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Matériels et méthodes: Il s'agit de 3 patients d'âge moyen (46 ans),hospitalisés dans un tableau d'urgence abdominale: douleurs abdominales aiguës (2 cas), ictère fébrile (l cas). Les patients ont benéficiéd'une TDM abdominale avec reconstructions 2D et 3D.Résultats: Un cas d'AAH droite comprimant le hile hépatique avecdilatation des voies biliaires intrahépatiques d'amont, chez le patientayant présenté un ictère fébrile avec cholestase. Deux cas d'AAH propre chez les deux autres patients ayant présenté des douleurs abdominales, avec des signes de prérupture.Conclusion: Les AAH sont rares. L'imagerie actuelle notamment laTDM quand elle est réalisée dans un tableau d'urgence, comme pournos observations, permet de faire le diagnostic précoce avant la survenue de complications en particulier la rupture, qui met en jeu lepronostic vital, de fournir une cartographie précise de la lésion guidant ainsi la prise en charge thérapeutique notamment notammentendovasculaire.
Mots clés: Artères digestives, anévrisme
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LYMPHOGRAPHIE PAR RESONANCE MAGNETIQUE:IMAGERIE ABDOMINALE ET RETROPERITONEALELArrivé, LAzizi, M Lewin, C HoeffeL LMonnier-Cholley,C Lacombe, P Garrigoux, EBridel, M Raynal, JM TubianaParis - France
Objectifs pédagogiques: Connaître les principales séquences utilisées en lymphographie par résonance magnétique.Connaître l'anatomie des vaisseaux lymphatiques de l'abdomen et durétropéritoine.Connaître les variations anatomiques et variantes de la normale.Savoir utiliser la lymphographie par résonance magnétique en pathologie lymphatique.Messages à retenir: Les lymphatiques peuvent être analysés sur desséquences bidimensionnelles très pondérées en T2.L'analyse des lymphatiques abdominaux est optimale en se servantde séquences tridimensionnelles très pondérées en T2.Il existe une très grande variabilité d'un individu à l'autre pour lenombre, l'apparence et le calibre des canaux lymphatiques abdominaux et rétropéritonéaux.La lymphographie par résonance magnétique peut être utilisée pourl'exploration de pathologies lymphatiques telles que les Iymphangiectasies, la Iymphangiomyomatose, les dilatations lymphatiques congénitales ou acquises, les anomalies lymphatiques post-chirurgicales.
Mots clés: Lymphatiques - IRM
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LE LYMPHOME DE LA TETE AUX PIEDSR Braham Rejeb, J Souissi, M Said SMarzouk, A GannouniSousse - Tunisie
Objectifs: Présenter les aspects en imagerie des atteintes Iymphomateuses de la tête aux pieds.Matériels et méthodes: Illustration de 12 cas de localisation Iymphomateuse. Les patients étaient 10 femmes et 4 hommes, l'âgevariait de 11 à 65 ans. Les signes révélateurs étaient variables dominés par la découverte de polyadénopathies.Résultats: Nous avons colligé une atteinte cérébrale, deux atteintesde la sphère üRL (sinus et cavum), une atteinte ganglionnaire, uneatteinte mammaire, une atteinte médiastinale, une atteinte pleuroparenchymateuse, une atteinte hépato-splénique, deux atteintes du tubedigestif (estomac et intestin grêle), deux atteintes pancréatiques, deuxatteintes rénales et une atteinte des organes génitaux internes (ovaireset utérus). Tous nos malades ont été explorés par l'échographie et/oula TDM. Un cas a été exploré par une mammographie et un autre parl'IRM.Conclusion: Le tractus digestif représente la première localisationextra-ganglionnaire des lymphomes. L'atteinte pancréatique, mammaire sinusienne et au niveau des organes génitaux internes demeu-
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rent rares voire exceptionnelles. Il faut savoir évoquer le lymphomedevant certains signes radiologiques pour ne pas retarder la prise encharge thérapeutique.
Mots clés: Lymphatiques, lymphome
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IMAGERIE DES PARAGANGLIOMES METASTATIQUESM Bienvenu-Perrard, M Guesmi, FThévenin, TPlantier,FTissier, A Ayiffon, R Libè, J Bertherat X Bertagna,P LegmannParis - France
Objectifs pédagogiques: Illustrer la place du scanner et de l'IRMdans la surveillance des paragangliomes opérés.Connaître le protocole à réaliser au scanner et en IRM dans le cadredu suivi de ces patients.Discuter la place de l'IRM corps entier.Messages à retenir: La malignité d'un paragangliome est affirméedevant une récidive locale ou la découverte de métastases à distance.L'imagerie a une place essentielle dans le suivi de ces patients, l'efficacité du traitement reposant sur le diagnostic précoce des métastases.
Mots clés: Système nerveux, tumeur
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APPORT DE L'IMAGERIE DANS LES TUMEURSGLOMIQUES DES EXTREMITES DIGITALESE El Ouardi, D Basraoui, A Skalli, FEl Amraoui, A Menfaa,N ChikhaouiCasablanca - Maroc
Objectifs: Préciser le rôle de l'imagerie (notamment l'IRM) dans lediagnostic de ces tumeurs.Matériels et méthodes: Etude rétrospective de 8 cas, colligés ausein de notre service sur une période de cinq ans (2001-2006), le sexeféminin était prédominant (60 %), l'âge moyen était de 40 ans, le côtégauche était le plus souvent atteint. Le motif de consultation le plusfréquent était une douleur intense, soudaine, avec à l'examen cliniqueune tâche bleuâtre ou rougeâtre associée à une dystrophie unguéale.Le bilan radiologique a comporté une exploration par radiographiestandard, TDM et IRM.Résultats: La radiographie réalisée chez tous les patients a montréune encoche régulière au niveau de la troisième phalange chez deuxpatients. L'échographie a montré une masse solide homogène hypoéchogéne chez deux patients alors qu'elle était normale chez sixpatients. L'IRM réalisée chez un seul patient a montré une masse enisosignal Tl, en hypersignal T2 se rehaussant après injection deGadolinium.Conclusion: Les tumeurs glomiques digitales sont des tumeurs bénignes, souvent déroutantes du fait de leur rareté. L'IRM, réalisée enhaute résolution et aprés injection de contraste, parait une méthodeprometteuse pour la détection mais surtout pour le bilan topographique et morphologique de la lésion permettant de conduire facilementà l'acte chirurgical.
Mots clés: Main, tumeur bénigne
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LE SCANNER BASSE DOSE DU RACHIS PEUT-ILREMPLACER LES CLICHES CONVENTIONNELS?M Chassang, A Grimaud, SNovellas, P Chevallier,N Amoretti, JN BrunetonNice - France
Objectifs: Comparer le scanner basse dose du rachis aux clichésconventionnels pour plusieurs paramètres et dans trois indications.
Matériels et méthodes: Inclusion prospective de 111 patientsconsécutifs (73 femmes, âge moyen =76 ans) porteurs d'une dysglobulinémie ou myélome (n =53), de lésions secondaires osseuses (n=10) ou d'ostéoporose algique (n =48), pour lesquels étaient réalisésle même jour un scanner basse dose de la mandibule au pubis (Lightspeed 8 et 64 coupes, GE) et des clichés radiographiques de l'ensembledu rachis. Mesure du temps d'examen, des performances diagnostiques et de l'irradiation (n =9) pour les 2 méthodes d'imagerie.Résultats: Les temps moyens d'examen étaient respectivement de9,8 et 28 minutes pour le scanner et les radiographies. Le scanneravait une sensibilité diagnostique supérieure et irradiait 1,1 à 2,9 foisplus.Conclusion: Le scanner peut remplacer avantageusement les clichésconventionnels pour certaines indications rachidiennes.
Mots clés: Rachis, technique d'exploration
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NODULE HEPATIQUE EN IRM : COMMENT S'EN SORTIR?FPigneur (1), M Djabbari (1), A Kulski (1), G Jourdan (1),JF Deux (1), C Dromain (2), A Rahmouni (1), A Lucian! (1)(1) Créteil - France, (2) Villejuif - France
Objectifs pédagogiques: Proposer une démarche diagnostiquedevant un nodule hépatique en IRM à partir de cas cliniques didactiques.Messages à retenir: Connaitre les séquences indispensables à labonne réalisation d'une IRM hépatique.Déterminer le contexte clinique ayant conduit à l'IRM hépatique.Rechercher des signes d'hépatopathies chroniques.Rechercher une surcharge hépatique responsable de pseudo-lésionsmais aussi de difficultés dans l'analyse du signal hépatique.Eliminer un artéfact source d'erreur diagnostique.Eliminer systématiquement une lésion hépatique bénigne caractérisable en IRM à savoir le kyste biliaire, l'angiome caverneux, l'hyperplasie nodulaire focale typique et la stéatose focale. Rechercher lescritères non invasifs de diagnostic en IRM de carcinome hépatocellulaire dans un contexte d'hépatopathie chronique.Connaitre des gammes diagnostiques en l'absence de caractérisationpossible du nodule en IRM: lésions kystiques, hypervasculaires,fibreuses et hyperintense en pondération Tl.
Mots clés: Foie, tumeur - IRM
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LE COMPTE RENDU RADIOLOGIQUEEN MEILLEURE fORMEL Ollivier (1), C Leclère (2), J Leclère (3)(1) Paris - France, (2) Marne La Vallée - France,(3) Villejuif - France
Objectifs pédagogiques: Etudier la forme des comptes-rendusradiologiques: concision, style, sémantique.Sensibiliser le lecteur aux multiples répétitions, dans les comptes-rendus, de mots et d'expressions superflus et souvent incorrects.Montrer qu'il est possible de faire des comptes-rendus plus courts,mieux construits, sans perdre d'information et en gagnant en précision.Messages à retenir: La très grande majorité des « au niveau », « auplan », « au point de vue » etc. qui abondent dans les comptes-rendussont inutiles.Ces formulations relèvent d'automatismes irréfléchis et sont parfoistellement envahissantes qu'elles nuisent à la compréhension et doncà la crédibilité de l'analyse.Les principales qualités du compte rendu sont celles qui le rendentutile pour le clinicien: la clarté, la concision et la corrélation avec lecontexte clinique.
Mots clés: Compte rendu
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PUBLICATION DANS LA REVUE RADIOLOGYENTRE 1990 ET 2005 EN fONCTION DU PAYS D'ORIGINELArrivé, M Lewin, P Dono, L Monnier-Cholley, C Hoeffel.C Lacombe, LAzizi, EBridel. M Raynal. JM TubianaParis - France
Objectifs: Notre objectif était d'analyser les variations de l'originegéographique des articles publiés dans la revue Radiology entre 1990et 2005.Matériels et méthodes: L'ensemble des articles originaux, enexcluant les revues, les éditoriaux et les lettres, publiés de 1990à 2005 dans la revue Radiology ont été analysés pour déterminer l'origine géographique de l'article. Les résultats ont été analysés en fonction du nombre absolu de papiers publiés par pays.Résultats: Le nombre d'articles en provenance des Etats-Unisd'Amérique et du Canada a été divisé par deux lors de ces quinzedernières années. D'autres pays ont au contraire connu une augmentation du nombre d'articles publiés, tels que l'Allemagne et la Coréequi ont triplé leur nombre de publications. L'augmentation du nombrede publications a été très marquée pour deux pays, la Chine et laConfédération Helvétique (facteur 10). La France a eu une publication relativement constante sur ces quinze dernières années. Pour lespublications françaises, il existait d'importantes variations en fonction de la sous-spécialité radiologique, les radiologies thoracique,neurologique, musculosquelettique et gastro-intestinale étant plussouvent représentées.Conclusion: Il existe d'importantes disparités du nombre de publications dans la revue Radiology en fonction de l'origine géographiquesur ces quinze dernières années.
Mots clés: Publication
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EVALUATION DU TAUX DE REDONDANCEDANS LA REVUE cc RADIOLOGY »
LArrivé, M Lewin, P Dono, L Monnier-Cholley, C Hoeffel.C Lacombe, LAzizi, EBridel. M Raynal. JM TubianaParis - France
Objectifs: On définit par «publication redondante» (égalementappelée réitérée, en double, dupliquée) la publication par les mêmesauteurs d'un article reprenant tout ou partie d'un article déjà publié.L'objectif de ce travail était d'évaluer le taux de redondance dans larevue Radiology et de le comparer aux taux de redondance d'autresrevues.Matériels et méthodes: Deux observateurs ont analysé le taux deredondance dans la revue Radiology en 2001. Nous avons analysél'ensemble des articles originaux à l'aide de la banque de donnéesMedline sur le serveur PubMed afin d'identifier les articles quiavaient pu être à l'origine de publications redondantes. Medline a étéanalysé de 1999 à 2003 par une recherche sur le nom du premierauteur. Les articles redondants ont été reclassés comme redondants(articles quasiment identiques), partiellement redondants (similitudesimportantes entre les articles) et fragmentés (données artificiellementséparées dans plusieurs papiers).Résultats: Trois cent soixante deux articles originaux ont été publiésen 2001 dans Radiology. Nous n'avons trouvé aucun cas de redondance complète. Deux articles ont été considérés comme partiellement redondants. Nous n'avons pas trouvé de cas d'articlesfragmentés.Conclusion: Le taux de redondance est moins fréquent dans la revueRadiology que dans d'autres revues.
Mots clés: Publication
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