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Curs 2 Sylvie Steinberg

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Curs 2 Sylvie Steinberg, le 08.12.2015

La grande histoire des femmes ne contient pas la notion du genre. Le projet initial destine à

mettre en évidence l’existence des femmes en histoire ne prend pas en cons les débats qui étaient

aux Etats Unis sur le genre. Les éditrices de ce volume, Natalie Zemon Davis, on cherche à utilise à la

fois des différents concepts. Elle était dans un débat de l’utilité du concept du genre. Il s’agit de n

étudier pas les femmes comme un group isole , mais par rapport aux autres groupes, dans une vision

globale, d’analyser les rapports hommes-femmes.

Le mot genre a été introduit en histoire de façonne fracassante par l’historienne américaine,

Joan Scott. Elle est connu à partir du fait que tous les travaux en sociologie, anthropologie du genre

avait des notes de référence par rapport à Joan Scott. Elle a prononcé un discours devant la Grande

Association des historiens Américains, suivi par un article, « Genre une catégorie utile d’analyse

historique ». Elle est une historienne du social, a travaillé sur le travail des femmes et sur la division

sexuée du travail avec des outils issus de la pensée marxiste, sur la question des classe sociales – une

domination, la domination économique-sociale des hommes sur les femmes qui ressemblait à une

domination des classes – rapports sociaux sexués. Cette vision matérialiste persiste jusqu’ ajour hui =

la théorie du genre. Mais on a plusieurs courants de pensées, opposes parfois.

Scott étudie d’autres rapports, les sources de cette théorie du genre, la théorie française

(Michel Foucault, Jacques Derrida, Julia Kristeva, Ule Trigaray). On a une circularité intellectuelle des

pensées entre les courants français et ceux américains. Tous ces penseurs – l’importance accordée

au discours et à la construction historique et linguistique du discours, et a la manière dont le discours

agit sur le réel. Il s’agit aussi de déconstruire le discours, de montrer la logique de la construction du

discours et la manière dont il peut imposer des discriminations et une naturalisation des choses.

Joan Scott commence à s’intéresser comment ces rapports s’incarnent dans les discours sur

les femmes. Elle s’intéresse sur les discours sur les ouvrières ou on a une discrimination du langage

en ce qui concerne les femmes qui déterminent d’autres disséminations sur le terrain du travail.

Il ne s’agit seulement des rapports sociaux, mais des relations de pouvoir qui servent aux

d’autres rapports de pouvoir entre classes sociales, groupes différents. La définition donnée par Joan

Scott montre que ce qu’est définitoire pour le genre sont les représentations. En plus, il y a les

symboles et l’interprétations de ces symboles, une interprétation en suivant l’histoire. Elle retient

aussi la dimension de l’intériorité du genre. Cette proposition de Scott a été affirmé avec une force

théorique et a suscité plusieurs débats.

On lui a reproché de s’aventurer seulement sur le terrain historique. Deuxièmement, en

utilisant le mot genre, on met sur un pied d’inégalité les hommes et les femmes.

Le mot genre est une invention, mais a une généalogie. Le mot a été inventé par le

psychanalyste, Robert Stoller, qui a écrit en 1968, « Gender and sexe » - les dysphories de genre = les

cas où il n y a pas de coïncidence entre le sexe d’un individu et le sexe social. Robert Stoller a eu a

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soigne des cas d’individus transsexuels et a utilisé le mot genre pour le fait qu’il y a avait des

personnes ayant un sexe ambigu pour une identité sociale et psychologique. Ce terme a voyage en

Europe, en 1972, a été utilisé par Ann Oakley d’un un sens de sexe social.

Les britanniques ont eu tout une pensée sur le tournant historique du mot genre et une

réaction très forte vis-à-vis de l’abandon d’une façonne certaine de faire l’histoire. Cette histoire

sociale anglaise avait une acception marxiste et était structurée sur la formation des classes sociales

(Eric Hobsbawm, «agency », « capacité d’agir »). Ainsi, se forge une identité de classe sur

l’expérience des revendications qui fait que les personnes peuvent construire une identité alternative

à la normativité imposée.

Finalement on a un consensus de l’utilisation du mot genre qui est utilisé pour retracer

l’histoire des sexes et depuis les années 2000 on a une utilisation très fréquence du mot. Derrière ce

mot il y a des façonnes d’envisager les choses tout à fait différentes : soit rapports sociaux, soit

rapports de pouvoir, soit une construction identitaire, soit on a un accent mis sur l’identité

relationnelle (Irène Théry).

Sexage = sexe et esclavage

Pierre Bourdieu – la domination masculine sur les femmes, les concepts d’incorporation de la

domination – les femmes assimilent ces dominations, en acceptant le discours et les comportements

sociaux imposés.

Judith Butler – remettre en question le terme d’identite. Le terme d’identite sexuee exprime

une idee assez simple, c’est a partir de la formation sexuee, se forge une identite sexuee. La

disphorie du genre, il y a une difference entre la conformation de l’individu et sa conformation

identitaire. La problematique de l’identite a été remise en cause a partir du fait que les individus

sont oblige depuis leur naissance de jouer un role : la performance de genre qui fait que tout ce que

est appris correspond a un jeu theatrale et qu’on pourrait imaginer un monde en deconstruisant le

genre, en defaire le jeu.