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Dimension humaine liee a l’installation d’un pacs dans un hopital public

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Page 1: Dimension humaine liee a l’installation d’un pacs dans un hopital public

Mots clés : Médecine nucléaire - TEP - Rachis

APPROCHE DIAGNOSTIQUE DE LA MOELLE OSSEUSEEN IRMB Boulet C Caramella, D Couanet, FBidault, C Balleyguier,C DromainVillejuif - FronceCorrespondance: berenice,[email protected]

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

PACS et réseaux1345

Modérateur: Bernard Castells

14 h 30

14 h 00

PRINCIPES GENERAUX DE FONCTIONNEMENTD'UN PACS : IMAGE ET DOSSIER PATIENTJP MassonCarcassonne - FronceCorrespondance: [email protected]

Cours thématique: Management

Objectifs: Connaître la dimension humaine de la mise en place d'unPACS.Savoir recenser les problèmes rencontrés.Connaître les solutions proposées au cours de l'élaboration et de lamise en œuvre du projet.Messages à retenir : La dimension humaine est une des clefs de réus­site de mise en place d'un PACS.L'adhésion de personnels repose sur une communication en amont eten aval de l'installation du système.La réussite repose sur la mise en place d'un comité de pilotage.La démarche doit impliquer tous les acteurs de l'imagerie (radiologues,manipulateurs), des services cliniques, informatiques et biomédicaux.Résumé: L'évolution de l'imagerie médicale et l'organisation dessoins expliquent que les structures publiques et privées se dotent desystème d'archivage et de diffusion des images (PACS). Par-delà lesconsidérations technologiques et les évolutions des systèmes d'infor­mations dans le domaine de la santé, l'irruption des PACS dans nosétablissements représente une véritable révolution dont la réussite estliée à l'adhésion des personnels médicaux et para-médicaux des servi­ces d'imagerie et de soins. A partir des données de la littérature et deleur propre expérience, les auteurs abordent les problèmes rencontréset les solutions proposées au cours de l'élaboration du projet et de samise en œuvre. L'objectif de cet exposé est de présenter la dimensionhumaine, du point de vue qualitatif et quantitatif d'un tel projet: miseen place et composition d'un comité de pilotage, stratégie d'informa­tion au sein de l'établissement, recensement des compétences à déve­lopper en interne: rôle respectif des administrateurs et référents dePACS, formation des personnels des services d'imagerie, formation et

Objectifs: Définition d'un PACS.But d'un PACS.Liens avec le dossier patient.Conformité de l'archivage avec l'avenant 24 (pour le libéral).Messages à retenir: Nécessité d'une parfaite inter-opérabilité entreles systèmes.Fiabilité, sécurité et ergonomie.Formation et adhésion des utilisateurs (radiologues et cliniciens).Résumé: La mise en place d'un PACS devient une évidence pour denombreuses raisons: diminution de la consommation de films, archi­vage des dossiers, comparaison des dossiers (notamment dans le cadrede la cancérologie), intégration prochaine au DMP. Pour être efficaceet pour les radiologues libéraux répondre à l'avenant 24, le PACSdoit être parfaitement en lien avec le RIS (norme HL7, IHE). A cettecondition, un tel système permet d'optimiser la charge de travail etune meilleure diffusion des résultats dans les services.

Mots clés: Dossier médical- Réseaux d'images

DIMENSION HUMAINE LIEE A L'INSTALLATIOND'UN PACS DANS UN HOPITAL PUBLICD Sirinelli, L Brunereau, P Minard, P Luquet JM MargasTours - FronceCorrespondance: sirinelii@med,univ-tours,fr

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

14 h 30

L.utilisation de saturation de la graisse en pondération T2 en lombaireaugmente la sensibilité pour la détection des phénomènes inflamma­toires et des épanchements articulaires.Les séquences type Fiesta, Ciss ou Drive ne s'accompagnent pasd'artefacts de mouvements du liquide cérébrospinal et permettent uneexploration optimale de l'espace intradural spinal.Résumé: Le choix des séquences pour l'exploration du rachis et dela moelle doit être parfaitement adapté à l'indication. La séquencesagittale T2, séquence de base de la plupart des IRM rachidiennes,n'est pas la même suivant que la demande s'adresse au rachis « ostéoarticulaire» ou « neurologique ». Les paramètres géométriques doi­vent être également adaptés. L'interprétation des examens impose laconnaissance des artefacts: la plupart des artefacts (mouvements, bat­tements ... ) se projette dans le sens du codage en phase. Certainesséquences permettent de supprimer les artefacts de mouvements duLCS. L'artefact de déplacement chimique se fait dans le sens ducodage en fréquence. Il crée de fausses « lignes» qui ne doivent pasen imposer pour des structures anatomiques. Il convient donc de dis­poser pour chacune des très nombreuses indications d'exploration dela moelle et du rachis de protocoles d'exploration parfaitement définistant dans le choix des séquences qui le composent que pour le choixdes paramètres de chaque séquence.

Mots clés: IRM, technologie - Rachis

Objectifs: Connaître le rôle, la distribution et les variantes de lamoelle normale.Connaître l'aspect normal de la moelle en IRM. Reconnaître lespathologies affectant la moelle osseuse: lésions de remplacementmédullaire (tumeurs osseuses primitives et secondaires), lésions dutissu hématopoïétique: prolifération (gammapathies monoclonales,syndrome myéloprolifératifs et leucémies) ou déplétion, oedèmemédullaire secondaire à un traumatisme, une infection, une tumeurou une affection articulaire, ischémie médullaire.Messages à retenir: La meilleure séquence pour étudier la moelleest le Tl.Les anomalies de signal ne sont pas spécifiques.Nécessité de bien différencier le cadre pathologie locale de celuipathologie générale.Résumé: La moelle contient une proportion variable de moelle jaunegraisseuse et de moelle rouge cellulaire aboutissant au signal visibleen IRM. Le remplacement médullaire (cellules non physiologique­ment présentes dans la moelle) apparaît en hyposignal Tl franc. Laprolifération médullaire (cellules physiologiquement présentes dansla moelle), apparait en hyposignal TI franc (pseudo-remplacementmédullaire) ou en hyposignal intermédiaire par anomalies de distri­bution de la moelle rouge. L'œdème médullaire (réaction à une agres­sion externe) apparaît en hyposignal intermédiaire Tl (mélange eauet moelle). C'est la topographie qui permettra une approche de sonétiologie. L'ischémie médullaire aboutit typiquement à un fragmentnécrosé délimité en Tl par un liseré en hyposignal.

Mots clés : Moelle osseuse - IRM

15 h 00

PLACE DU TEP SCANNER DANS LA PATHOLOGIEVERTEBRALE (TUMORALE, INFLAMMATION,INFECTIEUSE)FPaychaColombes - FronceCorrespondance: frederic.paycha@wanadoo,fr

1207

Mots clés : Médecine nucléaire - TEP - Rachis

APPROCHE DIAGNOSTIQUE DE LA MOELLE OSSEUSEEN IRMB Boulet C Caramella, D Couanet, FBidault, C Balleyguier,C DromainVillejuif - FronceCorrespondance: berenice,[email protected]

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

PACS et réseaux1345

Modérateur: Bernard Castells

14 h 30

14 h 00

PRINCIPES GENERAUX DE FONCTIONNEMENTD'UN PACS : IMAGE ET DOSSIER PATIENTJP MassonCarcassonne - FronceCorrespondance: [email protected]

Cours thématique: Management

Objectifs: Connaître la dimension humaine de la mise en place d'unPACS.Savoir recenser les problèmes rencontrés.Connaître les solutions proposées au cours de l'élaboration et de lamise en œuvre du projet.Messages à retenir : La dimension humaine est une des clefs de réus­site de mise en place d'un PACS.L'adhésion de personnels repose sur une communication en amont eten aval de l'installation du système.La réussite repose sur la mise en place d'un comité de pilotage.La démarche doit impliquer tous les acteurs de l'imagerie (radiologues,manipulateurs), des services cliniques, informatiques et biomédicaux.Résumé: L'évolution de l'imagerie médicale et l'organisation dessoins expliquent que les structures publiques et privées se dotent desystème d'archivage et de diffusion des images (PACS). Par-delà lesconsidérations technologiques et les évolutions des systèmes d'infor­mations dans le domaine de la santé, l'irruption des PACS dans nosétablissements représente une véritable révolution dont la réussite estliée à l'adhésion des personnels médicaux et para-médicaux des servi­ces d'imagerie et de soins. A partir des données de la littérature et deleur propre expérience, les auteurs abordent les problèmes rencontréset les solutions proposées au cours de l'élaboration du projet et de samise en œuvre. L'objectif de cet exposé est de présenter la dimensionhumaine, du point de vue qualitatif et quantitatif d'un tel projet: miseen place et composition d'un comité de pilotage, stratégie d'informa­tion au sein de l'établissement, recensement des compétences à déve­lopper en interne: rôle respectif des administrateurs et référents dePACS, formation des personnels des services d'imagerie, formation et

Objectifs: Définition d'un PACS.But d'un PACS.Liens avec le dossier patient.Conformité de l'archivage avec l'avenant 24 (pour le libéral).Messages à retenir: Nécessité d'une parfaite inter-opérabilité entreles systèmes.Fiabilité, sécurité et ergonomie.Formation et adhésion des utilisateurs (radiologues et cliniciens).Résumé: La mise en place d'un PACS devient une évidence pour denombreuses raisons: diminution de la consommation de films, archi­vage des dossiers, comparaison des dossiers (notamment dans le cadrede la cancérologie), intégration prochaine au DMP. Pour être efficaceet pour les radiologues libéraux répondre à l'avenant 24, le PACSdoit être parfaitement en lien avec le RIS (norme HL7, IHE). A cettecondition, un tel système permet d'optimiser la charge de travail etune meilleure diffusion des résultats dans les services.

Mots clés: Dossier médical- Réseaux d'images

DIMENSION HUMAINE LIEE A L'INSTALLATIOND'UN PACS DANS UN HOPITAL PUBLICD Sirinelli, L Brunereau, P Minard, P Luquet JM MargasTours - FronceCorrespondance: sirinelii@med,univ-tours,fr

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

14 h 30

L.utilisation de saturation de la graisse en pondération T2 en lombaireaugmente la sensibilité pour la détection des phénomènes inflamma­toires et des épanchements articulaires.Les séquences type Fiesta, Ciss ou Drive ne s'accompagnent pasd'artefacts de mouvements du liquide cérébrospinal et permettent uneexploration optimale de l'espace intradural spinal.Résumé: Le choix des séquences pour l'exploration du rachis et dela moelle doit être parfaitement adapté à l'indication. La séquencesagittale T2, séquence de base de la plupart des IRM rachidiennes,n'est pas la même suivant que la demande s'adresse au rachis « ostéoarticulaire» ou « neurologique ». Les paramètres géométriques doi­vent être également adaptés. L'interprétation des examens impose laconnaissance des artefacts: la plupart des artefacts (mouvements, bat­tements ... ) se projette dans le sens du codage en phase. Certainesséquences permettent de supprimer les artefacts de mouvements duLCS. L'artefact de déplacement chimique se fait dans le sens ducodage en fréquence. Il crée de fausses « lignes» qui ne doivent pasen imposer pour des structures anatomiques. Il convient donc de dis­poser pour chacune des très nombreuses indications d'exploration dela moelle et du rachis de protocoles d'exploration parfaitement définistant dans le choix des séquences qui le composent que pour le choixdes paramètres de chaque séquence.

Mots clés: IRM, technologie - Rachis

Objectifs: Connaître le rôle, la distribution et les variantes de lamoelle normale.Connaître l'aspect normal de la moelle en IRM. Reconnaître lespathologies affectant la moelle osseuse: lésions de remplacementmédullaire (tumeurs osseuses primitives et secondaires), lésions dutissu hématopoïétique: prolifération (gammapathies monoclonales,syndrome myéloprolifératifs et leucémies) ou déplétion, oedèmemédullaire secondaire à un traumatisme, une infection, une tumeurou une affection articulaire, ischémie médullaire.Messages à retenir: La meilleure séquence pour étudier la moelleest le Tl.Les anomalies de signal ne sont pas spécifiques.Nécessité de bien différencier le cadre pathologie locale de celuipathologie générale.Résumé: La moelle contient une proportion variable de moelle jaunegraisseuse et de moelle rouge cellulaire aboutissant au signal visibleen IRM. Le remplacement médullaire (cellules non physiologique­ment présentes dans la moelle) apparaît en hyposignal Tl franc. Laprolifération médullaire (cellules physiologiquement présentes dansla moelle), apparait en hyposignal TI franc (pseudo-remplacementmédullaire) ou en hyposignal intermédiaire par anomalies de distri­bution de la moelle rouge. L'œdème médullaire (réaction à une agres­sion externe) apparaît en hyposignal intermédiaire Tl (mélange eauet moelle). C'est la topographie qui permettra une approche de sonétiologie. L'ischémie médullaire aboutit typiquement à un fragmentnécrosé délimité en Tl par un liseré en hyposignal.

Mots clés : Moelle osseuse - IRM

15 h 00

PLACE DU TEP SCANNER DANS LA PATHOLOGIEVERTEBRALE (TUMORALE, INFLAMMATION,INFECTIEUSE)FPaychaColombes - FronceCorrespondance: frederic.paycha@wanadoo,fr

1207

Page 2: Dimension humaine liee a l’installation d’un pacs dans un hopital public

Modérateur: Yves-Sébastien Cordoliani

accompagnement des services de soins et de blocs opératoires, colla­boration avec les services informatiques et biomedicaux.

Mots clés: Archivage - Réseaux d'images

Durée: 30 minutes

Objectifs: Connaître le mode d'interaction des RX par effet photoé­lectrique, sa probabilité selon leur énergie et le numéro atomique dumilieu.Connaître le mode d'interaction des RX par effet Compton, sa pro­babilité selon leur énergie et le numéro atomique du milieu.Connaître le spectre en énergie des RX émis par un tube (énergieminimale, maximale, moyenne, CDA, filtration).Messages à retenir : L'atténuation des RX dans la matière se produitpar mise en mouvement d'électrons secondaires: par effet photoélec­trique à basse énergie, surtout dans les milieux denses de Z élevé, pareffet Compton aux énergies intermédiaires, proportionnellement à ladensité du milieu.Les rayons x produits par un tube sont caractérisés par leur énergiemaximale, EO, (égale en keV à la tension d'alimentation U en kV),moyenne égale à 2/3 de EO, la valeur de la couche de demi-atténuationpour un matériau de référence.Résumé: L'effet photoélectrique domine à basse tension dans lesmilieux denses et de numéro atomique élevé(os). Il donne le contrastele plus élevé mais le photoélectron et le réarrangement atomique localentraînent un dépôt d'énergie localisé. L'effet Compton est plus pro­bable à tension moyenne et haute dans les milieux denses indépen­damment du numéro atomique. Il produit un contraste en densité et,par le « voile de diffusé », réduit celui procuré par l'effet photoélec­trique. La grille anti-diffusante permet de l'éliminer mais diminue lerayonnement en sortie du patient. Un tube émet des rayons x princi­palement de basse énergie, très peu d'énergie maximale, EO, (égaleen keV à la tension d'alimentation U en kV). La filtration par de l'alu­minium (épaisseur réglementaire minimale selon la tension, 1,5 à2,5 mm d'Al) permet de réduire les composantes molles donnant auRX une énergie moyenne égale à 2/3 de EO. Une filtration addition­nelle de cuivre est utile pour durcir le rayonnement. La valeur de lacouche de demi-atténuation des RX pour un matériau de référencecaractérise le spectre.

Mots clés : Rayons X

Résumé: Le rapport bénéfice risque des examens radiologiques, sur­tout avec le scanner multicoupe, ne peut être assuré que si les princi­pes de justification et d'optimisation sont rigoureusement respectés.La justification repose sur la référence au guide du bon usage desexamens d'imagerie et le respect du code de la santé publique quiimpose un échange d'information écrit entre demandeur et réalisateur.L'optimisation repose sur l'évaluation dosimétrique de sa pratique etla comparaison avec les niveaux de référence diagnostiques, pour réa­liser les examens au moindre coût radique. Les enjeux sont l'assu­rance de ne pas nuire à nos patients, la réhabilitation du radiologuedans son rôle de consultant plutôt que d'exécutant et la protectioncontre d'éventuelles conséquences juridiques.

Mots clés : Législation - Radioprotection - Réglementation

BASES PHYSIQUESDJGambiniParis - FronceCorrespondance: denis,gambinl@unlv-paris5,fr

14 h 30

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

Les enjeux et les bases physiques1348

14 h 00

15 h 00

INTRODUCTION. LES ENJEUX DE LA RADIOPROTECTIONYS CordolianiLe Chesnoy - FronceCorrespondance: [email protected]

Objectifs: Définir le cadre d'un GCS de télémédecine: enjeux etméthode.Démontrer la démarche suivie en région Lorraine.Préciser les leviers et les freins de ce projet.Messages à retenir: L'histoire d'un mode de coopérations en Lor­raine.Les orientations du livre blanc de la télémédecine.Les enjeux pour les radiologues lorrains.Le cadre technique du GCS et la place de l'imagerie médicale.Méthode et développement du projet.Résumé: La territorialisation et les ARS vont organiser les coopéra­tions entre les différents acteurs des prises en charge sanitaires. Cescoopérations devraient conduire à terme à une coordination des soinssur les territoires de santé au travers des GCS. Cette coordination seraeffective quand l'échange des informations concernant les patientssera effective entre les différents intervenants. Un livre blanc éditépar le conseil de l'ordre national défini un ensemble de règles quipermettent de définir un cadre pour les coopérations de télémédecine.L'expérience du projet lorrain est une des applications concrète deces orientations. Elle est aussi l'aboutissement d'un cheminementparticulier qui converge aujourd'hui, au delà des territoires, dans cettedémarche au niveau de toute une région.

Mots clés: Législation - Organisation

Cours thématique: Radioprotectiondu patient

PROJET DE GCS TELEMEDECINE LORRAIN:UNE « IMAGE» DU FUTURC DelgotteNancy - FronceCorrespondance: [email protected]

Objectifs: Connaître la définition de la dose absorbée, équivalente,efficace.Connaître la définition du niveau de référence diagnostique.Connaître la définition de la dose à l'entrée et du produit dose x sur­face.Connaître la définition de l'indice de dose scanographique pondéréet du produit dose x longueur.

Objectifs: Donner son sens à la justification en connaissant les termesdu rapport bénéfice/risque dans la pratique radiologique.Comprendre comment les nouvelles dispositions réglementaires etlégislatives constituent un ensemble cohérent de maîtrise de l'exposi­tion des patients et d'autocontrôle.Appréhender les éventuelles implications juridiques du non respect desdispositions réglementaires et légales en matière de radioprotection.Connaître et appliquer les principes d'optimisation.Messages à retenir: Avec le scanner multicoupe, la limite des fai­bles doses est parfois franchie.Le risque de cancer radio-induit, quoique faible, ne peut être écartélors de l'exposition des enfants et des adultes jeunes.La justification et l'optimisation ne sont pas des mots mais des prin­cipes à appliquer rigoureusement, dans l'intérêt du patient d'abord,pour se prémunir d'éventuelles actions en justice ensuite.

15 h 00

NOTIONS DE DOSIMETRIEDJGambiniParis - FronceCorrespondance: [email protected]

Durée: 30 minutes

1208

Modérateur: Yves-Sébastien Cordoliani

accompagnement des services de soins et de blocs opératoires, colla­boration avec les services informatiques et biomedicaux.

Mots clés: Archivage - Réseaux d'images

Durée: 30 minutes

Objectifs: Connaître le mode d'interaction des RX par effet photoé­lectrique, sa probabilité selon leur énergie et le numéro atomique dumilieu.Connaître le mode d'interaction des RX par effet Compton, sa pro­babilité selon leur énergie et le numéro atomique du milieu.Connaître le spectre en énergie des RX émis par un tube (énergieminimale, maximale, moyenne, CDA, filtration).Messages à retenir : L'atténuation des RX dans la matière se produitpar mise en mouvement d'électrons secondaires: par effet photoélec­trique à basse énergie, surtout dans les milieux denses de Z élevé, pareffet Compton aux énergies intermédiaires, proportionnellement à ladensité du milieu.Les rayons x produits par un tube sont caractérisés par leur énergiemaximale, EO, (égale en keV à la tension d'alimentation U en kV),moyenne égale à 2/3 de EO, la valeur de la couche de demi-atténuationpour un matériau de référence.Résumé: L'effet photoélectrique domine à basse tension dans lesmilieux denses et de numéro atomique élevé(os). Il donne le contrastele plus élevé mais le photoélectron et le réarrangement atomique localentraînent un dépôt d'énergie localisé. L'effet Compton est plus pro­bable à tension moyenne et haute dans les milieux denses indépen­damment du numéro atomique. Il produit un contraste en densité et,par le « voile de diffusé », réduit celui procuré par l'effet photoélec­trique. La grille anti-diffusante permet de l'éliminer mais diminue lerayonnement en sortie du patient. Un tube émet des rayons x princi­palement de basse énergie, très peu d'énergie maximale, EO, (égaleen keV à la tension d'alimentation U en kV). La filtration par de l'alu­minium (épaisseur réglementaire minimale selon la tension, 1,5 à2,5 mm d'Al) permet de réduire les composantes molles donnant auRX une énergie moyenne égale à 2/3 de EO. Une filtration addition­nelle de cuivre est utile pour durcir le rayonnement. La valeur de lacouche de demi-atténuation des RX pour un matériau de référencecaractérise le spectre.

Mots clés : Rayons X

Résumé: Le rapport bénéfice risque des examens radiologiques, sur­tout avec le scanner multicoupe, ne peut être assuré que si les princi­pes de justification et d'optimisation sont rigoureusement respectés.La justification repose sur la référence au guide du bon usage desexamens d'imagerie et le respect du code de la santé publique quiimpose un échange d'information écrit entre demandeur et réalisateur.L'optimisation repose sur l'évaluation dosimétrique de sa pratique etla comparaison avec les niveaux de référence diagnostiques, pour réa­liser les examens au moindre coût radique. Les enjeux sont l'assu­rance de ne pas nuire à nos patients, la réhabilitation du radiologuedans son rôle de consultant plutôt que d'exécutant et la protectioncontre d'éventuelles conséquences juridiques.

Mots clés : Législation - Radioprotection - Réglementation

BASES PHYSIQUESDJGambiniParis - FronceCorrespondance: denis,gambinl@unlv-paris5,fr

14 h 30

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

Les enjeux et les bases physiques1348

14 h 00

15 h 00

INTRODUCTION. LES ENJEUX DE LA RADIOPROTECTIONYS CordolianiLe Chesnoy - FronceCorrespondance: [email protected]

Objectifs: Définir le cadre d'un GCS de télémédecine: enjeux etméthode.Démontrer la démarche suivie en région Lorraine.Préciser les leviers et les freins de ce projet.Messages à retenir: L'histoire d'un mode de coopérations en Lor­raine.Les orientations du livre blanc de la télémédecine.Les enjeux pour les radiologues lorrains.Le cadre technique du GCS et la place de l'imagerie médicale.Méthode et développement du projet.Résumé: La territorialisation et les ARS vont organiser les coopéra­tions entre les différents acteurs des prises en charge sanitaires. Cescoopérations devraient conduire à terme à une coordination des soinssur les territoires de santé au travers des GCS. Cette coordination seraeffective quand l'échange des informations concernant les patientssera effective entre les différents intervenants. Un livre blanc éditépar le conseil de l'ordre national défini un ensemble de règles quipermettent de définir un cadre pour les coopérations de télémédecine.L'expérience du projet lorrain est une des applications concrète deces orientations. Elle est aussi l'aboutissement d'un cheminementparticulier qui converge aujourd'hui, au delà des territoires, dans cettedémarche au niveau de toute une région.

Mots clés: Législation - Organisation

Cours thématique: Radioprotectiondu patient

PROJET DE GCS TELEMEDECINE LORRAIN:UNE « IMAGE» DU FUTURC DelgotteNancy - FronceCorrespondance: [email protected]

Objectifs: Connaître la définition de la dose absorbée, équivalente,efficace.Connaître la définition du niveau de référence diagnostique.Connaître la définition de la dose à l'entrée et du produit dose x sur­face.Connaître la définition de l'indice de dose scanographique pondéréet du produit dose x longueur.

Objectifs: Donner son sens à la justification en connaissant les termesdu rapport bénéfice/risque dans la pratique radiologique.Comprendre comment les nouvelles dispositions réglementaires etlégislatives constituent un ensemble cohérent de maîtrise de l'exposi­tion des patients et d'autocontrôle.Appréhender les éventuelles implications juridiques du non respect desdispositions réglementaires et légales en matière de radioprotection.Connaître et appliquer les principes d'optimisation.Messages à retenir: Avec le scanner multicoupe, la limite des fai­bles doses est parfois franchie.Le risque de cancer radio-induit, quoique faible, ne peut être écartélors de l'exposition des enfants et des adultes jeunes.La justification et l'optimisation ne sont pas des mots mais des prin­cipes à appliquer rigoureusement, dans l'intérêt du patient d'abord,pour se prémunir d'éventuelles actions en justice ensuite.

15 h 00

NOTIONS DE DOSIMETRIEDJGambiniParis - FronceCorrespondance: [email protected]

Durée: 30 minutes

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