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Couche limite atmosphérique. Micrométéorologie. Exemples de paramétrisations de K. Contraintes:. K=0 quand il n ’y a pas de turbulence K=0 au sol (z=0) K augmente avec l ’intensité de la turbulence (TKE) K dépend de la stabilité statique K dépend de la direction (un vecteur) - PowerPoint PPT Presentation
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Couche limite atmosphérique
Micrométéorologie
Exemples de paramétrisations de KExemples de paramétrisations de K
Contraintes:
K=0 quand il n ’y a pas de turbulence
K=0 au sol (z=0)
K augmente avec l ’intensité de la turbulence (TKE)
K dépend de la stabilité statique
K dépend de la direction (un vecteur)
K est non négatif (analogie moléculaire)
Exemples de paramétrisations de KExemples de paramétrisations de K
Il y a trois approches dans le choix de K
Donner des valeurs de K constantesExemple ???
Spécifier des profils verticaux de K(z)Exemple ???
Simuler la dynamique de KExemple ???
Transparent: Stull page 209
Théories en K «différentielles»Théories en K «différentielles»
Les méthodes de K décrites jusqu ’à maintenant utilisent une formulation algébrique de K. Il existe des méthodesplus élaborés nécessitant d ’une équations différentiellede plus pour la détermination des K
Théories en K «différentielles»Théories d’ordre 1 1/2Théories en K «différentielles»Théories d’ordre 1 1/2
La théorie cinétique des gaz montre que le coefficient de viscosité est relié simplement au libre parcours moyen et à la vitesse thermique moléculaire moyenne uT par
Ta u Ta u
De façon analogue KM peut s ’exprimer par :
1 2M M T MK a l u a l e 1 2M M T MK a l u a l e
122
3Tu e
122
3Tu e
a Constante à déterminer
Longueur de mélange turbulent à paramétriserMl
Énergie cinétique turbulente moyenne Introduction d’une équation pronostique
e
Théories en K «différentielles»Exemple de fermeture d’ordre 1 1/2 : COBELThéories en K «différentielles»Exemple de fermeture d’ordre 1 1/2 : COBEL
, , , , , ' , , ,
0 0
1v
e u v gu w v w w ew p w
t z z z
, , , , , ' , , ,
0 0
1v
e u v gu w v w w ew p w
t z z z
' ' 1
p p
w Q LC u
z z T c z c
' ' 1
p p
w Q LC u
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w uuf v v
z z
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g
w uuf v v
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' '
g
w vvf u u
z z
' 'w qqC u
z z
' 'w qq
C uz z
K C l e K C l e w Kz
w Kz
0.4C 0.4C
e
p w ew e K
z
e
p w ew e K
z
1
2e e MK a l e
12
e e MK a l e
Les flux
Transport et corrélation de pression
( )
2 2M M
e
K z z K zzK z
( )
2 2M M
e
K z z K zzK z
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : ParamétrisationCOBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
0.064
la longueur de dissipation
s'obtient en supposant que 0 et
termes de production mécanique et
thermique
c
l
a e t
0.064
la longueur de dissipation
s'obtient en supposant que 0 et
termes de production mécanique et
thermique
c
l
a e t
32a c
el
3
2a ce
l
Terme de dissipation (Delage, 1974)
0.4 est la constante de Von Karman et1
L la longueur de Monin Obukhov locale
1 si on considere seulemet les termes de cisaillement
kla kL
0.4 est la constante de Von Karman et1
L la longueur de Monin Obukhov locale
1 si on considere seulemet les termes de cisaillement
kla kL
, , , , , '
0v
u v gu w v w w
z z
, , , , , '
0v
u v gu w v w w
z z
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
Longueur de Monin - Obukhov
3, , , , *
, ' , '
0 0
1
v v
u v uu w v wz z kL
g gw w
3, , , , *
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0 0
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1v
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t z z z
2*
*0
uL
gk
2*
*0
uL
gk
Dans la couche de surface
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
s'obtient en supposant que 0 et
termes de production mécanique et
thermique
a e t
s'obtient en supposant que 0 et
termes de production mécanique et
thermique
a e t
Terme de dissipation(Delage, 1974)
0.4 est la constante de Von Karman et1
L la longueur de Monin Obukhov locale
1 si on considere seulemet les termes de cisaillement
kla kL
0.4 est la constante de Von Karman et1
L la longueur de Monin Obukhov locale
1 si on considere seulemet les termes de cisaillement
kla kL
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33
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0v
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COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
Longueurs de mélange , , , ,M ql l l l l , , , ,M ql l l l l
Cas stable 0.84
1 5 0.16
1 41 0.16
n
n
l l l Ri Ri
l l l Ri Ri
0.84
1 5 0.16
1 41 0.16
n
n
l l l Ri Ri
l l l Ri Ri
Cas neutre1n
kzl
kz G
1n
kzl
kz G
14104 fVG g et sin2f
min ,up down
up down
l L L
l L L
min ,up down
up down
l L L
l L L
Cas instable
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
Longueurs de mélange : cas instable
, ,
, ,
( ) ( ) ( )
( ) ( ) ( )
up
down
z L
up z
z
down z L
gL z z dz e z
gL z z dz e z
Lup et Ldown correspondent au déplacements vers le hautet vers le bas d ’une bouffée jusqu ’à la perte totale de son énergie cinétique
Les longueurs de mélange doivent être fonction de cesdéplacements. Une valeur «moyenne» entre ces deux limites dedéplacement.
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
Longueurs de mélange : cas instable
L’avantage de cette méthode c’est de permettre de prendre en considération l’effet des régions stables dans la définition de lalongueur de mélange.
Par exemple: l ’épaisseur de la couche instable zi, limitée au sommet par unecouche stable, est la longueur caractéristique de la turbulence :
, ,
, ,
( ) ( ) ( )
( ) ( ) ( )
up
down
z L
up z
z
down z L
gL z z dz e z
gL z z dz e z
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
Longueurs de mélange : cas instable
, ,
, ,
( ) ( ) ( )
( ) ( ) ( )
up
down
z L
up z
z
down z L
gL z z dz e z
gL z z dz e z
Dans la couche de surface la longueur caractéristique vasêtre z, la distance à la surface.
À la surface c ’est évident que Ldown est nul et égale à z au four et à mesure qu ’il s ’éloigne de la surface.
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
Longueurs de mélange : cas instable
, ,
, ,
( ) ( ) ( )
( ) ( ) ( )
up
down
z L
up z
z
down z L
gL z z dz e z
gL z z dz e z
Dans une couche où
cstz
z cst
121
2Bl e
z
121
2Bl e
z
Échelle de flottabilité
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)Longueurs de mélange : cas instable
cstz
up downl L L up downl L L
min ,up downl L L min ,up downl L L
Choix de la rélation fonctionnelle entre les longueurs de mélange et Lup et Ldown et
On choisi le minimum des deux distances parce qu’il est bien connu que proche d ’un mur rigide le coefficient de diffusion est proportionnelle à la distance au mur. Dans l ’atmosphère une inversion joue le rôle d ’un mur. D ’où le choix de la valeur minimum entre Lup et Ldown comme longueur de mélange pour la diffusion.
Dans le cas de la longueur de dissipation le comportement est différent. On observe que la hauteur de la couche a une influence sur la taille des tourbillons les plus énergétiques et ceci même tout proche de la surface (ou inversion). D ’ou le choix de la moyenne géométrique pour l la longueur de dissipation.
COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)COBEL. Fermeture d ’ordre 1.5, locale de type K : Paramétrisation (cont)
Longueurs de mélange : cas instable
min ,up down
up down
l L L
l L L
min ,up down
up down
l L L
l L L
, ,
, ,
( ) ( ) ( )
( ) ( ) ( )
up
down
z L
up z
z
down z L
gL z z dz e z
gL z z dz e z
Lup et Ldown correspondent au déplacements d ’une boufféejusqu ’à la perte totale de son énergie cinétique
Avantages des fermeture 1 1/2Avantages des fermeture 1 1/2Hypothèse : Toutes les caractéristiques internes de la turbulence sont représentes par l ’énergie cinétique turbulente moyenne e et par la longueur de mélange turbulente lm,Kolmogorov (1942), Prandtl, (1945), Obukhov (1946), Monin (1950).
• Bonne simulation de la formation de la couche de mélange bien comme le changement de la couche limite pendant la journées
• Simulation de la formation du courant jet nocturne de bas niveau, ainsi que la formation de la couche stable nocturne proche de la surface
• Bonne simulation de l’intensité de la turbulence : augmentation pendant le jour et diminution drastique pendant la nuit
Fermeture e-Fermeture e-
Ce type de fermeture élimine l ’arbitraire des coefficientsl en ajoutant une équation pronostique pour le taux de dissipation
____, 2____ ____ ____
, , , , , ,1 2 3
u v g uC u w v w C u C
t e z z e z e
____, 2____ ____ ____
, , , , , ,1 2 3
u v g uC u w v w C u C
t e z z e z e
1
2
3
1.44
1.0
1.92
c
c
c
____,
4
Kw
c z
____,
4
Kw
c z
4 1.3c
2
5c eK
2
5c eK
32e
l
32e
l
5 0.3c
Fermeture locale de deuxième ordreFermeture locale de deuxième ordre
Transparent Stull pp 221-222
Idées à la base de la paramétrisation:
• Diffusion contra-gradient • Retour à l ’isotropie • Dissipation proportionnelle
à l ’intensité de la turbulence
(1, 2, 3, 6)
(4, 5)
(7, 8)
Fermeture locale de deuxième ordreFermeture locale de deuxième ordre
Fermeture locale de deuxième ordreFermeture locale de deuxième ordre
Fermeture non localeFermeture non locale
Modèles non locaux
Théorie spectraleThéorie transiliente
de la turbulence
Forme discrète Forme continue
Théorie transiliente de la turbulenceForme discrèteThéorie transiliente de la turbulenceForme discrète
1
, ( )N
i ij jj
t t c t t t
1
, ( )N
i ij jj
t t c t t t
i
Théorie transiliente de la turbulence: forme discrèteThéorie transiliente de la turbulence: forme discrète
Théorie transiliente de la turbulence: forme discrèteThéorie transiliente de la turbulence: forme discrète
Théorie transiliente de la turbulence: forme discrèteThéorie transiliente de la turbulence: forme discrèteContraintes physiques
Conservation de la masse de l ’air1
1N
ijj
c
1
1N
ijj
c
Conservation de du traceur1
1N
iji
c
1
1N
iji
c
Traceur : n ’importe quelle quantité scalaire : vapeur,eau, température, composante de vitesse
Théorie transiliente de la turbulence: forme discrèteThéorie transiliente de la turbulence: forme discrète
Contraintes numériques
Le schéma est absolument stable
Il y a cependant une contrainte numérique pour empêcher des solutions oscillantes. Les valeurs propresde la matrice transiliente doivent être non négatifs.
Théorie transiliente de la turbulence: forme discrèteThéorie transiliente de la turbulence: forme discrète
Calcul des flux
1 1
( )k N
ij i ij ji j k
zw k c c
t
1 1
( )k N
ij i ij ji j k
zw k c c
t
1
( ) ( 1)N
kj i jj
zw k w k c
t
1
( ) ( 1)N
kj i jj
zw k w k c
t