Honoré Daumier

La biographie

Il est né le 26 février 1808 à Marseille. Son père, Jean-Baptise Daumier, le poète ambitieux. Il veut publier ses poésies donc en 1816, il s'est installé sa famille à Paris.

Le jeune Honoré qui baigne dans un milieu artistique, en 1823, il entre à l'Académie Suisse pour apprendre à faire la lithographie.

En 1829, Daumier a rencontré Charles Phillipon, le fondateur la revue satirique et Daumier a fait premiers dessins pour la revue "La Silhouette".

Ensuite Daumier commence une carrière de caricaturist politique en faisant des lithographies pour la revue satirique " La Caricature" où il connaît le succèss pour ses portraits des politiciens de Monarchie de Juillet. Daumier continue son activité de caricaturist politique jusqu'en 1835 , la date de la loi sur la census de la presse et la cessation de parution de "La Caricature".

Donc il commence à se consacrer à faire la satire des moeurs bourgeoies qu'il poursuivra jusqu'en 1848.

Daumier prends l'opposition Républicaine cobtre le Roi Louis Philippe. C'est pourquoi on voit plusieurs de ses œuvres satire au sujet politique et à la critique de la société bougeoisie.

Alorsque ses série de lithographie modantes et engagées ne cessent d'investir les pages des journaux, Daumier connaît des difficultés financières et se remet de temps en temps à la peinture et à la sculpture.

À cause de problème survenu en 1867, il perd progressivement la vue et ne peut plus travailler.

En 1879, Honoré est mort dans sa maison de Valmondois, au nord de Paris.

Le style et la technique de Daumier

Daumier est un artiste au mouvement réalisme.

La plupart de ses œuvres est le dessin caricature. Daumier a choissi d'aboder des thèmes riches et variés : il attaque au pouvoir politique, moque des bourgeoisies, critique le système judicaire et l'inégalité dans la société.

Et il peintre aussi Don Quichotte. le héros de roman espagnol de Cervantès. Don Quichottes est une histoire d'un héro bête et il pense qu'il le grand chevalier du monde. Ce livre est une parodie des moeurs médiévales et la critique des structures sociales d'Espagne. Daumier veut comparer l'histoire de Don Quichotte avec la situation de la France de cette époque.

Daumier travaille de plusieurs styles dépend aux supports. Il fait la lithographie, la peinture et la sculpture aussi.

Les cinq périodes de Daumier

Les travaux de Daumier, on ici l'évolution des œuvres.

La première période, Daumier fait la caricature politique sous la Monarchie de Juillet.

La deuxième période, il fait la caricature les scènes de moeurs. [1835 à 1848]

La troisième période en 1848, c'est la retour de la République. C'est la période de la chasse le Roi Louis Philippe, et la République est

proclamée. Daumier a la liberté à exprimer ses idées satirique de la politique.

La quatrième période, la seconde empire, il retourne à la caricature de moeurs.

La cinqième période, les ultimes attaques politique. Après un régime autoritaire qui contrôle la presse, l'Empire liberal coïncide avec les dernières années de production de Daumier, pendants lesquelles il se livre à l'ultimes attques politique intérieur et extérieur.

Analyse Des oeuvres

GARGANTUA [lithographie 21.4 cm x 30.5 cm (1831) , BNF]

Gargantua a apparu dans la caricature, la revue satirique crée en 1830. Gargantua est le nom de roman de Rabelais. Gargantua vient du mot géant, quelqu'un qui aime beaucoup manger et boire. Gargantua représente des grosses sommes d'argent que le gouvernement a dépensé au même temps que les peuples étaient pauvres et avaient la vie difficile.

on voit le roi Louis philippe assis sur son trône et qui acceuille dans sa bouche immense une longue échelle descendante jusqu'au sol. Sur cette échelle grimpent des valets qui déversent des hottes d'écus dans la bouche du roi. En bas à droite, une hotte est en train de remplir avec l'argent qu'apporte une multitude dans laquelle il faut reconnaître des artisans et négociants. Sous l'échelle, aux pieds du roi, des personnages mieux vêtus, des privilègiés, récoltent les pièces écharppées pendant le transport. En bas à gauche, des nobles en habit attrapent les brevets et les décorations qui tombent du trône royal et se précipitent vers l'Assemblée Nationale.

On voit ici la zone vide. Ce tableau a l'idéal de l'ouverture [le groupe des peuples]. La perspective diminutive [la diminution progressive de la taille des personnages, des notables et des peuples]. La perspective aérienne [des usines, l'Assemblée Nationale]. Le roi Louis Philippe en grande taille. La perspective linéaire : dirige des spectateurs par l'échelle à partie des pieds de Louis Philippe jusqu'à sa bouche. Daumier transforme la figure du roi en poire, ce fruit représente la bêtise et la complaisance.

La République [huile sur toile 73 cm x 60 cm (1848) , Musée d’Orsay]

Le 24 février 1848, la République est proclamée. Un nouveau régime politique s'installe. L'image officielle de l'État doit changer. Un appel est lancé aux artistes, un concours ouvert pour définir " La figure peintre de la République". Daumier participe aussi. Dans ce tableau on y voit d'abord une femme forte et des enfants, proche dans son inspiration de la Charity d'André Del Sarto, un peintre espagnol. Une mère nourissant de puissantes bébés, tenant à la main le drapeau tricolore, coiffée du bonnet phyrien. À pied un enfant en train de lire. Cette forte femme résume un idéal, celui d'une République forte, nouricière, dispensatrice d'instruction. Représente la République féconde, sereine et glorieuse, elle occupe la même fonction que la mère des compagnons : elle nourrit, abrite, protège et instruit ses enfants.

La République est une peinture allégorie. Les personnages sont parties nus, parties vertûs. Leurs peau pâles, et des coutumes drapées. Daumier utilise quatre couleurs principales. L'oeuvre de Daumier est prèsque monochrome. Il utilise le blue, blanc, rouge et beige. On voit la zone vide circule autour des personnages et les personnages sont au centre de tableau. C'est une peinture fermée. Le point de vue des spectatuers est en bas.

Le wagon de troisième classe

[huile sur toile 65.4 cm x 90.2 cm (1864),Musée des beaux-arts du Canada]

Daumier a été engagé par un homme d'affaires américain qui investir dans la construction le chemin de fer à peintre la série d'un wagon de premième, deuxième et troisième classe. Ce tableau représente des voyageurs des premiers chemins de fer assis dans un wagon. Daumier a choissi de présenter le petit peuple de la troisième classe à fin de dénoncer la misère qui s'installait dans la grande partie de la société française à cette époque.

Ce tableau représente trois générations: grand mère, la mère et l'enfant, comme le spectre de la vie. Les hommes sont absent, ils facent en arrière et les femmes facent aux spectatuers séparément comme elles sont seule, indépendent. Le visage de la mère est douce, sa positon ressemble cell de la femme de la République. Le visage de grand mère montre la fatigue, la difficulté dans sa vie. Tous les personnages ont l'air fatiqué comparez au tableau d'Intérieur d'un wagon de la première classe. Les personnages de première classe ont l'air reposants, apprécie la vue. Et à troisième classe est débordé par contre à première classe.

Daumier présente les personnages d'un wagon de la troisième classe isolée des autres personnages comme dans la vie c'est la troisième classe qui est isolée de la société.

Les figures de la famille sont plus grands. Il y a un tier de hauteur vide ça donne espace creuser et le longueur très étroit. Daumier utilise le couleur beige principalement mais pour concentrer aux personnages, il utilise la lumière et les couleurs bleu et blanche. Des trois personnages principales assistent face aux spectateurs comme les spectateurs assistent aussi dans le wagon.

La Blanchisseuse

[huile sur bois 49.1 cm x 33.5 cm (1863), Musée d’Orsay]

C'est la peinture d'une blanchhisseuse de Quai d'Anjou, près de l'apartement de Daumier. Daumier observait le travail des femmes. La blanchisseuse introduit la difficulté de la tâche accomplie jour après jour. Le moment où le personnage accentue la courbe de son corps qui semble ployer sous la charge. L'absence de toute anecdote, le fond indistinct et le contre-jour qui cache les traits des visages aident les spectateurs à se concentrer sur l'essentiel : la figure humaine, ses gestes, son attitude.

L'image devient presque allégorique : à traverse elle, Daumier décrit la difficulté existence de toute la classe laborieuse sous le second empire. Cette peinture présente le travail des femmes. Les femmes étaient souvent employées à la journée, c'est un travail risqué, répétitif, durée excessive, sous-payé et de surcroît à risque d'avoir les maladies. Et aussi on relève le mélange de résignation et de tendresse de la mère qui aide son enfant à se hisser au sommet des hautes marches. Battoir en main, la petite fille semble déjà vouée à perpétuer la tâche maternelle. Au second plan, la composition est fermée par les maisons d'un quai parisien, écrin lumineux sans doute précisément observé, mais dont la facture inachevée accord à la scène toute sa dimension symbolique, la misère de la femme. L'attention portée aux humbles s'accompagnes de ce souci de force et de monumentalité qui rappelle Michael Ange, montrant aux spectateurs une sorte "d'Allégorie réelle"

Les couleurs que Daumier utilise sont encore bleu, blanche, rouge et beige. Il y a la profondeur du paysage, des bâtiments éloignés. Les personnages sont au centre de tableau devant les spectateurs.

Don Quichotte et la mule morte

[huile sur toile 1.325 m x 0.545 m (1867), Musée d'Orsay]

Daumier a fait une série de peinture de Don Quichotte, le héros de roman de Cervantès. Dans cette peinture, on voit Don Quichotte et son acolyte Sancho Panza aux chevaux allait à la vallée vers la mule morte.

La position de Don quichotte et celle de Daumier se ressemble. La lance et le bourclier de Don Quichotte et la palette et le pinceau de Daumier sont aux même positions. Comme des armes de héros et d'artist.

Il y a la zone vide, Daumier utilise 4 couleurs principales : bleu, blanche, rouge et beige. La profondeur la vallée entre des personnages et la mule.