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EDITORIAL 3
DES METIERS ET DES HOMMESFormations du 1er semestre 2007 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4Mouvements du personnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5Départ à la retraite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5La force de vente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
LE GROUPE EN CHIFFRESBilan social du périmètre géré au 31/12/2006. . . . . . . . . . . . . 7-8Bilan des formations 2006 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8Résultats au 31/12/2006 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9Périmètre juridique au 31/12/2006 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10Secteurs d’intervention au 31/12/2006 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11En direct du marché automobile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
FAITS MARQUANTS Travaux base RENAULT. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13Trophée XEROX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13SOGI : mise à l’eau du 1er remorqueur de mer . . . . . . . . . . . . . 14Evolution des travaux d’ELECTRA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
QUOI DE NEUF ? SODIM TP : nouveau pick-up MAZDA, RENAULT TT . . . . . . . . . 15GESPARC : contrat SEEG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15GESPARC sur Spot Gabon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15TOYOTA : berlines LEXUS, CAMRY et pièces détachées au PK8 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16BTA SERVICES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17ELECTRA : mobilier de bureau et séjour en chine . . . . . . . . . . 17SOGAFRIC SERVICES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
PRIORITE SANTELe chikungunya . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18-19
INFOS UTILESLa gestion du temps. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
GABON DECOUVERTELe parc national de Pongara . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21-22
RELATIONS AVEC NOS PARTENAIRESRallye du Lion’s Club . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23Loterie «Français du Gabon» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23Carnaval du lycée Blaise Pascal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
JUIN 2007
ENSEMBLE
Sommaire n°25
Responsable de la publicationMartine GomezRédactionLaurent Barrère, Romain Boutonnet,Michèle Izoret, Frédéric Le Boété, Franck Maria,Christian Nisio, Eric Roumengas, WCS,Patrice Zavrosa, Globule.
IconographieARS, CDAI, WCS, BD BOOM, GlobuleConception et création graphique GlobuleImpressionMultipress Gabon
S O M M A I R E
SYSPERFormateur : M. BONNAL
Date : le 08/03/2007
Lieu : Centre BB*
Thème : Logiciel SYSPER
Participants : Christiana NGOLI MOUBAMBA, Dalila
ZITOUNI, Gerty MEYE ME NDOUME, Daisy ADA MBA, Doris
MBOUROU, Géraldine EYANG, Thierry CADIOU, Alain SIX,
Véronique SIMA, Nicolle DREUX, Marie-Laure FERRAN,
Clémentine MEKUI
SIRHFormateur : M. BONNAL
Date : le 08/03/2007
Lieu : Centre BB*
Thème : Logiciel SIRH
Participants : Christiana NGOLI MOUBAMBA, Dalila
ZITOUNI, Gerty MEYE ME NDOUME, Daisy ADA MBA, Doris
MBOUROU, Géraldine EYANG, Thierry CADIOU, Alain SIX,
Véronique SIMA, Nicolle DREUX, Marie-Laure FERRAN,
Clémentine MEKUI, Vincent BEC
ORACLEPrestataire : BULL Gabon
Dates : du 16/04 au 20/04/2007 et du 23/04 au
27/04/2007
Lieu : BULL Gabon - Libreville
Thème : Bases de Données ORACLE
Participant : M. NGUIMBI Théodule (SOGAFRIC SERVICES)
LOGICIEL EDIGRAPHPrestataire : Société SOGEDEX
Date : le 03/05/2007
Lieu : France
Thème : Utilisation du Logiciel Edigraph Classic
Participant : M. PLOTON Frédéric (SOGAFRIC SERVICES)
LOTUS Prestataire : CFAO TECHNOLOGIES
Dates : du 21/05 au 25/05/2007
Lieu : Côte d’Ivoire
Thème : Administration IBM Lotus Domino
Participant : M. MOUNIENGUET VAVA Pierre
EXCELPrestataire : IMPAQ
Dates : du 19/03 au 08/06/2007
Lieu : Centre BB*
Thème : Formation Bureautique Excel
Participants : Agents KGG (11), ELECTRA (3), GESPARC (4),
SODIM TP (20), SOGAFRIC SERVICES (24), SOGI (12), TOYOTA
GABON (20)
TMC/TSAMDates : du 14/05/2007 au 18/05/2007Lieu : Maroc Thème : Certification TSM BasicParticipante : Mme DELCROIX (TOYOTA)
TECHNIQUE
MAN SERVICEDates : du 29/01 au 31/01/2007
Lieu : France
Thème : Démontage du Nouveau Moteur D20
Participant : M. RINGOT Marc (SODIM TP)
HABILITATION ELECTRIQUEFormateurs : M. Ulrich MABIALA et M. Emile
ONDENO
Date : le 22/02/2007
Lieu : Centre BB*
Thème : Habilitation Electrique : Niveaux B1 et BR
pour domaine de tension BTA (Basse Tension A)
Participants : Mathias AGOUNE MARE, Janez BAYONNE
KOULE, Thierry ESSIMEGANE, Eric GAUTHIER, Gary
MAGABANDY, Arnaud MBOTOTO, Ulrich MOUSSOUAMY,
Taty PAMBO (SOGAFRIC SERVICES)
TGA MAN SERVICEPrestataire : Centre de Formation MAN
Dates : du 26/03 au 30/03/2007
Lieu : Evry - France
Thème : Gestion Electronique du moteur D20
Participants : M. RINGOT et M. SORREAU (SODIM TP)
Formateur : M. SCHWARS
Dates : du 02/04 au 06/04/2007
Lieu : Allemagne
Thème : Transmission TGA
Participant : M. RINGOT (SODIM TP)
KOMATSU Dates : du 21/05 au 25/05/2007
Lieu : Belgique
Thème : MPR KOMATSU)
Participant : M. MOUNDZEO J.B (SODIM TP)
HUET Prestataire : TOTAL POG
Dates : du 15/05 au 16/05 et du 24/05 au 25/05/2007
Lieu : Port-Gentil
Thème : Formation Stage de survie (HUET :
Helicopter under water survival and escape training)
Participants : M. TOULC’HOAT Pascal et M. SROUJI Eric
(SOGAFRIC SERVICES)
4des métiers et des hommes
Formations du 1er semestre 2006Les principales actions de formation ont totalisé 2505 heures
* Centre BB : Centre de formationBoutonnet-Brenac
BUREAUTIQUE ET INFORMATIQUE
COMMERCIALE
GAMME DE PRODUITS GIRPIPrestataire : GIRPI - RICHARDSON
Formateurs : Mme CHATEIGNER et M. GARCIN
Date : le 19/04/2007
Lieu : Centre BB*
Thème : Connaissance et mise en œuvre des Produits
Participants : BIBANA Yves, Jean-Claude MAMADOU
DEMBA, Daniel DEPOURTOUX, Frédéric DURET, Patrice
COLLIN, Fredy MANKOU GANTSELLET, Annick MEDZA, Jean-
Pierre MOREAU, Paul MOUTOU, Fabrice NDOH, Babylas
OTSOBOGHO, Raphaël RIVIERE, Jean-Pierre SABOURAUD,
Eric SROUJI (SOGAFRIC SERVICES)
Des métiers et des hommesH O M M E S
ANAELPrestataire : GEAC
Formateur : M. Eric BON
Date : le 30/04/2007
Lieu : Centre BB*
Thème : Module Gestion de la TVA
Participants : Aude ANTONELLI, Etienne EMANE,
Géraldine EYANG, Bernard IKOUDI, Iguette PAMBO INANGA,
Mac LASSEGUE, Carmen MOUTSINGA, Véronique MERIEL,
Aristide OBAME, Axelle ODIMBOSSOUKOU, Dick RENOMBO
Date : le 30/04/2007
Thème : Présentation Générale ANAEL
Participants : Gisèle AZIZET, Géraldine EYANG, Fatoumata
IWENGA, Gladys IYOGO, Véronique MERIEL, Iguette PAMBO
INANGA, Aristide OBAME, Dick RENOMBO
Date : le 02/05/2007
Thème : Module Gestion des Tiers
Participants : Diane AGNAMATSIE, Gisèle AZIZET, Lydie
DOKONOU, Géraldine EYANG, Véronique MERIEL, Sylvie
MYINDUT, Gerty MEYE ME NDOUME, Julie NDONG, Judith
PAMBO, Dick RENOMBO, Ralph WOLLMAN
Date : le 03/05/2007
Thème : Module Gestion IMAEL
Participants : Etienne EMANE, Berthe GNAMBAULT, Joëlle
GNEMBOU, Bernard IKOUDI, Mac LASSEGUE, Clémentine
MEKUI, Véronique MERIEL, Bernadette SINEU, Dick
RENOMBO
Date : le 03/05/2007
Thème : Module Gestion Bancaire
Participants : Diane AGNAMATSIE, Etienne EMANE,
Géraldine EYANG, Gladys IYOGO, Iguette PAMBO INANGA, Mac
LASSEGUE, Carmen MOUTSINGA, Véronique MERIEL, Axelle
ODIMBOSSOUKOU, Dick RENOMBO
Date : le 04/05/2007
Thème : Module Analytique
Participants : Aude ANTONNELI, Iguette PAMBO INANGA,
Mac LASSEGUE, Véronique MERIEL, Aristide OBAME, Dick
RENOMBO.
Date : le 04/05/2007
Thème : Module Gestion des Batchs
Participants : Daisy ADA MBA, Aude ANTONNELI,
Géraldine EYANG, Berthe GNAMBAULT, Véronique MERIEL,
Cynthia POLI, Dick RENOMBO.
AUTRES MOUVEMENTS DU PERSONNEL (NOUVEAUX ARRIVÉS)
SODIM TPABESSOLO ABESSOLO Serge Patrick MécanicienDOUMOU LIKALA Wilfried MagasinierEFIRE DOGBE ABLA Eugénie Cheryl Assistante administr.EYI MEZUI David MécanicienIKAPI IKAPI Roch Sylvestre Agent techniq. approv.LONGHO N'TORI Jean Eliam MagasinierLOUCEVENY Fortuné MécanicienMAYUNGA MASINDA Tcherry MécanicienMBA MEYE Turzinde Ouvrier mécanicienMBOUITY SAFOU Louis Cadre techniqueMBOUMBA MBOUMBA MécanicienMINKO Ulrich Armel Ouvrier mécanicienMOUNGUENGUI FOUMBOULA Thibault-Arsène MécanicienMOUSSAVOU Eric Ruddy Arsène Aide magasinierNDEMBI MBILA Marley Stéphane Préparateur vehiculeNSANGNE NDONGO Jeanne Barbara Assistante administr.OBIANG ONDO Cédric Ouvrier entretienPANGA Jean Alex Ouvrier mécanicienSOUNDA PADONOU Eric Alix MécanicienTURMEAU Emmanuel Respons techniqueYOSSANGOYE MOUNIENGUET Kévin Agent des ventes
SOGAFRIC SERVICESAKOUME Armelle Emeline Assistante directionBAMBIRI EBAYE Cyrille Ouvrier frigoristeBANDAT Germain Ouvrier entretienBILOMBI-MISSAMOU Kathuiscia Nelly AssistanteDINDOUNGA Dieudonné ElectricienEYA MBA Christian Ouvrier frigoristeIDJAVI LASSENY Abibe Aimery Ouvrier frigoristeLAURIANO MARQUES Sévérin Arsène C E électricitéMBA SEAVI Jérôme Fabrice Ouvrier frigoristeMEKENG M'ESSONE Raïssa Claire Employé de bureauMOELLET NZIENGUI Armel Ouvrier frigoristeMOUDOUMOUNENI Jean-Jacques ComptableMOUSSAVOU Barnabé Ouvrier électricienNDONG OVONO Marius Ouvrier frigoristeNDOUTOUME MEYE Joseph Aide magasinierNYANGUI Bénédicta AssistanteNZOUNDOU MOUCKETOU Emile ElectricienODJIARI Hob Lito Ouvrier frigoristeOKIGUI FOKAM Anderson Ouvrier frigoristePEKOUET Ludjerus Opératrice de saisiePLOTON Frédéric Conducteur travauxPOSSINO ELEMBA Donald Ulrich InformaticienSCHELSTRAETE Frédéric Conducteur travauxTOKAULT Georges Gilles Ouvrier frigoriste
SOGIKIVI Sylvain Nicaise Ouvrier chaudron soudeurMAKOSSO Paul Calvin Tourneur fraiseurMBA EBEYE Dieudonné Conducteur machin. outil.MBO EDOU Rostand Fidèle Ouvrier chaudron soudeurMOUELE MOUYALOU Théophile Ouvrier chaudron soudeurNZENGUI MOUELE Jean Marie Agent adm. des ventesREVIRIEGO Christophe Chef de serviceSAMBA Alfred Ouvrier chaudron soudeurYOBO Samuel Ouvrier chaudron soudeur
ELECTRABAKITA NZIENGUI Flore Employé de bureauMANDOGOU Gaëlle Sandra Réception accueilNTSAME NKOULOU Solange Agent commercial
TOYOTA GABONBEDJABAGA Romain Roussel Préparateur véhiculeBIYOGO ESSONO Jean-François MécanicienBOULENDE Léon Anicet Préparateur véhiculeBOUNDOUKOU Jean-Fabrice MécanicienKONGA Rackys MagasinierLIKE MICHELOT Yves MagasinierLIMBA Yves Carmel Diesel électric autoMBOMBOKAUT BINGANGA Landry Omer Aide magasinierMOUSSAVOU MBOUMBA Steeve Kévin PréparateurPOBA POBA Vivien Lyonnel MécanicienSADE AMELEVI Blandine Assistante
KOMO GESTION GROUPEPOATY Claude Bernard Adjt. admin. réseauxSODJI Christian InformaticienZITOUNI Dalila Assistante RH
GESPARCAVOMO OBIANG Léonie Assistante DirectionBENDOME NYA N'NANG Kévin MagasinierBOUDJOBA Jean Donus MécanicienELLA IBALA Franck Employé administratENGOUE Patrice Hemmery MécanicienEVOUNDJA Wilfried Kévin MécanicienIBOUANGA Joseph CarrossierKOUMBA Paméla Juline ComptableMAKAGA Franck Ghislain PeintreMBA NZOGHE Gérard Aide magasinierMONGERMAIN Anne Responsable cialNDONG Joël Rodrigue Agent techniq approv.NGAR Jean ManoeuvreOGANDAGA José Junior C A mécan. électricité
DÉPARTS À LA RETRAITE
SOGAFRIC SERVICESN'SAFOU Roger 10/05/2007MATSEBI Simon 02/05/2007
SOGIBOUROBOU BISSIELO Florent 15/01/2007ZOUZI Jean-Marie 31/01/2007
MUTATIONS
ABOUDOU Akime A. TOYOTA GABON >> GESPARCANGWE ZOLLO Jean Claude Ind. et For. du Komo >> SOGIBAILON Christophe SODIM TP >> GESPARCEKOME NDONG Arnaud Boris Ind. et For. du Komo >> KGGEMANE Etienne Ind. et For. du Komo >> SODIM TPEYANG NDONG Géraldine Ind. et For. du Komo >> GESPARC
GARINOT Claude SODIM TP >> GESPARCMALAMAMBOUETE Jean de Dieu Ind. et For. du Komo >> SODIM TPMALEMBA Pierre Ind. et For. du Komo >> SOGIMOUTSINGA Diane Carmen Ind. et For. du Komo >> SODIM TPNTCHORERE Anicet CIE DU RIO >> TOYOTA GABONSIMA Véronique Ind. et For. du Komo >> KGG
Toutes nos pensées vont aux familles de :
• KOMBI Jean Frigoriste décédé le 05/04/2007• PARAISO Hassan Ouvr. chaudron. soudeur décédé le 06/04/2007• REVEGUE John-Franck Ouvr. Frigoriste décédé le 19/03/2007
Employés de SOGAFRIC SERVICES
Des métiers et des hommesH O M M E S
des métiers et des hommes
5
Le produit ou le service peut représenterune révolution sur son marché, lesfinances de la société peuvent être
parfaitement maîtrisées, pour qu’un commercede détail ou une entreprise de service réussisse, illui faut bien vendre. La force de vente est un desmaillons indispensables constitutifs d’une société.
Qu’est-ce qu’une Force de vente ? Force interne ouexterne ?La force de vente est fonction de l’importance del’entreprise et de la nature des produits vendus. Dans les structures importantes qui proposentdes produits variés auprès des particuliersnotamment, il existe souvent une force de venteinterne, sédentaire, composée d’uneadministration des ventes et de vendeurs dits «plancher ». C’est le cas d’ELECTRA, de TOYOTAGABON, de SODIM TP et du magasin Bosch deGESPARC. A ceux-ci s’ajoutent des vendeurs dits«itinérants» et/ ou des responsables commerciauxchargés de prospecter les clients professionnels.Dans les domaines techniques de SOGI, deSOGAFRIC SERVICES ou encore au sein dudépartement engins de SODIM TP, il s’agit derapprocher les besoins spécifiques des clients etles qualités techniques des produits offerts par lasociété. L’interlocuteur est alors un professionnelqui vend du « sur-mesure » et assure l’interfaceavec le client. Il suit le projet depuis la conceptionjusqu’au service après-vente en passant par laproduction, la livraison et la facturation.
Qualités d’un « vendeur » ?Il est illusoire de vouloir dresser un portrait typedu «bon vendeur». Néanmoins, certaines qualitéssont communes aux Forces de Vente :
• Des qualités personnelles telles qu’une attitudepositive, une réactivité et capacité d’adaptationaux situations, aux interlocuteurs ou encore unsens aigu des responsabilités.• Une bonne connaissance du produit, de laconcurrence et de l’environnement (aussi bien descontraintes de fabrication que des conditionsd’utilisation du produit).• Une bonne organisation pour une gestionoptimale du temps.• Une grande capacité à communiquer et
négocier. Cela suppose notamment des qualitésd’écoute, de questionnement et de persuasion.• Un bon relationnel, élément indispensable pourétablir une relation durable, de qualité avec leclient.
Les sociétés du Groupe SOGAFRIC misentbeaucoup sur cette dernière. Elle sous-tendtoutes leurs activités. Ainsi, chez GESPARC, elleconcerne aussi bien le personnel de l’atelier quele responsable commercial.
Evolution de la Force de VenteLa généralisation des systèmes électroniques etl’apparition des nouvelles technologies induisentdes attentes nouvelles chez le consommateur. Laforce de vente exerce, désormais, un rôle deconseil auprès de la clientèle. Il est essentiel que levendeur puisse répondre aux interrogations deson client, qu’il puisse le guider dans son achat.Les appareils numériques de Xerox n’ont plus rienà voir avec les copieurs analogiques. ChezTOYOTA GABON ou chez SODIM TP, le vendeurne doit plus vendre seulement une voiture maistoute une gamme de services connexes (crédit,assistance…).
Parce qu’un client satisfait est un client fidèle, lessociétés du Groupe SOGAFRIC investissenttoujours plus sur leurs forces de vente en leurproposant très régulièrement des formationsadaptées à l’environnement dans lequel ellesévoluent.
La force de vente
6des métiers et des hommes
Dans son éditorial de juin 2004, lePrésident Directeur Général duGroupe mettait en évidence
l’importance qu’il attachait à la formationcommerciale dont le projet était décrit en page6 de ce même numéro 19 d’Ensemble.Depuis cette date, tous ceux concernés parl’action commerciale au sein du Groupe (del’ordre de 184 personnes formées en fonctionde leur poste de travail) ont pu mesurer ladifficulté de leur métier et donc l’intérêtd’actualiser leurs connaissances.
Toute action de formation, quelle qu’en soit lanature doit, pour être bénéfique aux agents età l’entreprise, se traduire concrètement dans lavie professionnelle quotidienne.A cet effet, trois actions complémentaires ontdonc été développées.
La première a consisté à mettre en place lesoutils et procédures qui permettent d’une part
aux agents de mieux cibler leur action et de secontrôler en permanence, aux hiérarchiesd’autre part de mesurer quantitativement etqualitativement les résultats obtenus.La deuxième, un accompagnement sur le postede travail pour que chacun acquiert lesréflexes, les attitudes, le comportement d’unvrai commercial.La troisième enfin qui consiste à intéresserdirectement chacun des agents impliqués d’oùun plan de commissionnement qui concerneactuellement 33 personnes.
La Direction Générale du Groupe et lesDirecteurs Généraux des Sociétés ont appréciél’effort de mobilisation du personnel tout aulong de cette action. Il faut maintenantl’inscrire dans la durée et réfléchir auxméthodes pour ce faire.
N’oubliez pas le proverbe qui dit « L’hommequi ne sourit pas ne doit pas ouvrir boutique »
Formation commerciale : 2004-2007
Des métiers et des hommesH O M M E S
7le Groupe en chiffres
Bilan social du Périmètre géré au 31/12/2006
Le Groupe en chiffresC H I F F R E S
792 agents
388 122 78
168 36 0
588
204
556 158 78 792
130 agents
85 16 8
19 2 0
109
21
104 18 8 130
83 agents
33 16 9
23 2 0
58
25
56 18 9 83
157 agents
59 21 16
49 12 0
96
61
108 33 16 157
298 agents
166 34 24
63 11 0
224
74
229 45 24 298
50 agents
21 9 7
9 4 0
37
13
30 13 7 50
8 agents
6 1 1
0 0 0
8
0
6 1 1 8
22 agents
1 8 10
1 2 0
19
3
2 10 10 22
44 agents
17 17 3
4 3 0
37
7
21 20 3 44
8le Groupe en chiffres
Bilan social du Périmètre géré au 31/12/2006
Bilan des formations 2006
Le Groupe en chiffresC H I F F R E S
Nb heures/ hommes %
TECHNIQUE 3 504 58 %
BUREAUTIQUE & INFORMATIQUE 1 655 28 %
COMMERCIALE 376 6 %
FOURNISSEURS 450 8 %
TOTAL 5 985 100%
Technique 58 %
Bureautique / informatique 28 %
Fournisseurs 8 %
Commerciale 6 %
862
792 789722 2005
2006
73 70
TOTAUX Africains Européens
Le Groupe en chiffresC H I F F R E S
9le Groupe en chiffres
Résultats au 31/12/2006
Chiffre d’affairesEnsemble des ventes de biens et de prestations de services réaliséespar le Groupe pendant l’année.
Résultat netDifférence entre les recettes et les dépenses du Groupe.Il mesure la performance du Groupe.
Cash flow / AutofinancementIl représente ce qu’il reste au Groupe après avoir rémunérétous ses partenaires et fournisseurs.Il permet de financer la croissance, les investissements, derembourser les dettes et de rémunérer les actionnaires.
Chiffre d’affaires*
Résultat net Cash flow
CHIFFRES CONSOLIDÉS*
* en millions de Francs CFA
10le Groupe en chiffres
Le Groupe en chiffresC H I F F R E S
11le Groupe en chiffres
Le Groupe en chiffresC H I F F R E S
12le Groupe en chiffres
AUTRES 9,4 %
VOLKSWAGEN 1,4 %
PEUGEOT 3,1 %
SUZUKI 4,8 %
GENERAL MOTORS 0,8 %
DACIA 0,2 %
HONDA 0,8 %
NISSAN 7,3 %
MITSUBISHI 19,4 %
MAZDA 3,7 %
RENAULT PL 1,5 %
RENAULT VL 5,2 %
ISUZU 7,1 %
DAIHATSU 2,9 %
FORD 2,3 %
TOYOTA 30%
Le marché automobile gabonais se porte bien : +30 % par rapportaux quatre premiers mois de l'année précédente avec un total de1 715 véhicules vendus en 2007 contre 1 321 en 2006.
A noter les belles performances des marques du Groupe SOGAFRIC :TOYOTA (+36 %), RENAULT (+51 %), DAIHATSU (+ 226 %) et MAZDA(+ 433 %).Cette progression a profité aux véhicules américains (+48 %) et surtoutaux voitures coréennes dont les ventes sont passées de 2 à 37.Le segment des 4x4 continue sur sa lancée (+31 %) aux dépends desutilitaires (-26 %). Le grand gagnant cette année étant le segment despoids lourds et cars (+166 %) tiré par les ventes des marques MERCEDESet MAN (+63 %).
SODIM TP 18,3 %
Groupe SOGAFRIC 51,1 %
TOYOTA GABON 32,8 %
AUTRES 12,7 %
CENTRAL MOTORS 20,9 %
SOMEMAGA 15,3 %
Groupe CFAO 36,2 %
SOGAFRIC tire son épingle du jeu dans un marché d’avril 2007 plus difficile
Dans un marché en léger recul (-2% par rapport au mois d’avril 2006), le Groupe SOGAFRIC confortesa place de leader avec 53,2% des ventes totales. Sur le mois d’avril 2007, TOYOTA GABON, à luiseul, a vendu plus de véhicules que l’ensemble des marques du Groupe CFAO.
Le Groupe en chiffresC H I F F R E S
En direct du marché automobile
Un marché au premier quadrimestre 2007en augmentation par rapport à 2006
13faits marquants
Faits marquantsM A R Q U A N T S
Trophée XEROXM. GOMEZ est de retour de Tanger où, cette année encore, son dynamismecommercial a été apprécié et reconnu par XEROX. Il s’est vu remettre le trophéerécompensant les distributeurs XEROX des régions Afrique du Nord, Afrique del’Ouest et Afrique Centrale dont les performances ont été supérieures aux objectifsfixés. Il y a fort à parier que toute l’équipe XEROX d’ELECTRA saura relever lenouveau challenge 2007 !
Bientôt de nouveaux locaux pour la DRH et GOIC
Comme vous avez pu vous en rendre compte, de grostravaux sont en cours sur l’ancienne base RENAULT.Exécutés par le cabinet d’architecte ARS (M. SOSSON),
ces travaux d’envergure visent à la construction de 1 000 m2
de bureaux. Le nouveau bâtiment sera doté d’un étage au seinduquel seront regroupés les services de la Direction desressources Humaines et ceux de GOIC.
Après le lancement réussi de son premier remorqueur derivière, SOGI vient de terminer son premierREMORQUEUR "fluvio-maritime", c'est-à-dire plus
particulièrement adapté à la navigation "mer et côtière". Ce bâtiment de 14 m de longueur et équipé de 2 moteurs de320 CV va être livré courant juin à un transporteur navalgabonais. Fort de son succès, plusieurs nouveaux remorqueurs danscette nouvelle génération ont déjà été commandés .
Afin de compléter encore la gamme et pour répondre à la demande du marché au Gabon et dans toutle Golfe de Guinée, SOGI vient de lancer un nouveau bâtiment "POUSSEUR" pour répondre unenouvelle fois aux besoins divers exprimés par ses clients.
En l'espace de 2 ans, c'est une gamme complète de navires que SOGI met sur le marché, sans oublierles fameuses BARGES et PLATES à bois ou à graviers, réputées pour leur solidité, que ses chantiersfabriquent maintenant en série.
14faits marquants
ELECTRA fait peau neuve àLibreville ! Adieu l’anciennefaçade, bonjour les couleurs ! Le
bleu et le rouge d’ELECTRA sont, eneffet, les fondamentaux du nouvelensemble conçu par M. Charpentier ducabinet CDAI - Architecture & Design. Duplus bel effet, l’immeuble rénovéaccueillera ses clients dans un nouveaucadre agréable et confortable. Ci-contreun avant-goût de ce que sera votremagasin !
Chantier Naval
Faits marquantsM A R Q U A N T S
15quoi de neuf ?
MAZDA BT 50 : le pick up de la nouvelle génération
Le nouveau MAZDA BT 50 est bien plus qu’un pick-up.Avec sa ligne élégante, sa robustesse et son côtépolyvalent, le MAZDA BT 50 est apte à évoluer aussi
bien sur route que sur piste. Et grâce à sa puissance et samaniabilité, il est bien plus divertissant à conduire que n’importequel utilitaire.
SODIM-TP propose 4 modèles du MAZDA à des prixtrès compétitifs allant de 13 500 000 F CFA à 17 500 000 F CFA.
Pour des vacances réussies !
RENAULT a lancé sa campagne EURODRIVE en avril.La formule TT permet de bénéficier d’une offre sur mesure pour organiser sonvoyage en Europe et de bénéficier de divers avantages : - une voiture neuve qui vous plaît, à choisir dans la gamme Renault Eurodrive- une assurance multirisque sans franchise- une assistance 7 jours/7 et 24h/24
GESPARC s’affiche sur le net
GESPARC décline sa communication sur le site marchand SPOT-GABON.Il s’agit d’un site qui permet de mettre en relation les commerçants et les consommateurs du
Gabon. Chaque commerçant référence ses produits sur uneboutique virtuelle. En un clic, les internautes ont accès à cesproduits et à la fiche signalétique GESPARC.
Signature d’un contrat avec la SEEG
Depuis le 1er février dernier, GESPARC relève le défi :assurer l’entretien de l’ensemble du parc automobilede la SEEG. D’une durée de 3 ans, le contrat conclu
entre GESPARC et la SEEG prévoit l’entretien de 430 véhiculeset environ 150 motos sur 6 sites décentralisés (Koulamoutou,Mouila, Oyem, Franceville, Libreville et Port-Gentil). Lesentretiens en Province ont nécessité la mise en place d'unelogistique particulière et d’un suivi rigoureux notamment dansles prêts de véhicules de remplacement. Dans le cadre de cetaccord, GESPARC finalise actuellement un service dedépannage 24H/24. Lors d’une réunion la semaine dernière,après seulement 4 mois de collaboration, la SEEG a manifesté sasatisfaction quant aux prestations proposées par GESPARC.
Quoi de neuf ?N E U F ?
16quoi de neuf ?
TOYOTA GABON
Quand le haut de gamme se dévoile…
E légance, raffinement, caractère, voici quelques-uns des nombreux qualificatifs permettantde décrire les 3 nouveautés présentées par TOYOTA GABON en mai. En parallèle d’unecampagne publicitaire, TOYOTA GABON a offert des journées d’essai de ces nouveautés
à certains de ses clients. Comme le dit l’adage, “l’essayer, c’est l’adopter”.
La TOYOTA CAMRYBerline de luxe de la marque leader en Afrique maiségalement dans le monde, elle n’a pas à rougir face àses concurrentes. Élégante, la Camry affiche un petitsourire fort sympathique, formé par sa grille decalandre en V et ses phares profilés. Les lignes effiléeset fuyantes en combinaison avec les ailes bombéescréent un effet unique qui nous permet finalement de reconnaître la Camry au premier coup d’œil.Nul doute qu’elle ne passera pas inaperçue sur les artères de la ville !
Le 4x4 LEXUS RX 350Il présente toutes les caractéristiques d'une berline sportive en termes de performances et demaniabilité, une sécurité exemplaire ainsi que tous les raffinements technologiques que vous êtes
en droit d'attendre d'une Lexus. Il s'agit égalementd'une des voitures les plus silencieuses de sacatégorie. L'habitacle est à la fois un havre de paixà l'abri de l'agitation quotidienne et un espace oùles performances de la voiture s'exprimentpleinement. Un ensemble de systèmes d'assistanceà la conduite et des équipements ergonomiquescomplètent agréablement l'ensemble.
La berline LEXUS LS460Douceur, raffinement, réactivité...avec la nouvelle LS 460, le luxeautomobile entre dans une autredimension. Imposante, élégante etdynamique, elle allie beautéet innovation technologique.Le résultat ? Un véhicule d'unegrande sophistication et d'uneconception irréprochable.Véritable sanctuaire privé et luxueux,la LS dégage un sentiment d'élégance etde puissance.
Campagne pièces détachées du 23 avril au 30 juin 2007
Comme chaque trimestre, TOYOTAGABON a procédé à une campagnepromotionnelle. Cette fois-ci, 25 % de
remise étaient accordés sur les filtres, les bougies,les plaquettes de frein et garnitures, l’embrayage,les suspensions et les courroies.
TOYOTA GABON se rapproche de sa clientèle
Pour être encore plus près de sesclients, TOYOTA GABON a ouvertune boutique de pièces
détachées au PK8 en juin 2006. Afin derenforcer la notoriété de ce magasin, unenouvelle campagne presse et radio a étéinitiée début juin. L’idée est de convaincre leshabitants du quartier qu’ils bénéficient auPK8 des mêmes avantages et servicesqu’à Oloumi. D’autre part, un camion depièces détachées sillonne les provinces afin desatisfaire les besoins d’une clientèle pluséloignée.
Quoi de neuf ?N E U F ?
17quoi de neuf ?
Séjour en ChineEn complément du salon de Paris, ELECTRA s’est déplacé cette année en Chine pourappréhender sans intermédiaire le niveau des produits proposés par l’industrie chinoise dumeuble en visitant la foire de Guangzhou (Canton) fin mars.
Nous avons trouvé des produits intéressants en mobilierde bureau, sièges, canapés et tables à manger. Aprèsétude des coûts d’approche, nous travailleronsprobablement directement avec certaines entrepriseschinoises avant la fin de l’année.
Nous avons noté que la demande reste aujourd’huitoujours « occidentale » pour notre secteur d’activité.Cependant, la capacité d’adaptation de ce grand paysétant très rapide, il est certain que le courant d’affairesne pourra que se développer.
Mobilier de bureau
Nous avons mis l’accent cette année sur notre magasin de mobilier en communiquant sur nosproduits quasiment mensuellement.La rénovation de notre magasin ainsi que nos nouveaux horaires favorisent le taux defréquentation de notre magasin et nous devons sans cesse informer notre clientèle grâce à desannonces récurrentes.
BTA SERVICESTous connaissent de nom notre bureau d’achats parisien et le nom de nos collègues Marie-France DOUIS et Josiane BARRE toujours prêtes à répondre à nos besoins et à rendre serviceà chacun. Vous pouvez désormais mettre un visage sur ces noms.
Piratage de marque
Il y a quelques mois, des splits systems imitant lamarque WESTPOINT sont apparus sur le marchédes climatiseurs. La seule différence sur le nom
portait sur le "T" manquant WESPOINT pourWESTPOINT. L'importation pirate prouve la forte implantation dela marque au Gabon. La société détentrice de lamarque WESTPOINT a saisi un avocat gabonais afind'entamer une procédure. De son coté, SOGAFRIC SERVICES a publié plusieursencarts dans le journal l'Union avec le libellé suivant :
Cher(e) Client(e) Nous vous informons de la mise sur le marchégabonais de climatiseurs et de splits systems portantun logo imitant la marque WESTPOINT.Ne vous laissez pas abuser par ces imitations dontla qualité n'a rien à voir avec les vrais appareilsWESTPOINT. WESTPOINT est une marque dûmentdéposée et légalement protégée. Seuls SOGAFRICSERVICES et ELECTRA commercialisent la marqueWESTPOINT originale au Gabon.
Ces importations pirates ont cessé mais nous restonsvigilants.
Quoi de neuf ?N E U F ?
La contrefaçon
L’original
BTA SERVICES
18priorité santé
Le chikungunya (en abrégé chik), estune maladie infectieuse tropicale, dueà un arbovirus transmise par des
moustiques du genre Aedes. Le nom estd'origine bantoue et signifie : « qui serecourbe, qui se recroqueville », à l'imagedes feuilles tombées des arbres qui serecourbent en séchant ; on a aussi traduitchikungunya en français « maladie qui briseles os » ou « maladie de l'homme courbé »car elle occasionne de très fortes douleursarticulaires associées à une raideur, ce quidonne aux patients infectés une attitudecourbée très caractéristique.
La transmission du virus d'un humain malade àun moustique se fait par le sang aspiré lors de lapiqûre. La contamination d'un homme sain estréalisée par la salive de moustiques qui ont étéinfectés quelques jours ou quelques semainesauparavant. Seules les moustiques femellespiquent.
Parmi plus de 950 espèces de moustiques,plusieurs d'entre elles sont susceptibles detransmettre le chikungunya, mais seules Aedesaegypti et Aedes albopictus ont été à ce jouridentifiées comme vecteurs épidémiques, à causede leur adaptation aux zones d'habitat humain.Ces mêmes espèces sont également impliquéesdans la transmission d'autres arbovirus : dengue,fièvre dengue hémorragique (DHF), fièvre jaune,etc.
La maladie
De la larve au moustique L’œuf devient larve. La larve connaît uneévolution en quatre phases, avant de setransformer en nymphe. La phase nymphale dure48 heures et se clôt par un vol nuptial au-dessusdu gîte larvaire. Tout ce cycle dure de six à dixjours. Plutôt six jours quand les circonstances,humidité et chaleur, sont idéales.
L’aedes n’est pas très difficile sur la qualité et lataille de son lieu de ponte : une canette lui suffitpour peu qu’elle contienne un peu d’eau. Enrevanche, il ne pond que dans l’eau douce,stagnante, non croupie et à l’ombre.
Il ne faut pas limiter la lutte anti-moustiques à laseule éradication des adultes. Il est beaucoup plussimple et efficace de s’attaquer à une flaqued’eau contenant des centaines de larvesimmobiles, que de courir derrière le mêmenombre de moustiques adultes et donc volants.
Cycle du virus Comme chez toutes les espèces de moustiques,seule la femelle est hématophage (c'est-à-direqu'elle se doit se nourrir de sang pour assurer le
développement de sesovaires et de ses oeufs) etdonc capable de transmettrele chikungunya. La trompe de lafemelle est munie de 2 tuyaux parallèles : l'unpour injecter la salive et le virus, l'autre pourpomper le sang après l'anesthésie locale par lasalive. Contrairement aux idées reçues, ce n’estpas en absorbant le sang mais juste avant, eninjectant un peu de salive anticoagulante dans
Le chikungunya
Priorité santéS A N T É
19priorité santé
Priorité santéS A N T É
un vaisseau sanguin de sa victime, que lemoustique infecte l'hôte. Un moustique s’infecteen effet en piquant (à proprement parler, ilconvient de parler de morsure et non de piqûrede moustiques) un humain ou un animalcontaminé. Le sang traverse ensuite la frontièrestomacale de l’animal pour passer dans sesglandes salivaires. La femelle devenue infectantele reste toute sa vie, soit environ un mois si elle necroise pas sur son chemin l’humain muni devaporisateur. Or, elle pique et pond tous lesquatre jours environ. Sept à huit transmissions duvirus par le moustique sont donc possibles aveccontamination d'autant de personnes. Unefemelle Aedes pond environ 300 œufs au coursde son existence. Les oeufs peuvent persisterplusieurs mois dans la nature en cas de conditionsdéfavorables (sécheresse avant de se transformeren larves puis en nymphes dès la mise en eau dusite de ponte. L'adulte s'envole ensuite ets'accouple rapidement.
SymptômesL’incubation de la maladie dure de quatreà sept jours en moyenne. La virémie, c’est-à-dire la période de présence du virus dans lesang et donc de transmission possible,s’étale pendant cette période pendantlaquelle le génôme viral peut être mis enévidence dans l'organisme par RT-PCR.
Les anticorps Immunoglobulines M (IgM)apparaissent vers le 5e jour de la maladie etpersistent plusieurs mois. Puis, apparaissent lesIgG (anticorps dirigés contre les protéines de lamembrane du virus) à partir du 15e jour, quidurent plusieurs années, voire décennies, sontspécifiques du chikungunya et protecteurs.L’immunité est donc estimée acquise à vie, cequi signifie en l'état actuel des connaissancesqu'une personne ayant eu le chikungunyane peut être atteinte une deuxième fois.
Les premiers symptômes peuvent faire penser àune crise de paludisme ou de grippe, ou deleptospirose, ou à une septicémie, uneméningite etc. Selon l'OMS, le chikungunya estune maladie dite dengue-like, c’est-à-direqu'elle ressemble beaucoup à la dengue(douleurs musculaires et articulaires, fortefièvre, éruption sur la peau...).
La maladie se déclare généralement par une trèsforte fièvre, parfois au-delà des 40°C, durantenviron 3 jours. Cette fièvre est suivie d'unérythème (éruption de boutons) et decourbatures très douloureuses, ainsi que devives douleurs des articulations clouant lemalade au lit. Les enfants ne présentent querarement ces douleurs articulaires. Chez eux lechikungunya se traduit comme une simplegrippe.
Les douleurs articulairespeuvent persister ouréappa ra î t re pendan tplusieurs mois, notammentaux articulations fragilisées(anciennes entorses oufractures chez des sportifspar exemple). Une attentionparticulière doit toutefoisêtre portée aux personnesfragiles : les nourrissonsdont les douleurs peuventbloquer la mâchoire etrendre impossible toutealimentation, les personnesâgées aux défaillancesd'organes, particulièrementsensibles aux effets de lafièvre (accélération de laf réquence ca rd i aque ,dé shyd ra ta t i on ) . Son tparticulièrement exposées àces risques secondaires àtoute fièvre les personnessouffrant de diabète, insuffisance cardiaque,rénale, respiratoire... Les alcooliques atteints dechikungunya ont présenté des risques accrusd'hépatite mortelle.
Précautions et traitement
La transmission directe du virus d'homme àhomme n'existe pas. La transmission est diteindirecte car elle nécessite la présenced'un moustique vecteur. Côtoyer des“chikungunyés” ne présente pas de risquedirect, sauf si ceux-ci sont piqués par desAedes qui se gorgent ainsi de leur sang richeen virus. En piquant une personne infectée, lemoustique récupère le virus et peut ainsi lepropager. L'Aedes femelle ne sera alorsinfestant qu'après plusieurs jours dedéveloppement du virus dans son corps : c'estle cycle extrinsèque qui amène le virus du tubedigestif aux glands salivaires du moustique.
Aucun médicament n'a été mis au point àce jour. Faute de traitement étiologique,le traitement reste donc purementsymptomatique : contrôle de la fièvre etde la douleur au moyen de paracétamol.Comme au cours de la dengue, l'aspirine nedoit pas être utilisée en raison des risques desaignement que cette molécule provoque(diminution de l'aggrégabilité et du nombredes plaquettes sanguines). Le chikungunya nepeut donc plus être considéré comme unemaladie bénigne. Il existe des formesasymptomatiques (c’est-à-dire sans fièvre nidouleurs), mais dans une très faibleproportion.
Les singes sont également porteurs duchikungunya, ainsi que beaucoup d'autresanimaux sauvages, domestiques et de rentes. Laprotection individuelle passe par lamoustiquaire imprégnée de répulsifs, la pose degrillages sur les ouvertures des maisons, le portde vêtements longs et clairs et l'usage delotions répulsives tôt le matin et en fin dejournée, mais celles-ci ont une durée efficacelimitée (4 à 8 heures selon les produits).
En raison de la très forte virémie pendant lamaladie (jusqu'à 10 puissance 12 copies devirus par millitre de sang chez le maladependant la première semaine de la maladie), ilfaut également insister sur la nécessitéd'isoler les malades (confinement àdomicile, répulsifs...), afin de limiter laprolifération de la maladie. En effet, enpériode épidémique, c'est l'homme maladequi constitue le réservoir principal de virus(la virémie peut atteindre 10 puissance 10 viruspar millitre de sang) et qui est donc un dangerpour son entourage.
La seule véritable prévention à ce jourconsiste donc à combattre la reproductionet la prolifération des moustiques parélimination des gîtes larvaires d'eaustagnante par exemple les vases descimetières, les bâches des piscines, les récipientsabandonnés, les gouttières, les pneusentreposés à l'extérieur, les déchets. Aedesalbopictus, moustique vecteur du chikungunyaest très lié aux activités humaines.
Source : Institut Pasteur
20infos utiles
Que signifie être efficace ?Arriver au résultat optimum dans un minimum detemps. Trois handicaps : le stress, le culte del’urgence, l’imprévu.Alors, pour les contrer et tenir ses objectifs, nousnous offrons un agenda à rallonge, des heuresqui se prolongent en fin de journée, en particulierle vendredi soir, voire le week-end au détrimentde la vie personnelle, sociale.
STOP ! COMMENT ?1 Un temps pour la réflexion. Où sont nospriorités ?Se concentrer sur l’essentiel et l’important.En cela, un exemple : le Général Eisenhower quipositionnait ses tâches en cases :
A Important / Non urgent
B Important / Urgent
C Non important / Non urgent
D Urgent / Non important
Le début de ses matinées était consacré à la case Bet la priorité des priorités était centrée, ensuite, surle A. C’est ainsi qu’il connaissait l’équilibre, lesentiment de contrôle, sa vision d’un avenir chargéde lourdes responsabilités.La pratique de la délégation lui permettait de gérerles cases C et D.
Nos rôles nous font parfois oublier l’essentiel, orpeut-on avancer sans boussole, sans objectifs, sanspriorités ? Si à l’issue d’une période, nous constatonsque nous avons investi du temps en des tâchessecondaires, interrogeons-nous sur notre niveaud’efficacité. Prenons quelques minutes, assis, à tableet devant nous une feuille blanche. Livrons-nous à l’exercice suivant : établissons unemind map, c'est-à-dire la carte de nos rôles et trionsles priorités (voir schéma ci-dessous).
Consacrons nos effortsaux enjeux liés à notrefonction. Quand un contactcommercial important noussollicite à l’extérieur, on nepasse pas son temps àtéléphoner assis à son bureau.L’essentiel doit guider notreitinéraire, sachons dire NON avecun peu de doigté et en soignant lesformes, sachons faire accepter sa différenceet les limites de son territoire.Le devoir accompli, prenons du temps avec nous-mêmes. Le travail ne polarise pas uniquement lavie, il y a des relations familiales, amicales,quelques loisirs et du repos aussi…
2 Nous avons défini nos missions, nospriorités, nos objectifs. Ceux-ci sont tracés avecprécision, mesurables et se situent dans un tempsassorti d’un calendrier réaliste.
Maintenant vivons le quotidien.
La veille ou le matin, notons les choses à faire.L’agenda papier ou électronique est à portée demain, passons à l’action. Estimons la durée dontnous avons besoin pour traiter chaque activité,mais gardons du temps en réserve. Ne planifierque 60 à 70 % de notre temps. La concentrationest la règle. Un dossier ne se traite pas en fractionde minutes. Fermons la porte, ne bondissons pas
sur l’ordinateur dès qu’un e-mail est signalé, halteau téléphone, la messagerie se substitue à nous. Fixons-nous des délais pour achever le travailenvisagé.
Les réunions sont dévoreuses de temps, attentionau rituel qui n’apporte rien sinon la reproductiond’un rite institué. Elles coûtent cher. Une heureavec 10 participants, ce sont 600 minutes quipèsent, chacune, plusieurs francs CFA. Pour quelbénéfice ? Si elles ne servent qu’à donner del’information, intranet s’offre à notre service…La réunion debout, essayons. En 20 minutesdéfile le détail de la journée. En 90 minutes unefois par semaine, le vendredi, si possible pour lebilan hebdomadaire et le tracé d’objectifs,mensuelles (quelques heures) pour unbilan/synthèse et de nouveaux objectifs.
Attention, le perfectionnisme peut figurer autableau de la non qualité.Qu’apporte-t-il en matière de valeur ajoutée àl’entreprise ? La règle figure dans l’attention quechacun offre à son client et à ses attentes.
3 Evoluons dans un espace de travail facilitantnos activités «Une place pour chaque chose etchaque chose à sa place». Un éclairage quigarantit la bonne humeur, pas de vis-à-vis maistravaillons dos à dos, respectons les règlesd’ergonomie ; en soirée, place nette sur lebureau, classons, dirigeons et jetons…
Ces quelques considérations faciles à appliquergarantissent plus d’aisance dans sa vie. A l’issued’une période d’auto-évaluation, plus deremarques telles que : «J’ai trop de travail, jemanque de temps». «J’accepte des tâches sansrapport avec ma mission », «Tout est urgent», «Jecrois qu’il faut sacrifier un ou des domaines danssa vie, on ne peut pas tout réussir»…
En ce domaine comme d’autres, la tentationd’oublier ces principes est grande, alors de tempsà autre un peu d’auto-critique pour à l’avenir fairemieux. Et puis, n’hésitons pas à écouter lesréflexions de notre entourage. Il nous observe etpeut être d’un précieux concours pour nousdonner son avis sur nos comportements et nospratiques. Essayons, nous allons être surpris.
Le temps clé de l’avenir
RÉPARTITION DU TEMPS
Relations
avec la Direction
Définition de fonction Collaborateurs
Tâches
Relations
extérieures
infos U T I L E S
Sour
ce :
Soci
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tions
21gabon découverte
Un sanctuaire pour les tortues marinesLe parc national de Pongara est séparé deLibreville, par un estuaire d'environ 14 km delarge. La péninsule de la pointe Pongara, dansl’immense estuaire asymétrique du fleuve Komo,constitue un ensemble de milieux diversifiésreprésentant une grande partie de la biodiversitédu Gabon. Le site apparaît largement ouvert surl’océan Atlantique et est bordé par un cordon desable fin, couvert à multiples endroits par unesavane sur son sommet.
Ces plages au sable fin constituent une zoned’importance mondiale pour la reproduction destortues marines dont l’espèce la plusreprésentative et la plus emblématique reste latortue luth.
Les tortues marines occupent une place uniquedans la biodiversité. Vivant en mer, ellesconservent un lien important avec le milieuterrestre : les femelles déposent leurs œufs àterre. Les tortues nouvellement nées, à peinesorties du sable, quittent déjà la terre pourl’océan et n’y reviendront qu’à l’âge adulte, pourles femelles.Ce système de double vie est très performantpuisque les tortues marines, apparues il y a plusde 180 millions d’années, ont survécu aux grands
reptiles dinosauriens.Des programmes d’observation destortues marines pour les touristes sontorganisés la nuit pendant les saisons deponte (octobre – février) et d’éclosion(février – avril) et, afin de minimiser toutimpact négatif des visiteurs et maximiserleur appréciation des tortues marines etleur conscience environnementale, ASF aconstruit un centre d’information sur lestortues marines sous la forme d’uneexposition permanente qui présente labiologie, les menaces qui pèsent sur lestortues marines et les efforts de conservationmenés par les programmes de recherche. L’autreONG nationale Gabon Environnement opérantdans la même branche vient de lui emboîter le pasen créant également un musée sur les tortuesmarines.
Les Mangroves du Parc National de PongaraA la limite entre le monde terrestre et le mondemarin, sur la façade occidentale et l’intérieur duparc national de Pongara, s’étalent des mangrovespittoresques. La superficie totale des mangrovesincluses dans les parcs nationaux d’Akanda et dePongara peut être estimée à 75 000 ha. Cecireprésente 2.5 % de la superficie totale des
mangroves d’Afrique centrale estimée à 2,9 millionsd’hectares. Ce sont des forêts avec des arbres quisupportent le sel, les marées, les vagues et lesalluvions. Aller à la rencontre de ces mangroves,c’est faire la découverte d’un monde inconnu oùl’on navigue au milieu des racines aériennes quidescendent de plus de 20 mètres. Elles sonthabitées de nombreux oiseaux : perroquets,cigognes, martins pêcheur, pélicans mais aussi dessinges dont le cercocèbe à collier plus.
Vivre l’expérience forêt au sein du parcVisiter une forêt tropicale demande une approcheassez particulière. Ce que nous voyons n’est quele sous-bois. Or l’essentiel de l’écosystème est
Le parc national de Pongara : la nature à portée de la cité
LE PARC NATIONAL DE PONGARA COUVRE 87 000 HA DE FORÊTS HUMIDESCÔTIÈRES, AVEC DES MÉDAILLONS DE SAVANE, DES MANGROVES ET DES PLAGES.BIEN QU’IL SOIT SITUÉ À PROXIMITÉ IMMÉDIATE DE LIBREVILLE, SA DIVERSITÉBIOLOGIQUE DEMEURE IMPORTANTE TANT SUR LE PLAN FAUNIQUE QUEFLORISTIQUE, CE QUI CONSTITUE UN POTENTIEL NATUREL DE PREMIER ORDREPOUR DES ACTIVITÉS DE TOURISME DE NATURE, DE VISION ET D’ÉCOTOURISME,RESPECTUEUSES DE L’ENVIRONNEMENT ET S’INSCRIVANT DANS LE CADRE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE. L’ENSEMBLECOMPOSÉ DU PARC NATIONAL D’AKANDA, DE LA FORÊT CLASSÉE DE LA MONDAH ET DU PARC NATIONAL DE PONGARA FORMEAUJOURD’HUI CE QU’ON PEUT NOMMER LA CEINTURE VERTE DE LIBREVILLE, UN VÉRITABLE POUMON D’OXYGÈNE QUI MÉRITED’ÊTRE PRÉSERVÉ, POUR LA PRINCIPALE VILLE DU PAYS ABRITANT PLUS DE LA MOITIÉ DE SA POPULATION.
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situé dans la canopée, cette immense voûte deverdure agencée en étages multiples etd’apparence anarchique, qui reste hors de notreportée. Des grands arbres, nous ne percevonssouvent que la base du tronc ainsi que des feuilleset des fruits tombés à terre. Les visites dans laforêt secondaire du parc national de Pongaraentre la pointe WIGOMBE et la pointeKENGUERE, se font souvent dans un sous-boisqui n’est pas prolifique en faune. Toutefois cen’est pas pour autant que ces visites neprésentent pas un intérêt certain pour lestouristes. La canopée de la forêt de Pongaraabrite plusieurs espèces de primates dont lecercocèbe à collier (cercocebus torcatus), un singeendémique de la zone des forêts atlantiques. Ony trouve également des familles de chimpanzéslorsqu’ons’enfonce dans lecœur du parc.Des randonnéespédestres avecun guideaccompagnateursont l’occasionde mettre enéveil tous lessens. Le bruit du
calao qui avertit lessinges d’un éventueldanger, les odeurs desfruits de l’Ozouga(Sacoglottis gabonensis) ou encore la saveur del’eau issue de la liane à eau et enfin inhaler l‘airfrais de ces forêts côtières sont autant d’élémentspour agrémenter une visite. Malgré le fait que lavision des grands mammifères ne soit pasgarantie au sein du parc national de Pongara, iln’en reste pas moins que c’est l’un des rares parcsproche d’un grand centre urbain où l’on peutobserver des éléphants. En périphérie des forêts,on trouve les savanes côtières, surtout dessavanes steppiques où l’on peut observer depetites hardes tôtle matin ou en fin
de journée. Parfois elles peuvent compter jusqu’à12 individus.
Les plages, les baleines et les dauphinsLa périphérie du parc national de Pongara abritede magnifiques plages fréquentées depuis desannées par les populations de Libreville et lesrésidents de la pointe Denis, pour la pratique dutourisme balnéaire. Plusieurs sites offrant del’hébergement et de la restauration à cetteclientèle du week-end ont vu le jour sur cettefaçade « estuaire » du parc. Ndjogu Assala Lodgeoffre des bungalows ou villas avec des chambresclimatisées, équipées d’une salle de bain privée etd’une terrasse. 10 paillotes et 60 transatsconstituent, avec les chambres, des élémentsidéaux pour le farniente. A cela s’ajoute unecuisine ‘‘tout au grill’’, un bar, une crêperie.Maringa est le deuxième opérateur phare de lapointe Denis. Son restaurant sur pilotis, construiten matériaux locaux, cadre ainsi avec la volontéde conserver intacts ces lieux situés à la périphériedu parc national de Pongara. On y déguste debonnes langoustes, des carpes rouges, de ladorade… en papillote ou à la braise. 5 bungalowsconfortables et climatisés accueillent les touristes,à partir du mercredi jusqu’au dimanche. Sur lafaçade atlantique, ces plages ne sont pas propicesà la baignade, mais permettent une visiond’animaux marins. En effet, bien qu’elles soientpeu profondes et assez troubles, les eaux côtièresde la région de Libreville sont quand mêmevisitées par des cétacés. De juillet à septembre,des baleines à bosse (Megaptera novaeangeliae)passent régulièrement au phare de Gombé.Aujourd’hui des promoteurs touristiques du parcs’organisent pour mieux vendre cette vision debaleine qui représentera pour le Gabon unproduit touristique phare. Les dauphins ne sontpas en reste dans les eaux océaniques du parc.L’espèce la plus fréquente est le dauphin à bossesde l’Atlantique (Souza teuszii), un animal de 2 à2,5m de long, pesant jusqu’à 150 kg.
Le parc national de Pongara (suite)
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Carnaval de Blaise PascalLe lycée Blaise Pascal a organisé commechaque année son carnaval le 24 mars2007. A cette occasion, le GroupeSOGAFRIC a offert de nombreux lots.
23relations avec nos partenaires
Rallye du Lion’s Club
Al'occasion du 21e rallye du LIONS CLUB ASSALA, le dimanche13 mai 2007, le Groupe SOGAFRIC était bien présent sur lesmarches du podium. En effet, le deuxième prix était un copieur
multifonctions couleurs XEROX, offert par ELECTRA de Port-Gentilreprésentée par Mme Véronique ROMEUF etle troisième prix était une location d'unvéhicule TT de marque RENAULT CLIO pourune durée de trois semaines, offert parSODIM TP représentée par Mme SonyaBASQUIN qui avait fait le déplacement deLibreville. Mme MEROUX, qui représenteGESPARC à Po r t -Gen t i l a rem i sgénéreusement un lot spécial au gagnant dugymkhana : il s'agit d'une location d'unvéhicule YARIS sur Port-Gentil pour une duréed'une semaine ainsi que divers lots au nom deTOYOTA GABON.
Sponsoring de l’Association des Français de l’Etranger
Le mercredi 16 mai dernier SODIM TP était une fois deplus de la partie lors de la soirée de Loto organisée parL’AFE. Ce soir-là, c’est le Service Commercial qui remettait
à un heureux gagnant un forfait de location TT d’une CLIO IIIpour une durée de 21 jours.
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