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Ste AGATHE Hilbesheim Hommarting Réding Offices de la Semaine Sainte Dimanche 10 avril à 10h00 à Hommarting Messe des Rameaux (Les fidèles sont invités venir avec leurs propres rameaux) Jeudi-Saint 14 avril à 19h00 à Hommarting. Messe puis adoration Vendredi Saint 15 avril à 15h00 à Hilbesheim Chemin de Croix à 19h00 à Hilbesheim Passion Samedi 16 avril à 20h30 à Réding Vigile pascale Dimanche 17 avril à 9h00 à Grand-Eich Messe de Pâques à 10h30 à Hilbesheim Messe de Pâques Christ est ressuscité, il est vraiment ressuscité, Alléluia! « La paix soit avec vous » Jésus notre sauveur et prince de la paix, la promis aux Apôtres, leur disant : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix » (Jean 14,27). Après sa résurrection, Il accomplit sa promesse en leur disant : « La paix soit avec vous ! » (Jean 20,19-20). Cette paix est l un des fruits de lœuvre du Salut que Jésus a accomplie par sa mort et sa résurrection et quIl ne cesse pas de communiquer à son Église. À chaque Eucharistie nous demandons cette paix, tout particulièrement après le Notre Père : « Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps ; soutenus par ta miséricorde, nous serons libérés de tout péché, à labri de toute épreuve, nous qui attendons que se réalise cette bienheureuse espérance: lavènement de Jésus Christ, notre sauveur », suivi du rite de la paix « Seigneur Jésus Christ, tu as dit à tes Apôtres: je vous laisse la paix, je vous donne ma paix, ne regarde pas nos péchés mais la foi de ton Église ; pour que ta volonté saccomplisse, donne lui toujours cette paix, et conduis la vers lunité parfaite» La paix est-elle présente aujourdhui dans le contexte où nous vivons ? Cela nous interpelle et nous encourage à trouver, à chercher cette paix en nous, auprès des autres, auprès de Dieu. La paix du ressuscité, qui a vaincu la mort, est une grande espérance. Là où nous avons peur, comme les apôtres qui sétaient enfermés dans le cénacle, dans lincertitude, le désarroi ou la souffrance, Jésus nous donne la paix et proclame quelle soit avec nous. Dieu nous appelle aussi à devenir les artisans de sa paix pour devenir ses filles et fils. Prions le prince de la paix pour que les provocateurs de la guerre et de la violence refusent la logique de la violence en allant les uns vers les autres et quils construisent lavenir sur les fondements stables de la justice, de la réconciliation et de la paix. Père Raja Ne jetez pas ce bulletin, prenez le temps de le lire avant ! COMMUNAUTE DE PAROISSES Permanences au presbytère Vous y trouverez toujours quelqu’un à votre écoute Mercredi de 9h30 à 11h00 Samedi de 9h30 à 11h00 Vous pouvez aussi me joindre au 03 87 03 15 49 ou 07 53 52 95 45 Site de la communauté de paroisse Sainte Agathe : https://paroissesainteagathe.pagesperso-orange.fr Charles de Foucauld, futur saint de l'Église. Mardi 9 novembre 2021, la Congrégation pour la Cause des Saints a annoncé dans un communiqué que la canonisa- tion de ce «frère universel» aura lieu le dimanche 15 mai 2022 à Rome. Elle a été décidée après la reconnaissance, en mai 2020, quun miracle a eu lieu grâce à lintercession du « frère universel ». Né le 15 septembre 1858 à Strasbourg, Charles de Fou- cauld devient orphelin à l'âge de six ans. Il est recueilli avec sa petite sœur par son grand-père. Lors de sa jeunesse, il perd la foi. «Je demeurai douze ans sans rien nier et sans rien croire, désespérant de la vérité, et ne croyant même pas en Dieu, aucune preuve ne me parais- sant assez évidente,» écrit-il. En 1876, il intègre Saint- Cyr, l'école de guerre, puis l'École de Cavalerie de Saumur avant de rejoindre un régiment de hussards. En 1881, il quitte l'armée avant de la réintégrer quand il apprend que son régiment part en Algérie pour y mener une mission dangereuse. Mais si le jeune Charles ne s'épanouit finale- ment pas dans cette vie de garnison, il découvre une nouvelle passion : l'Afrique du Nord. Il prépare et mène une expédition au Maroc en 1884 au cours de laquelle, se faisant passer pour un rabbin, il découvre l'islam. Cette rencontre réveille en lui sa propre foi catholique. En octobre 1886, il décide de se consacrer à Dieu. Il effectue un pèlerinage en Terre Sainte puis en 1890 il entre dans un monastère trappiste, en Ardèche. «Aussitôt que je crus quil y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour Lui ; ma vocation religieuse date de la même heure que ma foi ; Dieu est si grand. Il y a une telle différence entre Dieu et tout ce qui nest pas Lui,» écrit- il. Mais cette vie ne comble pas son désir de se dépouiller encore plus. C'est ainsi qu'il quitte la France en 1897 pour se rendre de nouveau en Terre Sainte où il sera domestique chez les clarisses de Nazareth jusqu'en 1900. Il retourne alors en France où il est ordonné prêtre le 9 juin 1901, à quarante-trois ans. C'est alors qu'il conjugue sa passion pour l'Afrique du Nord et son désir de vivre au milieu des plus pauvres en rejoignant Béni Abbès comme il s'en explique : «Sachant par expérience que nul peuple n'était plus abandonné que les musulmans du Maroc », Là, il entend réaliser son rêve : «Je veux habituer tous les habitants, à me regarder comme leur frère, le frère universelIls commencent à appeler la maison "la frater- nité", et cela m'est doux.» Sa vie s'organise ainsi : «De 4h30 du matin à 8h30 du soir, je ne cesse de parler, de voir du monde : des esclaves, des pauvres, des malades, des soldats, des voyageurs, des curieux.» Mais Charles ne se contente pas de cette mission et se sent de plus en plus attiré vers les contrées situées encore plus au Sud, là où vivent les Touaregs qu'il brûle de connaître. Il part alors début 1904, allant de campement en campement, tâchant d'apprivoiser, de mettre en confiance, en amitié... Il trouve enfin la paix qu'il recherchait : «Je vais rester ici, seul européen…, très heureux d'être seul avec Jésus, seul pour Jésus.» Il vit dans divers ermitages à Tamanrasset qu'il construit. «Demain, dix ans que je dis la Sainte Messe dans l'ermi- tage de Tamanrasset ! Et pas un seul converti ! Il faut prier, travailler et patienter,» couche-t-il sur le papier, résumant ainsi sa vie au milieu des Touaregs. Alors que la guerre déchire l'Europe, il est capturé le 1er décembre 1916 par des sénoussistes, des rebelles touaregs luttant contre la présence française au Sahara. Il est abattu par un de ses ravis- seurs pris de panique après l'arrivée de deux méharistes. Charles de Foucauld avait 58 ans. «Quand le grain de blé qui tombe à terre ne meurt pas, il reste seul ; s'il meurt, il porte beaucoup de fruits,» avait-il écrit de façon prémonitoire. Récit dun miracle attribué à St Charles de Foucauld Le cas de Charles, le charpentier de 21 ans. Le 26 mai 2020, le pape François a signé le décret approu- vant un deuxième miracle attribué à l'intercession du bienheureux Charles de Foucauld, ouvrant la voie à sa canonisation. Le 30 novembre 2016, veille du centenaire de la mort de Charles, un charpentier de 21 ans partici- pant à la restauration de la chapelle de l'école Saint-Louis à Saumur, en France, est tombé de plus de 15 mètres de haut sur un banc dont l'accoudoir lui a percé le côté gauche. Sept médecins ont examiné le jeune homme et ont conclu à l'unanimité que tomber d'une telle hauteur et s'empaler provoquait généralement une « explosion » d'organes. Cependant, l'homme se serait levé et aurait cherché de l'aide. Après l'accident, des centaines de personnes de la paroisse de Saumur ont prié Charles de Foucauld d'intercéder pour la guérison du jeune homme. Il a été hospitalisé pendant six jours et est retourné au travail dans les deux mois sans subir d'effets secondaires physiques ou psychologiques. Les médecins ont conclu que ces faits ne pouvaient pas être expliqués médicalement.

COMMUNAUTE DE PAROISSESde Réding

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Page 1: COMMUNAUTE DE PAROISSESde Réding

Ste AGATHE

Hilbesheim

Hommarting

Réding

Offices de la Semaine Sainte Dimanche 10 avril à 10h00 à Hommarting Messe des Rameaux

(Les fidèles sont invités a venir avec leurs propres rameaux)

Jeudi-Saint 14 avril à 19h00 à Hommarting. Messe puis adoration

Vendredi Saint 15 avril à 15h00 à Hilbesheim Chemin de Croix

à 19h00 à Hilbesheim Passion

Samedi 16 avril à 20h30 à Réding Vigile pascale

Dimanche 17 avril à 9h00 à Grand-Eich Messe de Pâques

à 10h30 à Hilbesheim Messe de Pâques

Christ est ressuscité, il est vraiment ressuscité, Alléluia!

« La paix soit avec vous » Jésus notre sauveur et prince de la paix, l’a promis aux Apôtres, leur disant : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix » (Jean 14,27). Après sa résurrection, Il accomplit sa promesse en leur disant : « La paix soit avec vous ! » (Jean 20,19-20). Cette paix est l’un des fruits de l’œuvre du Salut que Jésus a accomplie par sa mort et sa résurrection et qu’Il ne cesse pas de communiquer à son Église.

À chaque Eucharistie nous demandons cette paix, tout particulièrement après le Notre Père :

« Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps ; soutenus par ta miséricorde, nous serons libérés de tout péché, à l’abri de toute épreuve, nous qui attendons que se réalise cette bienheureuse espérance: l’avènement de Jésus Christ, notre sauveur », suivi du rite de la paix « Seigneur Jésus Christ, tu as dit à tes Apôtres: je vous laisse la paix, je vous donne ma paix, ne regarde pas nos péchés mais la foi de ton Église ; pour que ta volonté s’accomplisse, donne lui toujours cette paix, et conduis la vers l’unité parfaite… »

La paix est-elle présente aujourd’hui dans le contexte où nous vivons ? Cela nous interpelle et nous encourage à trouver, à chercher cette paix en nous, auprès des autres, auprès de Dieu. La paix du ressuscité, qui a vaincu la mort, est une grande espérance. Là où nous avons peur, comme les apôtres qui s’étaient enfermés dans le cénacle, dans l’incertitude, le désarroi ou la souffrance, Jésus nous donne la paix et proclame qu’elle soit avec nous. Dieu nous appelle aussi à devenir les artisans de sa paix pour devenir ses filles et fils.

Prions le prince de la paix pour que les provocateurs de la guerre et de la violence refusent la logique de la violence en allant les uns vers les autres et qu’ils construisent l’avenir sur les fondements stables de la justice, de la réconciliation et de la paix.

Père Raja

Ne jetez pas ce bulletin, prenez le temps de le lire avant !

COMMUNAUTE

DE PAROISSES

Permanences au presbytère Vous y trouverez toujours quelqu’un à votre écoute

Mercredi de 9h30 à 11h00

Samedi de 9h30 à 11h00

Vous pouvez aussi me joindre au

03 87 03 15 49 ou 07 53 52 95 45

Site de la communauté de paroisse Sainte Agathe :

https://paroissesainteagathe.pagesperso-orange.fr

Charles de Foucauld,

futur saint de l'Église.

Mardi 9 novembre 2021, la Congrégation pour la Cause

des Saints a annoncé dans un communiqué que la canonisa-

tion de ce «frère universel» aura lieu le dimanche 15 mai

2022 à Rome.

Elle a été décidée après la reconnaissance, en mai 2020,

qu’un miracle a eu lieu grâce à l’intercession du « frère

universel ».

Né le 15 septembre 1858 à Strasbourg, Charles de Fou-

cauld devient orphelin à l'âge de six ans. Il est recueilli

avec sa petite sœur par son grand-père. Lors de sa

jeunesse, il perd la foi. «Je demeurai douze ans sans rien

nier et sans rien croire, désespérant de la vérité, et ne

croyant même pas en Dieu, aucune preuve ne me parais-

sant assez évidente,» écrit-il. En 1876, il intègre Saint-

Cyr, l'école de guerre, puis l'École de

Cavalerie de Saumur avant de

rejoindre un régiment de hussards. En

1881, il quitte l'armée avant de la

réintégrer quand il apprend que son

régiment part en Algérie pour y mener

une mission dangereuse. Mais si le

jeune Charles ne s'épanouit finale-

ment pas dans cette vie de garnison, il

découvre une nouvelle passion :

l'Afrique du Nord. Il prépare et mène

une expédition au Maroc en 1884 au

cours de laquelle, se faisant passer

pour un rabbin, il découvre l'islam.

Cette rencontre réveille en lui sa

propre foi catholique.

En octobre 1886, il décide de se

consacrer à Dieu. Il effectue un pèlerinage en Terre

Sainte puis en 1890 il entre dans un monastère trappiste,

en Ardèche. «Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je

compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre

que pour Lui ; ma vocation religieuse date de la même

heure que ma foi ; Dieu est si grand. Il y a une telle

différence entre Dieu et tout ce qui n’est pas Lui,» écrit-

il. Mais cette vie ne comble pas son désir de se dépouiller

encore plus.

C'est ainsi qu'il quitte la France en 1897 pour se rendre

de nouveau en Terre Sainte où il sera domestique chez

les clarisses de Nazareth jusqu'en 1900. Il retourne

alors en France où il est ordonné prêtre le 9 juin 1901, à

quarante-trois ans. C'est alors qu'il conjugue sa passion

pour l'Afrique du Nord et son désir de vivre au milieu des

plus pauvres en rejoignant Béni Abbès comme il s'en

explique : «Sachant par expérience que nul peuple n'était

plus abandonné que les musulmans du Maroc »,

Là, il entend réaliser son rêve : «Je veux habituer tous les

habitants, à me regarder comme leur frère, le frère

universel… Ils commencent à appeler la maison "la frater-

nité", et cela m'est doux.» Sa vie s'organise ainsi : «De

4h30 du matin à 8h30 du soir, je ne cesse de parler, de

voir du monde : des esclaves, des pauvres, des malades,

des soldats, des voyageurs, des curieux.» Mais Charles ne

se contente pas de cette mission et se sent de plus en plus

attiré vers les contrées situées encore plus au Sud, là où

vivent les Touaregs qu'il brûle de connaître. Il part alors

début 1904, allant de campement en campement, tâchant

d'apprivoiser, de mettre en confiance, en amitié... Il

trouve enfin la paix qu'il recherchait : «Je vais rester ici,

seul européen…, très heureux d'être seul avec Jésus, seul

pour Jésus.»

Il vit dans divers ermitages à Tamanrasset qu'il construit.

«Demain, dix ans que je dis la Sainte Messe dans l'ermi-

tage de Tamanrasset ! Et pas un seul converti ! Il faut

prier, travailler et patienter,» couche-t-il sur le papier,

résumant ainsi sa vie au milieu des Touaregs.

Alors que la guerre déchire l'Europe, il

est capturé le 1er décembre 1916 par des

sénoussistes, des rebelles touaregs

luttant contre la présence française au

Sahara. Il est abattu par un de ses ravis-

seurs pris de panique après l'arrivée de

deux méharistes. Charles de Foucauld

avait 58 ans. «Quand le grain de blé qui

tombe à terre ne meurt pas, il reste seul ;

s'il meurt, il porte beaucoup de fruits,»

avait-il écrit de façon prémonitoire.

Récit d’un miracle attribué à

St Charles de Foucauld

Le cas de Charles, le charpentier de 21 ans.

Le 26 mai 2020, le pape François a signé le décret approu-

vant un deuxième miracle attribué à l'intercession du

bienheureux Charles de Foucauld, ouvrant la voie à sa

canonisation. Le 30 novembre 2016, veille du centenaire

de la mort de Charles, un charpentier de 21 ans partici-

pant à la restauration de la chapelle de l'école Saint-Louis

à Saumur, en France, est tombé de plus de 15 mètres de

haut sur un banc dont l'accoudoir lui a percé le côté

gauche. Sept médecins ont examiné le jeune homme et

ont conclu à l'unanimité que tomber d'une telle hauteur et

s'empaler provoquait généralement une « explosion »

d'organes. Cependant, l'homme se serait levé et aurait

cherché de l'aide. Après l'accident, des centaines de

personnes de la paroisse de Saumur ont prié Charles de

Foucauld d'intercéder pour la guérison du jeune homme.

Il a été hospitalisé pendant six jours et est retourné

au travail dans les deux mois sans subir d'effets

secondaires physiques ou psychologiques. Les médecins

ont conclu que ces faits ne pouvaient pas être expliqués

médicalement.

Page 2: COMMUNAUTE DE PAROISSESde Réding

Échos des jeunes

Communion:

Au mois de mai, 18 enfants de notre commu-

nauté de paroisses vont faire la 1ère des com-

munions. Ils ont commencé le cheminement

début octobre, et depuis ils se rencontrent

régulièrement en équipe afin de découvrir qui

est Jésus à travers la lecture de l'Evangile en

BD, mais ils entrent aussi petit à petit dans la

compréhension de l'Eucharistie, c'est-à-dire la

messe.

Avant de recevoir Jésus, ils ont également

vécu un moment fort pour leur vie chrétienne,

c'est le sacrement de la réconciliation, aussi

appelé "pardon" ou "confession".

Un grand merci aux parents qui ont accepté

d'animer les rencontres de caté durant

l'année.

Confirmation :

Une quarantaine de jeunes de l'archiprêtré de

Sarrebourg, dont 3 de notre communauté, se

préparent à recevoir en octobre le sacrement de

la confirmation.

Dans le programme il leur est proposé de vivre

un temps fort, celui du pèlerinage à Lourdes

organisé par "Jeunes cathos 57", un service

diocésain.

Cette année, en tout 400 jeunes Mosellans

auront la joie de faire cette belle expérience du

18 au 23 avril.

Pour soutenir l'association "Avance au large" à Sarrebourg qui aide à réduire le coût du voyage pour nos jeunes de l'archiprêtré, un repas sera organisé le dimanche 12 juin à midi, dans la salle des fêtes de Sarrebourg.

Hilbesheim : Messe des malades 2022

Chaque année « En Fraternité » le père Raja propose,

avant Pâques, le sacrement des malades à toute personne qui

souhaite le recevoir.

Le Père Raja a administré dans les règles sanitaires ce

sacrement au cours d’une messe célébrée en l’église de

Hilbesheim dimanche 6 mars.

Ce sacrement est l’un des 7 sacrements de l’église catho-

lique. Il a pour but de donner une aide spéciale au chrétien

confronté aux difficultés d’une maladie physique ou

psychique, ou de la vieillesse .

Il est le signe de la présence, de l’attention et de la tendresse du Seigneur Jésus Christ à nos côtés dans les

moments d’épreuves.

La célébration consiste en l’onction d’huile bénite sur le front et en l’imposition des mains. Consacrée par

l’évêque lors de la messe chrismale annuelle, l’huile dite des malades apporte force et douceur.

Le chrétien peut recevoir ce sacrement plusieurs fois dans la vie.

Prière de saint François d’Assise

« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,

Là où est la haine, que je mette l’amour.

Là où est l’offense, que je mette le pardon.

Là où est la discorde, que je mette l’union.

Là où est l’erreur, que je mette la vérité.

Là où est le doute, que je mette la foi.

Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.

Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.

Là où est la tristesse, que je mette la joie,… »

Réding : La croix des missions

La Ville de Réding a fait restaurer, courant Juillet

2021, par une entreprise spécialisée, une croix en

grès située à droite du clocher contre le mur du

fond de l’église. Cette croix avait été érigée en

1826 suite à une donation reçue par le conseil de

fabrique de Mme Provost Véronique, née Kromme-

nacker, originaire de Réding, mais habitant Paris à

cette époque et veuve d’un militaire de l’Empire.

Sur la partie centrale on peut lire : Missionskreuz

1906. Pourquoi cette appellation ? S’agissait-il d’ho-

norer la mémoire d’enfants rédingeois partis en

mission dans des contrées lointaines ? Non. Elle

rappelait un événement important de cette année-

là : La semaine missionnaire.

Le curé de la paroisse assisté de pères franciscains

et rédemptoristes devait organiser pour ses parois-

siens un temps fort d’évangélisation. La population

catholique était tenue d’assister à des messes,

prêches, sermons et à venir se confesser pendant la

durée de la semaine. A l’issue de celle-ci avait lieu une

procession avec croix et cierges. A la fin de la céré-

monie les crucifix étaient déposés à l’intérieur de

l’église près d’une croix. C’est pour commémorer cet

événement que cette croix fut transformée en 1906.

Hommarting : Travaux divers Les travaux de réfection de la grotte se sont achevés au début de l’année. En

effet, érigée en 1958, celle-ci avait besoin d’un bon coup de jeune. En parte-

nariat avec la commune, les travaux avaient démarré au début de l’été

2021.Un nouveau mur d’enceinte fait de gabions et de panneaux occultants

ajourés a été créé , une dizaine de bancs en gabions installés et deux arbres

ont été plantés. A plus long terme, il restera à prévoir l’étanchéité. Un office

à la grotte rénovée devrait pouvoir être proposé avant l’été .

Par ailleurs, les nombreux travaux de restauration et d’embellissement de la cha-

pelle Saint Sébastien, le plus ancien édifice du village, engagés par la municipalité

et plusieurs bénévoles sont également terminés. Il restera à présent à confier à

des professionnels la rénovation des vitraux.

En dehors de ces travaux de restauration, suite à la panne du moteur de la cloche

n°2, celui-ci sera changé et par la même occasion, un nouveau système de program-

mation/commande des cloches viendra remplacer l’ancien devenu obsolète après

avoir servi durant une quarantaine d’année.