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© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. A.CA. L’HUMEUR DE JEAN-LOUP De Chinois. Et moi, et moi, et moi… Émoi, même : depuis la rengaine de Dutronc, la population de l’Empire du Milieu a largement dépassé le milliard de personnes ! Au compteur : 1.392.567.673 consommateurs potentiels… C’est dire s’il s’agit d’un marché impor- tant et porteur, qui pèse lourd ! Le hic, c’est qu’au pays du canard laqué, ils ont des goûts… Com- ment dire… Un peu (beaucoup) particuliers, très différents des nôtres. Au moment de refermer les portes du salon de l’auto de Pékin, deux spécificités locales loin d’être anecdotiques : à l’afficheur de température extérieure, le conducteur chinois préfère l’indi- cateur du taux de pollution de l’air intérieur. Et dans un registre beaucoup plus étonnant… Pour- tant synonymes de luxe et de raffinement chez nous, ils détes- tent les intérieurs et les sièges en cuir ! Ils trouvent leur odeur tout simplement insupportable car trop animale ! Alors de deux choses l’une… Soit les conducteurs bridés ont tort de ne pas vouloir s’asseoir sur la peau d’un bestiau, dans un habitacle qui sent la tannerie à plein nez… Soit nous avons raison de nous en contreficher équilatéralement. À vous de voir comment vous le sentez… 700 MILLIONS… EXCLUSIF : LA DH A VISITÉ LE LABO D’ORAL-B, EN ALLEMAGNE LES SECRETS DE LA BROSSE À DENTS PAGES 2 ET 3 Lundi 28 Avril 2014

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Consomaction du 28 avril 2014

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© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

A.C

A.

L’HUMEUR DE JEAN-LOUP

De Chinois. Et moi, et moi, etmoi… Émoi, même : depuis larengaine de Dutronc, la populationde l’Empire du Milieu a largementdépassé le milliard de personnes !Au compteur : 1.392.567.673consommateurs potentiels… C’estdire s’il s’agit d’un marché impor-tant et porteur, qui pèse lourd ! Lehic, c’est qu’au pays du canardlaqué, ils ont des goûts… Com-ment dire… Un peu (beaucoup)particuliers, très différents desnôtres. Au moment de refermerles portes du salon de l’auto dePékin, deux spécificités locales loind’être anecdotiques : à l’afficheurde température extérieure, leconducteur chinois préfère l’indi-cateur du taux de pollution de l’airintérieur. Et dans un registrebeaucoup plus étonnant… Pour-tant synonymes de luxe et deraffinement chez nous, ils détes-tent les intérieurs et les sièges encuir ! Ils trouvent leur odeur toutsimplement insupportable car tropanimale ! Alors de deux chosesl’une… Soit les conducteurs bridésont tort de ne pas vouloir s’asseoirsur la peau d’un bestiau, dans un

habitacle qui sent latannerie à plein nez…Soit nous avons raisonde nous en contreficher

équilatéralement.À vous de voircomment vousle sentez…

700 MILLIONS…

EXCLUSIF :LA DH A VIS

ITÉ

LE LABO

D’ORAL-B, EN

ALLEMAGNE

LES SECRETSDE LA BROSSE

À DENTSPAGES 2 ET 3

Lundi 28 Avril 2014

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© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

02 OBJECTIFS THUNES 03OBJECTIFS THUNES

www.dhPbe I LUNDI 28 AVRIL 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

DANS LES COUL SS ES d’Oral-B8 Visite exclusive de l’antre secret où se

conjugue au futur le soin de nos dentines

A Kronberg, Allemagne, à quel-ques portées de crachat de denti-frice de Francfort. Ici repose l’undes InnovationCenters les plusconfidentiels dupays : le départe-ment Recherche etDéveloppementd’Oral-B, leadermondial de labrosse à dents élec-trique, fabricant debrosses manuelleset faiseur des den-tifrices recommandés par 550.000dentistes (“et sans contrepartie fi-nancière”, insista lourdement lepersonnel dirigeant auprès de LaDH). Racheté par l’ogre Proc-ter&Gamble en 2006, Oral-B estl’un des poles de l’entité où lebudget R&D est le plus consé-quent. Et on a pu l’apprécier deprès : jamais nous n’aurionssoupçonné la techno-logie, la science et laprécision chirurgi-cale avec lesquelssont assemblés etpensés ces outilsqu’on saisit, bouchepâteuse et œil vi-treux, machinale-ment deux fois parjour durant deux mi-nutes !

Pour faire simple, concevoirune brosse à dents conjuguephysique de haut vol et mathé-

matiques (Oral-B aprouvé que l’inclinai-son des poils de labrosse à 16° était leplus optimal), superslow-motion (le mou-vement des brosses estfilmé au moyen de ca-méras 8.000 images/seconde, là où le ci-néma se contente de24 images/seconde),

analyse acoustique de pointe, ro-botique et chimie, pour l’élabo-ration des pâtes dentaires.

AUTANT LE DIRE d’emblée : l’ac-cès à ces lieux est rarissime, et ilfaut montrer, plus encore queles dents, patte blanche pour ypénétrer. Sans badge dûment va-

lidé, on aurait vite fait de volerdehors, et toutes les exigencesde connectivité afférentes à no-tre métier n’auront pu convain-cre les responsables de nousdonner l’accès au réseau Wi-Fi lo-cal, par exemple.

Pour autant, l’accueil est sou-riant et enthousiaste, témoin de

l’envie de montrer au monde lacomplexité, le sérieux et la pas-sion avec laquelle l’entreprise,vieille de 175 ans, continue à faireévoluer une pratique ancestrale.

“Si l’innovation est le cœurd’Oral-B, ici, vous vous situez enplein dans son cœur”, lancera An-dras Papp, porte-parole, en guise

d’imparable catchphrase.Dans ces murs, 2.000 têtes

surdiplômées veillent à dévelop-per un futur étincelant pour nosquenottes. Leurs responsabilitéssont lourdes : Procter&Gamble,leur maison-mère, sert, chaquejour, 4,8 milliards de clients !

Visite guidée.

Big BusinessPAR ALEXIS CARANTONIS

Bienvenue au Robot Center, salle d’accès très gardée oùles fans de gadgets ne peuvent qu’avoir la mâchoire quiracle le sol. Ici, le maître des lieux, c’est Hans. Mais lesstars, ce sont eux : trois robots industriels à bras télescopi-que, dont la valeur se chiffre à plusieurs dizaines de mil-liers d’euros pièce. “Ce sont lesmêmes robots qui sont utili-sés dans l’industrie automobile, par exemple”, sourit Hans,fier de ses ouailles de fer. Que fait-on ici ? “Nous testons la

longévité de nos brosses à dents électriques oumanuelles, etleur efficacité à enlever la plaque. Nos robots sont lesmeilleurs brosseurs de dents dumonde !”, sourit Hans.“Nous avons des dizaines de programmes préenregistrés

dans le logiciel de nos robots, qui simule la façon dont la po-pulation se brosse les dents. Droitiers, gauchers, jeunes toni-ques, seniorsmoins énergiques, enfants, personnes équipéesd’un appareil dentaire…Nous évaluons chaque scénario, du

brossage parfait au brossage trop court oumal exécuté.Comme la plaque dentaire est un composé biologique impos-sible à reproduire – 5.000 bactéries composent notre plaquedentaire, qui nous correspond autant que notre ADN –, nousavons développé une pâte bleue dont les propriétés s’en rap-prochent le plus possible. Après le brossage robotique, nousutilisons un scanner laser 3D pour évaluer, informatique-ment, la qualité du brossage et les défauts à corriger. Aucunebrosse à dents Oral-B n’estmise sur lemarché sans avoir ététestée des dizaines d’heures par nos robots !”

Des robots pour tester les brosses

: Après le brossage robotique, Hans cherche, à l’aide d’un scanner laser 3D, d’éventuels défauts.

Pas mal de gadgets cool jusqu’ici, mais le départementclinique de l’Innovation Center de Kronberg nous rap-pelle que la cause première d’Oral-B est humaine, etmême organique.

Ici, la couleur dominante est le blanc, et l’on se sentd’emblée en territoire plus connu, mais pas pour autantrassurant : imaginez une enfilade de laboratoires dedentiste, avec ce siège central, fraises à portée, qui faitfrémir petits et grands. “Bienvenue”, lâche un brin ta-quin Ralf Adam, l’un des scientifiques en chef, et res-ponsable de la clinique de l’Innovation Center. “Les ro-

bots, c’est formidable, mais nos produits sont destinés auxvrais gens, et à leurs vraies dents. C’est donc ici qu’on me-sure la performance de nos produits, à taille humaine.”Preuve à l’appui, puisqu’on a pu assister à un rituel quo-tidien en ces lieux. Ann, cobaye, est en plein processusde test d’un nouveau dentifrice. “Ann ne s’est volontaire-ment pas brossé les dents hier soir. Elle se présente ici, eteffectue différents processus de rinçage qui permettront,via certains actifs, de montrer le niveau bactériologique desa plaque dentaire. Nous allons alors effectuer une imageintrabuccale. Elle va ensuite effectuer le même processusprécis, mais après s’être lavé les dents avec le dentifrice entest, deux minutes durant. Nous prendrons alors une nou-

velle image, et comparerons les deux, histoire de vérifier sile niveau de plaque a diminué.”

L’expérience est enrichissante : les résidus verdâtresque vous voyez sur les photos ont effectivement dimi-nué drastiquement. Ralf nous rappelle toutefois que,“lorsqu’on se brosse les dents, le dentifrice n’est pas trèsutile pour ôter la plaque. En revanche, le dentifrice per-met, entre autres, de prévenir et de diminuer la formationde la nouvelle plaque dentaire. C’est ce que nous mesu-rons ici, et c’est pour cela qu’Ann vient tous les jours !” Etla testeuse, payée pour se laver les dents, de nous lâ-cher un ultime sourire approbateur… Éclatant, forcé-ment !

Payée pour se laver les dents !

: Les dents d’Ann avant brossage, et après (droite). La plaque (les résidus verts) a pas mal diminué !: Ann, payée pour se laver les dents.

A.C

A.

Les brosses à dents ne sont qu’une partie des acti-vités d’Oral-B. L’autre grand champion de la mai-son, c’est bien entendu le dentifrice. Tous les ex-perts vous le diront : si vous ne devez choisir qu’unseul des deux instruments, la brosse à dents, seu-le, est bien plus utile que la pâte dentaire. Parceque la plaque dentaire s’ôte par action mécanique,bien plus que via les actifs contenus dans le denti-frice. Pour autant le dentifrice ne sert pas à rien :protection des gencives, renforcement des cavités(et donc protection contre les caries), action de di-minution scientifiquement prouvée du retour de laplaque dentaire, sans compter les aspects

fraîcheur (haleine) et beauté (avec les dentifricesorientésWhitening). À mi-2014, Oral-B continueévidemment à investir dans des dentifrices tou-jours plus efficaces, même si l’on ne nous fera pascroire qu’une pâte dentaire en 2014 est dix foisplus efficace que son pendant en 1994… Oral-B sefend pourtant d’avoir réussi à changer les règlesdu jeu il y a peu, dans sa gamme Pro-Expert. “Et cegrâce au fluorure d’étain, nous explique Stephanie,chimiste et responsable dentifrices. L’immensemajorité des dentifrices contiennent du fluorure desodium. C’est un bon composé, mais nous en utili-

sons unmeilleur : le fluorured’étain. Le fluorure d’étain n’estpas révolutionnaire : ça fait desannées que les experts le connais-sent et savent qu’il est supérieurau fluorure de sodium. Le challen-ge, ça a été de parvenir à le stabili-ser dans un dentifrice. C’est unélément hyperréactif ! Après 12ans de recherche, nous sommesenfin parvenus à ce but…”

A.Ca.

Le fluorure d’étain, révolution pour nos dentifrices ?

: La gamme Pro-Expert, et son fameux étain stabilisé.

P&

G

: Le robot brosseur de dents !

A.C

A.

: Des dizaines d’heures de tests.

A.C

A.

Quoi de neuf rayon nouveautésproduits, en 2014 ? La brosse àdents Bluetooth, pardi ! La pre-mière brosse à dents (électri-que) connectée d’Oral-B. Cet ap-pareil communique en Blue-tooth avec une applicationmobile Oral-B à télécharger survotre smartphone (iOS et plustard Android, Windows Phoneétant jusqu’ici snobé). Dès quela brosse est mise en marche,l’app s’ouvre, et le timer débute !Si vous respectez bien vos 2 mi-nutes biquotidiennes, vousaurez ainsi droit à un nombred’étoiles, qualifiant la qualité devotre brossage. Des trophéessont également au menu : “nousnous sommes basés sur l’indus-trie du jeu vidéo, et avons établiun système de récompenses,nous explique Frank, responsa-ble du développement de lagamme Smart. L’utilisateur rece-vra une sorte demédaille tous lesx brossages, s’il s’est lavé lesdents sur un bateau, etc.” Labrosse intègre un capteur depression, qui clignote en rougesur l’engin et sur votre smart-phone si vous mettez trop d’en-train à la tâche. Un fil de newsAFP et de conseils de brossage,en sus de la météo, défile égale-ment dans le bandeau inférieurde l’écran de votre smartphone.

Gadget ? Sans doute. MaisOral-B s’en défend : “SmartSe-ries nous permet de jouer surl’éducation et lamotivation liéeau brossage de nos dents. Deplus, l’application est destinée àêtremontrée à votre dentiste, quipourra avoir une vue globale survos habitudes de brossage, et yindiquer les zones sur lesquelles il

faut insister, qui pourront ensuiteêtre adjointes à votre programmepersonnalisé.”

Le joujou ne sera pas donné :disponible à l’été, il sera déclinéen version White 6000 et Black7000. On les attend respective-ment entre 200 et 280 €…

La bonne nouvelle, pour ceuxqui n’ont guère envie de repas-ser à la caisse mais disposentdéjà d’une brosse à dents élec-trique, c’est qu’Oral-B a intégréà son app (gratuite) une fonc-tion microphone : dès que lesmartphone entend une brosseà dents électrique, il peut lancerle timer. Or, c’est sans doute lafonction la plus utile de l’app !

A.Ca.

La brosse à dents connectée

: Testée : la brosse à dents qui parle avec votre smartphone !

OR

AL-

B

On poursuit la visite, dans le labyrinthique siègede Procter&Gamble. Nous voilà dans la caverned’Ullrich, au Sound Lab. L’homme, expert en déci-bels, fréquences désagréables et bruits à étoufferau plus vite, n’a qu’une mission, très claire : éva-luer le bruit des moteurs intégrés dans les brossesà dents électriques, et les rendre les plus toléra-bles possible. “Mon travail comprend deux tâchesmajeures : lamesure sonore de nos produits, maisaussi unemission axée sur la psychologie du bruit :certains sons, moins forts que d’autres, peuventêtre beaucoup plus désagréables. Pensez à une sirè-ne d’incendie et à un concert de rock. À un niveau dedécibels identique, l’un des deux sonnera bien plusagréable que l’autre !”

Pour travailler, Ullrich manie plusieurs outils.Dont une chambre semi-anéchoïque où toutes les

parois de la pièce ont été recouvertes de maté-riaux absorbants, tuant toute réverbération. Tou-tes sauf une : le sol. C’est pour cela qu’on dit semi-anéchoïque. Une pièce bizarre, où la sensation decaisson et les malaises ne sont pas rares, tantnous y perdons nos repères environnants ! Danscette pièce, dix micros mesurent le bruit causé parla brosse à dents électrique en test. Ullrich, aprèsmesure, est chargé de jouer sur les fréquences, etde rendre les brosses à dents moins infernales degrand matin. Son travail est crucial : il a permis,récemment, de montrer qu’un jeu d’à peine dixmicrons (un cinquième de cheveu !) dans unebrosse à dents électrique faisait vibrer tout l’en-gin, se faisant la cause d’un insupportable tinta-marre. C’est Ullrich qui l’a vu, ou plutôt entendu etanalysé, et a exigé rectification en production. De-puis, ce produit ronronne à une fréquence bienplus audible, dans des milliers de ménages !

Derrière les murs du son

: C’est dans une pièce semi-anéchoïque qu’Ullrich mesure le bruit des brosses électriques.

A.C

A.

A.C

A.

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© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

03OBJECTIFS THUNES

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

DANS LES COUL SS ES d’Oral-B

Bienvenue au Robot Center, salle d’accès très gardée oùles fans de gadgets ne peuvent qu’avoir la mâchoire quiracle le sol. Ici, le maître des lieux, c’est Hans. Mais lesstars, ce sont eux : trois robots industriels à bras télescopi-que, dont la valeur se chiffre à plusieurs dizaines de mil-liers d’euros pièce. “Ce sont lesmêmes robots qui sont utili-sés dans l’industrie automobile, par exemple”, sourit Hans,fier de ses ouailles de fer. Que fait-on ici ? “Nous testons la

longévité de nos brosses à dents électriques oumanuelles, etleur efficacité à enlever la plaque. Nos robots sont lesmeilleurs brosseurs de dents dumonde !”, sourit Hans.“Nous avons des dizaines de programmes préenregistrés

dans le logiciel de nos robots, qui simule la façon dont la po-pulation se brosse les dents. Droitiers, gauchers, jeunes toni-ques, seniorsmoins énergiques, enfants, personnes équipéesd’un appareil dentaire…Nous évaluons chaque scénario, du

brossage parfait au brossage trop court oumal exécuté.Comme la plaque dentaire est un composé biologique impos-sible à reproduire – 5.000 bactéries composent notre plaquedentaire, qui nous correspond autant que notre ADN –, nousavons développé une pâte bleue dont les propriétés s’en rap-prochent le plus possible. Après le brossage robotique, nousutilisons un scanner laser 3D pour évaluer, informatique-ment, la qualité du brossage et les défauts à corriger. Aucunebrosse à dents Oral-B n’estmise sur lemarché sans avoir ététestée des dizaines d’heures par nos robots !”

Des robots pour tester les brosses

: Après le brossage robotique, Hans cherche, à l’aide d’un scanner laser 3D, d’éventuels défauts.: Le robot brosseur de dents !

A.C

A.

: Des dizaines d’heures de tests.

A.C

A.

Quoi de neuf rayon nouveautésproduits, en 2014 ? La brosse àdents Bluetooth, pardi ! La pre-mière brosse à dents (électri-que) connectée d’Oral-B. Cet ap-pareil communique en Blue-tooth avec une applicationmobile Oral-B à télécharger survotre smartphone (iOS et plustard Android, Windows Phoneétant jusqu’ici snobé). Dès quela brosse est mise en marche,l’app s’ouvre, et le timer débute !Si vous respectez bien vos 2 mi-nutes biquotidiennes, vousaurez ainsi droit à un nombred’étoiles, qualifiant la qualité devotre brossage. Des trophéessont également au menu : “nousnous sommes basés sur l’indus-trie du jeu vidéo, et avons établiun système de récompenses,nous explique Frank, responsa-ble du développement de lagamme Smart. L’utilisateur rece-vra une sorte demédaille tous lesx brossages, s’il s’est lavé lesdents sur un bateau, etc.” Labrosse intègre un capteur depression, qui clignote en rougesur l’engin et sur votre smart-phone si vous mettez trop d’en-train à la tâche. Un fil de newsAFP et de conseils de brossage,en sus de la météo, défile égale-ment dans le bandeau inférieurde l’écran de votre smartphone.

Gadget ? Sans doute. MaisOral-B s’en défend : “SmartSe-ries nous permet de jouer surl’éducation et lamotivation liéeau brossage de nos dents. Deplus, l’application est destinée àêtremontrée à votre dentiste, quipourra avoir une vue globale survos habitudes de brossage, et yindiquer les zones sur lesquelles il

faut insister, qui pourront ensuiteêtre adjointes à votre programmepersonnalisé.”

Le joujou ne sera pas donné :disponible à l’été, il sera déclinéen version White 6000 et Black7000. On les attend respective-ment entre 200 et 280 €…

La bonne nouvelle, pour ceuxqui n’ont guère envie de repas-ser à la caisse mais disposentdéjà d’une brosse à dents élec-trique, c’est qu’Oral-B a intégréà son app (gratuite) une fonc-tion microphone : dès que lesmartphone entend une brosseà dents électrique, il peut lancerle timer. Or, c’est sans doute lafonction la plus utile de l’app !

A.Ca.

La brosse à dents connectée

: Testée : la brosse à dents qui parle avec votre smartphone !

OR

AL-

B

On poursuit la visite, dans le labyrinthique siègede Procter&Gamble. Nous voilà dans la caverned’Ullrich, au Sound Lab. L’homme, expert en déci-bels, fréquences désagréables et bruits à étoufferau plus vite, n’a qu’une mission, très claire : éva-luer le bruit des moteurs intégrés dans les brossesà dents électriques, et les rendre les plus toléra-bles possible. “Mon travail comprend deux tâchesmajeures : lamesure sonore de nos produits, maisaussi unemission axée sur la psychologie du bruit :certains sons, moins forts que d’autres, peuventêtre beaucoup plus désagréables. Pensez à une sirè-ne d’incendie et à un concert de rock. À un niveau dedécibels identique, l’un des deux sonnera bien plusagréable que l’autre !”

Pour travailler, Ullrich manie plusieurs outils.Dont une chambre semi-anéchoïque où toutes les

parois de la pièce ont été recouvertes de maté-riaux absorbants, tuant toute réverbération. Tou-tes sauf une : le sol. C’est pour cela qu’on dit semi-anéchoïque. Une pièce bizarre, où la sensation decaisson et les malaises ne sont pas rares, tantnous y perdons nos repères environnants ! Danscette pièce, dix micros mesurent le bruit causé parla brosse à dents électrique en test. Ullrich, aprèsmesure, est chargé de jouer sur les fréquences, etde rendre les brosses à dents moins infernales degrand matin. Son travail est crucial : il a permis,récemment, de montrer qu’un jeu d’à peine dixmicrons (un cinquième de cheveu !) dans unebrosse à dents électrique faisait vibrer tout l’en-gin, se faisant la cause d’un insupportable tinta-marre. C’est Ullrich qui l’a vu, ou plutôt entendu etanalysé, et a exigé rectification en production. De-puis, ce produit ronronne à une fréquence bienplus audible, dans des milliers de ménages !

Derrière les murs du son

: C’est dans une pièce semi-anéchoïque qu’Ullrich mesure le bruit des brosses électriques.

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04 TEST-ACHATS 05TEST-ACHATS

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L’œil de l’expertPAR JEAN-PHILIPPE DUCART ET JULIE FRÈRE

TONDRE sans se fa tiguer8 Avec un robot, vous n’avez plus grand-

chose à faire. Vous ne devez même plusêtre présent : il suffit de programmer l’appareil au préalable.A La plupart des fabricants pro-posent différents modèles enfonction de l’étendue du gazon.Ceux que nous avons testés con-viennent en général pour dessurfaces allant de 400 à 1 000 m²,selon les producteurs.

Au delà, il faudra souventacheter un appareil plus grandet donc plus cher. Concrètement,vous devez d’abord délimiter vo-tre pelouse au moyen d’un câble

périphérique. Le signal qu’il émetindique à la tondeuse jusqu’oùelle peut aller. La puissance du si-gnal détermine aussi l’éloigne-ment maximal de la machinepar rapport au câble et donc lasuperficie à laquelle elle estadaptée (mais la batterie joueégalement un rôle).

Vous pouvez programmerl’appareil pour déterminer àquel moment il doit fonctionner

(c’est-à-dire quels jours et à quel-les heures, et combien de fois parsemaine). Si cela vous sembletrop compliqué, vous pouvezaussi lancer la machine ma-nuellement, mais vousdevez alors être chezvous. En mode manuel,le robot tond jusqu’àce que le travail soitterminé, en s’inter-rompant au besoinpour recharger sa batte-rie.

La plupart des modèles re-tournent d’eux-mêmes à la sta-tion de charge, comme lorsqu’ilssont programmés. Par contre, en

mode manuel, les appareils deGardena et Husqvama restentsur la pelouse jusqu’à ce que

vous les ameniez à la sta-tion de charge. Vous

pouvez piloter leViking MI 632manuellementà l’aide d’unecommande re-liée au robot par

un câble d’envi-ron 1 m de long,

comme une voituretéléguidée.

Cette fonction s’avère intéres-sante pour amener le robot dansdes zones de gazon qui lui sont

autrement inaccessibles. Avec lacommande, le robot peut en ef-fet franchir le câble périphériquepartout.

C’est aussi possible avec lacommande Bluetooth, disponi-ble en option sur les deux modè-les Robomow (99 €). Il faut resterassez près de l’engin (jusqu’à3 m) pour ne pas interrompre lesignal.

Les tondeuses robots ne trim-ballent pas un bac ou un sac deramassage. Le gazon est hachémenu et laissé sur la pelouse sui-vant le principe du paillage, quecertaines tondeuses classiquesappliquent aussi. Les déchets de

Legazon est

haché menu etlaissé sur lapelouse

Tondre un jardin de 600 m² chaque semaine pendant un an avec unrobot coûte 11,50 € en électricité, ce qui correspond à la consom-mation d’un modèle électrique. Sachez que dans le même cas de fi-gure, la tondeuse à essence vous coûterait environ 105 € par an encarburant. Cela dit, il existe de nettes différences entre les robots : laconsommation des modèles de Robomow s’élève à un peu plus de3 € par an, tandis qu’elle peut atteindre 30 € pour l’Ambrogio L85Evolution, soit presque dix fois plus. Pour bénéficier du confort d’undes robots testés, qui peuvent tondre une pelouse de 400 à 1 000 m²,il vous faudra débourser une coquette somme : de 1 100 à 2 350 €.Et même davantage encore si votre pelouse est plus grande. À pres-tations égales, il existe du reste des écarts de prix considérables en-tre les modèles. Prenons les deux modèles dont les performancesles font sortir du lot. En choisissant le moins cher des deux, le Robo-mow M51000, vous paierez 750 € de moins que le Viking MI 632.

N’oubliez pas non plus que vous devrez changer les lames régulière-ment, ce qui coûte facilement quelques dizaines d’euros. Or, la plu-part des fabricants recommandent de le faire chaque année. Cer-tains modèles sont vendus avec des lames de rechange. Par ailleurs,la batterie n’est pas éternelle. Sa longévité est estimée à quelquesannées seulement. Encore un coût dont il faudra tenir compte. Unetondeuse à essence coûte aussi de l’argent. L’année dernière, lameilleure de notre test coûtait plus de 1 000 €, mais il y avait desMaîtres-Achats entre 350 et 420 €. Vous pouvez aussi opter pour leconfort maximal et demander à votre neveu, par exemple, de tondrele gazon à votre place, mais cela aura aussi un coût non négligeable :30 tontes à 25 € de pourboire, par exemple, cela fait bien 750 € paran. Le confort a un prix. Et les tondeuses robots sont surtout con-çues pour les grands jardins, où elles vous épargneront le plusd’heures de travail.

Des écarts de prix très importants

tonte se décomposent d’eux-mê-mes et nourrissent ainsi la pe-louse. Pour le paillage, il est pré-férable de tondre l’herbe partemps sec. Si vous avez pro-grammé la machine pour qu’ellefonctionne à des heures précises,il se pourrait qu’il se mette àpleuvoir à ce moment-là. Quel-ques robots disposent d’un cap-teur de pluie, qui empêche l’ap-pareil de sortir dans ce cas. Aubesoin, vous pouvez le désacti-ver.

À l’exception de l’AmbrogioL50 Evolution, toutes les tondeu-ses robots testées sont muniesd’une alarme. Si elles sont com-

plètement bloquées ou soule-vées, l’arme se déclenche, maiselle ne nous a pas semblé très so-nore. Elle pourrait ne pas êtreperçue de l’autre côté d’un grandjardin. Par ailleurs, tous les mo-dèles sont sécurisés à l’aide d’uncode PIN, sauf l’Ambrogio L50Evolution. Le code est nécessairepour faire (re) démarrer le robot.Tous les appareils testés sont enordre sur le plan de la sécuritémécanique. Ainsi, les lames s’ar-rêtent instantanément si la ton-deuse est soulevée ou si elle bas-cule. Il n’y a rien à redire à la sé-curité électrique. Tous les câbleset les connexions sont protégés.

Tous les robots testés sont ca-pables de tondre une pelousenormale. Le travail est parfoislaborieux au début, mais avec laplupart des machines, l’aspectsera excellent après plusieurspassages. Si vous tondez régu-lièrement, vous obtiendrez unrésultat honnête voire très bon.En réalité, vous ne verrez pasvraiment la différence par rap-port à une tondeuse classique.Le Viking et le RobomowMS1000 sont les meilleurs etles plus rapides du lot. Le BoschIndego est également rapide,avec son motif linéaire spécial(voir encadré ci-dessous), maissa batterie ne dure pas trèslongtemps. Six tondeuses surdix savent traiter l’herbemouillée. Les appareils munisd’un capteur de pluie s’en sor-tent très bien. En fait, vouspourriez le désactiver, car lesrobots fournissent du bon tra-vail même quand l’herbe est hu-mide. Presque tous les robotspeuvent tondre un gazon de10 cm de haut, mais le Robo-mow RC304 a mis beaucoup detemps lors de notre test. L’Am-brogio L50 Evolution fait figured’exception : il considère l’herbehaute comme un obstacle(mottes de gazon) et s’arrêtetout simplement. Si votre gazonse compose d’herbes sauvageset hautes et ressemble plus àune prairie, seul le RobomowM51000 fera l’affaire.

Après l’installation et la pro-grammation, la plupart des ton-deuses robots sont perçuescomme très faciles à utiliser.

Avec l’Ambrogio L50 Evolution,qui fait exception, il ne faut pasinstaller de câble périphérique,une opération fastidieuse. Surce modèle, on peut différer lelancement de la tonte, mais pasle programmer à des momentsspécifiques de la semaine. Lafacilité d’utilisation de l’autremodèle Ambrogio (L85 Evolu-tion) est décevante. Il est malai-sé de régler la hauteur de tonteet de nettoyer le dessous del’appareil derrière les lames etles roues. De plus, la mise enplace de la station de baseprend beaucoup de temps. Lestondeuses robots font moins debruit que les tondeuses classi-ques à essence. Il n’empêcheque le bruit du Bosch Indego etde l’Ambrogio L50 Evolution pa-raît irritant. Bon à savoir, car lesrobots mettent plus de tempsque les tondeuses classiquespour réaliser un même travail.La surface traitée par un robotavec une batterie pleine diffèrepas mal d’un modèle à l’autre.Ainsi, le Viking couvre 250 m² etles deux modèles Ambrogioprès de 200 m². En revanche,Bosch, Gardena et Husqvarnasont limités à 65 ou 70 m². Cesmodèles devront donc repasserplus vite par la station de char-ge. D’un autre côté, Bosch serecharge le plus rapidement (en50 minutes), alors que les Am-brogio ont besoin de plus detrois heures. Lorsqu’un robotest occupé à tondre, il ne re-chargera pas entièrement sabatterie, mais juste ce qu’il fautpour terminer le boulot.

Les robots sont-ils à la hauteur ?

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05TEST-ACHATS

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

TONDRE sans se fa tiguer

:

tonte se décomposent d’eux-mê-mes et nourrissent ainsi la pe-louse. Pour le paillage, il est pré-férable de tondre l’herbe partemps sec. Si vous avez pro-grammé la machine pour qu’ellefonctionne à des heures précises,il se pourrait qu’il se mette àpleuvoir à ce moment-là. Quel-ques robots disposent d’un cap-teur de pluie, qui empêche l’ap-pareil de sortir dans ce cas. Aubesoin, vous pouvez le désacti-ver.

À l’exception de l’AmbrogioL50 Evolution, toutes les tondeu-ses robots testées sont muniesd’une alarme. Si elles sont com-

plètement bloquées ou soule-vées, l’arme se déclenche, maiselle ne nous a pas semblé très so-nore. Elle pourrait ne pas êtreperçue de l’autre côté d’un grandjardin. Par ailleurs, tous les mo-dèles sont sécurisés à l’aide d’uncode PIN, sauf l’Ambrogio L50Evolution. Le code est nécessairepour faire (re) démarrer le robot.Tous les appareils testés sont enordre sur le plan de la sécuritémécanique. Ainsi, les lames s’ar-rêtent instantanément si la ton-deuse est soulevée ou si elle bas-cule. Il n’y a rien à redire à la sé-curité électrique. Tous les câbleset les connexions sont protégés.

Tous les robots testés sont ca-pables de tondre une pelousenormale. Le travail est parfoislaborieux au début, mais avec laplupart des machines, l’aspectsera excellent après plusieurspassages. Si vous tondez régu-lièrement, vous obtiendrez unrésultat honnête voire très bon.En réalité, vous ne verrez pasvraiment la différence par rap-port à une tondeuse classique.Le Viking et le RobomowMS1000 sont les meilleurs etles plus rapides du lot. Le BoschIndego est également rapide,avec son motif linéaire spécial(voir encadré ci-dessous), maissa batterie ne dure pas trèslongtemps. Six tondeuses surdix savent traiter l’herbemouillée. Les appareils munisd’un capteur de pluie s’en sor-tent très bien. En fait, vouspourriez le désactiver, car lesrobots fournissent du bon tra-vail même quand l’herbe est hu-mide. Presque tous les robotspeuvent tondre un gazon de10 cm de haut, mais le Robo-mow RC304 a mis beaucoup detemps lors de notre test. L’Am-brogio L50 Evolution fait figured’exception : il considère l’herbehaute comme un obstacle(mottes de gazon) et s’arrêtetout simplement. Si votre gazonse compose d’herbes sauvageset hautes et ressemble plus àune prairie, seul le RobomowM51000 fera l’affaire.

Après l’installation et la pro-grammation, la plupart des ton-deuses robots sont perçuescomme très faciles à utiliser.

Avec l’Ambrogio L50 Evolution,qui fait exception, il ne faut pasinstaller de câble périphérique,une opération fastidieuse. Surce modèle, on peut différer lelancement de la tonte, mais pasle programmer à des momentsspécifiques de la semaine. Lafacilité d’utilisation de l’autremodèle Ambrogio (L85 Evolu-tion) est décevante. Il est malai-sé de régler la hauteur de tonteet de nettoyer le dessous del’appareil derrière les lames etles roues. De plus, la mise enplace de la station de baseprend beaucoup de temps. Lestondeuses robots font moins debruit que les tondeuses classi-ques à essence. Il n’empêcheque le bruit du Bosch Indego etde l’Ambrogio L50 Evolution pa-raît irritant. Bon à savoir, car lesrobots mettent plus de tempsque les tondeuses classiquespour réaliser un même travail.La surface traitée par un robotavec une batterie pleine diffèrepas mal d’un modèle à l’autre.Ainsi, le Viking couvre 250 m² etles deux modèles Ambrogioprès de 200 m². En revanche,Bosch, Gardena et Husqvarnasont limités à 65 ou 70 m². Cesmodèles devront donc repasserplus vite par la station de char-ge. D’un autre côté, Bosch serecharge le plus rapidement (en50 minutes), alors que les Am-brogio ont besoin de plus detrois heures. Lorsqu’un robotest occupé à tondre, il ne re-chargera pas entièrement sabatterie, mais juste ce qu’il fautpour terminer le boulot.

Les robots sont-ils à la hauteur ?

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06 ESCAPADE 07ESCAPADE

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Cap sur LA BRETAGNE8 De Cabourg à Saint-Malo en passant

par le Mont-Saint-Michel

A Tordons immédiatement lecou à un canard : il ne fait pasque pleuvoir en Bretagne. Lacôte jouit même d’un climatdes plus agréables, même endehors de la période estivale.

CABOURGSi vous n’êtes pas du genre àvous rendre sur une plage et à yposer votre serviette pour toutle temps de votre séjour, la Bre-tagne est une destination à pri-vilégier pour vos prochaines va-cances ou tout simplementpour une escapade de quelquesjours. Sur la route, de nom-breux endroits vous permet-tent de faire escale pour unejournée (ou un petit peu plus),histoire de voir du pays sansgrands détours pour autant. Di-rection Saint-Malo, suivant l’iti-néraire choisi, vous pouvez eneffet vous arrêter à Cabourg,

sympathique petite ville d’eaudotée de son casino et d’unagréable port de plaisance, oùles bons petits restos et de sym-pathiques commerces jouxtentune rue principale venantd’être refaite et invitant à lapromenade. On vous refile unebonne adresse si vous êtes ama-teur de bons chocolats artisa-naux : testez Dupont avec unthé, un tea-room où le cafégourmand porte admirable-ment son nom, mais vous êteségalement libres d’emporterces petites douceurs à la mai-son.

MONT-SAINT-MICHELUne fois la nuit passée surplace, c’est largement suffisantpour découvrir Cabourg, deuxheures de route vous suffiront

pour rejoindre le Mont-Saint-Michel. Depuis les transforma-tions, l’arrêt au parking est obli-gatoire. Pour aller voir le Montet découvrir les cuisiniers de laMère Poulard s’affairer à prépa-rer les omelettes commeles faisait Annettedans le temps, ilfaudra donc déjàvous acquitterde 13,20 € deparking. Heu-reusement, lanavette vous em-menant au pieddu Mont est gra-tuite.

Dès vos premiers pas dans lesruelles pavées, la foule concen-trée devant l’hôtel-restaurantde la Mère Poulard donne leton. Ici, il n’y en a que pour elle.Et les exploitants de l’établisse-ment ne peuvent que la remer-

cier tous les jours, tant la sallede restaurant ne désemplit pas.Et à 39 € la formule (omelette,certes exceptionnelle car prépa-rée selon la recette ancestrale etcuite au feu de bois), mieux

vaut avoir le portefeuillebien accroché pour s’of-

frir ce luxe. Le reste dela visite est un défiléde petites boutiquesde souvenirs, de res-taurants et bars, depanoramas à cou-

per le souffle et unriche passé histori-

que. Personnellement,nous ne voyons pas la né-

cessité de loger sur place, unedemi-journée, voire un peuplus, suffisent à faire le tour deslieux. Si vous avez fait l’impasse

sur la Mère Poulard et son ome-lette, nous vous conseillons dereprendre la direction du par-king. En face de l’arrêt des na-vettes de bus, La Ferme Saint-Michel vous réserve en effet unaccueil dans un cadre à la foisromantique et feutré, où l’ongrille les viandes en salle dansune vaste cheminée. Les pro-duits du cru y sont à l’honneuret travaillés dans le plus purrespect : carottes des sables,agneau des prés salés, œufs fer-miers (l’omelette soufflée estun régal : 8 € seulement), pou-let fermier, far breton,…

CANCALEDu Mont-Saint-Michel à Can-cale, il ne vous faudra plus que45 minutes environ. C’est là quenous vous proposons de poservos valises pour découvrir la ré-gion. Les locations de vacancesne manquent pas (voir ci-des-

sous), tout comme les hôtels,les chambres d’hôtes et les gî-tes. Le dimanche, c’est jour demarché sur la place du village.Armez-vous de patience pour yarriver et surtout dénicher uneplace sur l’un des petits par-kings des alentours du centre.Mais vous y trouverez de nom-breux producteurs locaux ven-dant les produits de la région, àcommencer par le chou fleur deBretagne en saison. Fruits et lé-gumes de première fraîcheurgarantis. En descendant vers leport, les petits commerces etrestaurants longent une agréa-ble balade face à la baie duMont-Saint-Michel. Et, tout aubout de la jetée, les producteursd’huîtres de Cancale ont dis-posé quelques échoppes sur-plombant les parcs à huîtres. Àdéguster sur place ou à empor-ter, à des prix défiant toute con-currence (environ 5 € pour 13 àla douzaine). On vous recom-mande aussi la brasserie chezVictor, face au Mont, qui pro-pose des plateaux de fruits demer richement garnis pour unexcellent rapport qualité/prix.

SAINT-MALOLes idées d’excursions ne man-quent pas dans la région. Pro-ducteurs de biscuits pur beurre

ou de caramel au beurre salésont installés le long de la routevous menant à Saint-Malo. Unecité corsaire aux remparts im-pressionnants et aux ruelles pa-vées permettant de vous bala-der dans un monde à part. Dansla rue principale, une haltes’impose chez le maître ès épi-ces, Roellinger. Un homme deCancale passé par les étoiles duMichelin et qui n’est pas avarede ses découvertes de mélangesd’épices glanées au gré de sesvoyages aux quatre coins dumonde. Profitez-en égalementpour faire escale dans l’une desnombreuses crêperies propo-sant les célèbres galettes de sar-rasin garnies selon vos envies.Un lunch rapide qui, accompa-gné d’une bolée de cidre, nevous coûtera pas plus d’unequinzaine d’euros.

DINARDLes amoureux du shopping enprofiteront aussi pour embar-quer à bord d’un des bateaux ef-fectuant la traversée vers Jerseyou Gernesey, paradis du freetax. Nous préférons la petiteembarcation qui effectue laliaison vers Dinard. Les ruellessont assez pentues mais unefois la visite de la ville effectuée,rien ne vous empêche de faireune halte reposante sur lagrande plage avant de repren-dre la navette.

LA LOCATION,une forme de liberté8 Le site de réservations Belvillapropose un catalogue riche de18.000 biens partout en Europe

A Tout comme le camping attire de plus enplus de vacanciers en quête de convivialité, lalocation de maisons durant les vacances enre-gistre une croissance à deux chiffres justifiéepar la volonté des familles (ou de groupesd’amis) de passer plus de temps ensemble.

Nous avons testé l’offre de Belvilla, l’un desacteurs les plus importants du marché euro-péen avec quelque 18.000 biens partout en Eu-rope et plus de 500.000 hôtes hébergés cha-que année.

Direction Cancale, en Bretagne, où nousavons jeté notre dévolu sur une maison per-mettant d’héberger jusqu’à 10 personnes.L’annonce nous vantait une situation excep-

tionnelle, à 100 mètres de la

plage, avec vue sur la mer. Les photos mon-traient une demeure charmante, dotée detout le confort moderne (une salle de bain etune salle de douche, vaste séjour, cuisine fulléquipée). Un agréable jardin équipé d’un bar-becue et une piscine privée complètent l’offre.

Après un peu plus de 6 heures de route, audépart de Bruxelles, nous arrivons devant lamaison. Premières impressions : on la recon-naît, fidèle aux illustrations mentionnées surle site. Le propriétaire nous accueille avecbeaucoup de sympathie, effectue un petit tourdes lieux en notre compagnie : tout s’annoncepour le mieux.

Et ce qui n’était qu’une impression se con-firmera tout au long de notre semaine surplace.

Quant à la situation, on ne pouvait rêvermieux : à peine 5 minutes en voiture du portde Cancale et des grandes surfaces, 20 minu-tes pour rejoindre Saint-Malo et autant pourrallier l’autoroute. En haute saison, une telle

situation permet de faire sescourses, de s’offrir une petiteescapade dans les environssans avoir à parcourir desheures de route.

Cette maison mérite bienson appellation : La Perled’Émeraude (Code : FR-35260-04).

EN SAVOIR PLUS

Infos et réservations : www.bel-villa.be03/808 09 54

EscapadePAR VINCENT SCHMIDT

: Une location avec vue sur la mer parmi tant d’autres dans le catalogue Belvilla. © D.R.

Horsdes sentiers

battus, certainespetites

merveilles sontà découvrir

: Cabourg (à gauche), Dinard (au centre)etCancale (à droite), trois étapes de charme. © D. R.

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07ESCAPADE

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sous), tout comme les hôtels,les chambres d’hôtes et les gî-tes. Le dimanche, c’est jour demarché sur la place du village.Armez-vous de patience pour yarriver et surtout dénicher uneplace sur l’un des petits par-kings des alentours du centre.Mais vous y trouverez de nom-breux producteurs locaux ven-dant les produits de la région, àcommencer par le chou fleur deBretagne en saison. Fruits et lé-gumes de première fraîcheurgarantis. En descendant vers leport, les petits commerces etrestaurants longent une agréa-ble balade face à la baie duMont-Saint-Michel. Et, tout aubout de la jetée, les producteursd’huîtres de Cancale ont dis-posé quelques échoppes sur-plombant les parcs à huîtres. Àdéguster sur place ou à empor-ter, à des prix défiant toute con-currence (environ 5 € pour 13 àla douzaine). On vous recom-mande aussi la brasserie chezVictor, face au Mont, qui pro-pose des plateaux de fruits demer richement garnis pour unexcellent rapport qualité/prix.

SAINT-MALOLes idées d’excursions ne man-quent pas dans la région. Pro-ducteurs de biscuits pur beurre

ou de caramel au beurre salésont installés le long de la routevous menant à Saint-Malo. Unecité corsaire aux remparts im-pressionnants et aux ruelles pa-vées permettant de vous bala-der dans un monde à part. Dansla rue principale, une haltes’impose chez le maître ès épi-ces, Roellinger. Un homme deCancale passé par les étoiles duMichelin et qui n’est pas avarede ses découvertes de mélangesd’épices glanées au gré de sesvoyages aux quatre coins dumonde. Profitez-en égalementpour faire escale dans l’une desnombreuses crêperies propo-sant les célèbres galettes de sar-rasin garnies selon vos envies.Un lunch rapide qui, accompa-gné d’une bolée de cidre, nevous coûtera pas plus d’unequinzaine d’euros.

DINARDLes amoureux du shopping enprofiteront aussi pour embar-quer à bord d’un des bateaux ef-fectuant la traversée vers Jerseyou Gernesey, paradis du freetax. Nous préférons la petiteembarcation qui effectue laliaison vers Dinard. Les ruellessont assez pentues mais unefois la visite de la ville effectuée,rien ne vous empêche de faireune halte reposante sur lagrande plage avant de repren-dre la navette.

LA LOCATION,une forme de liberté8 Le site de réservations Belvillapropose un catalogue riche de18.000 biens partout en Europe

A Tout comme le camping attire de plus enplus de vacanciers en quête de convivialité, lalocation de maisons durant les vacances enre-gistre une croissance à deux chiffres justifiéepar la volonté des familles (ou de groupesd’amis) de passer plus de temps ensemble.

Nous avons testé l’offre de Belvilla, l’un desacteurs les plus importants du marché euro-péen avec quelque 18.000 biens partout en Eu-rope et plus de 500.000 hôtes hébergés cha-que année.

Direction Cancale, en Bretagne, où nousavons jeté notre dévolu sur une maison per-mettant d’héberger jusqu’à 10 personnes.L’annonce nous vantait une situation excep-

tionnelle, à 100 mètres de la

plage, avec vue sur la mer. Les photos mon-traient une demeure charmante, dotée detout le confort moderne (une salle de bain etune salle de douche, vaste séjour, cuisine fulléquipée). Un agréable jardin équipé d’un bar-becue et une piscine privée complètent l’offre.

Après un peu plus de 6 heures de route, audépart de Bruxelles, nous arrivons devant lamaison. Premières impressions : on la recon-naît, fidèle aux illustrations mentionnées surle site. Le propriétaire nous accueille avecbeaucoup de sympathie, effectue un petit tourdes lieux en notre compagnie : tout s’annoncepour le mieux.

Et ce qui n’était qu’une impression se con-firmera tout au long de notre semaine surplace.

Quant à la situation, on ne pouvait rêvermieux : à peine 5 minutes en voiture du portde Cancale et des grandes surfaces, 20 minu-tes pour rejoindre Saint-Malo et autant pourrallier l’autoroute. En haute saison, une telle

situation permet de faire sescourses, de s’offrir une petiteescapade dans les environssans avoir à parcourir desheures de route.

Cette maison mérite bienson appellation : La Perled’Émeraude (Code : FR-35260-04).

EN SAVOIR PLUS

Infos et réservations : www.bel-villa.be03/808 09 54

: Une location avec vue sur la mer parmi tant d’autres dans le catalogue Belvilla. © D.R.

: Cabourg (à gauche), Dinard (au centre)etCancale (à droite), trois étapes de charme. © D. R.

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08 HIGH-TECH 09HIGH-TECH

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Écran

En général, en matière d’écrans, HTC sait yfaire. On s’attend donc à être bluffés par la dalleLCD 5 pouces Full HD du M8. Ce ne fut quepartiellement le cas. Le hic, c’est que noussortions d’un test avec le tout chaud GalaxyS5 de Samsung, dont l’écran Super Amoled5.1 pouces est tout simplement merveilleux.Certes, ici, c’est du LCD, on ne peut donc enattendre ni le même côté éclatant descouleurs (que certains n’aiment pas,hurlant au côté artificiel de l’image), ni lemême taux de contraste (infini sur del’OLED). Mais si les angles de vision du M8sont irréprochables, si sa colorimétrie esttrès bien ajustée et que son rendu estsans doute plus naturel que celui duSamsung, l’effet Waouw fut plutôtdiscret pour notre part…

LE GADGET MALIN

Voilà un bail qu’on avait plus flashé aussi fort surun accessoire. La housse de protection Dot View, imaginée par HTC pour le One M8, vaut vraiment le coup d’œil ! En soi, elle ne se compose jamais que d’un enrobage caoutchouteux pour le mobile, couvrant son verso de manière classique, et son recto avec des centaines de petits trous. Cette perforation n’est pas vaine : lors-que le téléphone est en veille, housse Dot View repliée, il suffira de tapoter deux fois sur l’écran pour voir apparaître, en grand, dans un look gros pixels très rétro et réussi, l’heure, la météo (au moyen d’un picto et de l’indication de la température) mais aussi des notifications style appel manqué, entrant (avec

nom de l’appelant), SMS oumails ! De quoi recevoir desnotifications, même avec lahousse fermée. Un écrinvraiment original, qui plusest coloré, qui n’a que deuxdéfauts : le fait de ne pasêtre livré d’emblée avec leM8 (il vaut 50 €, à part),dont le prix est pourtantcoquet, et une praticité bienmoindre une fois ouverte,notamment pour faire desphotos…

Dot View,la housse

interactive !

VerdictLe HTC One n’est pas parfait,mais il est le poulain d’HTC quise rapproche le plus de ceconcept farfelu qu’est la perfec-tion. Le Galaxy S5 prend ledessus au niveau de l’écran, etdes fonctionnalités (le M8 n’a niétanchéité, ni lecteur d’emprein-tes, ni cardiofréquencemètre).Sur le plan de la photo, le matchest plus équilibré, mais le M8 estle roi des réseaux sociaux, tandisque le S5, mais surtout le Z2, estplus photophile. Sur le plan dudesign et de la qualité sonore, iln’y a pas match : HTC désosseses rivaux. Le smartphone del’année ? On attendra avantd’aller si loin. Mais à acheter lesyeux fermés si vous cherchezperformance et look, on cachète.

New-TechPAR ALEXIS CARANTONIS

On rentre dans le dur… On le sait, depuis un an, HTC a abandonné la course auxMégapixels, où excellent toujours les Sony (21 Mp) et Nokia (41 Mp). Le cap-

teur principal du One n’embarque, ainsi, que 4 Mégapixels. Mais, nuance :ce sont des Ultrapixels ! Donc des pixels plus gros, capables de cap-

ter bien plus de luminosité. Conséquence : le One M8 est plutôttrès efficace à basse luminosité, bien meilleur que le S5 par

exemple. En revanche, c’est toujours pareil : les 4 Mp,même Ultrapixels, se font plier par le capteur 16 Mé-gapixels du S en plein jour, surtout si l’on commenceà zoomer ou chercher le piqué sur les clichés. Sur

l’écran du téléphone, c’est réjouissant. Mais dès qu’onaffiche l’image sur un écran de PC, du papier photo ou,

pire, une télé, les limites de l’approche d’HTC sont criantes…Particularité : HTC a monté… deux appareils photo au dos de son

terminal. But : le premier saisit l’image, le second, secondaire, sa profondeur dechamp. Cela permet de créer des photos 3D, avec un effet de profondeur assezsympathique, mais relativement gadget. Cela permet aussi au One M8 de perfor-mer sur un aspect de plus en plus couru : l’édition de photos a posteriori. L’effet Bo-keh, qui rend totalement grand public la gestion du flou, est ainsi très réussi, com-me Ufocus, qui permet, après la prise de l’image, d’effectuer la mise au point surl’élément désiré. Sympa !

Enfin, ce One M8, avec sa caméra (conventionnelle) de 5 Mp en façade, est lechampion des selfies. Il shoote merveilleusement bien en autoportrait, et permetmême la photo en double capture : vous photographiez quelque chose avec le cap-teur dorsal, tandis que la caméra frontale vous prend en photo aussi, et incrustevotre trombine à l’image devant vous, sous la forme d’une fenêtre à faire bougeroù l’on veut sur l’image ! Un moyen amusant d’inclure le photographe dans les sou-venirs…

Design et prise en main

Il n’y a pas à tortiller. En matière de qualité d’assemblage, de design, de finition et d’aspect, personne, si cen’est Apple ne peut courir à côté de ce que HTC a fait avec le One M8. C’est du travail d’orfèvrerie, avec uneconception full métal monobloc exemplaire, dégageant une impression tant de robustesse que de qualitéperçue très élevée. Le métal brossé est du plus bel effet. 160 grammes pour un bijou technologique, vraiment.

Côté prise en main, en revanche, les dimensions généreuses de l’engin déstabiliseront tout qui n’a jamaistenu un téléphone doté d’un écran de plus de quatre pouces. On adore la coque arrière légèrement incurvée,au toucher réussi, mais on râle sur la grossière bande noire, en bas d’écran, où HTC a casé son logo, ce qui estparfaitement inutile et constitue autant d’espace utile perdu, puisque HTC n’y loge aucun bouton physique (ilssont virtuels, donc, dans l’écran).

SonEn audio, ne cherchez pas : le One M8 explose tous ses rivaux.

C’est dû à l’intégration de la technologie BoomSound. Les deuxhaut-parleurs frontaux, derrière la grille en bas du mobile,délivrent un son d’une intelligibilité jamais rencontrée sur untéléphone. Et c’est encore mieux en mode casque, la prise Jackdu M8 permettant de sortir un signal sonore trois fois plus richeque sa concurrence, tolérant par là même les casques audiophi-les les plus exigeants. Un vrai smartpone de mélomane.

Puissance et technique

Mû par la dernière itération d’Android (4.4.2), le statut haut de gamme du nouveau One

réclamait un ramage aussi efficient que son plumage. Avec 2 Go de RAM embarqués et le

même chip que ses ennemis jurés Galaxy S5 et Sony Xperia Z2 (le Snapdragon 801, quad-core

cadencé à 2,5 Ghz), la promesse est largement tenue. Android ronronne, et se montre d’une

vélocité sans faille, peu importe le nombre d’apps qui tournent en simultané. On apprécie

énormément le retour du slot pour carte SD, histoire d’étendre de 128 Go la mémoire initiale,

de 16 Go. Le One n’en avait pas !

Batterie : 2,5/5

Ici, c’est moins réjouissant. Non seulement la batterie est inamovible,mais, surtout, c‘est un modèle pourvu de 2.600 mAh, là où le Galaxy S5monte à 2.800 mAh et le Xperia Z2, en bon champion, à 3.200 mAh. C’estdonc moins que sa concurrence directe, mais aussi moins que le One2013 ! Et comme l’écran LCD est plutôt vorace, si vous aimez utiliser uneluminosité d’écran élevée, que vous utilisez beaucoup votre smartphoneet que vous vous levez tôt, n’espérez pas que le M8 ait plein d’énergie àrevendre après 22h... Dommage.

5Il se serait vendu, seulement,

5 millions du HTC Oneen 2013. Quatre fois moins

que le Galaxy S4...C’est dire si le One 2014

est important !

Photo et vidéo

8 Après le Galaxy S5 semaine dernière, une autre star mobile de 2014 est passée

entre nos mains : le HTC One M8. Simple resucéedu One 2013, ou poids lourd de 2014 ? Verdict

HTC M8 : The SPECIAL ONE

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09HIGH-TECH

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

LE GADGET MALIN

Voilà un bail qu’on avait plus flashé aussi fort surun accessoire. La housse de protection Dot View, imaginée par HTC pour le One M8, vaut vraiment le coup d’œil ! En soi, elle ne se compose jamais que d’un enrobage caoutchouteux pour le mobile, couvrant son verso de manière classique, et son recto avec des centaines de petits trous. Cette perforation n’est pas vaine : lors-que le téléphone est en veille, housse Dot View repliée, il suffira de tapoter deux fois sur l’écran pour voir apparaître, en grand, dans un look gros pixels très rétro et réussi, l’heure, la météo (au moyen d’un picto et de l’indication de la température) mais aussi des notifications style appel manqué, entrant (avec

nom de l’appelant), SMS oumails ! De quoi recevoir desnotifications, même avec lahousse fermée. Un écrinvraiment original, qui plusest coloré, qui n’a que deuxdéfauts : le fait de ne pasêtre livré d’emblée avec leM8 (il vaut 50 €, à part),dont le prix est pourtantcoquet, et une praticité bienmoindre une fois ouverte,notamment pour faire desphotos…

Dot View,la housse

interactive !

Design et prise en main

Il n’y a pas à tortiller. En matière de qualité d’assemblage, de design, de finition et d’aspect, personne, si cen’est Apple ne peut courir à côté de ce que HTC a fait avec le One M8. C’est du travail d’orfèvrerie, avec uneconception full métal monobloc exemplaire, dégageant une impression tant de robustesse que de qualitéperçue très élevée. Le métal brossé est du plus bel effet. 160 grammes pour un bijou technologique, vraiment.

Côté prise en main, en revanche, les dimensions généreuses de l’engin déstabiliseront tout qui n’a jamaistenu un téléphone doté d’un écran de plus de quatre pouces. On adore la coque arrière légèrement incurvée,au toucher réussi, mais on râle sur la grossière bande noire, en bas d’écran, où HTC a casé son logo, ce qui estparfaitement inutile et constitue autant d’espace utile perdu, puisque HTC n’y loge aucun bouton physique (ilssont virtuels, donc, dans l’écran).

SonEn audio, ne cherchez pas : le One M8 explose tous ses rivaux.

C’est dû à l’intégration de la technologie BoomSound. Les deuxhaut-parleurs frontaux, derrière la grille en bas du mobile,délivrent un son d’une intelligibilité jamais rencontrée sur untéléphone. Et c’est encore mieux en mode casque, la prise Jackdu M8 permettant de sortir un signal sonore trois fois plus richeque sa concurrence, tolérant par là même les casques audiophi-les les plus exigeants. Un vrai smartpone de mélomane.

Mû par la dernière itération d’Android (4.4.2), le statut haut de gamme du nouveau One

réclamait un ramage aussi efficient que son plumage. Avec 2 Go de RAM embarqués et le

même chip que ses ennemis jurés Galaxy S5 et Sony Xperia Z2 (le Snapdragon 801, quad-core

cadencé à 2,5 Ghz), la promesse est largement tenue. Android ronronne, et se montre d’une

vélocité sans faille, peu importe le nombre d’apps qui tournent en simultané. On apprécie

énormément le retour du slot pour carte SD, histoire d’étendre de 128 Go la mémoire initiale,

de 16 Go. Le One n’en avait pas !

Batterie : 2,5/5

Ici, c’est moins réjouissant. Non seulement la batterie est inamovible,mais, surtout, c‘est un modèle pourvu de 2.600 mAh, là où le Galaxy S5monte à 2.800 mAh et le Xperia Z2, en bon champion, à 3.200 mAh. C’estdonc moins que sa concurrence directe, mais aussi moins que le One2013 ! Et comme l’écran LCD est plutôt vorace, si vous aimez utiliser uneluminosité d’écran élevée, que vous utilisez beaucoup votre smartphoneet que vous vous levez tôt, n’espérez pas que le M8 ait plein d’énergie àrevendre après 22h... Dommage.

5Il se serait vendu, seulement,

5 millions du HTC Oneen 2013. Quatre fois moins

que le Galaxy S4...C’est dire si le One 2014

est important !

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10 RECETTES 11RECETTES

www.dhPbe I LUNDI 28 AVRIL 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

INGRÉDIENTS

K 20 gr de crabe émincéK 20 gr de poulet émincéK 20 gr de viande de crabe à la vapeurK 1 jaune d’œufK 1 cuillère à café de lait de cocoK 1 feuille de kaffir feuille de lime (émincés)K 6 feuilles de basilic émincésK 4 morceaux de coques de crabeK 1 racine de coriandreK 2 gousses d’ailK 1 cuillère à soupe de pâte de curry rouge ¼K poivreK 1 cuillère à café de sauce de poissonK 1 cuillère à café de sucre

PRÉPARATION

K Dans un mortier : mettez la corian-dre, l’ail, le poivre blanc et curry rou-ge, mélangez le tout jusqu’à ce qu’il setransforme en une pâte, gardez toutça de côté.K Dans un bol : Ajoutez la pâte dumortier, l’émincé de poulet, les cre-vettes hachées, la viande de crabe à lavapeur, les feuilles de lime kaffir, lesfeuilles de basilic. Mélangez bien.K Ajoutez le jaune d’œuf et continuerà mélanger.K Ajoutez l’assaisonnement : la saucede poisson et le sucre, bien mélanger.Ensuite, le lait de coco.K Remplissez le mélange dans les ca-rapaces de crabe, puis cuisez ça à lavapeur pendant 15 minutes. Trempeztout cela dans l’œuf battu, puis dansla chapelure.K Frire à l’huile végétale (huile detournesol ou l’huile de soja) jusqu’à cequ’il se transforme en une couleurbrune dorée.

PLAT

Crabe souffléENTRÉE

Som Panh Dan

INGRÉDIENTS

K 70 gr. de papaye verte (pas encore mû-re), pelée et coupée en longues lanièresK 1 gousse d’ail peléeK 5 piments verts langues d’oiseauK 30 gr de haricots ficelle ou de haricotsverts coupés en morceaux de 2 cmK 1 cuillère à soupe de cacahuètes cuitesK 1 cuillère à soupe de petites crevettesséchéesK 3 tomates cerises coupées en deuxK 2 cuillères à soupe de sucre de palmeK 1 cuillère à soupe de sauce de poissonK 1½ cuillère à soupe de jus de citron

PRÉPARATION

K Pilez l’ail et les piments dans un mor-tier.K Ajoutez les crevettes et pilez.K Ajoutez les haricots et les cacahuèteset pilez.K Ajoutez le sucre de palme, la sauce depoisson, le jus de citron, mélangez, puisajoutez les tomates et écrasez-les àl’aide du pilon.K Ajoutez la papaye et mélangez bien.K Servez froid sur un plat rond garni desalade.

DEM

OU

LIN

LES 28 RECETTES SAINESque vos enfants vont adorer8 Le livre “Cuisiner pour notre santé” est le

résultat d’un grand concours pour enfants

A Effervescence gustative mer-credi 23 avril dans les cuisinesde la Brasserie Jaloa, installéesur la place Sainte-Catherine, àBruxelles. Les enfants du Zee-preventorium et de l’École Vi-vante d’Obaix, aidés par la mé-daillée d’argent olympique Élo-die Ouedraogo, se démènentaux fourneaux.

La pression monte, et pas que

dans les casseroles ! S’ils sontencadrés par le chef Gaëtan Co-lin, les enfants gèrent en effet85 % du délicat menu 3 servicesque s’apprête entre autres à dé-guster Laurette Onkelinx, la mi-nistre de la Santé publique. Cerendez-vous gastronomiquesous le signe de la jeunesse célè-bre la parution d’un livre de 28recettes destinées aux enfants.

Le credo : attractif mais surtoutsain et plein de vitamines ! Lelivre “Cuisiner pour notre santé”,en vente depuis quelques joursau prix de 4,99 € dans tous lesLidl de Belgique, veut encoura-ger les enfants à une alimenta-tion saine.

Le livret est le fruit d’un con-cours organisé à l’égard de tousles enfants du Royaume : propo-ser une recette innovante etsaine. Le premier critère de sé-lection a été la santé. L’apporten légumes et en fruits est-il

suffisant ou non ?, insistent lesorganisateurs.

Le résultat donne l’eau à labouche. Le croque FlowerPower, croustillante composi-tion de pain mêlant entreautres concombres, radis et fro-mage aux fines herbes ou en-core la Bouillie de singe, surpre-nante composition de bananes,flocons d’avoine et raisins secsétonnent.

LE ZEEPREVENTORIUM, un cen-tre médical et pédiatrique derevalidation qui prend encharge des jeunes souffrant demaladies chroniques a joué unrôle important dans cette épo-pée culinaire. Cependant, leprojet en lui-même a été initiépar la chaîne de supermarchésLidl.

“Notre objectif est de corrigercette image erronée qu’ont encorecertaines personnes de Lidl : celled’un magasin très bon marchémais avec des produits de faiblequalité”, explique Julien Wa-thieu, porte-parole de l’ensei-gne. “Lidle désormais fait dusmart discount. On a déjà rénové200 de nos 300 magasins belges.On a essayé de les agrandir et d’ymettre plus de lumière. On y aaussi intégré des boulangeriesdont les viennoiseries sont faitessur place. Il y a désormais plus deproduits frais”.

J. Th.

: Les enfants ont géré en effet 85 % du délicat menu 3 services que s’apprête entre autres à déguster Laurette Onkelinx. © BAUWERAERTS

XPRESSO

Gaëtan Colin –37 ans – BruxellesChef du restaurantJaloa, il a portéles couleurs belgeslors de l’édition 2011des Bocuse d’Or.

“Les enfants ont eudes idées géniales !”

1Pourquoi avez-vousparticipé à la concep-

tion de ce livre ?“Je collabore depuis septmois avec les supermarchésLidl sur divers projets. Jeconçois par exemple touteune série de recettes poureux. C’est donc tout à faitlogique que je sois l’ambassa-deur de ce chouette projet.”

2Quel a été votre rôle ?“Les enfants ont créé

leurs recettes puis nous lesont envoyées. J’ai fait partiedu jury qui a dû faire unchoix parmi ces recettes. Etpuis surtout j’ai été chargéde tout mettre en musique.J’ai vu avec eux la quantitéd’ingrédients et la prépara-tion de leur plat.”

3Une recette vousa impressionné ?

“Totalement ! La recette dela gaufre salée au poulet,mozzarella et basilic ! Jen’aurais jamais pensé mettrede la pâte feuilletée dans ungaufrier : c’est une idéegéniale. J’ai repris le conceptpour mon restaurant gastro-nomique Jaloa mais avecd’autres ingrédients : ducaviar et des langoustines.”

Interview > J. Th

ST

EPH

AN

IELE

CO

CQ

Les jeunes aux fourneauxPAR JULIEN THOMAS

PRÉSENTATION

K Blue Elephant est l’un desplus anciens restaurantsthaïs de Bruxelles dont labeauté du cadre le dispute àla qualité de l’assiette. Dansun véritable jardin de plantesluxuriantes agrémenté demobilier importé en droiteligne de Bangkok, un person-nel aimable et habillé en ha-bits traditionnels, c’est unevéritable escapade gourman-de qui vous attend. Dans l’as-siette, les grands classiquesde la cuisine thaïe, parfois re-visités, mais aussi d’authenti-ques créations du chef quivous font voyager.

INFOS PRATIQUES

K Adresse : chaussée deWaterloo 1120 à 1180 UccleK Téléphone : 02.374.49.62K Fax : 02.375.44.68K Fermé le samedi midiK Site internet :www.blueelephant.com

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Avec Mr Gohin du “Blue Elephant”

DEM

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11RECETTES

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

LES 28 RECETTES SAINESque vos enfants vont adorer8 Le livre “Cuisiner pour notre santé” est le

résultat d’un grand concours pour enfants

A Effervescence gustative mer-credi 23 avril dans les cuisinesde la Brasserie Jaloa, installéesur la place Sainte-Catherine, àBruxelles. Les enfants du Zee-preventorium et de l’École Vi-vante d’Obaix, aidés par la mé-daillée d’argent olympique Élo-die Ouedraogo, se démènentaux fourneaux.

La pression monte, et pas que

dans les casseroles ! S’ils sontencadrés par le chef Gaëtan Co-lin, les enfants gèrent en effet85 % du délicat menu 3 servicesque s’apprête entre autres à dé-guster Laurette Onkelinx, la mi-nistre de la Santé publique. Cerendez-vous gastronomiquesous le signe de la jeunesse célè-bre la parution d’un livre de 28recettes destinées aux enfants.

Le credo : attractif mais surtoutsain et plein de vitamines ! Lelivre “Cuisiner pour notre santé”,en vente depuis quelques joursau prix de 4,99 € dans tous lesLidl de Belgique, veut encoura-ger les enfants à une alimenta-tion saine.

Le livret est le fruit d’un con-cours organisé à l’égard de tousles enfants du Royaume : propo-ser une recette innovante etsaine. Le premier critère de sé-lection a été la santé. L’apporten légumes et en fruits est-il

suffisant ou non ?, insistent lesorganisateurs.

Le résultat donne l’eau à labouche. Le croque FlowerPower, croustillante composi-tion de pain mêlant entreautres concombres, radis et fro-mage aux fines herbes ou en-core la Bouillie de singe, surpre-nante composition de bananes,flocons d’avoine et raisins secsétonnent.

LE ZEEPREVENTORIUM, un cen-tre médical et pédiatrique derevalidation qui prend encharge des jeunes souffrant demaladies chroniques a joué unrôle important dans cette épo-pée culinaire. Cependant, leprojet en lui-même a été initiépar la chaîne de supermarchésLidl.

“Notre objectif est de corrigercette image erronée qu’ont encorecertaines personnes de Lidl : celled’un magasin très bon marchémais avec des produits de faiblequalité”, explique Julien Wa-thieu, porte-parole de l’ensei-gne. “Lidle désormais fait dusmart discount. On a déjà rénové200 de nos 300 magasins belges.On a essayé de les agrandir et d’ymettre plus de lumière. On y aaussi intégré des boulangeriesdont les viennoiseries sont faitessur place. Il y a désormais plus deproduits frais”.

J. Th.

: Les enfants ont géré en effet 85 % du délicat menu 3 services que s’apprête entre autres à déguster Laurette Onkelinx. © BAUWERAERTS

XPRESSO

Gaëtan Colin –37 ans – BruxellesChef du restaurantJaloa, il a portéles couleurs belgeslors de l’édition 2011des Bocuse d’Or.

“Les enfants ont eudes idées géniales !”

1Pourquoi avez-vousparticipé à la concep-

tion de ce livre ?“Je collabore depuis septmois avec les supermarchésLidl sur divers projets. Jeconçois par exemple touteune série de recettes poureux. C’est donc tout à faitlogique que je sois l’ambassa-deur de ce chouette projet.”

2Quel a été votre rôle ?“Les enfants ont créé

leurs recettes puis nous lesont envoyées. J’ai fait partiedu jury qui a dû faire unchoix parmi ces recettes. Etpuis surtout j’ai été chargéde tout mettre en musique.J’ai vu avec eux la quantitéd’ingrédients et la prépara-tion de leur plat.”

3Une recette vousa impressionné ?

“Totalement ! La recette dela gaufre salée au poulet,mozzarella et basilic ! Jen’aurais jamais pensé mettrede la pâte feuilletée dans ungaufrier : c’est une idéegéniale. J’ai repris le conceptpour mon restaurant gastro-nomique Jaloa mais avecd’autres ingrédients : ducaviar et des langoustines.”

Interview > J. Th

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CQ

Les jeunes aux fourneauxPAR JULIEN THOMAS

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12 BD

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SPIROU - LA FEMME-LÉOPARD SCHWARTZ & YANN © DUPUIS 2014

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13JEUX

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

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14 COURRIER

www.dhPbe I LUNDI 28 AVRIL 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS

NÉCROLOGIE

Comment faire paraître un avis nécrologique?L Le plus simple est de vous adresser à un entrepreneur de

pompes funèbres, il connaît la procédure à suivre et les tarifs, ilpeut vous proposer des modèles de textes et vous assister envous conseillant et en agissant concrètement.

L Adressez-vous directement au journal : ) 02/211 31 88š [email protected]

COURRIER DES LECTEURS

K “Cette décision nese prend pas à la légère”EUTHANASIE “Le cancer despoumons, il est incurable, a envahimon père. Il a alors décidé de sa finde vie, il a pris contact avec l’asso-ciation ADMD qui nous a reçusavec beaucoup d’humanité. Papa,nous a soumis son projet de mettrefin à sa vie quand cela deviendraittrop pénible pour lui, nous avonsaccepté sa décision et ses dernièresvolontés. Cela, c’est pratiqué avectoute la gentillesse et la générositéde personnes compétentes. Je neciterais, ni les lieux, ni les médecinsqui nous ont aidés à franchir cecap. Mais, sachez que cette déci-sion ne se prend pas à la légère etque tout un chacun a le droit de dé-cider pour lui-même. Peut-être unjour, une maladie vous touchera etvous penserez alors aux gens quevous critiquez aujourd’hui.”

Brigitte M., par courriel

K “Cela s’appelle du vol”VINCI PARK SERVICES BEL-GIUM “Concernant le stationne-ment à Ixelles, cela s’appelle du vol.Il n’a jamais été précisé clairementsur ce type d’horodateur que lesrègles avaient changé et que l’ondevait mettre un montant fixe.Mais tant que vous jouirez de petitsarrangements, il ne pourra rienvous arriver, c’est ce que vous pen-sez ? De toute façon, vous le payezdéjà, avec votre job pourri, pour le-quel vous devez justifier l’injustifia-ble, avec votre supérieur qui vousrabroue sans doute de temps entemps sans que vous ne puissiezrien faire non plus… Bonne chan-ce !”

Edouard G., par courriel

K “Les Russes sontd’excellents comédiens”SÉPARATISTESDANS L’EST DE L’UKRAINE“Les fameux séparatistes armésdans l’Est de l’Ukraine seraient enfait des militaires russes. Cela neme surprendrait pas le moins dumonde. Souvenons-nous, qu’en1945, Staline ordonnait aux sol-dats de la sixième armée occupantla Pologne de devenir polonais etd’apprendre la langue. Si les Rus-ses ne sont pas aimés des Polacks,pensait le petit père des peuples,qu’ils deviennent tout simplementpolonais. L’occupation n’en seraque plus facile et convaincante. Àn’en pas douter, les Russes sontd’excellents comédiens. Sanscompter qu’en Ukraine, ils n’ontpas à apprendre l’ukrainien.”

Sylvio L., de Montréal

K “L’alternativeduministre Nolletaugmente de 20% lapollution de la Belgi-que !”NUCLÉAIRE “Il y a peu, le minis-tre wallon de l’Énergie voulait nousdémontrer que l’éolien couplé augaz revient moins cher que le nu-cléaire. Comme une nouvelle cen-trale nucléaire de 1.600 MW d’Are-va a obtenu la garantie du premier

ministre Cameron (G.B.) de pou-voir vendre son KWh à 0,10 € lesquinze premières années, le minis-tre Nollet en conclut qu’en 60 ansde vie de la centrale, les KWh pro-duits coûteront 90milliards. Or,après 15 ans le réacteur type Are-va sera 100 % amorti et les KWhcoûteront moins de la moitié duprix de début. Nous arrivons à 35ou 40milliards. Le ministre Nolletne nous dit pas que les centralesnucléaires des concurrents d’Arevasont deux fois moins chères. Il nousdit encore moins qu’à partir de2024, les Chinois veulent se doterde centrales nucléaires civilesayant toutes les qualités, elles sontaux sels liquides, et pourront re-layer nos centrales âgées sans ris-quer les foudres d’Ecolo. L’alterna-tive du ministre Nollet – l’éolien+ gaz en place du nucléaire – aug-mente de 20 % la pollution de laBelgique ! Cela n’est pas précisé.Par une formule floue, il laisse en-tendre que 600 éoliennes de 3MWvont produire 3,8TWh par an, alorsquelles produisent au maximum3,2 Twh. Puisqu’il compare les12,6Twh annuels d’une centralenucléaire au couple éoliennes+ centrales au gaz, ces dernièresdevront produire 9,4 Twh. (2) Et lebudget de 64milliards d’euros pré-vu pour ce couple est tragiquementoptimiste : le nucléaire d’Areva, leplus coûteux à l’heure actuelle, estde 24milliards d’euros moins cher

que le couple éoliennes + centralesau gaz. Il est prévu 1.800 person-nes travaillant pour 12,6 Twh nu-cléaires annuels. Pour le gaz + éo-liennes, il est prévu 2.500 emploiset on se félicite de pouvoir mettretant de gens au travail. On sembleignorer que ce qui est vraiment po-sitif pour une économie, c’est uneénergie bon marché, non polluanteet qui utilise peu de main-d’œuvre !Cette énergie permet au tissu in-dustriel de se (re) constituer avec lacréation de nouvelles entreprisesrentables, avec l’amélioration de larentabilité des entreprises existan-tes, elle permet de multiplier lesemplois productifs. C’est une nou-velle source d’énergie disponiblesur place – le gaz de schiste – quipermet aux USA, avec seulement200.000 emplois nouveaux, de li-bérer le pays des importations degaz. Cette même énergie permetune grande augmentation du nom-bre de personnes travaillant dansles entreprises qui se créent ou quiconsomment beaucoup d’énergie.En conclusion, il faut bien dire quesi tout n’est pas faux dans ce quenous dit le ministre Nollet, c’est aumoins contraire à nos intérêts…”

Claude B., de Rochefort

ÉCRIVEZ-NOUS

Envoyez votre courrier pare-mail : [email protected] et MMS : 4500

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15ANNONCES

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 28 AVRIL 2014 I www.dhPbe

TÉLÉRENCONTRES

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MASSAGES

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21-100606447-47

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21-106770203-03

21-107153202-02

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RENCONTRESparticuliers

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21-106964915-15

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CAPITAUX -ASSURANCES

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INFORMATIQUE -TÉLÉPHONIE

21-106794001-01

LITTORALà louer

21-106915702-02

21-106652401-01

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16 MOTEURS

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tente pas d’abandonner sesouvrants arrière. Elle joue claire-ment les “bimbos” avec son pa-villon abaissé, son regard à LEDenvoûtant et sa poupe tronquée.

ELLE CONSERVE, par contre, lemême empattement que laCee’d. Très généreux pour le seg-ment (2,65 m), il permet à la Pro-Cee’d d’offrir un espace habita-ble étonnant aux places arrièrepour un coupé compact. Sansparler de l’absence totale detunnel de servitude libérant unecave à pieds totalement plane.

On est du coup mieux installéà bord de la Coréenne qu’à l’ar-rière de la Leon SC. Il faut direque pour assurer un comporte-ment dynamique plus vif et ren-dre son profil plus acéré, Seat aprofité de la modularité de lanouvelle plateforme MQB dugroupe Volkswagen pour rac-courcir l’empattement ducoupé SC par rapport à celuide la Leon berline (-3,5 cm).L’Espagnole rend du coup5 cm à celui de la Kia Pro-Cee’d.

Par contre, la li-gne d’épaulementde la ProCee’détant plus haute etsa vitre arrièreplus fuyante, l’im-pression de confi-nement est y plussensible à l’arrière.Autant prévenir les claus-trophobes !

RS, Opel Astra OPC… ou SeatLeon SC Cupra. Si le tout nou-veau 1.6l turbo à injection di-recte de Kia, avec ses 204 ch, of-fre déjà des performances depremier ordre, il se profile plu-tôt comme une alternative au1.8l TSI de 180 ch proposé avec lafinition “FR” de la Leon.

EN CONDUITE SOUTENUE, c’estnéanmoins le bloc du groupeVolkswagen qui, malgré sa puis-sance inférieure, se montre leplus gratifiant grâce à une sono-rité plus virile et des montées enrégime moins linéaires.

Même constat côté comporte-ment routier. Si la finition GTpermet de disposer d’un équili-bre nettement plus convaincantque les ProCee’d classiques auxmouvements de caisse trop am-ples, on n’atteint pas l’efficacité

de la Leon SC FR. Mais c’estsurtout la direction, trop

aseptisée et artificiellepour une sportive

de 200 ch, quilisse le caractère

de la Kia Pro-Cee’d.

Côté équi-pement, laProCee’d GTbénéficied’un menu5 services.De série, on

retrouve,outre son kit

de carrosserietrès suggestif, le

volant chauffant,des sièges Recaro du

plus bel effet, la naviga-tion, le capteur de pluie, le

KIA PROCEE’D GT

N LES PLUS1 ÉQUIPEMENT/FINITION2 LOOK SOIGNÉ3 PERFORMANCESAPPRÉCIABLES4 RAPPORTCOMPORTEMENT/CONFORT5 7 ANS DE GARANTIE

O LES MOINS1 RAPPORT PRIX/PRESTATION2 SENSATIONS LISSÉES3 RENDU DE LA DIRECTION

L LA FICHE TECHNIQUELongueur 4,310 mLargeur 1,780 mHauteur 1,430 mCoffre 380 lPoids 1.359 kgConsommation moyenne 7,4 lCylindrée 1.591 ccPuissance 204 ch à 6.000 tr/minCouple 265 Nm (1.750-4.500 tr/min)Vitesse max. 230 km/hAccélérations (de 0 à 100) 7,7 sÉmission CO2 171 g/kmPrix 29.690 €

SEAT LEON SC FR 1.8 TS

N LES PLUS1 MOTEUR“ENTHOUSIASMANT”2 RAPPORT PERFORMANCES/PRIX3 COMPORTEMENT DYNAMIQUE PLUS TRANCHANT4 BOÎTE DSG DISPONIBLEEN OPTION

O LES MOINS1 PRÉSENTATION UN PEU “TRISTOUNETTE”2 SEUIL D’ACCÈS DU COFFRE

L LA FICHE TECHNIQUELongueur 4,236 mLargeur 1,810 mHauteur 1,446 mCoffre 380 lPoids 1.290 kgConsommation moyenne 5,9 lCylindrée 1.798 ccPuissance 180 ch à 6.200 tr/minCouple 250 Nm (1.500-3.900 tr/min)Vitesse max. 226 km/hAccélérations (de 0 à 100) 7,5 sÉmission CO2 137 g/kmPrix 23.920 €

D.R

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Verdict !Ces versions GT et FR permettent

de jouir d’un modèle sportif à l’occasion,

sans tomber dans les travers des coupés plus

radicaux assez contraignants en utilisation

quotidienne. Au petit jeu de la sportive civilisée,

c’est la Kia qui remporte la partie avec

son confort de suspension conservé,

son équipement pléthorique et son

excellente habitabilité. Par contre, si

l’on recherche un coupé un peu

plus vif et dynamique, autant

opter pour l’offre de Seat.

D’autant plus que le 1.8l TSI de

180 ch assure des prestations

plus soutenues que le 1.6l de

204 ch de Kia, tout en

offrant une sonorité

envoûtante

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8 En constante progression en Europe, Kia se permet dorénavant de proposer des produits images à l’instar de son coupé

ProCee’d GT. Une concurrente de taille pour la Leon SC ?

A Depuis l’arrivée de PeterSchreyer, un ex-designer dugroupe Volkswagen, à la tête dudépartement du style de Kia, lamarque coréenne propose desmodèles au look nettement pluscharismatique que par le passé.

Si c’est valable pour des sim-ples petites citadines ou desSUV, on s’en doute, cela vaut évi-demment encore plus pour uncoupé comme la ProCee’d. Déri-vée à 3 portes de la sage Cee’d à 5portes, la ProCee’d ne se con-

Terminons ce petit tour desaspects pratiques en lorgnantvers les coffres. Côté volume,c’est match nul avec 380l dansles deux cas. À l’usage, la Kiaprend tout de même un légeravantage grâce à un seuil dechargement implanté moinshaut.

Si Kia entend proposer uneversion taillée pour les ama-teurs de sensations sportivesavec sa GT, le constructeur co-réen ne se lance pas dans unelutte frontale avec les référencesdu genre. Cette GT se positionnedavantage comme une versionrapide que comme une sportiveradicale style Renault Mégane

toit ouvrant, une caméra de re-cul… Bref : tout y est. Revers dela médaille : le prix grimpe àprès de 30.000€ et se rapprochedes références du genre nette-ment plus musclées.

La finition sportive FR de laLeon SC permet de bénéficierd’un tarif nettement plus abor-dable. Il faudra, certes, porter lamain au portefeuille pour dis-poser de l’un ou l’autre équipe-ment supplémentaire. Mais, aumoins, on pourra se contenterde ne retenir que le strict néces-saire tout en partant d’un tarifmoins élitiste (23.900€).

L’actu automobilePAR JEAN-FRANÇOIS CHRISTIAENS