7/23/2019 Correct° partiel blanc S1

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Proposition de Correction du partiel blanc

Analyse de publicité

1) 

Les différents éléments composant le visuel :- visuel > photos (une gare, une bouteille…) / éléments graphiques (les fruits, flash-

code)

- rédactionnel > accroche jeu de mots (le rush des grands départs)

> message-bandeau du ministère de la Santé au bas- logo-signature > oasis + be fruit (be free)

3) Fonctions du langage utilisées

- référentielle : hall de gare, train, objets du quotidien (bouée, raquette, journaux..) /

 bandeau flash-code avec adresse facebook, la bouteille d’Oasis

- poétique : jeu de mots, humour, personnification des fruits tropicaux..

- expressive : la bouteille d’Oasis

- conative : « votre santé, mangez… »

4) Messages émis et effets produits

. En période de grandes vacances, buvez Oasis tropical et vous vous sentirez libres

. Ayez l’esprit jus de fruit, c’est « fun »

. Avec Oasis, vous vous dépaysez, vous quittez la ville

humour, mouvement dynamique d’évasion, originalité (cf le chapeau weston connoté,

vacances sous les tropiques)

2)  Schéma de la communication

Message : Buvez Oasis et vous vous sentirez libres

Emetteur

Oasis

Destinataire

Lecteur

lambda

Référent

Hall gare,

train

Code

Texte, image,

codesinformatiques

Canal : affiche, visuel

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 Analyse de graphiques :

 Présentation

Les documents présentés traitent de la situation économique et des pratiquesalimentaires concernant la filière bio. Ils sont issus du 11

ème baromètre BIO/CSA de

2014.

Ils se présentent sous diverses formes, camembert à secteurs, anneaux, polaire,schémas pictographiques et barres empilées.

Si l’on observe une évolution notable de la croissance de cette filière sur les dernièresannées, on pourra aussi s’intéresser aux motivations spécifiques qui prévalent auprès

des consommateurs.

 Lecture commentée

Le commerce bio a vu le nombre d’acteurs multiplié par 2,5 et son chiffre d’affaires par 4 en 11 ans. On constate que le décollage est effectif entre 2007 et 2011 puis que

la hausse marque le pas entre 2011 et 2012 .

Dans le détail, le nombre d’exploitations, sur ces deux périodes, après avoir progressé

de 93%, chute à 6%. La tendance est très comparable pour les préparateurs et

distributeurs (on passe de 90% sur la période 2007/2012 à 2% entre 2011 et 2012).

Si l’on considère l’origine des produits, on constate que les ! sont issus de

 productions locales, ce qui est conforme à l’éthique écologique ; on consomme ce que

l’écosystème produit sur place et non selon une culture alimentaire très variable selon

les classes sociales, l’éducation, les réflexes consuméristes..

Deux graphiques rendent compte du comportement alimentaire des consommateurs.L’un positionne sur un polaire les raisons qui justifient le choix du bio. Les trois

 principales concernent des préoccupations de santé, de qualité des produits etd’écologie. On peut penser que le phénomène bio est récent, que la culture bio est

naissante dans les représentations mentales. En effet, les raisons éthiques, le respect dela vie animale, le souci d’une hygiène alimentaire vis à vis des enfants n’arrivent

qu’au second rang des motivations. Pourtant, ce sont ces raisons qui conditionnent en

 profondeur la transmission d’un pacte écologique aux générations à venir.

Le second tend à mesurer la fréquence de la pratique alimentaire bio sur un mois.

On observe une hausse du nombre de consommateurs en 3 ans dans toutes lescatégories (pratique quotidienne, hebdomadaire, mensuelle…).

Plus de gens mangent bio, son intérêt gagne dans les esprits puisqu’un quart seulement

de la population déclare n’en jamais manger et près d’1/5 d’entre eux en consomme

une fois par semaine.

Conclusion critique

Ces différents graphiques sont clairs et restituent un ensemble d’informations surdivers plans (production agricole, origine des produits, habitudes alimentaires..).

La variété des formes participe à une bonne lisibilité, et les données se comprennent

facilement. Elles sont significatives de l’évolution de la situation sur une quinzained’années, et gardent leur pertinence avec celles des années les plus récentes.

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Sur le fond, on observe une avancée certaine, régulière, plus mesurée sur les deux

dernières années.

Est-ce le prix du bio qui joue toujours le rôle de frein ? Ou bien le fait que le bio

 bouscule des attitudes alimentaires ataviques, demande une réflexion globale sur la place de l’alimentation dans notre mode de vie ?

Manger des produits de saison, consommer moins de viande, diminuer le sucre et lesel, favoriser le commerce local, réduire ses besoins , tels sont quelques enjeux qui se

dessinent derrière une prise de conscience aujourd’hui installée et qui demande uneharmonisation tant politique qu’économique.

Si c’est localement que doit s’opérer la transformation des pratiques, c’est à l’échelle

 planétaire que s’observe l’impact de ce processus sur notre avenir.