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Emirates et la France Emirates opère aujourd’hui 32 vols passagers par semaine vers trois villes françaises – 20 vers Paris, 7 vers Nice et 5 vers Lyon – faisant ainsi plein usage des droits de desserte de vols passagers contenus dans l’accord bilatéral entre la France et les Émirats Arabes Unis. Emirates SkyCargo opère un service cargo hebdomadaire vers Paris et Lyon. Avec 32 vols hebdomadaires, la France reste encore mal desservie par Emirates en termes de vols passagers par rapport à ses pairs européens. Le Royaume- Uni bénéficie de 126 vols passagers par semaine, l’Allemagne de 70 et l’Italie de 56. En 2015/16, Emirates a transporté plus de 1,2 million de passagers de et vers la France avec un coefficient moyen d’occupation des sièges de 83%. Lyon a été introduite dans le réseau Emirates en décembre 2012, avec cinq vols hebdomadaires. Emirates a été le premier transporteur international à relier Lyon aux Émirats Arabes Unis, et plus largement au Moyen-Orient, à l’Afrique de l’Est et au sous-continent sud-asiatique via Dubaï. Cette route aérienne affiche d’excellents résultats avec une demande en croissance continue. En tant que ville la plus importante de la région Rhône-Alpes, Lyon mérite d’être desservie quotidiennement. Si on la compare aux autres centres régionaux d’Europe ayant une démographie similaire, tels que Genève, Stockholm, Bruxelles et Düsseldorf, la région Rhône-Alpes reste largement sous-desservie en termes de transport aérien vers le Moyen-Orient et au-delà. Deux vols supplémentaires par semaine, permettant à Emirates de desservir Lyon quotidiennement, amélioreraient sa connectivité et apporteraient un soutien important aux 180 millions d’euros engagés dans le plan d’investissement stratégique des Aéroports de Lyon. Avec un objectif de 15 millions de passagers d’ici 2020, ce plan a pour ambition de stimuler le tourisme, le commerce, l’investissement et l’emploi dans l’ensemble de la région Rhône-Alpes. Les vols d’Emirates vers Paris CDG et Nice font écho au succès de la route vers Lyon. En raison d’une demande croissante, Emirates a introduit une deuxième desserte quotidienne en Airbus A380 vers Paris CDG en janvier 2013, et depuis le 1 er juin 2014 l’ensemble des 20 vols hebdomadaires vers Paris sont opérés par des A380. Les vols quotidiens vers Nice ont vu leur nombre de passagers croître de 48% depuis 2011. D’autres villes françaises restent sous-desservies en termes de connexion avec le Moyen-Orient, comme Toulouse et Bordeaux. Plus de connexion avec le monde, c’est également plus de création d’emplois. Selon une étude récente conduite par Frontier Economics intitulée « Incidence Economique d’Emirates en Europe », les opérations actuelles d’Emirates soutiennent 6 720 emplois en France et représentent 643 millions d’euros de PIB. Emirates et Airbus Emirates est l’un des plus gros acheteurs de l’Airbus A380 avec 78 appareils en service et 64 en commande. Les investissements futurs et passés d’Emirates sont estimés à 69.9 milliards de dollars. Ces commandes ont aidé à soutenir des milliers d’emplois chez Airbus et ses fournisseurs en France. D’après l’étude Frontier Economics, la part d’Emirates dans le programme A380 soutient à elle seule 14 500 emplois français directs, indirects et induits. Un investisseur majeur en France En plus d’être l’un des principaux clients d’Airbus, Emirates contribue à hauteur de 437 millions d’euros par an à l’économie du pays, en achetant des produits et services français et à travers un ensemble de dépenses directes. Cela inclut des pneus Michelin, des sièges Sicma (Zodiac aerospace), des équipements avioniques Thales, le chargement du carburant, les coûts de survol, d’atterrissage et de manutention des avions, la restauration en vol, les coûts d’escale des équipages, les dépenses de fonctionnement ainsi que les contrats et activités de publicité et de sponsor. par semaine Le nombre de vols passagers Emirates vers Paris Charles de Gaulle, Lyon et Nice 32 % Le coefficient moyen d’occupation des sièges de et vers la France en 2015/16 83 millions Les dépenses annuelles d’Emirates en biens et services français 437 million Le nombre de passagers annuels sur les vols Emirates de et vers la France 1,2 Emirates a débuté ses activités vers Paris Charles de Gaulle (CDG) en 1992 et a depuis progressivement étendu ses services pour répondre aux demandes de transport des passagers et du fret.

Emirates et la France · La France se classe 14 ème dans le top 20 des marchés sources de Dubaï, avec plus de 248 000 français ayant visité Dubaï en 2015. Près d’un million

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Page 1: Emirates et la France · La France se classe 14 ème dans le top 20 des marchés sources de Dubaï, avec plus de 248 000 français ayant visité Dubaï en 2015. Près d’un million

Emirates et la France

Emirates opère aujourd’hui 32 vols passagers par semaine vers trois villes françaises – 20 vers Paris, 7 vers Nice et 5 vers Lyon – faisant ainsi plein usage des droits de desserte de vols passagers contenus dans l’accord bilatéral entre la France et les Émirats Arabes Unis. Emirates SkyCargo opère un service cargo hebdomadaire vers Paris et Lyon.

Avec 32 vols hebdomadaires, la France reste encore mal desservie par Emirates en termes de vols passagers par rapport à ses pairs européens. Le Royaume-Uni bénéficie de 126 vols passagers par semaine, l’Allemagne de 70 et l’Italie de 56. En 2015/16, Emirates a transporté plus de 1,2 million de passagers de et vers la France avec un coefficient moyen d’occupation des sièges de 83%.

Lyon a été introduite dans le réseau Emirates en décembre 2012, avec cinq vols hebdomadaires. Emirates a été le premier transporteur international à relier Lyon aux Émirats Arabes Unis, et plus largement au Moyen-Orient, à l’Afrique de l’Est et au sous-continent sud-asiatique via Dubaï. Cette route aérienne affiche d’excellents résultats avec une demande en croissance continue.

En tant que ville la plus importante de la région Rhône-Alpes, Lyon mérite d’être desservie quotidiennement. Si on la compare aux autres centres régionaux d’Europe ayant une démographie similaire, tels que Genève, Stockholm, Bruxelles et Düsseldorf, la région Rhône-Alpes reste largement sous-desservie en termes de transport aérien vers le Moyen-Orient et au-delà. Deux vols supplémentaires par semaine, permettant à Emirates de desservir Lyon quotidiennement, amélioreraient sa connectivité et apporteraient un soutien important aux 180 millions d’euros engagés dans le plan d’investissement stratégique des Aéroports de Lyon. Avec un objectif de 15 millions de passagers d’ici 2020, ce plan a pour ambition de stimuler le tourisme, le commerce, l’investissement et l’emploi dans l’ensemble de la région Rhône-Alpes.

Les vols d’Emirates vers Paris CDG et Nice

font écho au succès de la route vers Lyon. En raison d’une demande croissante, Emirates a introduit une deuxième desserte quotidienne en Airbus A380 vers Paris CDG en janvier 2013, et depuis le 1er juin 2014 l’ensemble des 20 vols hebdomadaires vers Paris sont opérés par des A380.

Les vols quotidiens vers Nice ont vu leur nombre de passagers croître de 48% depuis 2011. D’autres villes françaises restent sous-desservies en termes de connexion avec le Moyen-Orient, comme Toulouse et Bordeaux.

Plus de connexion avec le monde, c’est également plus de création d’emplois. Selon une étude récente conduite par Frontier Economics intitulée « Incidence Economique d’Emirates en Europe », les opérations actuelles d’Emirates soutiennent 6 720 emplois en France et représentent 643 millions d’euros de PIB.

Emirates et Airbus Emirates est l’un des plus gros acheteurs de l’Airbus A380 avec 78 appareils en service et 64 en commande. Les investissements futurs et passés d’Emirates sont estimés à 69.9 milliards de dollars. Ces commandes ont aidé à soutenir des milliers d’emplois chez Airbus et ses fournisseurs en France. D’après l’étude Frontier Economics, la part d’Emirates dans le programme A380 soutient à elle seule 14 500 emplois français directs, indirects et induits.

Un investisseur majeur en FranceEn plus d’être l’un des principaux clients d’Airbus, Emirates contribue à hauteur de 437 millions d’euros par an à l’économie du pays, en achetant des produits et services français et à travers un ensemble de dépenses directes. Cela inclut des pneus Michelin, des sièges Sicma (Zodiac aerospace), des équipements avioniques Thales, le chargement du carburant, les coûts de survol, d’atterrissage et de manutention des avions, la restauration en vol, les coûts d’escale des équipages, les dépenses de fonctionnement ainsi que les contrats et activités de publicité et de sponsor.

par semaine Le nombre de vols passagers Emirates vers Paris Charles de Gaulle, Lyon et Nice

32% Le coefficient moyen d’occupation des sièges de et vers la France en 2015/16

83millions Les dépenses annuelles d’Emirates en biens et services français

€437million Le nombre de passagers annuels sur les vols Emirates de et vers la France

1,2

Emirates a débuté ses activités vers Paris Charles de Gaulle (CDG) en 1992 et a depuis progressivement étendu ses services pour répondre aux demandes de transport des passagers et du fret.

Page 2: Emirates et la France · La France se classe 14 ème dans le top 20 des marchés sources de Dubaï, avec plus de 248 000 français ayant visité Dubaï en 2015. Près d’un million

Les récentes activités de sponsor d’Emirates illustrent également son engagement en France. En avril 2013, Emirates est devenu un partenaire officiel du tournoi de tennis de Roland Garros, avec la signature d’un contrat de 5 ans d’une valeur de 17,5 millions d’euros. En mai 2013, Emirates a renouvelé son parrainage des maillots du Club de Football du Paris Saint-Germain jusqu’en 2019, avec un accord estimé à 125 millions d’euros.

Relations France-EAULes Émirats Arabes Unis (EAU) sont le premier partenaire commercial de la France au Moyen-Orient. À la suite d’une série de visites gouvernementales, la France et les EAU se sont engagés à développer les volumes d’échange entre les deux pays de 50% d’ici à 2018, à doubler le flux de touristes, et à lancer des projets de développement conjoints dans des pays tiers. Augmenter la fréquence des vols d’Emirates vers la France sera crucial pour la réalisation de ces objectifs.

Le commerce bilatéral entre les EAU et la France a dépassé 5,1 milliards d’euros en 2015, avec des exportations de la France vers les EAU atteignant 4 milliards d’euros – correspondant à un excédent commercial de 2.9 milliards d’euros en faveur de la France. Les exportations françaises entre 2000 et 2015 ont augmenté de 75%, Emirates transportant chaque 43 000 tonnes de marchandises entre la France et Dubaï.

Le French Business Council de Dubaï et des Émirats du Nord a également enregistré une croissance de ses membres, dont le nombre s’élève désormais à plus de 700. Dubaï héberge également 500 des 1000 entreprises françaises enregistrées aux EAU et 75% des 20 000 français qui résident dans le pays.

La France se classe 14ème dans le top 20 des marchés sources de Dubaï, avec plus de 248 000 français ayant visité Dubaï en 2015. Près d’un million de touristes en provenance du Moyen-Orient se rendent en France chaque année. Atout-France estime que 50% de ces visiteurs dépensent plus de 5 000 euros par jour pour un séjour moyen de onze jours – soit une durée moyenne plus importante que celle de la plupart des touristes en provenance d’autres régions du monde.

La demande d’Emirates : accroître le nombre de vols passagers sur les routes Dubaï-FranceÀ court terme, Emirates souhaiterait ajouter trois dessertes supplémentaires à ses services vers la France. Deux de ces dessertes permettraient à Emirates d’opérer un service quotidien vers Lyon, et la troisième permettrait de réaliser trois services quotidiens vers Paris.

À moyen terme, Emirates cherche également à obtenir 14 dessertes hebdomadaires supplémentaires pour répondre à la croissance de la demande du transport des passagers et du fret. Ces augmentations modérées de connectivité donneraient une impulsion à la croissance économique française, augmenteraient la compétitivité globale des entreprises, faciliteraient les exportations, créeraient de l’emploi et faciliteraient le tourisme – en somme, elles contribueraient à créer de la valeur en France.

Mythes contre réalité: rétablir les faitsEn France, certains prétendent qu’Emirates mènerait une compétition déloyale ou aurait un impact néfaste sur le marché aérien. Ces idées fausses, lorsqu’elles sont

répétées suffisamment, peuvent finir par être perçues comme des réalités.

Mythe: Emirates agit comme un prédateur et détruit l’industrie aérienne française.

Fait: Depuis le début de nos opérations en France en 1992, nos services se sont progressivement mis en place, en adéquation avec l’évolution de la demande. Emirates exploite à peine 32 vols par semaine entre Dubaï et la France. Notre présence en France soutient aujourd’hui 6 720 emplois dans et alentour des aéroports que nous desservons et 14 500 emplois de plus en France à travers la participation d’Emirates au programme Airbus A380.

Mythe: Emirates est fortement subventionné par le gouvernement de Dubaï, avec des infrastructures gratuites, des taxes réduites et des conditions de financement exceptionnelles.

Fait: Emirates est une entreprise commerciale, sa gestion financière est transparente et elle ne reçoit pas de subvention de l’Etat. Nos moyens financiers proviennent exclusivement de notre fonctionnement commercial, sur la base d’un ensemble de sources comprenant les contrats de location-exploitation, une dette commerciale adossée à des actifs et la participation d’investisseurs.

Mythe: Emirates vole des passagers aux marchés européens et asiatiques et endommage Air France.

Fait: Les passagers n’appartiennent à aucune compagnie aérienne. A Paris CDG, Emirates compte pour seulement 0,5% des vols internationaux et 2% du total des départs intercontinentaux, bien en-deçà des 49% des vols et 47% des départs correspondants d’Air France.

Emirates ne détourne pas le trafic d’Air France de et vers l’Asie : Air France y a en réalité vu son coefficient hebdomadaire moyen d’occupation des sièges augmenter de 20% depuis 2005, en ouvrant des routes vers de nouveaux marchés tels que Wuhan, Jakarta et Haneda, et en augmentant les fréquences de vol vers Shanghai, Bengalore et Séoul.

Mythe: Les conditions sociales dans lesquelles certains employés d’Emirates travaillent sont inacceptables et très éloignées des standards du secteur.

Fait: En tant que compagnie multinationale responsable, Emirates obéit aux règles du droit de travail de chaque pays dans lequel nous opérons. Afin d’attirer et de retenir les meilleures talents, Emirates offre des salaires très compétitifs et un ensemble d’avantages salariaux. A la fin 2015-16, le groupe Emirates employait plus de 95 000 personnes. La réputation de la compagnie comme employeur de qualité est démontrée par ses hauts niveaux de rétention du personnel : plus de 13 000 de ses salariés y ont travaillé pour 10 ans ou plus. Emirates a également reçu plus de 1.5 million de demandes d’emploi l’an passé.

Rendez-vous sur notre site Internet pour plus d’informations : « Compagnies aériennes et subventions : notre position »

milliards La valeur totale des commandes d’Airbus A380 par Emirates

$69.9

emplois Français Le nombre d’emplois soutenus par les commandes d’A380 d’Emirates

14 500 emploisdirects, indirects et induits soutenus par les opérations d’Emirates en France

6 720milliardsLa valeur des exportations de la France vers les EAU en 2015

€4tonnes de cargo sont transportées annuellement sur des vols Emirates de et vers la France

43 000

% La part d’Emirates dans le carnet de commande des A38044.5

% La part des vols internationaux depuis Paris CDG qui sont opérés par Emirates

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