27
1

déroulé kickoff commerce connecté - Digital Aquitaine · Cf. plaquette Club Commerce Connecté ... collectivement faire croître le panier moyen d’achat du touriste en Aquitaine

  • Upload
    vukien

  • View
    217

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

1

Cf. plaquette Club Commerce Connecté http://digital‐aquitaine.com/docs/Plaquette_CCC_DigitalAquitaine.pdf

« Avec ce club, permettons aux commerçants d’Aquitaine de bénéficier des savoir‐faire numériques locaux pour 1) individuellement, envisager sereinement et de façon pragmatique la transition numérique et 2) collectivement faire croître le panier moyen d’achat du touriste en Aquitaine »

2

Cf. plaquette Club Commerce Connecté http://digital‐aquitaine.com/docs/Plaquette_CCC_DigitalAquitaine.pdf

« Créé en novembre 2014, le pôle Digital Aquitaine se dote aujourd’hui du Club Commerce Connecté, un amplificateur de projets innovants, toutes formes de commerce confondues. Ses initiatives, ses compétences pourront générer des synergies avec les autres thématiques fortes du pôle : transports intelligents, mobilité, objets connectés, etc. »  

3

Vidéo Emmanuel Grenier, PDG de Cdiscount, co‐CEO de Cnovahttps://www.youtube.com/watch?v=Y‐5prJiHBp0

La création du Club Commerce Connecté dans Digital Aquitaine est une étape clé pour tous, car tous ont besoin les uns des autres:• créativité des startups• offre produits de tous les commerçants locaux• taille grands groupe pour déployer les initiatives

Le Club Commerce Connecté pour cimenter et concrétiser les projets

4

Cf. plaquette Club Commerce Connecté http://digital‐aquitaine.com/docs/Plaquette_CCC_DigitalAquitaine.pdf

« Le Club Commerce Connecté, cela doit être la rencontre des expertises et savoir‐faire du retail online et offline, la synthèse du meilleur des deux mondes. A travers cette dynamique, nous voulons faire de l’Aquitaine le laboratoire d’initiatives concrètes qui porteront la croissance des entreprises de la région. »

Bonsoir à tous,

Je suis très heureux d’être ici ce soir et comme le disait Emmanuel Grenier à l’instant, nous avons besoin de vous.Nous avons besoin des commerçants pour compléter l’offre de Cdiscount. Près de 500 commerçants proposent déjà leur offre sur le site Cdiscount et nous voulons développer cela. Notre ambition n’est pas de référencer l’ensemble des produits en propre, dans nos entrepôts. Nous croyons qu’il faut s’appuyer sur l’offre des commerçants locaux et leur permettre d’accéder aux clients digitaux. Aujourd’hui, le client digital s’informe d’abord sur internet et accéder à ce trafic est une réelle valeur pour les commerçants. On voit que les frontières entre e‐commerce et commerce s’estompent

Nous avons également besoin des start‐up pour innover. La différenciation est clé pour gagner notre combat face à nos concurrents américain et chinois. Nous croyons dans le travail avec les start‐up car nous avons déjà fait de nombreux projets d’innovations concrets qui marchent. En 2014 nous avons ouvert nos API et monté des projets innovants avec plusieurs start‐up présentes ici ce soir.

Enfin, nous avons besoin des acteurs publics, la Région et la CCI, qui nous aident à nous rencontrer, à travailler ensemble et à monter des projets. Notre souhait, c’est que la région Aquitaine et Bordeaux 

5

soient l’un des meilleurs endroits au monde pour entreprendre dans le e‐commerce. D’autres régions l’ont fait, on voit que cela marche. A nous de relever le défi !

5

Vidéo de Catherine Barba https://www.youtube.com/watch?v=KqQdYWXUIr0

• 1999 à 2003, rejoint le site iFrance créé par Marc Simoncini• 2004, crée le portail de shopping Cashstore, un site de cashback, qu’elle revend en 2010 au groupe 

Plebicom avec ses 500000 utilisateurs et 1200 sites e‐commerce partenaires• 2005, développe le cabinet de conseil en e‐business Malinea qu’elle vendra en 2011 aux fondateurs de 

vente‐privee.com avec qui elle sera associée dans Digital Commerce Factory jusqu’en 2012.• 2010, crée le Lab e‐commerce, le Laboratoire des start‐ups innovantes, tendances digitales et bonnes 

pratiques e‐commerce soutenu par La Poste, vente‐privee.com et Euratechnologies• 2011, publie l’étude 2020, la fin du e‐commerce… ou l’avènement du commerce connecté ? en 

association avec la Fevad et la DGCIS• 2012, fonde et dirige CB Group pour accompagner les enseignes de la distribution physique et les 

grandes marques dans leur transformation interne autour du digital et des clients.• 2013, publie Le Magasin n’est pas mort ! avec le soutien de la Fevad (Fédération du e‐commerce et de 

la vente à distance) le Ministère de l'Économie et des Finances (France) et Banque populaire.

Notamment:• Félicitations et encouragement Digital Aquitaine• Clin d’œil au travail de terrain des CCI• Mentions de Cdiscount, Concoursmania, FidMe…• Fin de la séparation brick & mortar / pure player: l’enjeu est d’être customer centric dans un monde 

omnicanal• Retour sur les tendances du Retail’s Big Show 2015 à New York le mois précédent• Lien avec Cap Digital et avec le reste du monde

6

Le pôle a été officiellement créé le 3 novembre dernier, par le rapprochement de trois assos et clusters préexistants qui porteront au sein de Digital Aquitaine un domaine d’excellence: la santé pour TIC santé, les transports intelligents et la mobilité pour Topos Aquitaine, le hardware et les devices pour Adeiso, tous partageant un socle transversal à la fois technologique et stratégique: celui de la maîtrise des données et de leurs usages innovants (big / smart / open data)

Ceux qui partagent l’aventure Digital Aquitaine depuis le début savent que des ateliers thématiques ont réuni fin 2013 plus de 200 personnes et que dans ce cadre s’est imposée l’évidence d’un 4e domaine d’excellence, autour du commerce connecté…

D’ailleurs, je m’aperçois que je ne me suis pas présenté à ceux qui rejoignent l’aventure aujourd’hui: je m’appelle Eric Culnaërt et j’ai rejoint Aquitaine Développement Innovation il y a deux ans, précisément pour accompagner la création de Digital Aquitaine. Maintenant que cette dynamique issue des entreprises a abouti, je vais me concentrer sur la création du Club Commerce Connecté, avec notamment Antoine Chotard, responsable veille et prospective chez AEC, et Erwan Simon, mis à disposition du pôle par Cdiscount, où il fait partie de la direction de la stratégie.

Cela fait donc au moins trois personnes sur lesquelles vous appuyer dans le cadre de la dynamique à laquelle nous vous convions: créer ensemble le 4e domaine d’excellence de Digital Aquitaine, le Club Commerce Connecté. Sachez également que nous ne partons pas de rien, et que sans attendre la création officielle du pôle nous avons d’ores et déjà prototypé un certain nombre de choses: partenariat avec Cap Digital dans le cadre de L’Aquitaine à Futur en Seine, qui a permis à une 10aine de startups aquitaines de s’exposer au sein du Village des Innovations, ou encore émergence et accompagnement de projets à la faveur des appels à projets numériques de la Région (nous n’avons repris ici que les projets à dimension commerce connecté).

7

Rejoindre une dynamique ça peut être sympa, mais pour quoi faire? Un pôle comme Digital Aquitaine, ça fera quoi?

Le pôle va vivre selon au moins deux niveaux: celui de la dynamique globale, qui portera une offre de service partagée transversale, et celui de chacun des domaines d’excellence, autour d’axes thématiques structurants – l’idée étant bien sûr que ces domaines d’excellence créent de la valeur pour les entreprises non seulement en leur sein, mais également grâce aux passerelles qu’ils créeront entre eux. Un exemple évident: entre un Topos Aquitaine et le Club Commerce Connecté, il y a sûrement des choses à faire en matière de livraison, de dernier kilomètre, ou encore de géolocalisation indoor au sein d’un centre commercial.

Si on se focalise sur la couche « haute » du pôle, la couche transversale, elle apportera aux entreprises des services individuels (sur l’international, sur les RH, sur le financement, etc.) – l’idée n’étant surtout pas de faire doublon avec l’existant, mais d’en faciliter l’accès, au contraire, et, en cas de manque constaté, d’aller chercher des solutions, notamment auprès de partenaires comme Cap Digital, pôle de compétitivité mondial dont l’expérience et l’expertise sont précieuses,

Une autre mission transversale sera d’assurer la visibilité du pôle, de la marque collective et des entreprises qui la constituent, en lien avec les autres marques du territoire, à commencer par Bordeaux Métropole French Tech. Bien évidemment, un second niveau de visibilité sera également développé, à l’échelle de chacun des domaines d’excellence, par l’organisation ou la participation à des événements thématiques pertinents.

Mais le cœur du réacteur, ce sera la dynamique d’animation orientée projets, projets collaboratifs mais pas que. Tout l’enjeu sera de multiplier les occasions d’échange autour de questions certes stratégiques 

8

mais également le plus opérationnelles possible, afin qu’émergent ou que sortent des cartons des projets que nous pourrons accompagner jusqu’à leur concrétisation, par l’apport éventuel de partenaires, par l’aide à la définition et par la recherche de cofinancements. Cela vaudra au jour le jour, cela vaudra encore plus à la faveur d’opportunités comme l’appel à manifestation d’intérêt numérique régional doté de 5M€annoncé par le Pdt Rousset lors des Destinées numérique le 27 novembre dernier.

A ce propos, l’une des missions d’un pôle comme Digital Aquitaine est de créer une relation privilégiée entre potentiels financeurs et porteurs de projets, par la labellisation de ces projets. Ce qui ne signifie pas que demain Digital Aquitaine aura vocation à arbitrer les financements par la simple apposition d’un coup de tampon: cela signifie que le pôle aura pour mission d’accompagner et de bonifier les projets qui lui seront soumis jusqu’à pouvoir les faire bénéficier de sa marque, et de faire de cette marque, au fil du temps, un gage de qualité facilitant l’accès aux financeurs. Et ce processus, qui sera mis en place progressivement, supposera que vous, membres de Digital Aquitaine, puissiez mobiliser votre expertise au service de ces projets – mais nous y reviendrons le moment venu.

8

Le commerce connecté c’est vaste, les enjeux sont multiples et les cas d’usage divers, et derrière se posent des questions d’outils et de formation=> Pour organiser les travaux (veille, réflexion stratégique, études, voyages de découverte, émergence et montage de projets), on vous propose des « boîtes » dans lesquelles chacun est invité à se projeter de façon préférentielle selon ses centres d’intérêt

Ces boîtes présentent des zones de recouvrement, elles ne sont pas étanches: l’équipe opérationnelle du Club Commerce Connecté est là pour assurer les passerelles et veiller à ce que chacun bénéficie de toute l’information et de tous les contacts qui peuvent lui être utiles, même s’il ne peut pas participer à tous les groupes de travail sur tous les sujets

Les participants sont invités à faire le choix de la ou des boîte(s) auxquelles ils souhaitent être associés (cf. bulletin d’adhésion trouvé en s’asseyant), on va leur en dire un peu plus sur chacune d’elles – rien de mieux pour ça que de faire parler ceux qui d’ores et déjà se sentent engagés dans l’une ou l’autre

9

Le magasin n’est pas mort ?  : depuis 2010, 2011 on annonce la fin du ecommerce et l’avènement du commerce connecté en 2020 (Barba FEVAD 2011). Le réél, la rue, le magasin serait donc l’avenir du numérique dans le commerce. On ne vous rejouera pas ce soir les dizaines d’exemples que nous avions montrés lors de la table ronde « originelle » de ce club mais Digital Aquitaine et particulièrement le club se mettent en ordre de marche pour accompagner ce mouvement et nous allons vous présenter 3 cas spécifiques lié à l’acte d’achat en magasinL’ère du mobile et du eCommerce a changé la donne et transformé les clients en internautes experts effrontés ;‐) (sur la plaquette du Club Commerce Connecté, les stats le montrent: nombre de canaux multiplié par 2, showrooming…) Comment en tant que manager de grandes enseignes, en tant que petit commerçant, répondre à ces bouleversements ? Est‐ce aussi une belle opportunité pour mieux qualifier ses clients enrichir l’expérience ?

Nous allons évoquer les grands comptes comme la Poste et Cultura mais tout d’abord nous allons passer la parole à Frédéric Pérès, Responsable Performance numérique à la CCI Bayonne Pays Basque : cet avènement du commerce connecté, cette transformation des points de vente, est‐ce qu’elles concernent les petits commerçants : est‐ce nécessaire pour eux d’innover ? ne serait‐ce que pour réussir à maintenir leur activité ?

Faits saillants• Faire entrer avec pragmatisme le numérique dans le magasin et démocratiser des pratiques plus fines 

de connaissance client.• Street 2 Store / Web 2 Store / Extension de Gamme• Hausse du panier moyen d’achat du touriste en Aquitaine• Au centre du dispositif, à côté des technologies, il y a des usages et de l’humain, le client mais aussi le 

vendeur, le commerçant

10

Eric
Note
Frédéric Pérès, Responsable Performance numérique à la CCI Bayonne Pays Basque
Eric
Note
Olivier Léonard, Directeur organisation et projet commerce connecté chez Cultura
Eric
Note
Olivier Baccialone, en charge du développement région et durable dans le sud ouest pour le groupe La Poste

Intérêt du club : décloisonner les compétences et renforcer une démocratisation de la transformation numérique des commerçants

Frédéric Pérès nous explique le besoin de rester pragmatique dans l’introduction du numérique dans les pratiques quotidiennes des enseignes. Du coté de Cultura, une enseigne de vente de biens culturels que l’on ne présente plus, vous avez opéré depuis maintenant quelque temps une mutation commerce connecté, notamment à travers « l’empowerment du vendeur ». Olivier Leonard vous êtes Directeur organisation et projet commerce connecté dites‐nous si la digitalisation du point de vente passe par la digitalisation du vendeur ? que vous n’appelez plus comme ça d’ailleurs !

Faits saillants• être à minima au même niveau de connaissance que le client donc disposer des mêmes outils• « Côte à côte »• Le vendeur conseiller porte ouverte sur l’univers web de l’enseigne, un apporteur de nouvelles valeurs 

ajoutées (front office relation client / back office collecte des données)• Donc Accompagner le changement de métier dans un univers omni canal, d’où des enjeux de formation 

et de motivation

Intérêt du club : identifier les compétences et les talents numériques en région

L’expérience d’achat, afin qu’elle devienne toujours plus fluide, simple et enrichie, c’est aussi au delà du magasin, une façon de gérer les flux et la logistique. On le voit, Olivier Baccialone, la pression des usages implique des services de plus en plus sans couture et transparents pour le client, quels sont les enjeux logistiques pour la Poste et ses clients ? Je précise que vous êtes pour le groupe La Poste en charge du développement région et durable dans le sud ouest !

Faits saillants• Plus d’opposition entre magasin et vente en ligne, design de service sans couture• Livraison sur mesure• Où je veux quand je veux• Casiers connectés reflet d’une extension du réseau• Réassurance de nos clients / offrir un cadre de confiance numérique

Intérêt du club : identifier les start‐up innovantes nous permettant d’alimenter notre start‐in Poste

En conclusion, 2 bénéfices adhérents:

Pour les offreurs numériques1. Ouvrir un accès mutuel aux acteurs traditionnels du commerce, qualifier le degré d’innovation 

recherché2. Packager des offres correspondant à la réalité du tissu économique et à une réalité culturelle 

numérique

Pour les commerçants, enseignes ou marques1. Identifier les compétences et les talents numériques en région2. Décloisonner les compétences et offrir un cadre de confiance dans l’expérimentation

10

Pour reprendre le message de Catherine Barba, le magasin n’est pas mort. Ecommerce et commerce physique sont un seul commerce à travers un process multiple d’achat : mobile / web / magasin dans tous les différents sens. La frontière est de moins en moins évidente et va disparaître. 50% des acheteurs passent d’abord par le mobile avant le magasin.

Dolist – Intro/Profil de Dolist et Jean‐Paul Lieux: Dolist propose des solutions de e‐mailing et data‐marketing – (fidélisation client)Jean Paul est cofondateur et directeur associé, depuis 14 ans créé en 2000… rôle auprès des clients evolue (fidélisation des commerçants et magasin connecté) 50 personnes et 100000 campagnes gérées pour le compte de ses clients en 2014

Jean‐Paul LieuxJusqu’ici nous avions surtout accompagné des e‐commerçants (souvent des ‘pure players’) dans leurs dispositifs de fidélisation clients. Nous les aidons à collecter, rassembler, enrichir les données de leurs clients et à leur adresser des messages. Ces emails sont de tous types : informations, promotions, invitations, messages transactionnels ou de services, enquête de satisfaction, jeux, relances…Personnalisés, souvent automatisés, ces messages accompagnent le client dans cycle de vie : son accueil, son premier achat, les achats suivant (quand on peut vraiment parler de ‘client’) et jusqu’à la réactivation… Puis nous avons commencé à travailler avec des clients qui avaient des points de vente …

Voilà ce que nous avons appris : 

1. Collecte de données : c’est plus facile et plus efficace. Nous collectons des informations plus qualitatives: quand on sait que 1 personne sur 2 est prête à donner de fausses informations pour protéger sa vie privée quand il est sur le web 

11

Eric
Note
Jean-Paul Lieux, cofondateur et directeur associé chez Dolist
Eric
Note
Tanguy Caradec, Directeur de la stratégie chez Cdiscount
Eric
Note
Stéphane Van Overstracten, PDG de CA Logistique, cofondateur de l'accélérateur ecommerce Digit'Halles

Nous collectons davantage plus d’informations: Jusqu’à 1 visiteur sur 2 avec de bons dispositifs. Quand nous obtenons un maximum de 10 voire 15 % des visiteurs si dispositif web est très optimisé … POURQUOI : le point de vente, c’est la possibilité de créer de la confiance, d’expliquer, de rassurer …

2. Trigger Marketing ou marketing automatisé : en magasin aussi ! Pour les magasins en ligne, nous mettons en place des messages automatiques comme, par exemple, des relances de paniers abandonnés. En point de vente nous pouvons aussi utiliser du marketing automatisé : envoie d’un message au passage en caisse pour l‘inviter à dire sa satisfaction, ou à s’inscrire à un programme marketing relationnel pour bénéficier d’avantages en magasins. 

3. Générer du trafic : sur le web et aussi en magasin Nous savons que ces campagnes digitales génèrent toujours du trafic sur les dispositifs en ligne. Nous avons appris qu’elles peuvent aussi générer du trafic en point de vente. D’après la dernière étude sur les comportements d’achat des français (EMA oct 2014), l’e‐mail est le 2ème canal digital générateur de trafic en magasin (28%), le premier est le SMS (43%). L’email sur mobile comme le SMS est un bon canal qui permet de transporter (physiquement) son invitation ou son avantage.

Pourquoi avoir rejoint le Club Commerce Connecté ? 

Le passage du client en point de vente et la mobilité du consommateur multiplie les possibilités d’un marketing de proximité. En matière de collecte de données, par exemple. Aujourd’hui, nous expérimentons l’utilisation de la photo (avec la mode du « selfie ») en point de vente comme point de départ ou de réactivation de la relation (quand j’essaie un vêtement, je réceptionne ma nouvelle voiture, ou réalise moi‐même le plat qui régalera mes amis) En matière d’automatisation de message … Le passage en caisse pour activer un message personnalisé par e‐mail ou sms : enquête de satisfaction par exemple. Les technologies de géolocalisation de type beacon permettent aussi d’imaginer un adressage de messages personnalisés et incitatifs. Le commerce est aujourd’hui connecté car l’individu est lui‐même connecté. Le client est au centre, il utilise le digital parce que c’est pratique et de la proximité de son point de vente parce que cela le rassure. Le sujet n’est pas simplement technologique. Les paramètres de la performance sont dans les usages. Si le client est au centre, la marque devra aussi créer la confiance nécessaire à une relation durable.

Transition : On voit ce rapprochement de certains du web vers les magasins… qu’en est‐il pour les pure players comme Cdiscount ?

Cdiscount – Intro/Profil de Cdiscount et Tanguy Caradec : L’ADN de Cdiscount, c’est bien la vente en ligne, c’est clair, mais vendre en ligne c’est toujours vendre et l’enjeu c’est que le client soit servi. il faut sans cesse innover pour se démarquer là‐dessus, Tanguy, Dir. Stratégie de Cdiscount, après 5 ans chez Voyage SNCF  Question de lancement : Tanguy, on a compris la volonté d’ouverture d’Emmanuel Grenier et Cdiscount… mais en quoi Cdiscount innove dans la vente en ligne et le commerce connecté ? 

Tanguy Caradec:

Cdiscount a lancé depuis 2014 un service novateur de disponibilité immédiate qui permet à des clients d’acheter sur cdiscount.com des produits vendus par des magasins physiques et de les retirer dans la journée dans le magasin du vendeur.A date, la disponibilité immédiate c’est 449 vendeurs dont 

139 à Bordeaux35 à Nantes55 à Lyon77 à Toulouse C’est 168k offres en ligne C’est aussi le déploiement à Marseille (février) et Paris (mars) en 2015

11

Les demandes clients évoluent et de nouvelles opportunités s’ouvrent sur la livraison.De nombreux acteurs se positionnent sur la livraison du dernier kilomètre. Nous cherchons à identifier comment ajouter de nouveaux services comme la livraison express (entre 1h et 3h) sur les zones urbaines. C’est ce que propose Fnac avec deliver.ee. Demain nous pourrions proposer un service s’adressant à une cible de clients souhaitant disposer d’un produit rapidement sans se déplacer

Transition : La dispo immédiate montre l’importance portée au service de livraison et toute la chaine logistique… alors tournons‐nous vers un spécialiste avec CA logistique… en quoi le commerce connecté importe à CA logistique ?

CA logistique – Intro/Profil de Stéphane Van Overstracten, CA logistique ‐ Digit’Halles,: Stéphane est un entrepreneur, qui a créé il y a 8 ans dans son garage une entreprise qui aujourd’hui represente 26 personnes, 3,5M€ de CA et 25 000 de commandes traités par mois… il est aussi membre du CA d’ecom33,  l’association des ecommercants girondins, CA logistique propose du conseil et de la prestation en logistique multicanal (b2b, b2c, reseau de magasins, pureplayers… le panel large de clients)  Question de lancement : Stéphane, peux‐tu nous expliquer l’enjeu du commerce connecté et de ce club pour CA logistique et aussi pour ton nouveau projet de pépinière Digit’halles ? 

Messages Stéphane solution de logistique pour tous 

(pas que Cdiscount ) bcp d’autres beaux acteurs : Maxicoffee, France Trampoline…s’adapte aux règles du CC notamment exemple de Polycosmétics (plusieurs boutiques, sites ecommerce)

des enjeux et des idées d’innovation pour le segment logistique : lancement d’un showrooommulticlient / drive notre région une terre de ecommerce, aider le terreau à se développer via une pépinière : Digit’Halles et intégration de startup

logique de rejoindre le Club Commerce Connecté – pour une dynamique du multicanal aussi en logistique, L’innovation, c’est sur le terrain qu’elle se mesure.

conclusion : Vente en magasin ou vente en ligne, l’enjeu est l’expérience client : la connaissance de son comportement et sa satisfaction.tous les commerçants partagent ce même défi, sur l’ensemble de la chaine… le Club Commerce Connecté aussi !

11

Les marques et enseignes de l’Aquitaine devront, elles aussi, être un territoire d’expérimentation et de connaissance client comme l’exprimait la table précédente ? Elles ont bien sûr des pratiques et enjeux plutôt similaires.Tout d’abord je souhaite passer la parole à Agnès Passault, présidente d’Aquitem et Aliénor, membre très actif du SYRPIN, spécialiste des problématiques de fidélisation client ‐ les enjeux de la transformation numérique des enseignes sont de quels ordres ?

Faits saillantsAprès une période où on a opposé e‐commerce et commerce de détail, retour vers une vision de « commerce connecté ». Nos clients « enseignes » ont tous des magasins et un site Internet qui devient un des magasins de l’enseigne et est géré en tant que tel (les magasins alimentent le site et vice‐versa)Les enseignes doivent faire le « grand écart » entre des technologies nouvelles et des opérateurs de terrain qui restent des commerçants. Lorsqu’il s’agit de franchises ou de réseau coopératif, chaque point de vente est aussi un commerçant indépendant => il est important d’entendre les besoins de tous les acteurs depuis le terrain jusqu’aux directions d’enseigne=> La notion de club réunissant tous les acteurs est essentielle. Acteurs du Numérique et commerçants de toutes tailles et tous profils ont leur place  dans le club.Le consommateur attend une communication identique et disponible sur tous les canaux : il doit pouvoir profiter de la même expérience quel que soit le mode de communication (SMS, Courrier, E‐mail, site mobile ou web)  et de consommation (visite en magasin ou achat en ligne)La direction de l’enseigne a donc à construire des outils répondant à des consommateurs et des supports variés et les mettre à disposition pour l’ensemble de la chaîne qui construit l’expérience client : c’est le challenge du commerce connecté grâce au Numérique. En échange, l’enseigne peut disposer de données  précises et précieuses qui contribuent à piloter ses décisions (concernant le client mais pas 

12

Eric
Note
David Castéra, Directeur d'Immersive Lab (Oloron) / Crédit Agricole Pyrénées Gascogne
Eric
Note
Agnès Passault, Présidente du groupe Aquitem-Aliénor
Eric
Note
Frédéric Chauvat, Directeur technique chez NP6

seulement…).

Intérêt du club : Décloisonner et réunir des acteurs de toutes les strates qui font la chaine de valeur

Frédéric Chauvat, vous êtes avec NP6 des spécialistes de la data intelligence et jouer un rôle d’arbitre dans le marketing digital de plus en plus important justement grâce à cette maitrise de l’analyse des données : en quoi cette compétence est‐essentielle pour les marques et les enseignes (le table ronde qui suit va aussi être consacré à la data, ce n’est pas un petit morceau !)

Faits saillantsApporter des réponses numériques à des problématiques très anciennes toujours les mêmes: connaître son client, le fidéliser, lui proposer une expérience fluide et sans couture – et dans tous ces registres, le numérique est bien sûr un élément déterminant.En particulier, le numérique permet d’avoir des données, de mesurer tout un tas de choses, voire de faire des projections. Quel que soit l’endroit où on se situe dans la chaîne, c’est bien souvent dans les détails que se cache la rentabilité, c’est pour ça qu’il est crucial de disposer d’informations les plus précises possibles. Ce n’est pas pour rien que les mêmes questions nous sont posées tous les jours: quelle est la pertinence de mon programme de fidélisation, comment l’optimiser? Quel est le parcours type d’un client / par profils ? Comment s’assurer de l’utilité des enquêtes de satisfaction (on line) ? Quel est l’impact de la concurrence dans ma zone de chalandise ? Quel impact a eu ma dernière campagne de pub ? L’avantage avec le numérique, c’est qu’on a une matière sur laquelle travailler pour aller chercher les réponses – et cette matière, c’est les données.

Intérêt du club : valoriser des cas d’usages et des bonnes pratiques et pouvoir assurer ou organiser leur réplicabilité / reproduction via le club

Cette quête de fidélisation elle existe aussi dans le domaine de la banque notamment dans la capacité de la banque a accompagner l’innovation de ces clients commerçants. David Castéra, vous êtes avec Immersive Lab à Oloron un peu une startup laboratoire pour le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne. Vous cherchez avec eux à innover dans les modes de relation client, notamment dans la diversité des points de contacts avec le client final. Pouvez nous en dire plus ?

Faits saillantsAgence prototype avec des BeaconsExpérience des monnaies virtuelles avec les TooketsRécréation de liens entre marque et client indépendamment des canaux de distributionMais aussi améliorer la façon dont on intègre au mieux des tablettes : toutes les réponses n’existent pas encore.Nous avons besoin d’expérimenter avec des clients motivés

Intérêt Club : Configurer les espaces d’expérimentation de technologies mais surtout d’usages et notamment d’usages métiers innovants

En conclusion, 2 bénéfices adhérents:

Pour les offreurs numériques1. Définir les espaces d’expérimentation de technologies mais surtout d’usages et notamment d’usages 

métiers2. Entendre les besoins de tous les acteurs depuis le terrain jusqu’aux directions d’enseigne

Pour les commerçant, enseigne ou marque1. Valoriser des cas d’usages et des bonnes pratiques et pouvoir assurer ou organiser leur réplicabilité / 

reproduction via le club2. Entendre les besoins de tous les acteurs depuis le terrain jusqu’aux directions d’enseigne

12

Au cœur de cette révolution numérique, On présente la donnée comme l’or noir du 21eme siècleBien sûr, dans ce domaine on associe autant les nouvelles technologies et les nouveaux usages… à travers  • Des enjeux technologiques : 50% des français de plus de 11 ans possèdent un smartphone… • Des enjeux d’Usage : 25% utilisent le smartphones en magasin, l’omni canal web+magasin devient 

référence • Les 2 ensembles : On peut ajouter bien sûr les 25 à 50 milliards d’objets connectés qui vont foisonner au 

quotidien dans les maisons, les magasins, partout.Enjeux que l’on va aborder à travers des acteurs présent en Aquitaine, en France et à l’international… pour comprendre en quoi et comment la donnée va aussi servir de combustible au commerce connecté

Brainify : Intro/Profil de Brainify ‐ Eric Sénéchalil a fondé Clever Age (conseil sur architecture Web) et dirigé l’ensemble des activités digitales du groupe Image Corp (Mydesign, Image corp, Happy techno). Eric est aujourd’hui le fondateur et CEO de Brainify, dont la vocation est la valorisation de l’audience grise des e‐commerçantsQuestion de lancement : peux‐tu nous aider à comprendre cette audience grise et quel est l’apport de la data en faveur du commerce connecté ? 

Eric Sénéchal, Brainify : L’audience grise ce sont les fameux 97% de personnes qui viennent sur votre site et qui n’achètent pas. Notre métier, c’est la valorisation de cette audience et proposer une expérience hyper personnalisée du site e‐commerce : on ne fait ni plus ni moins que remettre du commerce ou une posture de commerçant dans le e‐commerce. 

Alors en quoi la data et le big data aide à relever ce défi ?

13

Eric
Note
Raphaël Cherrier, Directeur et fondateur de QuCit
Eric
Note
Eric Sénéchal, fondateur et CEO de Brainify
Eric
Note
Jean‐Baptiste Roux, AT Internet, Vice-Président en charge du développement commercial

Nous nous intéressons aux comportements des internautes et pour cela nous remontons en temps réel une multitude de données : des données structurées ou structurables, le parcours de l’internaute, son origine, première visite ? Seconde visite ? Mais aussi des données non structurées mouvement de la souris, rythme, temps de pause, hésitations, centres d’intérêts. Derrière, les enjeux sont multiples et proposent des défis variés où intégrer le club commerce connecté devient intéressant pour nous sur différentes dimensions.D’abord un enjeu d’architecture technique : trouver les bonnes briques techniques qui vont pouvoir encaisser le volume de données (base de données), proposer un traitement analytique régulier et surtout permettre une détection et une interaction temps réel avec les internautes selon leurs postures vis à vis du site, et là c’est bien d’avoir des acteurs concurrents ou partenaires pour pouvoir échanger sur nos retours d’expérience : Mongo DB, Cassandra, Spark , MLLIB etc. 

Des synergies sont‐elles possibles ? 

Je pense à Displayce qui propose de l’affichage numérique en point de ventes à forte valeur ajoutée. Les datas permettent de contextualiser l’affichage et on essaie de recréer le cookie on line au travers de données géo temporelles : localisation + facteur temps + données achat. Sur ce sujet notre complémentarité est évidente et notre expertise de Data Scientist peut servir le projet. Mais je pense aussi à pense à Cogniteev sur le volet SEO et leur expertise en analyse sémantique. Nous travaillons même sur l’opportunité de partager des efforts sur d’autres domaines comme le développement commercial de nos offres.Après on a des enjeux sur le sujet même de l’intelligence comportementale, l’interaction homme machine, et là les partenariats avec l’ENSC et le CATIE sont stratégiques pour nous : nous travaillons avec des chercheurs du CATIE et le fait d’être basé sur l’ENSC nous permet d’échanger régulièrement avec les enseignants chercheurs. Enfin, Big Data, Intelligence Artificielle, data scientist, ça peut faire rêver mais notre mission est de servir les commerçants digitaux. Nous avons donc un besoin impérieux du retour « terrain ». ECOM33 est un partenaire qui va s’avérer précieux puisqu’il fait partie des partenaires sur le projet.En conclusion, le club commerce connecté c’est une belle nouvelle, pour nous. Il permet de faciliter les rencontres  et favoriser ce maillage qui m’est cher et que je vis au quotidien avec des entreprises éditrices, prestataires de services, donneurs d’ordres commerce connecté mais aussi grandes écoles : on a la chance d’avoir qq pépites, je pense notamment à l’IPB et à l’ENSC.

Jean‐Baptiste Roux, AT Internet, pour parler excellence (Pass French Tech, comme Ezakus) et international (Ezakus en pleine levée sur le marché US, ne pouvait être présent)

Conclusion : la data est un enjeu évident des e‐commercantsmais c’est aussi un élément qui devient de plus en plus essentiel et donc utiles pour tous les commerçants … pour mieux connaitre leurs clientsc’est la raison pour laquelle on retrouve bcp d’acteurs de la data dans le club commerce connecté

13

La table ronde précédente nous démontre l’importance de ces compétences en traitement et analyse de la données mais la toute première table sur le magasin nous a aussi démontré l’intérêt de faire bouger les métiers traditionnels du commerce. Une statistique du ministère américain du travail : 65% des écoliers américains d’aujourd’hui auront demain des métiers qui n’existent pas encore; chiffre sûrement valable aussi en France et en Aquitaine. En tous les cas des métiers qui vont considérablement muter et se doter de compétences numériques bien évidemment. Ne plus former aux métiers d’hier: l’enjeu du matching entre la main d’œuvre étudiante, les talents et les formations proposées est forte.

Lionel Lepouder, responsable des activités de CMS vacances, une agence de voyages destinée aux professionnels. CMS emploie une 100aine de personnes : quels sont les principaux enjeux de mise à niveau technique et numérique de vos salariés ?

Faits saillantsLes enjeux de formation pointés juste avant en matière de compétences techniques de haut niveau se retrouvent en réalité dans tous les métiers qui sont les nôtres, du fait de l’intrication toujours plus grande entre l’intervention humaine et la contribution des outils numériques. On n’en a généralement pas conscience à cause d’un certain nombre d’images d’Epinal, d’ailleurs pas toujours fausses si on ne regarde que les pratiques d’optimisation de type off‐shoring, ……mais dans les métiers de la relation‐client la digitalisation du poste de travail a obligé les conseillers à acquérir de nouvelles compétences, et même des capacités d’abstraction significatives pour pouvoir interagir efficacement avec les outils numériques.Cette tendance ne va que se renforcer, dans la mesure où le service sera de plus en plus co‐délivré par l’humain et la machine à mesure que se développera la maîtrise de grandes quantités de données, le machine learning, etcD’ailleurs, c’est l’une des voies par lesquelles va évoluer une part de la relation‐client, celle qui délivrera 

14

Eric
Note
Lionel Lepouder, Directeur de CMS Vacances
Eric
Note
Ludovic Pruche, INSEEC
Eric
Note
Catherine Viot, IRGO / IAE de Bordeaux, Maître de conférences

demain des prestations d’un niveau de personnalisation et de complexité très élevé, comme d’adapter à la dernière minute une réservation suite à un impondérable, par exemple

Intérêt du club : structuration du parcours de l’offre de formation / identification des potentiels R&D

Ludovic Pruche a un triple voire un quadruple profil. En thèse, directeur d’un master à l’Inseec, entrepreneur dans le numérique depuis 15 (Promovacances), vous êtes à cheval entre le monde académique et l’entreprise. Vous mesurez bien le besoin d’évolution des formations et les compétences attendues aujourd’hui ?

Faits saillantsDynamiser l’écosystème et accentuer le lien entre le besoins des professionnels et les talents en cours de formation sur le territoire.Améliorer l’offre en comprenant mieux les besoins.Identifier les possibilités de mentoratBooster l’innovation et la créativité entrepreneurialeUn enjeu : des étudiants qui viennent se former en Aquitaine sur les métiers hautement numériques et surtout qu’ils restent pour y travailler grâce à cette concordance des talents et des besoins

Intérêt du club : identifier les compétences et les talents numériques en région

Catherine Viot, IAE, un institut public de management. Une école de management intégrée à l’université et un laboratoire de recherche sur les organisations ?

Faits saillantsL’offre de formation de l’Université de Bordeaux – dont nous faisons partie – est remise à plat du fait de la fusion et de la réforme des Masters : un parcours commerce connecté, au sein du Master marketing, est à l’étude.Mais c’est également un fait qui doit être intégré dans nos axes d’étude et de recherche: la technologie est au cœur du commerce connecté, mais il ne faut pas oublier le consommateur ‐ celui qui adoptera le commerce connecté… ou pas.Le consommateur connecté ne peut qu’intéresser les chercheurs en marketing : existe‐t‐il plusieurs familles d’acheteurs connectés ? Quelles sont leurs attentes, leurs attitudes vis‐à‐vis du commerce connecté ? Tous les types de produits/services sont‐ils concernés ? Nous pouvons croiser nos compétences au sein du Club Commerce Connecté pour mieux cerner ce néo‐consommateur.

Intérêt du club : bénéficier d’un canal privilégié pour que cette offre de compétences ainsi que  nos axes de recherche soient parfaitement identifiés par les entreprises

En conclusion, 2 bénéfices adhérents:

Pour les  offreurs numériquesIdentifier les compétences numériques en région dans les écoles et les universités tant en étudiants de talents qu’en enseignants‐chercheursIdentification des potentiels R&D à travers les start‐ups (exemple Wiidii)

Pour les commerçant, enseigne ou marqueIdentifier les compétences numériques en région dans les écoles et les universités tant en étudiants de talents qu’en enseignants‐chercheursAccompagner la structuration du parcours de l’offre de formation / identification des potentiels R&D

14

15

Eric
Note
Frédéric Basse, Président du cluster Eurosima
Eric
Note
Alain Cadot, PDG d'Actual Systemes / CProDirect
Eric
Note
Yannick Lacastagnairatte, cofondateur d'Ezakus
Eric
Note
Jean-Paul Lieux, Directeur associé de Dolist
Eric
Note
Stéphane Van Overstracten, PDG de CA Logistique
Eric
Note
Olivier Baccialone, ‎Délégué au Développement Régional chez Groupe La Poste
Eric
Note
François Goube, Fondateur et directeur de Cogniteev
Eric
Note
Eric de Marignan, Directeur des opérations d'Evollis
Eric
Note
Jean-Baptiste Roux, Vice-président en charge du développement commercial, AT Internet
Eric
Note
Catherine Viot, Maître de conférences à IRGO / IAE de Bordeaux
Eric
Note
Cécile Gauffriau, Directrice de L'Echangeur by Laser
Eric
Note
Tanguy Caradec, Directeur de la stratégie chez Cdiscount
Eric
Note
Pierre Jeanne, Directeur commerce connecté chez Cultura
Eric
Note
Olivier Léonard, Directeur organisation et projet commerce connecté chez Cultura
Eric
Note
Frédéric Pérès, Responsable Performance numérique à la CCI Bayonne Pays Basque
Eric
Note
Ludovic Pruche, INSEEC
Eric
Note
Lionel Lepouder, Directeur de CMS Vacances
Eric
Note
Eric Sénéchal, fondateur et CEO de Brainify
Eric
Note
Raphaël Cherrier, Directeur et fondateur de QuCit
Eric
Note
Frédéric Chauvat, Directeur technique chez NP6
Eric
Note
Agnès Passault, Présidente du groupe Aquitem-Aliénor
Eric
Note
Laurent Bodart, Sogeti, Secrétaire du CLUSIR Aquitaine
Eric
Note
Laurent Vergès, Président d'eCom33
Eric
Note
David Castéra, Directeur d'Immersive Lab (Oloron) / Crédit Agricole Pyrénées Gascogne
Eric
Note
Valérie Sers, FODALI by Grand Périgueux
Eric
Note
David Ducourneau, Directeur de Kasual Business
Eric
Note
Grégory Bressolles, Responsable de la Chaire Commerce & Services Connectés, Kedge Business School

Pour participer aux travaux du Club Commerce Connecté de Digital Aquitaine:http://goo.gl/forms/kCHGcN914K

16

Pour participer aux travaux du Club Commerce Connecté de Digital Aquitaine:http://goo.gl/forms/kCHGcN914K

Pour adhérer à Digital Aquitainehttp://digital‐aquitaine.com/docs/Bulletin_adhesion_CCC.pdf

17