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TITRE PROVISOIRE Un spectacle de Chrystèle Khodr & Waël Ali Création 2017

Chrystèle Khodr & Waël Ali - theatrejeanvilar.com · sur le sable indique le passage du tigre, un marais annonce une source, la fleur de la guimauve la fin de l’hiver. Tout le

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TITRE PROVISOIRE

Un spectacle de

Chrystèle Khodr & Waël Ali

Création 2017

« L’homme marche pendant des jours entre les arbres et les pierres. L’œil s’arrête rarement sur quelque chose, et seulement quand il y a reconnu le signe d’autre chose : une empreinte sur le sable indique le passage du tigre, un marais annonce une source, la fleur de la guimauve la fin de l’hiver. Tout le reste est muet et interchangeable ; les arbres et les pierres ne sont que ce qu’ils sont. Pour finir, le voyage conduit à la ville de Tamara. On y pénètre par des rues hérissées d’enseignes qui sortent des murs. L’œil ne voit pas des choses mais des figures de choses qui signifient d’autres choses. »

Italo Calvino, Les villes invisibles.

TITRE PROVISOIRE À Beyrouth, dans une ancienne maison familiale, une vieille cassette audio est retrouvée dans un tas d’objets abandonnés. Elle date de 1976. Une famille assise sur un canapé quelque part en Suède enregistre son périple et décrit le pays qui se substituera à leur "paradis perdu". Quarante ans plus tard ces voix enregistrées deviennent une « trace » parmi d’autres au milieu de débris qui n’appartiennent plus à personne. À la lumière de l’actuelle guerre syrienne, Titre Provisoire tente de raconter l’histoire de l’émigration au Proche-Orient, de dresser le portrait de ce qui reste de ce passage vers l’exil, et d’interroger les traces que les survivants laissent derrière eux. En réunissant des artistes syriens et libanais, la pièce crée un champ de regards croisés permettant d’aborder la question de l’immigration comme une histoire partagée, commune aux peuples de la région. Titre Provisoire, intégrant le cheminement de sa réalisation comme objet de réflexion et élément de son histoire, transforme ceux qui font le spectacle en objets regardés. Le spectacle interroge les parcours et les traces de l’immigration et questionne à travers cela le théâtre en temps de guerre. DISTRIBUTION Conception et Texte : Chrystèle Khodr et Waël Ali Mise en scène : Waël Ali Scénographie : Bissane Al Charif Musique : Khaled Yassine Lumière : Hasan Al Balkhi Vidéo : Toni Geitani Avec : Chrystèle Khodr, Hassan Al Balkhi, Khaled Yassine, Waël Ali Durée : 1h Spectacle en arabe et français, sur-titré en français A partir de 15 ans Production déléguée : Sens Interdits, Festival international de Théâtre Coproduction : Zoukak Theater Company & Cultural Association, Liban - Institut Français de Beyrouth, Liban - Les Subsistances, laboratoire international de création artistique, Lyon – Festival Les Rencontres à l’échelle – Les Bancs Publics, Marseille Avec le soutien de : DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, Mophradat, AFAC (The Arab Fund for Arts et Culture), Ettijahat – Independent Culture, Goethe-Institut Beyrouth, SPEDIDAM Accueil en résidence : Studio Zoukak, Beyrouth - Les Subsistances, laboratoire international de création artistique, Lyon – Le Théâtre des Asphodèles, Lyon – Le Tandem, Scène National, Arras

EN TOURNEE 2018 / 2019

« J’ai tout d’abord pensé pouvoir transposer sur scène une histoire réelle extraite d’une cassette audio. J’ai ensuite réalisé que cette même cassette s’imbriquait avec d’autres objets, d’autres lettres, souvenirs, voix et traces menues et rentrait peu à peu dans la fiction. J’ai eu peur de devenir moi-même un document, en racontant cette histoire, l’histoire d’une famille dont aucun de ces membres n’est né et mort dans un même pays depuis cent ans ».

L’histoire familiale retracée ici, suit plusieurs vagues d’immigration depuis la première guerre mondiale. Elle nous invite à voir les guerres en Syrie ou en Irak non pas comme comme des événements uniques ou des tragédies isolées mais à les inscrire dans le présent. Sur le plateau, les membres du spectacle, eux même déplacés ou immigrés nous invitent à nous ouvrir sur un passé lointain et peut-être incertain, et d’en mesurer les conséquences.

Comment raconter une histoire constituée de ces migrations successives ?

Comment reconstituer sur le plateau une histoire de ruptures et de disparitions ?

Comment rassembler ces petites histoires alors même que les villes évoquées se

transforment petit à petit en villes fantômes, ravagées par la guerre, des villes que

l’Histoire avale et redéfinit jusqu’au point de les rendre méconnaissables ?

Est-il possible pour les petites choses qui perdurent, même si fragiles et vulnérables,

d’être une réelle matière théâtrale ?

Peuvent-elles être des traces qui témoignent de la grande Histoire ?

OBJET TROUVÉ

Cette cassette retrouvée devient le point de départ de notre recherche. Le chemin que nous avons traversé jusque-là, une immigration renvoyant à une autre, nous semble alors comme une suite d’objets qui s’emboitent.

Les propriétaires présumés des objets abandonnés ne sont plus là, ils sont partis, fuyant la guerre civile dans les années 1970. Certains sont morts depuis, et personne n’est retourné chercher leurs affaires. La cassette est une « trace » parmi d’autres, une empreinte au milieu d’autres objets abandonnés (chemises, livres, documents administratifs, vaisselles, photos…).

Nous y entendons la voix d’un homme, bientôt accompagné d’autres voix : l’épouse qui étend le linge en bas de l’immeuble ; un fils qui rentre de l’école, puis un autre fils. La famille de la cassette se forme peu à peu et se déploie autour de la voix du père qui transmet un message à ceux qui sont restés à Beyrouth.

La cassette est un mélange de nouvelles et d’informations aléatoires: des conseils à l’intention de futurs immigrés, des fragments d’une image de l’Europe vue par les nouveaux arrivants, des excuses tardives pour un départ sans adieux, des notes sur l’apprentissage d’une nouvelle langue, sur les femmes, les rues, les démarches administratives, la découverte d’une communauté d’immigrés... Dans ce message, l’évocation de la guerre est entrecoupée de digression sur des objets et des gestes du quotidien. Le désir de découvrir un nouveau pays demeure retenu pour renvoyer aux origines lointaines de la famille, à d’autres guerres et à d’autres villes perdues. Coïncidences fortuites et murmures étranges du destin se mélangent alors.

L’IMMIGRATION & LA FAMILLE

L’histoire de cette famille renvoie à d’autres récits d’immigration. Le grand père est parti enfant d’Edesse (Turquie actuelle) à Alep, fuyant le génocide de 1915. L’enfant grandira pour devenir père d’une famille de quatre enfants, il quittera Alep à la fin des années 1950, cette fois-ci avec sa famille, fuyant ainsi les troubles de l’Histoire. Ils s’installent alors à Beyrouth, le père devient grand-père et finit sa vie dans un hôpital psychiatrique juste avant le début de la guerre civile libanaise. Ses enfants grandissent, l’un d’entre eux fondera une famille, avec sa femme, ses deux enfants, ils seront amenés à leur tour à fuir la guerre civile en 1976, pour se réfugier en Suède. Langues et dialectes se mélangent à l’intérieur de la cassette, un enfant apprend à saluer dans une nouvelle langue. Le parcours de la famille qui s’étend sur tout un siècle constitue pour nous une grande carte, une suite de fuites et d’exils, sur laquelle le spectacle se base. Une recherche qui commence par la découverte de la cassette et remonte le temps. Le récit s’articule avec d’autres parcours migratoires qui viennent éclairer le propos à travers notamment les points de vue des membres de la compagnie qui vivent aujourd’hui d’autres histoires d’exil et de déplacement.

LA TRACE & LE THÉÂTRE « Le passé est un pays étranger, on y fait les choses différemment. » La trace a aussi une vie propre, il faut pouvoir l’écouter. Ces parcours entre migrations et guerres apparaissent comme un fil qui tisse l’Histoire entière de la région, mais qui laisse pourtant que très peu de traces dans la vie des survivants. Des traces minimes, éparpillées, qui se transmettent d’une génération à une autre : une lettre, le souvenir d’une lettre, une vieille photographie, un document administratif, une brique jaune, une cassette audio, un récit oral transmis par un témoin, une vidéo… Nous considérons également chacun de ces objets comme un «médium », avec une temporalité spécifique, supposant également des contraintes particulières pour la réception. Le projet tend à interroger dans un espace de théâtre ces traces-médiums, et à raconter leurs récits.

Il s’agit de questionner ce qui se transforme avec le passage du temps, traversant ce temps d’une génération à l’autre, comme une relique. Il s’agit d’objets magiques car ils inscrivent par leur simple présence l’histoire de leur propre disparition, et la nôtre aussi. Ces traces-médiums ne sont plus ici des moyens extérieurs auxquels le théâtre fait recours pour raconter une histoire, mais elles deviennent le cœur même de l’histoire, et elles sont à la fois une partie intégrante du récit d’immigrations successives, ainsi que du travail théâtral et de son évolution en parallèle à ces immigrations.

Ces traces évoluent comme à l’antipode de l’Histoire. Si les récits que nous cherchons et que nous traitons s’étendent sur une période très large, et qu’ils semblent imprégnés de l’Histoire et de ses conflits, nous essayons cependant de rester au plus près de ces traces elles-mêmes, fragiles, isolées et dispersées. Le spectacle n’a pas pour ambition de recomposer un grand récit historique, ni de débattre sur la vérité des événements, mais il raconte, en suivant le chemin d’un objet trouvé, le récit de ce qui reste.

SUR SCÈNE La performance évolue entre des registres différents : il y a ce qui est déjà enregistré et documenté, et ce qui est du spectacle mais qui se transforme en matière d’archives qui se mêlent aux documents dans un espace de jeu et de dédoublement. Cinq artistes sur scène : l’actrice, le metteur en scène, le musicien, l’éclairagiste, et la scénographe. Ils fonctionnent en suivant également ce principe du dédoublement. Ils sont d’un côté les héritiers de cette histoire et en font une partie intégrante, et d’un autre côté, ils sont des acteurs qui essaient de recomposer ces éléments hétérogènes dont ils disposent, et tentent de créer avec eux une certaine distance. Ils s’échangent leurs rôles, leurs identités et leurs histoires, et se déplacent entre le temps vivant et le temps enregistré, entre la matière de l’archive et les fils de la fiction qui se tissent à travers leur jeu.

Propos de Chrystèle Khodr et Waël Ali

EXTRAIT « D’abord, la guerre est finie en 1990. L’électricité est revenue. Trois ans plus tard j’ai eu dix ans. J’ai grimpé sur l’armoire pour chercher les cassettes que ma mère avait rangées. Je voulais écouter une pièce de Feyrouz : Loulou la lunatique qui est allée en prison alors qu’elle était innocente. Et c’était la première fois que j’écoutais cette cassette, par erreur. D’abord, il y avait une petite fille couchée par terre en face d’une radio, les yeux fermés, s’apprêtant à écouter une pièce de théâtre. « Nous sommes le mardi 19 mai 1976. Nous avons enregistré la première face de la cassette hier. Et aujourd’hui il fait beau, je suis seul à la maison, les enfants jouent dehors sur l’herbe et Sophie est en bas de l’immeuble pour faire une lessive. Je suis seul avec une cannette de bière, une cigarette et cette cassette. Vous êtes avec moi aussi. J’aimerais que vous soyez avec moi. Mais vous êtes avec moi dans mon imaginaire. » Cette voix est celle de mon oncle Nouri dont il ne reste dans ma mémoire qu’un coupe-fromage qu’il a offert à ma mère la première fois qu’il est rentré de Suède. Jusqu’à ce jour, ma mère prie pour son âme à chaque fois qu’elle l’utilise. Quand j’ai vu le même coupe-fromage dans un supermarché en Norvège, j’ai prié instinctivement sur son âme et je l’ai acheté. Je me suis souvenue de cette famille. D’abord je disais : la famille de la cassette. Ça m’a pris un an avant de dire : mon oncle, mon père, ma mère. Mon oncle a fui le Liban au début de la guerre. Il a envoyé cette cassette à mon père. D’abord c’est l’histoire de deux frères : Un qui immigre au début de la guerre et un qui immigre 15 ans plus tard, à la fin de la guerre ».

EXTRAITS DE PRESSE Liens vidéo : Interview, Le petit bulletin : https://www.youtube.com/watch?v=SPFAbMCxZHg Presse écrite : Scène Web - Anaïs Heluin, 24/10/2017 « Cette pièce fait cohabiter témoignage et critique du témoignage. Cela d’une manière d’autant plus sensible que Waël Ali y donne autant à voir son propre trouble que celui de Chrystèle Khodr. (…)Titre provisoire refuse au spectateur tout confort. Tout récit en bonne et due forme. S’il n’est pas sans défauts, tend ainsi un miroir au champ théâtral dans lequel il est parvenu à s’inscrire. » https://www.sceneweb.fr/chrystele-khodr-wael-ali-theatre-exil/ Médiapart - Jean-Pierre Tibaudat, 25/10/2017 « Titre provisoire est un spectacle inclassable. (…) Le spectacle commence par cette impossibilité à dire ce qui n’a pas de fin. » https://blogs.mediapart.fr/jean-pierre-thibaudat/blog/241017/festival-sens-interdits-1-un-site-un-spectacle-entre-syrie-et-liban Les trois coups – Trina Mounier, 23/10/2017 « On est saisi par la volonté (ou la nécessité) de ces artistes de tenir à distance l’émotion, le trivial de la guerre et de la mort, qui expliquent ces villes désertées, effacées des cartes, ces souvenirs détruits mais que l’on cherche pourtant inlassablement. La pudeur est de mise, rendant le spectacle presque abstrait, tout comme son titre. Le metteur en scène Waël Ali réussit le tour de force de faire rire le public en évoquant les difficultés et les lenteurs qui ont présidé à sa création. L’élégance de l’ironie comme rempart au désespoir… » http://lestroiscoups.fr/sens-interdits-festival-international-de-theatre-a-lyon-et-metropole/ Revue de presse complète disponible sur demande

BIOGRAPHIES CHRYSTÈLE KHODR – AUTEURE ET METTEUSE EN SCENE Née à Beyrouth, Chrystèle Khodr est comédienne, auteure et collaboratrice artistique de la Cie Zoukak. Elle obtient son diplôme d’arts scéniques de l’Institut des Beaux-Arts de Beyrouth et poursuit une formation de théâtre du mouvement à l’Ecole Internationale de Théâtre LASSAAD à Bruxelles – pédagogie Jacques Lecoq. Ses créations, « Bayt Byout » en 2009, «2007 ou comment j’ai écrasé mes enveloppes à bulles» en 2010, et «Beyrouth Sépia» en 2012, sont présentés au Liban et dans plusieurs festivals internationaux. Dans le cadre de son travail avec Zoukak, elle a joué dans les créations collectives suivantes : « Lui qui a tout vu » (2014), « La mort vient par les yeux » (2014) et « The Battle Scene » (2015). Depuis 2008 Chrystèle dirige des ateliers de théâtre et des interventions sociales avec différents publics à travers le Liban. WAËL ALI – AUTEUR ET METTEUR EN SCENE Ecrivain et metteur en scène syrien, Waël Ali est né en 1979. En 2004, il obtient son diplôme de l’Institut supérieur des arts de la scène de Damas. Il poursuit ses études en France, à Lyon, où obtient un Master II d’Arts du spectacle à l’Université Lumière Lyon. Entre 2003 et 2006, Waël Ali travaille comme dramaturge dans plusieurs projets, notamment dans le cadre d’un projet de théâtre interactif en Syrie où il codirige des formations dans diverses provinces syriennes. En 2014, il écrit et met en scène le spectacle « Je ne m’en souviens plus », présenté au Théâtre Tournesol de Beyrouth au Liban puis dans plusieurs lieux et festivals, dont le Théâtre Gorki à Berlin, à la Maison d’Europe et d’Orient puis à Confluences à Paris, au Toneelhuis d’Anvers en Belgique et à Tunis, dans le cadre des Journées Théâtrales de Carthage. Depuis 2016 Waël Ali démarre une collaboration avec l’actrice libanaise Chrystèle Khodr pour la conception, l’écriture et la direction du projet « Titre provisoire ». BISSANE AL CHARIF – SCÉNOGRAPHE Avec une formation d'architecte en Syrie, elle poursuit des études de scénographie à Lyon puis à Nantes où elle obtient son DPEA scénographe à l’ENSAN (Ecole Nationale d’Architecture) en 2005. Dans une démarche pluridisciplinaire, elle multiplie les expériences diversifiées dans le champ de la scénographie et l’art. Elle s’intéresse à la scénographie de l’espace, elle travaille dans les évènementiels, le décor et costume de films de cinéma, ainsi que la scénographie d’exposition. Elle est la scénographe de nombreux spectacles de théâtre : « Les Troyennes », « Est-ce que tu peux regarder la caméra ? », « Le parlement des femmes » et «Alors que j’attendais ». Bissane crée plusieurs projets d’installations artistiques: «Message to Syria », « Sans ciel », et « Sham » présentée en 2017 à Paris. Pour sa création « Mémoire(s) de femmes » en 2016, elle obtient par la ministre de la culture et de la communication, le chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres. KHALED YASSINE – CRÉATEUR SON ET MUSICIEN Musicien autodidacte, Khaled Yassine est notamment connu pour son travail avec Anouar Brahem Quartet et Alif. Son approche de la percussion a fait de lui un des musiciens les plus recherchés de la région. Khaled est aussi connu pour ses compositions pour le théâtre, la danse et le cinéma. Il a collaboré avec la Cie Zoukak pour les créations : « Battle Scene » et « Lucena, Obedience training », avec la danseuse contemporaine Khouloud Yassine dans « Entretemps 2 », avec Fadi Yeni Turk pour son documentaire « Monumentum » et Katrine Dirckinck-Holmfeld pour sa vidéo installation « Leap into color ». HASAN AL BALKHI – CRÉATEUR LUMIÈRES Eclairagiste et ingénieur de son, Hassan Balkhi a été le régisseur général de l’Opéra de Damas entre 2005 et 2014. En 2008, il est nommé directeur technique de « Damas Capitale Culturelle du Monde Arabe ». Il a créé la lumière de plus de cinquante créations, ses dernières collaborations sont notamment avec les metteurs en scène Waël Ali et Omar Abou Saada. Il a enseigné pendant plusieurs années à l’Institut Supérieur des Arts de la Scène à Damas. HASSAN B

CONDITIONS DE TOURNEE 7 personnes en tournée : 5 artistes, 1 régisseur général, 1 chargé de diffusion. Prix de cession :

• 4000€ HT – 1 ère représentation • 3650€ HT – 2 ème représentation

Frais annexes :

− Hébergement et défraiements repas pour 3 personnes à J-2, 3 personnes à J-1 et pour 1 personne à J selon le barème conventionnel CNEAC en vigueur

− Voyages internationaux pour 3 personnes (1 Beyrouth, 1 Doha, 1 Amsterdam) − Transport du décor (depuis Lyon) − Voyage national pour 3 personnes (2 Lyon, 1 Paris) − Voyages intra-France – quote-part tournée − Jours Off pour 3 personnes vivant à l’international – quote-part tournée

Création et tournée 2017/2018 Du 21 au 23 Octobre 2017 – Création au Festival Sens Interdits, Lyon Les 14 et 15 Novembre 2017 - Théâtre de la Vignette (Montpellier, France) Les 22 et 23 Novembre 2017 - Festival Les Rencontres à l'échelle (Marseille, France) Le 04 avril 2018 - Théâtre Jean Vilar (Vitry-sur-Seine, France) Tournée 2018 /2019 : Calendrier en cours Moussem, Nomadic Art Center (Belgique) – Novembre 2018 CONDITIONS TECHNIQUES (voir dossier technique): Montage J-1 / Démontage à l’issue de la représentation

INFORMATIONS ET CONTACTS

L'association Sens Interdits organise Sens Interdits, Festival International de Théâtre. Au-delà de la biennale organisée dans la métropole lyonnaise, elle souhaite accompagner les

artistes invités pendant le festival dans leur rayonnement sur le territoire national et européen.

Adresse postale 14 rue Basse Combalot – 69 007 Lyon – France

Tél. : + 33 (0)9 67 02 00 85

Patrick Penot, Directeur [email protected]

--- Aurélie Maurier, Administratrice [email protected]

--- Tina Hollard, Administratrice de production

[email protected] Tél : +33 (0)6 99 34 13 36