Compte rendu de la première mission AVN au Mali - Septembre 2007

Présentation

− Participants : Thomas Granier (TG) - président AVN Zalissa Koula (ZK) - représentante AVN structure Burkina Faso Moussa Bonkian (MB) - représentant des maçons VN du Burkina Faso

− Période : du 7 au 22/09/07

− Cadre : AVN est présente depuis 2 campagnes au Mali (2 VN bâties en 2006 et 22 en 2007) au travers du travail de maçons VN burkinabés. Elle participe à divers partenariats et soutiens de projet dans ce pays. La nécessité et l'urgence de cette première mission par une équipe de la structure AVN étaient apparues depuis plusieurs mois (de nombreuses demandes de formations et d'ouvertures de chantiers étaient en attente, de nombreux contacts étaient impératifs). Une première mission, prévue en mai 07 avait été annulée pour des questions de disponibilité de TG et dans l'attente du passage d'une saison des pluies sur les bâtiments construits permettant une meilleure validation technique.

− Financement : en sus des dépenses de transport des membres de la mission, une somme de 600€ en numéraire avait été mise à disposition des missionnés par AVN- une avance de 1000 € a été verser à AVN par AIADD à décompter des 20% attendus sur le gros oeuvre du centre de santé à construire à Pélengana (Ségou)

Objectifs

− 1 : retrouver et rencontrer les apprentis ayant entamé une formation lors des chantiers des 2 campagnes écoulées. Juger de leur motivation et engagement, de leur disponibilité et de leur niveau afin de préparer, au vu de ces éléments, la poursuite de leur formation. Rappelons que le programme « des Toits de Terre au Sahel » souffre au Mali, plus encore qu'au Burkina, d'une fracture importante entre les demandes d'ouvertures de chantier et les capacités de leur réalisation (aucun maçon malien formé à cette date)

− 2 : rencontrer de nouveaux apprentis prêts à intégrer de futures formations (idem point 1)

− 3 : rencontrer les représentants locaux des partenariats mis en place – Tapama (France) – Africabougou (Italie) – Intervida (Espagne). Affiner les échanges avec ceux-ci autour de leurs attentes, engagements et projets ainsi qu'autour de la stratégie et du modèle de développement attendus par AVN.

− 4 : visiter, contrôler et valider les divers bâtiments déjà construits, préparation d'un rapport technique

− 5 : accompagner 2 membres de l'association AIAD (France), Mesdames Sylvie Maurand et Flora Genel dans leurs démarches tant institutionnelles que techniques ayant pour but la construction d'un centre de santé (technique VN) dans le quartier de Pélengana à Ségou

− 6 : rencontre de futurs clients du concept technique ou partenaires du programme

− 7 : rechercher la rencontre d'éventuels collaborateurs d'une future structure AVN-Mali

DéroulementZone de Ségou

− le 7/09 : Les participants venus de France (TG) et du Burkina Faso (ZK-MB) se sont retrouvés à Ségou Moussa Bonkian Zalissa Koula

− le 7/09 : L'équipe AVN (E-AVN) a rencontré les membres de AIADD (E-AIADD) chez leur logeur et partenaire à Pélengana, discutions autour de divers problématiques concernant leur partenariat et des questions institutionnelles liées à la construction d'un établissement relevant des autorités municipales et ministérielles (santé)

− le 8/09 : Présentation par E-AVN et E-AIADD du projet technique de construction aux partenaires de AIADD et au maire de Pélengana et sa délégation – visite du site envisagé pour la construction

− le 8/09 : Rencontre/dîner avec la directrice de la section malienne de Intervida (E-IVD), Mme Eva Diaz Uger, et le responsable programme M. Damien Buchon. Au cours de cette première rencontre entre les partenaires (un protocole de partenariat avait été signé en juin 07) les 2 équipes ont lié des relations chaleureuses augurant d'un terrain de compréhension mutuel de qualité. E-AIADD participait à ce repas et E-IVD a proposé ses conseils quant à la suite de la mise en place du projet de centre de santé. L'expérience et les réseaux de ces «locaux» ont été acceptés avec intérêt. E-IVD offre de loger E-AVN (belle maison au bord du fleuve Niger)

− le 9/09 : Repas de E-AVN chez Mme Jean, cliente française du concept VN (2 VN en 07), à Pélengana et visite du bâtiment (hors de la ville). Chantier satisfaisant mais il n'y a pas eu de coordination quant aux formations et les apprentis restent introuvables.

− le 10/09 : Rencontre avec M. Boubacar Doumbia de l'association N'Domo à Pélengana. Ce Monsieur, dont la rencontre nous a été suggérée par Mme Coumba Touré, directrice de Ashoka Sahel, a créé une coopérative d'artistes teinturiers dans laquelle a été instauré un système de suivi au long terme, tant technique que moral, des apprentis et ce en mêlant des systèmes sociaux anciens de la société bambara et d'autres s'apparentant plus à des systèmes sociaux «modernes». Son témoignage et ses explications (voir CR de visite) nous apportent des idées intéressantes et novatrices sur nos propres actions de formation. Le centre artisanal du N'domo est un bel édifice construit en murs de terre soutenus par une structure en béton armé. M. Doumbia se montre intéressé par le concept VN et parle de faire construire une extension dans le centre.

− le 11/09 : Réunion de travail entre E-IVD, E-AIADD et E-AVN afin d'aider E-AIADD à mieux cerner les diverses problématiques auxquelles est confronté le projet du centre de santé. Les conseils de E-IVD guident E-AIADD.

− le 11/09 : Rencontre dans les bureaux d'IVD de Mr Souleyman Traoré, association Alphalog (association pour la promotion libre de l'habitat et du logement), ils produisent, entre autres choses, du BTC. Recherche de synergie entre nos actions.

− le 12/09 : Travail avec E-IVD sur des plans de bâtiments agricoles (séchage et conditionnement de oignons, stockage du fonio, etc)

− le 13/09 : Visite sur aux bâtiments construits par IVD à Farako (en face de Ségou sur l'autre rive du Niger), contrôle technique ok et rencontre des apprentis de ce village. A noter une particularité géologique d'importance, dans toute la zone de Farako il est impossible de trouver

de pierres (terrains alluvionnaires). Cela pose un vrai problème technique pour la construction des fondations de futurs bâtiments. Une réflexion technique sur ce sujet est engagée entre TG et Damien Buchon (IVD)

centre Intervida / Farako / Ségou

− Visite sur le chantier école de l'association Fisa Mali qui travaille sur les mêmes problématiques que AVN. Constat mitigé : sans doute trop de technicité, beaucoup de mélange de techniques différentes (BTC, arcs, contreforts verticales, coffrages, utilisation de chaux, etc), et des coûts de production et durabilité peu convaincants, la perception de E-AVN est sans doute par trop monolithique !....

− le 14/09 : Visite de l’espace Bajidala, centre d’art contemporain à Ségou construit en terre et structure bois ou béton. Présentation de AVN et du programme aux responsables

− le 15/09 : Présentation de AVN et du concept (diaporama numérique) aux artisans et apprentis du N’domo, rencontre de Mr Sokona Boubacar (économiste) qui se présente comme un futur client dans la zone de Kati

− le 15/09 : Rencontre avec les partenaires maliens de E-AIADD (qui elles sont reparties en France) qui se plaignent d'une mauvaise concertation entre eux, nous proposons de transmettre leurs doléances. Puis rencontre avec E-IVD afin de préparer et planifier les chantiers futurs de IVD.

Zone de Bamako, cercle de Kati

− le 16/09 : Départ pour Bamako, rencontre dans la capitale avec les membres de l'association franco-canadienne Cibara qui ont de nombreux projets différents autour de la création d'un éco-village et qui sont des clients/partenaires potentiels

− le 16/09 : Nouvelle rencontre avec Mr Sokona Boubacar qui nous présente Aminata Traoré, jeune architecte malienne installée à Bamako et qui travaille conjointement pour Fisa Mali et pour la toute nouvelle ESIAU (école supérieure architecture et d'urbanisme de Bamako) dont elle est l'assistante du directeur, Mr Abdoulaye Deyoko. Son intérêt pour AVN est évident et nous parlons rapidement de collaborations possibles. Ils nous conduisent à Kati où nous avons rendez vous avec l'équipe de Africabougou (ABG)

− le 16/09 : Rencontre avec Mr Pascal Kané et Mr Moctar Diallo qui représentent Africabougou (Italie) avec qui AVN construit depuis 2 ans un partenariat technique autour du concept VN-BA dans la zone de Kati. Nos hôtes, qui forment l'équipe opérationnelle de Africabougou au Mali (E-ABG), nous conduisent tout d'abord chez des soeurs catholiques, amies et soutiens de ABG qui nous prêtent, pour la durée de notre séjour, un véhicule 4x4 qui s'avérera indispensable pour la visite des chantiers dans les villages éloignés. Puis ils nous conduisent dans une villa, bâtiment loué à l'année par ABG sur Kati, ou nous trouvons un confort bien venu. Mr Pascal Kané nous invite à partager un repas en famille, à noter que Monsieur Kané nous a accueilli pour des repas en famille pendant tout le séjour à Kati

− le 17/09 : Départ pour les villages de N'golofala et N'tieany, en compagnie de E-ABG, afin de contrôler les bâtiments construits et de rencontrer les apprentis VN.A N'golofala nous attend un très beau dispensaire (concept VN-BA) bâti sur les plans de Emilio Caravatti (architecte italien et président de ABG) dans lequel un groupe de jeunes circoncis passe une période d'initiation coutumières de plusieurs jours. Ces enfants apprécient la fraîcheur

du lieu qui est facilement perceptible lors de la visite. les jeunes circoncis/initiés de N'golofala

A N'tieany, où ont été construites des maisons pour les maîtres d'écoles, plusieurs problèmes techniques (voir rapport technique) sont patents. Ils ne menacent pas les structures mais demanderont de rapide réfections. Dans ce village, où aucun apprenti n'est présent, il est facile de constater que la population n'est pas impliquée dans le programme.

− le 18/09 : Visite d'un bâtiment VN à Kati qui à été la première réalisation du programme au Mali. Cette maison, composée de 2 voûtes, a été offerte par un groupe de français à leur ami malien. Des maçons VN burkinabés sont venus la construire en 2006 permettant, dans le même temps, le début de la formation d'un maçon malien. Une fois les 2 voûtes achevées et le financement alloué par les donateurs épuisé, les maçons burkinabés sont retournés au pays laissant le soin de la construction des contreforts et de la finition de la toiture à leur apprenti. Celui-ci, trop peu expérimenté, commettra d'importantes erreurs dans la finition de la toiture (voir rapport technique) qui entraîneront la chute d'une des 2 voûtes. Ce « scénario » met en lumière les problématiques liées au don et à la déresponsabilisation des différents acteurs autour de « l'objet » donné. Ce bâtiment, emblématique de l'arrivée du programme au Mali, devra être reprisNous rencontrons sur le site le maçon qui a commencé sa formation en 2006 et qui a commis les erreurs techniques, il n'est pas sûr de vouloir continuer la formation, le salaire proposé (celui d'un apprenti) étant certainement bien inférieur à celui qu'il perçoit comme maçon expérimenté dans la construction traditionnelle (ciment, tôles). Cet exemple montre l'importance de la sélection des apprentis ; une trop grande expérience technique éloigne financièrement le maçon et à l'inverse, un manque d'expérience allonge de beaucoup le temps de l'apprentissage. Il est possible d'envisager d'offrir à certains maçons expérimentés des bonus sur salaire afin de les attirer plus sûrement vers la formation mais ceci peut induire des jalousies entre les apprentis, pas simple !Visite à l'ESIAU (école supérieure architecture et d'urbanisme de Bamako) où nous retrouvons Aminata Traoré et où nous faisons la connaissance de Mr Abdoulaye Deyoko le directeur de l'école. Nous présentons, illustré par un diaporama, le programme TTS.Visite à l'association Fisa Mali (FM)dont nous avons déjà visité le prototype-école à Ségou et présentation du programme de AVN. A noter qu'il existe une « concurrence naturelle » entre les programmes de AVN et de FM et que la présentation faite par TG à sans doute été par trop « cassante ». Il faudra veiller à l'avenir à se positionner avec des « concurrents » dans une approche plus « tolérante » et cela même si de fortes contradictions dans les différents programmes sont perceptibles

− le 19/09 : En compagnie de Moctar Diallo, visite des voûtes (6) construites par l'association Tapama et par son président Mr Prudor dans le village de Nafadji (zone de Kati). Très beaux bâtiments (voir rapport technique), nous faisons une présentation (avec l'ordinateur) du programme à quelques délégués du village et rencontrons 2 des 3 apprentis qui nous expriment leur désir de continuer rapidement la formation.

− le 20/09 : Visite des salles de classe construites par ABG dans le village de Djindjinébougou (voir rapport technique) en compagnie de E-ABG (4 heures de piste A/R). Rencontre avec les délégués du village et de la chefferie et discution positive autour de la poursuite des apprentissages (les apprentis sont aux champs)

2 salles de classe / Djindjinébougou / Africabougou / concept VN-BA

− le 21/09 : En compagnie de Moctar Diallo, rencontre avec le Docteur Oumar Diabaté, vétérinaire à Sanankoroba (zone de Kati) et représentant de l'association Viva San (client/partenaire). Ce Monsieur, qui nous reçoit avec beaucoup d'attention, nous fait visiter plusieurs sites sur lesquels il (à l’instar de l'association Viva San) désire faire construire. Discution préparatoire quant aux futurs chantiers et au recrutement d'apprentis dans la zone.

− le 22/09 : Départ le matin ZK et de MB pour le Burkina (leur voyage de retour ce passera sans encombre). Rendu à E-ABG des clés de la maison d'accueil et aux soeurs de la voiture puis retour sur BamakoA l'invitation de FM et de Mr Abdoulaye Deyoko et en leur compagnie, visite dans un quartier excentré de Bamako ou FM à un projet important (projet Sotuba) de reconstruction en partenariat avec les populations locales (actuellement un recensement des besoins est en cours), présentation aux délégués de la commune de la technique VN et du programme TTS . Propositions croisées (FM / AVN) pour la future construction d'un bâtiments prototype VN dans le quartier

− Dans la nuit du 23 au 24/09 retour de TG sur la France

Résultats

− 1 : les apprentis, dont les 3 partenaires (Tapama, ABG, IVD) ont permis le début des formations, ont été retrouvés ou contactés dans leur grande majorité et ceux qui ne l'ont pas été ne présentaient pas un engagement suffisant pour la suite. Leur envie de persévérer est patente. Leur disponibilité est avérée, en accord avec leurs différents tuteurs dans les villages, et ce malgré la proximité de la période des récoltes. Le maçon-apprentis de Kati (voir 18/09) reste dans l'expectative quand à la poursuite de sa formation (a suivre)

− 2 : le recrutement de futurs apprentis en collaboration avec les clients et partenaires est facile, il faut d'ailleurs privilégier la poursuite des formations déjà entamées et se méfier d'un trop grand nombre d'apprentis à faire évoluer simultanément

− 3 : la rencontre avec les équipes de nos associations partenaires, particulièrement ABG et IVD se sont révélées largement constructives quand à la validation des bâtiments déjà construits, à la cohérences des objectifs communs et à la mise en place de la poursuite des collaborations, à noter l'accueil chaleureux et l'hospitalité reçus tant à Ségou qu'à Kati

Moctar Diallo /ABG-AVN Équipe Intervida au crépissage Damien Buchon / Intervida

−

− 4 : dans leur grande majorité les bâtiments déjà construits se sont révélés satisfaisants, surtout si l'on tient compte du fait qu'ils ont tous été construits sans aucun contrôle de la part de AVN en 2006 et 2007.Les problèmes techniques (voir rapport technique) recensés ne présente pas de problématique structurelle grave

− 5 : le soutien de AVN à AIADD dans son projet de centre de soutien à Pélengana à été constructif grâce à des mise en contacts (avec IVD particulièrement) qui permettront sans doute sa réussite à terme (chantier prévu en 10/08)

− 6 : les rencontres avec de futurs clients et partenaires ont été fructueuses et corroborent largement l'impression ressentie de larges possibilités de diffusion du programme au Mali

− 7 : Mr Moctar Diallo qui travaille pour notre partenaire IVD et qui vit à Kati (15 km de Bamako) a été pressenti comme un collaborateur de qualité pour la futur entité AVN-Mali. Suite à des prises contact (ultérieurs à la mission) avec Emilio Caravatti, Président de IVD, il a été conclu que Mr Diallo partagerait son temps de travail entre les 2 organisations partenaires.

Conclusion

L'importance pressentie de cette mission s'est largement confirmée et cette confirmation en appelle une autre : le Mali est un pays où le programme à les moyens de trouver largement et rapidement sa place. Sans doute plus encore qu'au Burkina Faso, la société malienne semble attendre et vouloir s'ouvrir largement à la technique VN et à ses multiples possibilités. Rappelons les chiffres de la pénétration du programme - en 2006 construction de 2 VN - en 2007, 22 VN - et le planning de 2008 en prévoit une bonne cinquantaine et ceci sans qu'aucune action de sensibilisation de terrain n'ait été réalisée. Plusieurs raisons tant économiques que culturelles peuvent expliquer cet engouement mais nous réserverons leurs analyses aux personnes ayant autorité en ces matières. Ce constat, largement positif, nous amène à 2 obligations :

- AVN doit rapidement et en profitant des expériences acquises au Burkina, mettre en place une structure « AVN-ML » de gestion, d'organisation et de contrôle du programme.

- De plus, l'importance à venir de cette structure venant s'ajouter au programme originel développé au Burkina nous obligeront à un recentrage de nos activités sur ces 2 pays. Il est clair, au regard de nos moyens actuels, qu'une trop rapide dispersion du programme dans les pays d'Afrique de l'ouest serait inefficace et sans doute dangereuse. Ce recentrage ne sera pas facile au regard des attentes présentes dans d'autres pays (Sénégal, Niger, Guinée, ...)

Financièrement les partenariats mis en place au Mali, aussi constructifs soit-ils dans leurs engagements de terrain (formation, sensibilisation, exemplarité), n'ont pas de base de rétribution et aucune compensation ou soutien financier ne sont prévus des partenaires vers AVN.Hors il est clair que ceux-ci doivent soutenir financièrement le programme. Une participation aux coûts importants de son fonctionnement est nécessaire et justifiée tant par le travail accompli en amont pour sa mise en place (9 ans) que par l'implication de tous dans la "vision" de ce qu'il doit devenir dans le futur et ce avec les moyens que cela implique.De plus les importantes économies réalisées sur les bâtiments construits légitiment et absorbent largement le modeste surcoût de ces implications financières (de 10 à 20% des coûts du gros oeuvre).Il faudra donc, au cas par cas, revenir vers ces partenaires de qualité pour les sensibiliser à cette problématique et les engager à accepter des modifications aux termes oraux ou écrits des contrats passés.

A noter le besoin pour la future AVN-Mali et pour les missions à venir, d'un véhicule permettant le travail de terrain. Des contacts sont en cours avec Africabougou pour un éventuel achat commun.

Une prochaine mission de TG au Mali est prévue en février 2008 principalement afin de pérenniser les contacts pris, de renforcer la structure AVN-ML naissante et de contrôler les formations et les chantiers en court.

Pour AVN, Thomas Granier - le 21/11/07