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Information
EndroitsTélé-université (TÉLUQ) Salle : SU - 1550 100, rue Sherbrooke Ouest Montréal
ouDiffusion simultanée sur le site Web de la TÉLUQ.* *Les personnes qui auront choisi ce mode de transmission recevront, par courriel, l’information nécessaire pour avoir accès au site avant la tenue du colloque.
Transport et stationnementMontréalLa Télé-université se trouve à deux pas de la station de métro Place - des - arts. Il y a un stationnement intérieur payant entre les rues Sherbrooke et Président-Kennedy.
Coûts (taxes incluses)
Les dépenses de formation sont admissibles « à la loi du 1 % ». 1 journée Étudiant à temps partiel ou temps plein (avec preuve*) 20 $ taxes incluses Autre 40 $ taxes incluses
* Les étudiants doivent fournir une photocopie de leur carte d’étudiant.
Modalités d’inscriptionRemplissez le formulaire d’inscription et faites-le-nous parvenir, avant le 28 octobre 2006, avec un chèque, ou avec le coupon si vous payez par carte de crédit, et une photocopie de la carte d’étudiant si vous êtes étudiant.Par la posteDirection du recrutementColloque Le transfert des connaissances en santé mentale : nouvelles perspectivesTélé-université Université du Québec à Montréal 100, rue Sherbrooke Ouest Montréal (Québec) H2X 3P2 CAnADAPar télécopieur514 843 - 2160 (à l’attention de M. Yves Deschamps)Par [email protected]
Colloque Le transfert des connaissances en santé mentale : nouvelles perspectives
Formulaire d’inscriptionJe m’inscris à la journée du 17 novembre À Montréal ou sur le Web nom Prénom Adresse
Ville Code postal Téléphone (au travail) Téléphone (au domicile) Télécopieur Adresse électronique Profession Employeur Je suis étudiant ou étudiante (Joindre une preuve : photocopie de la carte d’étudiant)Mode de paiementJe joins un chèque fait à l’ordre de la Télé-université. Porter à mon compte Visa MasterCard la somme de Carte n° Date d’expiration
Signature (obligatoire)
Le 17 novembre 2006
Le transfert des
connaissances
en santé mentale :
Colloque organisé par des membres du Diplôme de 2e cycle
en santé mentale, de la TÉLUQ, avec l’appui de collaborateurs
de Revue Santé mentale au Québec
À la TÉLUQ de Montréal et en diffusion simultanée sur le site Web de la TÉLUQ
Renseignements généraux
Formulaire d’inscription
mois année
Colloque
nouvelles perspectives
Pour tout renseignement supplémentaire, veuillez communiquer avec madame Lorraine Roberge :1 800 665-4333, poste 5324 ou [email protected]
Comité d’orientation et d’organisation
Yves Lecomte, professeur, TELUQ (UQAM), directeur, Santé mentale au QuébecAimé Lebeau, Agence des services de santé et services sociaux de la Montérégie; président, Revue Santé mentale au QuébecAlain Lesage, professeur titulaire, Département de psychiatrie, Université de MontréalJean-François Saucier, professeur titulaire, Département de psychiatrie, Université de MontréalJean-François Labadie, adjoint au développement de la mission universitaire, CSSS de Bordeaux-Cartierville – Saint-Laurent
Les membres du comité d’organisation et d’orientation remercient la Direction du recrutement de la Télé-université pour son soutien constant et le comité de la recherche de la Télé-université, pour son soutien financier
La Télé-université (TÉLUQ)Depuis plus de trente ans, la TÉLUQ a pour mission la recherche et l’enseignement universitaire à distance au Québec. Elle est devenue récemment une composante de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). La TÉLUQ accueille annuellement plus de 16 000 étudiantes et étudiants, parmi lesquels 80 % sont des adultes au travail. Depuis janvier 2002, la TÉLUQ offre, entièrement à distance à temps partiel et à temps complet, le diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en santé mentale (30 crédits). Il est le seul du genre au Canada.
Pour information : www.teluq.uqam.ca/desssm
Depuis quelques années, l’enjeu du transfert des connaissances est au centre des préoccupations des gouvernements et des organismes subventionnaires, afin « d’appuyer une gestion du système de santé canadien fondée sur les données probantes de la recherche, notamment en facilitant le transfert et l’échange de connaissances et en contribuant à réduire l’écart entre la recherche et la gestion et la politique des services de santé » (Fondation canadienne de recherche sur les services de santé). Des organismes privés ou sans but lucratif ont été créés pour développer une expertise dans ce domaine. Les secteurs touchés par ces orga-nismes sont des plus divers, autant dans le domaine des affaires qu’en santé.
En santé mentale, cette préoccupation du transfert des connaissances est pré-sente depuis la « réforme Bédard » de 1961. Mais depuis ce temps, les modalités de transfert ont aussi évolué comme dans les autres domaines.
Ce colloque vise à renseigner les divers intervenants en santé mentale sur les développements et les nouvelles tendances en matière de transfert des connaissances. Le colloque vise à répondre aux questions suivantes :
Pour quelles raisons est-il si difficile de transférer les connaissances issues de la recherche dans la pratique en santé mentale? À quelles conditions ce transfert est-il possible? Quels sont les projets de transfert expérimentés qui fonctionnent bien? Quels renseignements sont transférés? Est-ce que les nouvelles modalités de transfert des connaissances améliorent les pratiques?
Le colloque vise donc à faire le point sur le transfert des connaissances. Il est d’autant pressant d’aborder ce thème qu’il devient plus en plus nécessaire d’améliorer les pratiques en santé mentale en se fiant aux connaissances probantes les plus récentes et en considérant également les conditions et les modalités optimales, actuellement en exploration, et qui sont susceptibles de favoriser le transfert de telles connaissances.
Le colloque
• initiera les professionnels de la santé au processus de ce transfert des connais-sances et aux moyens par lesquels ils pourraient intégrer ces connaissances dans leur pratique.
• permettra aux chercheurs et aux administrateurs publics de se mettre à l’écoute des réactions des gens travaillant sur le terrain et que la question du transfert des connaissances intéresse.
• mettra à jour, pour les différents acteurs concernés, les enjeux liés au trans-fert des connaissances, les points de convergence et de divergence qui faci-litent ou entravent ce transfert.
Le transfert des connaissances en santé mentale : nouvelles perspectives
Conférenciers et modérateursReiner Banken
M.D., M.Sc., directeur général adjoint au développement et aux partena-riats, Agence d’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé (AÉTMIS)
Guylaine BeaudryDirectrice générale, Érudit; directrice, Centre d’édition numérique de l’Université de Montréal; candidate au doctorat en histoire du livre, École pratique des hautes études (Paris)
Jean CaronProfesseur agrégé, Département de psychiatrie, Université McGill; chercheur associé, Unité de recherche psychosociale, Hôpital Douglas
François ChagnonPh.D., professeur de psychologie, UQAM; directeur adjoint, CRISE
Louis DemersProfesseur, directeur des programmes de 3e cycle; École nationale d’administration publique
Marie-Josée FleuryProfesseure-adjointe, Département de psychiatrie, Université McGill; chercheure au Centre de recherche de l’Hôpital Douglas, Division psychosociale
Jean-François LabadieAdjoint au développement de la mission universitaire, CSSS de Bordeaux-Cartierville – Saint-Laurent
Véronique LapaigeM.A., médecin psychiatre, candidate Ph.D. en santé publique à l’Université de Montréal; boursière du programme RAMHPS (Research in Addictions and Mental Health Policies and Services) des IRSC; Centre de recherche Fernand-Seguin, Hôpital Louis-H. Lafontaine, Montréal
Aimé LebeauM.A., président, Revue Santé mentale au Québec
Alain LesageM.D., M. Phil., professeur titulaire, Département de psychiatrie, Université de Montréal et Centre de recherche Fernand-Seguin, Hôpital Louis-H. Lafontaine
Jean-François SaucierM.D., pédopsychiatre, rédacteur, Santé mentale au Québec
Modérateur Jean-François Saucier, Santé mentale au Québec
7 h 30 - 8 h 40 Inscription
8 h 50 - 9 h Mot de bienvenue, par Aimé Lebeau Revue Santé mentale au Québec
9 h - 9 h 45 Conférence d’Alain Lesage, Université de Montréal Le transfert des connaissances en santé mentale au Québec
L’onde de choc d’une pratique et d’une prise de décision basées sur les données factuelles a atteint le système de santé et des services sociaux au Québec et n’épargne pas les acteurs de la santé mentale au Québec, tant du secteur public que des secteurs privé et associatif, de même que les usagers et le public. Tous peuvent y trouver une opportunité accrue de collaboration et d’appropriation de l’information. Quelques histoires de cas issus de l’expérience des milieux pro-vinciaux de décision, des milieux spécialisés et des milieux professionnels vont éclairer les enjeux de l’introduction et de l’apprentissage de cette approche.
9 h 45 - 10 h 30 Conférence de Véronique Lapaige, Centre de recherche Fernand-Seguin La récolte « tournant de siècle » des professionnels de la santé : des données probantes à transférer et des défis inédits à relever
Depuis l’avènement des économies fondées sur les connaissances, lié à l’émergence et à la diffusion des nTIC, l’on assiste à un véritable « seigneuriage évaluatif » dans le domaine de la santé. Cette communication vise d’abord à mieux comprendre le développement du mouvement evidence-based, en le replaçant dans le contexte socio-historique d’ordre globalitaire afférent aux deux dernières décennies. nous proposons, en deuxième lieu, quelques pistes de réflexion en vue de modéliser théoriquement le transfert des données probantes en santé publique mentale.
10 h 30 - 11 h Pause-santé
11 h - 11 h 45 Reiner Banken, AÉTMIS Le transfert des connaissances par l’évaluation des techno- logies de la santé : l’exemple des électrochocs
L’évaluation des technologies de la santé vise à informer les décideurs de tous les niveaux du système de santé sur la pertinence et la faisabilité du déploiement des technologies, de même que sur leur acceptabilité, leur utilité et leur utilisa-tion. Afin de bien cerner les enjeux de décision et de les traduire en questions d’évaluation, l’AÉTMIS utilise un modèle d’évaluation itératif et interactif qui favorise un transfert de connaissances tout au long de l’évaluation. Le dossier de l’utilisation des électrochocs au Québec servira d’exemple pour illustrer la pra-tique d’évaluation et de transfert de connaissances à l’AÉTMIS dans le domaine de la santé mentale.
11 h 45 - 12 h Échanges avec les participantes et les participants
12 h - 14 h Dîner libre
Le transfert des connaissances : perspectives théoriques
Modérateur Jean Caron, Université McGill
14 h - 14 h 30 Louis Demers, École nationale d’administration publiqueL’apprentissage du métier au sein d’une communauté de praticiens : le cas des travailleurs de rue œuvrant auprès des personnes sans abri de Québec
Dans cette conférence, nous situerons d’abord la place des travailleurs de rue dans l’organisation des services offerts aux personnes sans abri de Québec. nous présenterons ensuite ce que nous entendons par com-munauté de praticiens, puis nous examinerons dans quelle mesure les travailleurs de rue constituent une telle communauté et comment celle-ci favorise l’apprentissage de leur métier.
14 h 30 - 15 h François Chagnon, UQAM Communauté de pratique en prévention du suicide : une histoire de succès ou de persévérance?
Cette communication présente le processus et les effets proximaux de la mise en œuvre d’une communauté de pratique en prévention du suicide au Québec, telle qu’expérimentée par le Centre de recherche et d’intervention sur le suicide et l’euthanasie au cours de l’année 2005 - 2006.
Les objectifs visés et les assises théoriques sur lesquelles la communauté à été développée seront d’abord présentés. Les éléments facilitants et les obstacles à la réalisation du projet seront discutés afin d’en extraire les éléments déterminants pour le succès d’un tel projet. Les implications dudit projet pour les chercheurs et pour la pratique seront examinées.
15 h - 15 h 30 Jean-François Labadie, CLSC Bordeaux-Cartierville. « Les chercheurs viennent de Mars, les cliniciens viennent de Vénus » : le rôle du courtier de connaissances
Dans la littérature consacrée au thème du transfert des connaissances, la différence culturelle est souvent nommée comme facteur pouvant éclairer les problèmes liés à l’utilisation des données issues de la recherche dans la pratique. Pour faire face au problème du clivage culturel, plusieurs ont proposé l’idée qu’un intermédiaire (un courtier de connaissances) puisse favoriser le rapprochement de ces deux mondes issus de la recherche et de la pratique. Premier bilan et perspectives d’avenir pour le courtage des connaissances.
15 h 30 - 15 h 50 Pause-santé
15 h 50 - 16 h 20 Guylaine Beaudry, Université de Montréal.
La revue comme le vecteur principal de la communication scientifique : la complexité d’un genre en complète mutation
Le genre revue, depuis sa création dans la seconde moitié du XVIIe siècle, est le véhicule noble de la communication et du transfert des connaissances. Ce statut ne lui accorde néanmoins pas l’immunité contre les difficultés de tous ordres, notamment les difficultés financières ou celles touchant la remise
Expériences novatrices de transfert des connaissances
en question périodique de ses processus d’évaluation. Quelques exemples comme la création du Journal des Sçavans, la commercialisation industrielle des résultats de la recherche, jusqu’à l’édition numérique nous permettent d’illustrer la complexité du genre revue et du système de communication dans lequel il s’inscrit.
16 h 20 - 16 h 45 Échanges avec les participantes et les participants
16 h 45 - 17 h Mot de clôture : Marie-Josée Fleury, Université McGill
17 h 30 Cocktail et célébration du XXXe anniversaire de Santé mentale au Québec