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Press Release on the Exhibition Richelieu to Richelieu.
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Richelieu à Richelieu
11 mars – 12 juin 2011 !!!!
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Sommaire
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 2
EXPOSITION Un prestigieux rassemblement d'œuvres Œuvres sollicitées LA GALERIE DES BATAILLES SOUSCRIPTION Catalogue Le Musée des Beaux-Arts de Tours REUNION PRESSE RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
Orléans, Musée des Beaux-Arts Tours, Musée des Beaux-Arts
Richelieu, Musée municipal
Les Musées des Beaux-Arts d’Orléans et de Tours, en concertation avec la ville de Richelieu, s’associent pour concevoir et organiser, une exposition
consacrée principalement aux décors et collections du cardinal de Richelieu, acquis et commandés pour l’ornement de son château familial en Touraine, reconstruit sur les plans de Jacques Lemercier dès 1631!
L’exposition se donne pour objectif de réunir les pièces les plus insignes de la collection de peintures, de sculptures, d’objets d’art et de mobilier afin de reconstituer les ensembles les plus prestigieux de ce château :
- dans les appartements royaux, le Cabinet du Roi abritait les célèbres tableaux provenant du studiolo d’Isabelle d’Este à Mantoue (Mantegna, Pérugin, Costa) et les Bacchanales de Nicolas Poussin.
- au premier étage de l’aile nord, la Galerie des Batailles
déroulait sur ses murs un programme iconographique d’une exceptionnelle richesse à la gloire des campagnes militaires menées par Louis XIII et Richelieu de 1627 à 1636. Pendant la durée de cette exposition, elle sera reconstituée au Musée des Beaux-Arts d'Orléans et au Musée municipal de Richelieu.
Une section importante de l’exposition sera consacrée aux antiques, la plus grande collection française de sculptures antiques de la première moitié du XVIIème siècle (200 statues et bustes environ), l’une des toutes premières en Europe
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 3
ExpositionRichelieu à Richelieu
Printemps 2011
Richelieu, l'un des plus grands collectionneurs de son temps, fit bâtir ou réaménager de nombreux châteaux : le Palais-Cardinal, Limours, Rueil, Saujon et Richelieu, le plus important de tous. Le manoir familial était une construction relativement modeste qu'il souhaita néanmoins conserver. Il ordonna à son architecte, Jacques Lemercier d'englober le bâtiment ancien dans un vaste palais qui, achevé, fut considéré comme l'un des plus beaux d'Europe. Sa destruction presque totale au XIXème siècle ne laissa subsister que d'infimes vestiges : un des pavillons de l'anti-cour et dans le parc les deux pavillons des grottes. Seules gardent le souvenir des splendeurs passées plusieurs descriptions de voyageurs éblouis et d'assez nombreuses gravures de Perelle, Marot et Silvestre. Richelieu demanda l'aménagement de décors peints, en particulier pour l'appartement du Roi et celui de la Reine. Une partie de ce décor, attribué à Nicolas Prévost, est aujourd'hui conservée au Musée des Beaux-Arts d'Orléans et a fait l'objet d'une importante campagne de restauration en 2001-2002.
Vignier, gouverneur du château après la mort du cardinal, rédigea à l'intention des visiteurs une manière de guide qui permet de restituer l'iconographie du décor peint, aussi bien dans les appartements que dans la galerie qui occupait l'étage de l'aile nord. Célébrant les victoires de Louis XIII contre ses ennemis, les Habsbourg d'Espagne et d'Autriche, les Protestants, cette galerie des batailles subsiste en partie dans les réserves de Versailles.
Dans ce château qu'il ne vit jamais achevé, Richelieu eut soin de rassembler les oeuvres les plus insignes de sa collection de peintures et de sculptures. Ainsi le cabinet du Roi, sans aucun doute la pièce la plus prestigieuse, abritait les célèbres tableaux qui ornaient au palais ducal de Mantoue le Studiolo d'Isabelle d'Este et que Richelieu avait acquis vers 1630 (aujourd'hui au Musée du Louvre). Pour compléter cet ensemble extraordinaire (peintures de Mantegna, Lorenzo Costa et Pérugin), Richelieu commanda à Poussin trois Bacchanales qui comptent parmi les œuvres majeures de l'artiste (aujourd'hui à la National Gallery de Londres et à Kansas City).
Enfin, c'est pour orner les façades de son palais qu'il fit acheter à Rome une vaste série de bustes et statues antiques dont certaines pièces connurent rapidement une grande célébrité (la Vénus Richelieu, le Bacchus Richelieu, Musée du Louvre). Une grande partie de ces œuvres fut disposée dans les niches des façades du château, de part et d'autre des Esclaves de Michel-Ange qu'Henri de Montmorency avait offerts au Cardinal au moment de monter sur l'échafaud.
Outre les travaux anciens d'Edmond Bonnaffé (1884) sur les collections de Richelieu et de l'abbé Bossebœuf sur le château et la ville de Richelieu, nous bénéficions des recherches approfondies menées par John Schloder sur la peinture au château de Richelieu (1988), par Marie Montembault et John Schloder sur la collection d'antiques étudiés à partir de l'album Canini, qui regroupe les dessins des sculptures destinées au Cardinal-ministre, exécutés à Rome, avant leur transport ; par Alexandre Gady, auteur de l’ouvrage de référence sur l’architecte Jacques Lemercier, (Jacques Lemercier,
architecte et ingénieur du Roi, Editions de la Maison des sciences de l’homme, 2005), Christine Toulier qui a publié récemment le fruit de ses recherches sur le château et la ville de Richelieu (Richelieu et la cité idéale, éditions Berger M., 2005) et Jean-Luc Martinez (Les Antiques du
Louvre, Une histoire du goût d’Henri IV à Napoléon Ier, Fayard, 2004).
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Un prestigieux rassemblement d’œuvres
Les expositions simultanées d’Orléans, de Tours et de Richelieu, seront l’occasion de réunir de manière très exceptionnelle des œuvres prestigieuses.
Le musée d’Orléans, grâce à la générosité de Pilté-Grenet, est riche de
nombreuses peintures provenant des décors de Richelieu (Les Quatre
Eléments de Claude Deruet ; Les Evangélistes et Les Pères de
l’Eglise de Martin Fréminet ; les tableaux de Nicolas Prévost, récemment restaurés qui ornaient les appartements de l’aile sud du château).
De nombreuses œuvres seront sollicitées parmi lesquelles celles qui,
provenant du célèbre Studiolo d’Isabelle d’Este, furent acquises par Richelieu, sans doute dès 1630 :
Lorenzo Costa, Isabelle d'Este au royaume de l'Amour, 1504-1506 (Musée du Louvre), Lorenzo Costa, Le Règne du dieu Comus, 1507-1511. (Musée du Louvre)
Andrea Mantegna, Le Parnasse, vers 1496-1497 (Musée du Louvre), Andrea Mantegna, Minerve chassant les Vices du jardin de la Vertu, 1500-1502 (Musée du Louvre)
Pietro Varnnucci dit Le Pérugin, Le Combat de l’Amour et de la
Chasteté, 1502-1505 (Musée du Louvre)
Nicolas Poussin, Triomphe de Bacchus (The Nelson-Atkins Museum of Art, Kansas City), Nicolas Poussin, Triomphe de Pan (Londres, The National Gallery), Nicolas Poussin, Triomphe de Silène (Londres, The National Gallery)
Jacques Stella, La Libéralité de Titus (Cambridge, Fogg Art Museum) mais aussi les douze scènes de Batailles qui ornaient la galerie des
Batailles du château (aile nord), aujourd’hui au Château de Versailles ou encore Claude Vignon, Triomphe d’Hercule, château de Maisons-Laffitte
La connaissance de la collection de sculptures antiques de Richelieu, à laquelle le cardinal-ministre tenait tout particulièrement, repose en grande partie sur l’album Canini (Musée du Louvre) recueil de dessins exécutés à Rome, vers 1630, reproduisant les sculptures dont l’achat était proposé au cardinal. Toutes étaient destinées à orner les façades, l'intérieur et les jardins du château de Richelieu.
Richelieu fut un grand collectionneur d’antiques (on estime sa collection à quelque quatre cents pièces), œuvres si convoitées au XVIIème siècle que leur exportation hors d’Italie faisait l’objet de délicates tractations diplomatiques, nécessitant la présence à Rome d’agents de confiance, à la compétence incontestable.
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Les cent douze dessins de l’album Canini n’évoquent donc qu’une partie de
la collection . Les plus belles de ces statues sont aujourd’hui au musée du Louvre (la Vénus Richelieu ; le Bacchus Richelieu ; le Mercure
Richelieu ; Vénus et Cupidon ; Antimoüs en Vertumne ; Germanicus Richelieu …) et plusieurs d’entre elles nous seront prêtées.
Les bustes antiques dispersés entre le musée du Louvre, le musée des
Beaux- Arts de Tours, la Préfecture de Tours et diverses collections particulières, mais aussi les deux colonnes rostrales qui s’élevaient au-dessus du portail d’entrée (Paris, musée de la Marine) seront réunis pour cette exposition.
Richelieu commanda à Berthelot, sculpteur ordinaire de la reine-mère,
deux statues pour Richelieu, destinées au portail d’honneur du château : la Renommée (localisation actuelle inconnue) et la statue de Louis XIII (musée de Poitiers).
Il convient d’ajouter à ce premier aperçu d’œuvres prestigieuses
susceptibles d’être présentées dans le cadre de ces expositions, des objets d’art célèbres comme la Table de pierres dures (Musée du Louvre, galerie d’Apollon) vantée par de nombreux visiteurs des XVIIème et XVIIIème siècles, ainsi que les vases de porphyre aujourd’hui au Département des Objets d’art du Louvre.
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Oeuvres sollicitées
Le cabinet du Roi Le Studiolo d'Isabelle d'Este et les Bacchanales!!!!
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Andrea Mantegna Minerve chassant les Vices du jardin de la
Vertu Paris, musée du Louvre
Andrea Mantegna Le Parnasse
Paris, musée du Louvre
Lorenzo Costa Isabelle d'Este au royaume de l'Amour
Paris, musée du Louvre
Lorenzo Costa Le Règne du dieu Comus
Paris, musée du Louvre
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Pietro Varnnucci, dit le Pérugin Le Combat de l’Amour et de la Chasteté Paris, musée du Louvre
Nicolas Poussin Le Triomphe de Pan Londres, The National Gallery
Jacques Stella La Libéralité de Titus
Cambridge, Fogg Art Museum
Nicolas Poussin Le Triomphe de Silène
Londres, The National Gallery
!!Les Antiques. Paris, musée du Louvre
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Une section importante de l’exposition sera consacrée aux antiques.
La plus grande collection française de sculptures antiques de la première moitié du XVIIème siècle. 200 statues et bustes environ. L’une des toutes premières en Europe.
Vénus et Cupidon Pavillon d’entrée de la cour d’honneur Niche latérale, côté cour, à droite
Vénus de Praxitèle Façade du corps de logis, à gauche des
Esclaves de Michel-Ange
Mercure Richelieu
Façade du corps de logis
Buste de la déesse Rome
Galerie d’apparatBuste de poétesse, dite Sabine Richelieu
Galerie d’apparat
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Apollon Richelieu
Escalier I° étage, niche Junon Richelieu
Escalier I° étage, niche Esculape et Telesphore
Cabinet du Roi
Antinoüs en Vertume
Jardins Bacchus RichelieuAlexandre Sévère Richelieu
Salon Germanicus Richelieu
Salon
Antiques. Tours, Musée des Beaux-Arts!!!!
Terme d'Homère Hauteur, 243 cm. Marbre pentélique Œuvre à restaurer
Terme d'Homère Hauteur, 243 cm. Marbre pentélique Œuvre à restaurer
Terme de Mercure Hauteur, 232 cm. Marbre pentélique
Terme de Mercure Hauteur, 232 cm. Marbre pentélique. Œuvre à restaurer
Buste de DémosthèneHauteur, 83 cm.
Marbre et albâtre
Buste dit de VolusianusHauteur, 83 cm.
Marbre et albâtre
Buste d'Hercule Hauteur, 86 cm.
Marbre
Buste de ScipionHauteur, 82 cm.
Marbre et albâtre
La Galerie des Batailles (Château de Versailles)!!!!
Ces œuvres, réunies exceptionnellement pour l’exposition, doivent être restaurées Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 12
Le Combat du Pas de Suse Capitulation de Privas
La Prise de Pignerol Le Combat de Carignano La Levée du Siège de Casal
Le combat de Castelnaudary
LA GALERIE DES BATAILLES
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Située au premier étage de l'aile nord du château, la Galerie des Batailles constituait un morceau de choix où, sous l'autorité du souverain, s'étalait la grandeur du ministre.
Elle faisait suite aux appartements du Cardinal et se terminait par le grand Salon à l'Italienne, où fut dressé le festin offert à Louis XIV en juillet 1650.
Sur près de 70 mètres de long et 10 mètres de large, elle déroulait sur ses murs, un programme iconographique d'une exceptionnelle richesse, à la gloire des campagnes militaires menées par Louis XIII et Richelieu, à l'intérieur et à l'extérieur du royaume, contre les Protestants et leurs alliés anglais, et contre les Habsbourg d'Autriche et d'Espagne, depuis la prise de l'Île de Ré en 1627 jusqu'à celle de Corbie en 1636, 12 sièges de villes et 8 batailles de très grand format.
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 14
Maintes fois décrit par les voyageurs, cet espace architectural, commandé par Richelieu à Jacques Lemercier, constitue la première galerie de batailles réalisée en France, et servira en quelque sorte de modèle pour le Grand Condé à Chantilly, pour le duc de Lorraine à Lunéville et tout particulièrement pour Louis XIV au réfectoire des Invalides et à Versailles.
De ce prestigieux décor conservé in situ jusqu'à la Révolution, il ne reste aujourd'hui que douze tableaux conservés depuis 1837 dans les collections du Château de Versailles et jusqu'à ce jour jamais réunis pour une présentation au public.
Cependant une restauration s'impose pour chaque toile avant sa présentation; restauration importante en raison du format. Chaque toile mesure environ3,30 m. sur 2,60 m., mais également en raison de l'état du support et de la couche picturale.
La Levée du Siège de l'île de Ré Huile sur toile H. 382,2 cm L. 262,5 cm inv. MV 607
Le Combat du Pas de Suse Huile sur toile H. 327 cm L. 262,5 cm inv. MV 609
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 15
Pendant la durée de l'exposition : Musée municipal de RICHELIEU, puis dépôt du château de Versailles au Musée municipal de RICHELIEU
Très convoitée par les protestants et leurs alliés britanniques, l'île est envahie par la flotte anglaise le 22 juillet 1627. Assiégé dans la citadelle de Saint-Martin-de-Ré; le comte de Toiras résiste jusqu'à l'arrivée des troupes françaises dirigées par Louis XIII et Richelieu, le 7 octobre 1627.
La composition du tableau est proche de l'estampe commandée à Jacques Callot par le roi en 1628.
Restauration: support : 24.518,00 !, couche picturale : 28.464,80 E / TOTAL : 52.982,80 ! Etat de l’œuvre : Cette peinture sur toile a été transposée au XIX° siècle et présente un état de
dégradation important du support et de la couche picturale qui justifie une intervention importante.
Traitement proposé pour la restauration : démontage de la transposition, nettoyage et réfection de l'ancien châssis, allègement du vernis oxydé, retrait des repeints, réintégration des lacunes.
Pendant la durée de l'exposition : Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS, puis dépôt du château de Versailles au Musée des Beaux-Arts de TOURS
La succession de Vincent II, duc de Mantoue, décédé en 1628, est à l'origine de cette campagne militaire qui allait opposer la France aux Habsbourg d'Espagne. En apportant leur soutien au duc de Nevers contre le duc de Savoie, Louis XIII et Richelieu souhaitaient conserver le passage des Alpes au pas de Suse. Ce défilé étroit permettait de franchir la frontière du duché de Mantoue sur la route d'Italie. Les fortifications levées par les Espagnols devant la ville de Suse seront détruites le 6 mars 1629 par les troupes françaises victorieuses.
Une gravure d'Abraham Bosse d'après le dessin de l'ingénieur Jean de Beins reproduit le même sujet.
Restauration : support : 15.936,70 ! , couche picturale : 29.302,00 E / TOTAL : 45.238,70 !
Etat de l'œuvre : Cette peinture a subi une transposition au XIX° siècle. La couche picturale présente des usures, de nombreux mastics et des lacunes. Le vernis est très hétérogène
Traitement proposé pour la restauration : changement des clés du châssis, reprise de la transposition, décrassage et allègement du vernis, retrait des mastics et repeints débordants, réintégrations, vernissage.
La Capitulation de Privas Huile sur toile H. 326,5 cm L. 262,5 cm Inv. MV 610
La Paix de Nîmes Huile sur toile H. 327 cm L. 262 cm Inv. MV 611
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 16
Pendant la durée de l'exposition : Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS, puis dépôt du château de Versailles au Musée des Beaux-Arts de TOURS Revenu victorieux dans l'affaire de la succession de Mantoue,
Richelieu revient en Languedoc pour combattre les protestants. Privas, construite sur une colline protégée par trois ruisseaux, l'Ouvèze, le Charalon et le Mezayon, capitule au bout de dix jours de siège. La prise et le sac de cette ville, le 27 mai 1629, par l'armée du roi, aura un effet dévastateur sur le moral des huguenots.
Restauration : support : 21.049,60 !, couche picturale : 15.906,80 ! / TOTAL : 36.956,40 ! Etat de l'œuvre : Peinture transposée au XIX° siècle, la surface est recouverte d'un vernis très
hétérogène, affecté de chancis. Traitement proposé pour la restauration : reprise de la transposition, des déformations de la toile dans
les angles, décrassage de la couche picturale, nettoyage et allègement du vernis, dégagements des repeints et des mastics débordants, vernissage et réintégration.
Pendant la durée de l'exposition : Musée municipal de RICHELIEU, puis dépôt du château de Versailles au Musée municipal de RICHELIEU L'armée du roi, commandée par Louis XIII et Richelieu, sillonne la
plaine et envahit cette ville protestante le 4 juillet 1629. Restauration : support : 15.936,70 ! , couche picturale :
28.464,80 ! / TOTAL : 44.401,50 !
Etat de l'œuvre : Peinture transposée au XIX° siècle, reprise partielle de la transposition, la couche picturale présente de nombreuses lacunes et usures, les mastics et les repeints sont tous très débordants, les couches de vernis, oxydées et jaunis sont affectées par des chancis.
Traitement proposé : Reprise complète de la transposition, nettoyage et réfection de l'ancien châssis. Décrassage et allègement du vernis avec retrait des mastics et repeints débordants, harmonisation et réintégration des lacunes de la couche picturale.
La Soumission de Montauban Huile sur toile H. 323 cm L. 241,5 cm Inv. MV 612
La Prise de Pignerol Huile sur toile H. 326,5 cm L. 262 cm Inv. MV 613
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 17
Pendant la durée de l'exposition : Musée municipal de RICHELIEU, puis dépôt du château de Versailles au Musée municipal de RICHELIEU Suite au traité de Saint-Germain, en 1570, Montauban était
devenu l'une des quatre places fortes accordées aux protestants. Après un cuisant échec que la ville avait infligé aux troupes royales dirigées par le duc de Luynes en 1621, Richelieu s'empare de ce dernier bastion huguenot en Languedoc le 21 août 1629 et fait raser l'ensemble des fortifications.
Restauration : support : 16.881,54 ! , couche picturale : 22.185,80 ! / TOTAL : 39.067,34 euros Etat de l'œuvre : œuvre rentoilée mais conserve sa toile d'origine. Vernis très hétérogène et irrégulier,
nombreux mastics et repeints débordants Traitement proposé pour la restauration : Reprise du rentoilage à la colle de pâte permettant la remise
dans le plan des cloques et des déformations liées aux nodules de colle, nettoyage et réfection de l'ancien châssis. Décrassage du vernis et retrait des mastics et des repeints. Réintégration des usures.
Pendant la durée de l'exposition : Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS, puis dépôt du château de Versailles au Musée des Beaux-Arts de TOURS
Richelieu attaque et prend au duc de Savoie soutenu par les Espagnols, la forteresse de Pignerol dans le Piémont le 31 mars 1630. Désormais la France occupe une porte qui lui donne accès à la plaine du Pô et consolide les abords de ses frontières.
Restauration : support : 15.918,76 ! , couche picturale : 28.464,80 ! / TOTAL : 44.383,56 euros
Etat de l'œuvre : Peinture transposée au XIX° siècle. Vernis très hétérogène et irrégulier, affecté de chancis, très nombreux mastics, débordants, altérés et contraignants pour la couche picturale.
Traitement proposé pour la restauration : Reprise de la transposition, nettoyage et réfection de l'ancien châssis. Décrassage et enlèvement des nombreux repeints, reprise des anciens mastics et réintégration picturale.
Le Combat du pont de Carignan Huile sur toile H. 362,5 cm L. 262,5 cm Inv. MV 614
La Levée du siège de Casal Huile sur toile H. 326 cm L. 261 cm Inv. MV 593
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 18
Pendant la durée de l'exposition : Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS, puis dépôt du château de Versailles au Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS
Carignan, très ancienne seigneurie appartenant à la Maison de Savoie, à quelques kilomètres de Turin, est le théâtre d'un combat victorieux contre les troupes du duc de Savoie le 6
août 1630. Restauration : support : 23.274,16 ! , couche picturale : 11.302,20 ! / TOTAL : 34.576,36euros Etat de l'œuvre : Peinture transposée au XIX° siècle. Vernis très
hétérogène, irrégulier et affecté de chancis. Nombreux repeints et usures.
Traitement proposé pour la restauration : Reprise de transposition, nettoyage et réfection du châssis. Décrassage et allègement du vernis avec retrait des mastics et des repeints les plus gênants. Réintégration de la couche picturale.
Pendant la durée de l'exposition : Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS, puis dépôt du château de Versailles au Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS
En 1629, Richelieu avait déjà du porter secours à cette place forte assiégée par une armée espagnole. Un an plus tard, les troupes françaises remarchent sur Casal et lèvent le siége le 26 octobre 1630. Le jeune Jules Mazarin, diplomate romain, envoyé du Saint Siège, obtient un compromis satisfaisant pour Richelieu : Espagnols et Français se retirent de la citadelle, et l'Empereur d'Autriche reconnaît l'investiture du duc de Nevers sur le duché de Savoie.
Restauration : support : 20.930,00 ! , couche picturale : 14.651,00 ! / TOTAL : 35.581,00 ! Etat de l'œuvre : Peinture transposée au XIX° siècle. Vernis hétérogène et affecté de chancis.
Nombreuses lacunes recouvertes de mastic débordant et de repeints débordants et désaccordés. Traitement proposé pour la restauration : Reprise de la transposition, nettoyage et réfection de l'ancien
châssis. Décrassage et allègement du vernis, retrait des mastics et des repeints débordants, réintégration des lacunes et harmonisation de la couche picturale.
Le Combat de Castelnaudary Huile sur toile H. 325,5 cm L. 237,3 cm Inv. MV 615
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 19
Pendant la durée de l'exposition : Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS, puis dépôt du château de Versailles au Musée des Beaux-Arts d'ORLEANS
Le duc de Montmorency, gouverneur tout puissant et complice de Gaston d'Orléans, soulève sa province contre Louis XIII. La bataille contre l'armée royale dirigée par le roi et Richelieu a lieu devant Castelnaudary le 1er septembre 1632. Après un procès qui se tient devant le parlement de Toulouse, Montmorency est fait prisonnier et condamné à mort.
Restauration : support : 14.411,80 ! , couche picturale : 30.139,20 ! / TOTAL : 44.551,00 ! Etat de l'œuvre : Peinture transposée au XIX° siècle. Vernis altéré
d'aspect très hétérogène, irrégulier et affecté de chancis profond. Nombreuses lacunes recouvertes de repeints débordants. Présence d'importantes usures.
Traitement proposé pour la restauration : Reprise de la transposition. Nettoyage et réfection de l'ancien châssis. Décrassage et retrait du vernis et des nombreux repeints. Harmonisation des lacunes. Réintégration des lacunes et des usures.
SOUSCRIPTION
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 20
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 21
Catalogue
COMMISSARIAT GENERAL : Jean-Luc Martinez, conservateur général, Chargé du département des Antiquités étrusques,
grecques et romaines au Musée du Louvre. Paola Bassani-Pacht, historienne de l’art Sylvain Kerspern, historien de l’art Alexandre Gady, historien de l’art, Professeur à L'Université de Nantes Christine Toulier, conservateur en chef du Patrimoine, Inventaire de la région Pays-de-la-Loire COMMISSARIAT : Philippe Le Leyzour, conservateur en chef du Musée des Beaux-Arts de Tours Isabelle Klinka, conservateur en chef du Musée des Beaux-Arts d'Orléans Annie Gilet, conservateur au Musée des Beaux-Arts de Tours Danielle Oger, conservateur au Musée des Beaux-Arts de Tours
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 22
""""ichelieu à Richelieu
11 mars – 12 juin 2001Tours Orléans
Richelieu
Richelieu à
Richelieu
Format : 28 x 23 cm. à la française 171 p. 94 reproductions couleur Editeur : appel d'offres en cours. Prix : 45 ! environ
Parmi les plus beaux sites du Val de Loire figure l’ancien palais de l’archevêché, classé Monument Historique, aujourd’hui musée des Beaux-Arts.
L’aile principale de l’ancien palais de l’archevêché construit en 1767, est un grand corps de logis classique comportant fronton et attique, avec, à l’Est, une terrasse surplombant les jardins et le parc.
Cette architecture côtoie des édifices qui se sont succédé de l’Antiquité
jusqu’au XVIIIème siècle. Rempart et tour gallo-romains (IVème s.), ancien palais du XVIIème siècle La Salle des Etats Généraux (XIIème-XVIIIème siècles) où se rassemblèrent à deux reprises, en 1468 et 1484, les Etats généraux du royaume de France est sans aucun doute l’un des lieux historiques les plus évocateurs de l’histoire de Touraine. A la veille de la Révolution elle est transformée en chapelle avec colonnade à l’antique tandis que la cour d’entrée est close par un hémicycle précédé d’une porte monumentale formant un arc de triomphe.
Après 1789, le Palais des Archevêques devient théâtre, Ecole Centrale,
bibliothèque et dépôt des œuvres d’art confisquées à partir de 1793. Charles-Antoine Rougeot, premier conservateur et fondateur du musée, dresse en mai 1794 le premier inventaire. Le musée sera officiellement ouvert au public un an plus tard le 4 mars 1795. Sous l’Empire et durant tout le XIXème siècle, les bâtiments sont à nouveau affectés à l’archevêché. Les œuvres quittent donc ce lieu et déménagent dans des locaux provisoires, dans l’ancien couvent de la Visitation, puis dans l’ancienne intendance, avant que ne soit inauguré en 1828 un bâtiment créé spécialement pour accueillir le musée.
Ce n’est qu’en 1910, date à laquelle la ville devient propriétaire des lieux, que les collections réintègrent l’ancien palais archiépiscopal.
Le fonds le plus ancien du musée est constitué d’œuvres saisies dés 1794
dans les maisons d’immigrés, les églises et les couvents, en particulier les grandes abbayes de Marmoutier, de Bourgueil et de La Riche, ainsi que des tableaux et des meubles provenant du château de Chanteloup, de Richelieu. Parmi les plus célèbres citons Blanchard, Boucher, Boulogne, Houël, La Fosse, Lamy, Le Sueur, Parrocel, Restout. Disposées pour la plupart dans de magnifiques salons de réception, ces œuvres évoquent, grâce à la présence d’un riche mobilier, la vie dans un palais au XVIIIème s.
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 23
Musée des Beaux-Arts / Palais des Archevêques
Tours
Créé officiellement en 1801 le musée bénéficie de l’envoi par le Museum Central, futur musée du Louvre, de trente tableaux dont une série de morceaux de réception de l’Académie royale de peinture (Jean-Marc Nattier, Jean-Bernard Restout, Jacques Dumont le Romain). C’est à cette époque que le musée reçoit l’Ex-voto de Rubens et les chefs-d’œuvre de la Renaissance italienne que sont les deux panneaux d’Andrea Mantegna.
Au cours du XIXème siècle, la ville de Tours acquiert deux lots importants de peintures où le XVIIIème siècle français et italien est bien représenté. Dépôts de l’Etat, legs et dons enrichissent le musée tout au long du XIXème et XXème siècles d’œuvres de Lorenzo Veneziano, Rembrandt, Champaigne, Corneille, Coypel, Ingres, Largillière, Lemoyne, Nattier, Perronneau, Hubert Robert, Van Loo, Vernet…. Ainsi la collection de peinture française du XVIIIème siècle est l'une des plus importantes de France et la collection de peinture italienne la plus riche de la Région Centre.
En 1963 le musée reçoit le legs du peintre et collectionneur Octave Linet, augmenté de récentes acquisitions, constituant ainsi une exceptionnelle collection de Primitifs italiens, la plus riche de France après le musée du Louvre.
Le dix-neuvième siècle est également bien représenté, depuis l’école néo-classique (Suvée, Taillasson), le romantisme (Vinchon), l’orientalisme (Belly, Chassériau, Delacroix), le réalisme (Bastien-Lepage, Cazin, Gervex) jusqu' à l’impressionnisme (Monet, Degas) et en sculpture avec Barye, Bourdelle, David d'Angers, Rodin…
La collection d’œuvres du XXème siècle regroupe les noms de Geneviève Asse, Calder, Davidson, Debré, Maurice Denis, Gaumont, Vieira da Silva, Zao Wou-ki.
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 24
Musée des Beaux-Arts / Palais des Archevêques 18, place François Sicard. 37000 TOURS Tél. : 02 47 05 68 73. Fax : 02 47 05 38 91 Contact : [email protected] Ouvert tous les jours sauf le mardi, de 9h00 à 18h00. Fermé le 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 1er et 11 novembre, 25 décembre. Tarifs : 4 !, demi-tarif : 2 !. Gratuite le premier dimanche du mois Demi-tarif 2 !: groupe de plus de 10 personnes, étudiants, personnes de plus de 65 ans. Gratuité : chômeurs, étudiants en Histoire de l’Art et aux Beaux-Arts, Amis de la Bibliothèque et du Musée, ICOM, enfants de moins de 13 ans. Groupe : Forfait conférence : 32 ! + 2 ! par personne Sur réservation : renseignements du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h Tel : 02 47 05 68 73 - Fax : 02 47 05 38 91
REUNION PRESSE
Musée des Beaux-Arts de Tours / Musée des Beaux-Arts d'Orléans / Musée Municipal de Richelieu : Richelieu à Richelieu 25
Le Musée des Beaux-Arts de Tours vous invite à la réunion de presse
le mardi 19 janvier 2010
10h30 : brunch au musée des Beaux-Arts de Tours
11h : présentation de la future exposition Richelieu à Richelieu et lancement de la souscription
par Colette Girard, Adjointe au Maire chargée de la Culture,
Philippe Le Leyzour, Conservateur en chef du Musée des Beaux-Arts, Christophe Noël, Directeur Général du Crédit Agricole Touraine – Poitou,
Patrick Findeling, Président de Mécénat Touraine Entreprises, Frédéric Néraud, Directeur Général de la Fondation du Patrimoine,
Jean-Pierre Dechelle, Délégué départemental Indre-et-Loire de la Fondation du Patrimoine,
Bruno Gonzague, Président Medef Touraine, Michel Rica, Président de l'Association des Amis de la Bibliothèque et du
Musée des Beaux-Arts de Tours
13h : Cocktail
Réponse souhaitée avant le
lundi 11 janvier 2010
Contact : Eric Garin, Chargé de l’action culturelle, de la communication, des relations presse et du public
T : 02 47 05 68 73 / 02 47 05 58 71, F : 02 47 05 38 91
Pour Paris :
Départ 9h10, Paris Montparnasse 1 et 2, TGV 08317 10h11 Saint-Pierre-des-Corps navette 05317
Arrivée Tours 10h16
Retours Départ Tours 14h12 – Paris 15h20
Tours 14h41 – Paris 15h50 / Tours 15h42 – Paris 17h20 Tours 16h02 – Paris 17h20 / Tours 17h09 – Paris 18h35 Tours 17h42 – Paris 18h50 / Tours 17h55 – Paris 19h05 Tours 18h29 – Paris 19h40 / Tours 18h55 – Paris 20h05
Tours 20h25 – Paris 21h35 / Tours 21h44 – Paris 23h56
Renseignements pratiques
LIEUX:
Musée des Beaux-Arts / Palais des Archevêques 18, place François Sicard. 37000 TOURS Tél. : 02 47 05 68 73. Fax : 02 47 05 38 91 Contact : [email protected] [email protected]
www.musees.regioncentre.fr www.tours.fr www.framemuseums.org
Ouvert tous les jours sauf le mardi, de 9h00 à 18h00. Fermé le 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 1er et 11 novembre, 25 décembre. Tarifs : 4 !, demi-tarif : 2 !. Gratuite le premier dimanche du mois Demi-tarif 2 !: groupe de plus de 10 personnes, étudiants, personnes de plus de 65 ans. Gratuité : chômeurs, étudiants en Histoire de l’Art et aux Beaux-Arts, Amis de la Bibliothèque et du Musée, ICOM, enfants de moins de 13 ans. Groupe : Forfait conférence : 32 ! + 2 ! par personne Sur réservation : renseignements du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h Tel : 02 47 05 68 73 - Fax : 02 47 05 38 91
CONTACT PRESSE :
Musée des Beaux-Arts de Tours / 02 47 05 68 73 / [email protected] Eric Garin, chargé de l’action culturelle, de la communication et du public [email protected] CONTACT MECENAT :
Frédérique Kirstetter. 06 72 74 91 93 / [email protected]
Amis de la bibliothèque et du Musée des Beaux-Arts de Tours Bibliothèque Municipale 2 bis, avenue André Malraux 37000 Tours
Conception : E. Garin