Code OSIA: 10xxx © AFPA Juillet 2013 –V1 –EMI · fluide hydraulique peut provenir de sa composition chimique et particulièrement des additifs utilisés, de son inflammabilité

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Les risques générés par les fluides Les risques générés par les fluides sous pressionsous pression

Des risques liés à l’hydraulique…

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… Ou comments’en affranchir ?


• Huiles hydrauliques, flexibles, accumulateurs et équipements sous pression…

• Mal utilisés, certains composants hydrauliques

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composants hydrauliques peuvent se révéler dangereux et nocifs pour l’homme et son environnement.


« Au départ, une simple sensation de piqûre… A l’arrivée, un risque d’amputation ! »

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« Un fluide sous pression s’échappant d’une tuyauterie sous la forme d’un jet fin peut perforer la peau et causer des blessures difficiles à soigner »


• Les accidents les plus fréquents impliquent les huiles minérales ou les lubrifiants et concernent le plus souvent la main, les

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doigts, l’avant bras ou l’œil…

• L’effraction est possible à partir d’une pression de 20 bars…


• Dès l’accident lié à un fluide injecté sous pression sous la peau, le blessé devra être acheminé vers les urgences le plus rapidement possible

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le plus rapidement possibleavec la fiche de sécurité du produit incriminé et la note d’information du centre anti-poison stipulant un avis chirurgical obligatoire…


• Le danger que représente un fluide hydraulique peut provenir de sa composition chimique et particulièrement des additifs utilisés, de son inflammabilité (une micro-fuite

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inflammabilité (une micro-fuite se traduit par la formation de vapeurs qui augmente le risque d’inflammabilité), de sa viscosité (chutes par glissade) et de sa température (risques de brûlures à hautes…ou à basses températures).


• A cela s’ajoutent les risques liés à la pression tels une fuite se traduisant par une énergie libérée capable de transpercer le corps humain, une rupture du composant ou d’un accessoire de liaison

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une rupture du composant ou d’un accessoire de liaison provoquant une projection de particules métalliques, un battement de flexibles pouvant aller jusqu’à la rupture et l’effet de fouet qui en résulte


• De cela découlent un certain nombre « d’interdits » :

- Ne jamais utiliser les tuyauteries hydrauliquescomme marchepied.

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- Ne pas toucher aux réglages sans analyse préalable du risque.

- Ne jamais resserrer un raccord ou une bride sous pression.

- Ne pas se servir d’un flexible comme moyen d’amarrage.


• La sécurité est l’affaire de tous et suppose tant l’obligation :

- de veiller à s’équiper en conséquence (casque de

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conséquence (casque de chantier, chaussures, gants, lunettes, voire masque)

- que de s’efforcer d’éviter les situations dangereuses lors de l’utilisation de la machine.


Si la sécurité des hommes est importante,

Impact sur l’environnement

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hommes est importante, celle concernant son environnement ne l’est pas moins.


• Ainsi, l’article 44 de la loi 2006-11 du 5 janvier 2006 impose-t-il l’emploi de lubrifiants biodégradables dans les zones

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biodégradables dans les zones naturelles dites « sensibles », c’est à dire, schématiquement, celles proches de l’eau (eau douce, côtes et milieux marins) et certains espaces protégés.


• Il faut savoir, en effet, qu’un seul litre d’huile peut recouvrir quelque 10.000 m²

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quelque 10.000 m²d’eau et polluer 1 million de litres !


• Cette loi s’impose aux constructeurs de machines utilisant des fluides hydrauliques

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fluides hydrauliques depuis le 1er janvier 2010, puis à l’ensemble des utilisateurs au 1er janvier 2012.


• Les lubrifiants concernés sont les huiles hydrauliques, les huiles pour moteurs 2 temps, les graisses, les huiles pour graissage perdu et les huiles de

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graissage perdu et les huiles de démoulage/décoffrage

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