'H n Georgi

BAGHDASARYAN n Valentine PAQUIN DUMAS n Zoé MULIMBI n Sirine HLALI

n Donovan ROETS n Hugo WAGNER n Phoebé SQUELI dit SCALI n Lilou

HILLAIRAUD OTTAVY n Jacques et Diane ALLUAUME n Malake EL KHANDARI

n Danyl AYADI n MAKKOURI n Joshua BADLOU n Gabriel FERNANDEZ LUENGO

n Julia NOIRAY MARTINEZ n Aïssatou-Dalanda BAH n Lindsay MANYOTIS n

Léonie LABROUSSE n Medhi EZAR n Anaïs de HERDT n Élora BLANVILLE n

Melissandre SANCHA n Diane CADIGNAN n Ayoub BERRAHMA n Noham

AKROUF n Sabrina LEROY LELEU n Wael et Hayden TURKI n Noam SAKO n

Antoine ELIAS n Olivia ERGAND n Abdel et Nora MESSAOUDENE n Manon

VIDALENC n Elias DOSSO n Raphaël BRILLAULT n Margaux DUMAS DURAO n

Julie FLOCON n Arthur RAY LOPEZ n Léo et Noa DAEGELEN n Camilo

BERROA BRITO HERNANDEZ n Aurélia HASSANI n Lenny GARCIA n Clémence

et Corentin RICHARD n Rima BAKALTI n Joseph GRUAU n Marie MOLET n Paul

VALADIÉ BABINET n Aurelio ALBINO

MariagesRitha-Aude KENFACK et Jean TCHAM POUOKAM n Stéphanie MARTINS et

Carlo MOURAD n Claire WILLS et Xavier DIQUET n Sarah OUARAB et Tarik

NAJJARI n Nodiadé SEVEDE et Gbalaud LOHORE n Djouher ALILI et Samir

BELAHOUANE n Véronique POLI et Loïc DONNARD n Catherine BABINET et

Pierre DAVOUST n Kumiko KOBAYASHI et Jean François CHAPPUIT

DécèsJacques DELAMBRE (87 ans) n Geneviève VOITURIER épouse JOUEN (90 ans)

n Renée LE BOZEC épouse BARA (79 ans) n Fadhila BEJAOUI KHAROUNI

(63 ans) n Gabriel PASTOL (54 ans) n René BOUTARD (76 ans) n Yvette HUGUET

épouse CURATI (88 ans) n Monique SAUTON épouse GILLET ( 70 ans) n Gilbert

AUREAU (88 ans) n Françoise MATHIEU de VIENNE épouse DURET (65 ans) n

Selim HADDAD (50 ans) n Jeanne CORNEILLIEZ épouse HUET (85 ans) n

Monique BRANCHE épouse SAULET (73 ans) n Annick SEYSSEN-JAAN (52 ans)

n Élie CHICHEPORTICHE (86 ans) n Jean-Claude SAULCE (73 ans) n Raoul

BEAUFILS (87 ans) n Saïd ACHOUR (87 ans ) n Yvonne DAGONET (90 ans) n

Yvonne DAGONET (91 ans) n Janine RIVAUX veuve GIRARD (92 ans) n Marie-

Thérèse LEGROUX veuve SIMSON (60 ans) n René JOUY (91 ans) n Simone

RIXAIN divorcée GOUET (83 ans) n Andrée MAUGER veuve BENUSSI (87 ans) n

Abbassia LAZREG veuve TERBECHE (77 ans) n Georgios PAPADOPOULOS

(87ans) n Madeleine TOQUÉ épouse DARCQ (93 ans) n Jeanne GASCHARD

veuve GAUTIER (95 ans) n Claudine BOMBARDIERI épouse EICHHORN (71 ans)

n Bernard HAVARD (87 ans) n Eugène BOHEC (92 ans) n Marie DANA

veuve KOMLOS (75 ans) n Etienne MURCIA (85 ans) n VBouaphang SOUM-

PHOLPHAKDY veuve NA CHAMPASSAK (92 ans) n Géry SPIERS (55 ans) n

Manuel VAZ COELHO (82 ans) n Saïd BEY (79 ans) n Bernard DELAITRE (79 ans)

n André VERNIER (69 ans) nJacques GALLIN-MARTEL (84 ans) n Jean THOYON

(98 ans) n André LALOUX (90 ans) n Laurence BOCAGE (53 ans) n Yvette COLÉ

épouse GASPERONI (74 ans) n André ROLLAND (102 ans) n Gaëlle SAMAIN

veuve de RAUGLAUDRE (94 ans) n Nicole BECKER épouse DAVI (87 ans) n

Brigitte CHAPEY (57 ans) n Alice CAMHI épouse CENTA (81 ans) n Gabrielle

DANDONNEAU veuve HUTTE (88 ans) n Delphine PARICKMILLER (34 ans) n

Charles HÉDRICH (87 ans) n Gisèle PLUMYOEN (77 ans)

DÉCEMBRE 2012 - JANVIER 2013

HommageGaëlle de Rauglaudre. Cette grandedame meudonnaise s’est éteinte le 18janvier dans sa 94e année. Beaucoupd’entre vous la connaissaient, tant elleétait impliquée dans la vie associative.Journaliste à France Inter, elle y avaitanimé plusieurs émissions comme La vie en marche, Le bonheur n’a pas d’âge. Gaëlle de Rauglaudre ne pouvait concevoir sa retraite sans être tout aussi active. À titrebénévole, elle a réalisé et animé desémissions pour Radio Hôpital au centre hospitalier Ambroise Paré(Boulogne-Billancourt). Elle était chevalier dans l’Ordre des Arts etLettres.Hervé Marseille, Sénateur-Maire de Meudon, et le conseil municipalprésentent à Catherine Hamelin et à Jean-Louis de Rauglaudre, sesenfants, à ses neuf petits-enfants et à ses onze arrière-petits-enfantsleurs très sincères condoléances.

>

> Hôtel de Ville01 41 14 80 00> Mairie annexe01 41 28 19 40> Grand Paris Seine Ouest0800 10 10 21> Samu et maison médicale degarde15> Police17> Pompiers18> Assistance Victimes 9201 47 21 66 66> Gaz (24h/24)0 800 47 33 33> Électricité (24h/24)0 969 321 515> Eau0 811 900 900

> SOS 92 (urgences médicales à domicile)01 46 03 77 44> Urgences dentaires01 47 78 78 34> Enfants disparus116 000> Femmes victimes de violences 9201 47 91 48 44> Sans abri115> Centre de santé Croix-Rougefrançaise103 rue Henri-BarbusseLundi-vendredi, 9 h-19 hSamedi, 9 h-13h30Médecines générale et spéciali-sées, soins infirmiers,activités dentaire et orthodontie.01 46 29 04 20Rendez-vous au 0 810 101 103

Numéros utiles

CHLOROVILLE / 103 / mars 2013 • 0,99 € le numéro • Hôtel de Ville - 92195Meudon cedex • MEUDON.fr • 01 41 14 81 58 • Directeur de la publication:Georges Koch • Directrice de la communication: Isabelle Bérend •

Rédaction: Laurent Raynard, Romain Gouloumès, Élisabeth Bordier-Béghin, Christophe Ferreira • Photos :Julien Berkovitch, Yann Rossignol, Studio 9, Bertrand Guigou, Laurent Raynard, Romain Gouloumès,Elisabeth Bordier-Beghin et Christophe Ferreira pour la Ville de Meudon / GPSO / DR • Couverture : Je tehais...mon amour/ Nous, les hommes et les femmes / Vania Cheyssial / © Crips Ile-de-France 2009, •Conception et réalisation: Hermès Communication (Vanves) - 01 40 80 22 40 • Impression: Le Réveil dela Marne (Épernay) - Blister biodégradable • Régie publicitaire: CMP (Croissy-sous-Beaubourg) - CaroleMalek - 06 24 62 49 99 / 01 64 62 62 36 • Diffusion: ISA+ (Sevran) • Dépôt légal: Mars 2013 • Chlorovilleest distribué dans vos boîtes aux lettres et est disponible dans les lieux publics de la ville, sur MEUDON.fr.Si vous ne le recevez pas, appelez le 01 41 14 81 82 ou accueil.dircom@mairie-meudon.fr • Chloroville etses suppléments, comme tous les autres magazines et journaux, une fois lus, se jettent dans le bac jaune.

> Dimanche 3 marsPharmacie du Moulin17 avenue du Maréchal Leclerc01 46 31 10 13> Dimanche 10 mars Pharmacie du Parc13 rue du Père Brottier01 45 34 27 58> Dimanche 17 mars Pharmacie De Monte2 place d’Orion01 46 30 35 35> Dimanche 24 marsPharmacie Lambert Chauvel62 bis route des Gardes01 45 34 11 42

> Dimanche 31 mars Pharmacie Hervet Fontenaist38 rue de la République01 45 34 12 45> Lundi 1er avrilPharmacie Clausse Grégoire39 rue de la République01 55 64 01 01> Dimanche 7 avril 2013Pharmacie Khau Au Cheak2 allée Marcel-Simon01 46 31 60 76

Les tours de garde 2013 sont sur MEUDON.fr

34/35CHLOROVILLE / N°103 / MARS 2013

Lundi

Salade de lentilles"maison"

Filet de hoki panéet citron

Carottes béchamelFromage blancnature et sucre

Fruit

Goûter fourré chocolat,yaourt aromatisé et jus

de raisin

Mardi

Céleris rémoulade,tomates etciboulette

Lasagnes à laBolognaise

Sans viande :brandade de morue

ChanteneigeCompote pomme

fraisePain bio

Baguette, barre dechocolat noir, petit

suisse aux fruits et fruit

Mercredi

Potage Dubarry et croûtons

Rôti de bœuf froidet ketchup

Sans viande: cubesde colin sauce

citronPommes rissolées

Yaourt nature et sucre

Fruit

Baguette, fromagefondu et compotepomme banane

Jeudi

Carottes râpées bio,vinaigrette et olives

noiresEscalope de poulet

au jusSans viande :

omelettePetits pois extra fins

GoudaLiégeois chocolat

Pain bio

Baguette, confiture deframboise, petit suisse

sucré et fruit

Vendredi

Saucisson à l'ail etcornichon

Sans porc et sansviande: œuf dur

mayonnaisePavé de poisson

mariné à laprovençale

TortisFromage blanc aux

fruitsFruit

Pain de campagnePetit pain au lait, lait et compote de pomme

Semaine du 4 au 8 mars

Lundi

Rillettes de thonmaison

Chili con carne etriz

Sans viande : pavédu fromager et rizPetit suisse sucré

FruitPain bio

Baguette, camembertet jus de pomme

Mardi

Jus depamplemousse

Filet de hoki saucecitron

Purée de navets et de pommes

de terreFromage fondu

Compote pomme-banane

Gaufre pâtissière,fromage blanc, sucre et

fruit

Mercredi

Crêpe au fromageSauté de bœuf au

paprikaSans viande :

omelette natureHaricots verts

extra finsCarré de l'EstFlan chocolat

Baguette, pâte àtartiner, yaourt nature,

sucre et fruit

Jeudi

Carottes râpéesassaisonnées

Carré de porc fuméau jus

Sans viande : tarteau fromageChou-fleurbéchamel

Fromage blanc et sucre individuelCake à la vanille

maisonPain bio

Baguette, confitured'abricot, lait et fruit

Vendredi

Salade debetteraves à

l'échalotePoisson blanc

gratiné au fromageBlé bio aux petits

légumesYaourt aux fruits

Fruit

Brio cacao, flan nappéau caramel et jus

d'ananas

Semaine du 18 au 22 mars

Lundi

Férié

Mardi

Concombre,ciboulette et

tomateSaucisse de ToulouseSans viande et sansporc: calamars à la

romaineLentilles maison

Croc' laitCompote de

pommes

Brioche aux pépites dechocolat, yaourt nature,

sucre et fruit

Mercredi

Velouté de poireauxet pommes de terre

avec croûtonsCordon bleuSans viande :

nuggets de poisson Purée de pommes

de terreYaourt nature

et sucreFruit

Baguette, Coulommierset jus de pomme

Jeudi

Repas de PâquesŒuf au nid sur

salade (carottes)Cubes de saumon

sauce crèmeHaricots verts etpommes sautées Fromage blanc etsucre individuel

Mœlleux auchocolat maison

Pain bioBaguette, tablette de

chocolat au lait, yaourtaromatisé et fruit

Vendredi

Salade de tortis ausurimi

Sauté de bœuf aujus

Sans viande : tarteau fromage

Jardinière delégumes

Tomme de SavoieFruit simple

Pain bio

Céréales au miel,lait et compotepomme-banane

Semaine du 1 e

rau 5 avrilau 8février

Écoles et accueils de loisirsSV >plat sans viandeSVSP >plat sans viande et sans porcEn bleu >le goûter

En vert >Produit issu de l’agriculture biologiqueToutes les viandes de bœuf proposées sont issues de races à viandes et les volailles sont certifiées Label Rouge.

Lundi

Salade mâche etbetteraves cuite,

ciboulette et maïsPenne à lacarbonara

Sans porc et sansviande : brandade

de morueEdam

Cocktail de fruitsau siropPain bio

Pompom cacao, lait et fruit

Mardi

Salade de pommesde terre

Poulet rôtiSans viande :

omelette natureJardinière de

légumesCœur de dame

Fruit simple

Baguette, confiture degroseille, yaourt natureet sucre, jus de pomme

Mercredi

Concombre ensalade et tomates

Saucisse de Toulouse

Sans viande : tarteau fromage

Haricots blancsFromage blanc

et sucreBanane sauce

chocolat

Brioche pépites dechocolat, lait et

compote de pommes

Jeudi

alade verte bio,basilic et œuf dur

Bœuf cuit àl'étouffée au jus

Sans viande :nuggets de poisson

et citronCarottes braisées et

pommes de terreIle flottante et

galettes Saint-Michel

Baguette, tablette dechocolat au lait, petitsuisse sucré et fruit

Vendredi

Macédoine,mayonnaise etolives noires

Steak haché dethon

Riz créole bioCantadou ail

et fines herbesFruit

Pain bio

Baguette, Coulommierset jus d'orange

Semaine du 14 au 15 mars

Lundi

Chou-fleur saucecocktail

Lasagnes à labolognaise

Sans viande : colinpané et tortis

Yaourt aromatiséFruit

Madeleine, petit suissenature sucré et

compote de pomme

Mardi

Salade tomates et basilic

Filet de hoki à lacrème

Épinards béchamelet pommes de terre

CamembertLiégeois au

chocolat Pain bio

Baguette, coupelle de miel, lait et fruit

Mercredi

Velouté auxlégumes etcroûtons

Sans viande :omelette

Petits pois extrafins au jus

EdamFruit simple

Petit pain au lait, flanvanille et jus d'ananas

Jeudi

Menu « tout vert,tout jaune »

Laitue iceberg,maïs, vinaigrette et

échaloteÉmincé de dinde au

currySans viande : steak

haché de thonHaricots verts extrafins et coquillettes bioPetit suisse sucré

Mœlleux à l'ananas"maison"

Céréales nature, lait etfruit

Vendredi

Salade de carottesrâpées et olivesPavé de poissonmariné au thymBoulgour bio etsauce tomateChanteneige

Abricot au siropPain bio

Baguette, tablette dechocolat au lait, yaourtnature et sucre et fruit

Semaine du 25 au 29 mars

Véronique Calvet, kinésithérapeute-ostéopathe,Marie-Adeline Hervouet (06 08 78 44 74) et Maïlys Hontarrede (06 99 37 27 05), infirmières,ont rejoint le cabinet des kinésithérapeutes.36 rue de la République. 01 46 26 86 00

Bénédicte Dumont, psychologue, reçoit enfants, adolescents et adultes, traitement de l’anxiété, dépression, troubles des apprentissages et bilans psychologiques.22 rue Marcel-Allégot. 06 46 58 78 95

Adrian Chaboche a ouvert une consultationd’hypnothérapie (hypnose médicale), 8 avenue du Château. 06 95 95 97 34.

Installations>Les pharmacies indiquées ci-dessous sont de garde le dimanche de 9 h à 19h30. Pour avoir accès à une pharmacie de garde en dehors ces horaires, il faut d’abord avoirune ordonnance puis appeler la police nationale (17 ou 01 41 14 79 00) avant de serendre à l’officine, dont les coordonnées seront communiquées par la police nationale.

Pharmacies de garde

Les menus de mars

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