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Dossier presse - Rhône-Alpes Arts · VI.i. Extraits de presse ... La volonté de faire découvrir au public les perles rares de la musique ... les grands standards de la musique

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Dossier pressede

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« Jean Philippe Dubor et ses forces en restituent toute la démesure avec un aplomb extraordinaire [...] Soyons clairs: cette aptitude est l’apanage

des grandes formations »Patrick Favre Tissot Bonvoisin, à propos du concert Gouvy des 20 ans de l’ensemble, Lyon Newsletter, juillet 2011

»

« Tonique !Voilà le mot juste. Un concert dirigé par Jean-Philippe Dubor est une expérience intense, qui relève du mystique et marque

une mémoire de mélomane.

Pierre Monier, Dauphiné Libéré, 2003

« Techniquement irréprochable »Rémi Perrin, La Tribune-Le Progrès, 2004

som

mai

reI. L’Ensemble 7e sensun ensemble audacieux et atypique

II. Jean-Philippe Dubor

IV. L’Ensemble 7e senset les entreprises le Club d’Entreprises

I.i 20 ans de découvertes romantiques I.ii. Valeurs de l’ensemble I.iii. Le Fonds de Dotation Ensemble 7e sens

III.i. Ambitions musicalesDéveloppement via les grands festivals français

III.ii. Action culturelle : pour une musique classique accessible Diversification des publics Amener la musique classique là où elle ne va pas assez

III.iii. Une réponse au besoin de professionnalisation des jeunes musiciensCompléter la formation des jeunes musiciens : master classes

III.iv. Ambitions de développement économique : le Fonds de dotation Ensemble 7e sens Présentation Témoignages

V. Répertoire de l’ensemble V.i. 20 ans de créations V.ii. Discographie

VI. Ils en parlent… VI.i. Extraits de presse VI.ii. Témoignages

III. Ambitions et Projets d’avenir

un directeur musical passionné et charismatique

III.i. Ambitions musicalesDéveloppement via les grands festivals français

III.ii. Action culturelle : pour une musique classique accessible Diversification des publics Amener la musique classique là où elle ne va pas assez

III.iii. Une réponse au besoin de professionnalisation des jeunes musiciensCompléter la formation des jeunes musiciens : master classes

III.iv. Ambitions de développement économique : le Fonds de dotation Ensemble 7e sens Présentation Témoignages

L’ensemble fête ses 20 ans par la

création du Requiem de Gouvy

Dat

es c

lés 1991 1991

20002000

2007

2010

2011

Création du Choeur et Orchestre

Jean-Philippe Dubor

L’ensemble est choisi par la ville de

Lyon pour le concert de passage à

l’an 2000 place Bellecour

Le choeur et orchestre devient

entièrement professionnel

Création du fonds de dotation

2011

2012

2007

2012Participation de l’ensemble au concert

de clôture du Festival de la Chaise-Dieu

/ Un nouveau nom : Ensemble 7e Sens

2010

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Le choix du répertoire romantique vient bien sûr en premier lieu de la passion du chef pour ce langage musical et ses couleurs vocales. Cette musique est très abordable pour le grand public, notamment sous la forme chœur et orchestre symphonique, et touche directement au domaine de l’émotion et du sentiment, ce qui la rend immédiatement accessible.

Créé en 1991, le choeur et orchestre est une formation à géométrie variable. Chœur et solistes avec piano, orchestre symphonique, c’est bien sous sa forme totale chœur, solistes et orchestre qu’il s’exprime le mieux. A partir de la saison 2005-2006, l’ensemble débute son expansion extrarégionale .

Composé à l’origine d’instrumentistes professionnels et de chanteurs amateurs de haut niveau, cet ensemble a évolué progressivement vers le professionnalisme total, cap qu’il franchit en 2007. A partir de là, le chœur comme l’orchestre sont entièrement professionnels et donnent à Jean-Philippe Dubor un outil de travail à la hauteur de son ambition.

Celle-ci est triple : recherche de l’excellence artistique, valorisation du patrimoine romantique injustement oublié et relecture systématique des grandes fresques du répertoire du XIXe siècle.

La volonté de faire découvrir au public les perles rares de la musique romantique est clairement affichée, en témoignent les 18 créations en 20 anseffectuées. Parmi elles, le meilleur exemple est la création française du Requiem de Bomtempo lors du tout premier concert de l’ensemble. Démarrer par une création, cela donne le ton ! En 1999, la ville de Lyon choisit l’ensemble pour le grand concert du passage à l’An 2000, place Bellecour, qui a rassemblé 200 choristes et instrumentistes et plus de 40 000 spectateurs. Plus récemment, l’ensemble a mis à l’honneur le Requiem de Théodore Gouvy, compositeur oublié, suscitant un vif enthousiasme des critiques et du public.

 

Un ensemble au service du

répertoire romantique

Valeurs de l’ensemble

Vision L’Ensemble 7e sens souhaite créer « l’enchantement » et susciter l’émotion musicale collective.

Missions

Diffuser et faire connaître la musique du 19ème au travers des concerts programmés en France et à l’étranger, de la création d’un festival de musique romantique et grâce à une politique d’enregistrement systématique des créations. L’Ensemble 7e sens est l’un des seuls ensembles réellement spécialisés dans la musique romantique en France, hormis les maisons d’opéras.

Produire et créer de manière ambitieuse les perles oubliées du répertoire romantique et apporter un regard neuf sur les grands standards de la musique du 19ème. L’Ensemble 7e sens se veut être un ensemble porté sur la découverte.

S’ouvrir aux autres, tant pour faire découvrir au public non initié la musique classique (démarche particulièrement active en direction des jeunes générations en milieu scolaire) que par l’organisation de conférences. Il est aussi question de rencontres avec les artistes afin de permettre au public d’avoir une idée concrète de leur travail, loin des clichés de la musique classique « élitiste » ...

Découvrir de jeunes talents et les aider à se professionnaliser en les intégrant à l’ensemble. Le renouvellement des artistes est assuré en continu notamment grâce aux récitals Jeunes Talents et à l’organisation future des Master Classes.

« Le privilège de révéler son Requiem au public lyonnais revient à Jean-Philippe Dubor, inestimable défricheur à qui l’on doit plusieurs créations d’œuvres du passé dans notre ville » Patrick Favre Tissot Bonvoisin, critique musical, Lyon Newsletter, juillet 2011, à propos du concert des 20 ans du choeur et orchestre.

VISION, MISSIONS ET VALEURS DE L’ENSEMBLE 7e SENS.

Vision

Missions

« Chef charismatique, Jean-Philippe Dubor dégage avec bonheur le potentiel d’expressivité, d’éloquence et d’émotion des oeuvres qu’il dirige, sans avoir besoin de recourir à de douteux artifices»

Jacques Viret, professeur de musicologie à l’Université Marc Bloch, Strasbourg, critique musical à la Revue Musicale de Suisse Romande à propos de l’enregistrement de la Petite messe solennelle de Rossini de décembre 2006

Valeurs Ethique musicale Chaque œuvre produite et diffusée par l’Ensemble 7e sens est fidèle à l’œuvre originale du compositeur. Le nombre d’artistes est respecté et Jean-Philippe Dubor prévoit un nombre de répétitions suffisant, avec pour objectif l’excellence artistique.

Dépassement de soi Pour Jean-Philippe Dubor, « si l’excellence est de rigueur pour chaque instrumentiste et chanteur, c’est grâce au dépassement de soi et à la générosité de l’ensemble que naît la magie lors des concerts : émotion, spiritualité, communion collective… autant d’enchantement que l’Ensemble 7e sens tend à faire vivre au public à chacune de ses représentations »

La passion : caractérisée par la performance de la direction musicale, incarnée par Jean Philippe Dubor.

Harmonie : un même chef pour le chœur, les solistes et l’orchestre, cela représente la garantie d’une adhésion globale au projet artistique, gage d’une grande qualité des concerts et enregistrements. Au sein de l’Ensemble 7e sens existe une véritable communion artistique à travers laquelle chacun peut s’épanouir individuellement pour faire grandir l’ensemble.

Audace et détermination : faire grandir l’Ensemble 7e sens au niveau régional, national et international depuis 20 ans. Une audace que l’on retrouve également dans le choix des œuvres connues ou non que son directeur musical choisit de programmer.

Valeurs

En dehors de la structuration artistique de l’ensemble musical, la priorité de Jean-Philippe Dubor va s’affirmer par une proposition innovante en termes de partenariat.

A partir de 2009, soutenu par des industriels de la région lyonnaise, il va entreprendre une démarche qui sera consacrée un an plus tard par la création du premier Fonds de Dotation en France soutenant un ensemble musical professionnel.

Un concert en aura marqué le lancement officiel le 10 mai 2010.

Le fonds de dotation met en synergie les dons des entreprises et des particuliers. Une rubrique est consacrée au Fonds de Dotation dans les pages qui suivent.

Le Fonds de Dotation

&passionné

Jean-Philippe Dubor,

un directeur musical

charismatique

Un parcours musical et artistique ne se

résume pas à quelques dates clefs et à certaines

rencontres.

Ce qu’il y a de plus frappant chez Jean Philippe

Dubor, c’est une forme de constance, de logique

qui l’amène aujourd’hui à être reconnu comme

un spécialiste incontournable du répertoire

romantique (sacré, profane et lyrique), servant les

œuvres dirigées avec inspiration, en fin connaisseur

des couleurs d’un orchestre et de la voix humaine.

Dès six ans il entame des études de piano, puis

à l’âge de 12 ans des études d’orgue avec Marcel

Péhu puis avec André Fleury à Paris. Parcours

classique qui lui permet d’étudier l’harmonie, le

contrepoint, l’écriture, l’improvisation.

En 1981, premier point d’orgue, il est nommé

titulaire à Saint-Polycarpe, poste d’organiste qu’il

occupe encore aujourd’hui.

Très vite, son attirance pour la voix humaine, ses

rencontres avec plusieurs chefs d’orchestre mais

aussi sa volonté de rendre justice à des œuvres

méconnues du répertoire vont l’amener à la

direction de chœur puis d’orchestre.

En 1985, il dirige le chœur Saint-Polycarpe,

spécialisé dans la musique sacrée.

Il crée en 1991 son propre outil instrumental et choral : le Chœur et Orchestre Jean-Philippe Dubor,

avec, comme acte fondateur, la première présentation française du Requiem de Bomtempo. L’aventure

créatrice s’engage dès lors, entre concerts et enregistrements, créations françaises et redécouvertes.

L’an 2000 verra sa consécration «grand public» puisque la Ville de Lyon le choisit pour diriger le

concert du passage au nouveau millénaire à la tête de 200 choristes et instrumentistes, devant plus de

40 000 spectateurs.

Au fil des saisons, Jean-Philippe Dubor va développer son action vers le répertoire lyrique avec une

prédilection pour Verdi par la présentation de Macbeth, la Traviata et Nabucco en version de concert.

A partir de la saison 2005-2006, l’ensemble débute son expansion extrarégionale et devient le

Chœur et Orchestre 19, marquant ainsi sa spécificité romantique.

2007 aura été une année charnière, puisque l’ensemble devient entièrement professionnel.

En dehors de la structuration artistique de l’ensemble musical, la priorité de Jean-Philippe Dubor va

s’affirmer par une proposition innovante en termes de partenariat.

A partir de 2009, soutenu par des industriels de la région lyonnaise, il va entreprendre une démarche

qui sera consacrée un an plus tard par la création du premier Fonds de Dotation en France soutenant

une formation artistique. Le lancement officiel s’est déroulé par un concert donné le 10 mai 2010.

L’aventure se poursuit donc avec une ambition renouvelée, ce qui n’est pas pour déplaire au chef

d’orchestre auquel le milieu des musicologues et des critiques musicaux reconnait l’authenticité

du parcours, son engagement total et son intuition pour trouver l’émotion vraie, entre sensualité et

spiritualité.

La saison 2011-2012 est couronnée par l’invitation du Festival de la Chaise-Dieu à son concert

de clôture. C’est ce sens de l’intuition qui mènera à la création, fin 2012, d’une nouvelle formation intitulée

Ensemble 7e Sens (le 7e sens étant, selon plusieurs philosophies, le sens de l’intuition), volontairement

portée vers la diffusion nationale et internationale des créations de l’ensemble.

« C’est avec éclat que Jean-Philippe Dubor ouvre une saison parmi les plus ambitieuses qu’il ait

proposées »

Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin, critique musical, à propos du concert « Carmina Burana de Carl

Orff » du 26 septembre 2010 (version choeur, solistes, 2 pianos et percussions avec les Percussions

Claviers de Lyon), dans www.lyon-newsletter.com (décembre 2010).

« Quand Jean-Philippe Dubor dirige son ensemble, on assiste à ce moment magique où un orchestre

tout entier exprime dans l’interprétation une part de réelle création. »

Rémi Perrin, journaliste musical à la Tribune, dans La Tribune-Le Progrès du samedi 18 décembre

2004, à propos du concert du 14 décembre 2004.

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s Ambitions musicales

Outre la création d’un festival de musique romantique, l’Ensemble 7e sens souhaite participer activement à de grands festivals français et étrangers, pour s’enrichir, échanger et grandir. L’ensemble a notamment été invité au concert de cloture du festival de la Chaise Dieu le 1er septembre 2012.

Développement via les grands festivals français et étrangers

Pour une musique classique accessible

culturelle Action

L’Ensemble 7e sens développe plusieurs actions engagées

ayant pour but de renforcer et d’améliorer le contact entre la

musique et tous les publics.

Le jeune public

Mise à part une politique tarifaire avantageuse, l’ensemble agit pour le jeune public depuis 1996 grâce à son partenariat avec un lycée lyonnais. Accès libre à toutes les répétitions (et notamment à la générale), participation à la logistique et accès gratuit aux concerts sont autant d’avantages qui facilitent l’accès des jeunes à la musique classique. A cela, ajoutons la participation de l’ensemble aux dispositifs Pass’Culture de la Ville de Lyon et Carte M’Ra de la Région Rhône-Alpes, qui sont tous deux des passerelles vers la culture pour les jeunes lyonnais et rhône-alpins.

Par ailleurs, l’Ensemble 7e sens a pour ambition de mener un projet pédagogique avec les lycées du Grand Lyon : initiation à la musique romantique, aux instruments, à la gestion d’un chœur et d’un orchestre, rôle d’un chef d’orchestre… seront des points abordés dans ce cadre. Les jeunes pourront aussi assister à la répétition générale et au concert. La Cité Scolaire Internationale de Lyon et le lycée professionnel de Givors font partie des partenaires sur ce projet.

Les jeunes d’aujourd’hui sont le public de demain !

Les personnes exclues

Depuis plusieurs saisons, l’ensemble organise des actions à destination de personnes en situation sociale précaire qui se trouvent de fait exclues de la culture. Par le biais de son partenariat avec Culture Pour Tous, l’Ensemble 7e sens met des places de concert à disposition de ce public empêché. L’ensemble a pour projet d’aller plus loin en leur réservant des représentations.

Les personnes âgées

L’Ensemble 7e sens a travaillé avec la délégation aux personnes âgées de la ville de Lyon, en juin 2008 (dernière action en date) afin de permettre à des personnes bénéficiaires de relais sociaux ou résidants en maisons de retraite municipales d’accéder à la musique classique. L’ensemble a organisé le 22 octobre 2008 un concert réservé aux personnes âgées disposant de peu de moyens, dans le cadre de la Semaine Bleue. La Fondation privée du Groupe Apicil s’est jointe à la ville de Lyon pour soutenir le projet.

Le public mélomane

Pour les « initiés », des conférences d’avant-concert sont organisées avant chaque production, proposées par le directeur musical ou par des musicologues (Patrick Favre-Tissot, Roger Thoumieux, Sylvain Teutsch). Elles permettent de se familiariser avec l’oeuvre en abordant différents aspects musicologiques ainsi que le contexte social et historique, tout en essayant de retracer l’état d’esprit du compositeur à l’heure d’écrire sa pièce : ces éclairages différents permettent d’approcher plus encore l’œuvre. Par ailleurs, certains concerts sont présentés directement sur scène par le directeur musical : il s’agit entre autres des traditionnels rendez-vous de l’ensemble autour des plus beaux chœurs d’opéras romantiques.

Amener la musique classique là où elle ne va pas assez

Les actions pour faire venir un nouveau public sont couplées avec des actions de mobilité vers d’autres publics : l’Ensemble 7e sens a réalisé deux concerts en petite formation au Centre Léon Bérard (centre anticancéreux de Lyon).

Depuis 2005, l’ensemble part à la rencontre des publics de petites villes et de villages du département (via le dispositif Rhône en Scène du département) avec notamment un programme exploratoire de chœurs d’opéras avec piano, adapté aux contraintes logistiques des lieux. Ce sont des actions enrichissantes sur le plan artistique comme humain, pour les spectateurs comme pour les artistes…

L’ Ensemble 7e sens etla diversification des publics

L’ensemble accueille actuellement des chanteurs et des instrumentistes aguerris et des élèves en fin de cursus au CNSM de Lyon.

L’ensemble pérennise également un cycle de Récitals Jeunes Talents, chaque printemps dans la salle Molière, temple de la musique de chambre à Lyon, leur permettant de se produire en soliste, dans un cadre professionnel.

Ces actions ont permis à l’Ensemble 7e sens de devenir le parfait complément de leurs cursus de formation.

Compléter la formation des jeunes musiciens : les Master ClassesJean-Philippe Dubor souhaite aller plus loin dans la formation des jeunes professionnels en organisant chaque année une master class destinée aux jeunes diplômés, dans le but de les préparer au mieux au monde professionnel. Le rendez-vous annuel du récital jeunes talents se trouverait de fait pérennisé.

Une réponse

au besoin deprofessionnalisation

des jeunesmusiciens

« Vous avez le don de faire avancer la musique »

Créé en mars 2010, le fonds de dotation Ensemble 7e Sens a pour vocation de fédérer les mécènes particuliers et entreprises pour soutenir financièrement l’ensemble.

En tant qu’association loi 1901 l’Ensemble 7e Sens est le premier ensemble musical professionnel français à avoir mis en place une telle structure afin de se donner les moyens de son développement.

Cycles de découvertes romantiques, sensibilisation du jeune public et croissance au national et à l’international sont autant d’actions que nous souhaitons mettre en place et pérenniser grâce au soutien des membres du fonds de dotation.

Le fonds de dotation est une structure juridique qui permet de recueillir des dons pour financer des activités d’intérêt général en redistribuant les fonds qui peuvent lui être alloués. Les dons versés à un fonds de dotation sont éligibles à la réduction d’impôts consentie par le régime fiscal français pour les entreprises comme pour les particuliers.

Les entreprises bénéficient d’un crédit d’impôt d’une valeur égale à 60% du montant du don (dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires). Pour un don de 1000 euros, l’entreprise bénéficie d’une déduction de 600 euros.

Les particuliers bénéficient d’un crédit d’impôt d’une valeur égale à 66% du montant du don (dans la limite annuelle de 20% du revenu imposable). Pour un don de 1000 euros, un particulier peut bénéficier d’une déduction de 660 euros.

Aujourd’hui le Fonds de Dotation Ensemble 7e Sens regroupe 61 mécènes dont 27 entreprises et 34 mécènes individuels. Au 27 septembre 2012 les fonds levés atteignaient, pour l’année 2012, 133.000€.

Ambitionséconomiques dotation de l’Ensemble 7e sens

Le développement du fonds de:

Parmi les mécènes Entreprises de l’ensemble :

- Sans oublier... nos mécènesindividuels.

Cabinet LucChauplannaz

Souvignet Finances

Les mécènes

témoignent

« J’ai été invité voilà quelques mois par un ami à un concert du chœur et orchestre à la crypte de Fourvière. J’y ai trouvé une puissance, un plaisir et une émotion rare. Jean-Philippe Dubor et son ensemble nous transportent, communiquant les liens qu’ils ont

tissés, prolongement de leur «âme mélomane».

Patrick CACERES, président du Fonds de Dotation et directeur général d’Alkantis

»

« Parce qu’aujourd’hui il est de plus en plus difficile de faire vivre un ensemble professionnel par des fonds publics, nous avons décidé en tant qu’entrepreneur privé

d’apporter notre contribution en soutenant l’ensemble.Le mécénat nous permet de faire partager à nos amis, nos clients, nos partenaires, des

moments musicaux d’une exceptionnelle qualité, dans une grande convivialité. A la différence d’autres ensembles, l’interprétation est engagée, peu conventionnelle et d’une

grande générosité. »Dominique LAPERNON,

directeur du cabinet Genius Loci Architectes

« 20 ans de bonheur...! Chaque concert du choeur et orchestre fonctionne comme un rendez-vous personnel à la fois

unique, intime et partagé avec un authentique corps musical. […] Je ressens une vibrante et profonde unité de chaque membre au bonheur de produire le

meilleur de soi, pour lui même, pour l’ensemble et pour le public. Un public fidèle comme les amis sincères et les membres d’une grande famille qui aiment se

retrouver pour vivre et partager au cœur de l’authentique, de la simplicité et de l’émotion. »André GODDE, abonné et mécène individuel

d’EntreprisesLe Club

Le Club d’Entreprises de l’Ensemble 7e sens apporte un certain nombre d’avantages aux entreprises qui en font partie:

- L’ensemble propose des places VIP au tarif de 65€ HT (soit 32 places par tranche de 2080€) assurant ainsi une visibilité aux entreprises sur les sup-ports visuels de l’Ensemble 7e sens (présence de logo, par exemple). En outre, la possibilité d’inviter clients et collaborateurs, a prouvé être un atout majeur pour les entreprises dans leur stratégie de communication et

de relations publiques.

- Les entreprises peuvent agrandir ou consolider leur réseau de connais-sances grâce aux cocktails et autres espaces de rencontres organisés avant

chaque concert ; durant cet interlude convivial, un chanteur du choeur présente l’oeuvre qui va être proposée au concert. Les entreprises peuvent

aussi dialoguer avec le chef et les artistes apès le concert.

- Ces entreprises peuvent aussi assister à la conférence animée par Jean-Philippe Dubor et/ou un musicologue quelques jours avant le concert à la

librairie musicale Musicalame

- Elles bénéficient aussi de « goodies » comme le programme et un CD de l’ensemble.

Cré

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ense

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Cré

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ense

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e 20 ans de Découverte

- Requiem, J.D. Bomtempo (création nationale en 1991 – 1er concert de l’ensemble)

- Sept Paroles du Christ en Croix, C. Franck (création lyonnaise en 1993)

- Deuxième Symphonie-Cantate (Lobgesang), F. Mendelssohn (création lyonnaise en 1993)

- Requiem, A. Bruckner (création lyonnaise en 1996)

- Te Deum, G. Bizet (création lyonnaise en 1997)

- Requiem, C. Gounod (création lyonnaise en 1997)

- Grande Messe en ré mineur, A. Bruckner (création lyonnaise en 1999)

- Hymne des Nations, G. Verdi (création lyonnaise en 2002)

- Second Requiem pour choeur d’hommes, L. Cherubini (création lyonnais en 2002)

- Messe Solennelle, H. Berlioz (création lyonnaise en 2003)

- Cantate impériale pour les Funérailles de Joseph II, L. von Beethoven (création lyonnaise en 2005)

- Gallia, C. Gounod (création lyonnaise en 2005)

- Requiem, G. Donizetti (création lyonnaise en 2007)

- Cantate « La Mort de Didon », G. Rossini (création rhône-alpine en 2011)

- Requiem, L.T. Gouvy (création lyonnaise en 2011)- - Le Roi Etienne, L. von Beethoven (création régionale en 2012)- - Stabat Mater, L.T. Gouvy (création régionale en 2012)- - Olav Trygvason, E. Griegjj Requiem, L.T. Gouvy (création régionale en

2012, Festival de la Chaise-Dieu)

romantique

DiscographieL’Ensemble 7e sens dispose d’un catalogue de CDs, tous enregistrés en Live. N’hésitez pas à nous contacter pour avoir de plus amples informations à ce sujet !

Tarifs

Ils

enpa

rlen

t

de presseExtraits

Extraits

Théodore Gouvy à la basilique de Fourvière

Longtemps oublié, Gouvy revient aujourd’hui en force : ses opéras restés inédits sont créés sur scène, Fortu-nato à Metz en mai, Le Cid à Sarrebrück en juin. Œuvrant depuis vingt ans à Lyon, le Chœur et Orchestre 19, qui se consacre à la musique du 19e siècle, donne le Requiem dans la crypte de la basilique de Fourvière.

Le Chœur et Orchestre 19 dans le Requiem de Gouvy à la basilique de Fourvière (Bertrand Pichène).

Qui était Louis-Théodore Gouvy (1819-1898) ? Né en Sarre alors prussienne, il dut attendre ses 32 ans pour être naturalisé Français, ce qui lui valut d’être écartelé entre Allemagne et France. Il n’en composa pas moins une œuvre considérable, comptant 160 titres, des symphonies aux lieder en passant par les compositions pour piano.

Ecrit par Gouvy en 1874 en mémoire de sa mère, le Requiem est interprété par les 110 interprètes du Chœur et Orchestre 19, que dirige avec ferveur Jean-Philippe Dubor. L’œuvre est composée de huit parties, où le chœur joue un rôle prépondérant, chantant presque sans interruption. Très impliqués, les choristes se sur-passent en dialoguant avec l’orchestre et les solistes, pour un « Dies Irae » visionnaire, un « Hosanna in Excel-sis » triomphant et un somptueux « Dona eis Requiem » final.

Les quatre solistes mettent une ardeur émouvante dans leurs interventions : la soprano Cécile Perrin, la mezzo-soprano Sylvia Giepmans, le ténor Patrick Garayt et le baryton-basse Philippe Fourcade donnent à la partition une couleur romantique prenante. Souhaitons que ce Requiem, que le public lyonnais a ovationné, soit repris, pour être découvert par un public nouveau. (15 juin)

Source : La Lettre du Musicien n° 405, été 2011, par Bruno Villien, critique musical.

PATRICK FAVRE-TISSOT-BONVOISIN, CRITIQUE MUSICAL, SUR LE CONCERT «STABAT MATER DE GOUVY ET LE ROI ETIENNE DE BEETHOVEN » DU 28 MARS 2012 A LA CRYPTE DE FOURVIERE, DANS www.lyon-newsletter.com (AVRIL 2012)

Alors que le printemps s’installe prématurément, arborant un avant-goût d’été, c’est avec un plaisir accru que les mélomanes reprennent le chemin de Fourvière. Ce public est d’autant plus méritant qu’il a eu l’in-telligence de se laisser guider par sa curiosité. En effet, deux raretés sont à l’affiche, l’une d’un génie unani-mement consacré : Beethoven ; l’autre d’un compositeur dont la célébrité et encore en devenir mais dont le temps viendra, si l’on en juge par les nombreuses exécutions de ses œuvres programmées en Europe dans les mois prochains. Elles sont suscitées notamment sous l’impulsion de la Fondation Palazzetto Bru-Zane de Venise et de l’Institut Gouvy, ce dernier dirigé de main de maître par son dynamique Président, Monsieur Sylvain Teutsch, d’ailleurs présent dans la salle et qui n’a pas hésité à venir de Lorraine pour ces concerts exceptionnels.

L’indispensable vertu d’y croire.S’il existe des traces d’une audition lyonnaise de la seule ouverture par le passé, de fortes présomptions existent pour avancer qu’il s’agit ce soir d’une première exécution locale de la musique de scène intégrale du «König Stephan» («Le Roi Etienne») beethovénien. Les premières mesures donnent le ton : nous retrouvons l’énergie caractérisant ce que l’on nomme désormais affectueusement «la Dubor’s touch», l’ouverture est enlevée avec la force de la conviction transcendant une partition à réévaluer. Au-delà d’un chef dont l’impli-cation physique est devenue légendaire, soulignons que son orchestre gagne chaque année en assurance. A ce titre, les cordes – désormais suffisamment fournies – sont impeccables, au même titre que la percus-sion. Côté vents, une fois réglée une légère indiscipline des bois, seuls les cors tardent à trouver leur assise. Les chœurs masculins font preuve d’une autorité et d’une puissance parfaitement contrôlée, indubita-blement à toute épreuve. Les dames impressionnent par une vaillance et une homogénéité rarement atteinte à ce jour. Sopranos et contraltos affichent cette beauté sonore digne des plus grandes forma-tions, présentant même un fondu «karajanesque» inattendu, du meilleur effet. Ces atouts contribuent pour une large part au succès de l’entreprise. Car, pour ce genre de partition, il faut qu’ils viennent s’ajouter à la présence sur l’estrade de direction d’un maître d’œuvre entretenant l’indispensable vertu d’y croire. A l’instar de son confrère Jun Märkl, Jean-Philippe Dubor «y croit» et sa direction, nette autant que tran-chante, emporte l’adhésion de ses troupes. Le résultat sonore est captivant et cloue le bec aux grincheux. En effet, pour la première fois céans avant le concert, d’aucuns parmi les auditeurs cultivaient allègrement la cuistrerie et l’art d’enfoncer les portes ouvertes avec des réflexions du genre : «Vous savez, ma chère, ce que vous allez entendre n’est pas un chef-d’œuvre de Beethoven ! » Non ? Quel scoop ! En admettant qu’ils aient fait l’effort d’écouter le «König Stephan» au disque, leur connaissance demeure superficielle et leur science récente. Les rares qui connaissaient vraiment leur sujet de longue date s’en sont bien diverti, surtout lorsqu’ils ont entendu les mêmes pédants de bas étage s’esbaudir à la fin de l’audition, en chan-geant radicalement d’avis avec un aplomb qui laisse pantois... enfin, « errare humanum est... » ! Mais fi de ces confabulations grotesques ! Ce qui compte, c’est que l’on prenne des risques et procède à des réé-valuations, en jouant enfin autre chose que les ouvrages incontestés de Beethoven. Sur ce plan, c’est une réussite incontestable. Elle laisse espérer des suites. Le 250naire de 2020 approchant, on souhaite que Jean-Philippe Dubor et son ensemble affrontent d’autres raretés dans les pièces de circonstances, telles que «Der glorreiche Augenblick». On ne saurait, en tous cas, imaginer meilleur avocat pour un tel projet !

Les masses chorales prouvent leur immense professionnalismeL’aura du chef, son magnétisme – osons même parler de fluide ! – sont peut-être encore davantage aiguisés au sein du registre sacré, où il laisse libre cours à une ferveur mystique sans pareille. Après le «Requiem» de Louis –Théodore Gouvy en juin 2011, c’est le «Stabat Mater» de ce compositeur lorrain que voici révélé dans la Capitale des Gaules. La comparaison fait pencher le plateau en faveur de la séquence liturgique imaginée par Jacopone Da Todi bénéficiant, chez Gouvy, d’un surcroît d’inspiration par rapport à la messe des morts d’icelui. Tranchantes comme épées dans Beethoven, les masses chorales prouvent leur immense professionnalisme en s’adaptant, sans entracte, à l’écriture recueillie de leur intervention initiale dans Gouvy. D’ailleurs, cette dernière laisse percevoir, harmoniquement parlant, une troublante couleur beethovenienne dans la première section. Le talent du compositeur lorrain se constate au détour de la majorité des pages, avec une gradation appréciable.

Une écriture qui malmène rudementSi Dubor restitue admirablement les multiples facettes d’une orchestration recherchée, ses solistes vocaux ont plus de mal à dominer une écriture qui les malmène rudement. A ce titre, le ténor Patrick Garayt est, pour la première fois, mis en péril par les impératifs techniques,découvrant impitoyablement ses limites en souffle et prises de respiration dans des passages redoutables pour la gestion du legato et des valeurs longues. Dans les parties de soprano et de mezzo, Marilyn Clément et Marie-Lys Langlois-Behrenz accomplissent de la belle ouvrage, même quand la gestion des ressources pulmonaires les soumet également, mais dans une moindre mesure, à rude épreuve. Nous attendons maintenant avec impatience les concerts des 22 & 24 mai prochains, qui permettront la révéla-tion aux publics Rhône-alpins des «Scènes d’Olav Tryggvason», avatar de l’unique opéra – hélas inachevé – du norvégien Edvard Grieg: une nouvelle occasion exceptionnelle de découvrir un chef-d’œuvre injustement oublié !

Témoignages« Nous avons là un ensemble vocal remarquable, et M. Dubor est qui plus

est un bon pédagogue, rendant accessible des musiques qui ne sont pas toujours faciles à comprendre. Cet homme a la foi et la pêche, c’est tout à

fait communicatif.

Brice S., après son premier concert au choeur et orchestre

»

   « Merci J-Philippe pour cette soirée d’hier au soir, divine, magique: moment d’intense émotion que nous sommes sûrs d’éprouver à l’écoute d’une telle puissance et profondeur. Ce “Requiem” de Mozart fut un véritable bonheur à entendre dans

son authenticité. Je suis heureuse que le choeur et orchestre revive et nous fasse de nouveau vibrer. Merci aux quatre voix solistes, au 1er Violon, à l’Orchestre, aux chœurs ainsi qu’à son Chef de m’avoir transportée ainsi aussi proche du Divin. Et que

le grand nom de Dubor résonne très longtemps sur Lyon. J’espère que, du haut de la colline de Fourvière, ce 24 novembre 2009, l’écho de ce chef d’oeuvre rendu aura chatouillé suffisamment l’oreille du tout Lyon afin que chaque Lyonnais sache qui

est J.Philippe Dubor et l’ensemble en venant

l’ecouter, car l’entendre une fois signifie y revenir toujours. »Fabienne D., abonnée de l’ensemble

« Je vous propose donc une plaisanterie musicale…

La plaisanterie, c’est une œuvre musicale majeure construite par hasard, un soir d’ennui devant des joueurs de cartes par Berlioz, qui rédige en 1850, une pièce musicale qui sera enrichie quelques

années plus tard pour devenir « L’enfance du Christ ». Triomphe immédiat en 1854 !

Et triomphe une nouvelle fois renouvelé l’autre soir dans la crypte de Fourvière où je suis allé écou-ter cette pièce jouée par l’orchestre Dubor. Le même qui a animé le second concert de nouvel an

du 3ème avec du Verdi. L’orchestre nous a offert un moment sublime avec en particulier un trio de flutes et harpe époustouflant. Et une fois de plus, j’ai pu constater que les voix sont les plus beaux

des instruments, comme aime à le rappeler Dubor.

90 minutes qui sont passés trop vite aussi bien pour Aude que pour moi.

Et personnellement, je persiste à penser que Dubor et son orchestre romantique mériteraient une notoriété supérieure.

Je suis un inconditionnel : Dubor, j’adore ! »Thierry Philip (maire du 3ème arrondissement de Lyon)

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