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DOSSIER DE PRESSE LES PETITS MAÎTRES ET LA SEINE-MARITIME (1850-1980) Georges A. Cyr : La Plage à Fécamp 01.07 15.11 _ 2020 Tous les jours de 14h à 18h

DOSSIER DE PRESSE - Le Jardin des Sculptures · 2020. 8. 3. · l’égide du paysage normand au Jardin des sculptures, Château de Bois-Guilbert. Dès le 11 juillet, l’exposition

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DOSSIER DE PRESSE

LES PETITS MAÎTRESET LA SEINE-MARITIME

(1850-1980)

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01.0715.11 _ 2020

Tous les jours de 14h à 18h

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SOMMAIRE

• LES PETITS MAÎTRES ET LA SEINE-MARITIME (1850-1980) • PRÉSENTATION DE L’EXPOSITION

• LES PETITS MAÎTRES • DES ARTISTES TÉMOINS DE LEUR ÉPOQUE

• LE FESTIVAL NORMANDIE IMPRESSIONISTE, 4e ÉDITION • LA COULEUR AU JOUR LE JOUR

• LE JARDIN DES SCULPTURES, CHÂTEAU DE BOIS-GUILBERT • CRÉATION ET HISTOIRE D’UN VASTE ESPACE DE POÉSIE

• INFORMATIONS PRATIQUES

• LABELS ET PARTENARIATS

• SÉLECTION D’ŒUVRES PRÉSENTÉES

Les petits maîtreset la Seine-Maritime1850-1980

Le Jardin des sculpturesCHÂTEAU DE BOIS-GUILBERT

lejardindessculptures.com

Georges Cyr la plage de Fécamp 1929Commissaire d’exposition : Michel Prigent

NORMANDIE Tous les joursde 14h à 18h

01.0715.11�—

2020

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PRÉSENTATION DE L'EXPOSITION

LES PETITS MAÎTRES ET LA SEINE-MARITIME (1850-1980)

Riche de ses villes anciennes et animées, de ses campagnes vertes, de son littoral unique, aux falaises de craie, aux valleuses et aux ports à l’histoire séculaire, la Seine-Maritime est aussi un département emblématique, attirant pour les artistes et écrivains.

De longue date, les plus grands peintres sont venus ici chercher l’inspiration et ont planté leur chevalet pour restituer les couleurs changeantes, les reflets de la Seine, de la Manche et l’emblématique luminosité de la côte d’Albâtre. La Normandie n’est pas devenue par hasard le berceau de l’impressionnisme. C’est la con-

jonction de cette lumière d’exception et des peintres formés ici, de Rouen au Havre, qui a permis une telle éclosion de talents multiples depuis un siècle et demi.

Ainsi, derrière les grandes célébrités emblématiques de l’impressionnisme, les petits maîtres, qui furent leurs amis et proches pour certains, ont eu leurs aînés pour modèles. A Rouen, les élèves de l’AcadémieDelattre et ceux qui ont suivi l’enseignement de l’école des beaux-arts, notamment du maître Zacharie, sont devenus les meilleurs illustrateurs de leur ville et du département, par leur talent et leur amour des lieux.

Déjà, au XIXe siècle, Eugène Berthelon était remarqué dans les salons pour ses marines au Tréport. Puis, Antoine Pinchon, Joseph Delattre, Maurice Louvrier,

Pierre Dumont, Marcel Couchaux et Narcisse Guilbert ont été les meilleurs ambassadeurs de la capitale normande. Ils ont été suivis par Georges Cyr, Léonard Bordes, Pierre Le Trividic, Aline Le Mouton , Alfred Dunet, Magdeleine Hue, et combien d’autres.

Tous ces peintres se sont évadés de la ville pour aller chercher avec bonheur l’inspiration dans les campagnes du Pays de Caux, dans les forêts et sur la côte.Dieppe, Fécamp, Diélette, Veules-les-Roses, Etretat, n’avaient pas de secrets pour eux. Gaston Sébire,Jef Friboulet, Roger Tolmer, Jean Bréant, Lionel Vergetas, Frank Innocent, n’ont eu de cesse de réinterpréter, chacun avec son style, les lumières, les contrastes et les reflets de leur département.Le but de cet événement est donc là : montrer les qualités de ces petits maîtres régionaux, pétris de ce talent forgé sur place, entre Rouen, Le Havre et Le Tréport .

Faisons abstraction des signatures les plus connues et des valeurs établies par le marché de l’art. Prenons le temps d’observer les œuvres, avec l’objectivité d’un regard neuf, uniquement concentré sur les compositions, la palette, le dessin… donc sur l’émotion suscitée par le talent et la sensibilité de ces artistes, autrement dit, ces « petits maîtres » qui nous sont si chers.

Parallèlement, du 11 juillet au 12 septembre, une autre exposition de cent peintures est présentée à la Grange aux Dîmes de Ouistreham-Riva-Bella : « les petits maîtres et la Seine 1830-1980 ». Vous êtes donc invités à visiter cette manifestation complémentaire pour y découvrir les œuvres inspirées par le fleuve, de la Seine-et-Marne au Havre. Ouvert les mardi, samedi et dimanche de 10h à 12h30 et de 14h à 18h, les mercredi, jeudi et vendredi de 14h à 18h. Fermé le lundi. Gratuit aux Ouistrehamais et aux mineurs, entrée 5€. Catalogue : 92 pages, 180 photos 15€.

Pour ces deux expositions, les œuvres présentées sont exclusivement issues de collections privées. Elles n’ont jamais été montrées depuis plus de trente ans après avoir été prêtées, pour certaines, à des grands musées, pour des expositions. On retrouve des tableaux de ces peintres dans les plus grands musées parisiens et de Normandie.

Le Jardin des sculptures, Château de Bois-Guilbert, du 1er juillet au 15 novembrewww.lejardindessculptures.com

Léonard Bordes : Port de Fécamp, la nuit

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DES ARTISTES TÉMOINS DE LEUR RÉGION ET DE LEUR TEMPS

LES PETITS MAÎTRES

Les peintres exposés au château de Bois-Guilbert, ont été inspirés par la Normandie et ici leurs tableaux peints en Seine-Maritime. Certains de ces « petits » Maîtres sont reconnus, comme les artistes Joseph Delattre et Robert-Antoine Pinchon. D’autres sont perçus comme des maîtres régionaux de l’École de Rouen qui s’est imposée face à l’École de Paris par la variété de son identité picturale.

Sous les pinceaux de ses artistes, la ville de Rouen revêt de multiples visages. Tantôt délicat dans les nuances subtiles d’Alfred Dunet, tantôt énergique avec les couleurs puissantes de Pierre Dumont ou Narcisse Guilbert, ou encore expressif à travers la sensibilité de Magdeleine Hue. Rouen est alors plurielle par ses paysages urbains animés, ses dédales de rues atypiques et sa Cathédrale majestueuse.

Mais la Normandie ne se limite pas qu’à la ville de Rouen. Ainsi Émile Othon Friesz affine les natures mortes et paysages aux traits fluides quand Maurice Louvrier capture des campagnes aux teintes vrombissantes. De son côté, Gaston Sébire travaille bien plus tard la matérialité végétale et minérale à la manière de Bernard Buffet.

La Seine-Maritime, fidèle à son nom, est aussi l’eau qui s’écoule : bord de Seine, ports, ressac salés et plages animées. Les compositions novatrices de Pierre Le Trividic à la Chaïm Soutine font honneur au mouvement des vagues, mais aussi aux courbes des falaises ou au balancement des chalutiers. Avec sa palette chromatique audacieuse, Georges Cyr retranscrit la vie des bords de mer, alors que Léonard Bordes révèle paisiblement les lumières dansantes sur les miroitements d’un port nocturne.

Uniques par leurs identités picturales individuelles, les artistes de l’École de Rouen se rejoignent sousl’égide du paysage normand au Jardin des sculptures, Château de Bois-Guilbert.

Dès le 11 juillet, l’exposition « Les petits maîtres et la Seine-Maritime, couleurs et reflets » (1830-1980) à la Grange aux Dîmes de Ouistreham permettra de monter des œuvres d’autres artistes :Marie Mela Muter, Bernard Boutet de Monvel, Armand Guillaumin, Louis Antral, Tim Arminton, Jules Cornillier, Phidias, puis de René Sautin, Joseph Delattre et Henry Ottmann.

Pierre Le Trividic : Falaises les Petites Dalles 1931

Pierre Dumont : Cathédrale de Rouen

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PRÉSENTATION DE PLUSIEURS DE CES ARTISTES

Pierre Le Trividic (1898-1960) est un des peintres emblématiques de l’école de Rouen. Formé aux beaux-arts de sa ville, il fait des études d’architecture et accumule tous les prix.Artiste doué de grandes facultés, il maîtrise aussi bien la peinture à l’huile que l’aquarelle, le dessin, le pastel, la sanguine, les caricatures et l’illustration de livres, notamment d’Alphonse Allais et de Jean de La Varende.Cet artiste complet, ami de Léonard Bordes, a eu une production importante et variée. Son talent est multiple et fut reconnu par les amateurs d’art de la région, des commandes publiques, la décoration du cargo « Le Rouennais ».Observateur inlassable de sa ville, chroniqueur, illustrateur, Pierre Le Trividic croque sa ville, les vieilles rues, les spectacles au théâtre, les ballets, les tragédies. Il fait, en 1932, la croisière arctique et montre là encore toute l’étendue de son talent. L’illustration du livre « Oceanic Bar » d’André Renaudin en est un autre exemple. Le Trividic, c’est aussi le dessinateur qui caricature et brosse les scènes de tribunal pour La Dépêche de Rouen, le peintre qui sait traduire l’atmosphère effervescente du port de Rouen, le paysagiste maître des nuances et des reflets. Il est également un peintre de nus remarquable, grâce à un trait toujours sûr et à une pratique du dessin sans faille.

LES PETITS MAÎTRES

Gaston Sébire (1920-2001) est étroitement lié à la Normandie et à Paris, c’est un peintre complet, honoré et reconnu de son vivant.Talentueux, il obtient le Prix de la Critique et le prix de la Casa de Velazquez en 1953. Il en devient pensionnaire à Madrid. En 1956, c’est le prix Greenshields, puis bien d’autres distinctions dans les grands salons parisiens.Excellent paysagiste, il est très attiré par la mer et devient peintre de la Marine. Tous les étés, il a son atelier sur la côte de Nacre, dans son Calvados natal, d’abord à Ouistreham-riva-Bella, puis à Hermanville-sur-Mer.Dans l’année, il peint dans la région rouennaise. Les bords de Seine et les paysages enneigés l’attirent.Il sait d’ailleurs en tirer le meilleur, en faisant vibrer la lumière grâce à une touche rapide et légère issue d’un travail sur le motif.Peintre figuratif, très proche de ses amis de l’école de Rouen, notamment de Bordes et Bréant, Sébire expose beaucoup, sur place, dans les grandes galeries parisiennes et Chez Wally Finlay à New-York où il se taille un beau succès.Plusieurs musées dont ceux de Rouen, de la Marine et le Grand Palais présentent des rétrospectives de son oeuvre dans les années 1986-1993. Les collections publiques rendent hommage à Gaston Sébire en France, en Espagne, aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.

Albert Lebourg (1849-1928) est l’un des plus éminents représentants de l’Ecole de Rouen, un impressionniste au talent reconnu inspiré par la Seine et sa Normandie natale. Après les beaux-arts de Rouen, il enseigne le dessin à Alger pendant six ans et éclaircit sa palette.Il participe à la quatrième puis à la cinquième exposition impressionniste et expose au Salon à plusieurs reprises. Membre de la Société nationale des beaux-arts, il est invité du Groupe des XX à Bruxelles puis serapproche de la Libre Esthétique. Voyages aux Pays- Bas, en Suisse, en Belgique, en France, se poursuivent avec les honneurs dus à son succès. Il est officier de la Légion d’honneur.

Pierre Dumont (1884-1936) est assurément un des peintres les plus illustres de l’Ecole de Rouen, il naît à Paris puis se lie à Robert-Antoine Pinchon. Avec lui, il participe au fauvisme. En 1910, de retour à Paris, il s’installe au Bateau-Lavoir, aux côtés de Picasso, Max Jacob, Juan Gris,… Cest un des membres éminents et fondateurs de la Section d’Or et du Groupe des XXX.Alors que sa touche s’épaissit, il s’installe près de Giverny pour se soigner et il peint la Seine, Rouen, les monuments et maisons de la ville. Touché par une grave paralysie, il meurt en 1936.

Magdeleine Hue (1882-1944) est, avec Aline Le Mouton, une des rares femmes peintres de l’école de Rouen. Née à Bernay, elle rallie l’école des beaux arts de la capitale normande. Elle rencontre Pinchon, dont elle restera toujours très proche. Elle est la marraine de ses fils. Bohème, reconnaissable à ses tenues négligées,Magdeleine se taille une place dans la ville de Rouen, expose régulièrement chez Legrip.Elle n’est guère attirée par Paris et préfère se concentrer sur les manifestations culturelles locales. Son tempérament fougueux et spontané se retrouve dans sa peinture. C’est une coloriste qui peint les marchés, les foires, les jardins, des fleurs et des natures mortes. Elle excelle également dans les paysages de neige.

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PRÉSENTATION DE PLUSIEURS DE CES ARTISTES

Joseph Delattre (1858-1912), compagnon d’art des premiers impressionnistes à Rouen, est aussi le chef de file, dès 1896, des jeunes peintres frais émoulus de l’École des Beaux-Arts, date à laquelle il fonde l’Académie libre. Il emmène ses élèves sur le motif. Parmi eux, on retrouve les futurs peintres les plus recherchés de l’école de Rouen. Notamment Maurice Louvrier, Narcisse Hénocque, Marcel Couchaux, Georges Bradberry et Narcisse Guilbert.Tous sont marqués par la leçon du maître qui les pousse à exprimer leur talent et à travailler en plein air pour mieux ressentir l’atmosphère du sujet. En cela, c’est un impressionniste, ce qu’il revendique en peignant beaucoup les bords de Seine et la vie de Petit-Couronne, où il s’installe.Peintre éminent et fondateur de l’école de Rouen, ses oeuvres sont conservées aux musées de Rouen, Bernay et d’Orsay. De santé fragile, il est mort jeune. Il a participé aux salons de peinture parisiens et à la Société des artistes rouennais. De nombreux hommages ont été rendus à son talent de peintre de la Seine. Camille Pissarro, qui fréquenta son académie, a dit de lui : « c’est un enthousiaste qu’on a l’air de moquer ici et qui, en somme, est le seul qui ait de l’oeil ». Beau compliment de la part du grand maître pour celui dont on admire la palette nuancée, la touche fine et élégante.

LES PETITS MAÎTRES

Robert Antoine Pinchon (1886-1943). Ce Rouennais, fils de journaliste, bibliothécaire et ami de Guy de Maupassant a vécu dans un environnement favorable à sa vocation précoce de peintre. Elève du lycée Corneille et de l’école des beaux-arts de Rouen, il expose très jeune et se retrouve accepté au Salon d’automne dès 1905. Très vite, il expose dans d’autres salons et dans les galeries parisiennes et rouennaises, dont Legrip.François Depeaux, le grand collectionneur rouennais le remarque. Chez lui, Pinchon rencontre des maîtres dont Albert Lebourg et Camille Pissarro. Claude Monet, pour sa part, définit le jeune peintre en disant : « une étonnante patte au service d’un œil surprenant ».En 1907, il est attiré, comme ses amis Tirvert et Louvrier, par les nouvelles tendances fauves de l’époque. Il fonde alors le Groupe des XXX avec son ami Pierre Dumont. C’est là qu’il rencontre André Derain, Raoul Dufy, Henri Matisse et Maurice de Vlaminck. La guerre interrompt ce début d’une carrière prometteuse. Pinchon est blessé, puis fait prisonnier à Verdun. De retour de captivité, il reprend la peinture et s’oriente vers le postimpressionniste.Il est très inspiré par la Seine, les quais, les péniches, les paysages humides et nuancés pour lesquels sa touche excelle. C’est le peintre de la lumière et des reflets. Reconnu pour ses qualités, il expose au Salon des artistes français, ainsi qu’à la Société des Artistes rouennais dont il devient président en 1935. Membre de l’Académie de Rouen, il la préside en 1941.

Maurice Louvrier (1878-1954) fait partie de ces maîtres de l’école de Rouen, ami de ses congénères au lycée Corneille et à l’école des beaux-arts, élève de Zacharie, avant de rejoindre l’Académie libre de Joseph Delattre.Homme très ouvert sur les différentes formes de culture, il s’intéresse à l’écriture. Il connaît Francis Yard qui marque son intérêt pour la littérature. Enfin, troisième centre d’intérêt, Louvrier est également comédien, au Théâtre français et jouera dans des opérettes.Finalement, c’est à la peinture qu’il passe le plus clair de son temps. Fidèle à sa ville, il n’expose que rarement à Paris chez Drouant, il préfère les galeries locales, Legrip, Menuisement, Prigent, Boutigny. Il expose aussi à la Galerie moderne avec Léonard Bordes et Pierre Le Trividic, pour les appuyer à leurs débuts.Avec le Groupe des XXX, il a côtoyé Marquet, Friesz, Vlaminck, Utrillo, Henri de Saint-Delis, Ottmann, Picabia…Mais il a toujours préféré s’intéresser à sa ville. Il fut même président de la Société des Artistes rouennais.Son oeuvre, importante, a été marqué à ses débuts, par l’influence de Delattre, mais il a su affirmer ses choix, sa solidité, jusqu’à passer à un style plus fluide, léger et sensible pour exprimer les nuances brumeuses de la Seine sur les piles blanches du pont Boieldieu.

Pierre Guéret (1908-1966) est un artiste complet. Il a peint des paysages et des neiges dans les environs de Rouen mais il s’est particulièrement intéressé aux ports. Celui de Rouen en particulier, dont on connaît de nombreuses représentations, et également ceux de Honfleur, Le Havre et Dieppe. Sa palette est riche et le coup de pinceau est vif et généreux.

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PRÉSENTATION DE PLUSIEURS DE CES ARTISTES

Roger Tolmer (1908-1988) comme beaucoup d’autres peintres de la région, a fait ses études à l’école des beaux-arts de Rouen. Il y a rencontré ceux qui deviendront ses amis. Comme Pierre Le Trividic, il suit des cours d’architecture. Ayant reçu le soutien et les encouragements de Jacques-Emile Blanche, après deux ans au Maroc, dans les spahis, il adhère au Groupe des Seize puis commence un cycle d’expositions, tant à Rouen notamment chez Legrip, qu’à Paris. Il fait la connaissance de grands peintres, dans une exposition à Lille. Il côtoie ainsi Suzanne Valadon, Marcel Gromaire, Victor Brauner. Il rencontre également Georges Braque.En 1943, il réalise des fresques puis, dans les années cinquante, son style évolue nettement vers l’abstraction. Il voyage en Europe, participe à de grands salons à Paris et à l’étranger. Il travaille avec le sculpteur Henri-Georges Adam.Il entame aussi une période liée à la spiritualité, se rend à Assise, sur les traces de Saint-François et crée du mobilier religieux, en relation avec la commission d’art sacré du diocèse de Rouen. Il travaille également sur des décors de bâtiments publics.De nombreuses oeuvres de Tolmer ont été acquises par les collections publiques.

LES PETITS MAÎTRES

Léonard Bordes (1898-1969) est un artiste complet, peintre et violoncelliste, né à Paris d’un père également violoncelliste et d’une mère pianiste de renom. Celle-ci est la grande interprète de César Franck (qui lui dédie une oeuvre), d’Emmanuel Chabrier et de Vincent d’Indy. Ce dernier est le parrain de Léonard. La famille s’installe très vite à Rouen car le père est engagé dans l’orchestre du Théâtre des Arts. Léonard suivra cet exemple et mènera une double carrière de musicien et de peintre.A l’école des beaux-arts, il est l’élève de Zacharie et connaît tous les peintres de sa génération dont Guilbert, Dunet, Fréchon, Tellier,… Il fait la connaissance de Pierre Le Trividic avec lequel il entretiendra une longue amitié et vit avec Jeanne Le Mouton, soeur d’Aline, également peintre.Bordes fait quelques voyages marquants, dans les Vosges, en Corse, en Bretagne, et affiche une grande fidélité pour la galerie Legrip, la Galerie moderne et le Salon des Artistes rouennais. L’été, il est violoncelliste, d’abord au casino de La Baule, puis, régulièrement, à celui de Fécamp. Lors d’un voyage en Espagne avec Gaston Sébire, avec lequel il se rend fréquemment sur le motif, il est marqué par ce pays.Mais, il a surtout jeté son dévolu, de longue date, sur le Mont-Gargan. Là, il excelle pour traduire le froid, souvent la neige, sa spécialité, et la misère des petites gens. Humaniste sensible et généreux, parfois révolté, Bordes avait toutes les qualités pour traduire la pauvreté, la modestie.C’était un peintre de plein air. A part pour les nus, il ne peignait pas en atelier. Il a énormément produit, nous faisant ressentir l’ambiance du vieux Rouen, des campagnes normandes, des bords de Seine et du littoral. Sa touche était rapide et précise, tant pour les huiles que pour les aquarelles.

Georges CYR (1880-1964) est né en Seine-et-Oise et part faire ses études de peinture à Paris. Là, il reçoit les conseils de Guillaumin, Lucien Pissarro et Juan Gris. A Rouen, à partir de 1914, il s’intègre dans la vie artistique de la ville, expose dans les galeries Brabant et Legrip, puis dans salons d’artistes rouennais et normands. A Paris, les salons d’Automne et des Indépendants lui ouvrent leurs portes. Il devient ami d’Othon Friesz, intéresse des collections privées, mais sa progression s’arrête avec un double drame. La mort de sa compagne et de son nouveau-né, en 1934. Georges Cyr change alors de vie. Il part au Liban et s’installe à Beyrouth.Ses aquarelles, déjà très remarquées, notamment par Raoul Dufy, le placent comme l’un des meilleursspécialistes de cette technique au XXe siècle.Au Liban, Cyr peint, enseigne, devient l’attaché et conseiller des beaux-arts de France au Liban. Sa position est très respectée, il donne des causeries régulières à la radio, des conférences et joue un rôle majeur, encore célébré aujourd’hui, dans le développement de la vie culturelle au Liban. Entre peinture figurative, recherches cubistes et aquarelle, Cyr continue à produire. Malgré quelques séjours et expositions en France, sa vie est désormais au Liban où il meurt à l’âge de 84 ans.Son style est très reconnaissable, sans doute influencé par celui de Friesz. Sa palette est riche et diversifiée. Ses aquarelles, très pures, demeurent des modèles du genre et sont très recherchées.

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PRÉSENTATION DE PLUSIEURS DE CES ARTISTES

Franck Innocent (1912-1983) est un normand né à Sahurs, près de Rouen. Il suit l’école supérieure de commerce de Rouen et parallèlement est formé à l’école des beaux-arts. Il travaille avec Marcel Couchaux dans son atelier et dans les sorties sur le motif. Sociétaire des artistes rouennais, il expose chez Legrip et chez Bernheim à Paris. A Honfleur, il rencontre le critique du Figaro, André Warnot, qui lui assurera son soutien à Paris. Durant la guerre, Innocent souffre d’absence de matériel. Il dessine sur ce qu’il trouve et ne reprendra vraiment la couleur qu’en 1960. Il reprend alors goût à la vie et cette période devient la plus productive. Son talent est alors reconnu en Europe, aux Etats-Unis et au japon. Sa peinture lui permet de vivre et de produire. Après s’être affranchi de l’influence de son maître, Innocent a structuré sa peinture. C’est un figuratif, qui offre un style complet, très structuré, solide. Ses paysages, ses marines, ses ports de Normandie, sont justes, bénéficient d’une belle lumière et d’une palette équilibrée.Hervé Bazin a discerné chez lui « la sensibilité dans la simplicité et l’invention en dehors de la recherche, en dehors de la théorie. »Gérald Schurr voit chez lui : « un métier solide, classique, par lequel il a exprimé son exaltation devant la nature ».

LES PETITS MAÎTRES

Lionel Vergetas est né en 1912, il a travaillé et vécu à Caudebec-les-Elbeuf. Elève de Devambez à l’AcadémieJuilian, il a eu lui-même le peintre Dubuc pour élève. Sa touche, très affirmée lui a permis de peindre les ports de Honfleur à Fécamp, avec force. Il travaillait également ses supports, n’hésitant pas à ajouter du sable à la peinture pour lui donner davantage de densité et de relief. On lui doit de fort beaux paysages de Normandie, des aquarelles très enlevées.Vergetas était un coloriste et sa palette, très riche, mettait en évidence des couleurs franches, un peu à la manière des fauves.

Narcisse Guilbert (1878-1942) a commencé sa vie modestement comme livreur dans une maison d’habillement de Rouen après la mort de son père. Il aime la peinture, s’inscrit aux beaux-arts et suit l’enseignement de Zacharie. Il fait la connaissance de Delattre qui vient d’ouvrir son Académie libre et restera très proche de ce maître. Membre des sociétés d’artistes de Rouen, il peint beaucoup sur les bords de Seine qu’il affectionne, en aval de Rouen, vers La Bouille et Duclair. Peu à peu reconnu, grâce aux expositions notamment chez Legrip, ses toiles sont acquises par les grands collectionneurs, dont François Depeaux et les collections publiques. Lors des salons, il accumule les distinctions et les prix. L’été, il peut s’installer sur la côte d’Albâtre. On le voit à Etretat, à Dieppe et à Varengeville. Il découvre également la Bretagne.Pinchon et Dunet lui rendent visite et partagent son atelier. On retient le caractère solide de l’oeuvre de Guilbert ; le dessin est le fruit d’une main sûre, la palette est riche et les compositions sont solides et harmonieuses. C’est cet ensemble qui concourt à la qualité globale de l’œuvre de Guilbert.

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LA COULEUR AU JOUR LE JOUR

FESTIVAL NORMANDIE IMPRESSIONISTE, 4e ÉDITION

L’impressionnisme, mouvement artistique vu et revu en Normandie ? Oui, mais pas seulement. Car comme le décrit l’écrivain et membre de l’Académie Française Érik Orsenna : « Non seulement ce XIXe siècle était décidément sans fond, une malle pleine de trésors dont on n’avait et n’aurait jamais fini de dresser l’inventaire. Mais Il suffit de varier l’angle et d’autres mondes surgissent d’une œuvre majeure dont on croyait tout savoir. Il suffit de sortir des sentiers trop battus pour qu'émergent de parfaits inconnus ou des maîtres, qualifiés de « petits » et dont on se rend compte, éberlués, qu’ils ont participé, et activement, à la révolution du regard. »

Au fil de ses éditions (2010, 2013 et 2016), le festival pluridisciplinaire Normandie Impressionniste s’attache à célébrer ce mouvement pictural qui a pris sa source dans la région. Rendez-vousartistique majeur en France, il célèbre la création artistique sous toutes ses formes à travers de nombreux événements : expositions impressionnistes, art contemporain, photographie, spectacle vivant, conférences… Aussi, tout en s’attachant à faire valoir un état de fait historique, Normandie Impressionniste s’ouvre à la création actuelle.

Pour sa 4e édition justement présidée par Erik Orsenna, Normandie Impressionniste s’affranchit de son traditionnel thème unique pour l’élargir à un fil conducteur pluriel, riche et ouvert aux interprétations : La couleur au jour le jour.

C’est en effet à travers le prisme d’une véritable révolution picturale mêlant mouvement, lumière et surtout couleurque les impressionnistes se sont emparés de leur quotidien et des paysages de leur temps. Un mouvement artistique qui a bouleversé notre façon de voir et de penser le monde, un mouvement sans lequel la création artistique moderne puis contemporaine serait tout autrement.

Jean Bréant : Cathédrale

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CRÉATION ET HISTOIRE D’UN VASTE ESPACE DE POÉSIE

LES PETITS MAÎTRES ET LA SEINE-MARITIME (1850-1980)

Le Jardin des sculptures a été créé en 1985 par Jean-Marc de Pas, sculpteur paysagiste. Le parc de sept hectares entoure un ensemble architectural datant des XVIIe et XVIIIe siècles. Le domaine a été fondé par Charles Le Pesant en 1620, cousin de la mère de Pierre et Thomas Corneille. La chapelle et le pavil-lon datent de 1625, le château a été remodelé en 1780. A cette époque, un jardin potager, un verger et des terres agricoles composaient l’ensemble.

Le site est resté dans la famille depuis près de quatre cent ans. Jean-Marc de Pas, qui y est né, a reçu le domaine à l’âge de 21 ans. Alors étudiant à l’école Boulle, passionné par la sculpture, il transforme le rez-de-chaussée du château en galerie d’exposition et conçoit un vaste espace de poésie pour célébrer la nature et la sculpture.

Près de 7 000 arbres et arbustes ont été plantés aux côtés des platanes bicentenaires et d’un châtaignier remarquable datant des XVII/XVIIIe siècles. Plusieurs espaces paysagers composent le site : un labyrinthe de buis, un cercle de bouleaux, une nef de tilleuls, une grande allée périphérique, un cloître en charmilles, un cercle de séquoias. Soixante-dix sculptures de Jean-Marc de Pas jalonnent une promenade poétique et symbolique célébrant les éléments constitutifs de la nature : « les quatre saisons », « les quatre éléments », le « jardin du cosmos » …

Le Jardin des sculptures, labellisé Jardin remarquable, est ouvert au public et reçoit chaque année près de 15 000 visiteurs. Le site est géré par une association reconnue d’intérêt général depuis 1993. Ses principaux champs d’action sont la valorisation de ce patrimoine en territoire rural, l’éducation artistique et culturelle, l’éducation à la nature, l’organisation d’événements culturels et la conservation et la promotion de l’art, et de la sculpture en particulier. L’association compte 1 400 adhérents depuis 24 ans dont 250 à 350 chaque année.

Jean-Marc de Pas : Cloître Végétal & Sculpture

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INFORMATIONS PRATIQUES

HORAIRES

Adhésion 2020 :Individuel 20€. Couple / foyer fiscal 30€

Visite libre du jardin et des expositions temporaires : • Plein tarif : 8€• Groupes (dès 10 personnes). Tarif Pass Normandie Impressionniste, CE ou CEZAM : 6€• Tarif réduit (6 à 18 ans, étudiants, chercheurs d’emploi, personne en situation de handicap) : 5€• Gratuit : 0/5 ans, habitants de Bois-Guilbert & adhérents• Famille (2 adultes et jusqu’à 4 enfants de moins de 18 ans) : 25€

Hébergements sur place de 20€ à 40€

PRESTATIONS & TARIFS

Contact presse : · Stéphanie de Pas 02 35 34 70 81 - 06 62 61 98 36

Le Jardin des sculptures, Château de Bois-Guilbert 1108 route d’Heronchelles, 76750 Bois-Guilbert

Association présidée par Jean Luc de Feuardent+33 (0)2 35 34 86 56

[email protected]

www.lejardindessculptures.com www.facebook.com/lejardindessculptures

jardin_sculptures_boisguilbert

CONTACTS

ACCÈS

la Seine

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Bruges

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A29

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Du 1er avril au 15 novembre, tous les jours y compris jours fériés de 14h à 18hException en Juillet et Août : tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18hGroupes sur rendez-vous. Pique-nique possible

Association Le Jardin des sculptures, Château de Bois-Guilbert (1620-2020)Présidence : Jean-Luc de FeuardentDirection : Stéphanie de PasCommissariat de l’exposition : Michel PrigentPartenaires d’exposition : Normandie Impressionniste, Matmut

À 1h45 de Paris. A 25 mns de RouenA13 sortie 22, A28 sortie 12, A29 sortie 10À 6km de BuchyDestination NORMANDIE INTER CAUX VEXIN Coordonnées GPS : Lat. 49.5376 Long. 1.4044

Port du masque obligatoire dans les salons.Gel hydroalcoolique à disposition des visiteurs.

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PARTENARIATS ET MÉCÈNES DU JARDIN DES SCULPTURES

Exposition organisée avec le mécénat de la Matmut

EXPOSITION LABELLISÉE NORMANDIE IMPRESSIONNISTE

La Matmut est un partenaire fidèle du Jardin de Bois-Guilbert, mécène des Biennales de sculpturede Bois-Guilbert depuis 2009, avec tous les deux ans un hommage à un sculpteur du passé (Jean-Baptiste Carpeaux, Camille Claudel, François Pompon, VOLTI..) et l’exposition d’une centaine d’œuvres de 30 sculpteurs internationaux.

La Matmut gère un centre d’art contemporain au château de Saint Pierre de Varengeville (76).Cette année, la Matmut s’engage également sur cette exposition labellisée Normandie Impressionniste.

« La Matmut est engagée dans la vie sociétale et elle a fait le choix d’être présente entre autre dans le domaine culturel. La solidarité est le principe même de l’esprit mutualiste, le partage est également une valeur forte de notre engagement. Nous pensons l’action philanthropique dans le champ culturel comme un prolongement naturel de notre implication dans la vie de tous. Pour incarner cet engagement, nous avons créé le programme Matmut pour les arts avec la volonté de développer une politique culturelle claire qui est de rendre la culture accessible au plus grand nombre. Cette politique se décline en trois axes. Le Centre d’art contemporain, fer de lance de notre action, est un lieu d’exposition, libre d’accès et ouvert à tous, petits et grands, amateurs ou connaisseurs… Le Prix Révélation Littéraire Matmut qui permet de découvrir chaque année un nouvel auteur et de l’accompagner dans la publication de son premier roman, donne l’opportunité à tous d’être directement créateur, la pratique artistique étant une forme essentielle d’accessibilité à l’art. Et pour finir, notre politique de mécénat accompagne des projets innovants, originaux et pertinents qui ont pour objectif de donner accès à la culture à des publics qui en sont éloignés. »

Collectivités : Région Normandie, Département de la Seine-Maritime

Autres mécènes et partenaires : Crédit Agricole, France Bleu Normandie, Normandie Impressionniste

Labels Jardin Remarquable, Maison des Illustres et Normandie Qualité Tourisme

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SÉLECTION D’ŒUVRES PRÉSENTÉES

Pierre Dumont : Cathédrale de Rouen

Jef Friboulet : Baigneuses

Léonard Bordes : Neige au Mont Gargan

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SÉLECTION D’ŒUVRES PRÉSENTÉES

Lionel Vergetas : Port de Fécamp

Magdeleine Hue : Jardin public

Pierre Le Trividic : Bateau à Dieppe

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SÉLECTION D’ŒUVRES PRÉSENTÉES

Pierre Le Trividic : Falaises les Petites Dalles 1931

Frank Innocent : La plaine

Othon Friesz : Les arbres dans la forêt

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Gaston Sébire : Ferme normande

François Decorchemont : Paysage à la rivière

SÉLECTION D’ŒUVRES PRÉSENTÉES

Maurice Louvrier : Église dans la campagne