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Nr. 356. 904 Bans refraction, 5 un fil plus abaissd de la quantitd de cette mCme refraction, ce qui n’iiifhera donc pas SUP Ies donnies, et rendra le calcul intlkpendant de tout effet qiielconque de IGfraction. Voici Ies forrnules pour ce cas qui pourra pa- roitre un peu singulier. Soit a la distance comprise cntrc ICS fils parallhlcs, I l’htervalic des observations h ces fils reduit en arc de grand cerele, I Pinehaison du paralkle, T, TI les intervalles de terns obseirds dc Pun des fils paralli4cs a l’horisontal, dR la diffdrence des rdductions au Gl horaire, des passages BUX fils paralleles, on obtiendra. a b cos I = - . dR = (7-7‘) sin’ 1. dD = 15 .cosD. cotgI. dR = (r-7’) cos D sin 21. La coin& .pr&&Iente a prdsenti plusicurs singularitis. Db la fin de Novemhre il a &d assez facile de s’appercevrrir qiie sa partie la plus lumilleusc n’occupoit pas le ceutrc luhc dc la ndbulositd, mais dtoit prks dn bord OppOSd a11 so!eil. Cette ndbulositd qui les premiers jours paraissoit avoir 12‘ B 1Y d’dtenduc a aembld diminuer coiitinudle- ment depuis Iors, quoique la distance Q la terre wit deveiiue de plus en plus foibIe jusqdau ii Ddcembre, et que celk au soleil aie toujours 6td en ddcroissant ce qd auroit du conjointement ce qu’il semble, faire p a r o h augmenter cette nthlosite. Cettc mawhe dtrograde ne pourroit elle dexplicp2er par l’effet d ’ w illusion produite par l’augmen- talimi de J’iIhmination centrale, pui ne permettoit pas de distinpr anssi bien les bords de la ndbulosit6. Je n’ai pu auivre cet astre que jusp’au 24 DQcemhrc au soir. I1 avoit beaucoup augment6 d’klat, et surpassoit la de I’Aigle de 5e grandeur, eeute itoile visible auprh dell dans le crkpuscule. S’aurois beaucoup desird le revoir encore un pen plus tard, parceque j’espdrois appercevoir sa queue qui n’est que rareincnt visible, et n’a dtti eneore je crois reniar- qu6e que deux fois parce qu’elle paroit ne se former que treize jours environ avant le PdrihBlie, puisque en 1829 cue ne pu se voir que le 14 Janvier. Apparement que d’autres observateun, auront it6 plus hcureux, et pourroot nous en donner des nouvelles. Les 25, 26 et 27 Dkceinhre le terns flit couvert, et le 28 au 8oir je ne pus rien soupponner dans la forte clart6 crdpusculaire qni inondoit tout lc champ du chercheur. Voici le moyen dont jc vous avois pnrM pour niesurer fe grossisscment des luneltes yui m’a paru lc phis siinylc et Ic plus facile B employer. I1 ne s’agit pour cela en effrt quc dc mesurer t’aangle QUC foriuent les. mpns provenant d’un of$et d’un diamhtre connu, au sortir de la luiiette. Le solcil par son grand dclat, m’a paru pliis particiditre- iuent proprc Q reqlir cet O~~CC. 11 n’y aura clonc qu’a prendre la dhension de son image au sortir de l’ociilaire ct B m e distance donnee, et B la divber par cette distance et par la douhlc tangcnte du demi diambtre dn sdeil. En preiiant la distance Cgale A la cotangelire dn cliarnhtre solaire, le nomhre mkme dcs parties dc I’6cliehe comprises dans I’dtendac de I’imagc exyrimcroit la qualit8 du gross&- sement. Ainsi en Janvier Fimnge duvroit Are recue et me- surde Q f05 parties de Pextrimitc! dc In lmette, en avril: et octohre 107, et en Juillet 109 parties lnais il faudroit Q la rigueur retrancher de la mesure prise, le diomitre cicb la pktite image qui ae forme, B l’extrdmitd de la lunette; oa au point & part$ duquel la distance aeroit comptir. Lorsque le champ de la lunelte sera plus petit qiie Ic iliamittre du soleil, ou pourra tracer prdalablement sur 1111 dcran, un cercle qdon fera concourir avcc la partie osten- sible des hords du soleil, on mieux encore, employer alors Ie dinmktrc m6me dn champ coniiu, A Ia place ctc celui du soleii. Mais s’il ddtoit pas d6terminh ii Favance, on ponrroit le mesurer par la mihe opdratioa, en compfant le nombrc de secoiLdcs qu’une tilche solaire emploiroit a le traverser centraleinent sur 1’6cran qui en rccevroit l’image. Ben.. VoZz. Dc la projeaion des Cartes Ce‘lcktcs par Mr. Benjamin Yakz. I1 paroit au premier apperqu que la projectioo la plus con- +ab1e pour reprdsenter le ciel dloi16, est celle qiie nous offre ditwteiuent la nature dcs chaee, oh l’oeil se trouve plac6 au csntre de la. splhre et qui est itijk employde en GnouroHiqw 11 semble en effet yu’il nc aauroit y avoir de reprdseirtetion plus qeturelle de la voute cdldste, et eUe jouit de la propridtd rernarquable que tous ies grands cerclea y sont projeitks par des lignes droites, ce qui peut prd- senter quelques avantegw dans certaines circoxstances: mais on doit cependant faire attention i ce que cette projection ne peut guke servir que pour reyrisenter des parties du ciel d’une mddiocre titeiiclue, car loin du centre les reprti- sentations g sont trop ddGgurdes, par l’alterafioii dcs an&cs, et du rapport des climcnsious en divers SCIW. Les petits cercles y dtant reprdsenth gdn6ralcinent par des ellipses et des hyperboles, l’angle droil des xuiriiliens et des paral1t:les peut y devenir nul, et c e ~ deux ,genres de ccrcles tendre au parallelisme les uns d l’dgard des autres. Les arcs tlc g r a d cercle, se projettant par des tangentes oh leurs diffb- reiices peuvent varier prodigieusemciit ct par consdqucnt

De la projection des Cartes Céléstes par Mr. Benjamin Valz

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Nr. 356. 904 Bans refraction, 5 un fil plus abaissd de la quantitd de cette mCme refraction, ce qui n’iiifhera donc pas SUP Ies donnies, et rendra le calcul intlkpendant de tout effet qiielconque de IGfraction. Voici Ies forrnules pour ce cas qui pourra pa- roitre un peu singulier. Soit a la distance comprise cntrc ICS fils parallhlcs, I l’htervalic des observations h ces fils reduit en arc de grand cerele, I Pinehaison du paralkle, T, T I les intervalles de terns obseirds dc Pun des fils paralli4cs a l’horisontal, d R la diffdrence des rdductions au Gl horaire, des passages BUX fils paralleles, on obtiendra.

a b cos I = - . d R = ( 7 - 7 ‘ ) sin’ 1.

dD = 15 . c o s D . cotgI . dR = (r-7’) cos D sin 21.

La coin& .pr&&Iente ’ a prdsenti plusicurs singularitis. Db la fin de Novemhre il a &d assez facile de s’appercevrrir qiie sa partie la plus lumilleusc n’occupoit pas le ceutrc l u h c dc la ndbulositd, mais dtoit prks dn bord OppOSd a11

so!eil. Cette ndbulositd qui les premiers jours paraissoit avoir 12‘ B 1 Y d’dtenduc a aembld diminuer coiitinudle- ment depuis Iors, quoique la distance Q la terre wit deveiiue de plus en plus foibIe jusqdau ii Ddcembre, et que celk au soleil aie toujours 6td en ddcroissant ce q d auroit du conjointement ce qu’il semble, faire p a r o h augmenter cette nthlosite. Cettc mawhe dtrograde ne pourroit elle dexplicp2er par l’effet d ’ w illusion produite par l’augmen- talimi de J’iIhmination centrale, pui ne permettoit pas de d i s t inp r anssi bien les bords de la ndbulosit6. Je n’ai pu auivre cet astre que jusp’au 24 DQcemhrc au soir. I1 avoit beaucoup augment6 d’klat, et surpassoit la de I’Aigle de 5 e grandeur, eeute itoile visible auprh dell dans le crkpuscule. S’aurois beaucoup desird le revoir encore un pen plus tard, parceque j’espdrois appercevoir sa queue qui n’est que rareincnt visible, et n’a dtti eneore je crois reniar- qu6e que deux fois parce qu’elle paroit ne se former que treize jours environ avant le PdrihBlie, puisque en 1829 cue

ne pu se voir que l e 14 Janvier. Apparement que d’autres observateun, auront i t 6 plus hcureux, et pourroot nous en donner des nouvelles. Les 25, 26 et 27 Dkceinhre le terns flit couvert, et le 28 au 8oir je ne pus rien soupponner dans la forte clart6 crdpusculaire qni inondoit tout lc champ du chercheur.

Voici le moyen dont jc vous avois pnrM pour niesurer fe grossisscment des luneltes yui m’a paru lc phis siinylc et Ic plus facile B employer. I1 ne s’agit pour cela en effrt quc dc mesurer t’aangle QUC foriuent les. mpns provenant d’un of$et d’un diamhtre connu, au sortir de la luiiette. Le solcil par son grand dclat, m’a paru pliis particiditre- iuent proprc Q r e q l i r cet O ~ ~ C C . 11 n’y aura clonc qu’a prendre la dhension de son image au sortir de l’ociilaire ct B m e distance donnee, et B la divber par cette distance et par la douhlc tangcnte du demi diambtre dn sdeil. En preiiant la distance Cgale A la cotangelire dn cliarnhtre solaire, le nomhre mkme dcs parties dc I’6cliehe comprises dans I’dtendac de I’imagc exyrimcroit la qualit8 du gross&- sement. Ainsi en Janvier Fimnge duvroit Are recue et me- surde Q f05 parties de Pextrimitc! dc In lmette, en avril: et octohre 107, et en Juillet 109 parties lnais il faudroit Q la rigueur retrancher de la mesure prise, le diomitre c i c b

la pktite image qui ae forme, B l’extrdmitd de la lunette; oa au point & part$ duquel la distance aeroit comptir. Lorsque le champ de la lunelte sera plus petit qiie Ic iliamittre du soleil, ou pourra tracer prdalablement sur 1111

dcran, un cercle qdon fera concourir avcc la partie osten- sible des hords du soleil, on mieux encore, employer alors Ie dinmktrc m6me dn champ coniiu, A Ia place ctc celui du soleii. Mais s’il ddtoit pas d6terminh ii Favance, on ponrroit le mesurer par la mihe opdratioa, en compfant le nombrc de secoiLdcs qu’une tilche solaire emploiroit a le traverser centraleinent sur 1’6cran qui en rccevroit l’image.

Ben. . VoZz.

Dc la projeaion des Cartes Ce‘lcktcs par Mr. Benjamin Yakz.

I1 paroit au premier apperqu que la projectioo la plus con- +ab1e pour reprdsenter le ciel dloi16, est celle qiie nous offre ditwteiuent la nature dcs chaee, oh l’oeil se trouve plac6 au csntre de la. splhre et qui est itijk employde en GnouroHiqw 11 semble en effet yu’il nc aauroit y avoir de reprdseirtetion plus qeturelle de la voute cdldste, et eUe jouit de la propridtd rernarquable que tous ies grands cerclea y sont projeitks par des lignes droites, ce qui peut prd- senter quelques avantegw dans certaines circoxstances: mais on doit cependant faire attention i ce que cette projection

ne peut guke servir que pour reyrisenter des parties du ciel d’une mddiocre titeiiclue, car loin du centre les reprti- sentations g sont trop ddGgurdes, par l’alterafioii dcs an&cs, et du rapport des climcnsious en divers SCIW. Les petits cercles y dtant reprdsenth gdn6ralcinent par des ellipses et des hyperboles, l’angle droil des xuiriiliens et des paral1t:les peut y devenir nul, et c e ~ deux ,genres de ccrcles tendre au parallelisme les uns d l’dgard des autres. Les arcs tlc g r a d cercle, se projettant par des tangentes oh leurs diffb- reiices peuvent varier prodigieusemciit ct par consdqucnt

Nr. 156. 206

aussi le rapport des dimendon8 diverscs; ce qui pre‘senteroit SOUS les deux rapporls d’assez graves iircsnwhiens. La pro- jection l a plus naturclle n’ofEre dmic pas les avantages qii’on doit desirer, et qui puissent lui mdriter la prdfdrence. Dam l’impossibilit6 de satisfaire B toutes les conditions convenables, on sera oblig6 de faire varier la construction des cartes cb- lestes comme pour cclle~ dites gdographiqucs et marincs 6elon I’cmploi auyiiel ellcs seroient destinkes. Aiiisi par exemple si I‘on vouloit se servir des premii.rcs principale- ment pour le trace de la route des coin&tes, ou des quatre moderiles plauettiles, conline elle s’icarte peu en gQnera1 d’un arc de grand cercle, la projection gnomoniquc poiirroit offrir de l’avantage par la facilitJ qu’elle donne de le reprdsenter par une droite irienPe par deux points doin~Cs dc position seulement. Mais dam d’autres C ~ S O?I l’on auroit hesoin cle confronter les cartes avcc le ciel, comnie pour la confection des pr6cieuses cartes cdlestes, clue l’academie des scieiices dc Berlin propose au zi .1~ des expIorateurs des regions COS-

miques, et sur lesqrrelies les Qtoilcs doiveiit &e placies pa r cornparaison eiitr‘elles, et par une estimation a vue, il cst wrtoiit de nicessitb, que les cerclcs s’y coupent sous lcs m h e s angles qiie sur la sphkre, et que le rapport des diuierisions en di\ers sens y soit aiissi le mt‘me. I1 seroit dc plus a desirer que le tr& dee lignes dc construction en fut simple et facile. Les cartes rdduites clc nIercator pour- roient satisfaire aim coriditioiis con\ enables dam ]e voisinage de l’equateur, luais les rigions polaires ofb-iroient trop dc diff6rences avec lenr aspect naturel. La grandeur des degrth des meridiens y varie heauconp trop, ct m&mc jnsqu’a l’infini, ainsi q w dans la projection orthograpliique, et gnoluonique, mais surtout le plus rapideluent clans cuttc derniPre , car ils sont eutr‘car dans les cartes re‘duites , in- versenieiit coiunie les sinus des distances au pole; dam la projection orihograpliiquc coiniue lcs diffircnces de ces sinus, ou coinme leurs cosiniis pour de petiis arcs; et dans la gno- monique comne les diffdrences de lews iaiigenies, ou coninie le carrb des sCcantes O I L 17inverse dii carrL: des cusiniis. ilinsi a i o du pole les degrds (les meridiens eont 57 fois plus grands que vers I’drjiiateur des cartes rdduites. Ce rapport est le niBnie ilu centre et h 890 de l h , pour la projection orthographique , iuais pour la giiomonique il seroit inverse et cleve‘ a u cam&, ou bier1 Ies degrtk sorlt 3283 fois plus petits au cenlre qu’h 89 O de ce poinl. En chercliant B parer a ces incouvenicns pour parvenir A iiiie repr6sentation plus favorable d i i ciel ctoil(:, i l nous h paru cp’on puurroit p satisfaire assez convenaldement , e n f ip ran t les iuQridiens par des lignes droites concourant en iin nieme point, p i 6eroit le cenlre de cercles reprdscntant lcs parallkles, et dollt on ddtcrmineroit la grandeur d’apres la conditiou que les &men-

D = tang z is

Ce yui SC rapporte cornme on voit e u effet i la projection attribiie‘c ordinairement h Ptolcmde, mais qiii paroit plut6t due h IIyparque. Elle Qtoit d6signke par les anciens seule,mnc+t sow I’expccssion gdneriqiie de Planisphkre, mais ctepuis deux sikcles le Jcsiiite Aguilon a propose de Ini donner le noni de stdr$ographiyue, d’apris des motifs il est

vrai qui sont loin d’Ctre rigoureux *). I1 ne paroit pas qii’on lni cut encore accord6 la propridtk qu’on vient de lui reconnoi‘tre. On nc pouvoit gu&re en effet y &re amen4 d’aprks leg wid6 principes de sa construction, et il est h prdsunier que pour ccla, il falloit peut-6tre un h a r d aim hgne h celui qui nous a port; B rCsoudre le problenie yue lious I ~ O U S ~ o i u i n e ~ proposd, i l’occasion dcs noiivelles cartes cdlestes que l’on devra B l’heuiceuse inspiration de l’acaildmis de Prusse.

LCS ancicns paroissent n‘nroir reconnii h la projection prdtdltcnte que l’iine des trois propriitks qui h i appartien- nent, celle de reprdsenter par des cercles ou des droitcs tous lcs cercles de la sphbre. Qnant h celle de conserver les angles tels qii’ils sont en rialitd, elk paroit n’avoir Ctk con- nue que dcpiiis l e milieu du dernier sihcle: elle ogre beau- coup d’iiitdre“t pour la confection dcs cartes celestes piriq-

qii’elle procure I‘avaiitage d’obtenir les iu$mes anglcs qne sur la spltPre et de ne pas alierer ainsi les directions di-

*) Quad iiniversam corporis objecti prnfiinditatern et periphe- riam ipsarn ugico prospectu explanet. Dam son optique. Anvers 1613.

I4*

307

1111d da ich bci diesen wieder die Vergleichungssterne fur deli p** Rand in den Morgenstunden vermibte, SO iiber- eeilde icli Ilinen beiliegend einen Catalog von dam dien-

Nr. 156.

Pariser Meridian, die Ded. die wahre fiir denselben &&xi- dian und in der letzten Columne hefilldet sich die Bewe- gnnp des Mondes in AR. und in einerMondsstunde. Sclijver-

verses. Enfin la troisihme propriktd recunnue ci- dessus vient C'est sans doute tout ce qu'on pouvoit raisonnable- completter et faire apprdcier encore mieux tous les mdrites I ment espCrer d?une reprksentation de la sph6re 811r un plan, de cette projection, en montrant que les rapports de8 dimen- et ddsirer pour la construction la plus convenable des sions dans les deux Sens sont rigoureusement teh Que sur la I cartes c816stes.

Observatious de la Comhte de Mr. Encke.

sphhe.

Dates. w

1828. Octobre 30. 31.

Noveuhre 2. 50.

12.

29-

30.

DBcemhre 2.

4. 5.

10.

11.

12.

13.

14.

19.

21.

23,

24.

T.M. de min. - 11

22 20 30' 22 47'38" 21 56 18

21 17 54

19 I1 I 7

18 42 49

20 13 6

21 4 30 19 33 2

18 21 43

19 5 38

19 18 15

20 1 8

I8 39 48

18 10 I S

17 54 45

17 45 17

I 7 56 22

Etoiles compar. Diff. AA. Diff. D. Asc.dr. Corn. DIM. Corn. - -- -- I

Piazzi XXIII. 60 - 15 estirud 3480 s' XXIII. 23 $- 15 id. 347 0

56 Pe'gase - 14/30'' 344 27' 15l'

334 59 2

332 45 18

113 f 19 30 He C. p, 32. Et. II2e

109 - 34 30 Ha C. p. 32. Et. IOS

33 Pdease - l o 5 0 50 H. C. i. i 10. , Et. 2e Piazzi XXI. 29. Y Petit cheval H. C. p.110. Et. 6e H. C. p.109. Et.114e - 16 25- -28 40

118 -2O 1 20 312 45 2 p.110. Et, 1 e -2 10 0

14 Dauphin + 26 0

H.C. p.188. Et. 58e + 4 0 + 23 50 309 52 29 14 Dauphin - 2 s 5 - 29' 2;{ 310 47

67e -1'48 I 5

- l o 52$ 300 24 18 H.C. p.97. Et.Iie +I 23 35 ' Et.12. 4-1 14 52 + 32 26

2; 4 6 B.

9 5 4 6

8 37 11

6 44 52

3 27 25

2 42 40

2 o 4 3 B

O 30 29 B

- 3 38 46 A

- 37 o- - + I S o {

2ol 291 33 21 - 5 27 33 42 Antino.

H. C. y.101. Et. 2e H.C. p.99. Et.61. -1015 20 + 22 29

Et.5e -1016 40 288 45 28