Disparition des abeilles

8/7/2019 Disparition des abeilles

1/12

Lemystre

deLadisparitiondesabeiLLes

EnqutEsurundsastrE

cologiquE

Mardi18mai

20.35

SortieDVDchezARTEEditions

le20mai2010

danslacollectionGrandesenq

utes

www.e.v/bee

AprsLemondeselonMonsanto,Dchets:lecau

chemardunuclaire

etMlesenpril,lanouvelleenq

utedARTE


2/12

Mardi 18 mai 20.35

Le mystre de La disparitiondes abeiLLesu mee e Mk de

Une coproduction : ARTE France, Telrance, Galalm (2010 - 90 mn)

* La pollinisation est le transport des grains de pollen (lment mle), sur le pistil (lment emelle) de la feur pour assurerla condation. Ce transport est eectu par le vent, les insectes ou dautres animaux.

Enqute sur un dsastre cologique mondial qui pourrait mettre en pril lhuma-nit toute entire Aujourdhui, un tiers de notre nourriture dpend directementde labeille, le pollinisateur* agricole le plus important de notre plante. Or, depuisplusieurs annes, des millions dabeilles disparaissent mystrieusement. Pour-

quoi ? Serons-nous capable de faire face cette catastrophe annonce ?

Cest la premire fois dans lhistoire de notre plante queltendue des activits humaines empite autant sur lesystme naturel. Et cest la premire fois que la civilisationhumaine risque de seffondrer. Nous allons peut-tre

disparatre cause des abeilles. Pr. Paul Ehrlich

Biologiste, Universit de Stanord

Des ruches dsertes. l'extrieur, pas de cadavres. l'intrieur une reine en bonne sant, des larvesviables et une poigne de jeunes adultes aaiblies.Mais nulle trace des autres ouvrires. C'est leSyndrome d'eondrement des colonies, un maloudroyant qui dcime les colonies d'abeilles parcentaines de milliers depuis 2006. Cette situationd'urgence menace de prcipiter un peu plus le dclininexorable des abeilles qui constituent un rouage

irremplaable de notre agriculture. Sans abeille, pasde pollinisation des feurs, et sans pollinisation, pasde ruit ni de lgume... Contrainte de trouver unesolution, l'humanit est conronte un problmeaux ramications multiples et entrecroises, quele lm de Mark Daniels dcortique point par point.Il plante ainsi sa camra dans les gigantesqueschamps d'amandiers de Caliornie, dont le poidsdans l'conomie locale entrane les agriculteurs dansune perptuelle uite en avant. En manque d'abeillesen 2005, ils en importent en masse d'Australie, un anplus tard, le Syndrome deondrement des coloniesapparat. Saturant leurs plantations de pesticides,

obligeant des milliards d'abeilles des transhumancesreintantes, remplaant rquemment leurs reines, ilsjouent aux apprentis-sorciers de la biologie.Aujourdhui, les tudes scientiques ont prouv quenous devons aire ace une multiplicit de acteurs.Mais rcemment, de nouvelles recherches ont rvlque les interactions ente ces dirents acteursamplient ortement leurs eets... Impossible, parexemple, dincriminer les seuls pesticides comme

dans les annes 1990. En revanche, combins unvirus, ou un champignon, les eets de ces produitspourraient tre multiplis. Est-ce l la rponse lnigme ?Ecace et rigoureuse, lenqute mene par MarkDaniels et qui a ncessit 18 mois de tournage, russitle tour de orce de rendre avec clart un problmeaux enjeux complexes. Dans les champs o lesabeilles butinent, derrire l'illeton des microscopesou auprs d'un apiculteur cossais philosophe, sacamra ait le tour d'une plante apicole expressiveet diverse, qui doute et s'interroge...


3/12

Une colonie,cest 10 80 000

abeilles.

LabeiLLe,une vritabLemachine poLLiniser

En raison de sa prsence presque partout sur notre plante, desa capacit collecter via le pollen et le nectar des doses inmes

de polluants, labeille est considre comme une sentinelle de ltat de lenvironnement, elle est ainsi le usible le plus

expos aux diverses pollutions de notre Terre.

Prs de 1 000 espces

dabeilles recenses

en France.

Elle pollinise 80% des espces

de plantes leurs et ruits

de notre plante.

En une journe,

une colonie de 40 000 abeilles,

dont 30 000 butineuses,

visite 21 millions de feurs,

soit 700 feurs par abeille.

Elle pse vide 80 100 mg

et peut porter une charge

maximum de 70 mg.

Au cours de sa vie, labeille

produit lquivalent dun 8e

dune cuillre ca de miel et

parcourt un total de 800 km.

Dure de vie moyenne :20 35 jours.

Une reine pond

jusqu 2 000 oeus

par jour, 500 000

dans sa vie.

35% de la quantit de notre

alimentation et 65% de sa

diversit dpendent

de cette pollinisation.

Nombre de voyages

ncessaires pour

obtenir 10 kg de

miel : 800 000

4 millions !

Labeille domestique utilise par

les apiculteurs est lApis melliera.

CoRbiS


4/12

le syme

eeme ee bee ccd (p cycpe de) e qe ebee meqe, mpe qee pqe(h hve hee e q-mme)e ee p ehe e pemveme (ve he pxm). lepee be :e e ee pepe e e ee

. ceeme, ee beembe e be e ve e pe, q y p ez vep pe v. le qeqebee ee

he (e jee e)embe mqepp e pe me he eme.

Le syndrome deffondrement

QuelQues chiffres

Depuis 4 ans, en Europe et auxtats-Unis, les apiculteurs ont

perdu en moyenne 30 80 % deleurs cheptels. En 2007, le taux deruches abandonnes ou presquedsertes atteignait 70 % voire80 % dans les rgions et pays lesplus touchs.

En Europe, de nombreux pays ontannonc des pertes importantesds lan 2000. Dans les ruchersles plus touchs, jusqu 90 % desabeilles sont supposes mortes,car non rentres la ruche.

En France, Entre 1995 et 2005, les

pertes de ruches ont t de300 000 400 000 par an sur un cheptel de1 350 000 ruches ! 1500 apicul-teurs ont d cesser leur activit.


5/12

Les produitschimiquesOn a dcouvert jusqu 170produits chimiques direntsdans les ruches de coloniesmalades et de colonies sai-nes. Certains chantillonsde pollen dans les alvolesen contiennent jusqu 35 ty-

pes ! Bien quaucun produit chimique lui seul

ne semble tre la cause du syndrome, les pestici-des aaibliraient les abeilles. Ainsi, de nouveauxpesticides appels nonicotinodes aaibliraientles abeilles et sont suspects davoir un eet im-prvu sur leur capacit sorienter et mmori-ser leur chemin. Sans cette mmoire, labeille nepeut pas rentrer la ruche et la colonie dans sonensemble risque de seondrerLa France est le 1er utilisateur europen depesticides avec 70 000 120 000 tonnes utiliseschaque anne. Au niveau mondial, elle se placeau 3me rang aprs les USA et le Japon !

Le varroaLe Varroa, et particulirementVarroa destructor, est unacarien prsent chez labeilledomestique. Il les aaiblitet propage des inectionsvirales. Vhicul sur tous lescontinents (sau lAustralie)par des transerts dabeillesreproductrices ou de ruches,

il reste une des causes initiales ou partiellespossibles.

des parasitesDes champignons tels que leNosema ceranae et Nosemaapis inectent les abeilles enenvahissant leur tube digesti,provoquant ainsi une dysen-terie. Mais linection est tropaible pour tre mortelle elleseule.

Le virus israLiende La paraLysieaiguAvec ce virus, labeille estprise de tremblements, puisde paralysie. En gnral,elle meurt lentre de laruche. Les symptmes sontdonc dirents de celui du

CCD, mais le virus est prsent dans la plupartdes colonies malades.

LagricuLtureintensiveDes apiculteurs spcialissdans la pollinisation chelleindustrielle ont voyager leursabeilles sur des dizaines demilliers de kilomtres pourpolliniser dimmenses zonesde monocultures (amandiers

de Caliornie par exemple). Ces dplacements inces-sants provoquent stress, dsorientation, inections

et dtruisent les notions despace et de saisons. Enrduisant la varit et le nombre de feurs, cette agri-culture intensive provoque galement le dsquilibrealimentaire des abeilles. En 2005, cette conomiemondiale de la pollinisation a t value plus de153 milliards deuros.

des coLonies dabeiLLes

pLusieurs suspects :

CoRbiS/JohNER

biLDbyRAAb


6/12

Les scientifiquesFrancEBe Ve, INRA(Institut National de la Recher-che Agronomique), conseillerscientiique du ilm, il est chargde recherches au laboratoirede pollinisation et cologie desabeilles, Unit abeille et environ-nement.

Yve lee, INRA, Directeurdu Laboratoire de biologie etde protection de labeille, Unit

abeille et environnement.l Beze, INRA,Laboratoire de toxicologieenvironnementale, Unit abeilleet environnement.

allEMagnEr Meze,neurobiologiste,Universit libre de Berlin.

canadaPee Kev, entomologiste,

Universit de Guelph.Mk W, entomologiste,Toronto.lee Pke, entomolo-giste, spcialiste mondiale desabeilles sauvages, Universit deYork.

tats-unis

My Beebm, entomologiste,membre du groupe de travail duCCD, Universit de lIllinois.

gee rb, gnticien,che de lquipe qui a squencle gnome de labeille, Universitde lIllinois.

de V Eep,entomologiste, membre dugroupe de travail du CCD,Universit Penn State.

My Fze, entomologiste,membre du groupe de travail duCCD, Universit Penn State.

P Ehh, co-ondateur deltude de la co-volution, Centrede Conservation Biologique,Stanord.

Fk Ehe, biologiste,Dpartement dAgriculture.

Je Pe, Laboratoire deRecherche sur les abeilles,Dpartement de lAgriculture.

Les intervenantsLes apicuLteursFrancE

Henri Clment, Prsident delUNAFJean Brun et Rmi BrunNicolas Gant

allEMagnEChristoph KochKarl Rainer Koch

canada

Ben HoganDr. Tibor I. Szabo et son ilsTibor P. Szabo

cossEGraham WhiteWillie Robson

tats-unisJohn MillerRon Spears

protger Les abeiLLes,comment agir ?

Ne pas utiliser de produits toxiques et de pesticides dans nos espaces verts.

Veiller au dveloppement de cultures sans OGM.

Favoriser la plantation de plantes mellifres (qui permettent aux abeillesla production de miel).

Encourager la connaissance de labeille et de lapiculture.

Dvelopper linformation des agriculteurs sur le rle pollinisateur de labeille et

favoriser une agriculture respectueuse de lenvironnement.

Promouvoir le rle de labeille comme sentinelle de lenvironnement.

Aider linstallation de nouvelles colonies et de nouveaux apiculteurs.

Favoriser les changes entre apiculteurs sur le plan international.


7/12

MARkDANiELS

fiche technique

Un ilm crit et ralis par .............. Mark DanielsProduit par ................................................ Christine Le Go

Nathalie DuboisParticipation lcriture ................... Jane WeinerCollaboration la ralisation ........ Mark JohnstonNarration dite par ................................. Stphanie DuncanImage ........................................................... Mark Daniels, Michael BolandMontage ..................................................... Fabrice SliniMusique originale ................................ Eric LemoyneConseiller scientiique ...................... Bernard VaissireSon ................................................................. Nicolas Dalban, Xavier Griette,

Julien Sicard, Lisa HigginsPhilippe Scultty, Francesco Mannino

Jean-Sbastien RoyAssistants de ralisation ................. Alain Catez

Riel Lazarus

Coproduction .......................................... artE FeUnit de programmes Dcouverte et ConnaissanceHlne Coldey

teeYves Jeanneauproducteur dlgu

gmArnie Gelbartproducteur dlgu

Avec la participation de .................. CBC Science & Natural History Unit and The Nature o ThingsMichael Allder / Caroline UnderwoodTV5 MondeMulticanalRTBF Tlvision Belge Claire ColartTlvision Suisse Romande (TSR)Irne Challand / Gaspard Lamunire

Et le soutien du...................................... CNC

FONDS CANADIEN DE TELEVISION

cr par le gouvernement du Canada et lindustrie canadiennede tlvision par cble

Canada - Crdit dimpt pour ilm ou vido canadien

QUBEC Crdit dimpt Cinma et Tlvision - GestionSODEC


8/12

arte sengage pour Les

SPIPOLL

deveez ppzz e eepe ve e Mm He ee ! SPIPOLL pour Suivi Photographique des Insectes

POLLinisateurs, est un site Internet indit qui invite legrand public constituer une ou plusieurs collectionsde photos dinsectes pollinisateurs et les partager surle site www.spipoll.r. Les inormations ainsi rcoltespermettront dapporter de prcieuses donnes auxscientiques dans leur tude de la biodiversit et lesactions mener comme lamnagement du territoi repar exemple.SPIPOLL sinscrit dans la dynamique de dveloppementdes sciences participatives initie par le Musumnational dHistoire naturelle ainsi que dans les actionsdducation et de sauvegarde de la biodiversitmenes par lOpie (Oce pour les insectes et leur

environnement).Fe : Mm He ee,ope e Me e Ee, e Eee, dve-ppeme be e e MePee ppx : F ne & d-vee, F n H p ne eHmmeMe : Yve rhePee m : artE

leme e e m 2010 :www.spipoll.r

APIdAyS

Vee 18 e me 19 j 2010, pe Fe, aPiy, Je nee abee, eee e eveme. loccasion de lAnne internationale de la

Biodiversit, le programme Abeille, sentinelle delenvironnementdevient cause nationale . Lancpar lUnion Nationale de lApiculture Franaise,ce programme qui place labeille comme unesentinelle, au coeur de notre environnement urbain,reoit le soutien de trs nombreuses collectivitset de partenaires privs. Partout en France, osont installs des Ruchers Abeille, sentinellede lenvironnement , partenaires et apiculteursproposeront gratuitement une te ddie lasauvegarde de labeille, des pollinisateurs sauvageset de la biodiversit. Des programmes spciiquesseront mis en place : rcolte de miel, conrences,

projection de ilms, jeux pdagogiques et dgustationde miels...

Pmme p e m 2010 e e : www.beeeee.e

arte partenaire de deux vnements


9/12

se e 20 m 2010

dans la collection Grandes enqutes cmpme e pmme :

1 / cp e eScientiques et apiculteurs racontentleur premire rencontre avec les abeilles 5 min 35Yves Leconte, biologisteGene Robinson, gnticienHenri Clment, apiculteur et prsident de lUNAFWillie Robson, apiculteurJohn Miller, apiculteurBernard Vaissire, spcialiste de la pollinisationMaryann Frazier, entomologiste

2 / de bee e e hmmeScientiques et apiculteurs tmoignent 11 min 30Henri Clment, apiculteur et prsident de lUNAFChristoph Koch, apiculteur

Laurence Packer, entomologisteJohn Miller, apiculteurWillie Robson, apiculteur

3 / ievew e Pee rbhAuteur et philosophe, pionnier de lagriculturebiologique 21 min

px pb em : 15 / pb

artE Econtacts presse :Henriette Souk : [email protected]

01 55 00 70 83Sandrine Lamantowicz [email protected] 55 00 70 86www.ebqe.m

e.v mobilise ses quipes et met en placeun dispositi particulier loccasion de cedocumentaire vnement :

bande annonceentretiens exclusis avec des scientiqueschronologie complteextraits vidoschat en direct avec des experts le 18 mai 20 h 35 pendant la diusion du documen-tairemobilisation des rseaux sociaux avec desvidos exclusivesjeu concours pour tester ses connaissanceset gagner notamment des DVD

A lire et voir sur www.e.v/bee

Les Actions Culturelles d'ARTE soutiennent leprojet artistique d'Olivier Darn : la pollinisa-tion de la ville. travers ce terme, Olivier Darn, plasticien etapiculteur urbain, a mis en place un projet derecherche transdisciplinaire portant sur la ville.Ses installations de ruches dans l'espacepublic questionnent nos relations l'environ-nement urbain et avorisent la perception parle public des enjeux de la biodiversit.

Renseignements sur :www.bqeme.

abeiLLes


10/12

tchernobyL :une histoirenatureLLe ?M 25 m 20.35Un documentaire crit par Luc Riolon et Antoine Bamas,ralis par Luc RiolonUne coproduction: ARTE France, Camera Lucida Productions,CNRS Images, en partenariat avec Eurovision Science et la DGRecherche de la Commission Europenne (2009 - 90mn)

P e efqe, ze ee e thebye evee be e ve q pemee e eme, e e ee, eee e v e be e e -me vv.24 p phe, evee be.

Lexplosion du racteur, le 26 Avril 1986, et lincendie quisen est suivi, ont provoqu une immense contaminationradioactive, lquivalent de 30 000 ois les dchets reje-ts par toutes les centrales nuclaires du monde en uneanne. Dans les jours et mois qui suivirent la catastrophe,

pendant la priode de trs orte radioactivit, les cadavresdanimaux, dinsectes, de feurs, dherbes, darbres secomptrent par dizaines de millions dans la zone interdite,en milliards sans doute pour tous les micro-organismes etbactries.

Aujourdhui, seulement moins de 3% de la radioactivit ini-tiale subsiste Tchernobyl. Mais les radiolments qui res-tent encore actis le seront pour longtemps. Il audra plusde deux sicles pour que le Csium et le Strontium, rejetspar la centrale aient perdu toute leur charge radioactive.Pour le plutonium, il audra 240 000 ans...

Comment la nature ait-elle ace aujourdhui cette ra-dioactivit dsormais de aible dose, mais permanente ?Quelles sont les consquences pour la aune et la fore quisy dveloppent de aon curieusement luxuriante ? De-

vant linsolente sant de certains animaux, les scientiquessinterrogent. La nature se moquerait-elle des radiations ?Enn, quelle est linfuence du dpart subit de lhomme en1986 dun territoire grand comme la moiti dun dparte-ment ranais ?

Tourn sur une anne, aux direntes saisons et lint-rieur de la zone interdite, dans les orts les plus radioac-tives comme dans le cadre stupant de lancienne villenouvelle sovitique de Pripiat, dsormais intgralement re-prise par la fore et la aune sauvages, Tchernobyl : une his-toire naturelle ? est une enqute sur une vritable nigmecologique.

programmation spciaLebiodiversit. voir gaLement :

LUC

RioLoN-CAMERALUCiDA


11/12

secrets de pLantesUne collection documentaire dirige par Franois-Xavier Vives,ralise par Jean-luc Bouvret, Emmanuel Laborie et Franois-Xavier Vives.cmmee p Me-che BCoproduction : ARTE France, Le Miroir, CNRS Images,Musum national dHistoire naturelle, INRA (2010 - 4x43mn)

d 17 21 m 19.50 vee :Les forts vierges dEurope (production : ZDF, 2009 - 5 x 43 mn)

d 17 21 m 17.40 :

Xenius, Le magazine de la connaissance dARTEd 24 28 m 19.50, vee :

Les animaux face aux changements climatiques (production : SWR, 4 x 43 mn)

Et aussi

Les plantes qui nous entourent, aussi sublimessoient-elles, composent un dcor amilier quenous regardons peu et que nous connaissonsmal. Secrets de Plantes nous invite dcouvrirquatre plantes communes, ordinaires mme, ain

den rvler les qualits insouponnes.Scientiiques, agriculteurs, conomistes, sociolo-gues, changent notre regard sur lortie, larabette,

li et le lotus. Ils nous dvoilent leurs applicationset leurs enjeux, technologiques, mdicaux, co-nomiques, sociaux. Quils soient gnticien oujardinier en che du chteau de Versailles, indus-triel indien ou botaniste australien, nous les sui-

vons dans leurs laboratoires, dans leurs expdi-tions du bout du monde ou dans leurs jardins toutsimplement.

Vee 21 m 16.55 : bee, e me qe 22.00 : e , e p hy-peehe

Vee 28 m 16.55 : , x e e ve 22.00 : e, ve j ve


12/12

ue bhe e p de e mm artE Fe

de p www.e.v/beede e pee e e ep.m

c peen re / Me-che Fe

01 55 00 70 23 / 73 25-e@ee.

m-ee@ee.

E pe ve

RbiS

Documents

Disparition des abeilles