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8S* Année. iV® .4 5 . CJNQ GEMIMES — Le Nnrnéro ^ CCVg ^ggTIMBS m of¥m |de des ouvriers m i n e u r s ' chez |en ta-Mo Dtafoire. 667 hde un a p p r e n t i érences, présenté Idu Journal. b^de un jeune iOî TON^ huissier, l&enlis. — Se pré- 350 lison SÉBILLOT, , à Creil, demande OU pour la car- 377 JJTON, huissier à lenri iV, demande : p e u r sachant aller riniements selon on encaisseur |vclette. — Se pré- 380 |vv, avoué à Sen- olere e.xpédî- \ petit clerc de 389 ^nde un homme sachant soigner I ou Journal. 403 hune de Kon* pus. — I,a place kpètre-canton» |r: iinc est vacante. 1.200 Trancs. p.-irie. 411 [îne pour travailler des hois d’aéfo- . lévrier menui- ‘ B.iRBIER, carros- 412 nde de suite n n e - 1taire la cuisinet éiérences, I au Journal. 419 Dde un courant de Tabaf- ’ I du Journal. 436 lera quelques a p - jiciens présentés irodrome de U |t 6 heures. 442, |nde de suite u n narré, logé, chauf-^' ' [ipant de la basse- ' onnes références; |d a Journal. 444 |icie un apprenti LECLERC, bou- |I, Senlis. 446 I • 9 ans, demande ' pur seul, de coiû-‘ t du Journal. 452 |nde une bonne courant du ser- • jnols àlacampagne* ’ I. — Gages : 50 fr. leu Journal. 457 lüRNAüX tTAT |e t Marchands kilos. rHer de ',’Oist., !ITÉ Il#» ' 3^ ^ C.tl- . Paraissant le Jeudi et le Dimanche. J^IM P N A i. .Rédactenr en, câief : Loiq> ^RTRCK S. 28 Mm 8.- -'.73^ Paraissant le Jeudi et ie Dimanche. 0. sa .... ■ts Bob.; 1 >. 4 *. ▲ a o sr XT Bi ac SI or S I ÔK s’asoiaa «nz Bhm»«î d« Joimua il ibiîs lort B OMi «i. I i„TOTMax de posl*. — L’slmuiMuitl Mt psjnl)!* d'sTuc. B oonann. d« plsia jdrcit iwpik iMqSba rk. • fr. d’sWi oontndn. Xw Btduii.B.im pmrUat (te on Bo IS d. «om. . X BUEËEAlHtv BËBACm ' & ADMINISTRATION 8SN1.1S - tl, 3Hii^ «« 11 - 8 E M I.IS ' UcsI b ... 0,19 s. I tTClnfrifrM I C;:x>.38iB~ x x r i lâ B m sxoars. t «M bW ..... ; «••«loBite. raB dinn. IIB - if A M D n ^ ^ .ô ’i n B a i w AOOHsaoBf s v l n M C iM sBaouMt, Ttolsa^ l'àâil(BiM M ouln siat Senlis, le 27 Mai 1911. La Voie future. Il V a, parail-il, h la Compagnio de l’Ouèst-Etat, un ingénieur plein de mérite et plein de zèle qui ne plaisante pas âvçc la discipline. Il maintient, autant qu’il peut, dans ses services des traditions de l’ancienne Compagnie qui l’a formé.-La direction de l’Ouest- Etat apensé que cet ingénieur ferait fort bien à la tête des ateliers de la €k)mpagnie. — Ah ! pas de ça ! s’est écrié aussi tôt le comité « Paris-Etat ». Nous n’en youlQns pas. La Tribune de la voie ferrée, or- gane du Syndicat national et instru ment officiel de la C. G. T., publie la décision du comité et affirme que l’in-, gènieur désigné pour le poste délicat ^ chef des ateliers est im « mauvais chef . », «:'un fourbe », '« .un 'b;^o- crité » ! Cette « scandaleuse nomina tion est un défi au prolétariat, des che- minsde fer. »,1 Le comité décide que' le traître devra être mis d’office à la retraite et il . charge son bureau de transmettre cette décision au mimstre ' des travaux publics et au directeur de la Compagnie !.. Bravo ! voilà qui est parler ! Les ou vriers révoqués après la grève et réin tégrés sur l’injonction de la C. G. T. avaient bien dit qU’ils rentreraient « la tête haute ». Ils sont rentrés en maî tres et iis s’avisent de chasser à leur tour ceux qui avaient travaillé peut- être à leur révocation.'— C’est à vous d’en sortir... Le directeur de l’Ouest-Etat hésitera peut-être à frapper l’ingénietir qu’il avait distingué pour ses mérites. Il aura tdrt. S’il est préoccupé de son propre sort, — ce qui serait parfmte- ment légitime, — il n’a qu’à s, incliner devant les injonctions du Syndicat, qm est le ■vrai maître, maître au-dessus du, ■conseilde direction, au-dessus du gou- -vemement et au-dessus delà Chambre. ■-Aurait-ilia prétention de résister à la piûssançé devant laquelle se sont | abaissés sans barguigna» les députés et les ministres ? Folie 1 On a donné aux ouvriers l’impres sion ou mieux la preuve qu’on ne pou- ' vait rien leur refuser et üs considèrent ■ ‘avec raison qu’ils n’ont plus ju ’à com-, i mander. Pourquoi ne choisiraient-ils pas leurs chefs et leurs contremaîtres ? Le réseau est à eux. : Quand nous disons « les ouvriers »,' nous.ne voulons pas désigner la masse | ■'des-toàvailleurs indifféi eiits ou rési- Igné'Srmais les malins, embusqués clans des comités, et qui parlent en leur no: a. Ceux-là même ne sont que les c ; '■- gués de la C, G. T. Et voilà coniim.i.t se justifie la remarque de cet inconnu, très informé, qui a écrit au crayon sous lefflot : ihVecfïb», à l’entrée des bu-: reàux de la.gare Saint-Lazare : « S’a-j dresser rue de la-Grange-aux-Belles. » ] ^èe.bôhnéfoî, M; çaaveille s’imagine; peut-être ÿ 'il dirige le réseau parce] qh’il signe des -circulaires et contre-; signe des nominations. Illusion ! 11 est, loi-même l’instrument de l’esprit de' résoluübn lÿii a infesté tout l’organis- '■ me aucfu^Al préade -i et il lui obéit, cÔ t ^O l8L-«ftW»îi^ ■ ••’î '* f - '.' .-Mettëns q!^ ciéé Xoîà, M; le direc- tmir màîniienné là hoÉâinàtion de 1 m- ; glm^- ,doiiVïl.-Croit avoir ' bésmn.ïi lu iatt^àaa^pourm striïç- ; tion roSurtoat, no nous Xaites pas arri- ; vèr dliistoires. » Lîingénieim a déjà perdu sa raison d’être choisi. En tous cas, il sait, celm-ià, qiiè sa carrière est Brisée. Jamais un gouvernement n’o- sferait en faire à son tour Un directeur. Or, tous.-les ingénieurs peuvent avoir droit à ce couronnement de leur car- rtèré. eTest par là qu’est stimnlé leur zèle. Il n'en est pas un seul qui ne pen se déjà, à.éviter de s’attirer jamais Une protestation seniblable à cella. qne, ■VÎérit deformtiler le Syndicat.'-Scette- prîüteâtàtion n’atteM id^ebtêto^'ét Tâ^dem ent.aujourd’hm Fingéfiîeur des ateUerftÿ elie^simhera'tous les autres. -Larde^ÉP p ^ e ra , quoi que fasse et le directeur, j j.'Hidiarapline et le désordre sont les éléments naturels, inévitables, irrémis- siMcs de toute adustrie d’Etat^ - '’X a'ti G. 'T. nonnnera tous les fçôc- Jdowaii esdu ré se^ qmjm appt^èht, ou plutêïeife lêsiiimprégnera toascde oonrit infiTrfé«Srt<rrm’ilS s’BB'dOU- «e'resptôt,,-^—- ;d 4e„ce patron mvisihle «<H»(^.<seà£^i^déclùuBè à spn «vrdte,'paridÿSe^utes.ie» bim- ét'lerriwise îesgoHven- circulation,c’est-à-dire maîtres desus- pendre à leur gré la 'vie de la nation, les cheminots syndicjués n’accepteront plus aucune autorité. liSi admmistre- ront eux-mêmes leur réseau ; et leurs chefs seront leurs domestiques] Et avant peu, vous verrez les radi caux s’émployei- de toute leur forcé à la réalisation de ce beau rêve. Et tous ceux qui tenteront de s’y opposer se ront accusés de trahison envers la- République! ; L odis LATAPIE.- E ch o s (et N o u v ^ ^ . Lb Course Paris^Mactrfiï. —Là .course d’aéroplanes Paris-Madrid, si tragiijttpnient commeucée, se continue en ce moment vers la capitale de l’Espagne. Voici le classement pro visoire, pour le parcours Paris-Saint-Sébas-: tien : r. Yédrines, sur monoplan Morane, n* 14, en 10 b. 20 m. 16 s. , 2. Garros, sur monoplan Blériot, n*. 4, en 11 h. 13 m. 13 s. I ; 3. Gibert, sur monoplan plériot, n* 7,| en; IZ b.'30 m. . ; fies ovations enthousiastes ont accueilli en Espagne les oiseaux qui viennent de France. ’ Véurines est arrivé sans encombres à Ma drid hier malin, à 8 h. 6 ’. accomplissant en 2 h. 3/4 la dernière étape Burgos-Madrid. Une foule considérable l’a accueilli, sur l’aérodrome de Getafe, par des ovations en thousiastes et le roi Alphonse XIII a tenu à venir,lui-même féliciter le vainqueur et lui remettre la croix d’Alphonse XII. Garros et Gibert ont dû abandonner, le pre mier à San-Sébastien, le second à Victoria.; Un clocher s’écroule* ^ La vieille église historique de Saint-Jean, de Troyes, a été eh partie détruite. La tour du beffroi, da tant de 1392, s’est effondrée sur les maisons voisines, il n’y a pas eu d’accident de per sonne. . . . Les cloches reposent 4 10 mètres sur la maison (l’un pâtissier, en face. L’égüse Sai|it-Iean renfermé dos richesses artistiques de grande valeur. Un préfet attaqué par des gré vistes. — Le préfet du Gard, qui passait en voiture dans la ville d’Aigues-Mortes, a été attaqué par une bande de grévistes qui ont lance des pierres dans sa direction. Les gendarmes ont chargé les manifestants et les ont dispersés. En raison de l’agitation les troupes .ont été renforcées. i. . . Avis aux boidàngcrs. .— tin. boulan ger de Vincenttes, M. 'Thévenard, comparais sait (levant la huitième chambre correcti(}n- nellc pour avoir livré à-ses clients, dti pain idit, Vde marchand 4c vin » avec un déficit I de ■ poUs.. Le boulanger disait, pour sa défense, que. les boulangers de la région s’étalent mis d’ac cord pour ne pas vendre au poids léS pains dits « de marchand de vin », et que l’entente était complète entre les boulangers de Vin-; cennes. Montreuil et Saint-Mandé.-Leur -déter- . -mination avait été afilchée.dana les boutiqites,. et les clients ne l’ignoraient pas.; : Le tribunal a rendu un long jugement on if a dit que- les boulangets éntèndàient livret; le. pain ordinaire cuit, comme' bon leur semble. : probablement pour forcer le public à ne pas en prendre; que ce sent les pauyims.gens qui aurai’ ut à souffrir de ces mesures yexatoiites, qui .)■>, lors sont des plqs réprébensiblps ; qu’un n- saurait admettre de pareilles habi tudes commerciales. Le boulanger de Vin- cennes a été condatnné â 300. flancs d'ameiide.] ' 'Les-VMigaâziicesiileCê(tiibés«-t.']t.Jns-. tice et bonté », a'dii M. Monish • ' ' . > » o'i’i .( Deux yieillea demoiselles,. deux pauvr^ fil les, tenaient,' depuis plus.de quinife’ans, à Pons, le pays d'à M. Combes la g é ^ ç e d’nn bnrèau détabae. Elles àyaieüf léus'àt; (èùr travail et leiir actmeil aimabIei;-«:,iÇ fmre une, bonne (dientète. Màis etiesidaysueiil'nu défant capital :«Hea n’étaient paslpsadahnliioeslo''- eenéee.de M,.Combes. Et, ees;FwrS(dpniipr8,, (elles ont reçurde, l’administratu^ contn- .bùüpnqjndiretitesun âyisjesjnfttma^^eJa; géranwTdè cè hùi^ii,léurj;éW t,e?P;P Jw d’autre ^fiMdibn.. .; '' ': 1“ , ’MiiCSonnési qttt f e n fh s a n /l’IidobSfoétÿSson. dSboiîiis és 'évbéètant ladeyiaéo‘L ibené/'I^-' Utétufrâts^itéi s^iB-rcoimabmiiriBtdB) dAte. sici r h Et qnè s e r a ^ lorsque, sous iBnéqu- its sermtasfilMSuletous les féM qja ! LaguisSàitee fftge'tinîÿertette^é laMehanflçp’ÿ w retmie mercredi et a voté la motion s#raMéqr’ .«^âninia«i)i4hdééidei.î 4 l’unanimité des mpmbces. présents, nutisans et adversaires de •-•V- d'insister , maintien delà ____________ l’ordre dnjoiÿ ». ou Là cbmhâitBioà demandera tpie la distmssibn commence dès lundi et elle manifeste'Ie. vif désir.tpsile projet soit voté ayant la fin de la - ‘■A ,i^ea obséqaes de H*. Beiieanx*;.— ts de H. Mâuricé/Berteànz, miniptre s, si 6mgiquemimit''tua*patJ’né'rp-' , dnt’èu lieb lner iMBtt. aû mlién d’une g r a ^ affluence. Lé otSbheSi'j^gisnr une prblbnge d’arflllené,'^éttüt rëiiWmA du drapeau tricolore. Six voftsMPdubfféwt'de «ouronaeéj aajvaje^^^^-gmaig^Mtcéake 'XvM WdÜl^firfinafetèrértife la des discours ont été prononcés par HHJVidê- it^iPDtdnetf Bt(88bin'P»ri«riqBi*MK d» la iïuaBcei^gégérat.MicfaelPiFeHetaniet-Bafi» délné«#B de’pbptt- ■laiion. .n «.(h - - - '.TtS . .r Tnrrrvr »■; «b . . - ^npeUdea-iîlBw'tren.réqiqcg’’— - jsement. désMué, pooh temp- ÿtérnoityetS ifihistrt’ééfhé 4 SitSff, et a opté pour la France au moment ']«lûèw^’’S99trèM!aliiSiaiKeoSiMM%-Bst{%sté itaMnfdlnriMahattisÿi^â^ et est meaifeiAcqt gmm êà ram^.italienne, commandwBle.S* cerps/ajUmcandne.. > Un cas intéressant delorispradenee H. Choiizet, négociant du flavrcj ^jagcait ' en j'anvier dernier par un froid’ele loup dans un wagon dont auctjn compartiment n’élait chauffé. Il souffrait fort, U réclama sans suc cès. M. Cbouzet avait certainement lu. l’inscrip- tipn^ traite pçès de la sonnette d’alàrme, en- joig .aiii de n'user de ce moyen protecteur q'ue .pour un motif valable., • Il estima que crever de froid dans. un wa gon non-chaùffé était un cas présentant tons; lescàraetères de valabilité que peut avoir Uié motif, et il tira la sonnette. , Le train stoppa et M. Cbouzet se vit dresser procès-verbal par un conducteur, pu train qui pensait autrement que lui. . > , ’ Ce cdntrâleur avait, tort.' 1i. :Chioézel était dans le vrai. Il Viènf o’être'àcqû'iltê paï' lè tri bunal du Havre. ■■ te froid intense, a admis celui-ci, peut'être une raison suffisante pour faire usagé du si gnal, d'alarme-après une réclamation infruc tueuse. ...................... ....... " Ùa réfbiuhé élèctdràië* — La com- miésion d’etùdes màtlluëe pàh le comité répu blicain de la R. P,.vient d a'(&esseraU3f adhé rents de ce éomilé une lettre protestant contre le système de l’apparentement des listesmdôp- té par la commission de la Chambre.. Elle préconise spécialement l’adoption du système dit du nombre'unfqûé'où'le système des moyennes. ; La lettre est. signée de personnalités émi nentes. Comme MM. Adolphe. Carnot, Fernand Fauré, Éug. Fournière, Georges Lévy, Henri Poincaré, Ernest, Lavisse, A. Leroy-Beaulieu, qui n’appartiennent pas au Parlement. Comiment aasnrer it nos ministres la liberté d’action ? -r Dans la Revue bleue, Ui. Ribot, ancien président du. Conseil, suggère les moyens suivants : 1» Le président du Conseil ne prendrait pàs. de portefeuUle ; - 2» L’avancement des fonctionnaires devrait être entouré de garanties et soustrait 4 l’arbi traire des ministres; afin que eeux-civ à leur tour, fussent délivrés d’obsessions qui leur font perdre an temps précieux : . 3°. Une large décentralisation décongestion nerait les ministères en permettant aux dépar tements, aux assemblées locales, de résoudre les questions qu’on, se croit aujourd’hui, oblige de soumettre au pouvoir central. Gaspills^e ""'fET La Cour des Comptes vient d’examiner les comptés de Fexeùcice 1908, dont elle’ ne fut mise en'^Ssés'Sion qu’au mois de juillet der- a|è'’. Elle y à fait.des découvertes singulière'menli dnstructives. Ainsi a-h-elle appris, qu’au ministère de Tin- .térieur, on distribue-des indemnités de dépla-] cernent, d’inslaUatiOn en province, de surcroti de service, 4 des agents qui n’ont jamaiû quitté Paris; on prend i’argent àu chapitre'diï service:sanHàiré'màritime !,.] , Aux;pplçùié(s, pn ^ u t e sur les frais d’imj pression lès., pourboires cpiloq donne; ait con'^ cierge pour porier les d é ^ b e s BoClarnes, I Le chapitre..des a frais de .missions » est particulièrement chaigé. Un chef de cabine^ du ministre du travail reçoit 15.000 fTancs pouE « organiser une déifegalîon ouvrière v 4‘ 1’ex-j position dé Londres. . ; .. fi serait iRtéréS8ant;de savoir ai cette délé-; galloh.ajiUnàis.étéor^isée..'.' . . . i Un fonctionnaire de l’Office ^^.Fràvafifqfin^ 14.000 francs pour une. mission: auXüEtats*! Unis, .en. vue d ’étudier. « .l’organisation du- tra-^ vaU danS’findustrie.'da ebevremi pour ohaus-* sures ». , ‘’cb.'.'» ! Adi' affaires étrafifere's,°tlià’ attaéfiéirèçoit (1 ïécnércher rés mb'yen's'de sîm'plinér les rap-] ju/rts ,dPi l’«eent.,eqmptable. des- chancelleries’ avec les/chefs, des .établissements consulaires!, .français -Al ’étranger ». .La mission (2.000 fr.)/ d'uu'aUtre eéhsistait'à « étudier les moyens d’a4sfireràhé;docùmentation plus rapide de^ ln’'j>rëi^'fiépàrtementaie ipour teseâvicé del ission (3.000 fr'.)' d’iin troisième 'cénsis- .tait 4 « étndier les modiflcatiqns, 4 a p p o r t âU; recrutement des traducteurs attachés 4 rad-' ministration centrale ». Toujours au (jnai d’Orsay, la Cour Constate, de multiples affaires Cfiiédanne, lés marchés; irrégnUeré" de fonhiitUres sont dq. pratique: courante. ' . | Aux postés ettéIégiaphés, àdjudi(Sation d’une> fourniture de 100.000 molateurs 4 double cdc-]: che ;’ le calfiér des cltsÿges prévoittuné vérifi-j catton minutieuse. Si plus de 2 0/<0'des ihola4 teurs sont reeonnits défectueux, la fourniture' enUmre sera r ^ s é e . Or; sur les 100.000 objets,' le sérviéè: de ta vérification en- trouve 01.541, défectUéUx.lEi l’administration acéepte la four-] nit«« en-tottfiité, moyennant un rabais, d’ail- lenn arbitrairement fixé par lés Ixnmtm., Aux colonies, dépuis treize ànèjfèS'^ver- neuls se-sont àrrogé te droit'd’s^pNQvéFlburs ùrébéàê'%idèets et (fapsrér leurs cmnpies idi^lSHS.' - ® GeirlaiMs U(domes s’offrent le luxe de. p ù - sieurs gouverneurs 4 ta fois. Le budgé^éta . iSÜInimiiS’amfiporté; ptiâani-un’anplaîiolde ::(lèèB 0ia>Êi)dV 8 néht»éiliialtaiiéé’sFua eiidaliKé . ttitéodlrae^iHf.uecsén pne tinérini'fkiiiljNo; «'(iBjpfettveMMid édte^metativS (A pnia%'25.00qfr<)t'La Guadeloupe a poyé-ml- multanément deux gouverneurs : .^ ,^ . qui tomdiadsMSAOO ic;'m4uE!u8dé:,d,Wm|»à'hvee ;une iadetanité de résideueeèParis! Lamdonie üdp Sa»irt#iurrKettj8q8fia»iar.payédeaxiMs (la solde ^ ^ ‘HB!imhif(wveriiaa',êqulsl^v*>t qUittéavpuoBHer tntGaboucigtOfio^b pavof. Lorsque Sisovath vint à ParisimneraUmaie de 50.000 piastres fut prévue sur lé budget du Cambodge, elle futjmiô'éefde 125.000 piastres. Songez,qu’oa psérq n p ^ q e n t — fut pi^et ,— 3i4i fràio pour^iùtrtaiiase- à^tsuisc courèes’db^uiL Qi^|s.vmnsiie POél '^ 'm ^.d’qrap^e -IfM aPPiÿ^lés ..Et -omme on: a’e ^ i^ ’^ (^budget de 4908 u t dépassé'lés-qûaSômifiÛuwT à ' (MfeÙatlérÀ.N.R.).'' La faillîte des Hetfaites oütfflèfes. Les causes qui fout repousser par un très grand nombre d’ouvriers la loi sur les re traites ouvrières sont de nature diverse, mais l'nne des raisons qu’on entend le plus souvent invotjuer est le peu de con- ûah.çe qu’on Çprouve pour l’Etat qui aurait té mAniehaeot' dès fonds versés. Un des miljtanjs du socialisme, M. Braoke, écrit XHumanité : Lttio;îrttr.^ne preuve d’ignorance, la résis tance 4 la paperasse préparatoire aux prélève- .mciits démontre un baut degré de conscience oq(?ière. Aussi est-ce des mieux informés, de» syndiqués, des militants, qu’elle provient surtout. Le prolétariat sent que lorsqu’on lui « pro met » le pain pour des vieux jours ob il arrive rarément, et qu’on le pétrit avec la maigre part de ta production qui ne lur échappe pas; on le frustre de la revendication quTl a toujours una nimement élevée- La nom v d’escroquerie » est encore ce qui jugelé mieux l’opération 4 laquelle on l’assu jettit. - ‘ 1.1 est cuîièux de constater qne même -dèi publiéistes, amis du Ministère eont de reconnaître la radicale im per- fe^ ^ ,.d .e la législation imaginée. C'est ainsi qu’on lit dans l’Attrore ; La seconde cause d’impirissance que la loi surde* retraites ouvrières porte en elle, c’est la complication de son fonctionnement. « L4, vraiment, il y a des critiques 4 adresser 4 ceux qui ont pu concevoir oU approuver le méca nisme’ invraisemblable qu’on a présenté au peuplé français, li dénote chez cenx-14 une absence complète de sens pratiiiue, un manque abspliiNde connaissance des nécessités indus trielles et commerciales; et le plus complet dé tachement des possibilités administratives. » L’idéq.de ces quinze miliions de cartes qu’il faudrait établir chaque année, distribuer, faire rétirér; , dont il faudrait contrôler les valeurs indiquées par une centaine de timbres mobiles (pour chaque carte), totaliser, transmettre, établir des bordereaux, etc., etc. Cela est hors de tout bon sens, et quand on pense qu’on a .pu croire qu’un tel travml pourrait être réalisé par le. personnel actuel des mairies et des prèrcrhires, on reste confondu de tant de nàrvelél .... GKiestrQiis M lljfâirés 1,1.i '■ : J^J^ jGardje Républlealne. .. H manquait è lié garde répUblicaida un chef de mimiqué fit'Ua tnmbouf-saejor. iLe-chef de musique appelé 4 remplacer,M-. Cb>briel Parés estèi. Guulaüme 'Eallay, classé'premier 41a sui^;du,](mbcqaKl..fi n.indirante' 'ans. ll'est ori'gihaire dé Wozijn (lri®ej, fut ‘élève dfë'Pàul ’Viœl pôurTbàribbnié, ébtlht'hn' premier' prix der piston AU Conservatoire de:Pari8, fut reçu chef de musique, et dirige la musique du 72* 'd’infaaterieAAaiens. . Le n<mveau tambour-major est H. Gabriel .Pefrancp, éq,ji,37«. d’infanterie; iq Journal officiel a Annoncé sa nomination comme « ma réchal des .lomS tambour-major de la légion de 'lagarde républicaine ». ' ün Journal de Paris- rapporte, à pro pos du préfet Bonnet, Rex^ietateur de l’Oise, ,ime savoureuse, histoire. Bans unesbû^^'BOsiumée,) le. prifet Bonnet eut $çsp^.<ie^j[t«ifre,par<ekrs de palanA ( 2 M»«iî'‘jfr(i^ès(tg.Ati, .ïièp'res. Ce prifei aurdMlr poW }ift office, réquisttionné ■ g ^ f4 ,^ j^ ts qui, detrvMius et .'passéf '■ pùetr^el durent venir^athuserî^inoi- tésfjtê'ce ion démocrate- CesLafn'péK TKabitude dii préfet Bomiet dé iriser ses administrés comme dés nè0réS, mais les,soldats de notre frontièri ne sont pas faits pour lui servir de JoititS. ÿé Çomju^^ ï Trams spiciaüx PToiis rapteloife'.buÀ'.OompiékqB va disnnêf déinitîn dîcffàndlïé '28’IfiÈË fet le.’ lundi' dé là'PeiitëCôte'S Jüin, le doùBl^ spectacle d’un cortège historigiiff dn’XV* siècle et celui, plus rare, unique même, d’uii tournoi moyen âgé! Le défilé cbmménpera' â’’! heure et Ip tournoi a 2 heores'de l’après-midi. ' . Les places', âSsiSes; ‘annbmbrë de plus- de ®(W0;' icàtepèrtéiit'lôgës. et des. siègèsrnUtnêrfiSiï â 2(lTr., id 'fr. e t» fr. f lèsftÂrtti' de pèWuse sont ife .1 fr.’ LU loca tion riéSte"-’6uWtè ï PSrisi atf'Grànfl- Hôtef'(sérri'dë dés théâtres; 'Téléphone 235-35) et à l’Hôtel de Ville deCompiêgne (Tél. 0,50). En outre •des’’groihete-sèront installés 4coinpiègne .les jours des.fôtes,. pourla-vente'dw; wetSivr; -.i. ;A(i De&tnûns,'a»ppièmevilatneB,:8eroBt igiis. en inarohe etles^rapidas 'seront doulfiès’ ou-triplfe.^-Ba Paris, -les; idéparte-ionrMt; Hendio h? 3h.O803di;4(l,:fiiiiM),i 8 h . 33,- iOih»20,-ri0 h .. lUrsfiOc et! iè-hi4!hriEepe*ieinetottryimèiBe& faeslHês, - eeHai#wfcJ«asEtoeF»at«ii»toaai(meiie: ys^lMsAte-idaeane-i d-’Arotneosneidl^ -^im 'w nto,:aw la fête.. mèQe de jÇmm-. K-ia -aï!u.*«> otilosq4.s.l, ^ - : Mv4iM4iiAHhsii$pièwuitaiM ° - Diréction de 'fiS^iè- ioœ ,2 lô ; -ariT »w,stâ^^iap*^n^ Seâfq en^«ée4iS8iss^^^HiBÎslt((-ièuinq ;kài»ibé6 -i VilteiyéstleWWpW’hü^aiji ûcu» TOifêctiori'dé' Bdué^: 'Bj®rt dé/Ih ‘ùiriÆè •dfrh;1o ''pl ^;-1retôii? ’ ' ée'tïfô) rivée auom p vais, 9'h. 17 ;'a SI ; départ.de Compiègne, ii h.-10 soir; arrivée à Clermont, 12 h. il.; {Ce train sera très probablement prolongé jusqu’à Beauvais, .- Direction ddAmiens-. Retour dé Com piègne, 10 h; 30 soir; arrivée à Montdi- dier, 11 h. 34. Direction de Crépy-en-Valois. part de Crépy, 11 h.; li? ; afflvée’-'à Com piègne, 12 h. 10(s’JiVi'd’an’SBCûntt tràin à 10 minutes d’intervalle). Retour de Com piègne, 11 h. 33 soir ; arrivée à Crépy, 12 h. 37, Direction de Tergnier ; Retour de Compiègne, 8 h. 23 et 12 h. 26 soir ; arri vée à Tergnier, 9 h. 38 et 12 h. 22. Direction,de Creil : Retour de Com piègne, 11 h. 30; arrivéeà Creil, 12 h. 16. Votes de nos Sénateurs. Séance du iSjnai. instructions données parlà régie, concer nant les piquettes et ràpës- détenus , par les débitants et les aubergistes pour la cmasommation familiale}. ' L’drd]^ du jour pur et simple est voté par 206voix contre 43. Ont voté pour : MM. Dupont et Noël. S’est abstenu : M. Cuvinot. Les tribunaux pour enfhnts. — Scru tin sur l’article additionnel de M. Charles Riou, ainsi conçu : « A partir ita moment où la présente loi sera appliquée, les statistiques judi ciaires annuelles feront connaître le mode d’instruction auquel auront’ été soumis, conformément à la loi du 28 mars 1882, les enfants déférés aux tribunaux orga nisés par les articles précédents ». Cet article additionnel est repoussé par 242 voix contre 31. Ont voté contre : MM. Dupont et Noël. N’a pas pris part au vote : M. Cuvinot. ------- Le Concours agricole efenippique de Beauvais La péjriodq^ active de nos fêtes agri cole de Béàùvais'và (joiuméncer. ' Jusqu’ici, la ^osse beso'^e consistait en correspondances, iusCnption d’expo sants, envoi de pro^ammés ët d’affiches; béso^e aride qui'cette année, en raison de l’importance toujours croissante des concours, a constitué pour te commis saire général et ses. pollapqrateurs un travntt c&iSidèii’aBre; Le' secretaire-géné- ral. reçoit depuis huit jours par centaines les .demandes, de rédoction de tarif pour venir ‘au ccmccfurs, ce qui fait présager une. affiuence .considérable de visiteurs, car ces demandes émanent des points les plus éloignés du département. Dès maintenant .toutes les inscriptions sont dosés, iés. plans .-des deux-concours sont établis et lundi on va commencer à labourer la piste du Concours hippique qui sera jusqu’au 9 juin, hersée et roulée tous les jours pendant plusieurs heures, afin d'ameubler le sol et de permettre aux chevaux de galoppev facilement et d’abor der les obstacles sans danger. Au .Concours agricole, nous pouvons annoncer que les expositions chevalines èt bovinés seront absolument remar quables;-les sections des moutons et des porcs sont un peu moins chargées et lei commissaire-gené'ritF'nbul prie d’annon cer .qu'il recevra: dans ces deux classes lèS iuscriptiôn jusqu’au 1** juin, dernier délai. - » . L’exposiüon canine comprend plus de ISO chiens; l'expoéifioni d'horticulture s’annonce.: bien et ne sera oertainement! pàé Tun des mqmdres attraits du ConT cours,' ., BLes volailles, Ippins, étc.j les produits agricoles sont en noinbro plus considé rable çpi'étF'~’490B. ' L’ébohùmie rurale comprendra de jolies collections ; la Caisse régionnale de crédit agricole de l’Oise exposera les ^avaux.de toutesjfles caisses afiuiées ' iHsfiSeiPeii^ijr (^ c o le aura! nnmm» tOtljoufS 'des idj^èsentants inté- ressants. Ce rapide aperçu- des fètés-des 8,9,10 et 11 ium permet d'escomptôr uç succès colossal. Nous n’aurons-pas'dp’ 'minis.tres,: paraH-il ? Hélas, npds coÈûàrëi|qns'que nos gouvernants'.; ment lé deuil'au coeur après le cruel é#nément de dimanche I Mais le Concours.. de.„BoauyaiS ,n’en sera pasmoins'r'énSsL lldstUnvlÉiteUrsurtout dont il faut-espérer-avant .tout l’arrivée pendant ces, fêtes,, c’ .est lui qui décidera en màtlré de leurs succès, màis. Sur. ce f* il6ué’'^àVdos. nas''3‘àcti( , _______ o,,-T— - 0051ias''a’àcfion. et] nos invitaûbn's 'léà'’plùS''ofl9ciélleS iTont aucune prise; j’ai nommé n'eSt-ce’ 'pas le soleil quejar.ses gais rayons réjouit tous: lés coeurs'etuncité aux déplacemeuts. La Fête Cycliste de Crèvecœur. ' La Fédération'cycliste Oise et Somme! qui, le l.fejuin’'l?M,£re!Mvait à Amiens le double-rapftihe «ta solm- èt du succès, ! avait choisi cette-anaée-la ville de Grève- ; cceurdè-Grand.pour être le siège de cettei 1908, mdre' ah sldent, M. FernasdrEonUêne!. ,^-K rit. V3*‘<B al^ttntéaps maussade, une fonicinoaibaëasn avàitisBVahi la petite ville de GrèvecOMiPrdécOrée:de drhpeàux " >loïeBàM-FF%nà8ié''tWkgh (Fabord en bàn èt équilibrisme, a lieu ensuite sur la grande placé, àu milieu d’une foule énor me trop bruyante péUt être. ,. A. 5 h. i/2 , il est procédé à la distribu tion désrécompénses : nous en extrayons les.noms pouvant intéresser notre arron- dissetnènt : Diplôme de 13 années .de cyclisme : Geoiges Bunel,.de Senlis ; Prix dé prbpâgandè'et 'de so'ioa ité : Férnand'Èontaine, dé Senlis. Prime de cinq francs : Lobin, de Moiit- lévêque. A la fin de cette distribution, M.-Harlé, secrétaire-trésorier de la Fédération pro nonça un discours. ^Tambours et clairons sonnèrent « Aux champs I Et tandis que des acclamations 'enthousiastes s’élevaient de la foule, M. Harlé’remit.à M. Fontaine;- président-fon dateur de l’oeuvre, les palmes en diamant provenant d’une souscnption entre toutes des sociétés et les membres fédérés et asso ciés. Un membre associé, M. Laverdure, de Cfièrinont, remet ensuite à M. Fontaine une .Superbe gerbe de fléui^. TrèSémotioh- né par cette marque de sympathie et de reconnaissance, le président remercie' 'ài- vement ses collaborateurs et serre chaleu reusement les mains de tous ses camara des qui l’entourent. Un banquet des plus animés à digne ment terminé cette lète aussi bien orga nisée que réussie. Eaux et Forêts. Sont élevés, sur place, à la 1" classe de leur grade, les brigadiers domaniaux des eaux et forêts de 2* classe dont les noms suivent : Brouillard Louis-René-Pierre, à Vieux- moulin. Baehotet Léon, à La Neuville-en-Hez. Soeiété d’Agjriciilture de l’axTondissement de Senlis* Gooeours figrieole de C b an tilly i" et S JxaU et 1911 Concours Agricole scolaire. Des objets d’art, médailles, men tions honorablérs et volumës'de p.iix seront décernés aux mstitùteurs' et aux élèves du canton de Oeil qui au ront fait preuve de connaissances agricoles spéciales siilvant les condi tions énoncées au règlement .«-après : A rt. 23. ^ Le Concours agricole scdlaire comprend dénx CbnOTurs' : le premier entre les Instiimteurs iïu canton de Creil, et le second entre les Elèves des. Ecoles, du même canton. Es auront lien suivant ,lesdispasitions..suivantes : l*'- Lo Concours entre les'Instituteurs aura pour basé tin trà'vaii écrit, fruit des observations de Fauteur, sur la culture locale, que ces' observations-aient été faites dans un champ d’e-xpériences ou sur l'ensemble • desi exploitations dé la eonunune 'ou du canttyA : .culture du pays, plantes nouvelles;'action immé diate ou lointaine deS engraià et fhmiers .sur . les. produits ..du, .spl ; ressources géologiques p.p, point .de,- vue /de la culture ; marneg,. cendres diverses, tourbes cnltnçea jjpéjMes ; statistiques a c c o le s ;{'<|omplta'biliKj instruments ; soinis à donner aux animaux ; msmiére de les conduire, et de {^. utiliser, .e‘tc. . .!^, .Tous les,lnstitn|eùra du .canton de .Craü seront adnûs. À concourir. : 8*1 Les méini^es seront sdressés à M. l’Inspecteur primaire «vantile 22 juin 19U';*: et ils seront -examinés'par une Cofflinisrion çodmdséà ;dë 1 x 018: 'membres cfôla'^ËbHétè; dël'Lispéliàqhy.drinS^ d’nji;^^Sgl;utent désignéi’^ p ’Anlorité ■âc^ëtiuiqùè..'..'.^ ;■ . .. ,^j4*,!]Lo:;Mnq6u^jenfre l^-;)pl_étFes du canton de . '('raU ajirà ..]^: ; devant- la Commission ci-dessus désirée. 5° II comprMidra-use épreuve écrite et un examen oral;.les-sujets se rap porteront , au progranime ministériel suivi dans le coursmoyen*-„. .. . Les Candidats né devrbnt pas s’atta cher à une sçule.spéoiriité. ' ^ s çp^urrento devront Avoir 11; ans au,mpûiqndi^ans.aà pins, an-moment du -conccqijrs êt appartenirau cours moyen ouauconrBsup<trienr,r i.;:,;’ . 6° La liste nominative dés^nétêr- rents; avec indication de la date de ieorjmi^>ansto»to.raenvoyieàM.l’Inspee- tei>r..prinmire,parles soins'd^Institn- teiuêràvant lé: .If juin-. 1911. ÎBDè sera àgprpHv4a4«r[Ja Maise.-i i« !.. !7S( n sera accordé deux-heures-pour l’épreuve écrite, èt les Elèves tnôriul- lèront, ' tens de'Seconr» i^m ^n livrer sous la sijOTei|^ce d’un des Membres dé'lâ dommissibn.,/ ' ^ , . 8° L’exame n -o ^ seça subi iqtrès la. correctiom ^e^^u™ ^^ et cota- prendra çettun nom qe qnesnons. . 9i Gé t^co: 191‘I,,iL'iL«J agrâ urBs'l'(S|^';d»f^-' iS ag ran d -.défil'é£fiéuïii,ètfHÇ^uS;-bet f ffel, i, auqnri.ip)»meii1t:pri^ tousoles.adta^ents, 'clî ■ ' ............... - cyclistes, àinriqaelesmusnpfèsdèGbnty, fiüiy,Crôv6(iœuretl5qfigi|SE.y. - Un spectacle ttes intsrésâtfitv.èompre,- ! nant ixèreioes cyclistes, Jmatch dé cycle ;in, et lés Elèves, ^ u r ^ prendre part, seront réuriw'dàns l’uï&des.clàsèes de l’Ecole dfiS Garçons de Ctamtilly.;- '■ 10' Les récompens|a!!^ûli%'ad4cer- nées; aux Instituteurs et auxiEléves, I» 2 Juillet, jour, du éConconrs. Lés iau-. féats seront ;prévenus’inr lëttre ind'U vidneUp. à m 11 i à

CJNQ GEMIMES — Le Nnrnéro ^ CCVg ^ggTIMBS Paraissant le ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_05_28_MRC.pdf8S* A nnée. — iV® .4 5 . CJNQ GEMIMES — Le Nnrnéro ^ CCVg

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8 S * A n n é e . — iV® . 4 5 . CJNQ GEMIMES — Le Nnrnéro ^ CCVg ^ggTIMBS

m o f ¥ m

|d e des o u v r ie r s m in e u r s ' chez

|e n ta-Mo Dtafoire.667

hde un a p p r e n t iérences, présenté

Idu Journal.

b^de u n je u n e iO î TON huissier, l&enlis. — Se pré-

350

lison SÉBILLOT,, à Creil, demande OU pour la car-

377

JJTON, huissier à lenri iV, demande : p e u r sachant aller

riniements selon on e n c a i s s e u r

|vclette. — Se pré- 380

|vv , avoué à Sen- o l e r e e .x p é d î-

\ p e t i t c l e r c de 389

^nde u n h o m m e sachant soigner

I ou Journal. 403

h u n e d e Kon*pu s. — I,a place k p è t r e - c a n to n »|r: iinc est vacante.

1.200 Trancs. p.-irie. 411

[îne pour travailler des hois d’aéfo- .

l é v r i e r m e n u i- ‘

B.iRBIER, carros- 412

nde de suite n n e - 1 taire la cuisinet éiérences,

I au Journal. 419

Dde u n courant de Tabaf- ’

I du Journal. 436

lera quelques a p - jic ie n s présentés ■ irodrome de U

| t 6 heures. 442,

|nde de suite u n narré, logé, chauf- ' ' [ipant de la basse- ' onnes références;

|d a Journal. 444

|icie un a p p r e n t i

LECLERC, bou- |I , Senlis. 446

I • 9 ans, demande ' pur seul, de coiû-‘

t du Journal. 452|n d e u n e b o n n e

courant du se r- • jnols àlacampagne* ’ I . — Gages : 50 fr.

le u Journal. 457

lüRNAüXtTAT

|e t Marchands k i lo s .

rHer de ',’Oist.,

!ITÉ

I l # »

' 3^^ C.tl- .

Paraissant le Jeudi et le Dimanche. J ^ I M P N A i .. R é d a c t e n r e n , c â i e f : L o i q > ^ R T R C K S .

28 Mm8.- -'.73^

Paraissant le Jeudi et ie Dimanche.

0 . s a . . . . ■ts Bob.;

• 1>.4 * .

▲ a o s r XT Bi a c SI or SI ÔK s’asoiaa «nz Bhm»«î d« Joimua il ibiîs lort

B OMi « i . I i„TOTMax de posl*. — L’slmuiMuitl Mt psjnl)!*d'sTuc. B oonann. d« plsia jdrcit iw p ik iMqSbar k .

• fr. d’sWi oontndn.X w B td u ii.B .im pmrUat (te on Bo IS d . «om.

. X BU EËEA lH tv B Ë B A C m ' & A D M I N I S T R A T I O N8 S N 1 . 1 S - t l , 3 H i i ^ « « 1 1 - 8 E M I . I S

' UcsIb . . . 0,19 s. ItTClnfrifrM — I

C;:x>.38iB ~ x x r i l â B m s x o a r s . t« M bW .. . . . ; « • • « l o B i t e .r a B d in n . I IB -

ifA M D n^^ .ô ’in B a iw AOOHsaoBf s v l n M C iM sBaouMt, T to lsa^ l'àâil(BiM M o u ln siat

Senlis, le 27 Mai 1911.

L a V o ie f u t u r e .

Il V a, parail-il, h la Compagnio de l ’Ouèst-Etat, un ingénieur plein de mérite et plein de zèle qui ne plaisante pas âvçc la discipline. Il maintient, autant qu’il peut, dans ses services

des traditions de l’ancienne Compagnie qui l’a formé.-La direction de l’Ouest- Etat ap e n sé que cet ingénieur ferait fort bien à la tête des ateliers de la €k)mpagnie.

— Ah ! pas de ça ! s’est écrié aussi­tô t le comité « Paris-Etat ». Nous n’en youlQns pas.

La Tribune de la voie ferrée, or- gane du Syndicat national et instru­ment officiel de la C. G. T., publie la décision du comité et affirme que l’in-, gènieur désigné pour le poste délicat ^ chef des ateliers e s t im « mauvais chef . », «:'un fourbe », '« .un 'b ;^o - crité » ! Cette « scandaleuse nomina­tion est un défi au prolétariat, des che- m insde fer. »,1 Le comité décide que' le traître devra être mis d’office à la retraite et il . charge son bureau de transmettre cette décision au mimstre ' des travaux publics et au directeur de la Compagnie !..

Bravo ! voilà qui est parler ! Les ou­vriers révoqués après la grève et réin­tégrés sur l’injonction de la C. G. T. avaient bien dit qU’ils rentreraient « la tête haute ». Ils sont rentrés en maî­tres et iis s’avisent de chasser à leur tour ceux qui avaient travaillé peut- être à leur révocation.'— C’est à vous d’en sortir... •

Le directeur de l’Ouest-Etat hésitera peut-être à frapper l’ingénietir qu’il avait distingué pour ses mérites. Il aura tdrt. S’il est préoccupé de son propre sort, — ce qui serait parfmte- ment légitime, — il n’a qu’à s, incliner devant les injonctions du Syndicat, qm est le ■vrai maître, maître au-dessus d u ,

■conseilde direction, au-dessus du gou- -vemement et au-dessus delà Chambre. ■-Aurait-ilia prétention de résister à la piûssançé devant laquelle se sont | abaissés sans barguigna» les députés et les ministres ? Folie 1

On a donné aux ouvriers l’impres­sion ou mieux la preuve qu’on ne pou- ' vait rien leur refuser et üs considèrent ■

‘ avec raison qu’ils n’ont plus ju ’à com-, i mander. Pourquoi ne choisiraient-ils p a s leurs chefs et leurs contremaîtres ? Le réseau est à eux. :

Quand nous disons « les ouvriers »,' nous.ne voulons pas désigner la masse |

■'des-toàvailleurs indifféi eiits ou rési- Igné'Srmais les malins, embusqués clans des comités, et qui parlent en leur no: a. Ceux-là même ne sont que les c ; ' ■- gués de la C, G. T. E t voilà coniim.i.t se justifie la remarque de cet inconnu, très informé, qui a écrit au crayon sous lefflot : ihVecfïb», à l’entrée des bu-: reàux de la.gare Saint-Lazare : « S’a-jdresser rue de la-Grange-aux-Belles. » ]

^èe.bôhnéfoî, M; çaaveille s’imagine; peut-être ÿ ' i l dirige le réseau parce] qh’il signe des -circulaires et contre-; signe des nominations. Illusion ! 11 est, loi-même l’instrument de l’esprit de' résoluübn lÿii a infesté tout l’organis- '■ me aucfu^Al p réade -i e t il lui obéit,cÔt O l8L-«ftW»îi ■ ■• •’î '* f - '.'

.-M ettëns q ! ^ c i é é Xoîà, M; l e d ire c - tm ir m à în iien n é l à hoÉâinàtion de 1 m - ; g l m ^ - ,doiiVïl.-Croit av o ir 'b é s m n .ïi l u i a t t ^ à a a ^ p o u r m s t r i ï ç - ; tio n ro S u r to a t , n o n o u s Xaites p a s a r r i- ; v è r d l i is to ir e s . » L îingénieim a d é jà p e rd u s a r a iso n d ’ê tre c h o is i. E n to u s c a s , il sa it, c e lm -ià , q iiè s a c a r r iè re e s t B risée. Ja m a is u n g o u v e rn e m e n t n ’o - sferait e n fa ire à so n to u r Un d ire c te u r. O r, to u s.- les in g é n ie u rs p e u v e n t av o ir d ro it à ce c o u ro n n em en t de le u r c a r- r tè ré . eTest p a r là q u ’e s t s tim n lé le u r zè le . I l n 'e n e s t p a s u n se u l q u i n e p en ­se d é jà , à .é v ite r d e s ’a t t i re r ja m a is Une p ro te s ta tio n se n ib lab le à ce lla . qne, ■VÎérit d e fo rm tile r le S y n d ic a t. '-S c e tte - prîü teâtàtion n ’a t t e M i d ^ e b t ê t o ^ 'é t T â ^ d e m e n t.a u jo u rd ’h m F in g é fiîe u r des ateUerftÿ e l ie ^ s im h e ra 'to u s le s a u tre s .

-Larde^ÉP p ^ e r a , qu o i q u e fa s s e e t ‘ le d irec teu r,

j j.'H id iarap line e t le d é so rd re so n t le s é lém en ts n a tu re ls , in év itab le s , irrém is- siM cs d e to u te a d u s t r i e d ’E ta t^ - '’X a ' t i G. 'T . n o n n n e ra to u s le s fç ô c -

Jd o w a ii e s d u r é s e ^ q m jm a p p t ^ è h t , o u p lu tê ïe i f e lê s iiim p rég n e ra toascde

oonrit infiTrfé«Srt<rrm’ilS s ’BB'dOU-

« e 'r e s p tô t , , - ^ —- ;d 4e„ce patron mvisihle

«<H »(^.< seà£^i^déclùuB è à sp n «vrdte,'paridÿSe^utes.ie» bim-

ét'lerriw ise îesgoHven-

circulation,c’est-à-dire maîtres desus- pendre à leur gré la 'vie de la nation, les cheminots syndicjués n’accepteront plus aucune autorité. liSi admmistre- ront eux-mêmes leur réseau ; et leurs chefs seront leurs domestiques] ■

E t av a n t p eu , v o u s v errez le s ra d i­cau x s ’ém ployei- de to u te leu r fo rcé à la réa lisa tio n de ce b e a u rêve . E t to u s c e u x qui ten te ro n t de s ’y o p p o se r se ­ro n t a c c u sé s de tra h iso n e n v e rs la- R é p u b liq u e ! ;

L odis LATAPIE.-

E c h o s ( e t N o u v ^ ^ .

Lb C o u rse Paris^M actrfiï. — Là .course d’aéroplanes Paris-Madrid, si tragiijttpnient commeucée, se continue en ce moment vers la capitale de l’Espagne. Voici le classement pro­visoire, pour le parcours Paris-Saint-Sébas-: tien :

r. Yédrines, sur monoplan Morane, n* 14, en 10 b. 20 m. 16 s., 2. Garros, sur monoplan Blériot, n*. 4, en 11 h. 13 m. 13 s. I ;

3. Gibert, sur monoplan plériot, n* 7,| en; IZ b.'30 m. . ;

fies ovations enthousiastes ont accueilli en Espagne les oiseaux qui viennent de France. ’ Véurines est arrivé sans encombres à Ma­drid hier malin, à 8 h. 6 ’. accomplissant en 2 h. 3/4 la dernière étape Burgos-Madrid.

Une foule considérable l’a accueilli, sur l ’aérodrome de Getafe, par des ovations en­thousiastes et le roi Alphonse XIII a tenu à venir,lui-même féliciter le vainqueur et lui remettre la croix d’Alphonse XII.

Garros et Gibert ont dû abandonner, le pre­mier à San-Sébastien, le second à Victoria.;

U n c lo c h e r s ’éc ro u le* ^ La vieille église historique de Saint-Jean, de Troyes, a été eh partie détruite. La tour du beffroi, da­tant de 1392, s’est effondrée sur les maisons voisines, il n’y a pas eu d’accident de per­sonne. . . .

Les cloches reposent 4 10 mètres sur la maison (l’un pâtissier, en face.

L’égüse Sai|it-Iean renfermé dos richesses artistiques de grande valeur.

U n p r é f e t a t t a q u é p a r d e s g r é ­v is te s . — Le préfet du Gard, qui passait en voiture dans la ville d’Aigues-Mortes, a été attaqué par une bande de grévistes qui ont lance des pierres dans sa direction.

Les gendarmes ont chargé les manifestants et les ont dispersés.

En raison de l’agitation les troupes .ont été renforcées. i. .

. A v is a u x b o id à n g c r s . .— tin. boulan­ger de Vincenttes, M. 'Thévenard, comparais­sait (levant la huitième chambre correcti(}n- nellc pour avoir livré à-ses clients, dti pain idit, V de marchand 4c vin » avec un déficit I de ■ poUs..

Le boulanger disait, pour sa défense, que. les boulangers de la région s’étalent mis d’ac­cord pour ne pas vendre au poids léS pains dits « de marchand de vin », et que l’entente était complète entre les boulangers de Vin-; cennes. Montreuil et Saint-Mandé.-Leur -déter- .

-mination avait été afilchée.dana les boutiqites,. et les clients ne l’ignoraient pas.; :

Le tribunal a rendu un long jugement on if a dit que- les boulangets éntèndàient livret; le. pain ordinaire cuit, comme' bon leur semble. : probablement pour forcer le public à ne pas en prendre; que ce sent les pauyims.gens qui aurai’ ut à souffrir de ces mesures yexatoiites, qui .)■>, lors sont des plqs réprébensiblps ; qu’un n- saurait admettre de pareilles habi­tudes commerciales. Le boulanger de Vin- cennes a été condatnné â 300. flancs d'ameiide.]

' 'Les-VM igaâziicesiileCê(tiibés«-t.']t.Jns-. tice et bonté », a'dii M. Monish • ' ' . > » o'i’i .( Deux yieillea demoiselles,. deux pauvr^ fil­les, tenaient,' depuis plus.de quinife’ans, à Pons, le pays d'à M. Combes la g é ^ ç e d’nn bnrèau détabae. Elles àyaieüf léus'àt; (èùr travail et leiir actmeil aimabIei;-«:,iÇ fmre une, bonne (dientète. Màis etiesidaysueiil'nu défant capital :«Hea n’étaient paslpsadahnliioeslo''- eenéee.de M,.Combes. Et, ees;FwrS(dpniipr8,,

(elles ont reçurde, l’administratu^ contn- .bùüpnqjndiretitesun â y is je s jn f ttm a ^ ^ e Ja ; géranwTdè cè hù i^ ii,léu rj;éW t,e?P ;P J w d’autre ^fiMdibn.. .; '' ': 1“ , ■

’MiiCSonnési qttt fenfhsan /l’IidobSfoétÿSson. dSboiîiis és 'évbéètant ladeyiaéo‘L ib e n é /'I^ - ' U tétufrâts^itéi s^iB-rcoimabmiiriBtdB) dAte.

s i c i r h

Et qnè s e r a ^ lorsque, sous iBnéqu- its serm tasfilM Suletous

les féM qja ! LaguisSàitee

fftge 'tin îÿertette^é laMehanflçp’ÿ w retmie mercredi et a voté la motion s#raMéqr’

.«^âninia«i)i4hdééidei.î 4 l’unanimité des mpmbces. présents, nutisans et adversaires de

•-•V- d'insister, maintien delà

____________ l’ordre dnjoiÿ ».ou Là cbmhâitBioà demandera tpie la distmssibn commence dès lundi et elle manifeste'Ie. vif désir.tpsile projet soit voté ayant la fin de la

- ‘■ A,i^ea o b s é q a e s d e H*. B e iie a n x * ;.—ts de H. Mâuricé/Berteànz, miniptre s, si 6mgiquemimit''tua*patJ’né'rp-' , dnt’èu lieb lner iMBtt. aû mlién

d’une g r a ^ affluence. Lé otSbheSi'j^gisnr une prblbnge d’arflllené,'^éttüt rëiiWmA du drapeau tricolore. Six voftsM Pdubfféw t'de «ouronaeéj aajvaje^^^ ^ - g m aig^M tcéake

'XvM W dÜl^firfinafetèrértife la des discours ont été prononcés par HHJVidê-

it^ iP D tdnetf Bt(88bin'P»ri«riqBi*MK d » la iïuaBcei^gégérat.MicfaelPiFeHetaniet-Bafi»

délné«#B de’pbptt- ■laiion. .n «.(h

■ - - - '.TtS. . r Tnrrrvr »■; «b . .

- ^npeUdea-iîlBw'tren.réqiqcg’’— - jsement. désMué, pooh temp-

ÿtérnoityetS ifihistrt’ééfhé 4 SitSff, et a opté pour la France au moment ']«lûèw^’’S99trèM!aliiSiaiKeoSiMM%-Bst{%stéitaM nfdlnriM ahattisÿi^â^et est meaifeiAcqt gmm êà ram^.italienne,commandwBle.S* cerps/ajUmcandne.. >

U n c a s i n t é r e s s a n t d e lo r i s p r a d e n e eH. Choiizet, négociant du flavrcj ^ jag ca it

' en j'anvier dernier par un froid’ele loup dans un wagon dont auctjn compartiment n’élait chauffé. Il souffrait fort, U réclama sans suc­cès.

M. Cbouzet avait certainement lu. l’inscrip- tipn tra ite pçès de la sonnette d’alàrme, en- joig .aiii de n'user de ce moyen protecteur q'ue .pour un motif valable., •‘ Il estima que crever de froid dans. un wa­gon non-chaùffé était un cas présentant tons; lescàraetères de valabilité que peut avoir Uié motif, et il tira la sonnette. ■ ’

, Le train stoppa et M. Cbouzet se vit dresser procès-verbal par un conducteur, pu train qui pensait autrement que lui. . > , ’

Ce cdntrâleur avait, tort.' 1i. : Chioézel était dans le vrai. Il Viènf o’être'àcqû'iltê paï' lè tri­bunal du Havre. ■■

t e froid intense, a admis celui-ci, peut'être une raison suffisante pour faire usagé du si­gnal, d'alarme-après une réclamation infruc­tueuse. ...................... .......

" Ù a r é fb iu h é é lè c td rà ië * — La com- miésion d’etùdes màtlluëe pàh le comité répu­blicain de la R. P,.vient d a'(&esseraU3f adhé­rents de ce éomilé une lettre protestant contre le système de l’apparentement des listesmdôp- té par la commission de la Chambre..

Elle préconise spécialement l’adoption du système dit du nombre'unfqûé'où'le système des moyennes. ;

La lettre est. signée de personnalités émi­nentes. Comme MM. Adolphe. Carnot, Fernand Fauré, Éug. Fournière, Georges Lévy, Henri Poincaré, Ernest, Lavisse, A. Leroy-Beaulieu, qui n’appartiennent pas au Parlement.

C om im ent a a s n r e r it n o s m in i s t r e s l a l i b e r té d ’a c t io n ? - r Dans la Revue bleue, Ui. Ribot, ancien président du. Conseil, suggère les moyens suivants :

1» Le président du Conseil ne prendrait pàs. de portefeuUle ; - ’

2» L’avancement des fonctionnaires devrait être entouré de garanties et soustrait 4 l’arbi­traire des ministres; afin que eeux-civ à leur tour, fussent délivrés d’obsessions qui leur font perdre an temps précieux :. 3°. Une large décentralisation décongestion­nerait les ministères en permettant aux dépar­tements, aux assemblées locales, de résoudre les questions qu’on, se croit aujourd’hui, oblige de soumettre au pouvoir central.

G a s p i l l s ^ e" " ' f E T

La Cour des Comptes vient d’examiner les comptés de Fexeùcice 1908, dont elle’ ne fut mise en'^Ssés'Sion qu’au mois de juillet der- a|è'’.

Elle y à fait.des découvertes singulière'menli dnstructives. ■

Ainsi a-h-elle appris, qu’au ministère de Tin- .térieur, on distribue-des indemnités de dépla-] cernent, d’inslaUatiOn en province, de surcroti de service, 4 des agents qui n’ont jamaiû quitté Paris; on prend i’argent àu chapitre'diï service:sanHàiré'màritime !,.] ,

Aux;pplçùié(s, pn ^ u t e sur les frais d’imj pression lès., pourboires cpiloq donne; ait con' cierge pour porier les d é ^ b e s BoClarnes, I

Le chapitre..des a frais de .missions » est particulièrement chaigé. Un chef de cabine^ du ministre du travail reçoit 15.000 fTancs pouE « organiser une déifegalîon ouvrière v 4‘1’ex-j position dé Londres. . ;.. fi serait iRtéréS8ant;de savoir ai cette délé-; galloh.ajiUnàis.étéor^isée..'.' . . . i

Un fonctionnaire de l’Office ^^.Fràvafifqfin^ 14.000 francs pour une. mission: auXüEtats*! Unis, .en. vue d ’étudier. « .l’organisation du- tra- vaU danS’findustrie.'da ebevremi pour ohaus-* sures ». , ■ ‘’ cb.'.'» !

Adi' affaires étrafifere's,°tlià’ attaéfiéirèçoit

(1 ïécnércher rés mb'yen's'de sîm'plinér les rap-] ju/rts ,dPi l’«eent.,eqmptable. des- chancelleries’ avec les/chefs, des .établissements consulaires!, .français -A l ’étranger ». .La mission (2.000 fr.)/ d'uu'aUtre eéhsistait'à « étudier les moyens d’a4sfireràhé;docùmentation plus rapide de ln’'j>rëi^'fiépàrtementaie ipour teseâvicé del

ission (3.000 fr'.)' d’iin troisième 'cénsis-.tait 4 « étndier les modiflcatiqns, 4 a p p o r t âU; recrutement des traducteurs attachés 4 rad-' ministration centrale ». ■

Toujours au (jnai d’Orsay, la Cour Constate, de multiples affaires Cfiiédanne, lés marchés; irrégnUeré" de fonhiitUres sont dq. pratique: courante. ' . |

Aux postés ettéIégiaphés, àdjudi(Sation d’une> fourniture de 100.000 molateurs 4 double cdc-]: che ;’ le calfiér des cltsÿges prévoittuné vérifi-j catton minutieuse. Si plus de 2 0/<0 'des ihola4 teurs sont reeonnits défectueux, la fourniture' enUmre sera r ^ s é e . Or; sur les 100.000 objets,' le sérviéè: de ta vérification en- trouve 01.541, défectUéUx.lEi l’administration acéepte la four-] n it« « en-tottfiité, moyennant un rabais, d’ail- lenn arbitrairement fixé par lés Ixnmtm.,

Aux colonies, dépuis treize à n è jfèS '^ v e r- neuls se-sont àrrogé te droit'd’s^pNQvéFlburs ùrébéàê'%idèets et (fapsrér leurs cmnpies i d i ^ l S H S . ' - ®

GeirlaiMs U(domes s’offrent le luxe de. p ù - sieurs gouverneurs 4 t a fois. Le b u d g é ^ é ta .

iSÜInimiiS’amfiporté; p tiâani-un’anplaîiolde ::(lèèB0ia>Êi)dV8 néht»éiliialtaiiéé’sFua eiidaliKé . ttitéodlrae^iHf.uecsén pne tinérini'fkiiiljNo; «'(iBjpfettveMMid édte^metativS (A pnia%'25.00qfr<)t'La Guadeloupe a poyé-ml- multanément deux gouverneurs : . ^ , ^ . qui tomdiadsMSAOO ic;'m4uE!u8dé:,d,Wm|»à'hvee

;une iadetanité de résideueeèParis! Lamdonie üdp Sa»irt#iurrKettj8q8fia»iar.payédeaxiMs (la solde ^ ^ ‘HB!imhif(wveriiaa',êqulsl^v*>t qUittéavpuoBHer tntGaboucigtOfio^b pavof.

Lorsque Sisovath vint à ParisimneraUmaie de 50.000 piastres fut prévue sur lé budget du Cambodge, elle futjmiô'éefde 125.000 piastres. Songez,qu’oa psérq n p ^ q e n t — fut

pi^et ,— 3i4i f rà io pour^iùtrtaiiase- à ^ tsu is c courèes’d b ^ u iL Q i^ |s .v m n siiePOél '^ 'm ^ . d ’q r a p ^ e - I f M a P P iÿ ^ lé s

..E t -omme on: a’e ^ i ^ ’ (^budget de 4908 u t dépassé'lés-qûaSômifiÛuwT à

' (M fe Ù a tlé rÀ .N .R .) . ''

La faillîtedes Hetfaites oütfflèfes.

Les causes qui fout repousser par un très grand nombre d’ouvriers la loi su r les re ­traites ouvrières sont de nature diverse, mais l'nne des raisons qu’on entend le plus souvent invotjuer est le peu de con- ûah.çe qu’on Çprouve pour l’Etat qui aurait

t é mAniehaeot' dès fonds versés. Un des miljtanjs du socialisme, M. Braoke, écrit

X H u m a n ité :Lttio;îrttr.^ne preuve d’ignorance, la résis­

tance 4 la paperasse préparatoire aux prélève- .mciits démontre un baut degré de conscience oq(?ière. Aussi est-ce des mieux informés, de» syndiqués, des militants, qu’elle provient surtout.

Le prolétariat sent que lorsqu’on lui « pro­met » le pain pour des vieux jours ob il arrive rarément, et qu’on le pétrit avec la maigre part de ta production qui ne lur échappe pas; on le frustre de la revendication quTl a toujours una­nimement élevée-

La nom v d’escroquerie » est encore ce qui jugelé mieux l’opération 4 laquelle on l’assu­jettit.- ‘ 1.1 est cuîièux de constater qne même -d è i publiéistes, amis du Ministère eon t

de reconnaître la radicale im per- f e ^ ^ , .d .e la législation imaginée. C'est ainsi qu’on lit dans l’A ttrore ;

La seconde cause d’impirissance que la loi surde* retraites ouvrières porte en elle, c’est la complication de son fonctionnement. « L4, vraiment, il y a des critiques 4 adresser 4 ceux qui ont pu concevoir oU approuver le méca­nisme’ invraisemblable qu’on a présenté au peuplé français, li dénote chez cenx-14 une absence complète de sens pratiiiue, un manque abspliiNde connaissance des nécessités indus­trielles et commerciales; et le plus complet dé­tachement des possibilités administratives. » L’idéq.de ces quinze miliions de cartes qu’il faudrait établir chaque année, distribuer, faire rétirér; , dont il faudrait contrôler les valeurs indiquées par une centaine de timbres mobiles (pour chaque carte), totaliser, transmettre, établir des bordereaux, etc., etc. Cela est hors de tout bon sens, et quand on pense qu’on a .pu croire qu’un tel travml pourrait être réalisé par le. personnel actuel des mairies et des prèrcrhires, on reste confondu de tant de nàrvelél . . . .

G K i e s t r Q i i s M l l j f â i r é s1,1.i '■ :

J ^ J ^ jG ardje R é p u b lle a ln e ... H manquait è lié garde répUblicaida un chef de mimiqué fit'Ua tnmbouf-saejor. iLe-chef de musique appelé 4 remplacer,M-. Cb>briel Parés estèi. Guulaüme 'Eallay, classé'premier 41a sui^;du,](mbcqaKl..fi n.indirante' 'ans. ll'est ori'gihaire dé Wozijn (lri®ej, fut ‘élève dfë'Pàul ’Viœl pôurTbàribbnié, ébtlht'hn' premier' prix der piston AU Conservatoire de:Pari8, fut reçu chef de musique, et dirige la musique du 72*

'd ’infaaterieAAaiens.. Le n<mveau tambour-major est H. Gabriel

.Pefrancp, éq,ji,37«. d’infanterie; iq Journal officiel a Annoncé sa nomination comme « ma­réchal des .lomS tambour-major de la légion de 'lagarde républicaine ».

' ü n J o u rn a l de Paris- rap p o rte , à p ro ­pos d u p ré fe t B onnet, R e x ^ ie ta te u r de l’Oise, , im e savoureuse, histoire. B a n s unesbû^^'B O sium ée,) le. p r i f e t B o n n e t eu t $çsp^.<ie^j[t«ifre,par<ekrs de palanA (2 M»«iî'‘jfr(i^ès(tg.Ati, .ïièp'res. Ce p r i f e i aurdMlr p o W } i f t o ffice , réquisttionné

■ g ^ f 4 , ^ j ^ t s qu i, detrvMius e t .'passéf '■ p ù e t r ^ e l d u ren t v e n ir ^ a th u se r î^ in o i- tésfjtê'ce io n dém ocrate- C esL afn 'p éK TK abitude d ii p ré fe t B om iet d é i r i s e r ses adm inistrés com m e dés nè0réS, m ais les,so ldats de notre fro n t iè r i ne sont p a s fa i ts p o u r lu i servir de JoititS .

ÿ é Ç o m j u ^ ^ï Trams spiciaüx

PToiis rapteloife'.buÀ'.OompiékqB va disnnêf déinitîn dîcffàndlïé '28’IfiÈË fet le.’ lundi' dé là'PeiitëCôte'S Jüin, le doùBl^ spectacle d’un cortège historigiiff dn’XV* siècle et celui, plus rare, unique même, d’uii tournoi moyen âgé! ■

Le défilé cbmménpera' â’’! heure et Ip tournoi a 2 heores'de l’après-midi. ' .

Les places', âSsiSes; ‘ annbmbrë de plus- de ®(W0;' ic à te p è r té ii t 'lô g ë s . et des. siègèsrnUtnêrfiSiï â 2(lTr., id 'fr . e t» fr. f lèsftÂrtti' de pèWuse sont ife .1 fr.’ LU loca­tion riéSte"-’6uWtè ï PSrisi atf'Grànfl- Hôtef'(sérri'dë dés théâtres; 'Téléphone 235-35) et à l’Hôtel de Ville deCompiêgne(Tél. 0,50). En outre •des’’groihete-sèront installés 4 c o in p iè g n e .les jo u rs des.fôtes,. pourla-vente'dw; w etSivr; -.i. ;A(i■ De&tnûns,'a»ppièmevilatneB,:8eroBt igiis.

en inarohe e tles^rap idas 'seron t doulfiès’ ou-triplfe.^-Ba Paris, -les; idéparte-ionrMt; Hendio h? 3h.O803di;4(l,:fiiiiM),i8 h . 33,- iO ih»20,-ri0 h . . lUrsfiOc et!iè-hi4!hriEepe*ieinetottryimèiBe& faeslHês, -eeH ai#w fcJ«asE toeF»at« ii» toaai(m eiie:

y s^ lM sA te-id aean e-i d-’A ro tneosneid l^ - ^ i m 'w n t o , : a w la fête.. mèQe de jÇmm-.

K-ia -aï!u.*«> otilosq4.s.l, ^■ - : M v4iM 4iiA H hsii$p ièw uita iM ° -

Diréction de 'f iS ^ iè -io œ ,2 l ô ; -a r iT » w ,s tâ ^ ^ ia p * ^ n ^

Seâfq en^«ée4iS8iss^^^H iB Îslt((-ièuinq

d é ;kài»ibé6 -iVilteiyéstleW W pW ’hü^aiji ûcu»■ TOifêctiori'dé' Bdué: 'Bj®rt dé/Ih

‘ùiriÆ è•dfrh;1o ''pl ^ ; - 1 r e t ô i i ? ’

' é e 'tïfô )

rivée a u o m pvais, 9'h. 17 ;'a

SI ; départ.de Compiègne, i i h.-10 so ir ; arrivée à Clermont, 12 h. i l . ; {Ce train sera très probablem ent prolongé jusqu’à Beauvais, .-

Direction ddAmiens-. Retour dé Com­piègne, 10 h; 30 so ir ; arrivée à Montdi- dier, 11 h. 34.

D irection de C répy-en-Valois. Dé­part de Crépy, 11 h.; li? ; afflvée’-'à Com­piègne, 12 h. 1 0 (s’JiVi'd’a n ’SBCûntt tràin à 10 m inutes d’intervalle). Retour de Com­piègne, 11 h . 33 soir ; arrivée à Crépy, 12 h. 37,

D irection de Tergnier ; Retour de Compiègne, 8 h. 23 et 12 h. 26 soir ; a rri­vée à Tergnier, 9 h. 38 et 12 h . 22.

D irection,de Creil : Retour de Com­piègne, 11 h. 30; a rrivéeà Creil, 12 h. 16.

Votes de nos Sénateurs.Séance du iSjnai.

instructions données p a r là régie, concer­nan t les piquettes e t ràpës- détenus , par les débitants e t les aubergistes pour la cmasommation familiale}. '

L’drd]^ du jo u r p u r e t simple est voté par 206voix contre 43.

Ont voté pour : MM. Dupont et Noël. S’est abstenu : M. Cuvinot.

L es tr ib u n a u x p o u r e n fh n ts . — Scru­tin sur l’article additionnel de M. Charles Riou, ainsi conçu :

« A partir ita m om ent où la présente loi sera appliquée, les statistiques ju d i­ciaires annuelles feront connaître le mode d’instruction auquel auront’ été soumis, conformément à la loi du 28 m ars 1882, les enfants déférés aux tribunaux orga­nisés par les articles précédents ».

Cet article additionnel est repoussé par 242 voix contre 31.

Ont voté contre : MM. Dupont e t Noël.N’a pas pris part au vote : M. Cuvinot.

-------Le Concours agricole

efe nippique de BeauvaisLa péjriodq^ active de nos fêtes agri­

cole de Béàùvais'và (joiuméncer.' Jusqu’ici, la ^ o s s e b eso '^ e consistait en correspondances, iusCnption d’expo­sants, envoi de p ro ^am m és ë t d’affiches; b é s o ^ e aride q u i'ce tte année, en raison de l’importance toujours croissante des concours, a constitué pour te commis­sa ire général e t s e s . pollapqrateurs un travntt c&iSidèii’aBre; Le' secretaire-géné- ral. reçoit depuis huit jours par centaines les . demandes, de rédoction de ta rif pour venir ‘au ccmccfurs, ce qui fait présager une. affiuence .considérable d e visiteurs, car ces demandes ém anent des points les plus éloignés du département.

Dès m aintenant .toutes les inscriptions sont dosés, iés. plans .-des deux-concours sont établis e t lundi on va commencer à labourer la piste du Concours hippique qui sera jusqu’au 9 ju in , hersée e t roulée tous les jours pendant plusieurs heures, afin d'am eubler le sol et de perm ettre aux chevaux de galoppev facilement et d’abor­der les obstacles sans danger.

Au .Concours agricole, nous pouvons annoncer que les expositions chevalines è t bovinés seront absolum ent rem ar­quables;-les sections des moutons et des porcs sont un peu moins chargées et lei commissaire-gené'ritF'nbul prie d’annon­cer .qu 'il recevra: dans ces deux classes lèS iuscriptiôn jusqu’au 1** ju in , dernier délai. - » . ’

L’exposiüon can ine comprend p lus de ISO chiens; l'expoéifioni d 'horticulture s’annonce.: bien et ne sera oertainement! pàé Tun des mqmdres attraits du ConT cours,' . ,B L es volailles, Ipp ins, é tc.j les produits agricoles sont en noinbro plus considé­rable çpi'étF'~’490B. ' L’ébohùmie ru ra le comprendra de jolies collections ; la Caisse régionnale de crédit agricole de l’Oise exposera les ^avaux.de toutesjfles caisses afiuiées ' iHsfiSeiPeii^ijr ( ^ c o l e aura! nnmm» tOtljoufS 'des id j^èsentants inté- ressants.

Ce rapide aperçu- des fètés-des 8 ,9 ,1 0 et 11 ium perm et d'escomptôr u ç succès colossal. Nous n’aurons-pas'dp’'minis.tres,: paraH-il ? Hélas, npds coÈ ûàrë i|qns'que nos gouvernants'.; m ent lé deuil'au coeur après le cruel é # n é m e n t de dimanche IMais le Concours.. de.„BoauyaiS ,n’en sera pasmoins'r'énSsL lldstU nvlÉ iteU rsurtout dont il fau t-espérer-avan t .tout l’arrivée pendant ces, fêtes,, c’.est lu i qui décidera en m àtlré d e leu rs succès, màis. Sur. ce

f* il6ué’'^àVdos. nas''3‘àcti(, _______o, , -T— - 0051 ias ''a ’àcfion. et]nos invitaûbn's 'lé à '’plùS''ofl9ciélleS iTont aucune prise; j ’ai nommé n'eSt-ce’'p a s le soleil q u e ja r .se s gais rayons réjouit tous: lés coeurs'etuncité aux déplacemeuts.

La Fête Cycliste de Crèvecœur.' La Fédération'cycliste Oise e t Somme! qui, le l.fe ju in ’'l?M ,£re!M vait à Amiens le double-rapftihe «ta solm - è t du succès, ! avait choisi cette-anaée-la ville de Grève- ; cceurdè-G rand.pour ê tre le siège de cettei

1908,mdre' ah

sldent, M. FernasdrEonUêne!.,^ - K r i t . V3*‘< B a l^ t tn té a p s maussade, une fonicinoaibaëasn avàitisBVahi la petite ville de GrèvecOMiPrdécOrée:de drhpeàux

" >loïeBàM-FF%nà8ié''tWkgh (Fabord en

bàn èt équilibrisme, a lieu ensuite su r la grande placé, àu milieu d’une foule énor­me trop bruyante péUt être.,. A. 5 h . i / 2 , il est procédé à la distribu­

tio n désrécom pénses : nous en extrayons les.noms pouvant intéresser notre arron- dissetnènt :

Diplôme d e 13 années .de cyclisme : Geoiges Bunel,.de Senlis ;

P rix dé prbpâgandè'et 'de so 'ioa ité : Férnand'Èontaine, dé Senlis.

Prim e de cinq francs : Lobin, de Moiit- lévêque.

A la fin de cette distribution, M.-Harlé, secrétaire-trésorier de la Fédération pro­nonça un discours.^T am bours et clairons sonnèrent « Aux champs I E t tandis que des acclamations 'enthousiastes s’élevaient de la foule, M. H arlé’rem it.à M. Fontaine;- président-fon­dateur de l’oeuvre, les palmes en diam ant provenant d’une souscnption entre toutes des sociétés et les membres fédérés et asso­ciés. Un membre associé, M. Laverdure, de Cfièrinont, rem et ensuite à M. Fontaine une .Superbe gerbe de fléui^. TrèSém otioh- né p a r cette m arque de sympathie e t de reconnaissance, le président remercie' 'ài- vement ses collaborateurs e t serre chaleu­reusem ent les m ains de tous ses cam ara­des qui l’entourent.

Un banquet des p lus animés à digne­ment terminé cette lète aussi bien orga­nisée que réussie.

Eaux et Forêts.Sont élevés, su r place, à la 1 " classe

de leur grade, les brigadiers domaniaux des eaux et forêts de 2* classe dont les noms suivent :

Brouillard Louis-René-Pierre, à Vieux- moulin.

Baehotet Léon, à La Neuville-en-Hez.

S o e i é t é d ’A g j r i c i i l tu r e d e l ’a x T o n d i s s e m e n t d e S e n lis*

Gooeours figrieoled e C b a n t i l l y

i" e t S J x a U e t 1 9 1 1

C o n c o u r s A g r i c o l e s c o l a i r e .Des objets d’art, médailles, men­

tions honorablérs et volum ës'de p.iix seront décernés aux mstitùteurs' et aux élèves du canton de O eil qui au­ront fait preuve de connaissances agricoles spéciales siilvant les condi­tions énoncées au règlement .«-après :

A r t . 23. ^ Le Concours agricole scdlaire comprend dénx CbnOTurs' : le premier entre les Instiimteurs iïu canton de Creil, et le second entre les Elèves des. Ecoles, du même canton. E s auront lien suivant ,lesdispasitions..suivantes :

l*'- Lo Concours entre les'Instituteurs aura pour basé tin trà'vaii écrit, fruit des observations de Fauteur, sur la culture locale, que ces' observations-aient été faites dans un champ d’e-xpériences ou sur l'ensemble • desi exploitations dé la eonunune 'ou du canttyA : .culture du pays, plantes nouvelles;'action immé­diate ou lointaine deS engraià et fhmiers .sur . les. produits ..du, .spl ; ressources géologiques p.p, point .de,- vue /de la culture ; marneg,. cendres diverses, tourbes cnltnçea jjpéjMes ; statistiques a c c o le s ;{'<|omplta'biliK j instruments ; soinis à donner aux animaux ; msmiére de les conduire, et de {^. utiliser, .e‘tc.. .!^, .Tous les,lnstitn|eùra du .canton

de .Craü seront adnûs. À concourir.: 8*1 Les méini^es seront sdressés à M. l’Inspecteur primaire «vantile 22 juin 19U';*: e t ils seront - examinés'par une Cofflinisrion çodmdséà ;dë 1x018: 'membres cfôla'^ËbHétè; dël'Lispéliàqhy.drinS^ d’nji;^^Sgl;utent désignéi’ p ’Anlorité ■âc^ëtiuiqùè..'..'.^ ;■ . . .

,^j4*,!]Lo:;Mnq6u^jenfre l^-;)pl_étFes du canton de . '('raU ajirà ..]^ : ; devant- la Commission ci-dessus d é s iré e .

5° II comprMidra-use épreuve écrite et un examen oral;.les-sujets se rap­porteront , au progranime ministériel suivi dans le coursmoyen*-„. ..

. Les Candidats né devrbnt pas s’atta­cher à une sçule.spéoiriité. '

^ s çp^urren to devront Avoir 11; ans au,mpûiqndi^ans.aà pins, an-moment du -conccqijrs ê t appartenirau cours moyen ouauconrBsup<trienr,r i.;:,;’ .

6° La liste nominative dés^n é tê r- rents; avec indication de la date de ieorjmi^>ansto»to.raenvoyieàM.l’Inspee- tei>r..prinmire,parles so ins 'd^Institn - teiuêràvant lé: .I f juin-. 1911. ÎBDè sera àgprpHv4a4«r[Ja Maise.-i i«!.. !7S( n sera accordé deux-heures-pour l’épreuve écrite, èt les Elèves tnôriul- lèront, ' tens de'Seconr» i^ m ^ n livrer sous la sijOTei|^ce d’un des Membres dé'lâ dommissibn.,/ ' , .

8° L’exame n - o ^ seça subi iqtrès la. c o r r e c t i o m ^ e ^ ^ u ™ ^ ^ et cota- prendra çettun nom qe qnesnons.

. 9i Gé t ^ c o : 191‘I,,iL'iL«J

ag râurBs'l'(S|^';d»f^-'

iS ag ran d -.défil'é£fiéuïii,ètfHÇ^uS;-bet f ffel, i, auqnri.ip)»m eii1t:pri^ tousoles.adta^ents,

'cl î ■ ■ ' ...............— -cyclistes, à in riqaelesm usnpfèsdèG bnty ,fiüiy,Crôv6(iœuretl5qfigi|SE.y. -

Un spectacle t te s intsrésâtfitv.èompre,- ! nant ixèreioes cyclistes, Jmatch dé cycle

; in , e t lé s E lèves, ^ u r ^ p ren d re p a r t, se ro n t réuriw 'dàns l ’u ï& des.c làsèes de l’Ecole dfiS G arçons de Ctamtilly.;- '■

10 ' Les récom pens|a !!^û li% 'ad4cer- nées; aux In s titu teu rs e t au x iE léves, I» 2 Ju ille t, jour , du é Concon rs . Lés iau-. féa ts se ro n t ; p révenus’i n r lë t tre ind'U vidneUp. à

m

1 1

F î '

M i*

i x ' é m r n K ^

Grand concours de an s iq u e organisé par rH arm ooîe de N euillÿ«n-Th4léi S0 iiS les auspides- de te municipalité, w tec lé concours dêft autres so c ié té s teca le ÿ ^ des habitants.

Le samedi 3 juin, à 9 lieuros du soir, grande retraite aux (lambeaux p a r l'H ar­monie de Nouilly, la compâgnifr d essa-

' peurs-pom piers,la Société de gym nastique « r Amicale » et les sociétés présentes.

Le dimanche 4 ju in , à 9 heures du m a­tin , réception-des-raembres du-jury par la- municipalité- efr b® «fflœnbr» d u 'co m ité

organisation avec le gracieuit-eoBCOurs de l’HaftéoDie des OrfèTrwd*Ëroufa (di­rec teu r : M. A. beelere):- r- -. i .A ;

Sociétés greaant-pariau concours ; Har­monie municipale de Pantin,- 83> é x é c o ' taats^ ; H »J8onie ' (te la= a a s e n iS ia tjjS iÿ Puteaux, 74 ex.. Harmonie générale de Constructipn de St-Denis, 39 ex. ; Harmo- nîé de ^ d t-T )ié sur-Loire, ex., l'H ar- ■mb'nfêaé La Pïaïne-Saiht-Dé'nis, 47 éx. : Harmonie du P atrûnfeq ffÆniicuiU fô é., flai'm dnfe'de CJulà'e-la'^ptte', 36 ex. ;TIar- mOnîé de Beâu'ïnoût-sur-OiSe, 54 CX. ;F à n - iare" dè’ 63iatùfily; 44 ex. K m fa te 'd e iS'oaiiles, 53 ex. ; Fanfare de B iâ n ^ -su r- B resIe,60eX .

Fanfare libre de Hermes,49 exécutants^, ‘ Fanfare la Bienaissante de Bourgogne, 23

ex. ; F anfare de Tfacy-fe-Mpnt, 33 ex. ;

“•■aav.Fanfare de Gres-les-Mello, 40 ex. ; Union m u ^ l e de 'V ^ b ^ p ie r re 33 ex. ; I muBimpale dë^alnte-G eneviéve, A»/.

: Fanî%-e d’A bbec(*rl,27 ex. ; F a d f ie- 'Vigneronne » d e â ’rigny, 23 ex. FanI- de Mesnil-en-thSUe, 28 ex. ; ü n i o n ^ l ^ f cale d’Haudivilters, 20 ex. ; Union maS* cale de 1Wcot,-28:ex. v::-

A 10 Béiires, concours de lecture i vue àhui-clos.

A 1 h. 1 /2 précise, dans les principales rues de la’ville, délilé èn deux groupes de toutes les sociétés.

A(2 heores,*«ooours d'exécution.A 4 he'ures, concours d'honneur.A 6 heures, exécution du morceau d 'en­

semble (1.100 exécutants), sous la direc­tion- de-St.- C!h-; LeotBni/.TlireotaaKdB Ihttarr m oniedes OrfèvFes.d'Ercuis. Distribution

lianitsi

olTiciel salle_ ....... Illuminations

géné'r.âféS.- ATO heures, grand bal de nuit, sous la

tente de M. Poileux."É#l'Sfi(ffS 3 heures, courses vé-

locipédiques.A 4-henrès, jeux divers pour les garçons

et leïfU les.' - : ■ ' '> ’ -'> A--9 heures du soir( place de la (îare, grand feu d’artiflce tiré par la nteieon ®h- o h e m in .-: ;- - -î- ‘ir--' t * '

Iiei dimanche 11 ju in , à 2 heures, salle des fêtes, tirage de la tombida.'? ’• - i -

A 3 henrea,- concert, par- lîHarmonie de NeuiHy-en-Thelle. - i

Le dimanche 4 ju in , concours d 'arcs de triomphe et de façade. -

■■■■■■■■■■■■aBsaÉMi -g?»-H arm onie Creilloise. — Nous annon-

c i o a ^ CTsaie tre dernier numéeojdS: pro- ch^BTÎatiBŒS'ion comme chÿâ&abQ'ifar- n ^ ^ C ^ ^ i s e , de M. C ( | ^ I , ‘ . ^ s

p ^ e u x d 'ap p ren d r& ^a t^ É èn t q i i ^ . Daetei, dont nos co n ^ ||H â i^ a in t e^iàffiBvetH'dÎDcoasion d 'ap p rép îi^ ® w en t a S l|m o E to é sous-chef de celfeéxcMîiftete soiSaé. (yésl un gage de p l d t ^ s r f t t o r s su t^ J - (p té in o u s lui so u ^ |o B S i §p u s espérons'-'pouvoir entretenir prochaine­ment nos lecteurs d'heureuses transfor­mations qui-- iiitéresseTcdep la So'^ét"Ct. tauàmos coBcilOyliins-cnâyiabrs d e i^ d h é t. musique. Nous ne voulons pas pour l’ins­tant et par d is« r* tio À (^ !^ f ï ie « p te a m ­ples détails sur ce sujet encore à rêtude la.réussitBidnqnetnniiyforaicm s: tesriOBife: leurs vœux.. ... __ ..... . . . .

La C onfirm ation. — Très brillante oérémoBioi te jo u r -de l’A a3*nsiwHc,,e.n l'église Saint-M édard de Cgeil..uois-, Mgr Douais est venu donner la confirmation &de nombreux enfants qntesSSteiéHt

«m -.■ tribué à l'éclat de la cérémonie.

A ccident. L ouvrier lUgiiet, qui tra-

Ghamin cjç Fer de Hermes Beau mont.-1 <s- .i 1 ? ' f - --.r

Le dimanche 4 juin 1911, à l'occasion du Concours de Musique de Neuilly-en- Thellé, d é * itr« n s sapplém éntàires seront m is, en m arche WHvamt les ith iéra ires c fa p i^ s f’ / 'l':'

Persan-Beaumont... Hcsnil-eù-Thçlle. , . . KefflOy-ïorangles..Neuilîy-en-Theile. ■ •Erculs. ........TUIet (A)..................BlIy-SaintrGeorges.. (iauvignySainte-Geneviève. . .Noailles.....................Berthecourt.............Hermes. ...............

.dép.

arr.'dép.. yk

7 10 7 18 7 28 7 30

8 33

8 32

45

9 (F2

10 10

10 25

12 30, 12=38- 1Ï46(

50-

1 50

'2 Ol ■ #

6 30 >6i3»! 1 6 39;6,40

• 0 57., 7 047 13 7 21, 7-2S-

11 40-1-1- 48) 11,49

Ijti-sa, 112, 07- i3 jl412 23 12.31 12 33

Persan-Beaumont..Berthecourt.....................KaaiÜeaii--.....................Sainte-Geneviève..............

S œ G ™ ; ; ; ; : ; :T i K e t T A T . . . ' . . . . . . . . . .Ercuis,.... - .........................Neuilly-cn-Thellc.............Fresnoy-MorSngles..........Meatnl-en^libeBe. ..........Pei:.saji-BeaaniOat............

...............................dép.

matin. soir. soir. ' 6oir.

.dép. 7 •» ,42'20= 7 45

. . «-iO* 7 05'i 7 43 .43 34i/7 ^ :i^44

7 3j) 12 55.7 38- î 037 4? i 127 S3- • 1-10

dép. 7 58 4 21 -------- 8 26'actM H—--— ;— 7 » 8*30

7 06 18 i 36'13, .8 .

,ari'. 7 ^ 8 50

•oîr.

8^30 %30 9,03 9 10

soit.

10 40 lOi 4610 33 H »

j /^ Z r ù y js x s B e n îlsl i e c b m p e D s é s h o r t i c o l e s .

A l’Exposïfmn Badbnaiè'ii’& r fe u l tu r e de France, te jù r ÿ a déoérhë lés recoinf penses SnivibteS ; ' ,

ifnb méd’aSiè ‘d’oi 'ét,' trôis grandes mé­daillé! dë-Vertneiià la= m aisoiïChaitlrierj (te Sfortéfonttdèe, si hOhorabléiiféBt Connue daBS to n té d a tê ^ o n . - - uc ,i..,

Une m éteille de bronze à M. 'Vande ville, (ie,î;orit-Sainte-Max6nce, .pour, spri gazon rustiqju'e la.x.Saginé.A .,, ■,

Une médaille, d’b f .a lÿ . .Gilbert .Cuel doiit l a fâinille nâbité Seillis, p'oür'soq exposition=dé."stafuês et vases destinés â t'orneteenlatiôii'des jardins.--' - = - ‘

NouE.adressoBSi-à ce&ilauréats l’expres­sion de nos plus 2 tqcèr.esoQmpiiipeot5;.

. 3- I'- ' . - t.. -!l 'rif 'P r é v « 3 '« n t9 d e l ’A v e n ir»

La recètte'érensueUe de la 988i“Section qui devaH:avoir-lieit je-dim anche-4 -jnin tombant- le dimanehe;de la PeolectJte, est reportée au( dimanche t l ju in , -., -> - (

: P ar sjiitei dn. Répart du, trésdrier 4 e, ,1a Sédtioii, là recette 'mén'suéllé a u ra ,lie u de-Fh. 4 /2 à i l h e ilre i'an matin, çhez-M^ Itezet, rtié 'V liillé-& -Fai‘!s. " ' = - .

vaille aux Etablissements Day6S ét'ï> illëa été-: blessé jeudi-, après-midi-pgf. la chûte dtehé t ô i ^ n i Iw e s ttb m b ^ su r lès reins et a du être reconduit à son domicile, place

î Ganno t . Le docteur Baudon qui l 'a examiné -estiine q u é la blessure sera moins grave

qu'on ne l'avait tous dtebord craint et esplge, sauf complications (ju'il s’en tirera avec quelques jours de repos.

E x a m e n p o u r lerég im en t des sapeurs- pom piers de P aris.

ColsOn Clolaire, Lianeourt ; Lafont Lucien, Creil ; Rondÿ Lucien, Creil ; Lévêque Julien, Rainvilliers ; Bouffet Georges, Saint-Maximin j Malherbe René> La (3iapelle-aux-Po*S7 Miné:

( LtKüen-.-Saint-Jusl-en-ChaOsséjB r Letèvre Jean-i Baptiste, Béthisy-^aint^Pterré ; CôgnoB Geor<

( geèj Saint-Leurd'ESSerem ; Marté Charles, Compiègne.

V étéra n s des A rm ées de Terre et de Aier .1870-1874: 473 Section. — Procès-^ ver bai de ‘ l ’assem blée ., G énérale d u ‘ .14

: m ite lf l l l t—' Hassemblée général annuellei de la 473' Section des Vétéra-nÿ a-eB-lietr

’ le dimânche 1 4 'tea r 1911, dans une des, ■ sàllès= de l’® tèl de V ille de Creil. , ; ;

La séance est ouverte à 4 h. 1 /2 par ' M. Servsnfi-vioé-présideiit, assisté de4lM.!

Béatety. président -de- laccomttflssion- d^ oontrôle, Mànleausij trésorier-f-a^^n t^

=' Houpin pér#, Adaiâ,- B é n a t^ membres dtî Comité. - !

, Le secrétaire, donne lecture des lettres ; (f excuses de.MM.- H-ippolyte Gazier, prési-i - den.t et'Vi-rtettj^’-vicé-r

Les patrons se d é fen d en t . — Les chan­tie rs d’n& en|Éiratneut- d j g ^ r ^ s r a n t été- mià’ïii'liiudex|Æ m f s e s j K p w t e ^ e s o &solidalUés a v « W < e t c n p n i ^ r i n d e K qui À ÿàsait d f ^ t e s u l É â j K n t s n t S ; n 'a i |^ « a de

l l m t a t Q l r e .Concert d M i 'S a p e i^ i^ o m p ie r s . —

Sanj'edi-derni®,'19icoit»tW ,,a*&-. lieu, A üolFHd&rfes éS teÉ le m b i r , d lltU a de théâtre Van Ticbelen, le concert an­nuel ogertTOrila-jCagfflatnia der^apeurs- p o m p i e | s ô ^ ^ p f e . | , . i i ,

Disons d abord que le public avait,

était trop petite-poac-recevoir-les-nom.-, Breiix auditeurs qui s'y pressaienlT ' ' '

; ÜBfpit§^nuite.iali‘(ltt* dés mieux inter­prété, et si nos pompiers savent éteindre

' lesi^cemdinS^lsdlUbmenFding tlbsioesurs ' te ï-désiit de voir arriver leur concert de

chaque.;anqég,.. L es. jartistes, M. Rodde,, leur àccoihpagh'at'eur et l'Harinonie muni-

S ociété lUEuslcftlé. -La Bociété M usicaledonnera-un eoncert

au Ki(>&q»e:jeadi ppochain-,'àhnittheaiies étde.raie.-dusoir.! p- ■,,, m, , 1,. . )' Nous .publierons te program m e dans

notreipr-oehaitt-nuinério. : 1: ; - , -ti;(. - - j

a* k i* vx,wvuy , uvu waauawMraz w uvxdévote rigbiireiix pour...tes...familles dd conséi-vèr flâns leu rs’logéihèntà l’à î r e t lai

Ory.-certains, fflènâges éavéteré blitili complètesienL les-prescfipHiwis-,Bfaa^ dhk signaler Ai-ÜL'le. ften l’é tq i d6ni.qteBspreté d'flne.jmMsqù dedai ^ ( M p r t . o o g u ^ p«..pl)«tewfctege-i

£ n ,.( a ra o n lte pac.-teqfategp*; p ë a ^ p p r t é , r ^ - l : : ’Z..,.

Dams la bduloir ét à Tihtertéiif éxisfé.un puisard, .recevant les eaux dé '^i saVohi-'arihd, 'èlo;, obMfiié âctneitefcenti par des détritos-, ■ Fodebr qut's’e ii 'd é |^ estinsuppofliahte. - ---'-J - - i -ri --s-v

Nous appreéda» aliélè survenu bierr:ea'Ben--demi( de Mme veuve VéEO,: .néeiJtotejGélinéi Pbiretâgée.(te8Z gnsf. -, -. n.

à A'-llteâ&é'Mfe.'dë'éèûi§.' ‘NodS adresséas; f t f e ' '= te m iltâ P i^ e t , Uter-rtir, ^ 'f t- é 'e l ‘4 fitlsnd - tffe®’dë''-96dil afflige, rexpres8teBi»de - neifé-'S iaoè^eSyisjttdbiev. p - n -iiail i.. -i,

- ■ V t e - .....................

Nous appfèndnsavécTegr'dir-re dScè's de M. PhiiiraS'idS'Rotffiti?'.pliotbgïaBhèA ^ a if î^ .- -f ié îé f i lh t qui ans, laisse un vcteVé«éte(pékifStfR,qigfiËt

ifiatfaktanntcei-ee^irM cdhci- s esl ve . e —t.- -7 t»iu nnU'i

-ifiP

' D ^ ^ % tf n d n 0 1 à ig j& a o s p wsincères oondoléanijes;- ” ■ ” ’ 1 '“

Les m lif f î^ d e l’!^p^Ô ïiâe jon t priés d'assiatér à =latreunibh 'qui 'ânni 'dién. ce soér sàntedi ¥ i fcâl‘'l9Hj-=!f 8rti.'i/'2( au S i ^ s c ^ ^ tltPtel dtf SHincb-Cérf). ' - '

■ ■ '.y .a o 'iU " t i . i - S I . - s i - i OWKE DU JOUR :

Admissions, ’- Délégués communaux.CJiemins'vicinaux.Onestmaséteeteesii (

e n J e H t W i u .Une épingle de chapeau montui'e or.

La Fête de J ^ n n e d’Are.On nous d it qu 'un grand-Som bre de noS

conciteyens o n t . l'-inteStioBi-deoipài-oiSei deaaain en- l'honneur^ d e Jeanne -d'Alfc| Nous ne pouvons à -tse sujet que répétât ceque-nous avons déjà dit-:: Jeàniie d'Atrej la libératrice du territo ire .français, m'éritej le jour.-de sa: fê te ,.te pàvhiSeiHéBt. et: iqnuJ m inatioffdes vü tesrâirttvàt «ïdies'qui dnf oeaservé, par so n passage et siéS vîctdiresl l6 is«uvenir que ta tradition rendra-impé-i rissable. • - - . ;

& S e a lis . -demdHM-dimanche, àt

-le so-w é 8 ’b. -;î/2 , a-nfont lietî -s,.les représentation! de tfrgiisi

L r s u sR ii-i.steivs -qee

■1 II. ■l-/i*i-le sur le (-ours, h- i-éb'-bre tuiieur de taureaux-.

E a d飻B |.Mme

W itàelÂavec sa belle-sœur Eljo w ,

Iteocés-verbâl Im- ai 'été dressé poufi ivi-essé-pahHqiteef fap ^è iftjtfrien x . '

) Lapiert-e-CSghiBIIéjnée PlOrehfinei ils, ne v ît pas éhiboane-iitteliigofmel ta belle-sœur Mme Lapierr«,*.Sért

Eagéflie-Legraiiid. La 'r tnébati^ irt l’âutref ow,--rtte B «loa,-èIfe l’iBjuria. ' " ;- IvM. M* AaX j a i

dtessisler âHtessémbteé;-’: ' '= •' '[ “ - !■ Après-àvbirjirp.Cë^è'ià 1’,examen d'e l’or-

di-e djii jour,, (fit CjoûSeU général ét aVoid apprbuyé.les c o p ^ M d e l.’ëixerçicè iS ifi i

■i l’aiSBemibïé6'.exaiBine l'tH'dre (to joucipartiH oulier-de lai Section. ■ i.- 1. :

Le seorétaire(.âonne lecture du rapport moral et flnaaeier-de la 473'.6éQtipnnu 3h décembre 1910, les comptés présenté! qui| imcuséiit ubbjm i très sensible sontopproju-i yés â l’unanimité. ,

L'assembléb s'occupe ensuite du renou­vellement p a r tid annuel du Conseil de Section-ct (le teicommission de contrôle. •;

Sont élus,â l'unai imité p ou r3 ans : Conseil de Section : P résident, te

com m andantHippolyteGazier; vice-presi-f ' dèntTM.-ViviBir pèJrembrssTSfM. Marc(j

etBisson,. i x,. . , . - ■ T-'C bî^frsfbft-(fe Contrôle ; président

M. Bralet, m em tn^:-M . Hé.nault.^ E sfM d’p Ô î^ l-a u , ÿ fcf coiîâaîssion de

con-trôle M. TallenXj à Précy, en rempla-J cernent.dp^caiBaradè H enoessier, décédé.

Aux'àBblauSs'sèàmèhts- (ïé'Passîstànce.M. séfv® ;..TO .e*présidenf'prpçêtte A la ren^se des 4iplÇimes.-avBp jiteiîàlHes,d.’hpni neur décernès.au-x cainai;adeS:Béna'rd et

f: B o u tillo o -^ u r services-rendtB é l a Sec-j} flOW; fi Après avoir pris connaissance du rap- j port,su r,la situation mtsrate etftnaao ièrt |i (te. Véfeant.é.,iceÎ5?è, de. Se Mntiièts, en

paÀt#iifc.é"' avoirteppr-de fin d'an ________sêrâT ëpréseh tée 'îT à cërém ohîë'qüi aura

Section sera cOIîvBquée en temps utile â imtte laan ifeqtatiùnï^i-âura u a è c la t par- lioufier eA -tâ tli .i rer-ru V - i - . ; .

L 'ordre-dtfi jour de l'assem blée-étant épniàé, !l«\sé»p(îé est’tèvéeA6'.*.

Le Comité (lé' la'’î78 '’'Beétiori dès Vété ranî-fait- appeM ; totes/leéànéiêns, inilitai- rés p o W gi*ossîr1ëé' ca-iî^,8e' ; notrq ' beTl t Sôtfeéteû}. èôrfetè âétûëfftihéht‘ â56i889‘ntebîêres è ï u i f c a  f t à l W ' i S . l S Ô Î I ® ête.(îâiSMfSte,ti®^j!5^s ^ î è B .ô ^ d e ’noa cémàt.àjfes; =âVâÀv ja i t l à , 'c^mpégiie'- de^ fS rocïéliï;' qdttmitjhé' là penÉiqa pfévtie{

■ a ' t f t è f e t n j s . ; ' ' - V - . " ' V - ' ' 'PotnréB-faiïeinscHià, sè m unir du livrel

uiiirttiiro v i uo i<i utviu u (Ttuottjui •

f , . . . :Un livre O0r ^ s s e p

moii:t.: ) i r.':. ■

ûVcJlOXW-

.du,=^mm,au27| maj4IM.i Naissances. .-

20. 6iaile*Baiiêe‘IOerné>d( route de(7reil.2?. ^|qtté..IHeB<irne de-. Paqbouig-Baint-

f f i w “e-Mérm-!L(jpé‘^ du..faR p rfeS a j,M » |V ftr

--il t- 11J ...TvjcCn l23. itmé.,.Veuye -yéré,lnée Célinie Poifct,

.........

Ifnilfsdiit t j lL

4jpllegei.-tA.DiiBen(dies «ti7Masi,ifei>inè titneides-MagasioBiirl te u ra ;. ''' . r.r-!m.

' ' fiZ'Z

C a n t o n Æë- iG eeU .^ iA A* m” (tel , TH

feîOfl*-b oltiv t'AGonsgilttnpm

l p ^ t ^ . ^ n B A -1

pour ,K r4w jW (JW j«i»dj«iW ef :-• ^•iw-îfcfiéwr:--'' .M .-h.-ov-tf

1. Sarsis-'d’ieèdèpeiRdlDahte BomateBoucbé. &'Bcole d'AiU:'te.>l(étiMB.,iAettaiMf»ude

,<-:tean*|iÉ»-j«HB»u«iilh(', éat^ab ai v 3. gÿe^-hejiagMd aM^gtom de

i-.5. -Ttateim(défeàçô§DèBSîli'1*ijé(9ë S o iâ S ^ . ‘

(. «awdfetée-gièià gtébr.-- '■ -■ I -6. F6te-aMltt^e>491h ‘aiaaésdeM 1ttG T é.7. KteaimBeHed9ffcârédit>aB(q^miait8ire.8. BootasblIMwiMiee. GwKéft.tin9. Retraites, inp:i|ies(«vq®am m ie8. ,Çp^-

9--)«iîe<ri l'-i y - .i - -xsLGiniw oovrvu

10.r i .

Eciqr te Comité t L e secréta ire-tréserier'i Le, Président.-

A x M x w J W ü i , l é f t é i . Hi|mjCÂzmp-,

«omi ! CriMl

.t 'ppéséhts’ L M ^ - Cbquatrix et A'uiy' Pau(îuet', eonseiijaits (i’arrondisse- mqnt, toMsÿeg m àif és,pu àj^ouits des com­munes d u , caotM , aiijsi ,que M. Harem,:

;«gé« jéhB (te-. r arrondissem ent et >lM. “ ‘wuietFpugne-CQnducteurs-v=oÿers.'

, . - f - - stevflif désigné M.MelJloHée, mhtEe Idp,!qéild eomnie secfétatre^lai cqmmissié'n

,q ^ ^^ ^ (te |^ ^ 6 S q u ^S ;S q r(o q f^ r4 .^ ft* ^ ^

‘.oiBaÿdeS'dfÀfriigue. lia -g rande ' tour­née mondiale He^-:BiaHei*A:vtetidra (teh- ité r’eft''notre villej- le-jeitdl-ite'.joiBj en ÉotriSét à:8b'.:’3/4,' une sente e fsensatio ii-MBttréOiéaentatieaiite i f

îèiKèi-'dbtehitAB colossai siiciéésttiùi!toÜesdesteilteè 0^ (lèheièâteéliehté^cÉje tb i^ leét»é^èee--d teii';M > pliiiseàh t< T a- ttsaj«K<LCT)teoaH2iéeidé cette tourmée’stest ^ «tetrejteibiPiHMisigdfflèe'iiétttre; qhe

*«ns, shià infaUgtblélgaetMài'io’la

tontes tes villes de France et d'étvSihftéiq Le spectale comadhncera par fàt Grève.

'aX te eiaf;Mn4tersi..:‘,-;Ai&st.qne n o u sie JuiiaaiB,BE«M9 ndaDs b n -.de -aoscdëniters numéroSMinéMrtaiDe-èShrveseaneB ste ts t-

S I S æ s s ï s , '*(j^ h’teaK», .ajj^ti Iqurs .patrpns ne — t Ite^mentatiob con-

ter'Jlàirs.qo i

partie, des chants, des accompagnements ; nurdes^morceaux-deoboix,. >-,i , ;

M. Helbey, ,qu.e. nous cofluaissons déjà, a su nbuâi fm tij r i f é ' avefc, sèsl piflinades et son légèniâàife( mpuchoïr il q cbhtjpis de bauteligfte-las sulffàges<des personnes, présentes.

Mt Napa, avec ses scies, n 'a pas été moins applaudi. Tous deux ont été déso­pilants.

Mlle Cellier, lyès gracieuse, nous a donné quelques paysanneries bien natu­relles e t ses boutades ont grandement

l'assistance.Là note classique a été fournie par

Mlle Fourcade qm , dans plusieurs mor­ceaux, a m ontré sa voix dans toute son

( ampleur, bravant de réelles difflcultési musicales.

-Que,(hre de M. Octave Hodde, sinon répéter ce que ohacun. sait déjà - qu'il al fait- preuve, comme toujours, d’uni réell talent.

Et l'Harmonie Municipale, nous lui de- ; vonS aussi une meatioii bien mérifée pour;

sa bonném ùsique '.'■ .Après la M rtie, M. Daussin, m aire

- e t Gofiseilter: générai a adressAà.daiSooiétâ quelques'parolesideicireoD staaeeii‘1 - ' J

Discours été 'M. D àüs’sifi. Mesdames, Messieurs, ■ ■ - (2hexs. SapOura-Pompiers.

Il est de-tteditoo,-â»ns les Concerts orga- par-ia subdiviaioaide Sapepro-Tompiers,:

quece-soif rofBcier :eomBianaaDi, (pli prennej la parole-pour remeroier-les ^ —ràires et les invités-. -- -

.^jàV'l'auidsEDier, déférant aux désira expri­mé) par leclteutenantoBasset,. leqaeliunpeu! fatigifé,! m 'a v ^ -prié de..le. siUipléer-;,dans{ l'agréable mission ..qui lui incombait'/ , y'avaisj le plnsiride- vdus; EMresher. quelques mots;; aujourd'hui encore, pour mê'. servui d’uue

I exprèssioU) eBihonoeur. chez le» sapeurs-pom- . piersui j e Buia ' en smice--commandé, pour ) pisédre la pariile au Cours de cette charmante; isêSréei- - ■ i

c'est à vous d'abord, mes chers sapeurs- -ptjmpters; que je m'adressé, à vous qui rem­

plissez nu rOtO-si intéressant dans notre villë.Outre ce rôle qui a pour but principal d’é­

teindre les Incendies, de restreindre et d’en­rayer les désastres effets de tous autres sinistres, vous possédez encore une quabté essentielle e t mattréie que l’année-dernière à pareille é(ioque, je me plaisais à forn^le'' en ces termes: Vous èàes.-dans notre.;cité: ouvrière el^(6&uhlteBjnè,/ & .(s^égprtte/de: nos exislences*ot- de nos bien#; vous êtes les; artisans de la Concdidè et de la Paix.

Oui,, mes ch^s aups» vous nourrissez à l’égâfd dA looéii^-^nciloyens, envers vos frèréS|,j^ftMi9^ <eeé' beaux sentiments de dévouement, de s^rifice et d’abnégation,; lorsque sans souci dT danger, vous vous, expoàez durent detlonguesjheuves aux intem-i péries, aux fatigue.» de. toutes sortes pour; sauver un m d (te^ inbbiliér qui poiiptitue bien, souvent l’uniqdé fbrt'Uuê du Iràvaiiréur. '

Aussi je suis heureux de. retrouver dans ceité salle d'n'e telle affluence de hembres, honoraires, et d’invités qai ont ' Ke.ii vpülu'

■: vènir fémbigiîer du syùipîfthique ihtérêt q'u'ilsî voiis pUrcént en répondant, honibretix, à volrei

jinvitation,.et en .apptaudissUut-eomme ils.lef mérbenti- les. excetlêats artistes,qui nous ontl réonà^jÇe sqir... - ' . . , ,, . :

Je SUIS égalenient heureux de sàlue'r la pré-: seuce à, c.aUe fête, .de Tï,'Attfy-Pqpqn.èt; le;

' dévoué conseille'r d airpnifisse'ment du canton i de Creil qiiî'a tenu'à néus'dohhef ü d 'g ir t 'de sabiéiiveitladtesoUicitndèqtfU veUtlIeDien croire à nosi sentiments de reconnaissance'.

Actuellement dans sa famille au-, Hftvré/ M.| Ueuzé, député/: a prié, le commandant Basset;

/ de i;.exciuteç.,quBre», .spomplers ,de, leurs; invités, de ne pouvoir aspéster,,a, cpite.soirée ; je mejâis;rintefmè.t,e 4e Ia,&iiî|4biisje'‘ pour, (ixprimér h M. Heuzé, lés'regrets 'qué nous, cause l'absence'dë ce nérhuS 'mmhbreTio'no-. ra itèe t bienfaitenf. ■ ' 1, , • ■• ■ Gbmme bienfaiteur je n'aurai garde d'omet- tre'-H. -et ;Hme; Dunbar-Scbuitze (pù ne vous ont jamei» « teagè teucaidepéeuniiahte.et leur, cordiale sympathie. , , . , ■., J 'a tteP ^ .eu ^ rB mes remerciements aux musiciens,(te rBafmoide .Municipale .qui, gra- ciéu.sémént,' ont collaboré à la/rèussite de'ce concert.' ' ' ="' ..........

A 'ifô&s;' mes chers sapeurs-pompiers, qui consacrez vos heure* de loisir et votre repos pour vous perfectibnner. sans cesse dans la lAobe qui' vous-incombe, le Maire de Honta-! taire nu.,pçutj.quedéctnrer, une fois 4e .plqs,: au,.nom 4e la popuiàtiou toute entière.;, vous: êtes .'lie bravés gens," vous êtes'dëi'oiis*ot-: teyén#' dévoués '& l'humanité et" h I t Repù- b im e . ' ' . 1 t.01, I * : .

Mesdames, Messieurs; com'ihé 'habitüelte- meht je vous prierai du réserver l'accueil:le plus généreux à nos aimabies dames quêteuses, esqueltes .vont, solliciter votre obole pour les

œ u v r e s c t e t e e u f e i s a o e e . - : ir" ,D'ayànï», je 'vous' cp, adressé miiû‘'plus cor-

dialmercU “ ' '“ ............. ..Une (jpér^itte Le. Coq en jupçne citer-

miné /bc^lsitejnent le îtjqnoert q u i fut im- ntétjiàteBieBi suivi, d'.irn bal t.rès.animé.

Accidents, r— Morel Einite, .IB.aus 4/2, aideaux lam inoir des. Foiges,:-demeurant ru è de 'la-fiépublique, a é lé gfctekt .à la ' iambeigaufihe p a r suit» de ,la«hû te d 'uaei soite de siiretédont-iliserrait.lBS bouloi-'.s. Cet acoidentiiui. a fait une plaie poutuse qu i. eutp.ajnena. tine.inoapaoitèi.de, /travail d » 2 0 à 3 0 jp u rs ;

l

A Le» obs

iDslaMul-

, aPlctflrèilAi

nu ilidéjm p a r f î t f(

________ ,.^._.. dè M. 1 '* ^ ^ P b u r c a ^ 'curé d'Âcy ^ p u i s 4900, ont eu lieu ven­dredi à 44 heures.

Bélblsy-S^ii^U.wM n Vol. — Dans la fa'tiif d u * fô 'â u 'lo cou­

rant, il a été soustrait dans une maison de campagne située à Béthisy-Saint-Mai;-

quaire, dem eurant à Paris,, 3 rlaplns,àstl.r- més 9jÇranc.Si. dpnt un sons jo il 's g ris A b^49)ifc.àéitïes-...sbiu» poUp, g iS /f t im é ; . isteutehr.’dqieMVDlfestnoeoBiuiù'. - , .

Bétbls^-Salnt-Plerre.— La sooiMë3-u»io43fMstcote''l

M. Alphonse Coqueret, de Saintines,, ouvria* chexM'.ilMlbèrt Leroy, ètàDt tombé ; sar.-uD.»haehe, s’Bstbtessé à lai-tete:ieL:à F-aKatiÏTbrasgauchbî nnr-repog-.tte donze joaredni serqnéicessaire. . ..

— Le- mêdeoin-Vaecinateur sera à la .Mairie/de mardi 26, à 6 heures dti, soir,pour constater l'état des vaccinations faites la semaine dernière. j

Nécrologie . — Nous apprenons la mort, dans sa 72' année, de Mme veuve Désirée Beaudequin, née Esmarys décédée;. 1e 24 couraiit.

Ses obsèques seront célébrés demain lundi, à 40 heures, e n l'église de Bétbisy- Sajnl-Pierre. -.?/ jSséstenfaatsetà sa famille nous offrons dans 1e deuil qui tes frappe si cruellement, nos condoléances tes plus vives.

Féte. — Là jour ét le lendèihmn de la, Peeteeôte aura lieu la fête-aunuellei-dui quartier'Warenflol. ■

Betz.— L a prom enade des oies. — « Une

troupe dteies a traversé la vdlle de BeteVoilâ'-'te.-'fàili'divers'(lue l-'oaceavoU Belz aux lecteurs de l'FcAo. -Et dâ-dessiis: on cancane, on jàmbole, car pèut-im W rej d'autres en compagnie d'oies, de ra b è si,’ débp.nüàire'? ,

'/Ffahobènient c’est à dormir debdut et pottr .qtu.d’ÆijAi) prend-il ses lecteurs Certes là teetnre d’un journal; est te' (diarme. du teisir, mais encoretfaut-U, qt

- ceim^soit-chacmé-par d'autreginouvelies -: queeellede lapromenade dèsoies;.seraient-; ' elles du capitole ? Et notre" vié- sociale- n’a-t-elle pas d’autres événements, qui soteht.'dè nature à nous intéiàsser'?/

Boullarre.M ariage. — DM’'annonce te prochain

mariage d e M. Adrien Paulet, d’Antilly et de„Mlle Marie Senez, de Boullarre,

Nos félîcitâtions aux futurs époux.Crégy-en-Valois

« Les Enfants du Fajois ». — Un concert très applaudi des « Enfaurs du Valois » a eu heu dimanche dernier sur la place de la Sïre.

On a tbut-spéc.iatement goûté les brll- i lants soli; exécutés par M.’ “Chevalier, .c p rp e td ^ l’ «Harm onie duMétro.poiitain 'e t érève-du. (Jévoué'.directeur de,..notre i excellente:SOciété/m.üsipate. ■ •

Des rafraîchissements ont été offerts : pafPMàit-Balleux 64.Bertin.

Le prochate concert^ sera donné au k io sq u e ^ samedi'îruTh. Au programme

. l,e,.«,Xàld’Ajol », sijlO de bautbois'par M Dalaio.. / -

N om inations. — M. Leroux percep- teu rd e- Ferm erie est nomaté percepteur (te la réunion de.Crépy en remplacernèiit

(te Mj. Martin décédé..■'.-No.uq àqrpssoits à M. Leroux nos mtnl

leu-rsisotmâus de bienvenue/'M.-; F rascolia, diris-ileur d'école en

-re tra ite , est. nommé receveur-TBiiuicipal N eus envoyons nos bien vives féficita-

lions à M. Fra'aÇolin.'

t. du p ln n e

aitues, c

n c e d e l

potager ; il indique comment cette--'ion facilite te (P— ----------' ■“

et favorise la margueritesJ mates. '

nt ensuite à du pincemenf

avant qu'ila ' id développe ne à la cnai

mt, en acqniè force, étant seuls à profiter (fe la sève.

Pour la vigne, il montre que la suppres-

guuiUiCCUUo (TOv tTgatclLlTsifi IJUUURiaXlO»Enfin, il donne quelques conseils pra­

tiques à l’éthérisation des plantes forcées. .Une. visite-a(L.jardin-de.rdcote permet

dè 'montrer là pratiqué dü'pttcemeïirîes'‘ boufgëîmfdti-pairier et de la vigne.

I Ahurir,en sàMQ»é:-par M. Roffy, une corbeillee de pensées cfiURées,. par liejay,-.-iHi superbe«b*uqiiAtdç.bQ«jia.4% nejge,,irte,,ttjlù}83, .or&aifgf, simples,doùpjes.etjeiTftquet, e tc .,_ ' __

tS een fif.;à chacun des apports.

^pfence-,est-,l|vée.à4i>. 4/2 après le tira'ge derà'to; ~L tom bola.'

de.T bèurè,On coin

it'oiae, 46 ans, t'rayaiilantàux m àntesitÿ^nssB m en(s,,'/a/élè,,ppti^iài j màin droite par dès tôles rgnjyàrêéès e (tevrasusppndrA sfiPjtra2apXc,pehaÿit,.ï§ i2Q'3QMrSt:<1 )-.! .i i 'l 1.1 ;; riicn

Poicratii -1-^:; üac; contravention pour ivresse « .'étàreievécjeudi: dernier contre Foavriprr-agincol» i i & .tmtionafate.jbelgo, B spotier J.v& i qni.atétéi ramasaéisuetdes B coks m coaduUi.au n n ip tt pow y«càvqr Mn.irin. : S'os.-m-roc - x:. ttsm ècurea ' ' "V io ia ti^ 'dd '-iN tm icile. 7-J.:Be8'-«poor- " suit®': 4iôur-«rtdlatioB i ( t e domicBe 's e re n t texàreëesveontre'HaBOtiàur-'Aififedy' qüi droyàut à 'hort'son amier réfugide dans abi g irn i ^ p a r te b a u t a:='M.-Gt^soByrae 'dps;

( Natfonsy s ’estr 'in troduit I : de' fàree ; eh e i ce ; > propKétsârs.'’' 'rc v.j.-,-., -i to-'i-siq -.i'.''. 0? -i'i 1

.' (.I(V).81-| '.IMOgeWt* '' ' . V'’= /ftedftfft'er-^'-Uô'înoeBdie qui a néoes- sitS'ï4fitî?vb'filîon' déé Pompiers pour s ’en reh'dihS'iaàMèi s'ëèt'iroblânf Cès jdtirs' der-

' m érs'dabs uÿhàngàr'àbpia'rtenànt &' Mtite veiive H é b ë ^ 'â ti ehâtepd d e Niteent ist'*

''causé p o u r ^ r t t t t ùtf m ilB e r 'W T rf to s dp d à p s i . ' ' ^ ^ ^ 3 s W tii t i - T W tititt-

Colombe-,du Valois. — La. société « L a Colombe du Val-jis », a l'honneur de ■porler i la-.connaissance des personnes intéressées, qu'une plainte vient d’être portée pour destruction, de pigeons-voya- geùrs dans/le quartier de lâl'ournelfe .

.Dans.'te but d'éviter des poursuites, et des.. fyais; aux personnes qui se oroiênt permis celte destruction, nous dôhiibns cbap tés te texte de la loi de..mars 4898 dite « loi de protection » :' Art. 6. Sera punie d’une amende de

46 à 400 francs, sans préjudice de fous autres dommages e t ïnléfèts.ét de Tappli- cation, 1e. cas ehhéant, deS; peines portées aux artiffieo-éfil et 40i du Code pénal, toutepersOnneqtii. en 'n’im portequel lien, en n’importe quel/tem ps, 'par n'impoirte in e l m c y rt, àu^'Captu^^ tlétriiif ou tenté

: Lorsque,.dans ips douze mi ..iEécéiâé,J',iDftaction, ie délinqiiant aura .été condamné, em vertu d u ' -paragraphe précédent, il y aura récidive, t'amende pourra être porïéè'‘au"'aôqble,.^ .l’eippri- sonnément de 6 jours à B"idbis 'pourra êtré appliqué;. . . .

L e P r é s id e n ty i .^ E a n .. S o c ié ïé 'd h o H ^ l tu r e . — Là. Section

lant'onàte. d'Iiû.iU.cultùfe rétînté di­manche 4-i mal à 2 heures, .au lietibrdj- nairé des séatices, sous, la présidence de M yfetit,'p résiden t. - - ,

■ Etaient présents : M. Ghopinet, pré­sident d 'honneur. Mines Leiong et Roffy, MM. Ban, BtBsëlT DâM'èl. üelange, Des-

"bœufs, Drnjo.n, Duort, , Frère',' Gafiet, 'Lafqntaïhe, .Lpjay, 'Levassédr, Loisràé,' Pàpjer.v PéPM,‘!pign,on,.;Son'r,dâl, Thomàs, Téite.5ijn tj;^nqup t;,‘Turc.q/'Violette.

, ..'A bsen ts e'amus'és-;. MM- Baudeu-Duval, -FramxHin'/Herbaih'. . i .--

! iL e |^cè s-v e rb a l de la dernière séance èsf^ïu è l ràd (fïte“ààn s ob.serrtttioùi'M . I te tit '/è n lre to h t/la ' Séèlîon-dii pfOjèî'=âe

hlle, (lésés' t î é i t ë . ' à l à , ' d é . Bagatèll démài^eiies'teimd' M./..Uejay .a,ubr|i (j&M.

inoh. oeT te ieur-.\ajljroyp poitr.ilteiiBaiùsàQOB. deT teip tih.gtPnJti;' 'I.';;! «y-.Il-:' ';y ' - .■Lovoyagoiaura lieu 1». 48 ju in ; avec InHets a- dem i rtarifi‘'pdDr- te s - metobres d e la " - “tion e t tes personnes qui.désirent'tes

j-' le ; d é p ^ . ’f iïé 'h b u ri

^^TiiiéM bret â ^ ^ & c B o a j;e 're tou r SB fera individuellement.

g ébhânge dé 'vues, H -est enteffdu. Pétil 'è t ’ 'Vantroys otgam seront

jhhhtid'éxourMon', en àritelerioiiit lii'ëi-’ les' renseignements" séfOT

|m ptetes„4 la').ré(iai()iji.de la, prbcliMne

Mi- Loiieiàu - -d£nniB>v.das .conseÜsiriw Fantnfagedo repjîqiM dssjeunés.fdaniis Avanjrteemtee fftt '«htetë d^itiv»; - w h l s’agisse*MÏte“j* !^ 9 1 F à ^ to é W - ''é f f« % b

F jse s n o y -te a -B iv d ê i 'e .OnnoïteëcSit'ï >« Les automobilistes venant de Com­

piègne efde Pierrefonds pour se diriger :Sur Grépy se trouvent bien em barrassés

lors(iu.'ite passent à Fresnoy-4a-Riyi^s.-; en effet,':àr.h6tel du Commerça, .ils. dnt

' brus(jpiemeDt devant eux deux .rputes : l'une étant la continuation de cèlle oit-îfs

I sont, f autre, â droite, celte de Ur,épy. ' ■: « Sur 46, il y èn a bien 8 qui pàssén t la• bonne, pMce (que,- l’apercevant: trop îtw d, ; il leur.: îhùt p a r prudence a’avuisen.uA

peu, p lus, loin pour, revenir l énéùlgé en faisant marche arrière et,a^;è6-A(n>>f consulté lateartB/

. !« jls.njauEajen(t;pas cet ennui si à l’hôtel ' du (jommercé sé trouvmt uja, ppteau. in -

diqtiant. très, visiblement là rédto: de Ôrépy. ■

-tê£è Touring-ClubTeràit bien d'en faire poserdn«*- -.-I » < , v r-i-» .<> «t f .u

L é v ig n e o *I Obsèques. — Le l iu K it^ mai, ont eu

, , . B àrrë 'esi là fiilé ^"M i'B àcréi m à- = réohàl, e f soehr.'de Mine Pap'illoov d&>édlte 'récem m ent:- - / - ' ■':■................ - -;.j .1 .'ii

N bpsaé-essohs A la fam ille si éprouvée noosineèresteondoléaneesi.. - '

" j lp r lé i ià r f fkEéte d ’E iineo u rt: — Dimanche pro-

. Chain mira- lieu, la fé te . (lit. haineajt d É iln co u rt., ; . . .. -,

p r r o u y .

Féte de la B araqué. ^ Comme chaque année, la fé te d e là Baraque aura lie» les

■ jours de la Pentecôte. :

'RarayVisite pastorales Le 43 juin, l apa-

rniss» de Raray, aura l'insigne, honneur de recevoir Mgr Douais, évéque-.de Beàii- vais, Noyôn et Senlis, qui s.éréh'dra .daiis cette localité, pour y donner la cohfirmS- ti'pn, en l'église paroissfele,|,Sàiiât'1^iicblàs dé Raray: -“ -

S a i n t - V a a s f ^ d e - L o a g a t o a (F ilW terie d a lim ents. dlniidP 'fer-

nier, entrait dans le-débit Noël;à-BaiBè- Vaast-de-Longmont, un-Hidivi(jp_,quj, .sei fit servir à manger et un paquÆ de 0 frôO. et lorsque. te,(]uafi,(fl^., Rabelais fut veiiii. Rfojjfap/ '‘de ce 1 cabarétiére. était descemlu» à la cave, 11 s'ciirtiii.'niais il'àvait éôm-pié sans-te' kélé-

.ph'one;' «ar la |m àféchàusséé («-éventie ' aus.sitôi d-’ ia d -reo itw prtso ipar Eescroc,' ayant- .son .siginalemeiit, .le; ratiappate-use heiira plus tard à Saintines- .G-esô an i»oinnié„:J., âgi^fite -ans, -.bs.assiBC,.à Béthisy-S'iiiil-Pierre.

S lU y - le -L o n g .. Tir à l ’arbalète. — Prix généràl de

1911, du dimanche 4 juin an,lundi 1,7'jnfl- let, excepüoti faite du dinfarfché'-18 juth réservé pour la,p.àrtié''(lè '|aiidia'''d'Erm_e- nouville, = ' ■ , '

; . (CO.MPOS'rtON DES PRlg ' /' . i ' ' prix (Es'pècesj,' offert par la société 50 fr. ■•st'--J_: . ■ -'J- :v' 403 , _ I « ':4« - - : iO5 '. — - i 4d6* — — : .............................. îO'7' 358' — — : 309' — i ............................. 30

loc _ : .............................. 2511* - ■ - : 2512'

13* —

ollert'par M. Dutiourg, maire de Silfy-le-Loui . . 20

offeii: p â r 1.3b - ; d'e Kersiràt,conseiller général ........

U '. —. olfertpatM. Dragée,n, adjoint â'tt mhà'e déailj^-L j)n |g . ;■

Deux priihéè ite ifàgttéà seb.ii(''âécernèè» aux deux üredr»=èpi aurotrt Rdt lé'p.rd#: grand nombre-de bagtiei| saa» gagner. de; t e t - 't e première offertjiarln Boeiqté,- iO f tK e ^ è c ^ : la deuxième, onerlp par la aociété, 5 frehcs (espèces).:

; Conditions généfalés. , 'Article 1«'. — ;L,'enregistrement sera ou­

vert tous les jours, éxcep'té le dimàntihe 18 juin, depuis hait hèurës - dii -malin jusqu'à sejit heures-du sdîr,'avec interruption! ite onze heures a une heure.

Ar.icle 2. — Le. tir, sera clos le lundi 1.7 jnU- lel .a six heures du.sdir, montre du grefflér. ‘

Article 3.-.-:-‘ On tirera'SO Cdnpif'poUr 3’ fri, 100 'pour S tf: D b ne pourra tirer'plnB'tfe lOOcoups.

Article .4, — Tout tireur sera reçu.-et pouriêa, An VVM1V A«l n nfStO YAa 3 AO

Lespar:un fer 4e pliis gros caljbee déres cOmmè nulsMi hé baiutbnt

àir eue 9i millimètres de diamètre.,ps-faits -pri- , - 0-1 considères i

êU'e reconiuiSf . . ..Uh'conp’tîiît pâfun trait ayant rebdlé'Àera

considéré commé bon à niesuret.;eiti';;; • Des arbateteZ traltsApn|à,la

Itèâ-.à -tion des tireurs, Les arlflHinî&Ps

ArtieteS. - Le Itindi' 47 ja ilIA 'teu r clôtare, tous les tirmirs ponnunt lirer semble sans nombre {imite.

Poule ' auh q ii^à a têeu trè jto u sles

versé 8-ïr. «n-ee: Saisant. inacrire. , iireurs. qui-anroot-f^.lapl^ w a H ^ i bagues,'gagherdhVfe fouirdes misèi,'( réparti entre toutes les bagues de i flfènrs. iif-'r- , W-V «flfèurs. ,■:: V-’’-' //i.p ya

Pour le tir, s'adresser à , J ' ' chmKLde .vins à.SiUy^ ^

gaib & lte i^ ^ lte v ïlle ;L ig ire 'M u 'l_____VÜÊiB '»-=S«ae»fié;' üt'CTÏjc,; .IV: :» iK43mnibBr(Qfri 6<te-poor les- traids MRbnnl tde7pariepS9£[.41.m|^S h , ,5 6 é ^ d e r " '" ' « T i . / l s r m w ,^ 6 s p i ë ^ l ^

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Le tir J bons à !I ptibEquèL I em-Thell] litB t .mil

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laitues, cbro t',

nce de l'a ib ra ram eaux f pintf un in ^ que

bu feaip lacS . Ip lu s^ 'T ^ n d è de la sève,

fce la suppres- qu'oB nomme cessaire.

I conseils pra- antes forcées,

l 'éco le perm et lincem ent des

1 vigne, i . Rolfy, une

bées,, par M» [de b o u le s4% fes, sim ples,

I été déeeniée

1/2 après le

| e r e .

pnt de Com- nr se diriger

em barrassés ) .'-la-Rivière.; jércs, ils ont Beux .'■putes : le celle où ils l e Crépy.|u i passent la

Dt trop tard , i'avancen un

ensuite en après avoir

^ui si à l'hôtel poteau.in-

lla route de

bien d’en faire

mai^ ont eu breuse a s æ -

| i les obsèques 1 de 36 ans.

B aîré , m a­illon, décédée

le si éprouvée

Im anche pro- 1 du hameuu

pmme chaque s lira lieu les

l o j u i n , l apa- tg n e honneur Vue de Beàu- rren d ra dans I la -contirmâ- Saiat-Nicôlas

k s m o o tlinndp der-

i D'él-à 9dinfr- |iv idu qui se p iié t.d e .^b ÿ } Irt.'dim ùÆ jW fife ce que la.

a la cave, il t sani? lé télé­

prévenue l'p .ir l’escroc,

, lappoU-uae |is. uu

bçassiac,à

général de hiiudi 17'jull- Bcbë" 13 juin diQ 'd 'firm e-

lRt>£pociété 50 fr.

40ME ■f?

3530302Sæ

20

pùjoint baj^.i' 1-0

bt déèerbéss te prus^ptàd

Mr<fespèjs«>; ^ I t r a ^

eut sera Ob' lie dimânébe patin jbsqii'b iiotf dd onlte

l l u i ^ uu èré'IBér. rponr f tri, p rer'tdàs 'ife

1 et pooria 100 ëbdps

ne dew oït ei' t e s

[reW H 'éem’ue-ù.c^!

l é tedioRSi- Ihaossé aônt

mtr-

VerberleImuguratU m. éu. S taad de la société

de tir « L a Sportiee ». — Notre nouvelle société a inauguré iwillamment dinljmçhe 21, le Stand qu’elle a fait constrpijl.gyeç tout le sçin vO ùlu,'àla Gavée J^gnard', an pied des côfeàùx de Sàint-W aasl-de-Long- mont. A ? . heures réunion générale A-la Mairie. Rèmàfqiié : SÜM. de MaândrevUle, maire, Président, de.,JA Société, le capi­taine Rottée, directeur technique du tir, Boulîet et Lambotte, vices-présidents, Pingeot, adjoint, Lépine, Bullot, Grenu, Péuhou, Rebours, . t s v e r t , Hénpque, Durand, Bontemps, Mennecier, membres du bureau e t commissaires, et de nombreux membres de la Société, M! le général Sebert, président d’honneur et Disch s'étaient fait excuser. La Société de pré­paration militaire était présente avec ses jeunes élèves dont un certain nombre vont prochainement passer les examens du brevet, avec succès nous le souhaitons.

La Compagnie de sapeurs-poinpiers, sous le commandement de ses omciers MM. Lambotte et Bucquet, de ses sous- oflieiers Mennecier e t Monvoisin avait tenu à prendre part à cette cordiale réunion, ainsi que notre bonne Société musicale, sous la direction de M. Char­pentier son chef. P ar les chem ins fleuris et aux accords de la fanfare les sociétés gagnèrent le Stand pavoisé aux couleurs nationales, et après l’exécution de la Marseillaise, le capitaine de tir inaugura avec un vrai succès la prem ière cible. Les tireurs se succédèrent ensuite dans le plus grand ordre, faisant pour la pre-

■ mière séance une moyenne de tir des plus honorables. Plus de 600 cartouches furent tirées par les fusils Lebel à la distance de 300 m ètres. Trois fanions rouges pro­tégeaient le champ de tir , et les sonneries réglementaires indiquaient les feux. Les tirs se continueront pendant l’été, aussi longtemps que l’approvisionopment Iq perm ettra pour l’inslruction des' Jeunes élèvés, et le perfectionnem ent des mem­bres de la Sportive, plus ta rd des prix seront créés. Se reform ant en cortège les sociétés reviennent en ville, au cs ïé de la Fontaine où le président après avoir offert un vin d’honneur, fit nue causerie su r le Maroc, avec accompa­gnem ent de projections. Il décrivit ce pays si d ’actuaWè, mcposant la suite, des événements qui viennent dé s’ÿ défouler c i la Q u a tio n des colonnes françaises qui •y défendent notre drapeau,

S a b a s enthousiasme le rem ercia avec

acolamatioDS & l’armée franpsisq e t d la p a t r i e ; ^ ' ,

Séances de tir (sonnerie). — L a veille des séances de tif la sonnerie ‘de

’cas'quêtte » s q m a du « co.gifflenç< feu » sera fafté âq x '’M s 'p a rré fo u rs . 4e Verberie, Fontaine, 'Ti Oompiègne.-'., ''" La veine I — M. Lambotte, agriculteur, à 'Verberie et M. L. Cnët, pbef-qantqunier au chemin de fer, aq,qi^.me,'liSii.,l}gùrap,t parmi les gagnants dU;- derpi.èf yragg, mensuel de la société « La Séquanaise Capitalisation.

V l n e ù l l - S a l n t - F i r i n i n .Nécrologie.— Nètre distingué confrère,

directeur d e la Presse associée, M. Jean- Bernard Passerisu, vient, d’è tre cruelle- ment éprouvé par la m ort de son dis Maxime Passerieu, étudiant, décédé à Vinéuil, à l’âge d.e Ift ans; Ses obsèques ont eu lieu m er à 10 h. 1 /2 à Vinéuil. Nous adressons â M. e t M m ePasseriau. e t è toute leur famille l’expressiop. de notre, sincère sympathie.

L’abondance des matières nous-obUge à remettre à notre prochain nurhéro notre feuille ton le C apitaineidoh,

“ (|8 tament gratoft1 "

' IToutes les cdmmnnf cations de-

vront être, a d ressées ' M.‘ À. Gallé, 6 , 'Coiir du Château, â O eÜ . (Avec la m entloit : P ^ ^ ' CEMÇNT 6|1_ATUIT.)

D E H A IV D ES

de:M i r ' Homm'è‘m'irié, sans enfant, 4S ans, udànde place de garde ou d e ’ TégiSseur

de culture (fécorn'mandé). ' 'T î '«■HP Jeune homme désire place de'

valet de chambré. ■ ‘ f l ’ BBo-.-personne désire faire dps

travaux de com ^abité ou ^ s .éontn'reà '

_ r . . ;• -ryxs

Dame veuve, SO ans, demander seule ou place pa^'

îSïfè; s’oobuperait tfes-e'afaaigi''. .-w-xgg.

Jeune “homme, 18 ans/'dem andé place d’homme d’inférienf où dqlfyfe'ur

; dans .ihaison de obm'hief cè'frecdmihândéy-•■''■I ■' - . 2 i

Jeune homme sachant un peu j ^ f P ^ e e t soigner un demi '

f i F " Ménagé fètraité, très solide, dér: mande place pouvant s ’occuper d u ja r­dinage e t soigner les chevaux.. Concierge oju garde de propriété. 26

. « É f f ’ Retraité demande emploi régis­seur,'iiisurveillant, garde p ro p r ié té ’.-om autre 'analogue. ■ ‘ 3TP

A ssurances.La C“ L a E xise tva tr iee , la plus an

cienne des d e s ffancai^ee, Accidents, demande un représentant â Cretf. — P ro ­duire références sérieuses.

OFFRESM T ’ Ouvriers charpéhtiers demandés à

Créjgjj Travail d’uîie'annëé sur r a u tr ,e ,.^ On demande ohex un. aichitecie.

jeune hominë sachant, lire et compter,,, comme second cléfp, surtout ppurform à- tion de vériflCateiif. — Paiem ent suivant càpacités. . .. ,40

On demande charretier sérieux coBumssant la culture*. 7 '.' j3r

On demandé retfaité très.'horiOt rahle, pouf placé' gàfdé'ciMpnniërjOhm de la policé, de tM ^ n M u if et les propriétaires' dtin'é 'cbmimufté,-,^: l’Oisé; 700 à 800 francs, logé avec sa fa- milfé (maison, cour e t,|^d ip j,,' 'p É p , Jeune fille bonnie i foiit‘Tairè. 4S

Il f a u t é p a a d jr e d ^ . ..

S c o r i e s ‘ ‘l l o i l e ’’

domicile.Employé ayant ipisirs, pféh(

à domicile tous travaux de copie 4 lam ain ou â la machine â.écrire, se m iargeraitdé-la confection d’adresses enveloppes.

* hahdeé 'dti 20 .

ijOS Mn

mière coupe., ILy a l&jCèpendant une pra­tique culfiiralâ' fort' avantageuse sur l a q q ^ Qjxme ^aùra^ trQD,afhre| l’a tte n f tion . '^ s / f f lü p a ^ S f e naaedaS.8 iëorpM.9men2as a j ^ l e » étant’; en eftetv^âasé 'saenaB dosQ lw iité, trèM' rapidement assimHablaHe^regaiB pfi)fite|l de cette fumure phosphatée dans] la ^ lu sé large mesure. Dans le cas, d’ailmurj, oiÿ une grande séohérèsse viendrait fentftver» l'aotiofljç l’engçfiis,,étqptdpqp4 » mttoreg; touté Spéciale .aéiS'od.àèiQg,ij^phoriqae,.- il n’y auraitaomtne/pefté * fitéîndrB,:de^ principes otites noa<utilisés .restant fcbns" le soLIdu dispositixm deiaqienssé d’Eefbet'!qui suivra-. - - ---- j

Le mode d'emploi quenous signalons ' est d’autant plus intéressant qu à cette,époque'léCJScèfi^ii?^"^^"!^^ ?. i>s-l^ à té s T ^ r n 0 'àBh.d’d'vil'éï, J’enbombfe-j mènt dés ,ùsihjB.S;6pjmdftp^gisoh et-'-les.?* retardsiqai sé,produisent a u ' moment des^, * lexpédtdoBS 'id'eutomnei-'-par. suite des- grandee manoeuvres e t4 e iWulBsaiïee dtft matériêbdes-cheiMBs de '“fer -(Sai® ferler' des grèves qul^iéiSfedFSé'pfOTlttire;, Rnt une concessiou sur'le prix de leurs ;5eo- ries Thomas ETO ILE. Une 1 fiimpr^ faite en mai ou en juin est donc beaucdup pl us éeonomique'que si eHe était pratiquée’ à l’automnmou’durant Phiver?--"

Voici d ’MllBurS’‘ütf exenmié' montrant les résultats qui •peifvehf’étfe obtenus- , dans ces-conditions **:!

« M. Chàùm'artin'; maire à Parov-sur- Tholon (Yonne), par l’apport de J.OOo ki­los S'i0 £ S )T ^rrig£ après Iq’

réactif IFunner et'dont les sacs se recon­naissent à leu^hhàifgM

id 'uB -;m ''âéEA '__unoids ch er 'teitsacv-souyent, feue nff vau't ® !ffip l! l« .‘én 'ifé.tTOl 'W fip iié dé bbones « e ô n e s j l io m M .ïlIO ILK.'; j ■1 b-îmîio .tA Ji'»5q tca .-«fnirtioi ol \ ■

.........................................................................

nW*K'7;0 î i «I‘.SlIç/^SIIjgiquei

I au premier printemps, 3ours-’a ’e*oeliaBf““‘’

lÿ ix ermsant to!dours-’fl’e*oetlhn ir'’ré‘sj t t W que (mes c‘er!|flhii?<fltrvL agfints-(|i’q'pç^,yqit;’« i^ |^ f ; ,^. , , , ■■ ■•->1:' hi r-r- i .pf

SODt:ûrant

'oumis- Ce

l’hectafé ». ' ;Les doses, recommandables sont de 600

â8O6kJlqq|int4g^4'^00!QMos â Pheclare. L’acuqp se 't^séA fff.d lâfomaulpoint de viie' & \».qiiard»èvBi de/la'gùafüd-y-on obtienidavant^e-de fourrage et unthur-' ragé phrs •nBtritifo"ôn' me» outre’ eu "Poc'- èé si oii!d6TB!ifarqi»naaiilt«sf fuis hüéèsét# frm ire pho(p'aatéé” iéJftn8t0B rf l’herbe dé mieux résister-AJa séeheresse gui'VleBt»* si souvent géper la pousse d ^ e fe in .

'Wpmmlîe.^qué 'noire dotüfflnofe devrait dcni se>,geoéraasef,,déi plus en plus,: lU: culture ne pourrait qu’y trouver u a ’graad>-

f av.-iotage^-,, ,. .. .•><.«■? '«-Afi jdlôüre 'sûf;.dn-l’elEcacité du prodilit'

que l’OBéWJRKoiefe ...............................

i f i - ..; solubilité^m m nm -.de 15 O/O ‘dans le

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t dÿ^9iffes dbuR,drei e t lédOté me rendaient très p%mlfès n « ^ ‘tra 'm nxJdfe 'fflé iî^;’dTOiSffffè

1 à;l»:mdchine, mes souffrénCM'fleve- gierW e-je*he pbiftaB’éWs iüé' u è l ^ ' j o u f é l e i p n M Poster

m Sirëaîî^éfént beaucotip ‘ 'à mésiiifs gué m w d fe le flr i dùïrtïmaient; m o n ld o S U é ^ ' na iK p ^fcsen jffe , h t ’lës ' urînés* ;êlment' ,m <dfedo^D ilré® |s. L'amélipfMiçin.s’ac- céhtuiustlHeji qu’éftVirbtf'Trofe sémainès'

;potîé /

fioM abdedoï,' fé'gonQeniént'des aftî- cukffièMy'-kBeTfsàtiOn’idtfïiesanteuf dans

'et f aSStipm gé-

troubles e t f f if e c ^ É /^ n d ^ u e n t^ u e les fmoS'é'ônt-. atteints. .Les .Pd'ules Poster, r e n ' ^ t ’PSfx fe i is l’eùf pôiivbir de. débar- TassébJésàoé'âaitQ utes les im puré tésqu i BmHRifBtêtft ^oircuiatio«jir*œ ènenl to«iTtmgaBisM ÿ son état normal; ■» •* i : .......

.Toutes^harm aciea.(Exiger la signature « James Fostef *-).-3-£r. 50-qa boite,1-49 fr , les siSt'tlff franco contre roatidat ’: SpéiÙR- lités Poster, Hi* Binao, pharmacien', 23, rueSafnt/Fêrdiéand,'Paris, ''‘•t

W-yi > 'ty

:i Pgur guérir rapidèroëht la m ig r a i n e , les ih i« ^ .td le s to m a c , la c p n s tij im - t io n rien irfest"Sûp5rîéùr aux'TPiüiles

30. Glaesel, ph., r. Gram- mont,iPari». i . . . .

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‘ '$ i.T* fl’J ‘ .H ■f-'t

A n n o n c e s J u d i c i a i r e s . Ast. 1.

ÊUlie de SI' SA IN TE -B EU V E .avoué à Sentis.

OfliTiande en Séparation

D'un exploit du ministère de M' Seuville, huissier à Crépy-en-Valois, es date du vingt-six mai -mil neuf dnt onze, enregistré ;

Il appert :Que Madame Marguerite - Marie

Dahout, épqu^ de.MWSieuT feul- Qovis-Henri Floquet, minotier, avec lequel demeure à Ruvy; . . . .

A formé sa demande en séparation de biens contre Monsieur Floquet, Hm mari, et que M* Sainte-Beuve. STOué à Senlis, à été coostitué pour, ladite dame sur cege demande-

. , e jo Poimtae^réà L I 473 Signé ; A. SAINÎE-BEUVEr

► ' n ..

COMPAaNlÉ ANONYME du

|C ÿem in d e F e r d e H e rm e s ? à 'B e ia u m ô n t:

J » ,- -

Le tirage aq^sorf dés actions et I bons à amortir, a ,e,u lied .en- séance, publique, ah Siège Soei'al, à Nétiilty -

I eiï-Thelle, le Mercredi vingt-nuaire \ll!ü mil neuf •ient’Onze, a une I ieare et depjé,J'eVgpr..^)niSu

Les numéroi-sortis sont -les sui­vants : .jffillONS. i'V iiOO; 546, 741, 9Ï5,

S# 1425, 2 2 3 ^ t 2434.

Æ ' i . ' M S i î f l S a S : !g». 579, 712,779,783, 804, 867, 877, 888, 1012, 1018, i070,1136, H6J,.Am,,,14^^et l^S y

* Les b o n sSiège de la C ^ ^ g B m L Î p a r o r ^ i " J u i l le t t n l 1 et les a c t in n s

I i partir du â '

JF orn..M* G e o r g e s MORAIVD, licencié en dfoit, avbiië

Tfti.dos Ho ) à Senlis, 10, nie Saint-Hilaire. ; I Jttuaes oe < j , . A u g u s te SAIJVTE-BEU VE, avoué â Senlis.

H* H e n r i B A L E -^ i^ k E X notaire àC bfetiU y.

tiaile de SB .CCHAMPB,

à Font-Saili&-Hexence.■ . . :. ; î

I ..*1*® personBi^,ouvant-a.voir des reclamations è ft^e contré •te-rii’-' JM londelimdd^v uveiOLttOAJÿ- GAStÈS, décédfe.'l.ôt-itièM s-TJml.r «nte-Maxence ftiûiel. -\n n tfy é - {**/, sont priées, dins ië -ÉhPdé bâter le règfem.mt dé’taàtteqsûiêéïu «MU, de déposer ieur^lastetriB ien-

tude de M- Beauehamps, dans le lai de quinzaine. 452

de »!• L o u is E8CA V Y ,avoué à |(Bli8-.ç.,;2 r h J

7, rue de VSuihreW? .iJ îî S ’ st de M* U lg T , notaire à Crépy-

en-Valois. . .^ - A i - . - - ' i

I ^ H iT E S O R U Ü I A T i a S

sises àI bw la route de C ré ^ Â'-Vâiéipièguê,

E T 9 P IÈ C E S D E

I l'ep p e & B o i sGWtWBfp^*-

et Bélbancourt. on

1 8 .,'es de : i'iL

.—-.de là Maine t “è GiloconrL

leB n fA a i-

<4t,.tee# l’ncomifene

F ^ ' ‘‘terpourlesreiSSélsnementt ;

" V e i a t t © s i a i : * X . i î o î ’t i a . t . i o x i .b £

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Y' i g--

■ 7.Séj

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' ■ - -DE-î UNE ‘ . 1 --■) -t *. r'

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1 8 JU IN 1 9 1 1 , à midii ,'^à ü ChéÉBfe 'de j '^ q ta ife s 'dÿ sfs'e'jjface 'ou ÇÎiàfelet, pàr'ie mi- nistèfe de M* JACQm;s BAUDRIER, notaire à Wrifi,^Ç5, î^iè' de Riche­lieu, commis à cet efiet.I!’/ f i /^ 't ,-V Jt'-1: Tir"? • •

S’adresser ; pfiur visiter, sur les lieux ; r- ,

Et poLir tous renseignements :A IW* CjMjyges^ JÿORAND,

".voua aSenlil, pdufsurianf la vente ; A.W?i,S^te-B««tve.,avouéiè

Seji.li% 5.9,of3uiv,qut,ïa. .»entî. :. ;! .1 üvixüé Senlis,

su r l arople de Gouvieux à L a m ^ ' ’ <•' " h î : ir^(-Mah>u................................ ''"•'■«■rrï* ïr • .'••» .ù-'z. ■-, ■ •• 1- '»

. . i m - £ i I Æ L i l X ^. - avepfMt^éde^ufetijou-UB.2--tety4|jjt(r d.-s8 'ct9*l(jts.

L-’adjudicalion aura lic ii/!é 'B .î.1 .,,, ■ I 4J- Ji^deiix Vicspr

iïTÉttide et par lé érilHiatli d

ËICHES niM° G e o r g e s IMjQRAND,

iic^lfié en ndroit, j ^ fe é à Senlia, f .. . *. 4® *^)l?S am w ^re:“ 4 u g i« b e S A I P e-BEUVE,

MenWŸAeÉZEADX, i notalra'_.à Chqntlljy, Cû_mis . ;.Tet. Æ' ï

5 pour lis rëiuèignemonfs.':^ - v ^

= 'E t f V ’lf f ia î& V V .É * JE, if Chanfilly', rédacteur et dé­positaire du cahier des ch

' Étude de M’. Loaits ESCAVY,■j- avoiiiè i Sooq«,r-.-fe ^-r,-

-1 .'/L.-j/fS-e d e 't iS e J ^ ^ p i iS

- . - ■ " t t i ' ï f ï Ê ’' - ' : ’

^ sœ te

“DE r : — —

: /à 8' it-.^gnaD,ue de ontagnd-

numéro 7.

L'Adjudication aura lieu le MARDI

'•’S f i ^ ^ é ' n ^ d î a é ^ e B ^ ^du'Tribunal civil de Senlis, an Relais de Justice de la dite vUle,: réê de la'République.

Stàdéesser pour -les renseigne-, a r r ,

A â f .m tlA V Y . wuéArflelB.1 lis, poursuivant la vente ;

Etude de M« L<uiig^ËSCAVJfr ' -avodB, xf-.—

7, tUé de ™evert,‘'li Senlis (Oise).'

I

d e m ln e a r s »

-D'UNE :

''4 0.:4r'Sl

sise à 'V X L B S ^ C lI rK ^ ë B O i, dans. le Parc de la-Faisanderie,

arrondissement dé lÙ rbâK -' (Seii»-Ti{-Saef.l^-'7'

2® Â H» S o ia te -S té a v e , avoué . . » « a ' .v.j â S n S ^ é a é n * » t o - v ^ 7 's v-oe|fetw ii*»n.t’i S e ^ . 7j jrue de Vil-

4" Â-TÉB LOTi^Sî'hottlre » ®— ve ;ire à Senlis 4* Et &.M* P e t i t , notaire à Senlis.

notai-antitly ;

dgs c.tiargcs.-1 «*

is B a u d r ie r ,':e Richelieu,

du cahier

B /H P X A U X ,l ^ à ^ ^ ^ l y .

ÏENTE SDRilCITATIOND #

tudes de

] Rt 4 P riN; I• ■ « f e S ’iS ''’*

M- G e o rg e s MORAND,iicencié en .-djgiy'avané.iè Senlis,

10, rue Saint-Hilaire,“ 1 A u g ,is ife^ lA |l» T % ^ p iD y ft J , -a ,.. . .a Y 0 .u é % 8 « .«-'.-c

H« H e n r i BiAiLÈZEAUX,-.i. molaire H'ChintiHy, ' i-

M« J a c q u e s B A U D ldER j' notairé à ^rue de Richelieu.

«Î»I> . — H Srfi«inmo.'> «u I .jy Qggg;! «A. ' j-'.'.' Yi '

î S adresser pour tous r e n s e ig n e - • im erits:

w

avohéà^nlis ', ' 'M* PETiTiiim aB'tf'îrseuilsr'-î j . j j , s a i n t e - b e u v e ,

evouê à Seüïïs, po'bKUWàntTa'vente; ,2" Ai A Vendre sur Licitation

j -*èî î (T»»»

I ^ E mA16Ql^! A v e c se s C fro o n stan ces j , ; e t IM p e n d a n c e s , j[ Sise commûhé fie Thiers i , . , . (Oise). ,

en la rue d’ei- b-3s,g,j, .

32 P M il« TerreP x * (â fl4 & B o i s

; Sisçs terroirs de Tblers,

(Oise).

L’adjndècatio» 'emnr-Reu- l e -Di­m a n c h e 1 8 J u i n 1 9 1 1 , à2 heures du soir, en la mairie de la commune de Thiers, et par ie ministère de M* PETIT, notairé èf Senlis, commis è cet .efCet, .

S'adresser'-paar le» 'renseigne­ment*.;,!- .-i-i!-. J-. i..

1° A H* S A IN T E - BED V E, avoué è Senlis, poursuivant la vente;

2* A l^T ^o jr& ^/aygp]é i^

3» k M- P e t i t , notaire è Senlis, dépositaire du cahier ctes cbargès;-p -, -..-.î -

j /2"’A.jÛ?,;^-vâî-3 trésent a la vente ; ! 3» gt. aq,Greffe, c

■Éludes de .M; M tm SN D , agréé ■ ' ïS e n ^ ’, ■

i t -de-M.^-MDfe4ce< UENO.IR,huissieg.;^Sehlis.. "

Séniis, où le cahier des charges est déposé. .; '' ” “ ”

te W filjirv f; rTNftff*i*>7 r. -vKç

Études de.M %JSAINXE.,S£infE avoué, ^ . t o l m üOjse),

rue SamteJGMeweve,et de M* D E S A S ^ notaire

■‘ùGreiHOisejë’-- ‘î

L’adjndicat^' '4 3 9 JULN 1 9 t l ,d b j s v f Aeurer

, dsjmatin, epKtmdiesci^tdescrjfeEU-. Tribunal cunl ne.

louvieux |O i s e ,

d’unà;^ntenai|ç^.t(otaIe de 9 i b e e L 1 9 a r e » 3 9 c e n t . .

Liaéjnâioatêon aura lieu le DIHAN- !- CHE 'C S JU IN 1 9 1 1 , à une ; -héiti^ di relevée, en la Mairie

d e Pou vieux, par le ministère de

tUly,-commib-'h'cet effet. ' - -f

Sàdrefter.,.pôué tes* renseigne- riiH tR ï B.

A

Stadretgac.pour.te^grnisW lK -medts ; ' ~

t» A M« E o a s raC A V Y .avou?

2» A M* D h e rb e , ibuissier à Pont-Sainte-llazenoe (Oise).

' . ï i é o r g e « ' ' ' j i i d È ^ b ,avonéA*SeDiit,-ÿ>éttrSmlrant taveiite ; . aCM» B A IN TErBEU V E, avoué > Senlis, poursuivant la vente ;

* ■'- * ’aiiÉ 'feiMitéH'ffùhlldiiir-''' 'v . -. -f» "-rr-f '■'Rt ’. >•« .f*. *

-o ie P. ,wrue Voltaire, n* i l .

L’adjudication aura lieu le DIMAN­CHE 11 JU IN 1 9 1 1 , à deux heures de l'après-midi, en la Mairie de la éemmune de Montà- taire (Oise), et par le ministère de M* DÉSABIE, notaire a Creil, com­mis a cet effet.

S'adresser pour les renseigne­ments;

1° A M» S A IN T E -B E U V E ,avoué a Sénijs, poursuivant la vente ;

2» Et a M* DESA BH l, notairé'9 CreiÉ rédacteur et dépositaire du cahier des cbarges.

Étude de H» SA IN T E -B E U V E ,avoué a Senlis.

' s i n LHSITAtlOII e n eèoMrèe pvblIquM,

E N -t)# 'S E U L '-L O T

• îMîS,! ^ » - jh a o 'l /MB*Ar8BÉWr-5|AGNBV-AL, .

"■ 'çtftïrn . dê.'DréM n-VatôiJr’’"-'

X..5 b àf Is û H geQirconstaiKes.jf, D ^ g ^ j ^ t ^ s .

L 'a ^ n c fi^ o n fe ia llfe ’ié 'lilL m M

iEtù'aê"dè''i»r' C'oîiîs ESCAVY,I avoué'ù'Sënlis,I 7, rue de Villevert. • ‘

4«r surenchère du sixième,

D’UNE

1 e r, '.- n.'-'î'X: avec

IH aiso n B o u r g e o is eI sit«fea».©e.nlrfl(deJa.pK)ptiélé, j . . . sisealieu dit . F e r m e ,<Za . B o y a U i e u

commune de V a u m o lse ■ (Ôiae). •!■■' '

. r:.; t-, r.ri •

En, l’audience dës èriées^du Tribunal y.. ■ ' ' ciyil,d'è Senlis/ ;,_: au.Palais de Justice dei^ tle ville.L e M JUIDI1 3 JU IN 1 9 1 1 ,

à neuf heuïjes dû matin.

S ’adresser pour renseignements :!• A M 'L o u is ! SCAVŸ , avoué

a Senlis, poursoivani la vente ;

3° Au Greffe du Tribunal civil dé S|nli^- oùJe cahier des. cba.rges est

4° A M‘ N en v llïe , huissier a Crépy-en-Valojs,. . /

Faillite de M. Abel JAZET, du Trihunàr civil •'^■'eùastfde beurre étiagriculteur

■ ifPltiBy.(Oise); 3«

: A

^M in d s p j r é

-tT E ; ■’V ^ Di par âdjtuÉüaliorl p ùb llq fk f “ in vertu d’une'Ôrdoiinanéé rendue i parM.'Drivlère, jogeâéommisstire

lent,

de M« MpB A N #_aeréé “aseniis,

et de H *'THSâM JIé'-LÊNOIR, huissier a Senlis.t'*-' -''-i.ÿi-Cft'f '.-..tr-;,'

.PM nifé'is'f.iÎBtt.îitZET,''' marchfeS n l r l ^ t i ^ ’'BV h^lfeUéur

'T 'w ’ijâ v â liÿ , avoua a SèiilB r' * ** ^ * *1» d n « / f lif w m |e»cs,’l)imi

PAR ADJUDICATION PUBLIQUESfl ' T.MA P L A IL L ^

en la ferme ex p lo to p a r M. J.VZET, .chemin (te Mp'ntmérian,

en vertu iFune ordooneoce-rendue le26 *mai WH; pariah- Drivièret juge-commissaire do la dite fail-

par le ministère de M* LENOIR, huissier,

le L n n d i 5 l 9 l i , 'à une heure de relevée,

DE

9 fo r ts C lieyat|xh’otigTes 'et’’4«ièr*’''' ’ '»

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Cni\E*itoàrage de ,,p^u*e].: en fil d e ' f e r , -avec'.ses piquéts.

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I qu’il possédât u n e ferm e à W ahl. Ce fu t en 1878 qu’i r commença à tousser. E n 1890, il d u t garder le lit trois semaines à cause d’une bronchite pendant laqiielle il expectora u n peu do

E n l { ^ . il fit usage de m on Elixir m r l e s conseils d 'un m alade que 4'avais guéri,! e t dont i'ai publié la m én so n a cette époque, M. Vantelèt. E n 1000, M. BARTÎTe L fu t repris de sa b ron i^ ite , m ais il ne fut obligé qu’à deux jours de reposé e! 2 flacons d’Elixir Dupeyroux le rem iren t su r pied. Au début de l’an­née ISao. i l était accablé p a r une grande fàtiguë b ien qu’il se fut reposé pendant plusieurs moi»; cette lassitude extrême

................. rcm pêcbait dc travaillerj:om m e aulre-f ^ ^ r n ^ t o î ^ m i g é d c g o r d e r l a cbambcé trois bu“quatré Jours p ar semai­ne. I l avait, jo u r et nuiÇ des qu in tes de[.toux très fortes, très longues et fréquentes. Pendant son sommeil, il tra n sp ira i^ a udraps; r ~il se déJe ?ûl t r o i ï ^ des" lésions Itiberciileuses d i^ r t -o m ip a n t les ^ m s . ^quarts inférieurs du poum on gaucJie en arrière e t sur le cote, et le Poum on g . rdro it tou t en tie r excepté su r le côte; à cet end ro it seulem ent “5® = gzôqe indem ne d’un travers de m ain de largeur su r loulc la Im u te u rd ^ g »tioftmou. M. BARTHEL revin t à m a consultaüon tous les q u in te jours. Je „pu^ b ientô t consLiler la rétrocession des: lésion». I.a forte constitution d u js hsm alade contribua certainem ent a la rap id ité du ^ s u lf â t car, ap ri^ 5 ^ de m on traitem ent à base d’Elixir

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Étude de M< BHIRBE, huissier j II Fqnt-Sainte^àËçim ,

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Etude de M* DELAUNAY, notaire A Senlis.

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Étude de M* DESABIE, notaire A Crell.

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