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DOSSIER DE PRESSE - 19 novembre 2013 Résultats de l’étude conduite par happycurious pour MasterCard “Le Paris Priceless, Le Paris préféré des Parisiens” Une sociologie de l’inestimable parisien N’hésitez pas à utiliser le hashtag #PricelessParis Paris, le 19 novembre 2013 – Paris, ville aux mille et unes facettes : d'une rue à une autre, du 1er au 20ème arrondissement, entre la ligne 1 et la ligne 14, il y existe probablement autant de trajets à parcourir que de Parisiens. Quand il s'agit de partir à l'aventure et de re-découvrir la ville, les réserves de Paris semblent inépuisables. Alors... de quoi le Paris préféré des Parisiens est-il fait aujourd'hui ? A l'occasion du premier anniversaire de son programme «Priceless Paris», et après une première étude sociologique réalisée à l'automne 2012 autour des moments inestimables à Paris, MasterCard France a mandaté le cabinet happycurious pour aller à la rencontre des Parisiens et explorer avec eux, les lieux et les raisons de leur attachement à Paris. Leurs réponses, histoires et anecdotes ont dessiné une cartographie du Paris préféré des Parisiens autour de 5 parcours priviliégiés : Paris Foodie, Paris Arty, Paris By Night, Paris Shopping & Paris As a tourist. Sur cette base, happycurious a identifié et analysé les tendances de fond et signaux faibles qui traversent ces 5 univers de référence. Une phase quantitative a ensuite permis d'établir le classement des quartiers, places, monuments, parcs (ou jardins) et musées préférés des Parisiens. Contacts médias : Elodie Giraud / Camille Poulaillon / Donatienne Douriez [email protected] / [email protected] / [email protected] 06 09 03 91 18 / 06 88 54 77 02 / 01 42 73 81 23 1

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DOSSIER DE PRESSE - 19 novembre 2013

Résultats de l’étude conduite par happycurious pour MasterCard “Le Paris Priceless, Le Paris préféré des Parisiens”Une sociologie de l’inestimable parisien

N’hésitez pas à utiliser le hashtag #PricelessParis

Paris, le 19 novembre 2013 – Paris, ville aux mille et unes facettes : d'une rue à une autre, du 1er au 20ème arrondissement, entre la ligne 1 et la ligne 14, il y existe probablement autant de trajets à parcourir que de Parisiens. Quand il s'agit de partir à l'aventure et de re-découvrir la ville, les réserves de Paris semblent inépuisables. Alors... de quoi le Paris préféré des Parisiens est-il fait aujourd'hui ? A l'occasion du premier anniversaire de son programme «Priceless Paris», et après une première étude sociologique réalisée à l'automne 2012 autour des moments inestimables à Paris, MasterCard France a mandaté le cabinet happycurious pour aller à la rencontre des Parisiens et explorer avec eux, les lieux et les raisons de leur attachement à Paris.

Leurs réponses, histoires et anecdotes ont dessiné une cartographie du Paris préféré des Parisiens autour de 5 parcours priviliégiés : Paris Foodie, Paris Arty, Paris By Night, Paris Shopping & Paris As a tourist. Sur cette base, happycurious a identifié et analysé les tendances de fond et signaux faibles qui traversent ces 5 univers de référence. Une phase quantitative a ensuite permis d'établir le classement des quartiers, places, monuments, parcs (ou jardins) et musées préférés des Parisiens.

Contacts médias : Elodie Giraud / Camille Poulaillon / Donatienne Douriez [email protected] / [email protected] / [email protected] 09 03 91 18 / 06 88 54 77 02 / 01 42 73 81 23 1

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SOMMAIRE DES TENDANCES ISSUES DE LA PHASE QUALITATIVE :

Page 3, Parcours Paris Foodie :

La Foodologie parisienne: l'antithèse de l'industrie du goût

On veut du bon: quand Paris met les grands plats dans les petits

Cook it Yourself + Food and the Gang = The Future

Page 4, Parcours Paris Arty :

Le temps du « bouillonnement »

L'Arty-mixologie

Art and the City

Page 5, Parcours Paris By Night :

La nuit parisienne se serait-elle réveillée ?

Noctambulisme nomade et partie de cache-cache à ville ouverte

La nuit, cet ailleurs qui doit rassurer

Page 6, Parcours Paris Shopping :

Paris est un village

L'artisanat du commerce, ou le goût du bel ouvrage parisien

La boutique-slash, concept-store des années 2010s

Page 7, Parcours Paris As a tourist :

Entre l'intime et le magistral : le Parisien Touriste voit double

Paris-sur-seine, transformations du « vivre ensemble »

Paris, je t'aime moi non plus

…............................................................................................................................................................................................

LES PRINCIPAUX RESULTATS DE LA PHASE QUANTITATIVE : Pour plus d'informations et de chiffres, voir l'infographie ci-jointe...

Les 5 quartiers préférés des Parisiens sont... : Saint Paul Le Marais / Saint-Germain-des-Prés / Montmartre / Le quartier Latin / Opéra Grands Boulevards

Les 5 places préférées des Parisiens sont... : La place de la République / La place de la Concorde / La Bastille / La place de l'Etoile / La place du Châtelet

Les 5 monuments préférés des Parisiens sont... : Notre-Dame de Paris / La pyramide du Louvre / Le Sacré-Coeur / La Concorde / L'Arc de Triomphe

Les 5 parcs / jardins préférés des Parisiens sont... :Le jardin du Luxembourg / Le parc des Buttes Chaumont / Le jardin des Plantes & le parc Montsouris

ex aequo / Le jardin des Tuileries / Le parc Monceau

Les 5 musées préférés des Parisiens sont... : Le musée du Louvre / Le musée d'Orsay / Le Centre Pompidou / Le musée Rodin / Le musée Grévin

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PARIS FOODIE (extrait → analyse de tendances complète sur demande)

La Foodologie parisienne: l'antithèse de l'industrie du goût. Les Parisiens, qui plébiscitent l'innovation et les initiatives spontanées, sont peu réceptifs à ce qui peut se rapprocher d’une forme de récurrence. Aucune chaîne de restaurants n’est citée par les personnes interrogées et l’idée d’une déclinaison de tables par le même chef séduit certes mais uniquement si le projet apparaît comme restant à taille humaine et ancré dans son voisinage (ouverture de secondes adresses et autres concepts spécialisés par Inaki Aizpitarte avenue Parmentier, Grégory Marchand rue du Nil, etc..). Sous l’impulsion de ces chefs pour le moins fidèles d’un point de vue géographique, c’est un jeu de “Monopoly culinaire” aux antipodes du concept de chaîne classique qui se dessine désormais à Paris. Pour les foodies parisiens, l’artisanat, voire l’art de la restauration, prévaut donc clairement sur le business. On constate d'ailleurs que la dimension commerciale du travail d’un chef peut le desservir, à Paris sans doute plus que partout ailleurs. On veut du bon : quand Paris met les grands plats dans les petits. Un nouveau paradigme foodie s'impose : avec l'arrivée d'acteurs tels qu’Omnivore, le Guide Fooding ou encore Gelinaz, a émergé une cuisine moins rigide, voire affranchie. La grande cuisine, on n'en fait plus tout un plat ! On assiste ainsi à la fois à une valorisation de la simplicité au cœur de la table et à une ouverture certaine sur le monde : les chefs ne sont plus seulement français, les noms des restaurants se font discrets («Table», «Manger», «Glou»), les tabliers deviennent bleus marine ou rayés, les nappes en tissu disparaissent. L'enjeu : faire de la place au produit. Le succès d'un Terroirs d'avenir par exemple illustre bien le fait que ces histoires de produits et de défenseurs des produits séduisent désormais davantage les Parisiens que les Fauchon / Hédiard / Ladurée et consorts. Mais précisément, l’industrialisation et ses travers sont sans doute passés par là... C’est peut-être là le grand paradoxe à retenir : celui d’un monde qui, en période de pleine croissance, lors des 30 Glorieuses, a fait naître des machines industrielles aux effets significatifs sur les modes de vie alimentaires (junk-food) et qui voit advenir, aujourd’hui en période de crise, l’élévation, en qualité et donc en prix, de plats précisément supposés inférieurs (avènement de la “street-good“ avec les take-away et autres food-truck très qualitatifs). Les années 2000s sont bien parties pour être celles du recentrage sur le bon...

Cook it Yourself + Food and the Gang = The Future. Le bien-manger se situe très clairement au cœur des préoccupations des Parisiens. L’appréciation de la vérité du produit, voire de sa beauté, et de la logique de la taille humaine, parle d’elle-même. C’est aussi l’acte de faire qui attire. Dans une ville dans laquelle les métiers du tertiaire sont sur-représentés, l’envie de gestes plus manuels,

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l’attrait de l’artisanat new generation et la noblesse de la fabrique, en tant qu’acte de production,sont des éléments récurrents dans le discours développé par les personnes interrogées. Les Parisiens ont ainsi adopté le « Cook It Yourself » et au travers de sa large offre de lieux dans lesquels on apprend à cuisiner comme de ceux dans lesquels on s’équipe, Paris les y a aidés. Jusqu'à parfois envisager une reconversion. Les projets entrepreneuriaux dans ce domaine ne manquent pas. Leur forme en revanche évolue : crise oblige, on se lance moins facilement seul. C'est l'effet « Food & The Gang » : les « Sans Cuisine Fixe » parisiens se regroupent et montent des projets qui tendent de plus en plus vers le « coollaboratif » (Les Camionneuses, La République pâtissière…).

PARIS ARTY (extrait → analyse de tendances complète sur demande)

Le temps du « bouillonnement » : au travers de la profusion de son offre culturelle, la capitale éveille toujours la curiosité de ceux qui y vivent et de ceux qui la traversent, notamment grâce à ses institutions (grands musées et centres d’art), mais également en raison d’un élan d’initiatives récentes, parfois hybrides, souvent innovantes. A l’est de Paris particulièrement, galeries et ateliers pullulent, collectifs et quartiers s'organisent, et ce dans une démarche d’ouverture à double niveau : une ouverture au public tout d’abord, le rapport à l’art ne se limitant plus à la seule contemplation mais intégrant de l'action et des interactions (rencontres d’artistes, visites d’ateliers, fréquentation de lieux de co-création…). A l’image de ce qui se passe dans un univers comme celui de la gastronomie, l’envie de se frotter soi-même à l’acte de création est saillante et les Parisiens saluent ce nouveau rapport à la sphère culturelle, moins descendant, plus participatif.

L'Arty-Mixologie : le second niveau d’ouverture porte sur la nature des contenus et supports : les nouveaux espaces tendent toujours davantage au pluridisciplinaire et les collectifs jouent de la complémentarité des savoir-faire de chacun de leurs membres (cf. les membres de la Splendens Factory officiant en illustration / photographie / cinéma / entertainment). De plus en plus d’endroits “mixent” l’art et le shopping ou la cuisine (le récent café/galerie düo, la “maison d’édition” du Bon Marché…). Le Paris Arty contemporain semble ainsi décloisonner sciemment les univers et les Parisiens eux-mêmes en redemandent. Ils nous disent également y préférer avant tout la qualité à la profusion et souhaiter se concentrer sur l’authentique et l’expérience.

Art and the City : l'institution n’est plus un prérequis à la qualité intrinsèque d’une œuvre ; l'expérience culturelle parisienne se vit désormais de plus en plus hors les murs. Au-delà de leur bonne appréciation des « off » et « avant-premières », les Parisiens semblent

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en effet entretenir un rapport d’autant plus particulier à l'art que celui-ci s’intègre à leur quotidien : les parcours des Ateliers de Ménilmontant, les rues-galeries, les quartiers-éditeurs, les rencontres de figures intellectuelles possibles au détour d’une rue ou d’une terrasse figurent parmi les expériences les plus fréquemment citées... Et c'est de fait le rapport de chacun à l'art qui est bouleversé par cette même notion de proximité culturelle: les personnes interrogées nous racontent se promener, faire des courses, dîner entre amis, quand parfois une œuvre se présente à eux. En dehors de la sortie culturelle prévue et programmée, tout se passe donc également comme si l’art pouvait simplement émerger dans la vie des Parisiens et provoquer une parenthèse bienvenue. Après le Pop-Art et le Street-Art, l'avènement du « Stop-Art » ?

PARIS BY NIGHT (extrait → analyse de tendances complète sur demande)

La nuit parisienne se serait-elle réveillée ? Elle a, semble-t-il en tous cas, retrouvé un élan de vivacité, constaté par l’ensemble des professionnels comme par ses différents publics - et dont atteste une offre qui s’étoffe chaque jour (ou chaque nuit) un peu plus. Si elle plébiscite explicitement la Rive Droite, la carte du “Paris By Night” préféré des Parisiens témoigne surtout d’un paysage plus éclaté, d’une offre plus millimétrée, quasi microcosmique. Les pratiques évoluent également : “aller en boîte” est devenu “sortir en club” ; les noctambules se mettent en quête de lieux à taille humaine (les Queen, Duplex, Rex, Planches, VIP Room ne sont pas cités par les répondants). Les portes d’entrée évitent la grandiloquence, l’accès est souvent gratuit : « happy few » n’est désormais plus synonyme de VIP. Cette mutation vers une nuit en définitive sans doute moins «show-off» se retrouve également dans l’ADN des projets des “bandes” à succès (Baron, Splendens, Experimental), à savoir des lieux créés par un groupe d’amis... pour accueillir des groupes d'amis. At the end of the day comme disent les Anglo-saxons, tout se passe comme si le Parisien qui plébiscite massivement une fois par an la Nuit Blanche, partait également en quête chaque semaine de sa “Nuit Franche“, une nuit qui lui ressemble.

Noctambulisme nomade et partie de cache-cache à ville ouverte : dès lors que l’offre se multiplie en une myriade de petites portes d’entrée, le peuple de la nuit ne tient plus en place et Paris se fête par étapes, en picorant dans chaque quartier les ambiances complémentaires qui s’y trouvent : tournée des bars à Oberkampf, puis direction les clubs de SoPi avant de faire un saut sur les quais d’Austerlitz... Le Parisien, pour sa Nuit Franche, multiplie les expériences, souvent au cours d’une seule et même soirée, dans une grande partie de cache-cache avec le quotidien, multiple, collective, optimisée et pleine de rebondissements : on ne veut pas et on ne peut pas avoir le temps de s'ennuyer ! Le phénomène d’ouvertures multiples et répétées de nouveaux lieux répond à cette demande / recherche d’une capacité de choix multiples et variés que manifestent les Parisiens. Dans cette variété de la nuit parisienne,

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on constate ainsi l’émergence de deux dynamiques fortes et opposées : d’un côté, la multiplication et le succès de lieux “à ciel ouvert” (roof tops, quais, péniches - cf Le Perchoir) ; de l’autre, les lieux clos, voire cachés, avec des speakeasy inspirés par les bars clandestins américains du temps de la Prohibition.

La nuit, cet ailleurs qui doit rassurer : tout comme les lieux ont évolué, les manières de faire la fête également. Le désir de chercher pour danser un lieu à peine plus grand qu’un appartement, la préférence pour des projets « artisanaux » ou des clubs montés par des “bandes de potes”, l’émergence d’une offre ludico-régressive (le Ping-Pong, le Fantôme, la soirée EdBanger...) en sont des signes. Finalement, les Parisiens semblent demander à la nuit de les divertir tout en les ramenant à des cocons familiers (amis, maison, enfance) – c’est une nouvelle dynamique dans le cadre de la nuit à proprement parler mais elle rejoint des signaux déjà constatés il y a quelques années dans d’autres univers (pensons à la comfort- food et aux coquillettes-jambon à la carte de dizaines de restaurants et également servis dans des dîners d’enfants pourtant devenus (très) grands...). La nuit parisienne, restée ces dernières années en veilleuse, se doit peut-être, pour son grand retour, d’être une nuit bienveillante. C’est aussi ce que semble dire le mouvement pour l’élection d’un maire de la nuit à Paris: donner la parole aux noctambules ; harmoniser les rapports avec le voisinage ; rendre la nuit parisienne attentive à tous, pour tous…

PARIS SHOPPING (extrait → analyse de tendances complète sur demande)

Paris est un village : Paris bénéficie d’un effet village, unanimement apprécié par ses habitants. Sur le plan du shopping, c’est le “tout à proximité” et la capacité d'accès qui sont le plus souvent cités.Dans “leur” quartier, les Parisiens interagissent et nouent des liens : ceci est particulièrement vraie dans la relation entretenue avec les commerçants. Paris n’est pas une ville de commerces anonymes, mais bien une ville de commerces incarnés par “le petit fleuriste”, le boulanger ou le boucher du coin. La bienveillance mutuelle, dans la relation commerciale de proximité, n'a pas de prix pour les Parisiens qui apprécient le fait d’échapper à la sensation d’être un numéro comme un autre, et de sentir que la capitale peut aussi être une grande-petite-ville-de-province !

L'artisanat du commerce, ou le goût du bel ouvrage parisien : au quotidien, sont avant tout appréciés les lieux qui concentrent une énergie et une vitalité particulières comme les marchés ou les rues de bouche et les acteurs qui contribuent à réinventer leur métier au quotidien (Causses par exemple avec son enseigne La Fabrique). Le commerce de proximité est quelque

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chose de très important pour les Parisiens et les métiers de fleuriste et coiffeur/coiffeuse ressortent particulièrement dans leur discours : la dimension “esthétisante” de leur travail paraît résonner fortement à Paris, ville de beauté(s). De l’artisanat à l’art, il n’y a qu’un pas... Et ce pas semble difficile à franchir dans un centre commercial : le mall n'existe pas dans le référentiel des Parisiens. L'ouverture du Centre Beaugrenelle suscite d'ailleurs une curiosité intriguée. Côté grands magasins, les Galeries Lafayettes sont appréhendées dans leur dimension utilitariste quand le Bon Marché plaît tout autant qu’il intimide. La Samaritaine est un lieu dans lequel se concentre un imaginaire fort, principalement du fait de sa superbe passée et des incertitudes autour du devenir du bâtiment. Au final, on retient que l’acte d’achat idéalisé à Paris reste ultra-personnalisé.Le client parisien souhaite pouvoir compter sur un rapport humain, une relation privilégiée, une complicité : il ne s’agit pas seulement d’acheter - parfois, il s’agit d’ailleurs moins d’acheter que de vivre une expérience particulière.

La boutique-slash, concept-store des années 2010 : nous déconstruirons ici l'évolution du concept-store en 3 âges distincts. En phase 1, colette a naturellement dominé le marché pendant des années. Si le magasin reste une source d’inspiration pour de nombreux acteurs, il n’est pas cité spontanément par les personnes rencontrées. En proposant un espace de vie plus qu’un magasin Merci, en revanche, apparaît très clairement comme le point d’origine de la phase 2 du concept-store contemporain. Aujourd'hui, avec une adresse telle que The Broken Arm, on assiste à l’aboutissement d’un phénomène qui voit le magasin multi-marques élargir et concentrer son offre à la fois. Ces nouveaux lieux décompartimentent le shopping : mode, maison, alimentaire, librairie et autres beaux objets (élargissement), le tout autour d’un nombre de références très limité (concentration). C’est la boutique-slash, à savoir le magasin/restaurant/librairie/papetier/... et c’est également l’anti-Babou : dans ces magasins, il y a au final très peu de produits mais ceux-ci sont très bien mis en valeur. On se rend compte de nouveau que l’art du raffinement et de la délicatesse sied particulièrement à Paris... et d'autant plus qu'il s'avère porté par des personnalités très fortes, mi-commerçants, mi-créateurs. A l’image de ce qui se passe dans la gastronomie ou dans le domaine culturel, le collectif (“gang”) est ici aussi une tendance lourde (The Broken Arm monté par la bande du blog « Des jeunes gens modernes », Merci par la famille Cohen).

PARIS AS A TOURIST (extrait → analyse de tendances complète sur demande)

Entre l'intime et le magistral, le Parisien touriste voit double : le Paris préféré des touristes alterne entre le Paris de la proximité, de l’intime, et celui de la grandeur monumentale. Les Parisiens se déclarent souvent amoureux « comme au premier jour » de leur ville et continuent de porter un regard émerveillé d’éternels touristes sur la capitale. Les monuments parisiens (Notre-Dame, la

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Tour Eiffel…) semblent fonctionner comme des « monuments repères » pour eux. Ils participent à la création d’une « marque Paris » intemporelle au travers de leur force représentative plutôt que pour leur fréquentation à proprement parler : ils rassurent les Parisiens. Le fantasme des vacances à Paris (le Paris du mois d’août), ou encore le fait de pouvoir redevenir un touriste dans sa propre ville, à l’occasion de la visite d’amis, de famille, relèvent d’un « idéal retrouvé », d’un Paris de tous les possibles.

Paris-sur-Seine, Transformations du “Vivre Ensemble”: le Paris monumental cohabite donc avec le Paris-villages, de plus en plus central dans la vie des Parisiens. Plus intimiste, plus confidentiel, le Paris-villages relève davantage du relationnel, de l’intime et de la proximité. Sur ce terrain, une transformation sociale visible s’opère et se manifeste par le besoin de plus en plus présent chez les Parisiens de participer à la création d’une vie de quartier, d’un « vivre ensemble » via des initiatives qui « rassemblent ». Si le Paris monumental rassemble donc plutôt autour du passé, le Paris intime se tourne plus volontiers vers le futur et la volonté d’agir en mode collectif. Le parisien touriste assimile par ailleurs parfaitement la sociologie des arrondissements, zones communautaires et identitaires jalonnées de frontières invisibles qui structurent fortement l’espace urbain. Etre un touriste à Paris, c’est donc aussi se promener dans la société, tout simplement en changeant d’arrondissement : sortir d’une bouche de métro “en terre inconnue” et faire l’expérience d’une autre “tribu” pour quelques heures. Mais c’est aussi revendiquer une appartenance sociale et son attachement à un quartier d’origine parce que “je ne pourrais jamais vivre dans le 16ème ou... dans le 20ème !”.

Paris, Je t'aime moi non plus : la relation des Parisiens avec leur ville est complexe. S'ils continuent de s’émerveiller de leur ville et de la sublimer, les contraintes de temps, la pression, le manque de spontanéité dans les relations sociales font partie des critiques courantes adressées à la vie parisienne. Il semble qu'il y ait un prix à payer pour vivre à Paris et pourtant, malgré ce prix, la plupart des répondants ne quitteraient Paris pour rien au monde. Le Paris préféré, proche d’un Paris idéalisé ne s’avère pas toujours en phase avec l’expérience quotidienne de la ville.

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CONSTATS TRANSVERSAUX

La géographie du Paris préféré des parisiens évolue :

Première conclusion de l’étude : le rapport rive gauche - rive droite se transforme. Il apparaît clairement sur nos différentes cartographies que le nord de Paris attire davantage que le sud. Au nord, c’est le nord-est qui paraît « bouillonner » le plus quand au sud, le sud-ouest semble relativement moins attractif dès lors qu’il s’agit de sortir dîner (Foodie), danser (By Night) ou aiguiser sa curiosité (Arty / As a tourist). Une nouvelle géographie de la vitalité urbaine semble ainsi se dessiner dans un nord-est de Paris étendu allant du 18ème au nord du 12ème. Dans cette zone, à l’instar de ce que l’on voit à New York et à Londres par exemple, les quartiers se rebaptisent - comme s’il s’agissait de désigner un nouveau projet de quartier. SoPi (South Pigalle) est “né” il y a déjà quelques années, NoMo (North Montmartre) semble bien parti pour prendre la même voie. East Belleville ou MaBaCha (Marais-Bastille-Charonne) peuvent-ils exister demain ? La question est posée…

A cette géographie de la vitalité et de la créativité se superpose une géographie des plaisirs - souvent simples, parfois bruts. Ce deuxième niveau géographique est lié au bon : aux bons moments, aux bons produits, aux bons restaurants et parfois même aux bons sentiments. Il est plus diffus, recoupe différentes réalités de Paris et existe sur l’ensemble du territoire parisien bien qu’il semble là aussi plus marqué au nord.

Finalement, on s’aperçoit en croisant ces deux géographies que ce qui est le plus important aujourd’hui pour les Parisiens, ce sont probablement ces deux notions : le bon et l’énergie - quand hier imposait plus directement le beau et l’élégance, très largement assimilés à la rive gauche, elle-même justement peu présente dans le référentiel des Parisiens. C’est donc une transformation sociale importante à laquelle nous assistons : les valeurs et l’inspiration populaires sont de retour. De là à estimer qu’aujourd’hui, le populaire est devenu le nouveau “chic parisien”, il n’y a qu’un pas… Le recentrage sur l’essentiel vs l’existentiel semble quoi qu’il en soit manifeste.

Proximité et bienveillance au cœur d'une nouvelle esthétique parisienne :

Les Parisiens privilégient donc aujourd’hui une forme d’épure et de simplicité, que ce soit dans les lieux qu’ils fréquentent ou dans leurs relations sociales. Ce qui est ostentatoire a probablement moins de place dans leur cœur et ils se disent demandeurs de spontanéité.

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DOSSIER DE PRESSE - 19 novembre 2013

La notion de proximité est essentielle pour les Parisiens, avec pour corollaire l’importance manifeste de l’ancrage dans son propre quartier : que je m’appelle Sophie vivant rue Lepic depuis toujours, que je sois Inaki Aizpitarte, chef-entrepreneur propriétaire de plusieurs établissements avenue Parmentier, ou que, dirigeant le BHV, je décide de repositionner mon magasin et de le rebaptiser « BHV Marais », au final je suis ancré(e) dans mon quartier : avant d’être Parisien, j’appartiens à mon quartier autant qu’il m’appartient.

Dans ce cadre, les rapports humains sont beaucoup plus valorisés à Paris que dans d’autres capitales. Le fait que Paris reste une capitale à taille humaine est présenté comme inestimable par les Parisiens, exprimant ainsi leur besoin de relations personnalisées, à l’image de celles qu’ils nous ont racontées entretenir avec leurs commerçants. La reconnaissance, la chaleur, la complicité qui peuvent parfois naître de la proximité sont très valorisées à Paris. Et aujourd’hui, cet état de fait prend encore un nouveau virage avec l’entrée en scène de toutes ces mouvances collectives et « coollaboratives » que l’on voit émerger dans chacun des domaines étudiés. Les Parisiens sont peut-être aussi tout simplement un peu moins solitaires ; ils ont peut-être tout simplement davantage besoin et envie de se (re)trouver ensemble qu’avant.

Le « néo-Paris-By-Night » semble à ce titre bien représentatif de ces nouveaux comportements : une nuit moins show-off, « entre amis », dans laquelle on veut pouvoir se sentir bien... l’heure semble être à la bienveillance. Cette notion semble finalement drainer une nouvelle esthétique parisienne, sans doute moins orientée sur la forme que sur le fond, et qui s’accompagne d’une démarche de vérité (vérité du produit et de la consommation, des relations, de l’engagement…) : c’est tout à la fois les notions de « Good around the corner » et « Care around the corner » qui sont chères aux Parisiens en définitive.

Observations complémentaires...

=> Si l’effet du « Paris intime », voire intimiste, est incontestable, dans le même temps, tout ce qui est magistral continue d’émouvoir ou d’impressionner. En définitive, les Parisiens nous disent aimer l’infiniment petit (exemple : la place Sainte Marthe) mais ils restent attachés à un certain nombre de symboles parisiens beaucoup plus spectaculaires (exemple : la place de la Concorde).

=> Un autre élément significatif qui a retenu notre attention est lié à la prépondérance de la cuisine, en tant qu’acte de manger, dans les points d’attachement des répondants : très souvent, ce que choisissent de nous raconter les gens est intimement lié au repas, à la préparation des temps de repas (à la maison ou dehors) ou encore à la discussion ayant trait aux temps de repas. La tendance #foodlove est très clairement présente ailleurs qu’en France mais c’est peut-être à Paris qu’on en parle et qu’on y pense le plus. Le #foodtalk / #foodthought serait-il spécifiquement parisien ? A voir…

=> Au terme de cette étude, il nous semble de manière évidente que les Parisiens aiment Paris. Mais le rapport des Parisiens à leur ville peut être profondément contrasté, voire parfois contradictoire. Notons dans les éléments que regrettent le plus les Parisiens : le manque de nature, d’espace, de temps et d’improvisation. Finalement, Paris a peut-être aussi, pour ses habitants les défauts de ses qualités : sur la question de l’espace par exemple, c’est peut-être parce que Paris est une petite capitale plutôt concentrée que la dimension « VillageS » y est bien plus saillante qu’ailleurs (exemples : New York ou Berlin).

=> Dans ce même ordre d’idées, nous avons cherché à comprendre les « traits de caractère » sur lesquels Paris est moins spontanément identifiée vs d’autres villes internationales. Il apparaît que Paris semble d’une manière générale moins « débridée » que d’autres : l’énergie festive et la notion d’exutoire nocturne par exemple sont très peu associées à Paris alors qu’elles le sont à New York, Londres ou encore Istanbul. Les relations sociales, même si elles s’inscrivent dans un cadre d’authenticité et de sincérité réel, sont probablement plus structurées, peut-être plus conventionnelles qu’à Madrid par exemple, où la convivialité est citée spontanément comme « facteur de vie » n’ayant pas de prix. Les signes extérieurs et éléments de représentation de soi sont sans doute également plus contraignants à Paris qu’à Londres où n’importe qui peut devenir quelqu’un d’autre le temps d’une journée ou d’une soirée, s’il le souhaite…

=> Pour conclure, on émettra l’hypothèse suivante : si les Anglo-saxons semblent avoir gagné il y a bien longtemps la bataille du soft power, on pourrait estimer que Paris garde la main sur le « chic power » - le chic parisien ayant toutefois largement évolué, nous l’avons vu (transformation de l’esthétique, de la marque, du goût de Paris et donc du goût propre aux Parisiens intégrant un référentiel désormais plus populaire).

Contacts médias : Elodie Giraud / Camille Poulaillon / Donatienne Douriez [email protected] / [email protected] / [email protected] 09 03 91 18 / 06 88 54 77 02 / 01 42 73 81 23 9

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DOSSIER DE PRESSE - 19 novembre 2013

MasterCard France célèbre le premier anniversaire de Priceless Paris

Le 12 novembre 2012, Priceless Paris intégrait le programme Priceless Cities de MasterCard. Priceless®Paris est un programme d'offres et événements décliné du projet « Priceless®Cities », né à New York il y a presque 2 ans. Ouverte à tous les titulaires de cartes MasterCard émises en France, la plateforme est basée sur 6 univers liés à l’art de vivre et aux loisirs (gastronomie / musique et théâtre / musées et sorties / voyages et hôtels / sports et bien-être / shopping). Elle compte désormais une communauté de 100.000 membres inscrits. Conçue pour se renouveler en permanence au travers de la mise en ligne de nombreuses nouvelles offres chaque mois, elle donne accès depuis peu aux expériences développées à l'international dans les villes membres du réseau « Priceless Cities ».

« Nous sommes très heureux d'avoir pu construire, depuis un an, une proposition parlante pour les Parisiens de naissance, d'adoption ou de passage. Grâce à des partenariats de qualité, nous avons créé ou co-créé, ces derniers mois, de nouvelles initiatives innovantes comme les Priceless Soupers (en collaboration avec le Guide Fooding) ou encore un certain nombre d'accès aux coulisses ou avant-premières de grands rendez-vous parisiens, que ce soit avec la Mairie de Paris ou encore avec la Fédération Française de Tennis dans le cadre de Roland Garros, par exemple. Sur chaque expérience développée, nous faisons en sorte d'apporter un petit supplément d'âme qui réponde aux besoins et envies des consommateurs. C'est dans cette optique que nous conduisons régulièrement des travaux de recherche comme l'étude « Le Paris préféré des Parisiens » qui nous permettent d'être au plus près de leurs attentes. Notre enjeu est d'allier à la fois une dimension très contemporaine et un effet de surprise qui, associés, produisent l'effet « priceless » que nous souhaitons proposer à nos clients. », déclare Laurent Mathis, Directeur Marketing, MasterCard France.

Quelques partenaires du programme Priceless Paris :

Le Guide Fooding, La Mairie de Paris, Roland Garros, Printemps, L'Opéra national de Paris, Champagne Laurent-Perrier, Le Théâtre du Châtelet, Hélène Darroze, Comptoir de l'Homme, Cultival, Le Shangri-La

Hotel Paris, l'Hôtel O, Le Théâtre du Rond Point, 4 roues sous 1 parapluie, Groupe Cityvision...

Pour plus d’informations, consultez le site http://www.priceless.com/paris/. http://facebook.com/MasterCardFrance

http://twitter.com/MasterCardFR #PricelessParis

Méthodologie de l’étude “Le Paris priceless, Le Paris préféré des Parisiens” : De juin à octobre, à l’initiative de MasterCard France, happycurious a conçu et mis en oeuvre un dispositif méthodologique construit sur des conversations individuelles et collectives avec 45 Parisiens, natifs et non-natifs de Paris, ayant vécu, ou pas, ailleurs qu’à Paris dans le passé. Il a été donné rendez-vous à ces personnes dans Paris, pour parler de Paris et de lieux / endroits / moments vécus dans la ville qui, à leur yeux, n’ont pas de prix. La représentativité de l’échantillon en termes de genre, d’âges et de catégories socio-professionnelles a été respectée. La recrutement s’est opéré sur la base de l’expression d’un intérêt par rapport au sujet : les personnes rencontrées se sont déclarées inspirées par le sujet. Le dispositif qualitatif a été appuyé par une démarche quantitative basée sur un questionnement instruit auprès d'un échantillon représentatif de 400 Parisiens (au prorata de la population totale de chacun des 20 arrondissements de Paris). Les appels ont été effectués du lundi 28 octobre au samedi 2 novembre inclus, principalement entre 18h30 et 21h00 et le samedi toute la journée.

Pour consulter le rapport d’études complet, n’hésitez pas à contacter le cabinet happycurious : Elodie Giraud / 06 09 03 91 18 / [email protected]

A propos de MasterCard :MasterCard (NYSE: MA), www.mastercard.com, est une société technologique dans l’industrie mondiale des paiements. Nous exploitons le réseau de paiement le plus rapide au monde et tissons des liens entre consommateurs, institutions financières, commerçants, autorités publiques et entreprises dans plus de 210 pays. Les produits et services MasterCard favorisent les activités commerciales au quotidien - telles que le shopping, les voyages, la gestion d’une entreprise et de ses finances – de manière plus simple, plus sûre et plus efficace pour tous. Vous pouvez nous suivre sur Twitter : @MasterCardNews, vous joindre à la discussion sur le Cashless Conversations Blog et vous abonner pour recevoir les dernières nouvelles de l’Engagement Bureau.

L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.

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