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WARNER BROS. PICTURES présente
En association avec VILLAGE ROADSHOW PICTURES
En association avec RATPAC-DUNE ENTERTAINMENT
Une production JERRY WEINTRAUB
Une production RICHE/LUDWIG
Une production BEAGLEPUG
Un film de DAVID YATES
ALEXANDER SKARSGÅRD – SAMUEL L. JACKSON – MARGOT ROBBIE - DJIMON HOUNSOU
avec JIM BROADBENT et CHRISTOPH WALTZ
Co-producteur Musique
Chef Costumière
SCOTT B. CHERRIN RUPERT GREGSON-WILLIAMS RUTH MYERS
Monteur MARK DAY
Chef Décorateur STUART CRAIG
Directeur de la Photographie Producteurs délégués
D’après sur une histoire de « Tarzan » crée par
Histoire
HENRY BRAHAM BSC SUSAN EKINS, NIKOLAS KORDA, KEITH GOLDBERG, DAVID YATES, MIKE RICHARDSON et BRUCE BERMAN
EDGAR RICE BURROUGHS
CRAIG BREWER et ADAM COZAD Scénario
Réalisé par ADAM COZAD and CRAIG BREWER DAVID YATES
Durée : 1H50
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Grâce à cette relecture du mythe Tarzan par le réalisateur d’Harry Potter avec Alexander
Skarsgard, Margot Robbie et Christopher Waltz, la jungle a retrouvé son roi.
SYNOPSIS
Après avoir grandi dans la jungle africaine, Tarzan (Alexander Skarsgård) a renoué avec
ses origines aristocratiques, répondant désormais au nom de Lord Greystoke. Il mène une vie
paisible auprès de son épouse Jane (Margot Robbie) jusqu'au jour où il est convié au Congo en
tant qu'émissaire du Commerce. Mais il est loin de se douter du piège qui l'attend. Car le
redoutable Capitaine Leon Rom (Christoph Waltz) est bien décidé à l'utiliser pour assouvir sa
soif de vengeance et sa cupidité…
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NOTES DE PRODUCTION
L'HOMME CONTRE LA NATURE
Le gentleman convoqué au 10 Downing Street par le Premier ministre anglais n’est autre
que John Clayton III, cinquième comte de Greystoke, et membre de la Chambre des Lords. Mais
à l'autre bout du monde, à une époque qui semble révolue, il était connu sous un nom devenu
légendaire : Tarzan.
Après avoir signé les quatre derniers films de la saga HARRY POTTER, David Yates
espérait trouver un projet "d'envergure, ponctué de scènes d'action spectaculaires". Il ajoute :
"C'est alors que j'ai reçu ce scénario qui m'a immédiatement accroché : il abordait une figure
mythique sous un angle très original".
"J'ai été complètement bluffé par le scénario", acquiesce Alexander Skarsgård, qui tient
le rôle-titre. "S'il ménage des tas de rebondissements comme on les aime, les personnages,
magnifiquement campés, y ont de la densité et leurs rapports sont passionnants. J'adore les
grosses productions qui font preuve d'humour, dans lesquels on s'attache aux personnages et à
leurs péripéties".
Le producteur David Barron observe que le film explore le personnage bien au-delà du
mythe populaire. "Tarzan est l'un des tout premiers super-héros. Mais ce film va surprendre
toux ceux qui pensent connaître cette histoire. L'homme a grandi dans la jungle, où il a été élevé
par des singes, et il possède donc une force et des sens d'une acuité remarquables".
Dans cette toute nouvelle aventure, Tarzan est confronté à un ennemi redoutable qui
menace de détruire son univers et ses êtres chers. Mais après avoir passé plusieurs années au
sein de la bonne société britannique, il se retrouve aussi face à un terrible danger en retournant
en Afrique, où des adversaires ancestraux l'attendent de pied ferme.
Au début du film, "le roi Léopold II de Belgique invite John à revenir au Congo, sous
prétexte de constater tous les projets bénéfiques à la région que le souverain a mis en œuvre,
même si ce geste de bonté n'est en fait qu'un leurre et un piège", explique Yates. "En réalité, il
est incité à s'y rendre par l’émissaire du roi, Léon Rom, qui est un traître et compte capturer
Tarzan et le livrer à un vieil ennemi en échange de diamants".
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"John a grandi parmi les primates mais cela fait presque dix ans qu’il a quitté leur
univers, et il hésite donc à y retourner", intervient Skarsgård. "Au Congo, il a toujours des
ennemis et on sent qu'il a un lourd passé. Je trouve surtout intéressant de voir qu’il redoute
l’homme qu’il était, si bien que son retour aux sources est une perspective qui l'effraie".
La situation devient encore plus risquée quand son épouse adorée, Jane, insiste pour
l’accompagner en Afrique, où elle se sent chez elle. Et à son corps défendant, John cède.
Margot Robbie, qui campe Jane, a apprécié le regard moderne du film sur ce couple.
"L’histoire se déroule au XIXe siècle mais elle est très actuelle car elle aborde des thèmes
universels et qu'elle raconte aussi, et surtout, une merveilleuse histoire d’amour", dit-elle. "Ce
qui m'a séduite, c'est qu’on ne reparte pas de l’histoire originelle, autour de la rencontre entre
Tarzan et Jane dans la jungle. Leur relation est plus riche à l'époque où se déroule le film".
Le scénario de TARZAN a été écrit par Adam Cozad et Craig Brewer, qui se sont inspirés
de leur propre récit. "Ce qui me tenait à cœur ainsi qu’à David Yates, c'est la grande histoire
d’amour entre John, alias Tarzan, et Jane", révèle Cozad.
"J’ai adoré les livres [de Burroughs]", se souvient Brewer, "et je trouvais donc primordial
de mettre en scène certains personnages et certaines situations qui se trouvent dans ses
ouvrages, à commencer par Tarzan et Jane, bien sûr. Mais nous voulions ancrer l’histoire dans
un contexte historique lié à la colonisation du Congo par le roi Léopold II. C’était donc
intéressant de leur faire rencontrer des personnages ayant existé à cette époque et s’étant
rendus sur place".
Bien que Tarzan et Jane soient fictifs, ils côtoient deux personnages librement inspirés
de la réalité : George Washington Williams, courageux soldat conscient des questions
humanitaires de l'époque, incarné par Samuel L. Jackson ; et l’ennemi principal, Léon Rom,
campé par Christoph Waltz.
"L’histoire se déroule dans le Congo de l’époque, ce que j’ai trouvé captivant", signale le
réalisateur. "Les thèmes abordés m’ont aussi intrigué, sans parler de ce personnage en
perpétuelle quête d’identité qui cherche à trouver sa place dans le monde. Et surtout, quand j’ai
découvert le scénario, j’ai senti que j’avais déniché un projet réellement palpitant et humain".
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"Le tournage de ce film a été une sacrée aventure, mais David Yates nous a menés à bon
port", commente Alan Riche, producteur aux côtés de son associé Tony Ludwig. "C'est grâce
aux nombreux talents de David, conjugués à ceux de nos acteurs et techniciens, que ce grand
spectacle cinématographique a pu se faire".
"David s’est servi de son expérience sur les films d’HARRY POTTER pour TARZAN",
explique David Barron, qui a déjà collaboré avec Yates sur les quatre derniers films de la saga.
"Les projets dont le casting et les décors sont aussi spectaculaires que les cascades lui
réussissent et il maîtrise les effets visuels élaborés. C’est exactement ce qu’il faut sur un tel film.
C’est aussi le type le plus adorable au monde – il a du goût et une grande intégrité – même si ce
côté avenant cache un caractère bien trempé. Il a un vrai point de vue et il sait précisément ce
qu’il veut et qu'il ne veut pas. Il écoute attentivement les autres et il est toujours disposé à suivre
un conseil… quand il est bon".
"David avait une idée très précise en tête mais il s’est montré réceptif à mes suggestions,
si bien que c’était extrêmement gratifiant d’avoir l’impression d’être écouté", indique Christoph
Waltz. "Il a eu la lourde tâche de transformer l’écheveau de cette production en une œuvre
puissante, et j’ai donc voulu faire tout mon possible pour l’aider. C’est le type le plus doux qu’on
puisse imaginer. Du coup, il obtient tout ce qu'il veut".
"Dans ce film, il est surtout question des relations, pas seulement entre nos personnages
mais aussi de leurs rapports à la terre, aux tribus, aux animaux et à tout ce qui les entoure",
ajoute Samuel L. Jackson. "David y a été très attentif, de façon à ce que les spectateurs puissent
se reconnaître aussi bien dans les rapports humains et leur impact émotionnel que dans
l’aventure qui se déroule à l'écran".
"David est un visionnaire incroyable et travailler avec lui restera un souvenir
merveilleux", déclare Margot Robbie. "L’ambiance sur un tournage dépend du réalisateur et
c’était un plaisir d’être sur notre plateau. Tout ça, c'était vraiment grâce à David qui est d’une
grande douceur".
Le producteur Jerry Weintraub, disparu en juillet 2015, a lui aussi joué un rôle-clé sur ce
tournage : l'homme a marqué tous ceux qui ont eu l'occasion de collaborer avec lui. Les acteurs
et les producteurs considèrent qu’ils ont eu de la chance de pouvoir travailler avec l’un des
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géants du cinéma. "J’ai été particulièrement emballé par ce projet en apprenant que Jerry
Weintraub le produisait", confirme Skarsgård. "C’était un producteur remarquable doublé d’une
personnalité fantastique. C’était tout simplement quelqu’un d’adorable".
"Jerry savait se montrer gentil mais dur, perspicace, drôle – en somme, un vrai pro",
analyse le réalisateur. "Il faisait entièrement confiance aux gens avec lesquels il choisissait de
travailler, ce qui ne manquait pas de leur donner des ailes. C’était un ardent défenseur de
TARZAN, projet qu’il portait depuis déjà quelques années. Ça a été un privilège pour nous tous
de mener à bien un film dans lequel il s'était autant investi. Il nous manque terriblement".
"L’expression 'figure imposante' est souvent utilisée mais dans le cas de Jerry Weintraub,
elle lui correspond parfaitement", déclare Barron. "C’était quelqu’un d’exceptionnel : passionné,
clair et précis, attentionné, érudit et drôle. Il était toujours d’un grand enthousiasme, surtout
pour TARZAN, et je sais qu’il aurait été fier du résultat. J’ai apprécié notre collaboration achevée
prématurément et je regrette qu'on ne puisse renouveler l'expérience".
Le film a réuni Yates, Barron et plusieurs de leurs collaborateurs de la saga HARRY
POTTER, comme le chef décorateur Stuart Craig, le chef monteur Mark Day et le superviseur
des effets visuels Tim Burke. L’équipe artistique comprend également le directeur de la
photographie Henry Braham, la chef costumière Ruth Myers et le compositeur Rupert Gregson-
Williams. C'est grâce à leurs talents, leur expérience et leur esprit d'équipe que le film a pu être
finalisé.
Ce TARZAN inédit est le résultat d’une fusion extraordinaire entre, d'une part, des
décors naturels d’exception, des prises de vue aériennes innovantes et des effets visuels de
pointe et, d'autre part, un tournage quasi intégralement circonscrit aux studios de Leavesden,
en Angleterre. Et même si les personnages ont des scènes avec plusieurs espèces animales
d’Afrique, aucun animal vivant n’a été utilisé sur le tournage. La totalité des bêtes – des gorilles
aux lions et aux éléphants – sont des créations numériques d’un réalisme époustouflant, mises
au point grâce à une technologie de pointe.
Pendant la préparation, Josh Ponte, qui a consacré ces quinze dernières années à tenter
de préserver les ressources naturelles et la faune du Gabon, à réussi à se procurer un
hélicoptère de l’armée pour faire découvrir à David Yates les splendeurs du pays, des forêts
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luxuriantes aux falaises, rivières et cascades. Pendant quatre jours, le réalisateur a pu admirer
la beauté du paysage qui se déroulait à ses pieds et a compris qu’il avait trouvé son décor. Ces
paysages reculés – au final filmés en six semaines après le tournage en studio – ont fourni aux
décors de Stuart Craig, dans lesquels ils ont été intégrés, toute la richesse et la diversité
géographique des arrière-plans.
Après avoir servi de guide pendant la première phase de repérage au Gabon, Ponte a
poursuivi sa collaboration en tant que conseiller technique "Afrique" sur le tournage, devenant
indispensable à l'ensemble des équipes. "C'était formidable d’avoir Josh à nos côtés", confirme
Barron. "Il a passé énormément de temps en Afrique, notamment au Gabon, et il en sait
vraiment beaucoup sur le contexte historique de notre récit, sur la culture des habitants et les
animaux".
"TARZAN nous entraîne dans une aventure aux confins de l’Afrique, dont l'exotisme et la
beauté majestueuse soutiennent la comparaison avec n'importe quelle région du monde",
poursuit le réalisateur. "On a voulu faire un film palpitant tout en abordant les thèmes de la
famille, de la communauté et de la préservation de la nature. Il rend hommage à ces paysages
grandioses, à la dignité et à l'élégance des habitants et à ces animaux merveilleux. Les
différentes facettes de l’histoire devraient en faire une expérience d’autant plus riche et
exaltante pour le spectateur".
LE CASTING
Au début du film, "John a renoncé à l'époque où il se faisait appeler Tarzan et a endossé
son statut de Lord Greystoke, avec sa femme Jane à ses côtés" propose Yates.
Pourtant, bien qu’il ait déjà vécu plusieurs années dans la société victorienne, "John ne
se sent toujours pas à sa place en Angleterre", fait remarquer Skarsgård. "Pendant tout ce
temps, il a réussi à étouffer une partie de sa personnalité et, pour bien cerner le personnage,
c’était important à comprendre. La dichotomie entre l’homme et la bête m’a toujours fasciné et,
quand on accepte un personnage comme celui de John, cette dichotomie est vraiment extrême.
On le découvre d’abord en lord anglais tiré à quatre épingles puis, petit à petit, il se débarrasse
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du vernis de la bonne société pour redevenir Tarzan. C'était formidable d'interpréter une telle
métamorphose !"
Le réalisateur raconte que Skarsgård correspondait parfaitement au rôle pour plusieurs
raisons : "Il avait tout ce qu’il fallait, à commencer par le fait qu'il est vraiment talentueux. Bien
sûr, il possédait la stature et les qualités idéales pour incarner Tarzan mais il a aussi été capable
de puiser en lui pour saisir sa fragilité et sa vulnérabilité. Grâce à ce mélange, il s'en est tiré à
merveille, d'autant plus que notre Tarzan est en fait un être assez complexe, qui a plusieurs
facettes. Alex a su exprimer toutes ces nuances".
Le choix d'Alexander Skarsgård et Margot Robbie reposait sur une qualité essentielle :
l’alchimie entre les deux acteurs. "Il était crucial de ressentir immédiatement l’amour que se
portent John et Jane", affirme Yates, "parce qu’ils sont séparés presque dès leur arrivée en
Afrique. Même s’ils sont loin l’un de l’autre pendant assez longtemps, le public doit croire que le
lien qui les unit est indestructible."
"Je trouve que leur histoire d’amour pousse le spectateur à s’attacher à eux et à se
demander ce qui va leur arriver", précise l’actrice principale, "parce qu’en fin de compte, on
veut qu’ils se retrouvent. Je raffole des belles histoires d’amour et le simple fait de savoir que
Tarzan est prêt à tout pour retrouver Jane à de quoi donner des vapeurs, surtout quand il s’agit
d'Alexander Skarsgård", dit-elle en souriant. "Il possède une forte présence et s’est énormément
investi dans son rôle. Mais au-delà de ça, c’est tout simplement le type le plus gentil qui soit et
c’est un bonheur de travailler avec lui".
C’est un sentiment réciproque. "Margot est absolument adorable et débordante de vie",
répond Skarsgård. "On s'est éclatés tous les deux. C’est aussi une Australienne au caractère bien
trempé et on sent qu’elle s’en est servi pour interpréter le personnage de Jane".
Le réalisateur indique que la force de caractère naturelle de Margot Robbie est l’une des
raisons qui l’ont incité à l'engager : "Jane doit avoir un tempérament de feu et être passionnée.
Ce n’est pas une pauvre petite chose fragile attendant d’être sauvée : elle sait se défendre toute
seule. Margot est non seulement une merveilleuse comédienne mais elle a aussi du cran et
j’adore ça. Elle fait de Jane une femme étonnante et moderne".
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L’actrice affirme que cette approche correspond à sa propre conception du personnage :
"Je n’ai jamais voulu jouer la pauvre femme fragile, car Jane n’est pas comme ça. David [Yates]
et moi étions tous les deux du même avis : elle devait être perçue comme une femme de
caractère et impétueuse, et ça m’a beaucoup plu. Elle est capable de se défendre, ce qui nourrit
aussi une formidable dynamique entre elle et le personnage de Christoph Waltz, le salaud
absolu de l’histoire. Entre eux, il s’agit surtout d’une joute psychologique, ce qui est intéressant
car, au moment où de vraies batailles se jouent, eux s'affrontent intellectuellement".
Waltz campe Léon Rom, émissaire de la Couronne belge qui passe un marché diabolique
: la vie de Tarzan en échange de diamants valant une fortune et permettant de remplir les
coffres vides du roi Léopold II. Rom prépare son guet-apens en proposant à Lord Greystoke de
retourner au Congo. Or, il n’avait pas prévu qu'il allait capturer Jane. Toutefois, après coup, il se
rend compte qu'elle représente un précieux pion sur son échiquier mortel… ou plutôt, un appât
pour son piège.
"Rom est un personnage terrifiant et c’est assez intimidant pour Jane de l’affronter",
reconnaît l’actrice. "Et je dois dire que la perspective de donner la réplique à Christoph a été elle
aussi très intimidante au début. Je suis restée sur le qui-vive, ce qui a donné lieu à des situations
très drôles".
"Margot est l’une des personnes les plus adorables au monde et c’est tout simplement
un bonheur de travailler avec elle", souligne Waltz.
Bien qu'il s'agisse d'un personnage fictif, Léon Rom s'inspire en partie d'une personne
qui a réellement vécu à cette époque. "Cela ancre le film dans la réalité historique et on ne s’y
attend pas pour un film d’aventure de cette ampleur", note Waltz. "Et ici, c’est plutôt fait avec
élégance".
"On a énormément travaillé avec Christoph pour mettre au point son personnage et il y a
beaucoup contribué, ce dont nous lui sommes reconnaissants", se souvient Yates. "Son instinct
lui a servi pour son personnage et bien plus encore : il s’investit toujours dans l’histoire et son
contexte, ce qui fait de lui un partenaire à part entière. On a eu des conversations
particulièrement profondes et, dans la foulée, on a découvert un Rom qui nous a tous les deux
intrigués".
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Barron partage cet avis : "Dès que Christoph apparaît à l’écran, on est hypnotisé. Rom
est sans pitié, c’est flagrant, mais il insuffle de l’humour au rôle de façon surprenante. Christoph
est un homme d’une très grande intelligence et gentillesse, sans oublier qu’il a totalement
l’esprit d’équipe. Que demander de plus ?"
Rom n’est pas le seul à souhaiter le retour de Tarzan en Afrique. Lorsque John Clayton
refuse l’invitation du roi Léopold II, un Américain répondant au nom de George Washington
Williams l’incite à accepter, même si ses motivations sont différentes de celles de Rom. Samuel
L. Jackson joue un personnage librement inspiré d’un homme ayant vécu à cette époque.
"George a besoin que Tarzan se rende au Congo pour qu’il puisse l’y accompagner", note
l’acteur. "Il cherche à rassembler des preuves pour étayer ses présomptions : contrairement aux
discours officiels, l’esclavagisme y règne bel et bien".
Il faut noter que Jackson a récemment découvert que ses ancêtres avaient des racines
au Gabon. "Cette révélation m’a fourni une matière émotionnelle et, sur un plan artistique, elle
m’a permis de cerner mon personnage", assure-t-il. "George Washington Williams a en réalité
été l’un des premiers Afro-américains à se rendre au Congo après que le roi Léopold II a
revendiqué ce pays comme territoire belge. Il est heureusement né [au milieu du XIXe siècle],
sans quoi il aurait très bien pu être capturé et réduit en esclavage. Dans le film, c’est un
phénomène qui le touche personnellement et cela m’a permis de le comprendre intimement".
Sur le plan physique, George, qui n’a pas la moindre idée de ce qui l’attend, n’est pas du
tout préparé aux exigences d’une aventure dans la jungle aux côtés de Tarzan. C'est à la fois
source de tension et de légèreté. "Il ne connaît pas du tout le terrain, et John le prévient donc
qu'il ne pourra pas suivre le rythme", précise Skarsgård. "Mais George est pourtant toujours là,
à quelques mètres derrière lui … tâchant de reprendre son souffle", lance-t-il en riant.
"Avec le temps, ils commencent à se connaître et à s'apprécier", intervient le réalisateur.
"J’ai toujours voulu que ce soit Sam qui tienne le rôle de George, car, pour moi, c’est l’un des
meilleurs acteurs au monde. Un point c’est tout. Il a apporté au personnage de l’assurance, de la
dignité, de l'autorité, mais aussi de l’humour".
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Léon Rom a passé un marché avec un vieil ennemi de Tarzan : Mbonga, chef de la tribu
Mbolonga qui règne sur la région d’Opar, dont le sous-sol est riche en minerais, et notamment
en diamants.
Choisi pour le rôle, Djimon Hounsou souligne que, "Mbonga sait que son pays regorge
de richesses mais il ne comprend sans doute pas que si elles tombent entre de mauvaises mains,
la situation peut prendre un tour terrible. C’est un personnage puissant mais, sur le plan
émotionnel, il porte les stigmates d’un traumatisme passé qui concerne Tarzan. Au bout de tant
d'années, il a laissé sa colère grandir et même le dominer. Il passe un marché avec Léon Rom
pour attirer Tarzan en Afrique mais il est aveuglé par sa soif de vengeance et ne se rend pas
compte pas qu’il conclut un pacte avec le diable".
D’origine africaine, Hounsou poursuit sa réflexion : "J’ai toujours admiré la beauté de
l’Afrique. Malheureusement c’est un continent qui était sans 'porte-parole' et c’est encore le cas
à bien des égards. Du coup, bien que ce soit une fiction, certains thèmes de l’histoire sont encore
d’actualité".
"Djimon est magnifique", déclare le réalisateur. "Je tenais vraiment à ce qu’il incarne
Mbonga et j’ai été heureux qu’il accepte. J’avais besoin d’un acteur qui réunisse densité,
élégance et force, et qui possède une grande sensibilité. Djimon était l'homme de la situation".
À leur arrivée en Afrique, John et Jane retrouvent leur famille d’adoption, la tribu des
Kuba qui accueille leur retour dans la joie et la musique. Les chants, comme l'essentiel des
dialogues des membres de la tribu – et des deux acteurs principaux –, sont en lingala [langue
bantoue principalement parlée au Congo, NdT].
"Parler lingala est de loin ce qui s’est avéré le plus difficile pour moi", révèle Margot
Robbie. "Dans une scène, Jane a un long dialogue en lingala et il y avait une réplique en
particulier que je n’arrivais pas à prononcer. Après quelques tentatives, ça en est même devenu
drôle et tout le monde rigolait, ce qui n’arrangeait rien. C’était hilarant".
"Je ne sais pas si le lingala était parlé par les vrais Kuba dans les années 1890. J’imagine
qu’ils avaient leur propre dialecte", analyse Ponte. "Mais il y a environ 50 langues différentes
dans cette région, si bien qu'il fallait en choisir une et ça a été le lingala. On a fait appel à un
spécialiste de ce dialecte pour entraîner les acteurs".
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Expert en histoire africaine du XIXe siècle, Ponte a animé des ateliers pour les acteurs et
les figurants d'origine anglaise. Il a également participé à l’arrangement de certains chants
entendus dans le village en se servant de ses connaissances et de son expérience. Mais il a
compris qu'on n'a pas besoin de tout expliquer... "J’ai commencé à leur jouer un chant fait
d’appels et de réponses que j’avais enregistré et ils l’ont immédiatement assimilé. J’ai dit à
David [Yates], 'Tu dois simplement les laisser faire'. Au Gabon, ont dit que 'les esprits sont au
rendez-vous'. Les esprits étaient bien au rendez-vous".
"Dans ce film, on a voulu souligner l’importance de la communauté", commente Yates,
"et c’est une dimension particulièrement forte chez les Kuba. Du coup, on a passé énormément
de temps à réunir les membres de notre tribu. Grâce aux acteurs, l'atmosphère était très
chaleureuse. Leur énergie était palpable. Dès qu’on pénétrait dans le village reconstitué en
studio, on était immédiatement transporté ailleurs".
LE RÈGNE ANIMAL
Les humains ne sont pas les seuls concernés par ces retrouvailles. TARZAN met en scène
tout un éventail de magnifiques créatures. Cependant, aucun animal vivant n’a été utilisé pour
le tournage. "On n’aurait jamais utilisé de vrais animaux, car c’est très compliqué de faire faire à
des animaux sauvages, comme des fauves, des éléphants ou des grands singes, ce que vous
voulez qu’ils fassent, tout en les traitant comme ils devraient l’être", insiste David Barron. "Et
grâce aux avancées technologiques actuelles, ce n’est pas nécessaire. Les créatures
infographiques font exactement ce que vous voulez, au moment où vous le souhaitez, ce qui est
génial".
Le superviseur des effets visuels Tim Burke a collaboré avec plusieurs sociétés d’effets
visuels, notamment Framestore CFC, MPC et Rodeo FX, pour créer toute une ménagerie avec
un réalisme saisissant. Pour chaque animal, l'ensemble des équipes a commencé par visionner
des documentaires en étudiant le comportement des différentes espèces dans leur habitat
naturel. Certains se sont même rendus dans des zoos pour les observer de près, remarquant
que les comportements diffèrent en captivité et en liberté. À partir de ces travaux de
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recherche, les infographistes ont fidèlement recréé la faune que l’on aperçoit dans le film :
gorilles, lions, éléphants, gazelles, zèbres, hippopotames, autruches, gnous et crocodiles.
La diversité des espèces a rendu la tâche plus ardue pour les équipes d’effets visuels.
"Des techniques ont été mises au point pour créer la fourrure, les plumes et la peau, mais cela
devient très compliqué quand il faut gérer un projet de cette ampleur, ne serait-ce que pour être
capable de restituer la quantité impressionnante d’éléments présents dans un tel nombre de
plans", explique Burke. "Ce n’est que depuis ces dernières années qu’on s’aventure à
entreprendre un projet de cette envergure en sachant qu'il est réalisable. Les limites sont sans
cesse repoussées si bien qu'il faut suivre le mouvement".
La barre a été mise encore plus haut lorsque les animaux sont en contact direct avec
Tarzan, qu’il frotte son nez contre le cou d’une lionne, qu’il admire la noblesse de port des
éléphants ou qu’il retrouve les gorilles Mangani, qu’il considérait autrefois comme les siens. "Ce
que j’adore chez Tarzan, c'est qu'il puisse communiquer avec les animaux", avance Yates. "Je
crois que c’est l’un des aspects les plus magiques du film".
Dans ces séquences, un cascadeur en combinaison grise a servi de doublure à l’animal
pour permettre à Skarsgård et à l’équipe d’effets visuels d’avoir des points de repère dans
l’espace. Il s'agit notamment du combat entre Tarzan et son frère gorille, Akut. "On a mis au
point une imposante combinaison rembourrée ainsi qu’un casque transparent qui donnait au
cascadeur les dimensions générales d’Akut", raconte Burke. "C’était très important qu'Alex ait
un partenaire face à lui, d'une taille et d'une silhouette comparables à celles d'Akut, pour qu'il
puisse réagir à ses gestes. Sinon, on aurait eu toutes sortes de problèmes par la suite : Alex
risquait de passer ses bras à travers le corps d’Akut ou bien certaines parties de leurs corps
pouvaient se superposer alors qu'elles n'étaient pas censées le faire. On ne s’est pas servi de la
motion capture : ce camouflage servait seulement de repère aux acteurs et aux infographistes
et ça les a beaucoup aidés".
En tant que points de repères, il était non seulement important que les cascadeurs
fassent à peu près la taille des gorilles mais aussi qu’ils reproduisent leurs mouvements. Sous la
direction du chef cascadeur Buster Reeves, l’équipe de cascadeurs a donc fini par collaborer
avec le chorégraphe Wayne McGregor. "Ils ne devaient pas se mouvoir exactement comme des
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gorilles", clarifie McGregor, "mais ils devaient incarner un gorille dans son identité même. Cette
discipline les obligeait à ne plus réfléchir comme des humains. On a donc organisé plusieurs
ateliers pour mieux en comprendre les enjeux : Comment se tenir sachant que vous ne faites pas
du tout la même taille ? Comment faire pour se déplacer d'abord à quatre pattes puis comme un
bipède ? Comment cette évolution affecte-t-elle les mouvements de votre tête, de vos épaules,
de vos bras et de vos jambes ? Que signifient tous ces différents gestes ?"
"Wayne et moi avons vraiment travaillé en étroite collaboration pour tirer le meilleur
parti de l’action", ajoute Reeves. "Le plus dur pour mes gars a été de ne pas suivre leur penchant
naturel à jouer comme des humains, surtout dans une scène de combat où on a tendance à se
déplacer comme un homme. S'obliger à fonctionner comme des animaux a été le plus grand
défi".
Cependant, Skarsgård a eu une tâche encore plus ardue : gérer le fossé qui s’amenuise
sans cesse entre ses deux identités, John Clayton et Tarzan. "Une bonne part du travail a
consisté à résoudre cette ambivalence", atteste l’acteur, "en partant de ce lord anglais tiré à
quatre épingles, puis en laissant lentement sa part animale prendre le dessus. David, Wayne et
moi avons beaucoup parlé de cette transition. Au début du film, quand il est à Londres, son
attitude est un peu étrange et, au cours de son périple, sa posture et sa gestuelle évoluent".
"Wayne a suggéré une idée très originale pour exploiter le physique de Tarzan", reprend
Yates. "Il n’arrêtait pas de faire des propositions surprenantes pour Alex qui ont énormément
contribué à la conception du personnage".
Pour se préparer au rôle, Skarsgård s’est lancé dans un entraînement intensif
spécialement calibré pour son personnage, comme l'explique le coach Magnus Lydgback. "On a
commencé avec de la musculation et de la cardio et on avait une salle de sport sur le plateau.
Mais si on joue un personnage comme Tarzan, qui doit être assez émacié et se déplacer dans la
jungle comme une panthère, on ne peut pas passer son temps à faire de la gym. On a donc
alterné avec de la natation, de la course, de la boxe et différents types d’arts martiaux".
Le réalisateur s'est dit impressionné par l'investissement personnel de son acteur
vedette. "Alex ne s’arrêtait jamais. Il faisait de la musculation pendant deux heures le matin
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puis il remettait ça en fin de journée. Il a tout fait pour camper Tarzan à la perfection. Et à mes
yeux, il y est parvenu".
Bien entendu, Tarzan a une manière de se déplacer dans la jungle qui défie la pesanteur.
"On ne peut pas imaginer un film sur Tarzan sans qu'on voie celui-ci sauter d’une liane à une
autre mais on voulait rendre ces cascades encore plus spectaculaires", précise le réalisateur.
Burke souligne que la seule manière d’atteindre la distance, la vitesse et la fluidité de
déplacement voulues était de recourir au numérique. "Pour les scènes où Tarzan se balance
d'un arbre à l'autre et saute d’une falaise, on a décidé de créer un personnage entièrement
numérique pour nous donner assez de liberté de mouvement". Un trapéziste du Cirque du Soleil
a servi de modèle aux infographistes, illustrant la silhouette et les mouvements appropriés.
Toutefois, le visage de ce double numérique est bien celui de Skarsgård. "Pour ce projet,
on a mis au point une méthode intéressante de filmer son visage", analyse Burke. "On a
construit une large plate-forme circulaire montée de 16 caméras avec capteurs RED DRAGON
pour filmer en temps réel les expressions du visage d’Alex pendant qu’il joue. À partir de là, on a
pu générer en temps réel une image géométrique de son visage, une mise à plat de ses traits
convertis en surfaces illuminées, que l’on a ensuite intégrées à ce personnage numérique. Grâce
à cette méthode, c'est bien son interprétation et ses expressions de visage qu'on a pu saisir, puis
on les a éclairées différemment pour correspondre à chaque scène. Du coup, même si le corps
est généré en infographie, on voit vraiment le visage d’Alex".
L’AFRIQUE EN ANGLETERRE
Dans une plus large mesure, la production s'est avérée innovante en utilisant de petites
caméras RED DRAGON à capteurs de résolution 6K pour filmer les fabuleux paysages du Gabon,
qui allaient servir de décor principal à l'histoire. Plusieurs mois avant le début du tournage, Josh
Ponte est parvenu à emprunter l'hélicoptère du Président de la République gabonaise pour
emmener Yates en vol de reconnaissance pour les repérages. "David était comme un enfant
dans un magasin de bonbons, le nez écrasé contre le hublot de l’hélicoptère", se rappelle Ponte.
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"Il découvrait des lieux qu'il n’avait fait qu’imaginer. On a tous une idée plus ou moins précise de
l'univers de Tarzan mais tout à coup, elle se concrétisait".
Néanmoins, il aurait été infaisable au niveau logistique – et dommageable pour
l'environnement – d'envoyer une équipe de tournage au grand complet au beau milieu de la
nature sauvage et des fauves du Gabon pour tourner l’essentiel du film. Par conséquent, les
producteurs ont eu l'idée de saisir la beauté du pays depuis les airs. Ils ont fait fabriquer un
dispositif à six caméras, arrimé à un portant construit par Shotover, société spécialisée dans les
systèmes de prises de vue aériennes pour le cinéma. Le portant, constitué de deux rangées de
trois caméras, a ensuite été monté sur le nez de l’hélicoptère, permettant au directeur de la
photographie Henry Braham de filmer en détail les différents types de paysage du Gabon.
"Ça m'a complètement changé la vie de filmer moi-même ces sites, car je savais
exactement quelle lumière et quel paysage il me fallait pour chaque scène et je pouvais tourner
les arrière-plans pour qu'ils coïncident parfaitement, ce qui est un sacré défi dans un
environnement tropical en constante évolution", reconnaît Braham. "On a aussi filmé des
paysage supplémentaires pour donner au film une dimension visuelle d’une plus grande
envergure".
Pour certaines scènes, comme la descente d'une rivière ou l'exploration de la jungle,
l'équipe a utilisé une technique particulière, dite "de la pêche à la ligne qui consiste en un
portant suspendu à un câble de 15 mètres de long, permettant aux caméras de filmer des
endroits inaccessibles depuis le sol.
Les six semaines de tournage en décors naturels ont fourni à Burke et son équipe
d'effets visuels des arrière-plans vierges [sans acteurs, NdT] qui se superposaient et qui, réunis,
ont permis de composer une image en mouvement plus large. "Grâce à ces six caméras, on a
obtenu un champ visuel de plus de 180 degrés", précise Burke, "mais on a ensuite fait un
travelling avant, un arrière puis un passage en diagonale, ce qui nous a effectivement donné un
balayage à 360 degrés qui était visuellement réaliste et qui pouvait être incorporé à n'importe
quel plan. Le résultat était magnifique, car on a des scènes d'action en prises de vue réelles
mêlées à d'autres scènes d'action en prises de vue réelles. Ça donne donc une l'impression de
réalisme et de fluidité que l’on cherchait à obtenir. Je dirais qu'on a repoussé les limites de cette
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technique. Je sais que je n'avais jamais entrepris de tournage aussi innovant ou audacieux avant
ça".
Pendant le tournage, Braham a aussi utilisé ces caméras pour faire ce qu'il décrit comme
"l'exact contraire de ce qu'on a fait en hélicoptère". Il s'explique : "Pour l’esthétique du film,
David [Yates] voulait tourner pas mal de plans rapprochés pour offrir un contrepoint à
l’envergure des décors et ajouter une dimension émotionnelle plus intime, que nous avons
travaillée tout au long du tournage. Pour atteindre la flexibilité nécessaire, on a collaboré avec
la société RED pour adapter leur toute nouvelle camera 6K à ces contraintes. Les outils
technologiques légers et peu encombrants alliés à une vaste quantité d’images ont permis de
produire des images époustouflantes. TARZAN est l'un des premiers films à être tournés grâce à
cette technologie".
Yates, qui faisait équipe avec Braham pour la première fois, ne tarit pas d'éloges sur lui :
"Henry était une force de la nature. Il a tout fait : régler les éclairages, porter la Steadicam,
courir partout avec la caméra à l'épaule… Après quatre jours à ce rythme, je l'ai pris à part pour
lui dire, 'Henry, c'est génial. Le résultat est fantastique. Mais le tournage va être long, du coup
pourquoi est-ce que tu ne laisserais pas quelqu'un d'autre manier la Steadicam ou la caméra ?'
Mais il m'a répondu, 'David, ça va aller', et à la fin du tournage, il était encore en forme. Il a
énormément contribué à l'esthétique du film. Il a été un partenaire à part entière".
Avec TARZAN, c'est la cinquième fois que Yates collabore avec le chef décorateur Stuart
Craig, ce qui a totalement conforté le réalisateur dans la possibilité de transposer l'Afrique à
Leavesden. "Après toutes ces années passées ensemble sur HARRY POTTER, je savais qu'il
pourrait concrétiser cet univers. On voulait y sentir ce que nous avions éprouvé en Afrique mais
dans une version luxuriante et romantique, réellement exacerbée, pour accentuer l’impression
d'assister à un grand spectacle d’aventure. Tout est donc parti de Stuart et de ses décors que
nous avons ensuite fusionnés avec des extensions numériques du Gabon. Du coup, nous avons
totalement pu maîtriser l’environnement du film".
Supervisant deux plateaux entiers, Craig et son équipe ont "fait pousser" des forêts
entières qui devaient sans cesse être aménagées à mesure que les personnages y évoluaient.
"En un mot, il y avait sept versions des décors de la jungle pour que le public n’ait pas
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l’impression de faire du sur-place", détaille Craig. "C’est une mission considérable pour un
département artistique de reproduire la nature à une telle échelle et le paysage en constante
mutation a encore accentué la difficulté".
"Grâce à Stuart, et à son directeur artistique James Hambidge, on a pu réinventer une
jungle qui évolue en fonction de l’histoire", propose le réalisateur. "Au départ, on se demandait
si ça fonctionnerait mais Stuart a assuré. Il a su repenser les espaces pour qu’ils donnent
l’impression d'évoluer alors qu’en réalité, on tournait sur le même plateau".
La décoratrice de plateau Anna Pinnock et la responsable de la végétation Lucinda
McLean se sont rendues en Hollande pour y acheter les nombreuses plantes exotiques
nécessaires à leur forêt tropicale. Des éclairages spéciaux et un système d’irrigation ont été
installés pour le bien des plantes, transformant les plateaux en véritables serres.
Au milieu des véritables plantes, le département artistique a ajouté une variété d’arbres
qu’ils ont fabriqués, semblables à "de vraies sculptures", explique Craig. "Au cours du processus,
on a appris qu’il ne fallait pas enfouir les arbres sous les feuillages mais placer le feuillage en
arrière-plan pour faire ressortir les arbres. C’est comme un arrangement floral mais à grande
échelle", dit-il en riant.
Les effets visuels ont aussi contribué à l’élaboration de la jungle et d’autres décors,
encore plus vastes, pour les prolonger jusqu’à l’horizon.
À Leavesden, le plateau a accueilli plusieurs décors, comme le village Kuba, avec ses
cases et le repaire de Mbonga, cerné de falaises abruptes. Les gigantesques formations
rocheuses ont été élaborées à partir de grands moules conçus d’après des empreintes prises
dans une carrière d’ardoise du pays de Galles. Le paysage montagneux en arrière-plan du décor
a été filmé dans les Dolomites, au nord de l'Italie.
Le décor le plus complexe a été la cascade de la montagne. "Il a fallu beaucoup de
recherche et de développement pour obtenir ce rendu réaliste et qu’on ait pas l’impression que
l’eau coulait simplement du haut du décor", indique le superviseur des effets spéciaux David
Watkins. "On a utilisé une rangée d’énormes pompes à injection, vaporisant l’eau sur des plaque
et faisant dévier la masse liquide en l’éparpillant pour lui donner relief et épaisseur".
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"Il y avait essentiellement deux cascades se déversant d’une falaise de 30 mètres de
haut", ajoute Craig. "Ça faisait un gigantesque volume d’eau et le résultat a été plus
spectaculaire que ce que j’attendais. Et contrairement à une chute d’eau naturelle, on pouvait
l'arrêter, ce qui était un énorme avantage".
Les acteurs ont eux aussi été impressionnés. "Les décors étaient hallucinants", déclare
Skarsgård. "Je n’ai jamais rien vu de pareil. On avait vraiment le sentiment d'être plongés dans
ce milieu".
Waltz acquiesce : "[C’est incroyable] d’avoir des décors de cinéma aussi vastes, avec des
cascades, des rivières et des jungles… Ils étaient d'une envergure sidérante et tout y était
magnifique".
L’équipe des effets spéciaux a également travaillé avec le département artistique pour la
construction de la grande jetée en bois dressée au bord du bassin de Leavesden avant d’être
détruite au cours d'une scène mémorable. "La structure était très grande – 30 mètres de long
sur 12 mètres de haut – et elle a été presque entièrement détruite, ce qui n’a pas été simple",
détaille Watkins. "Il a fallu beaucoup de préparation car au départ c’était bien un élément
fonctionnel du décor sur lequel les acteurs et l’équipe technique devaient pouvoir travailler en
sécurité. On a ensuite enlevé tous les renforts de sécurité pour la faire s’effondrer au bon
moment".
Plusieurs scènes se déroulent à bord du bateau à roues à aubes de Léon Rom, qui était
en fait une véritable embarcation flottante. "On l’a construite sur des pontons flottants typiques
de l’armée", constate le directeur artistique Christian Huband, spécialiste des bateaux. "On a
créé une superstructure pour supporter le poids des ponts, des cabines et les moteurs en
fonctionnement qui semblent propulser la roue à aubes. Le bateau était en fait contrôlé par des
moteurs hors-bords, actionnés à l’abri des regards autour du vaisseau. Il n’y avait pas de coque
en tant que telle mais des flancs se prolongeant de quelques centimètres sous l’eau".
Le bateau a d’abord été utilisé sur les eaux de Virginia Water Lake [lac artificiel, NdT]
dans le sud de Windsor Great Park avant d’être démonté et transporté à Leavesden, où il a été
remonté dans le bassin.
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Le tournage s'est aussi déroulé dans d'autres lieux du Royaume-Uni, et plus
particulièrement à Kedleston Hall, imposante doublure de Greystoke Manor. Ce manoir du
XVIIIe siècle dans le Derbyshire est aujourd'hui la propriété du National Trust [association
britannique vouée à la conservation du patrimoine, NdT.]. Aux yeux des producteurs, il
possédait toutes les qualités requises pour représenter la maison ancestrale des Clayton. "C’est
une immense demeure qui possède d’énormes colonnes : c'est un très bel exemple
d'architecture néo-classique", confirme Craig. "Elle est austère, et c'était un détail important,
car on voulait qu’elle ait un air menaçant, ce qui joue sur notre perception de John Clayton".
Le superbe cèdre à l'ombre duquel John et Jane partagent un moment de complicité
amoureuse a été choisi en raison de ses larges branches horizontales. Il a été découvert sur le
domaine de Highclere Castle, rendu célèbre par la série télévisée DOWNTON ABBEY.
Les tenues d’Alexander Skarsgård, confectionnées par Ruth Myers, reflètent elles aussi
l’état d’esprit du personnage : elles évoluent en effet de manière subtile mais notable au fur et
à mesure que John redécouvre son identité d'origine. "Il était primordial que les vêtements
londoniens de John Clayton aient l’air de vraiment le serrer et de l’empêcher de respirer",
intervient Ruth Myers, "et du coup, même s’ils sont magnifiquement coupés, ils semblent
l’étouffer d'emblée. Ensuite, bien sûr, plus le temps passe, plus ses vêtements deviennent
déstructurés et patinés au point de lui donner une allure totalement naturelle quand ils se
salissent et sont tachés de boue".
De même, la garde-robe de Jane est au départ plus stricte, bien que, tout en vivant à
Londres, elle montre des signes de rébellion contre la mode de l’époque. "La première fois
qu’on la voit, on voulait sentir que l’Angleterre l’oppresse, car elle a grandi en Afrique dans un
sentiment de totale liberté", poursuit la chef costumière. "Ses tenues ont donc été conçues en
ayant à l’esprit les codes de l’époque mais elles ne sont pas entièrement représentatives. Jane
ne porte jamais de jupon, ce que n'aurait jamais osé faire une femme de la bonne société
victorienne. Elle donne l’impression d’être un peu rebelle".
Margot Robbie a particulièrement apprécié que Jane se débarrasse de son corset à la
première occasion : "Ça m’a fait vraiment très plaisir, car c’était tout simplement horrible de
penser qu’il allait falloir porter un corset pendant des mois, surtout pour courir. Du coup, je me
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suis sentie totalement en phase avec cette décision. Et je pense que c'est parfaitement cohérent
avec le tempérament du personnage. Elle se moque de l'élégance imposée par la mode anglaise
et elle ne se voit certainement pas aller dans la jungle en corset, car ce n’est pas du tout
pratique".
Les couleurs ont aussi leur importance. "Margot apparaît d’abord dans une robe bleue,
dans laquelle elle est magnifique, mais cette couleur reflétait l’idée qu’il faisait froid à Londres",
note Ruth Myers. "Puis, quand elle arrive en Afrique, elle retrouve la lumière".
Léon Rom est presque entièrement vêtu de blanc, car "c’est un maniaque", poursuit la
costumière. "À chaque fois que son costume est sali, il en passe un propre".
"Bien que les tenues reflètent l'esprit de l’époque, David et moi étions d’accord pour
qu’ils ne soient pas foncièrement authentiques", suggère-t-elle. "On a un petit peu triché mais
on pouvait se le permettre, car on voulait que notre univers ait une réalité sublimée".
"Ruth m'a galvanisé", indique Yates. "Elle a insufflé beaucoup de passion et
d’enthousiasme à son travail et ce qu’elle a accompli est phénoménal".
La chef costumière a surtout apprécié de pouvoir donner libre cours à sa créativité pour
les tenues tribales, principalement s'agissant de la tenue de guerre en léopard portée par
Djimon Hounsou … qui n’était en réalité pas faite de léopard. "C'était un projet d'envergure",
détaille-t-elle. "On a pris énormément de temps pour fabriquer sa coiffe et les griffes. David
Yates et moi avons passé des heures à envisager toutes sortes de prototypes avant d’obtenir
l’allure définitive. Le costume lui-même était très imposant avec ses grosses épaulettes et sa
coiffe : il était conçu pour être effrayant".
Hounsou confirme que le costume a produit l’effet escompté : "D’un point de vue
culturel pour les Africains, si on doit imiter un animal, on doit devenir cet animal. Mbonga porte
donc les griffes, la peau et le crâne d’un léopard pour incarner littéralement un léopard. Je dois
dire que son allure est assez impressionnante. Tout indique qu’il possède une force avec laquelle
il faut compter. Quand j’ai enfilé le costume, je me suis senti comme un guerrier… J'ai vraiment
eu la sensation que je pouvais me déplacer comme un léopard".
Les thèmes africains sont aussi présents dans la musique du film, composée par Rupert
Gregson-Williams. "C’était essentiel de sentir l’attrait émotionnel que l’Afrique exerce sur
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Tarzan", affirme-t-il. "Le film s’ouvre avec l’appel de la merveilleuse voix de Zoe Mthiyane. J’ai
utilisé plusieurs instruments : beaucoup de tambours, bien sûr, et de flûtes d’Afrique de l’Ouest
aussi".
Le compositeur a également écrit un thème musical pour chacun des personnages. "Le
thème de Tarzan reflète à la fois son courage et ses émotions", dévoile-t-il. "J’ai aussi composé
un thème amoureux pour Tarzan et Jane. Tarzan veut à tout prix arracher Jane aux griffes du
capitaine Rom, et la mélodie les lie l'un à l'autre donc à travers la jungle".
"Il s’agit d’une musique orchestrale mais elle est aussi très tonale et atmosphérique,
incorporant des éléments venus d’Afrique", déclare Yates. "Elle n’est pas simplement illustrative,
mais elle est beaucoup plus profonde que ça. Je voulais que la musique nous accompagne dans
notre découverte des personnages tout au long de l’aventure".
"Ce qui est merveilleux quand on fait des films, c'est de faire voyager les spectateurs
dans des lieux mythiques comme l'Afrique. C'est fabuleux. Ils n’ont pas besoin de prendre
l'avion : ils n'ont qu'à aller au cinéma pour être transportés à une autre époque et dans un autre
monde qu'ils n'auraient peut-être jamais envisagé de découvrir. C'est un grand privilège quand
on est cinéaste", conclut le réalisateur.
# # #
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DEVANT LA CAMÉRA
ALEXANDER SKARSGÅRD (John Clayton / Tarzan) enchaîne les rôles plus complexes les
uns que les autres, s'imposant à Hollywood comme l'un des comédiens les plus sollicités du
petit comme du grand écran.
Il a récemment achevé le tournage de la série BIG LITTLE LIES de Jean-Marc Vallée, avec
Nicole Kidman, Reese Witherspoon, et Shailene Woodley, autour d'un groupe de mères de
familles dont leur parcours sans tache est soudain mis à rude épreuve.
Il tournera aussi dans MUTE de Duncan Jones, avec Paul Rudd, qui raconte l'histoire d'un
barman muet (Skarsgård) qui ose braver les gangsters de la ville pour découvrir ce qui est arrivé
à son partenaire porté disparu. En outre, il joue dans WAR ON EVERYONE, comédie d'action sur
deux flics corrompus qui font chanter tous les criminels qu'ils croisent. Le film a été présenté au
festival de Berlin.
L'an dernier, on l'a vu dans THE DIARY OF A TEENAGE GIRL, avec Kristen Wiig et Bel
Powley. il s'est encore produit dans MELANCHOLIA de Lars Von Trier, avec Kirsten Dunst, et
WHAT MAISIE KNEW (2012) de David Siegel et ScottMcGehee avec Julianne Moore.
Parmi sa filmographie, citons encore HIDDEN, avec Andrea Riseborough, DISCONNECT
de Henry Alex Rubin, avec Jason Bateman, THE GIVER de Philip Noyce, avec Jeff Bridges et
Meryl Streep, THE EAST de Zal Batmanglij, avec Brit Marling et Ellen Page et BATTLESHIP de
Peter Berg, avec Liam Neeson.
Révélé grâce à GENERATION KILL, il s'est ensuite produit dans la série à succès TRUE
BLOOD.
Réputé pour être l'un des comédiens les plus respectés d'Hollywood, SAMUEL L.
JACKSON (George Washington Williams) s'est produit dans une centaine de longs métrages. Il a
marqué les esprits en interprétant Jules, le tueur à gages philosophe de PULP FICTION de
Quentin Tarantino, en 1995, qui lui a valu le BAFTA et l'Independent Spirit Award ainsi que des
citations à l’Oscar et au Golden Globe du meilleur second rôle. Il a refait équipe avec Tarantino
pour JACKIE BROWN, qui lui a valu une autre citation au Golden Globe, KILL BILL : VOLUME 2,
DJANGO UNCHAINED et LES HUIT SALOPARDS.
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Jackson a signé un contrat de neuf films avec Marvel Studios et a ainsi campé Nick Fury
dans trois sagas : IRON MAN, IRON MAN 2, CAPTAIN AMERICA : FIRST AVENGER et CAPTAIN
AMERICA : LE SOLDAT DE L’HIVER, et AVENGERS et AVENGERS : L'ÈRE D'ULTRON, qui a généré
200 millions de dollars dès sa sortie.
On le retrouvera bientôt dans MISS PEREGRINE ET LES ENFANTS PARTICULIERS de Tim
Burton, KONG : SKULL ISLAND, THE HITMAN'S BODYGUARD et XXX: THE RETURN OF XANDER
CAGE, où il endosse de nouveau le rôle de l'agent Augustus Gibbons.
Il s'est également produit dans KINGSMAN : SERVICES SECRETS de Matthew Vaughn, le
remake réalisé par Jose Padilha de ROBOCOP, OLDBOY et CHI-RAQ de Spike Lee.
Au cinéma, il a inscrit son nom aux génériques de MOTHER AND CHILD, HARCELÉS, SOUL
MEN, THE SPIRIT, JUMPER, RENAISSANCE D'UN CHAMPION, CHAMBRE 1408, BLACK SNAKE
MOAN, DES SERPENTS DANS L'AVION, LA COULEUR DU CRIME, COACH CARTER, STAR WARS
ÉPISODE III : LA REVANCHE DES SITH, LES INDESTRUCTIBLES, S.W.A.T UNITÉ D'ÉLITE,
DÉRAPAGES INCONTRÔLÉS, LE 51ÈME ÉTAT, STAR WARS ÉPISODE II : L’ATTAQUE DES CLONES,
CAVEMAN’S VALENTINE, LE SECRET DU BAYOU, INCASSABLE, L'ENFER DU DEVOIR, SHAFT, DEEP
BLUE SEA, STAR WARS ÉPISODE I : LA MENACE FANTÔME, LE NÉGOCIATEUR, LE VIOLON
ROUGE, , 187 : CODE MEURTRE, LE DROIT DE TUER ?, UNE JOURNÉE EN ENFER, JUNGLE FEVER,
SPHERE, AU REVOIR, À JAMAIS, Mo’ BETTER BLUES, LES AFFRANCHIS, JEUX DE GUERRE, TRUE
ROMANCE, MÉLODIE POUR UN MEURTRE, UN PRINCE À NEW YORK, DO THE RIGHT THING,
SCHOOL DAZE et RAGTIME
Samuel L. Jackson a fait récemment ses débuts sur les planches de Broadway dans la
pièce de Katori Hall "The Mountaintop" face à Angela Bassett, dans une mise en scène de Kenny
Leon. L’histoire se déroule à la veille de l’assassinat de Martin Luther King, incarné par Jackson.
Il suit ses études au Morehouse College d’Atlanta, dont il est diplômé en art dramatique.
Il débute au théâtre dans des pièces comme Home , A Soldier’s Play , Sally/Prince" et "The
District Line . Il crée les rôles de deux pièces d’August Wilson au Yale Repertory Theatre et,
pour le New York Shakespeare Festival, joue dans "Mère Courage et ses enfants", "Spell #7" et
"The Mighty Gents".
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Pour le petit écran, outre THE SUNSET LIMITED, il a été cité en tant qu’acteur au Cable
Ace Award et au Golden Globe pour son rôle dans le téléfilm lauréat d’un Emmy LA RÉVOLTE
D'ATTICA de John Frankenheimer. Il a été producteur exécutif de la série d'animation AFRO
SAMURAI pour Spike TV, qui a été diffusée pour la première fois en 2007. La série a été
nommée à l’Emmy du meilleur programme d’animation. La première édition du jeu vidéo Afro
Samurai" a été lancée en février 2009.
MARGOT ROBBIE (Jane Clayton) s'est imposée grâce à son charisme et n'a pas tardé à
devenir l'unes comédiennes les plus sollicitées d'Hollywood.
Elle sera bientôt à l'affiche de SUICIDE SQUAD de David Ayer, d'après la célèbre BD, aux
côtés de Will Smith, Jared Leto et Joel Kinnaman. Elle a également produit et interprété le
thriller TERMINAL.
Elle s'est fait connaître en 2013 grâce au LOUP DE WALL STREET de Martin Scorsese, où
elle campe l'épouse de Leonardo DiCaprio. Le rôle lui a valu un Empire Award du meilleur
espoir féminin.
Un an plus tard, on la retrouve dans SUITE FRANÇAISE de Saul Dibb, avec Michelle
Williams, Matthias Schoenaerts, Ruth Wilson et Kristin Scott Thomas. En 2015, elle interprète
une apprentie arnaqueuse dans DIVERSION de Glenn Ficarra et John Requa, aux côtés de Will
Smith et Rodrigo Santoro.
On la verra dans WHISKEY TANGO FOXTROT, avec Tina Fey.
On l'a vue dans Z FOR ZACHARIAH, avec Chiwetel Ejiofor et Chris Pine, et IL ÉTAIT TEMPS
de Richard Curtis, avec Rachel McAdams et Domhnall Gleeson.
D'origine australienne, elle a fait ses premiers pas aux États-Unis dans la série PAN AM,
qui retrace la vie des pilotes et du personnel de bord de la célèbre compagnie aérienne.
En Australie, elle s'est fait connaître grâce à la série LES VOISINS, qui lui a valu deux
nominations au Logie Award.
Elle s'est installée à Melbourne à l'âge de 17 ans pour y poursuivre une carrière
d'actrice.
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DJIMON HOUNSOU (Le chef Mbonga) a été cité à l'Oscar pour BLOOD DIAMOND d'Ed
Zwick et IN AMERICA de Jim Sheridan. On le retrouvera dans KING ARTHUR de Guy Ritchie, avec
Charlie Hunnam et Jude Law, et SAME KIND OF DIFFERENT AS ME de Michael Carney, avec Greg
Kinnear, Jon Voight et Renée Zellweger. Il travaille actuellement sur le documentaire IN SEARCH
OF VOODOO: ROOTS TO HEAVEN.
Outre sa nomination à l'Oscar, IN AMERICA lui a valu un Independent Spirit Award et
une nomination au Screen Actors Guild (SAG) Award. De même, pour BLOOD DIAMOND, il a
obtenu un NAACP Image Award, un National Board of Review Award et une citation au Screen
Actors Guild Award.
Originaire du Bénin, il s'installe à Paris à l'âge de 13 ans, puis rencontre le créateur
Thierry Mugler grâce auquel il démarre une carrière de mannequin.
Il décroche de petits rôles, puis se fait remarquer en interprétant l'esclave Cinque dans
AMISTAD (1997) de Steven Spielberg, qui lui vaut une nomination au Golden Globe. Il sera
ensuite au générique de GLADITAOR de Ridley Scott.
Il a récemment joué dans le 7ème volet de FAST & FURIOUS de James Wann, et LES
GARDIENS DE LA GALAXIE. Il a prêté sa voix à DRAGONS 2. Parmi sa filmographie, citons LES
DOSSIERS SECRETS DU VATICAN, AIR, LA TEMPÊTE de Julie Taymor, avec Helen Mirren, Russell
Brand, Alfred Molina et Chris Cooper, ERAGON, THE ISLAND de Michael Bay, avec Ewan
McGregor et Scarlett Johansson, CONSTANTINE, avec Keanu Reeves, LARA CROFT TOMB
RAIDER : LE BERCEAU DE LA VIE de Jan de Bont, avec Angelina Jolie, et FRÈRES DU DÉSERT de
Shekhr Kapur, avec Kate Hudson et le regretté Heath Ledger.
Côté petit écran, il s'est produit dans WAYWARD PINES, produit par M. Night
Shyamalan.
Il a aussi prêté sa voix à la série d'animation BET, d'après la BD Marvel. Plus tôt dans sa
carrière, il a campé un réfugié dans URGENCES et tenu un rôle récurrent dans ALIAS.
Ambassadeur pour Oxfam, il a tenu un discours à l'Assemblée Générale de l'ONU en
2009 pour évoquer l'impact du changement climatique sur les pays en voie de développement.
Il s'est également exprimé devant le Sénat américain pour défendre la loi en faveur des jeunes
sans-abris.
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CHRISTOPH WALTZ (Léon Rom) a remporté son deuxième Oscar pour DJANGO
UNCHAINED de Quentin Tarantino, rôle qui lui a aussi valu un Golden Globe et un BAFTA. En
2009, il a décroché l'Oscar, le Golden Globe, le BAFTA et le prix d'interprétation du festival de
Cannes pour son interprétation du colonel nazi Hans Landa dans INGLORIOUS BASTERDS de
Quentin Tarantino.
On le retrouvera bientôt dans DOWNSIZING d'Alexander Payne, avec Matt Damon,
Kristen Wiig et Alec Baldwin,
Il passera à la réalisation avec THE WORST MARRIAGE IN GEORGETOWN, d'après un
article de Franklin Foer paru dans le New York Times Magazine. Adapté par l'auteur David
Auburn, lauréat du prix Pulitzer, le film retrace l'assassinat de Viola Drath, mondaine de
Washington.
Il sera aussi à l'affiche de TULIP FEVER de Justin Chadwick, avec Alicia Vikander, Dane
DeHaan et Jack O’Connell. L'an dernier, on l'a vu dans 007 SPECTRE de Sam Mendes, avec
Daniel Craig, dernier épisode en date de la saga James Bond. Un an plus tôt, il s'illustrait dans
BIG EYES de Tim Burton, avec Amy Adams, où il campait Walter Keane, époux de Margaret
Keane dont il s'attribuait la paternité des peintures. Le rôle lui a valu une nouvelle nomination
au Golden Globe.
Il a inscrit son nom aux génériques de COMMENT TUER SON BOSS ? 2, avec Jason
Bateman, Charlie Day, Jason Sudeikis, Jennifer Aniston, Jamie Foxx et Chris Pine, ZERO
THEOREM de Terry Gilliam, avec Matt Damon et Tilda Swinton, EPIC : LA BATAILLE DU
ROYAUME SECRET, CARNAGE de Roman Polanski, d'après la pièce de Yasmina Reza, avec Kate
Winslet, Jodie Foster et John C. Reilly, LES TROIS MOUSQUETAIRES de Paul W.S. Anderson, avec
Milla Jovovich, Orlando Bloom, Matthew Macfadyen, Mads Mikkelsen et Juno Temple, DE L'EAU
POUR LES ÉLÉPHANTS de Francis Lawrence, avec Reese Witherspoon et Robert Pattinson, et
THE GREEN HORNET de Michel Gondry, avec Seth Rogan et Cameron Diaz.
Il a mis en scène "Le Cavalier à la rose" de Richard Strauss, opéra comique qui dépeint le
désespoir de deux couples dans la Vienne du XVIIIème siècle.
En trente ans de carrière, il s'est produit sur scène, au cinéma et à la télévision. On l'a
ainsi vu dans GUN-SHY, LAPISLAZULI, DORIAN, ORDINARY DECENT CRIMINAL, OUR GOD'S
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BROTHER, BERLIN BLUES et BONJOUR L'ANGOISSE. Pour le petit écran, il s'est illustré dans DER
TANZ MIT DEM TEUFEL - DIE ENTFÜHRUNG DES RICHARD OETKER et DIENSTREISE - WAS FÜR
EINE NACHT DIENSTREISE.
Le 1er décembre 2014, il a obtenu son étoile sur le Hollywood Walk of Fame.
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DERRIÈRE LA CAMÉRA
Réalisateur primé, DAVID YATES (Réalisateur) a récemment signé LES ANIMAUX
FANTASTIQUES, prolongement de l'univers d'Harry Potter écrit par J.K. Rowling, interprété par
Eddie Redmayne, Katherine Waterston, Dan Fogler, Alison Sudol et Colin Farrell.
Yates a réalisé les quatre derniers épisodes de la saga HARRY POTTER qui s'est conclue
avec HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT – PARTIE 2.
Il a remporté son premier BAFTA pour la minisérie THE WAY WE LIVE NOW, avec
Matthew Macfadyen et Miranda Otto. En 2003, il signe la série STATE OF PLAY – JEUX DE
POUVOIR qui lui vaut une nomination au BAFTA et le the Directors Guild of Great Britain
(DGGB) Award.
Un an plus tard, il met en scène SEX TRAFFIC, obtenant au passage un nouveau BAFTA et
une deuxième nomination au DGGB Award. Point de vue sans concession sur le trafic sexuel, le
film remporte de nombreuses distinctions, dont huit BAFTA et quatre RTS Awards.
Il a décroché une nomination à l'Emmy pour RENCONTRE AU SOMMET, histoire d'amour
interprétée par Bill Nighy et Kelly Macdonald.
Diplômé d'études politiques de l'université d'Essex et de Georgetown University, il a fait
ses débuts avec le court métrage WHEN I WAS A GIRL.
JERRY WEINTRAUB (Producteur) était l'un des professionnels les plus importants du
secteur. En cinquante ans de carrière, il a abordé tous les genres cinématographiques et a
produit des séries télé, des pièces de théâtre et des spectacles musicaux.
Après avoir été agent, il produit NASHVILLE (1975) de Robert Altman qui obtient cinq
nominations à l'Oscar. Par la suite, il prouve sa capacité à déceler les talents de jeunes
réalisateurs, produisant ainsi SEPTEMBER 30, 1955 de James Bridges, avec Richard Thomas, OH,
GOD! de Carl Reiner, avec George Burns et John Denver, DINER de Barry Levinson, avec Kevin
Bacon, Paul Reiser, Mickey Rourke, Tim Daly, Ellen Barkin et Steve Guttenberg, ou encore
KARATÉ KID, qui donnera lieu à quatre autres épisodes avec Hilary Swank et, plus récemment,
Jaden Smith.
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Après avoir monté Jerry Weintraub Productions, il produit NANCY DREW, avec Emma
Roberts, OCEAN'S ELEVEN, OCEAN'S TWELVE et OCEAN'S 13 de Steve, Soderbergh, avec George
Clooney, Brad Pitt, Matt Damon et Don Cheadle. Il a assuré la production exécutive du
documentaire RED ARMY, autour de la célèbre équipe de hockey de l'Union soviétique, 41,
portrait de George H. W. Bush, la série WESTWORLD, créée par Jonathan Nolan, avec Ed Harris
et Anthony Hopkins, THE BRINK, avec Jack Black et Tim Robbins, PLANÈTE ATTENTION DANGER,
et MA VIE AVEC LIBERACE de Steven Soderbergh, avec Matt Damon, Michael Douglas et Rob
Lowe, en compétition officielle au festival de Cannes, qui a obtenu 11 Emmy et plusieurs
citations au BAFTA.
Originaire de New York, où il a grandi, Weintraub aimait dire que son but était de
pouvoir quitter le Bronx après avoir réussi sa vie professionnelle. D'abord agent de comédiens,
il monte Management III où il s'occupe de la carrière des Muppets, Jack Paar et Norm Crosby. Il
se tourne ensuite vers le secteur de la musique et produit la première tournée d'Elvis Presley. Il
fonde ensuite Concerts West et organise le premier concert de Frank Sinatra à Madison Square
Garden retransmis dans le monde entier par satellite. Il a également contribué à lancer la
carrière d'artistes comme Bob Dylan, Led Zeppelin, Neil Diamond, John Denver, les Carpenters
et les Beach Boys.
Il a produit plusieurs émissions spéciales et longs métrages, interprétés par les artistes
qu'il a représentés. En outre, il a produit "An Olympic Gala", retransmission des cérémonies
d'ouverture des JO de Los Angeles en 1984. Par ailleurs, il a produit plusieurs spectacles de
Broadway, comme "Les contes de Canterbury" et "Starlight Express".
Il revient ensuite au cinéma, lorsqu'il est nommé PDG de United Artists. Puis, il fonde
Weintraub Entertainment Group. Trois ans plus tard, il crée Jerry Weintraub Productions,
adossé à Warner Bros. Studios.
Il produit alors PURE CONTRY (1992) avec le chanteur de country George Strait. Il
enchaîne avec L'EXPERT, avec Sylvester Stallone et Sharon Stone, VEGAS VACATION, avec Chevy
Chase, CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR, avec Ralph Fiennes et Uma Thurman, et SOLDIER,
avec Kurt Russell.
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En outre, il était réputé pour son engagement caritatif en faveur de questions de santé,
d'éducation, et de culture. Il avait récemment fait équipe avec George Clooney, Brad Pitt, Matt
Damon et Don Cheadle pour "Not on Our Watch", campagne de sensibilisation au génocide du
Darfour.
Souvent distingué, il est l'un des premiers producteurs indépendants à recevoir une
étoile sur le célèbre Hollywood Walk of Fame. En 2001, il remporte le Kodak Award. Six ans plus
tard, il est consacré producteur de l'année par la National Association of Theatre Owners
(Fédération des Exploitants américains) lors du ShoWest.
ALAN RICHE (Producteur) a récemment produit LA RAGE AU VENTRE d'Antoine Fuqua,
avec Jake Gyllenhaal, Rachel McAdams et Forest Whitaker, et MEILLEURES ENNEMIES de Garry
Winick, avec Kate Hudson et Anne Hathaway.
On lui doit encore STARSKY & HUTCH de Todd Phillips, avec Ben Stiller et Owen Wilson,
TOMCATS, avec Jerry O'Connell, FAMILY MAN de Brett Ratner, avec Nicolas Cage, KOMODO,
PEUR BLEUE de Renny Harlin, avec Samuel L. Jackson, MOD SQUAD, avec Claire Danes, Giovanni
Ribisi et Omar Epps, LA SOURIS de Gore Verbinski, et EMPIRE RECORDS, avec Liv Tyler et Renee
Zellweger. Il a encore été producteur exécutif de DUOS D'UN JOUR de Bruce Paltrow, avec
Gwyneth Paltrow, Maria Bello et Paul Giamatti.
Plus tôt dans sa carrière, il a été président de Hughes Entertainment, société du
réalisateur John Hughes, où il supervisé HOOK OU LA REVANCHE DU CAPITAINE CROCHET,
NUITS BLANCHE À SEATTLE, FISHER KING et QUAND HARRIET DÉCOUPE CHARLIE. Plus tôt
encore, il a été vice-président senior du groupe de DeLaurentiis, supervisant BILL & TED'S
EXCELLENT ADVENTURE, et vice-président exécutif de Guber/Peters Productions.
TONY LUDWIG (Producteur) s'est associé à Alan Riche pour produire des films de genres
très différents. On lui doit ainsi STARSKY & HUTCH de Todd Phillips, avec Ben Stiller et Owen
Wilson, TOMCATS, avec Jerry O'Connell, FAMILY MAN de Brett Ratner, avec Nicolas Cage,
KOMODO, PEUR BLEUE de Renny Harlin, avec Samuel L. Jackson, MOD SQUAD, avec Claire
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Danes, Giovanni Ribisi et Omar Epps, LA SOURIS de Gore Verbinski, et EMPIRE RECORDS, avec
Liv Tyler et Renee Zellweger.
Il a encore été producteur exécutif de MEILLEURES ENNEMIES de Garry Winick, avec
Kate Hudson et Anne Hathaway, et DUOS D'UN JOUR de Bruce Paltrow, avec Gwyneth Paltrow,
Maria Bello et Paul Giamatti.
Ancien président d'Interstar Releasing, il a ainsi distribué HIGHLANDER – LE RETOUR, A
MIDNIGHT CLEAR, et SPLIT SECOND. Plus tôt dans sa carrière, il a présidé Imagine
Entertainment où il a supervisé la production des BANLIEUSARDS de Joe Dante, PARENTHOOD
de Ron Howard, L'ÉQUIPE DE RÊVE de Howard Zieff et LES DOORS d'Oliver Stone.
Il a fait ses débuts à l'agence William Morris en 1966, puis s'est imposé comme agent
littéraire. Il a ensuite monté le département littéraire chez Creative Artists Agency. C'est ainsi
qu'il a développé STAND BY ME, MR. MOM, PROFESSION PÈRE AU FOYER, SPINAL TAP, À
PROPOS D'HIER SOIR, L'ARME FATALE et DRAGNET.
CRAIG BREWER (Scénariste/Auteur de l'histoire originale) est à la fois scénariste et
réalisateur. Il s'est fait connaître lorsque son film, HUSTLE & FLOW, a obtenu le prix du public au
festival de Sundance. Salué par la critique, le long métrage a valu à Terrence Howard une
nomination à l'Oscar. Quant à la chanson du film, "It's Hard Out Here for a Pimp", elle a
décroché l'Oscar.
Il enchaîne avec BLACK SNAKE MOAN, avec Samuel L. Jackson, Christina Ricci, et Justin
Timberlake. En 2011, il écrit et réalise un remake de FOOTLOOSE, avec Julianne Hough, Kenny
Wormald, Dennis Quaid, Andie MacDowell et Miles Teller.
Côté petit écran, il a réalisé le pilote de la série TERRIERS, avec Donal Logue et .Michael
Raymond-James. Il a aussi signé un épisode d'EMPIRE, avec Terrence Howard et Taraji P.
Henson.
ADAM COZAD (Scénariste/Auteur de l'histoire originale) a fait ses débuts de scénariste
avec THE RYAN INITIATIVE de Kenneth Branagh, avec Chris Pine, Keira Knightley, Kevin Costner
et Branagh.
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Il fréquente Trinity University, où il se spécialise en histoire et en économie. Alors qu'il
envisage de devenir pompier, il vend les droits de son premier scénario … qui devient THE RYAN
INITIATIVE.
Il a depuis adapté plusieurs romans comme "Rules of Deception", best-seller inscrit sur
la liste du New York Times, et "Runner" de Patrick Lee.
SUSAN EKINS (Productrice exécutive) a travaillé avec Jerry Weintraub pendant plus de
trente ans et a produit une quinzaine de projets pour le cinéma et la télévision. Elle développe
actuellement plusieurs projets pour divers studios.
Elle a été productrice exécutive de la trilogie OCEAN signée Soderbergh, avec George
Clooney, Brad Pitt, Matt Damon et Don Cheadle. Elle a également assuré la production
exécutive de KARATÉ KID, NANCY DREW, SOLDIER, CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR et
VEGAS VACATION.
Côté télévision, elle produit MA VIE AVEC LIBERACE de Soderbergh, avec Michael
Douglas et Matt Damon, WESTWORLD et THE BRINK, avec Jack Black et Tim Robbins.
Elle entame son association avec Weintraub pour travailler sur son premier KARATÉ KID.
Puis, elle devient productrice associée sur KARATÉ KID 2, PURE COUNTRY et L'EXPERT.
Originaire de Los Angeles, elle a fait ses débuts sur TOM HORN et LE CHASSEUR, avec
Steve McQueen dans ses derniers rôles pour le grand écran.
NIKOLAS KORDA (Producteur exécutif) a assure la production exécutive des GARDIENS
DE LA GALAXIE, avec Chris Pratt, Zoe Saldana et Bradley Cooper. Il prépare actuellement la
suite.
Il a également coproduit ROBIN DES BOIS de Ridley Scott, sur lequel il a aussi été
régisseur général, À LA CROISÉE DES MONDES : LA BOUSSOLE D'OR de Chris Weitz. Il a
également été régisseur général de PROMETHEUS de Ridley Scott, LA COLÈRE DES TITANS de
Jonathan Leibesman, CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE de Tim Burton et la trilogie du SEIGNEUR
DES ANNEAUX de Peter Jackson. En 2004, il compte parmi les lauréats du Directors Guild of
America Award pour LE SEIGNEUR DES ANNEAUX : LE RETOUR DU ROI.
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Il a également été assistant réalisateur de BATMAN de Tim Burton, CRY FREEDOM de
Richard Attenborough et LABYRINTHE de Jim Henson.
KEITH GOLDBERG (Producteur exécutif) est vice-président senior de Dark Horse
Entertainment, où il supervise le développement et la production de l'ensemble des projets du
groupe.
Il a récemment assuré la production exécutive de R.I.P.D. BRIGADE FANTÔME, avec Jeff
Bridges et Ryan Reynolds. Plus tôt dans sa carrière, il a passé sept ans chez New Line Cinema où
il a notamment occupé le poste de vice-président de la production et du développement. Il a
ainsi supervisé 17 ANS ENCORE, avec Zac Efron, DÉTENTION SECRÈTE de Gavin Hood, avec
Reese Witherspoon, Meryl Streep et Jake Gyllenhaal, CELLULAR, avec Chris Evans, et LE
NOMBRE 23, avec Jim Carrey.
Il est aussi producteur exécutif de la série DARK MATTER, et a été consultant pour 12
MONKEYS.
Au début de sa carrière, il a travaillé deux ans chez Destination Films comme assistant
monteur.
MIKE RICHARDSON (Producteur exécutif) est président et fondateur de Dark Horse
Comics, maison d'édition souvent primée. Il est aussi président de Dark Horse Entertainment
pour laquelle il a produit plusieurs projets pour le cinéma et la télévision. Outre HELLBOY II LES
LÉGIONS D'OR MAUDITES, MY NAME IS BRUCE et MYSTERY MEN, il a produit THE MASK et
TIMECOP. En 2008, il remporte un Emmy pour MR WARMTH: THE DON RICKLES PROJECT.
Propriétaire d'une chaîne de magasins, Things From Another World, il a implanté ses
points de vente de Los Angeles à l'Oregon.
Récemment, il a monté Dark Horse Digital, une filiale de jouets et un site Internet. Il a
également écrit de nombreux romans graphiques comme "Atomic Legion", "47 Ronin", "Star
Wars: Crimson Empire" et "The Secret".
Président-directeur général de Village Roadshow Pictures, BRUCE BERMAN (Producteur
exécutif) a établi un accord-cadre avec Warner Bros. Pictures et Sony Pictures destiné à
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coproduire de nombreux longs métrages distribués dans certains pays par des filiales
spécifiques en Australie, Nouvelle-Zélande et Singapour, et dans le reste du monde par Warner
Bros et Sony Pictures.
Dans le cadre de cet accord, il a produit MAD MAX FURY ROAD de George Miller, avec
Tom Hardy et Charlize Theron, SAN ANDREAS de Brad Peyton, avec Dwayne Johnson,
AMERICAN SNIPER de Clint Eastwood, avec Bradley Cooper, et LA GRANDE AVENTURE LEGO de
Phil Lord et Christopher Miller.
Il prépare SULLY de TARZAN de Clint Eastwood, avec Tom Hanks, KING ARTHUR de Guy
Ritchie, avec Charlie Hunnam et Jude Law, et READY PLAYER ONE de Steven Spielberg.
Sous l'égide de Village Roadshow, il a assuré la production exécutive de GATSBY LE
MAGNIFIQUE de Baz Luhrmann, avec Leonardo DiCaprio, le diptyque SHERLOCK HOLMES de
Guy Ritchie, avec Robert Downey Jr et Jude Law, GRAN TORINO de et avec Clint Eastwood,
MATRIX RELOADED et MATRIX REVOLUTIONS, MYSTIC RIVER de Clint Eastwood, avec Sean Penn
et Tim Robbins, la trilogie OCEAN de Steven Soderbergh, et TRAINING DAY d’Antoine Fuqua, qui
a valu l'Oscar à Denzel Washington.
En partenariat avec Warner Bros, il a produit LES ENSORCELEUSES, avec Sandra Bullock
et Nicole Kidman, MAFIA BLUES d’Harold Ramis, avec Robert de Niro et Billy Crystal, MATRIX,
avec Keanu Reeves et Laurence Fishburne, LES ROIS DU DÉSERT de David O. Russell, avec
George Clooney, SPACE COWBOYS, de et avec Clint Eastwood et MISS DÉTECTIVE, avec Sandra
Bullock.
Après avoir travaillé brièvement comme assistant de Jack Valenti à la MPAA, tout en
suivant des études de droit à Georgetown Law School, Berman décroche un poste chez
Casablanca Films en 1978. Il est ensuite recruté chez Universal Pictures, puis est promu en 1982
vice-président du service production du studio.
En 1984, Berman intègre Warner Bros., où il assure la vice-présidence du service de
production puis, à partir de 1989, la présidence de la production mondiale. C’est durant son
mandat que le studio produira et distribuera des succès internationaux comme PRÉSUMÉ
INNOCENT, LES AFFRANCHIS de Martin Scorsese, MISS DAISY ET SON CHAUFFEUR, BATMAN LE
DÉFI de Tim Burton, MALCOLM X de Spike Lee, BODYGUARD, ROBIN DES BOIS, PRINCE DES
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VOLEURS, JFK d'Oliver Stone, LE FUGITIF, PRÉSIDENT D’UN JOUR, LE DROIT DE TUER?, L'AFFAIRE
PELICAN d'Alan J. Pakula, LE CLIENT et TWISTER.
En 1996, Berman crée au sein de Warner Bros. Pictures la société Plan B Entertainment.
En février 1998, il accède au rang de PDG de Village Roadshow Pictures.
HENRY BRAHAM (Directeur de la photographie) est actuellement en tournage sur la
suite des GARDIENS DE LA GALAXIE de James Gunn.
Il a remporté l'Emmy et une nomination au BAFTA pour le téléfilm SHACKLETON,
AVENTURIER DE L'ANTARCTIQUE, avec Kenneth Branagh.
Il a inscrit son nom aux génériques de EVERYBODY'S FINE de Kirk Jones, avec Robert De
Niro, Drew Barrymore, Kate Beckinsale et Sam Rockwell, NANNY MCPHEE, avec Emma
Thompson, WAKING NED DEVINE, À LA CROISÉE DES MONDES : LA BOUSSOLE D'OR de Chris
Weitz, avec Nicole Kidman et Daniel Craig, FLYBOYS, avec James Franco, BRIGHT YOUNG THINGS
de Stephen Fry, TROIS ANGLAISES EN CAMPAGNE et SHOOTING FISH. Il a également éclairé
plusieurs courts métrages, notamment de Neil Gaiman.
Il a également travaillé dans la publicité, la mode, le clip vidéo et le documentaire.
Trois fois oscarisé, STUART CRAIG (Chef-décorateur) a conçu les décors de l'univers de
HARRY POTTER, s'imposant comme l'un des meilleurs dans son domaine. Il a récemment
participé aux ANIMAUX FANTASTIQUES de David Yates, écrit par J.K. Rowling.
Il a remporté son premier Oscar pour GANDHI de Richard Attenborough, puis obtient le
même prix pour LES LIAISONS DANGEREUSES de Stephen Frears et LE PATIENT ANGLAIS
d'Anthony Minghella, qui lui vaut un Art Directors Guild Award.
Il a décroché sept autres citations à l'Oscar, dont quatre pour la saga HARRY POTTER,
comme HARRY POTTER ET LA COUPE DE FEU (BAFTA), HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA
MORT – PARTIE 2 (Arts Directors Guild Award). En outre, le chef-décorateur a remporté des
nominations au BAFTA pour sept autres épisodes de la saga du célèbre sorcier. En outre, il a
décroché une nomination à l'Oscar pour ELEPHANT MAN de David Lynch (BAFTA), MISSION de
Roland Joffé et CHAPLIN de Richard Attenborough. Il s'est également vu décerner des
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nominations au BAFTA pour tous ces films ainsi que pour GREYSTOKE, LA LÉGENDE DE TARZAN
de Hugh Hudson.
En 2012, il décroche l'Imagery Award de l'Art Directors Guild pour son travail sur la saga
HARRY POTTER.
Fidèle collaborateur de Richard Attenborough, il a créé les décors d'UN PONT TROP
LOIN, CRY FREEDOM, LES OMBRES DU CŒUR, et LE TEMPS D'AIMER.
Il a encore collaboré à GAMBIT, ARNAQUE À L'ANGLAISE de Michael Hoffman, LA
LÉGENDE DE BAGGER VANCE de Robert Redford, COUP DE FOUDRE À NOTTING HILL de Roger
Michell, CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR de Jeremiah Chechik, MARY REILLY de Stephen
Frears, LE JARDIN SECRET d'Agnieszka Holland, MEMPHIS BELLE de Michael Caton-Jones et CAL
de Pat O'Connor. Il a également été directeur artistique de SUPERMAN de Richard Donner.
MARK DAY (Chef monteur) a collaboré avec David Yates sur divers projets
cinématographiques et télévisuels, notamment HARRY POTTER ET L’ORDRE DU PHÉNIX, HARRY
POTTER ET LE PRINCE DE SANG-MÊLÉ et HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT 1re et 2e
PARTIE. Il a retrouvé récemment David Yates pour LES ANIMAUX FANTASTIQUES, sur un
scénario de J.K. Rowling.
Il a remporté un BAFTA Award et une citation au Royal Television Society (RTS) Award
pour sa collaboration avec David Yates sur la minisérie STATE OF PLAY – JEUX DE POUVOIR.
L’année suivante, il a remporté le BAFTA TV Award et le RTS Award du meilleur montage pour
son travail sur le téléfilm SEX TRAFFIC, également réalisé par David Yates. Sa collaboration avec
le réalisateur lui a également valu d’être nommé aux RTS Awards et aux BAFTA Awards pour la
minisérie THE WAY WE LIVE NOW. Il a de nouveau été cité aux RTS Awards pour le téléfilm THE
YOUNG VISITORS, et a été nommé à l'Emmy pour le téléfilm RENCONTRE AU SOMMET. Il a par
ailleurs travaillé avec David Yates sur la minisérie THE SINS et sur le court métrage RANK.
Mark Day a également EX MACHINA d'Alex Garland, IL ÉTAIT TEMPS de Richard Curtis et
SOUS SURVEILLANCE de Robert Redford.
Il a collaboré à de nombreuses reprises avec d’autres réalisateurs, notamment David
Blair sur le film MYSTICS, et ANNA KARENINE, SPLIT SECOND et DONOVAN QUICK ; Paul
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Greengrass sur le film ENVOLE-MOI et le téléfilm THE FIX ; et John Schlesinger sur les téléfilms
L’ECHOPPE DES HORREURS, LA FERME DU MAUVAIS SORT, et A QUESTION OF ATTRIBUTION. Sa
filmographie comporte également FLESH AND BLOOD réalisé par Julian Farino, LES MYSTERES
DE SHERLOCK HOLMES de Paul Seed, SUDDENLY LAST SUMMER de Richard Eyre, et MEMENTO
MORI de Jack Clayton, pour lequel il a été nommé aux BAFTA TV Awards.
RUTH MYERS (Chef costumière) a été nommée à deux reprises à l’Oscar des meilleurs
costumes : en 1992 pour la comédie fantastique de Barry Sonnenfeld LA FAMILLE ADDAMS, et
en 1997 pour la comédie de mœurs se déroulant au XIXe siècle de Doug McGrath EMMA,
L’ENTREMETTEUSE, d'après Jane Austen. Elle a été citée deux fois au BAFTA pour ISADORA de
Karel Reisz en 1968 et L.A. CONFIDENTIAL de Curtis Hanson.
En 2004, elle a obtenu l’Emmy des meilleurs costumes et le Costume Designers Guild
Award pour le pilote de la série LA CARAVANE DE L’ETRANGE. Elle a à nouveau remporté le
Costume Designers Guild Award en 2008, cette fois pour son travail au cinéma, pour le film
fantastique À LA CROISÉE DES MONDES : LA BOUSSOLE D’OR de Chris Weitz. En 2008, le CDG lui
a décerné le Lifetime Achievement Award.
Elle fait ses débuts au Royal Court de Londres, puis travaille aux côtés de Sophie Devine.
En 1967, elle poursuit sa carrière de chef costumière sur des films comme UNE MAÎTRESSE
DANS LES BRAS... UNE FEMME SUR LE DOS de Melvin Frank et DIEU ET MON DROIT de Peter
Medak. Gene Wilder l’invite alors à le rejoindre aux États-Unis où elle crée les costumes de
DRÔLE DE SÉDUCTEUR, LA FILLE EN ROUGE, et NUIT DE NOCES CHEZ LES FANTÔMES.
Au cours de ses cinquante ans de carrière, elle a collaboré à 80 longs métrages dont
plusieurs signés par de grands cinéastes. Citons notamment LE MYSTÈRE DES DOUZE CHAISES
de Mel Brooks, MAGIC de Richard Attenborough, JUSTICE POUR TOUS de Norman Jewison, AU-
DELÀ DU RÉEL de Ken Russell, RAS LES PROFS d’Arthur Hiller, VOYAGEUR MALGRÉ LUI de
Lawrence Kasdan, BLAZE de Ron Shelton, LA FIRME de Sydney Pollack, L’ÉCHANGE de Taylor
Hackford, BEYOND THE SEA de Kevin Spacey, SCANDALEUSEMENT CÉLÈBRE de Doug McGrath,
LE VOILE DES ILLUSIONS de John Curran, CEMETERY JUNCTION de Rickey Gervais, SANS
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IDENTITÉ de Jaume Collet-Serra, THE DEEP BLUE SEA de Terence Davies, et VAMPIRE ACADEMY
de Mark Waters.
Côté petit écran, elle a travaillé pourBIG LOVE et HEMINGWAY & GELLHORN de Philip
Kaufmann, avec Clive Owen et Nicole Kidman.
Compositeur primé, RUPERT GREGSON-WILLIAMS (Compositeur) a collaboré à de
nombreux projets pour le grand comme le petit écran.
Il a remporté un European Film Award de la meilleure musique pour HÔTEL RWANDA.
On lui doit également la partition d'UN AMOUR D'HIVER d'Akiva Goldsman, ZOOKEEPER, LE
TÉMOIN AMOUREUX, et UN PLAN D'ENFER. Il a également signé la musique des films
d'animation NOS VOISINS, LES HOMMES, et BEE MOVIE – DRÔLE D'ABEILLE, qui lui a valu une
nomination à l'Annie Award.
Collaborateur fidèle d'Adam Sandler, il a composé la musique de l'ensemble de ses
films, comme CLICK : TÉLÉCOMMANDEZ VOTRE VIE, HISTOIRES ENCHANTÉES, COPAINS POUR
TOUJOURS, LE MYTHO – JUST GO WITH IT, PROF POIDS LOURD, FAMILLE RECOMPOSÉE et THE
DO-OVER.
En outre, il travaille pour la télévision et a récemment collaboré à la série VEEP. Il a
également été cité à l'Emmy pour le téléfilm JACK ET LE HARICOT MAGIQUE. Parmi ses autres
collaborations, citons AGATHA RAISIN, THE PRISONER, et THE LAST DETECTIVE.
Il a suivi ses études au St John's College Choir de Cambridge et au Lancing College. Par
ailleurs, il a fait partie de l'équipe de compositeurs chapeautée par Hans Zimmer.
TIM BURKE (Superviseur Effets visuels) a été oscarisé et a obtenu trois autres
nominations au même prix pour HARRY POTTER ET LE PRISONNIER D'AZKABAN, HARRY POTTER
ET LES RELIQUES DE LA MORT – PARTIE 1 et HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT –
PARTIE 2 qui lui a aussi valu un BAFTA. Il a encore été cité au BAFTA pour HARRY POTTER ET LE
PRISONNIER D'AZKABAN, HARRY POTTER ET L'ORDRE DU PHÉNIX, HARRY POTTER ET LE PRINCE
DE SANG-MÊLÉ, et HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT – PARTIE 1. En outre, HARRY
POTTER ET LE PRISONNIER D'AZKABAN a remporté le prix des meilleurs effets visuels décerné
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par la Visual Effects Society. Burke a d'abord été l'un des superviseurs effets visuels sur HARRY
POTTER ET LA CHAMBRE DES SECRETS avant d'enchaîner avec HARRY POTTER ET LA COUPE DE
FEU.
Il s'est récemment replongé dans l'univers de J.K. Rowling avec LES ANIMAUX
FANTASTIQUES de David Yates.
Il a été oscarisé pour GLADIATOR de Ridley Scott, qui lui a aussi valu une nomination au
BAFTA. Puis, il a refait équipe avec le cinéaste pour LA CHUTE DU FAUCON NOIR et HANNIBAL.
Il a encore inscrit son nom aux génériques de CHEVALIER et ENNEMI D'ÉTAT. Parmi sa
filmographie, citons BABE, LE COCHON DANS LA VILLE et STILL CRAZY : DE RETOUR POUR
METTRE LE FEU. Côté petit écran, il a conçu les effets visuels de MERLIN et THE MILL ON THE
FLOSS. Avant de s'intéresser au cinéma, il a travaillé pendant dix ans pour la publicité et la
télévision.
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