Upload
others
View
5
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
Dossier de presse
Février 2011
Contacts presse :
Marie-Amélie Roguet Cohn & Wolfe
37, rue de Bellefond Tél : + 33 1 49 70 43 55
Fax : +33 1 49 70 44 03 Email : [email protected]
1
SOMMAIRE
I - Actualité de la profession 1. Collecte des meubles en fin de vie : l’engagement concret de la profession reconnu par les
pouvoirs publics
2. Les pouvoirs publics commencent à reconnaître l’iniquité pour l’ameublement des fiscalités assises sur la surface commerciale
3. Protection des consommateurs et réputation de la profession : une charte des bonnes
pratiques vers les consommateurs de meubles sur le web programmée courant 2011 II - La profession continue d’embaucher et affiche une politique sociale volontariste 1. La distribution d’ameublement et d’équipement de la maison : des effectifs salariés
significatifs
2. Près de 18 000 embauches au cours du dernier exercice !
3. Une très nette prédominance de PME familiales
4. Une politique sociale volontariste 5. Quelques chiffres III - Résultats 2010- Perspectives 2011
1. 2010 : année de reprise au prix d’efforts accrus
Faits marquants Des performances contrastées en termes de produits Et de circuits de distribution
2. Les perspectives 2011 IV – La FNAEM, fiche d’identité
1. Une organisation professionnelle nationale unique à forte représentativité
2. Trois missions :
L'animation économique et l'information L'activité sociale et juridique La représentation de la profession auprès de ses interlocuteurs principaux
Annexes :
Enseignes adhérentes Partenaires FNAEM Conseils aux consommateurs
2
I – Actualité de la profession
1. Collecte des meubles en fin de vie : l’engagement concret de la profession reconnu par les pouvoirs publics
Vers une mise en place effective de l’éco-filière meuble dès 2012 Depuis 2008, la profession soutient activement la mise en place d’une filière de collecte, tri et recyclage des meubles en fin de vie, estimant que la mise en place d’une telle filière pourrait constituer un réel service aux consommateurs et donc un axe de développement majeur du marché. Dans cet esprit, la Fédération a manifesté un réel volontarisme au cours des douze derniers mois en participant activement avec ses enseignes adhérentes aux études préliminaires à la création de l’éco-filière meubles. Cet engagement volontariste a été publiquement salué par l’ensemble des parties prenantes à ce dossier (associations de collectivités locales, ADEME, Ministère de l’environnement). Les premiers résultats de ces études préliminaires permettent d’ores et déjà de cerner les préalables à prendre en compte pour une mise en place effective et un réel service aux consommateurs. Pour un réel service aux consommateurs à compter de 2012 Pour être pleinement efficace, la future éco-filière devra permettre :
Aux consommateurs de meubles de déposer ou faire déposer leurs vieux meubles dans des points de collecte situés à proximité de leur domicile ou des magasins, ou de le conserver s’il le souhaitent ! (cf étude IPEA mai 2010 confirmant que 47% des acheteurs de meubles interrogés déclarent avoir réutilisé ou donné leurs anciens meubles),
Aux associations de réinsertion par le réemploi des vieux meubles de disposer de source d’approvisionnement de qualité,
Aux collectivités locales et autres acteurs de la collecte d’orienter les vieux meubles collectés vers des filières de recyclage (panneaux, literie), ou l’incinération, en évitant le plus possible l’enfouissement en décharges.
Cet important chapitre est à ajouter à la liste déjà longue des actions concrètes engagées par la profession en faveur de la protection de l’environnement et de la santé des consommateurs (recommandation sur la certification des bois en 2004, code de bonne conduite sur la sécurité générale des produits en 2005).
3
2. Les pouvoirs publics commencent à reconnaître l’iniquité des fiscalités assises sur la surface commerciale, au détriment de l’ameublement
La multiplication de nouvelles fiscalités locales assises sur la surface…
Au cours des deux dernières années, la modernisation du système fiscal français s’est traduite par la création de plusieurs fiscalités locales dont les barèmes sont assis sur la surface des magasins. Au cas déjà ancien de la TACA (taxe d’aide au commerce et à l’artisanat devenue TASCOM) sont ainsi venus s’ajouter la TLPE (taxe locale sur les publicités extérieures) puis plus récemment la taxe locale pour la gestion des eaux pluviales. …Pénalise la distribution d’ameublement Dès lors qu’il est directement ou indirectement assis sur la notion de surface, le barème de ces taxes pénalise la distribution d’ameublement. La profession a en effet besoin d’importantes surfaces, proportionnelles à la taille et à la nature des produits d’ameublement, et de surfaces non pas de vente mais d’exposition (les meubles étant soit emportés à partir d’entrepôts distincts, soit livrés après commande). On estime ainsi que pour réaliser un chiffre d’affaires équivalent à celui d’une surface alimentaire, un magasin de meubles a besoin de 6 à 7 fois plus de surface ! …Et conduit les pouvoirs publics à considérer cette iniquité devant l’impôt
Sollicités depuis début 2010 par la profession, les pouvoirs publics ont commencé de reconnaître cette iniquité devant l’impôt. Après avoir confirmé la réduction de taux de 30% dont bénéficie notre profession au titre de la TASCOM depuis de nombreuses années en raison de ses importants besoins en surface d’exposition, l’Assemblée Nationale et le gouvernement ont fait voté une disposition visant à accorder une réduction équivalente de la TLPE pour les mêmes raisons. Le Sénat reste à convaincre de cette mesure. Cette action de restauration de l’équité fiscale constitue donc une priorité pour la profession dès début 2011.
4
3. Protection des consommateurs et réputation de la profession : une charte des bonnes pratiques vers les consommateurs de meubles sur le web prévue courant 2011 La profession est engagée depuis plusieurs années aux côtés de la DGCCRF et d’associations de consommateurs pour la protection des consommateurs et la lutte contre les pratiques irrespectueuses de publicité trompeuse, au nom de la défense de sa réputation. Dans le contexte actuel de crise et de forte attente des consommateurs en termes de prix, une recrudescence de ces pratiques de fausses remises calculées à partir de prix artificiellement gonflés est constatée : - en régions où plusieurs dizaines de points de ventes nomades (car installés pour quelques semaines seulement) sont simultanément actifs dans toutes la France, - sur le web, où de nombreux sites souvent basés à l’étranger multiplient les enfreintes aux règles précises d’affichage des produits (composition, dimensions etc) et de prix. Des milliers de consommateurs sont ainsi actuellement trompés sans possibilité de réparation ! Toute la profession est donc engagée dans des actions contre ces pratiques irrespectueuses des consommateurs, visant à :
l’établissement en cours d’une charte des bonnes pratiques de ventes de meubles sur le web, à laquelle pourront souscrire les sites de vente en ligne dès mi 2011, afin de garantir le respect des règles sécurisant l’achat de meubles,
des actions de conseils aux consommateurs à titre préventif (cf. annexe « Mise en garde aux acheteurs de meubles »),
des poursuites sous forme de constitutions de partie civile aux côtés des DDCSPP (Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations), des consommateurs et de leurs associations. En 2010, la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation a de nouveau confirmé par arrêt du 1er juin 2010 n°09-84780, le délit de publicité trompeuse.
*Les CANI sont des pratiques qui consistent à vendre au consommateur attiré par des cadeaux à retirer dans le magasin, de fausses remises à partir de prix artificiellement majorés.
5
II – La profession continue d’embaucher et affiche une politique sociale volontariste
Pour la première fois, les commerces d’ameublement et tapis moquette régis par la convention collective gérée par la FNAEM ont été dénombrés par les soins d’un cabinet indépendant. De nombreuses données sociales jusqu’à présent jamais calculées ou consolidées sont désormais disponibles. Ces données confirment l’importance sociale du secteur, sa dispersion entre de multiples PME et sa capacité constante à créer des emplois. La FNAEM est représentative de ces différents métiers, avec la présence dans ses rangs des principales enseignes du négoce spécialisé (Saint Maclou, Mondial Moquette, Keria Luminaire…) et de négociants indépendants.
1. La distribution d’ameublement et d’équipement de la maison : des effectifs salariés significatifs
Les 6 450 entreprises de distribution d’ameublement, luminaires et tapis moquettes emploient 65 150 salariés dans 8 750 établissements (données 2009 les plus récentes), répartis de la façon suivante :
Meubles : 5 940 entreprises, 7 450 établissements, 58 950 salariés Tapis-Moquettes-Luminaires : 510 entreprises, 1 300 établissements, 6 200
salariés
Si on considère également les effectifs salariés de la fabrication d’ameublement relevant de la convention collective gérée par l’UNIFA (Union des Industries Françaises de l’Ameublement), ce sont plus de 128 000 salariés qui sont donc ainsi employés dans la filière.
Répartition des 6.450 entreprises employant au moins un salarié selon les
métiers (source INSEE)
6
Répartition des 8 750 établissements employant au moins un salarié selon
les régions (source UNEDIC)
2. Près de 18 000 embauches au cours du dernier exercice !
Rien que pour l’ameublement, les effectifs ont ainsi crû de 15,9% de 2000 à 2009, passant de 50 800 à 58 962 salariés sur cette période (source UNEDIC).
En 2009, le secteur a embauché 17 900 personnes, dont près de 5 000 en CDI. Ces embauches sont essentiellement liées aux ouvertures de grandes surfaces de vente à emporter et aux créations de petits magasins spécialistes de l’agencement, de la cuisine, et de la literie.
7
Le secteur confirme ainsi ses capacités de recrutement de profils variés : vendeurs, livreurs, poseurs, logisticiens, informaticiens, spécialistes du marketing, du merchandising, décorateurs etc. Les créations d’emplois induites chez les sous traitants et partenaires de la distribution, notamment en logistique, livraison, pose, installation ; activités de plus en plus souvent confiées à des entreprises extérieures, sont aussi à prendre en compte. Tous ces emplois présentent l’avantage d’être non délocalisables. 3. Une très nette prédominance de PME familiales 86,5% des entreprises du secteur emploient moins de 10 salariés, seules 1% d’entre elles en employant plus de 50. Sur les 7 450 établissements du secteur meubles, moins de 1 000 sont des succursales, les 6500 autres étant des PME familiales, quelle que soit leur enseigne et leur positionnement sur le marché, y compris en vente à apporter. La très nette prédominance de PME est confirmée. 4. Une politique sociale volontariste Consciente des efforts à déployer pour recruter, former et fidéliser sa population salariée, la profession a engagé une politique sociale volontariste ; laquelle s’est traduite au cours des 12 derniers mois par la signature de 7 accords de branche avec les partenaires sociaux : - accord sur les salaires (18 février 2010) - accord sur l’égalité professionnelle entre hommes et femmes (9 avril 2010) - avenant modifiant la base de rémunération à prendre en compte pour le calcul du maintien de salaire par l’employeur en cas de maladie des salariés (1er juillet 2010) - accord sur le fonctionnement et le financement du paritarisme (21 septembre 2010) - avenant relatif à la mutualisation de la portabilité de la prévoyance (25 novembre 2010) - accord relatif à la négociation dans les entreprises dépourvues de délégués syndicaux (25 novembre 2010) - avenant relatif à l’amélioration du dialogue social dans les entreprises de la branche (22 décembre 2010) La distribution d’ameublement figure désormais parmi les branches du négoce les plus proactives en termes de signatures d’accords sociaux. Elle offre ainsi aux jeunes diplômés intéressés par le secteur de l’ameublement/décoration des conditions de travail attractives et de réelles perspectives d’évolution. 5. Quelques chiffres
56% d’hommes, 44% de femmes
95% des salariés employés sous CDI 86% des salariés à temps complet
39 ans d’âge moyen 9,5 ans d’ancienneté moyenne
8
III – Résultats 2010 - Perspectives 2011
1. 2010 : année de reprise au prix d’efforts accrus Le marché du meuble français a progressé de 2,7% en valeur, à surfaces évolutives et en euros courants, pour atteindre 9,6 milliards d’euros TTC. L’année 2010 aura été marquée par :
La reprise de l’immobilier ; un décalage croissant entre permis de construire et construction, mais une reprise des achats favorisée par des taux d’intérêt bas et un budget annuel moyen d’un propriétaire double de celui d’un locataire (1200€ contre 700€)
La disparition progressive de la prime automobile qui avait clairement orienté les arbitrages des ménages en faveur de ce secteur en 2009. Les ménages français ont pu de nouveau se permettre d’investir dans le renouvellement de leur canapé ou dans l’achat d’une cuisine intégrée, par exemple. La réduction des avantages fiscaux liés aux investissements dans le domaine des énergies renouvelables a également contribué à une réorientation des dépenses des ménages vers les produits d’ameublement.
La stagnation durable de la fréquentation des magasins de meubles tout au long de l’année et dans tous les circuits de distribution. L’évolution de plus en plus erratique et imprévisible de cette fréquentation, accentuée par les aléas climatiques et sociaux. Le succès des soldes de juillet a « boosté » le poids de ce mois dans les ventes annuelles à 9,2%, ce qui le place en deuxième position après le mois de janvier à 10,2%.
Une baisse des prix des principaux produits d’appels dans la Grande Distribution de l’Ameublement favorisant ainsi l’accès au marché pour un nombre croissant de ménages en situation budgétaire difficile ; mais avec des effets induits parfois constatés (frein à l’achat de biens plus chers par modification des prix psychologiques).
2010 a marqué une baisse des paniers moyens dans la Grande distribution d’Ameublement et chez les Spécialistes Cuisine alors qu’ils ont légèrement progressé chez les Spécialistes Salon, Literie et dans l’ameublement milieu et haut de gamme.
Avec 9,6 milliards d’euros, le marché du meuble domestique français renoue avec la croissance brièvement interrompue en 2009 et tend de nouveau vers ses plus hauts niveaux depuis les dix dernières années.
9
La consommation de meubles (en milliards d’euros courants TTC)
8,63
9,13
9,63
9,27
8,87
8,52
8,52
8,52
8,528,34
8,728,81
9,07 9,15
8,67
8,31
8,578,78
9,01
9,67 9,65
9,35
9,59
7,5
8
8,5
9
9,5
10
Consommation de meubles (en milliards d'euros TTC)
Source : IPEA
Des performances contrastées en termes de produits … C’est à nouveau la cuisine intégrée qui a porté le marché en 2010 laissant derrière elle la literie et les meubles de salle de bains qui présentent des résultats légèrement meilleurs que la tendance globale des ventes de meubles. Toujours positifs tout de même, mais en deçà de la moyenne, les meubles meublants et les meubles de jardin affichent une progression inférieure à 2%. Quant aux canapés et fauteuils, l’année 2010 marquera une stagnation de leurs ventes en valeur après une année 2009 à – 6%.
Evolution en valeur – milliards d’euros courants
2010 Evolution
2010/2009
Structure du
marché 2010
Meuble meublant 3,360 +1,6 % 35,0 %
Siège rembourré 2,420 +0,4 % 25,2 %
Meuble de cuisine 2,286 +6,7 % 23,8 %
Literie 1,114 +3,1 % 11,6 %
Meuble de salle de bains 0,279 +2,9 % 2,9 %
Meuble de jardin 0,136 +1,8 % 1,4 %
Total 9,595 +2,7 % 100 % Source : IPEA
Et de circuits de distribution
2010 aura été l’année des spécialistes avec les résultats affichés par les spécialistes cuisine mais aussi salon et literie. Après des années de repositionnement, le dynamisme des enseignes de l’équipement du foyer surprend tous les acteurs du marché en réalisant des progressions supérieures au Jeune Habitat qui stabilise des positions conquises ces 15 dernières années avec des croissances à deux chiffres.
10
Circuits de distribution Part de marché Chiffre d'affaires en
millions d’euros
Evolution 2009/2010
Equipement du Foyer 25,8% 2473 +5,5 %
Jeune Habitat 22,6% 2164 +1,6 %
Ameublement milieu de gamme (1) 12,5 % 1196 - 2,4%
Spécialistes Cuisine 10,6% 1019 +6,6 %
Ameublement Haut de gamme 4,3% 413 +2,7 %
Artisans 4,1 % 394 +3,8 %
Spécialistes Salon 2,3% 219 +4,1 %
Autres magasins spécialisés (2) 4,8 % 460 -1,0 %
Total circuits spécialisés 87,0 % 8338 +2,8 %
Vente à distance 4,3 % 416 +4,5 %
Grande Surface de Bricolage 3,9 % 375 +1,3 %
Hypermarchés 1,4 % 130 +0,1 %
Grands Magasins 0,6 % 57 -0,2 %
Autres circuits non spécialisés (3) 2,8 % 279 -0,3 %
Total circuits non spécialisés 13,0% 1257 +1,8 %
TOTAL 100% 9595 +2,7 %
Source : IPEA
(1) Spécialistes ameublement et petits généralistes
(2) Spécialistes literie, meubles anglais, placard
(3) Quincailleries, solderies, boutiques de décoration, magasins corporatifs
2. Les perspectives 2011
La fin de la prime à la casse et la reprise de l’immobilier devraient donner un nouveau souffle au marché du meuble qui voit des intentions d’achat orientées à la hausse pour 2011. Restons tout de même vigilant car les efforts déployés en 2010 pour maintenir voire développer l’activité rendront encore plus difficiles les actions à mener en 2011 pour faire aussi bien ! Intentions d’achat des ménages français pour 2011
2011 2010 2009 Evol en pt 2011
Meuble meublant 17,3% 15,8% 18,1% + 1,5
Canapé fauteuil 16,0% 14,1% 12,2% + 1,9
Cuisine 3,8% 3% 3,6% + 0,8
Literie 14,5% 12,8% 12,6% + 1,7
Total Meubles 28,8% 27,3% 26,1% + 1,5 Source : IPEA
11
III - La FNAEM, fiche d’identité
Dans un contexte de vive concurrence, d’internationalisation croissante des réseaux de distribution et de concentration des acteurs, la FNAEM accompagne la profession et ses entreprises en veillant également à mener des actions et des politiques favorables au consommateur.
1. Une organisation professionnelle nationale unique à forte représentativité
La Fédération française du négoce de l'ameublement et de l'équipement de la maison est depuis 2002 l’unique organisation professionnelle représentant au niveau national la branche du négoce de l'ameublement. La FNAEM représente 2400 points de vente répartis sur l’ensemble du territoire national, soit environ 75% du marché national. Fort de cette représentativité couvrant tous les types de distribution (du négoce indépendant à la grande distribution succursaliste), la FNAEM constitue l’organisation de référence des distributeurs de meubles et de produits d’équipement de la maison. Sous l’autorité de son Conseil d’Administration, présidé par M. Didier Baumgarten, elle représente et coordonne les intérêts de ses adhérents auprès des pouvoirs publics et des consommateurs aux échelons régionaux, nationaux et européens. Elle agit dans trois domaines précis.
2. Trois missions
L'animation économique et l'information o Via sa publication mensuelle « La Lettre de la FNAEM » et l’extranet de son site
www.fnaem.fr, la FNAEM tient ses adhérents en permanence informés des évolutions des réglementations fiscales, commerciales et économiques.
o Elle représente les distributeurs au sein de l’IPEA (Institut d’Etude et de Promotion de l’Ameublement), en charge des données statistiques du marché.
o Par un cycle régulier de réunions, elle informe ses adhérents sur les principaux sujets économico-juridiques qui les intéressent (publicité à la télévision, développement durable…).
L'activité sociale et juridique o La Fédération négocie avec les partenaires sociaux la convention collective, les accords
salariaux, la politique de formation et tous les accords de branches nécessaires. o Ses adhérents disposent en outre de l'appui permanent d'un service juridique spécialisé en
droit social.
La représentation de la profession auprès de ses interlocuteurs principaux o Au plan local : la FNAEM encourage ses 32 Chambres régionales et départementales, qui
maillent la totalité du territoire national, à entretenir des relations régulières avec les représentants de l'Administration (DGCCRF…), des collectivités locales et avec tous les partenaires économiques, politiques et sociaux de la profession.
o Au plan national : la FNAEM entretient des relations constantes avec les ministères compétents (économie, finances, consommation, entreprise, développement durable, emploi) et l'ensemble des administrations centrales ayant à connaître la profession.
12
ENSEIGNES ADHERENTES
PARTENAIRES FNAEM
13