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D’après Carlo Collodi : Les Aventures de Pinocchio · D’après Carlo Collodi : Les Aventures de Pinocchio Adaptation théâtrale : Lee Hall / Mathieu Létuvé D urée : 1h10

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D’après Carlo Collodi : Les Aventures de PinocchioAdaptation théâtrale : Lee Hall / Mathieu Létuvé

Durée : 1h10.

Spectacle jeune et tout public (à partir de 8 ans).

Distribution : Stéphane Hervé , Mathieu Létuvé, Jean-François Levistre, Lauren Toulin.

Mise en scène : Marie Mellier, Mathieu Létuvé.

Musique et sons : Gabriel Fabing.

Lumières : Eric Guilbaud.

Scénographie : William Defresne.

Costumes : Corinne Lejeune.

Régie : Eric Guilbaud et Renaud Aubin.

Sommaire

L’adaptation

Carlo Collodi : Les Aventures de Pinocchio

Les Aventures de Pinocchio

L’équipe

Contacts

Fiche production

Fiche technique 20-22

Synopsis 3

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7-8

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Note d’intention 4-5

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On a retrouvé le corps inanimé d’un petit pantin. Les analyses ont révélé son identité : « Pinocchio » !… Qui était ce « Pinocchio » ? Pourquoi

a-t-il a été assassiné, pendu à un arbre ! Pourquoi cette affaire a-t-elle été étouffée ? Ignorée de tous.

Qui est responsable de sa mort ? Un de ses obscurs créateurs ? Ce pauvre diable sans le sou que l’on surnomme « Geppetto » ou « Geppette » ? Ou

bien peut-être un certain « Collodi » ? La liste des suspects est longue. Qui sont réellement ce soi-disant « Renard », petite fripouille des bas quartiers, escroc notoire, et cette « Chatte », personnage fantasque, haut en couleur, qui l’accompagne ? Qu’ont-ils à voir avec cette histoire ? Que s’est-il réellement passé au « Pays des Nigauds », dans ce « Champ des miracles » ? Et ces pauvres saltimbanques : Arlequin et Pantalon, disent-ils la vérité ? Quelles ont été les intentions de ce « Mangefeu » ? Au cours de son errance vagabonde, le petit pantin a croisé la route de tous ces personnages marginaux, qui peuplent le cortège grotesque, burlesque ou inquiétant, d’un monde interlope.

Difficile d’y voir clair dans cette sombre affaire de manipulation, où chacun semble jouer un jeu, où tout est faux-semblant, miroir aux alouettes. Comme toutes les enquêtes, celle-ci traîne son lot de secrets, de révélations,

de rebondissements et de péripéties. Comme dans tout bon polar, l’atmosphère y est particulière, et la tension maximale. Surtout quand il s’avère en fait que le petit pantin n’est pas mort, et que l’enquêteur-narrateur n’est autre que la fée bleue. Le suspense prend alors une autre tournure, et devient de plus en plus fantastique. Tandis que la première partie s’organise comme un puzzle : une série de flash-backs suscités par l’audition des protagonistes, la deuxième précipite l’intensité du drame vers sa résolution.

Où et quand se passe réellement cette histoire ? Quel est ce décor brut et citadin ? Une sorte de miroir-palissade métallique, entre deux mondes ou entre deux âges, fait de casiers, de trappes et de multiples cadres, d’où jaillissent

personnages, mais aussi étranges ambiances lumineuses et sonores. Sommes nous dans un film de science-fiction ? Dans un univers grinçant et distordu de Terry Gilliam ? Dans un carnaval cauchemardesque de Tim Burton ? Dans les mondes flottants et ironiques des Frères Cohen ? Ou encore dans les rêveries brumeuses et électriques des films noirs ?… Tous ces imaginaires, enfin, qui nous plongent dans les affres d’un récit initiatique.

Ou peut-être est-ce tout bonnement un fantasme sur l’enfance, tyrannique ou dévoyée, une fantasmagorie sur la violence ou l’horreur du monde,

sur l’identité changeante de notre part monstrueuse, sur notre quête effrénée et impossible d’innocence ou de plaisir ; ou tout simplement, à travers ce chemin du virtuel au réel, une fable sur notre difficulté à être des « hommes ».

Synopsis

Note d’intention

Carlo Collodi avait créé son personnage à travers une suite d’épisodes qui paraissaient régulièrement dans un journal pour enfant. Lassé de cette histoire, il a voulu en finir une fois pour toute avec ce pantin. Il a donc décidé

de faire tuer son héros par deux brigands. Mais le public n’a pas supporté ce destin, et, contraint, l’auteur a dû faire revivre sa créature.

A la lecture du Pinocchio adapté par Lee Hall, cette mort qui clôt le premier acte, traité par l’auteur de façon grand-guignolesque, nous a semblé marquante. Nous avons eu envie de croiser l’univers de la fable du Pinocchio avec

le genre du polar. Car il nous semblait que beaucoup de choses se recoupaient : récit initiatique et quête d’identité, galerie de personnages en marge, monde interlope, rebondissements, suspense… Et comme souvent avec les fables pour enfants, le récit de Collodi est en réalité assez cru, comme peut l’être l’univers du polar.

A la manière de Citizen Kane, nous avons donc eu envie de partir de l’enquête sur la mort de Pinocchio pour façonner un montage en forme de puzzle : une nouvelle manière d’ouvrir, d’organiser et de questionner ce récit. Il y a donc

un personnage central qui introduit cette histoire : l’enquêteur-narrateur. Il devient progressivement une sorte de double de Pinocchio, comme dans les polars où l’enquêteur s’identifie à la victime ou à l’assassin. Il y a un jeu de miroirs entre les deux, un dialogue entre l’homme et l’enfant, qui est ici joué par une jeune femme. Le narrateur absorbe ainsi toutes les figures qui se rattachent à la conscience adulte de Pinocchio : il devient la voix et l’ombre du Grillon, ou il remplace la petite fille (la « fée » chez Collodi). Cette idée découle aussi de la portée plus large que Lee Hall apporte au récit, car à la fin Pinocchio devient un « vrai p’tit mec », c’est à dire presque un homme. Toutes ces aventures sondent un état primitif, presque sauvage et animal (Pinocchio devenant un âne), elles sont autant de mues cathartiques. Chez Lee Hall, la perte de l’enfance ne se fait d’ailleurs pas sans regrets.

Cela nous semblait amusant également de faire revivre les séquences sous formes d’ « interrogatoires », en convoquant ainsi tous les personnages, qui deviennent ainsi des figures concrètes : le renard est un petit voyou

flanqué de son acolyte féminine.

Cela permet de jouer sur deux niveaux de temporalité, en opérant des glissements à vue : un personnage commence à raconter et on revit la scène avec lui. On peut aussi interrompre la scène, jouer sur l’exactitude ou le mensonge,

l’enquêteur interrompant le fil du faux flash-back, pour faire revivre enfin les vrais évènements. L’idée étant de jouer sur la temporalité et le récit.

Enfin l’idée du pantin, de la marionnette, est transposée dans un univers de polar moderne, voire futuriste, nourri de codes ou de références cinématographiques (Blade Runner ou AI).

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L’histoire se déroule en partie dans un décor brut et citadin. L’éclairage se fait sur ou à travers les éléments de décor. Néons, rampes de lumières ou de projecteurs évoquent les ambiances froides, les rêveries brumeuses et

obscures, aux couleurs électriques des films noirs ou de science-fiction.

D’un autre côté, Pinocchio est souvent confronté au monde du spectacle ou du divertissement (le théâtre de marionnettes, le pays du joujou, le cirque). La scénographie, à travers l’utilisation d’éléments de décor mobiles

et d’un jeu de lumières contrasté, permettra ainsi d’évoquer des ambiances différentes : murs, rues, intérieurs, night-clubs, cabaret,... Elle permettra également tout un jeu d’ombres, d’apparitions et de disparitions, soit grâce à un rideau en lamelles (plastique, métallisé ou brillant), soit par le biais d’une sorte de mur métallique composé d’éléments hétéroclites : portes diverses, casiers, trappes et multiples cadres, d’où jaillissent personnages, mais aussi ambiances lumineuses.

Le renversement dramatique de la résurrection de Pinocchio, au milieu de la pièce, nourrit alors un nouveau départ, plus onirique encore et plus merveilleux (le monde liquide de la baleine) et un nouveau suspense dans le récit. Le

pantin doit encore sauver son père pour devenir un vrai petit garçon. En réalité, dans l’adaptation de Lee Hall, en tentant de le sauver, il semble mourir à nouveau… pour au final se métamorphoser enfin en « vrai p’tit mec ».

Ce grand texte, comme tous les textes fondateurs, continue de nous interpeller car il touche à l’enfance, aux mythes : la création, la métamorphose, la chute, la mort et la résurrection…

Ce monde imaginaire devient ici une sorte de polar féérique qui nous plonge dans les affres d’un récit initiatique. C’est un fantasme sur l’enfance, une fantasmagorie sur le monde ; ou tout simplement, à travers ce chemin du

virtuel au réel, une fable sur notre difficulté à être des « hommes ».

Suite - Note d’intention

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Lee Hall a fait cette adaptation à la demande d’un ami : Marcello Magni, pour une version théâtrale qui mélangeait le clown, la marionnette, et la

commedia dell’arte : « J’ai (…) écrit quelque chose qui ressemble plus à une pièce que je n’avais imaginé. (…) celui qui envisagerait de faire du théâtre à partir de ce texte ne devrait pas s’en tenir à la lettre. (…) On devrait le couper, l’allonger, l’arranger et improviser pour répondre aux besoins et aux talents des personnes engagées dans le projet. Il est plus fidèle au livre de Collodi que toutes les versions que j’ai vues, mais prend d’inévitables libertés. Qui

voudrait travailler sur cette version de Pinocchio devrait donc considérer mon texte comme un compagnon de voyage, un guide-Collodi. (…) Il est tout à fait dans l’esprit de notre entreprise que chaque version de Pinocchio soit une réponse personnelle et singulière à l’œuvre de Collodi. Usez et abusez de ce texte comme vous voudrez. » (Lee Hall : Introduction à son adaptation des Aventures de Pinocchio).

Cette transposition théâtrale de Lee Hall est à la fois très fidèle, et totalement inspirée. Son style, vivant et percutant, continue de nourrir toutes sortes de références. Il est en même temps très cru, comme l’est le récit originel. Et il

précise encore, en les servant au mieux, la modernité et la théâtralité de la matière. Il s’agit donc de suivre à la lettre ce précepte de liberté dans l’adaptation, et de continuer à enrichir le dialogue avec cette œuvre, et avec son sujet : l’enfance.

Au milieu de ses aventures, Collodi fait lyncher Pinocchio par le Renard et le Chat. Dans l’adaptation théâtrale de Lee Hall, le Chat

devient une Chatte et le meurtre, décrit de manière sauvage, clôt la première partie avant un entracte.

Dans la mise en scène du Caliband Théâtre, la mort de Pinocchio est à la fois le point de départ et le point de convergence du scénario. L’histoire s’ouvre juste après le crime, et l’on revit, à travers l’enquête, toutes les

étapes de la première partie. Mais le renversement dramatique de la résurrection de Pinocchio, au milieu de la pièce, nourrit alors un nouveau départ et un nouveau suspense dans le récit. Le pantin doit encore sauver son père pour devenir un vrai petit garçon. En réalité, dans l’adaptation de Lee Hall, en tentant de le sauver, il semble mourir à

nouveau… pour au final se métamorphoser en « vrai p’tit mec ».

L’adaptation :

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Carlo Collodi n’a pas ménagé son lectorat, quand il soumit les aventures de ce pauvre petit pantin à l’imaginaire

enfantin. Ce récit picaresque, digne descendant de Don Quichotte, livre un regard assez cru sur l’enfance et sur le monde. Et pourtant, le succès n’a jamais démenti la qualité de l’ouvrage.

Créé entre 1880 et 1883, d’abord sous la forme d’un feuilleton publié dans un journal pour enfant, ce

roman à épisodes a tout de suite convaincu le public et la critique. Collodi a même essayé en vain de tuer son pantin, pour en finir une fois pour toute avec cette histoire, mais il a dû le faire ressusciter sous la pression du public.

Collodi, journaliste et écrivain, se prédestinait d’ailleurs plutôt pour le théâtre, mais tandis que ses essais dramatiques sont restés dans l’ombre, c’est avec sa littérature enfantine qu’il connut une renommée incomparable

et universelle. Les Aventures de Pinocchio fut publié dans toutes les langues et sans interruption depuis sa création. Un journal de l’époque présentait l’auteur sous ces traits : « Collodi a véritablement les nombreuses et rares qualités qu’il faut pour écrire des livres destinés aux enfants. Il les connaît : il connaît leur façon de penser et d’agir, il connaît leur langage et il l’utilise. »

Collodi a inauguré un style nouveau de la littérature enfantine, nourri par la satire, la comédie, l’ironie, la liberté dans le ton et dans la forme, mais aussi

par l’absurde, l’hétérogénéité, le croisement des références. « Pinocchio (…) est le triomphe moderne du mélange des genres et des traditions : roman d’aventures et d’initiation, fable, conte et même création théâtrale, dans un joyeux tourbillon de parodie. »

La force de Pinocchio réside dans ces multiples niveaux de lecture et d’approche, ainsi que dans la justesse de ses images. « Le héros de Collodi parle aux petits

comme aux grands : les premiers tremblent d’effroi en suivant les aventures de la marionnette, les seconds retiennent l’amère vérité qui s’en dégage ; mais tous sont touchés par l’ironie légère et par la causticité d’un esprit qui dessine des épisodes et des personnages inoubliables avec une rare maîtrise de la langue et du rythme narratif. »

Carlo Collodi : Les Aventures de Pinocchio

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La suite - Carlo Collodi : Les Aventures de Pinocchio

Il y a d’ailleurs une telle évidence dans la force imaginaire, plastique et narrative de cette œuvre qu’elle ne pouvait pas

ne pas inspirer le monde du dessin animé (Walt Disney), de la bande-dessinée, du film (la célèbre version de Luigi Comencini, AI de Spielberg) ou encore de la scène (Joël Pommerat).

Mais ce qui caractérise cette œuvre, c’est qu’elle traverse les époques et touche des zones d’ombre de notre psyché

: « Pinocchio possède tous les traits d’une nature exubérante, puissante, débridée et sauvage, mue par les instincts animaux les plus élémentaires… » Sa métamorphose le fera d’ailleurs passer par le stade de la bête de somme : il sera un âne, exhibé comme un monstre de foire.

Cet univers continue également d’interroger notre rapport à la création, à la production et à l’objet : « la nature toute matérielle de Pinocchio et du monde qui l’entoure est soulignée par son nez si singulier, qui s’allonge et se

raccourcit, marquant de manière indélébile son existence corporelle, et qui l’identifie comme un stigmate dans notre imagination. »

Enfin, à travers son « héros », cette matière peut se révéler aussi comme un acte subversif et irrévérencieux : « Collodi suggère que la nature de Pinocchio est en vérité

ambiguë et incorrigible ; il y a dans l’œuvre une sorte de bulle d’air, dans laquelle surprise, liberté, anti-conformisme, anarchisme foncier et impertinence semblent toujours prêts à se réfugier (...)

Les Aventures de Pinocchio ne sont donc pas un livre consolateur, qui cache ou édulcore la réalité, mais un livre libérateur qui la dévoile… »

Et si Pinocchio, en posant un regard sans complaisance sur les pulsions et désirs de l’enfance (moderne ?), n’était en réalité qu’un miroir, au sein duquel nous pouvons,

encore maintenant, nous contempler. « Collodi ne renonçait pas à se mesurer aux forces négatives de son temps. Il cherchait au contraire à libérer les mystérieuses puissances de l’intelligence… »

Ce grand texte, comme tous les textes fondateurs, continue enfin de nous interpeller car il touche aux mythes : la création, la métamorphose, la chute, la mort et la résurrection…

Citations : Daniela Marcheschi (Introduction au Aventures de Pinocchio. Livre de Poche).

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/// Adaptation théâtrale de Lee Hall

Lee Hall, né en 1966 à Newcastle Upon Tyne, a écrit pour le cinéma, le théâtre, la télévision et la radio.

En 1997, sa première pièce Spoonface Steinberg est diffusée à la radio avant d’être adaptée pour la télévision l’année suivante et pour le théâtre au Festival d’Edimbourgh en 2000 puis au National Theatre de Londres. Elle a

depuis été distinguée comme l’une des dix meilleures pièces radiophoniques de tous les temps par les lecteurs du Radio Times. Spoonface Steinberg, traduit en français par Face de cuillère, a été monté au Théâtre de la Ville en 2006 par Michel Didym avec Romane Bohringer dans le rôle-titre.

En 1999, Cooking with Elvis, adapté d’une autre pièce radiophonique, Blood Sugar, est créé au Live Theatre de Newcastle. Sa traduction française est publiée en 2002 par L’Arche Editeur.

Parmi ses nombreuses pièces radiophoniques, la plus célèbre reste I Love You Jimmy Spud, récompensée par plusieurs prix et portée à l’écran en 2001 par Udayan Prasad sous le titre Gabriel & Me.

Auteur en résidence à la Royal Shakespeare Company en 1999-2000, Lee Hall a également adapté ensuite des œuvres de Brecht, Büchner et Goldoni. Sa dernière pièce en date, The Pitmen Painters, a été créée au Live Theatre

de Newcastle en 2008 puis reprise au National Theatre de Londres.

Lee Hall est aussi le scénariste du film Billy Elliot de Stephen Daldry en 2000, nominé aux Oscars au titre du meilleur scénario. Son adaptation en comédie musicale, avec Elton John pour compositeur, a accumulé les récompenses :

quatre Olivier et le grand prix du quotidien Evening Standard pour sa version anglaise dans le West End en 2005, puis dix prix, dont le Tony de la meilleure adaptation, pour la version américaine à Broadway en 2008.

Il a co-adapté Orgueil et Préjugés de Jane Austen pour la version cinématographique de Joe Wright en 2005 et a plus récemment signé le scénario d’Hippie Hippie Shake d’après l’autobiographie de Richard Neville. Ce film de Beeban

Kidron (Bridget Jones : L’âge de raison), la femme de Lee Hall, est sorti en Angleterre en 2010.

Les Aventures de Pinocchio :

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La Cie :

La compagnie Caliband Théâtre a été créée à Rouen en 1996 par Marie Mellier, Nadia Sahali et Ludovic Bourgeois, jeunes comédiens formés notamment à l’Université d’Aix en Provence et au Théâtre des 2 Rives de Rouen.

La compagnie produit des spectacles tout public (Théâtre). Depuis 2004, elle est soutenue à la création par la Région Haute-Normandie, les Départements de Seine-Maritime et de l’Eure, le Ministère de la Culture/DRAC Haute-Normandie. Elle a également été subventionnée par l’Adami sur deux créations précédentes : « K. » et « Macbett ». Elle est conventionnée par la Ville de Rouen. Sa dernière création, «La Tempête» (2011-2012), a bénéficié pour la première exploitation d’une aide à la diffusion de l’ODIA Normandie. Ce spectacle a été coproduit par la Scène Nationale d’Evreux, Le Moulin de Louviers et par Le Rive Gauche, Scène Conventionnée de Saint-Etienne du Rouvray.

L’équipe :

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BAC A3 théâtre (Joseph Danan), DEUST d’études théâtrales (Aix en Provence), Ecole des 2 Rives de Rouen (S. Gaborieau et M-H Garnier). De 1992 à 2003, stages : Royal Shakespeare Company (Direction d’acteurs et lumières)

; Théâtre des Deux Rives ; Jean-Marc Talbot (improvisation) ; Michel Tartrat (Lumières) ; Catherine Delattres (Mise en scène) ; Centre National du Théâtre (Avignon. Scénographie) ; Vincent Fouquet (improvisation) ; Théâtre de la Canaille ; Nicolas Moy (Clown)…

De 1996 à 2007, comédienne dans : Les anges de Massillia (G. Granouillet), dirigé par Rémi Spinneweber ; Vermisse Dich (Yann Allegret/Théâtre Ephéméride) ; Mamie Ouate en Papouâsie de Joël Jouanneau ; Duo + 1 et Quintet – 1,

(spectacles de rue/Caliband Théâtre) ; Le Dormeur éveillé (d’après un conte des mille et une nuits. Ms. : Denis Buquet/Théâtre de la Canaille) ; Huis Clos (Sartre. Ms : Nicolas Moy/Compagnie du Jardin des Planches) ; K. ou les trois visages de Franz Kafka (d’après Kafka. Ms. : Mathieu Létuvé/Caliband Théâtre).

De 1995 à 2012, met en scène : A 50 ans elle découvrait la mer (Denise Chalem – PACA/Normandie) ; Quisaitout et Grobêta (Coline Serreau) ; Que vienne le moment (Yann Allegret) ; Mamie Ouate en Papouâsie (J. Jouanneau)

; Eaux Dormantes (Eugène Durif) ; Blanche Aurore Céleste (Noëlle Renaude) ; Jocondescendance (Marie Ragu) ; Madame de Sade (Y. Mishima) ; Korat et Chantaboun (spectacle musical) ; Don Quichotte et Sancho Panza (Cervantès/Schulman) ; Le Désert sans détour (Mohammed Dib) ; Novecento (Alessandro Baricco) ; Macbett (Ionesco) ; La Tempête (Shakespeare) ; Une Tempête (Aimé Césaire).

De 2001 à 2007, assistanats à la mise en scène sur trois créations du Théâtre de la Canaille : Le dormeur éveillé (conte des mille et une nuits) ; Trois Satie en forme de Poire (Eric Satie), Blanche Neige (Frères Grimm).

De 1996 à 2012, Marie Mellier a dirigé divers ateliers de pratique théâtrale (enfants-adolescents-adultes) : écoles, collèges-lycées, Théâtre des Charmes, Théâtre de la Canaille,...

Marie Mellier - Mise en scène

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Auteur, comédien, metteur en scène. Formé à l’École Charles Dullin, il a travaillé avec Nadine Darmon, Charles Charras, Bernard Pigot, Gérard Chabanier et Anouch Paré. Dès sa sortie de l’école, il crée la compagnie Des ils et

des elles. Au théâtre, il interprète Ventroux dans Mais ne te promène donc pas toute nue, de Feydeau, m.e.s. Nadine Darmon, Pyrrhus dans Andromaque, m.e.s. François Genty, Dan dans Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit, de Fabrice Melquiot, mise en scène Bernard Pigot. Ensuite, il joue Tout baigne ! (Café théâtre) avec la Compagnie des six déments en Région Centre, Cinémassacre de Boris Vian, sous la direction de Philippe Naud, il travaille le clown avec Gérard Gallego et joue dans son spectacle Instantanné, au Théâtre Daniel Sorrano (Vincennes).

Au cinéma, il joue en 2007 dans L’institutriste, réalisé par Charles Castella.

En 2008, il présente une de ses mises en scène à Avignon : Les Sept jours de Simon Labrosse, de Carole Fréchette, au théâtre Présence Pasteur. Le spectacle part ensuite en tournée de 2009 à 2011 avant une reprise au Théâtre de

la Manufacture des Abbesses, à Paris.

En 2010, il crée un duo comique, écrit et joue Il est juif, Adamo ? au Théâtre des deux Rivières, à Lanester, avant de reprendre ce spectacle à Paris, au Théâtre du Bout.

En 2012, il joue le fils dans JH cherche fusil, une pièce écrite et mise en scène par Aude Sabin, au Théâtre du Colombier.

En 2013, il crée et joue l’Héroïsme au temps de la grippe aviaire, de Thomas Gunzig, au festival d’Avignon, Théâtre Présence Pasteur et finalise l’écriture de Fuite nuptiale, son «Air de famille» à lui. En parallèle de son activité

artistique, il anime de nombreux ateliers théâtraux et pratique régulièrement le théâtre en entreprise.

Stéphane Hervé - Comédien

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DEA d’Histoire contemporaine (cinéma), Théâtre universitaire en 1993 avec la Troupe de la Réplique (Monsieur de Pourceaugnac, Les Fourberies de Scapin). Stages : Les Chantiers Nomades - Radio-France : L’acteur dans la fiction

radiophonique ; Leslie Kaplan (Fever) - Collectif « Les Lucioles » (CDN NTA Angers). J-L. Lagarce - Collectif « Les Possédés » (C.D.N. Angers).

Créé en 1996 la Troupe de la Lucarne. Mises en scène de Daniel Charlot : Estragon dans En attendant Godot (Normandie, Bretagne, FESTEA de Tours, Ukraine/Festival Francophone de l’Alliance Française), Béranger dans Le

Roi se meurt.

2001 : Troupe de la Pie Rouge (Ms. : Guy Faucon : Lancelot de La Seine/Chrétien de Troyes, Tous ceux qui tombent/Beckett). 2002 : Jeanne au bûcher (Oratorio de Claudel/Honegger. Direction Michaël Lonsdale et Laurent

Petitgirard. Arsenal de Metz) ; Le Carnaval des animaux (Clown. Ms. : JP. Bourdalaix) ; Miss Cannabis (Ms. : François Accard). 2003-2008 : Théâtre des Trois Gros, Oswald dans Pourquoi j’ai mangé mon père (Ms. : Joël Lefrançois). Depuis 2005, rôles à l’Opéra de Rouen (dont Roberti dans Tosca. Ms. Dagmar Pischel. Rouen et Luxembourg). 2003-2004 : Atelier professionnel du Théâtre de la Canaille (Une Noce de Tchekhov).

2004 : créé au sein de la Compagnie Caliband Théâtre le spectacle Don Quichotte et Sancho Panza (Adaptation, co-mise en scène et rôle de Don Quichotte. Tournée régionale et Avignon Off 2005). 2006 : créé le spectacle K. ou les

trois visages de Franz Kafka (Mise en scène et adaptation). 2007-08 : Adaptation et rôle de Siklist dans Le Désert sans détour de Mohammed Dib ; Novecento d’Alessandro Baricco (monologue avec Orchestre), 2009-2012 : rôles de Macbett (Ionesco), Stéphano et Antonio (La Tempête de Shakespeare), Prospero (Une Tempête d’Aimé Césaire), spectacles mis en scènes par Marie Mellier et Mathieu Létuvé – Caliband Théâtre. Créations diverses avec Les Remue-méninges (humour).

Tournages : Collection Graham Hurley – Anges brisés/Lignes blanches (Edwin Baily), ALESIA : Le Théâtre des Opérations (Gilles et Christian Boustani), Joseph et la fille (Xavier de Choudens), Selon Charlie (N. Garcia), 1,4kg (C-M

de M. Cauvin), L’ennemi public n°1 (JF. Richet) ; voix - France-Culture (Fictions radios : Marguerite Gateau, François Christophe) : Elise et les fantômes (Mariannick Bellot); La Terre Tremble (Sébastien Betbeder); Je reviens de loin (Claudine Galea) ; D’autres vies que la mienne (Emmanuel Carrère), Millenium 2 (Stieg Larsson). Pubs : départements 76 (Claude Duty), 27 (Quasar), Abel Auto, Huis-Clos (Nautile Prod.), Partenaires d’avenir. Voix spots (Quille)…

Mathieu Létuvé - Mise en scène et Comédien

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A partir de 1991, il travaille sous la direction de : Alain Bézu (Théâtre des 2 Rives) : Le barbier de Séville (Beaumarchais), Jacques le fataliste et Le fils naturel (Diderot), Du mariage au divorce (Feydeau), La nuit et le moment (Crébillon),

Britannicus (Racine), La nuit des rois (Shakespeare co-M/Sc : Alain Bézu - Patrick Sandford), Cinéma (Joseph Danan) ; Christian Le Guillochet : Le Misanthrope (Molière) ; Marie Steen : Les Créanciers (Strindberg) ; Catherine Delattres : Le Cid (Corneille), C’est beau & Elle est là (Nathalie Sarraute), Les serments indiscrets (Marivaux), Yvonne, princesse de Bourgogne (Gombrowicz), Une demande en mariage & Un jubilé, La Cerisaie, La mouette (Tchekhov), Chat en poche (Feydeau), La cantatrice chauve (Ionesco) ; Catherine Dewitt : La comtesse d’Escarbagnas (Molière) ; Herbert Rolland : Intermezzo (Giraudoux) ; Denis Buquet : 3 Satie en forme de poire (Erik Satie), L’Histoire du Soldat (Stravinski & Ramuz – Assistanat à la mise en scène), Un roman de Renart ; J-Marc Talbot : A tous ceux qui (Noëlle Renaude) ; Patrick Desrues : La dernière salve (J-Claude Brisville) ; Marie Mellier (Caliband Théâtre) : Macbett (Ionesco), La Tempête (Shakespeare), Une Tempête (Aimé Césaire).

Mise en scène : Noir d’encre Contes d’angoisse (Guy de Maupassant). Cinéma : Bonbon au poivre (court métrage. Réal : Marc Fitoussi), Des chats et des hommes (court métrage. Réal : Bruno Bertheuil), Le goût des autres (Agnès

Jaoui), Extension du domaine de la lutte (Philippe Harel), Jeanne la pucelle (Rivette).

Jean-François Levistre - Comédien

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LAUREN TOULIN a été formée au Conservatoire de Rayonnement Régional de Rouen (cycle professionnel avec Maurice Attias) et au GEIQ théâtre Haute Normandie / Théâtre des 2 rives.

Au THEATRE elle a joué sous la direction de : Mariano PENSOTTI (LA MAREA : spectacle de rue) ; Bernard ROZET (DEJEUNONS SUR L’HERBE d’après Zola, PORTRAIT DE GROUPE : Textes de Molière) ; Elizabeth MACOCCO (LE SAUT DE

LA TORTUE) ; Catherine DELATTRES (LE JEU DE L’AMOUR ET DU HASARD ; L’ETOURDI) ; Jefferson DESMOULINS (ELECTRE) ; Angelo JOSSEC (L’IMAGINAIRE FORCE ; UNE NUIT APPRIVOISEE d’après Shakespeare ; MACBETH).

Lauren Toulin - Comédienne

Gabriel Fabing - Musicien

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Conservatoire d’Amnéville pendant dix ans : piano, flûte traversière, violoncelle. Puis autodidacte : accordéon, tuba, theremin. Influencé par Pierre Bastien, David Fenech, Matmos, Pascal Comelade… Passionné par les musiques nouvelles, concrètes,

et expérimentales.

Création de Bandes sons de spectacles : Depuis 2003, avec la Cie la Valise : Oups, L’histoire des hommes dont les bras touchaient terre, Zaïl, Les Passagers ; la Cie Caliband Théâtre : Macbett, La Tempête. la Cie hybride : Colère ; Cie Anomalie :

Les Tailleurs ; Cie la Vouivre : Opus. Installations : En 2003, il crée le spectacle Cyclociné, performance sonore et visuelle autour d’un vélo et d’une charrette et en 2005, il en tire une installation sonore et visuelle qui tourne toujours. En 2006, il crée Zapp’, concerto cathodique - Improvisation à partir d’un téléviseur.

Concerts : 2 bruits pour 1 œil : duo de musiques improvisées (2ème prix 2003 au concours cinéphonies de musique improvisée sur courts métrages) ; Pacemaker (emil13) : orchestre électronique pour musiques improvisées – Latchav’

: Musique du monde (flûtes, violoncelle, accordéon,…) ; Zaïl : Duo électro-rock (violoncelle, banjo, mélodica,…) - Ddum spiro spero : Electro-rock (flûte, theremin, violoncelle) ; PipiStoP : Projet solo 2007 de musique concrètement mélodique oscillant entre détournement d’objets du quotidien et instruments bricolés ; Ciné concert (Créa 2008) : Le cabinet du docteur Caligari en duo avec Claire Girod (Piano, basse guitare, batterie, clarinette, theremin,...).

Eric Guilbaud - Création lumière

Débuts d’acteur (Lecocq), se dirige vers la technique comme régisseur lumière et régisseur général de plusieurs compagnies.

Il crée l’éclairage de nombreux spectacles : Théâtre du safran (Le prince heureux), Logomotive théâtre (Quartett, Les silences de monsieur Tarwitz, Le pont de pierre et la peau d’image, Low, Silence complice, Les inavouables, Terre Océane créé à

Montréal), Cie entre chien et loup (Modeste proposition, Récit de Mariette, La nasse), Un train en cache un autre (Le cœur entre les poumons), Une voix et des choses (Un petit coin de parapluie), la 56 ème compagnie (La maladie d’être mouche), Théâtre des 2 rives (Sous l’écran silencieux, Entre chien et loup, Le petit à la mère, Cousu de fil noir, Quand nous nous réveillons d’entre les morts), Compagnie Alias Victor (Remuer entre ciel et terre, Comme c’est drôle d’exister, Le monde en pièces, Papa’s mémori, Babel Molière), Elan bleu (Saint julien l’hospitalier, Un cœur simple, Hérodias), Méga pobec (Antigone : Œdipe, Oh les beaux jours), L’escouade (Amphitryon, Peter et Vicky), Valérie Diome (Cérémonie fastueuse dans un souterrain), Compagnie des damnés (Le baiseur fou), Chat foin (Drink me, dream me), Caliband Théâtre (Macbett, La Tempête), Art Scène (Le Départ).

Danse : Cefelman, Gisèle Gréau (Sans queue ni tête), Sylvain Groud (L’oubli) Turbulence, Aller simple (A fleur de peau, A contre sens), La Libentère (Au bord de l’eau), Nadine Beaulieu (Le Bal pendule)… ; Opéra de Rouen : Didon et Enée ; Musique :

Abacabar (Roland Schön), Le collectif Moonlight (Tomorrow’s party), Compagnie des musiques à ouïr (A corps-dessacorps, Au lustre de la peur), La mauvaise réputation (spectacle sur Brassens, si je veux…).

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Corinne Lejeune - Costumière

Créatrice costumes et accessoiriste, a suivi la formation de costumier à Lyon. Elle exerce sa profession depuis 20 ans, essentiellement pour le spectacle vivant. Elle a collaboré avec de nombreuses compagnies en Haute-Normandie et ailleurs,

en France et à l’étranger : Avec les décorateurs Jean-Pierre Capeyron, Jean Bauer, Ursus Gruninger, la styliste Sylvie Skinazi et la photographe Sara Moon.

Avec les metteurs en scène Catherine Delattres, Jean-Louis Hourdin, Adrian Brine, François-Xavier Vassart, Marie-Hélène Garnier, Alain Fleury.

En danse contemporaine avec Dominique Boivin, Gisèle Gréau, Philippe Découflé, La compagnie Etant Donné, Dominique Rebaud, Walter Matteini.

A L’opéra avec Karine Saporta, Marc Adam, Fabrizio Montecchi.

Au cinéma, avec les réalisateurs Eric Jarno et Laurent Mathieu.

Dans la mode pour la Manufacture de Broderie Jean François Lesage et les catalogues de Tendances Perception à Milan.

William Defresne - Scénographe, construction décor

Il navigue entre différents univers, comme le théâtre, le cirque, le théâtre de rue ou la danse.

Après quatre années aux Beaux-Arts de Rouen (Diplôme National des Arts Plastiques), il rencontre la compagnie de théâtre de rue les « Alama’s givrés », avec laquelle il collabore pendant neuf années (constructions de décors, de castelets et de

marionnettes : Givropolis, Les Manèges d’Aventure, Les Stupéfiantes Aventures de Don Quichoute et Fangio Pancha).

En parallèle, il multiplie les expériences en tant que régisseur sur différents festivals, comme Aurillac (« Eclat »), Sotteville les Rouen (« Vivacité »), ou « Les Vendanges » de Suresnes.

Il travaille également dans toute la France sur des constructions de décors avec différentes compagnies de théâtre ou de danse (en extérieurs ou en salles) : « Babylone » (Les Vieux Démons), « Les Cousins », « La Createlière » (Les Essentiels),

« Le Chat Foin » (Drink me, Dream me, Le baiser de la femme Araignée, Une Visite inopportune, Le Village en flamme), « Le P’tit Théâtre » (Rosemonde et Chlorophyle, Lamento), « Beau Geste » (Ze Bal), « Le Jardin des Planches » (C’est déjà bien assez, Rosemonde a une étoile, Huis Clos, Dernière séance avant l’été), « Il Parnasso Confuso » (L’Opéra Travesti), « Le Théâtre du Monde » (Le Carnaval des Animaux), « Ca va aller » (Histoire enfantine), « Acid Kostik » (Dans la peau d’Elvis).

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Contacts :

CHARGEE DE DIFFUSION : /// Gwénaëlle / Label Saison Tel : 06 78 00 32 58 Mail : [email protected]

PRIX CESSION : 2 800 € TTC

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CALIBAND THEATRE / Fiche productionMetteur en scène

MARIE MELLIERMATHIEU LETUVE

AdaptationLEE HALL

MATHIEU LETUVE

DistributionSTEPHANE HERVEMATHIEU LETUVE

JEAN-FRANCOIS LEVISTRE LAUREN TOULIN

Création musicale GABRIEL FABING

LumièresERIC GUILBAUD

ScénographieWILLIAM DEFRESNE

CostumesCORINNE LEJEUNE

CIE CONVENTIONNEE VILLE DE ROUEN et REGION HAUTE-NORMANDIESubventions :/ DEPARTEMENTS DE SEINE-MARITIME ET DE L’EURE, / DRAC HAUTE-NORMANDIE, /ADAMIAides à la diffusion : / DEPARTEMENT DE L’EURE/ ODIA NORMANDIE

COPRODUCTION :/ LA ROTONDE COMMEDIAMUSE PETIT-COURONNE, / LE RIVE GAUCHE SCENE CONVENTIONNEE SAINT-ETIENNE DU ROUVRAY, / LE MOULIN LOUVIERS, / THEATRE DES CHALANDS VAL DE REUIL,/ L’ARCHIPEL SCENE CONVENTIONNEE DE GRANVILLE.

DIFFUSION (2013 - 2014) :/ LE SILLON PETIT-COURONNE, / L’ECLAT PONT-AUDEMER, / LE RIVE GAUCHE SCENE CONVENTIONNEE DE SAINT-ETIENNE DU ROUVRAY, / ECFM CANTELEU, / SCENE NATIONALE LE VOLCAN MARITIME LE HAVRE, / LA ROTONDE COMMEDIAMUSE PETIT-COURONNE, / GISORS, (SN EVREUX-LOUVIERS),/ COMMUNAUTE DE COMMUNES DE L’ANDELLE, / LE COLOMBIER MAGNANVILLE, / THEATRE DES CHALANDS VAL DE REUIL, / LE MOULIN LOUVIERS, / THEATRE DES CHARMES EU, / THEATRE MONTDORY BARENTIN,/ L’ARCHIPEL SCENE CONVENTIONNEE DE GRANVILLE,/ COMM. DE COMMUNES DE BEAUMONT LA HAGUE,/ COMMUNAUTE DE COMMUNES DU ROUMOIS NORD,/ THEATRE DE SAINT-LÔ,/ ECPC GONFREVILLE L’ORCHER,/ MONTIVILLERS,/ MJC LA PAILLETTE RENNES/ LA LOCO MEZIDON CANON/ ONDA

CALIBAND THEATRE19 rue Dufay, logt 10

76100 ROUEN Téléphone

07 81 88 40 50Web

[email protected]

20

Caliband : PinocchioFiche technique 1/3

n L’équipe est composée de 4 comédiens, 2 techniciens. Merci de prévoir thés, café, petite collation (pommes, bananes, barres de céréales etc...) à notre arrivée.n La compagnie a besoin de 2 loges, dont une équipée d’un miroir, d’une douche et d’une serviette de bain.n Prévoir pour chaque représentation 1 pack d’eau (6 x 1.5l) + 4 serviettes de bains. n Prévoir aussi une place pour un camion de 20m3.

PLATEAU :

n Sol noir : Si tapis de danse, ce dernier devra être bien tendu. (décor sur roulettes) n Ouverture 7 m minimum n Profondeur 8 m minimum n Hauteur 4 m minimum n Pour pendrillonnage fond voir cf plan. n Prévoir moquette pour coulisse si le sol est «bruyant». n Les plateaux «en pente» peuvent poser des difficultés. (décor sur roulettes)

LUMIERE :

n jeu d’orgue à mémoires 80 circuits Avab presto n puissance 36 x 2 kw n 4 barres à led (compagnie) n 1 par à led (compagnie) n 7 pars 16 (compagnie) n 3 PC 650w ADB (compagnie) n 3 PC 1000w n 2 pars CP61 n 5 découpes 1000w type 614 n 3 découpes courtes 2000w type 714 ou 713 ou warp (remplacement possible par de 1000w selon la salle) n 1 F1 n 2 portes gobo pour découpes type 614 n 1 iris pour découpe 1000 n Prévoir DMX à cour (splitter compagnie) n 1 machine à fumée (compagnie)

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Caliband : PinocchioFiche technique 2/3

SON :

Un système son composé de :

n 2 enceintes de qualité pro (type UPA Meyer, Q7 DNB, 112 LA, ou UPM Meyer, 108 LA...) accrochées à 3,5m de Hauteur et à 4,5m du nez de scène et à 2,5m de part et d’autre du centre de la scène. (voir plan) n D’un deuxième système situé au niveau du nez de scène, composé de deux enceintes (type UPA meyer, 112 LA, ou UPM meyer, 108 LA) et d’un ou plusieurs Sub ( obligatoire ! ).Ce deuxième plan devra être absolument delayé (d’environ 5m soit 14,6 millisecondes ) (voir plan) n Une console numérique permettant 5 départs pouvant être délayés et filtrés (idéalement une Yamaha 01V). La console accueillera 2 entrées en Jack provenant d’une carte son et son ordinateur. Prévoir une table de régie conséquente (2m/1m), un secteur 4 prises et une lumière de régie. n 2 micros Shure SM 58 et leur pinces, ainsi que de deux grands pieds droits et 2 câbles XLR suffisamment longs pour atteindre votre patch depuis le nez de scène à cour et le lointain à cour également. (voir plan)

COSTUME :

n machine à laver le linge + sécheuse n machine à repasser + table

PLANNING :

JOURS PLANNING : PERSONNEL :

1

MATIN montage du décorréglage lumière

3 personnes

APRES-MIDImontage sonréglage de la lumièrefinition au plateau

3 personnes

2

MATINConduite lumièreréglage son raccords / filage

2 personnes (1 son ,1 lumière)

démontage 3 personnes

Dans le cas d’une représentation le lendemain matin du montage, le filage aura lieu à l’issue du deuxième service.

Pour toutes informations d’ordre technique contacter :Renaud Aubin : 06 73 07 51 [email protected]

Bunny's bar piedstomberideau rideau1 direct 1 direct

123 4

510

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13 14 151617

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7

9

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service

41 47 51 57 61 67

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8

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71 77

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2 DMX1 DMX

11

géppetto face

table

faceDavid

face face

6

5

Pinocchio par Le Caliband théatre

échelle: 1/50ème

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Face Daviddébut cour

gobo gobo

2324

VENTILO 25

201

2 Enceintes

195

rideau

12

1 DMXPar led sous perché à 3m

angle 45°

angle plat

pendrillon

2

face école

3 découpes type 714 ou 713 ou warp

30 30

service service

23

106w

2 pars CP 61

3 PC 1000w

3 PC 650w ( compagnie)

serviceservice

service

espace loge rapide espace loge rapide

7 pars 16

bord plateau

26

cirque

201

8 découpes type 614

iris

4.500.60

6.00

1 micro SM58

1 micro SM58sur pied Cie

PAR 16 dichroïque

PC306

PC306

PAR 16 dichroïque

PAR 16 dichroïque

PAR 16 dichroïque

PAR 16 dichroïque

PAR 64 CP95

PAR

64 C

P95

PAR64

CP95

714

SX

714

SX

714

SX

614

SX

614

SX

614

SX

PC310

614

SX

614

SX

714 SX

614 SX

PAR

64C

P95

PC 306

PC 310

PC306

PAR 16 dichroïquePAR 16 dichroïque

614

SX

614

SX

PC310

PC310

PAR 16 dichroïque

614

SX

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Fiche technique 3/3