Upload
hoangtram
View
217
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
SCHEMA DEPARTEMENTAL DE L’ACCESSIBILITE
DES SERVICES AU PUBLIC DE SAONE-ET-LOIRE :
« COMMERCE DE PROXIMITE, ARTISANAT ET
DIFFUSION DES PRODUCTIONS LOCALES
AGRICOLES »
Atelier du mardi 27 février 2018
Schéma Accessibilité
LES TERRITOIRES
2ème surface agricole de France
Surface boisée
207 800 ha
Territoire non agricole
83 010 haTerres agricoles non cultivées
16 700 ha
S.A.U.
553.979 ha
(64%)
Source : Agreste 2010
LES TERRITOIRES
Le poids du commerce de détail et réparation
• 25 % du total des établissements CCI / CMA
• 14 % des effectifs de l’ensemble des étabts
La consommation alimentaire
S’agissant des comportements d’achats des ménages, on note une forte propension des
ménages à consommer dans les grandes surfaces. Avec près de 80 % de la consommation
totale dans cette forme de distribution, on se situe très largement au dessus des
moyennes nationales, dans un écart de 5 points environ.
L’urbanisme commercial
Année Evolution des m² autorisés
2017 10 580 m² (10 dossiers)
2016 34 770 m² dont 10 941 m² transférés
2015 0 m²
2014 5 398 m² dont 1 880 m² transférés
2013 24 764 m² dont 5 255 m² transférés
La Commission Départementale d’Aménagement Commercial est compétente pour examiner
les demandes d’autorisation d’exploitation commerciale. Présidée par le préfet, chaque CDAC
est composée de 7 élus, dont le maire de la commune d’implantation, et de 4 personnalités
qualifiées en matière de consommation, de développement durable et d’aménagement du
territoire
Sont concernés (article L752-1 du code de commerce) les projets de : création d’un magasin ou extension d’un commerce existant d’une surface de vente supérieure à 1 000 m²,
changement de secteur d’activité d’un magasin d’une surface de vente supérieure à 2 000 m² (ou 1 000 m² pour un
commerce à dominante alimentaire),
création ou extension d’un ensemble commercial d’une surface de vente supérieure à 1 000 m²,
réouverture d’un magasin d’une surface de vente supérieure à 1 000 m² après une fermeture pendant 3 ans,
création ou extension d’un point permanent de retrait par la clientèle d’achats au détails commandés par voie télématique,
organisés pour l’accès en automobile.
Avec des densités de 11,7 activités pour 1 000 habitants et de 1.218 m² pour 1 000 habitants, le département de Saône-et-Loire présente une densité commerciale hétérogène au regard de départements comparables : forte pour le commerce de moins de 300 m² et dans la moyenne pour les grandes surfaces. Toutefois, cette densité reste concentrée et ce tant pour le commerce de moins de 300 m² que pour les grandes surfaces. En effet, près de 60 % du plancher de grandes surfaces et 42% des établissements commerciaux, sont concentrés dans les trois ou quatre premiers pôles du département que sont les agglomérations chalonnaises, mâconnaises et la Communauté Urbaine le Creusot Montceau-les-Mines. Cette concentration de l’équipement commercial se matérialise également dans la mesure du chiffre d’affaires puisque ces trois pôles représentent près des deux tiers du chiffre d’affaires du département. A côté de ces grands pôles, on note toutefois dans le département de Saône-et-Loire un maillage de polarités marchandes secondaires plutôt satisfaisant.
L’équipement commercial en Saône-et-Loire
Source : analyse de l’armature commerciale du département de Saône-et-Loire (Etude DDT 71 – 2012
/ Aid Observatoire / données source CCI 71)
LES POLES COMMERCIAUX EN SAONE-ET-LOIRE
17 pôles commerciaux
en Saône-et-Loire
2 pôles principaux (50 %)
7 pôles secondaires
(entre 66 et 271 M€)
8 pôles relais
(entre 17 et 54 M€)
Pour 38 produits de
consommation courante, le
niveau d’activité
commerciale du
département est estimé à
3,3 milliards d’euros dont
la moitié est générée par
les pôles de Chalon et de
Mâcon.
C’est certainement sur le maillage de pôles de plus petite taille que le département de Saône-et-Loire montre des lacunes. En effet, on constate plusieurs « déserts commerciaux » dans le département, comme par exemple à l’Ouest de Cluny ou dans le Nord du Louhannais. Au final, à l’échelle du département, on constate de forts effets de superposition de zones de chalandise, notamment s’agissant des achats non alimentaires. Ces superpositions représentent des effets de concurrence internes au département et montrent l’impact négatif d’un développement commercial non adapté à son bassin de clientèle. Cet effet de concurrence existe également sur les franges limitrophes du département avec la présence de pôles majeurs tels que Lons Le Saunier-Montmorot, Roanne-Charlieu, Beaune, Villefranche sur Saône ou encore Bourg en Bresse. Ces pôles possèdent des zones de chalandise étendues qui s’étendent pour partie en Saône-et-Loire. A contrario, on notera qu’une partie des départements de l’Ain et du Rhône est comprise dans la zone de chalandise de l’agglomération de Mâcon, qu’une partie du département de la Côte d’Or est comprise dans les zones de chalandise des agglomérations de Chalon sur Saône et Autun, qu’une partie du département de la Nièvre est comprise dans la zone de chalandise de l’agglomération d’Autun.
LOCALISATION DES 156 SURFACES ALIMENTAIRES DE 300 M² ET PLUS
300 m² et plus surface nombre Hypermarchés 120 117 24 Supermarchés 97 571 74 Maxi-discomptes 41 804 46 Spécialistes alimentaires 7 442 12
266 934 m²
soit 480 m² pour 1 000 habitants
156 magasins
45 drives
Développement commercial : Une évolution des comportements d’achats et des nouvelles formes de distribution à prendre compte
Source : analyse de l’armature commerciale du département de Saône-et-Loire (Etude DDT 71 – 2012
Aid Observatoire)
Des nouveaux modes de consommation qui
impactent sur la typologie de développement de
l’offre commerciale
Si pendant plusieurs décennies c’est la distribution
qui a fait évoluer le comportement du
consommateur, on assiste depuis quelques années à
un effet inverse.
Ce que l’on a coutume de nommer l’agilité du
consommateur, c’est-à-dire sa propension à arbitrer
son lieu de consommation à partir de ses besoins
réels a fait émerger de nouvelles façon de distribuer
les produits.
6 grandes tendances constituent actuellement un
résumé de ces nouveaux comportements :
Ces 6 tendances sont les suivantes :
- Gagner du temps
- Consommer au meilleur prix
- Consommer durable et éthique
- Consommer connecté
- Etre étonné par l’offre
- Disposer d’une offre personnalisée
Gagner du temps
Alors que la consommation a été pendant longtemps
un acte plaisir pour lequel le temps passé comptait
peu, le rapport au temps en matière de consommation
est en train de se modifier.
On constate en effet depuis 4 à 5 ans une baisse
continue du temps consacré aux achats, notamment
s’agissant des achats banalisés.
24
En réponse à cette tendance les principales
évolutions en matière de distribution sont les
suivantes :
- Une évolution du format des hypermarchés
Les très grands hypermarchés réduisent leur
taille tandis que le format de référence dans les
grandes agglomérations a tendance à baisser.
Cette réduction de la taille moyenne a pour
objectif de faire baisser le temps passé en
magasin, considéré comme une perte de temps
pour les achats banalisés
- Le développement des drive
Forme de distribution émergente il y a encore
quelques mois, le drive est en train de se
développer de façon accélérée tant en zone
urbaine qu’en zone rurale. Cette forme de
distribution constitue une alternative à la
fréquentation de grandes surfaces et doit être
considérée comme se substituant pour partie au
développement de nouvelles surfaces à
dominante alimentaire.
- Le développement du commerce d’itinéraire
En préalable au phénomène drive, on a assisté
depuis quelques années au développement d’un
commerce d’opportunité, le long des axes de
communication.
Ce commerce, qui prend des formes diverses
(commerces dans d’anciennes stations service,
dans des gares, dans des nœuds routiers…)
s’appuie sur des flux, notamment domicile travail
et permet au consommateur un gain de temps
appréciable
En parallèle de ces grands tendances on peut
également citer le développement de formes de
distribution plus marginales mais répondant au
même besoin de gain de temps : distributeurs
automatiques, services à la personne dans les
lieux de flux…
Consommer durable et éthique
Après de nombreuses années de consommation de
masse et dans un contexte de crise économique mais
également de crises alimentaires, le consommer
durable et éthique permet au consommateur de créer de
la valeur au-delà de son acte marchand.
En réponse à cette tendance les principales évolutions
en matière de distribution sont les suivantes :
- La vente directe depuis la production
Marchés de plein air, amap (associations pour le
maintien de l’agriculture paysanne), magasins groupés
de producteurs mais également village de marques et
autres magasins d’usine constituent des lieux d’achats
alternatifs et en train de fortement se développer.
L’intérêt de cette forme de distribution est d’organiser
une relation directe, sans intermédiaire, qui permet de
rassurer le consommateur sur la provenance du
produit mais également sur la formation du prix.
- La labellisation des produits
AB, Label rouge, filière qualité, commerce équitable et
responsable, autant d’éléments qui garantissent au
consommateur la qualité du produit qu’il achète et/ou
les conditions dans lesquelles ce produit a été produit
ou fabriqué.
La labellisation des produits constitue dorénavant une
stratégie à part entière pour certaines enseignes de
grande distribution qui en font un argument marketing
à part entière et qui développent des partenariats avec
des producteurs locaux.
- La création de centres commerciaux HQE
Végétalisation, mails piétonniers, noues filtrantes,
récupération d’eaux de pluie pour l’arrosage des
espaces verts, les centres commerciaux connaissent
actuellement de fortes évolutions en matière de
qualité d’aménagement.
La plupart des opérateurs commerciaux sont
actuellement
dans une logique de renouvellement qualitatif de
leurs programmes commerciaux en y intégrant une
forte composante environnementale.
Consommer connecté
Le très fort développement d’Internet, son arrivée sur
les supports mobiles et les tablettes donnent aujourd’hui
au consommateur de nouveaux moyens de consommer.
Le commerce électronique s’impose comme une
forme de distribution à part entière, atteignant pour
certains produits près de 25% de parts de marché et
questionnant sur la poursuite d’un développement
commercial uniquement centré sur l’évolution des
surfaces de vente.
En réponse à cette tendance les principales évolutions
en matière de distribution sont les suivantes :
- L’explosion des sites internet marchands
Initialement principalement utilisés comme des vitrines,
les sites Internet ont pris depuis quelques années une
orientation marchande, aidée en cela par une
sécurisation des paiements efficace.
- La mise en place de stratégies cross canal
Point de vente et Internet ne font aujourd’hui plus
qu’un dans la stratégie de nombreuses enseignes qui
offrent au consommateur plusieurs modes alternatifs
d’accès aux mêmes produits dans un concept d’offre
globalisée.
- La présence des marques et enseignes sur les
réseaux sociaux
Rejoignant en cela les stratégies de communauté de
consommateurs, la présence sur les réseaux sociaux
(facebook, twitter…) permet d’animer les marques et
enseignes et de générer de la fréquentation
physique ou virtuelle.
La prise en compte de l’impact de ces nouvelles
formes de distribution incite donc à une certaine
prudence en matière de développement
commercial à l’échelle de la Saône et Loire.
La réponse à l’évolution des besoins ne devra en
effet plus uniquement s’envisager à l’avenir par
une densification commerciale massifiée, à la fois
géographiquement et en terme de forme de
distribution.
Schéma Accessibilité
16 marchés en 2017
CUCM - CCGAM - St Bonnet de Joux
Ces marchés réunissent des producteurs
locaux, tous engagés au respect d'une charte
de bonnes pratiques
".
L’ARTISANAT : Acteur de
l’économie de proximité
- incontournable de l’économie locale
- indissociable de l’avenir des communes
-indispensable à leur attractivité et à leur
développement
- pourvoyeur d’emplois et de lieux de formation
- créateur de lien social
- porteur de valeur d’humanité et de savoir faire
33
L'évolution des comportements favorable à l’artisanat
& corrélée à la notion de proximité
• Recherche de courses plaisir
• Recherche de lien social
• Introduction des notions écologiques
• Valorisation de la consommation locale
• Introduction de la consommation raisonnée
• Essor du snacking
• Développement de la consommation nomade
• Réduction du temps consacré aux achats
ARTISANAT & PROXIMITÉ
34
Les étapes à engager au niveau du territoire
Après une étape qui consiste à
-identifier les forces
-préciser les axes d’amélioration
-définir les objectifs afin de prioriser les actions
Intervenir pour Pérenniser les activités
artisanales et commerciales en intervenant à
différents niveaux : Immobilier - Appui à la
Transmission - Diagnostic - Formation (ex: intégrer le
numérique)
ARTISANAT & PROXIMITÉ
35
il est possible d’
Initier & de s’appuyer sur de nouvelles opportunités
L’artisanat intègre la proximité dans sa stratégie (le drive) : une réussite si
-la réception des commandes est humanisée
-l’offre est diversifiée
-les produits sont de qualité
-l’outil numérique est intégré
-la communication est adaptée
-l’emplacement est stratégique
ARTISANAT & PROXIMITÉ
36
Avantages pour la clientèle
- Choix
- Offre de qualité
- Commande via Internet
- Regroupement des produits
- Rapidité
- Consommation écologique, (production locale)
ARTISANAT & PROXIMITÉ
37
Avantages pour le professionnel artisan
- Diversité de la clientèle
- Rupture de l’isolement
- Développement de son activité
- Dynamique et innovation de l’offre
ARTISANAT & PROXIMITÉ
38
L’artisanat & le vieillissement de la population
Secteur alimentaire
Une offre produits à adapter (dénutrition, quantité)
Des services à développer (livraison)
Des complémentarités à initier
Des clientèles à diversifier (EHPAD)
ARTISANAT & PROXIMITÉ
L’artisanat & le vieillissement de la population
Secteur Bâtiment
Une approche client adaptée
Une offre produits et prestations qui évolue
Une démarche partenariale engagée
ARTISANAT & PROXIMITÉ
L’artisanat & les conciergeries des champs &
des villes (Livraison de produits et services rendus)
Divers scénarios : le concierge est rémunéré par :
- l’entreprise
- l’utilisateur
- les entreprises du centre bourg
- mix (consommateur, entreprises)
La conciergerie de St Pierre de Manneville (870 hab – Seine Maritime)
• Vente de produits locaux
• Offre de services à la personne
• Animation d’un lieu de vie
ARTISANAT & PROXIMITÉ
41
L’artisanat et le développement de l’économie éphémère (activités dans des constructions légères, ou contenants itinérants)
– un outil pour contribuer à développer l’hospitalité des territoires
– un outil qui s’appuie sur le numérique
– un outil qui soutient l’économie locale artisanale
• L’artisanat et les domaines concernés par l’économie éphémère
– La réparation de vélos de matériels électroménager
– La cordonnerie,
– Les soins à la personne
– …
ARTISANAT & PROXIMITÉ
42
Pour une réussite de l’économie éphémère
- un travail engagé à l’échelon intercommunal
- des objectifs précis
- une offre de produits & prestations de qualité
- des projets définis avec associations et habitants
- une implication des entreprises et des salariés
- des structures légères, praticables qq soit la saison
ARTISANAT & PROXIMITÉ
Des exemples d’actions engagées sur les
territoires
PACA : CMA/collectivités locales
- charte « Soutenir l’éco de proximité »
- valoriser les produits locaux
- maintenir & renforcer l’activité artisanale
Loir &Cher : CA/CMA
» Baladodrive (30 frs - 700 références)
Gueret : Partenariat Mairie /CMAI » 18 ARTISANS D’ART en PERIODE ESTIVALE
44
ARTISANAT & PROXIMITÉ
BRETAGNE : 60 projets pour réinventer le centre des bourgs ruraux et des villes
Pays de la Loire : Livre blanc « L’économie de proximité en pays de la Loire »
45
Thématiques L’apport des chambres consulaires
sensibiliser les communes et EPCI à la compétence « commerce » et à la mise en place de démarches locales favorables au commerce.
Etablir les forces et faiblesses du territoire avec des outils d’observation et de diagnostic : observatoire des cellules commerciales, flux de consommation….
rester en veille pour anticiper les cessations d’activité
- Outil Transentreprise : sensibilisation sur la nécessité d’anticiper la transmission, accompagnement dans la mise sur le marché, promotion des entreprises à reprendre, détection et accompagnement des candidats à la reprise.
- Diagnostic transmission et aide à la recherche de porteurs de projets
Assurer l’accès au commerce de proximité
Thématiques L’apport des chambres consulaires
se mobiliser pour favoriser les maintiens et installations de commerces
- Une offre d’accompagnement des créateurs/repreneurs d’entreprises (ateliers, RV individuels, formation), accompagnement au projet (chalandise, viabilité économique, diversification, financements...)
- l’accompagnement dans les opérations de type boutique à l’essai
- les diagnostics de territoire
- l’accompagnement dans le cadre d’un dossier FISAC (fonds d’intervention pour les services, l’arisant et le commerce) – volet animation collective en partenariat avec les groupements d’entreprises artisanales et/ou commerciales et volet aide individuelle pour la modernisation et le développement des entreprises
- une prestation d’accompagnement sur mesure en fonction de la problématique d’un territoire
- un conseil, une expertise et un diagnostic des points de vente
- des formations adaptées aux besoins (ex : vitrines attractives, accueil d’un client étranger…)
- Favoriser des initiatives comme la juxtaposition de plusieurs commerces sur un même lieu de vente, des horaires d’ouverture adaptés, une mutualisation d’activités au sein d’un même commerce, sur le modèle de création de multiservices
rester attentif à l’évolution des comportements d’achat
S’ouvrir aux nouveaux comportements d’achats qui impactent grandement le commerce traditionnel et de proximité
Proposer des ateliers thématiques sur la digitalisation des points de vente, l’offre de nouveaux services, la fidélisation
Assurer l’accès au commerce de proximité
Des exemples d’actions menées sur les territoires de Saône-et-Loire Collectivités et chambres consulaires, un travail d’équipe au service des territoires et de leurs habitants (partage des informations, actions communes…)
LES MULTISERVICES EN MILIEU RURAL
Le p’tit Vroulon à Vérosvres
La municipalité a transformé le local communal en bar-épicerie,
multiservices qui a ouvert en mai 2016.
La gérante, conjointe d’agriculteur, Jocelyne Billonnet propose : épicerie,
produits régionaux, dépôt de pain, bar gaz, journaux, relais colis,
photocopies, et info-tourisme.
Des plages horaires importantes sont proposées : Les lundi, mardi, jeudi de
7 h 30 à 13 h et de 16 à 19 heures, le vendredi de 7 h 30 à 13 h et de 16 à
21 heures, le samedi de 8 à 13 h et de 16 à 21 h et le dimanche de 8 à 13
heures.
Vos interlocuteurs
Chambre d’Agriculture de Saône-et-Loire
Franck RICHARD Chef du pôle Développement Territorial et du Service Systèmes d’Information & Communication
03 85 29 55 14 / 06 77 08 50 17
Chambre de Métiers et de l’Artisanat Interdépartementale
Christine LOISY
Responsable du Pôle développement des entreprises et des territoires
03 85 41 40 52 – [email protected]
Chambre de Commerce et d’Industrie de Saône-et-Loire
Séverine DESSOLIN
Responsable du pôle commerce et tourisme
03 85 77 99 09 / 06 73 69 84 37