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Démarrage coopération BOAD/FIDA: 1986 Nombre de projets administrés/cofinancés: 26 dont 12 achevés et clôturés, 10 cofinancés Montants: 229 765 Millions F CFA

Démarrage coopération BOAD/FIDA: 1986

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Démarrage coopération BOAD/FIDA: 1986. Nombre de projets administrés/cofinancés: 26 dont 12 achevés et clôturés, 10 cofinancés Montants: 229 765 Millions F CFA. Résultats. Organisation/renforcement des capacités des bénéficiaires Promotion des productions des capacités des bénéficiaires - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Démarrage coopération BOAD/FIDA: 1986

Démarrage coopération BOAD/FIDA: 1986

Nombre de projets administrés/cofinancés: 26 dont 12 achevés et clôturés, 10 cofinancésMontants: 229 765 Millions F CFA

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Résultats

• Organisation/renforcement des capacités des bénéficiaires

• Promotion des productions des capacités des bénéficiaires

• Financement rural• Infrastructures rurales

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Insuffisances

1. Coordination dans les missions de supervision/d’appui

BOAD/FIDABOAD/Emprunteur/Projets

2. Évaluation des effets et impact• Résultats• Effets

Mesurer: Comment? Par qui? et Quand?• Impacts

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3. Participation des bénéficiaires• Réflexion/planification des actions• Mise en œuvre des actions• Modalités de gestion de fonds de bénéficiaires• Suivi/Évaluation des actions

4. Financement rural• Difficulté de trouver des solutions adaptées• Problèmes institutionnels• Problèmes d’accessibilités des bénéficiaires pour

financement

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5. Aspect genre

• Femmes• Jeunes• Hommes

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6. Système de gestion fondé sur les résultats et impacts

7. Partenariat

• Entre projets FIDA

• Entre projets et autres intervenants de la même zone

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Principales leçons tirées• La nécessité de réaliser une étude socio-économique

de base/référence; • L’estimation des coûts des composantes physiques

méritent d’être approfondie en prenant pour base les coûts unitaires des marchés frappés d’une provision suffisante (10 à 15 %) liée au délai d’acquisition;

• la nécessité d’introduire une souplesse en élaborant le PTBA du projet et prévoir une rubrique activités non encore identifiées mais rentrant dans les objectifs du projet;

• les formations et voyages d’études devront concerner principalement les bénéficiaires par groupes d’intérêt (jeunes, femmes);

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• la réalisation des infrastructures rurales (pistes, points d’eaux, magasins de stockage, salles polyvalentes) demeure la base concrète de mobilisation effective des bénéficiaires et par voie de conséquence, leur adhésion sans réserve aux objectifs du projet;

• il est souhaitable de centraliser l’initiative des missions au niveau de ministère de tutelle qui devra recevoir les TDR et la composition 10 jours avant le démarrage des missions;

• l’élaboration d’un chronogramme des activités à entreprendre à l’issue des missions de supervision permet aux parties concernées de disposer d’outils de planification et de suivi des performances réalisées ou à réaliser.

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CONCLUSION

• La BOAD et le FIDA entretiennent une coopération exemplaire d’une vingtaine d’années qui mérite d’être renforcée et périodiquement revue, pour prendre en compte les évolutions dans les zones d’intervention et en particulier dans nos institutions.

• La relation BOAD/FIDA est une relation de coopération entre institutions et non une relation d’institution/prestataire de service, qui devra tenir compte des spécificités de chacune d’elles.

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• La banque s’inscrira dans la mouvance des évolutions au niveau du FIDA et des nouveaux enjeux du développement. Ainsi, avec l’appui du FIDA dans son rôle d’institution coopérante, elle veillera à l’appropriation par les projets des concepts de gestion fondés sur les résultats et l’impact (RIMS) et d’analyse socio-économique selon le genre (ASEG).

• La banque ne ménagera aucun effort pour l’amélioration de la relation à nos deux institutions et pour l’amélioration des performances des projets en développant la concertation et l’information.