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preSEPIIEME "J1);NEB N. pajkONNE/MENI3 1 nvole 23 fr41 er, e e "" e Désarmement mot désarmement est, aujour- gr.t r toutes les lèvres ; mais ce ntendu de différentes façons roèneu'r les uns, désarmer veut dire voyer usfond de l eau, ou mettre :.'he ferraille, toue les engins de guer- , nristants. '"pour d'autres, ce mot signifie sup- ...user toute organisation du persan- ,t de guerre. Plus de casernes. Plus service obligatoire. Plus d'instrum .soc militaire du tout. D'autres, en fin, entendent par ce pot le désarmement moral, -ou des- srustion de l'esprit de guerre, jj, mise à la ferraille de tous les en- os de guerre existants ne mettrait tellement fin aux guerffl. On n'em- oebera jamais un peuple de faire la mre, en veut la faire, pas plus ne le forcera à la faire s'il ne sn, ï pas. Ce qu'il faut obtenir, "I veuille as esti 21 Ln peuple qu'animerait l'esprit de nete, en face d'un adversaire dé- s'aqr'mé comme lui, ferait ce qu'a fait Jules César qui a conquis les Gau/es Il attrait recours aux sans eanons dimentaires en usage dans moy l'antiquité ; aux moyens que de tout Blind les foules non armées ont em- ployés dans les guerres civiles. Il uti- liserait ce qui lai tomberait sous la main t poignards, sabres, lances, cou- teaux de poche, revolvers et fusils de [tasse. Chaque combattant pourrait recevoir un bidon de pétrole polar ais- srndiee les villeset les récoltes de l'ennemi. La guerre serait peut-être phis terrible qu'elle ne l'a jamais été. Quant hla suppression de toute or- ganisation du personnel de guerre, etc perinettrait à un voisin qu'ani- merait l'esprit de conquête ou de hai- ne, ù un voisin dont la population se serait fortement accrue ou stout les récoltes auraient été Mauvaises, à un vOiSin. qui aurait faim d'en- raide notre territoire et d'y vivre à a. frais. Supprimer foule organisation du personnel de la Nation armée, sono le prétexte qu'il ne devrait pas y noir de guerres, serait aussi insensé Pile ile supprimer la police sous le Prétexte qu'il ne devrait pas y avoir de malfaiteurs, que do supprimer les libres de nos propriétés et les ver- rous de nos portes sous le prétexte n'il ne devrait pas y avoir de cana- Waters. Les guerres ne cesseront que iors- 1551,not désarmement sera enfeu- :lu/els troisième façon. Sans doute, Infra opérer aussi le désarme- tient matériel .2 mais, tant qu'on n'au- n Pas assuré le désarmement moral t'Y aura men de Dut tLi dernière guerre, en effet, a pris tu 1918, non grâce au génie du lisreehal Foch ou h l'insuffisance nu 110, échet Ludendorff. mais parbe que 'Peuple allemand n'en voulait plus. p:nst la menace de la révolution al- ende qui a obligé rudendorff à »Mander l'armistice. ,I.'simée allemande était cependant l'rvue du matériel de guerre le plus tabiderable et le phis perfectionné 1ainais possédé une armée _és elfe n était pas soutenue par le ;tteaternerit de la Nation, dont l'es- 22e gûerre avait disparu Si donc Pue leen-irae/ ladux guerres'e, nid m tt detruire, c'est l'esprit de guèrre tuer ; cheu l'étranger, bien mme chez nous. naines d'Etat ont-ils jamais à Mer chez nous /'esprit de e pans leurs discours, oui Fabry nt que, pour supprimer la assurer le désarmement suffit d'enlever les armes x qui peuvent les porter mon sens, désarmer l'es- enahre 1922, M. Briand, conseil, a dit, dans /e PrOnoncé à Washing- dU matériel de guerre, beriel des choses. Le el..ar- re muet autant que maté- les paroles. Que fa. 1111 après le diseour' de élevé, Meta, un :s71;:t% SOCIALISTE Réslactiou et A aiiaiaieaaie,ni 3C, Rue RuqueLisse - TOULOUSE - Tl. 0-43 - Comapse Chèques postaux 6»-py BUREAUX A PARIS s 46, It«, Js Trévi., 46 (IV Arsondiatosnan) Téléphona t Bergère 36., che ; /'homme que, quelques années auparavant, ses excès de langage et de plume, son patriotisme furieux, avaient fait condamner au banisse- ment. Or, M. Briand a toléré que Fi- , nauguration de ce monument soit f ai- te par M. Louis Barthou, le ministre de /a Guerre lui-même ! Etait-il pos- sible d'exciter davantage les Aile- mands contre les Français, et /es Français contre /es Allemands ? En 1923, dans une ville de province une souscription avait été ouverte en vue de l'érection d'un isonument à la mémoife des enfants du pays morts pour la France. Les organisateurs La Mecque, la ville sainte des dl de la souscription inscrivirent sur le L'a rnonument : « Guerre à la guerre ! eet inséripadmtionL rati . e Goufitverneffacerenient e a n ngile repitqd laissa a a ute torité faire.inistve Est-il donc interdit de haïr la guer- role21. N'étevez plus des statues aux hom- mes qui ont voulu la guerre, mais élevez-rot ceux qui Font combattue aujourd'hui, à Frédéric Passy, de- main, à Joseph Caillaux. Réservez les distinctions honorifi- ques dont vous disposez non pour les amis de la guerre, mais pour /es amis de /a paix. Débaptisez les rues qui Portent les noms de grandes batailles et donnez- leur MS-Moins de bienfaiteurs de l'hu- manité:: Célébreu l'anniversaire de la paix, le 11 novembre de chaque année, en Allemagne comme en France, et non la victoire de la Marne à Paris et celle de Charleroi à Ber/in. Et alors, vous verrez eues n cA ta llei:tagyne: comme en France, tous , bourgeois, paisibles par nature, qui n'étaient bellicistes que parce que vous /eue aviez laissé croire que c'e- talf mieux porté, devenir pacifistes intransigeants, Mlernationahstes, par- tisans du riipprochement franco-alto- mand. Les guerres prendront ainsi fin, plus sûrement que Par l'envoi on fond de l'eau de tous les canons exis- tants. -Général PERM La participation de ia France à l'emprunt allemand Paris, 8 octobre. La note suivante, publiée de source officieuse, réduit à néant ou tout nooneit atténue dans des uropMtions considérai los /a valeur d'une es causes de tension que nous avons énuméréea plus hast d'après l'opinion de que/cites « notabilités financières Les information spart,s hier et aajour- d'hui dans la presse au sujet de Tenu. prient Damem ont pst donner à penser que l'opération entraînerait des achats de li- vres sterling spr le marché pour la libé- ration de la t.nche française. Il n'en sera rien et, d'ores et déjà, des anange- maints sont pris poor ns,urer /es remises eove,suoenn onOres sans réprectssion sur le marché. Quant aux banquiers et aux souscrit> teues, ils n'entant à Vexaas que dus ft re ? Faut-il la glorifier ? C'est mal- ' heureusement ce que fout la plupart Jean Longuet a adressé à tin Marcel des livres d'histoire que l'Université Gmellin. directeur de P « Humanité c la met entre les mains des enfants. Ces lettre suivante livres glorifient plus les grands bonis- Au citoyen Cachin, directeur de mes de guerre que les grands bienfai- r Humanité. » leurs de l'humanité. Cita 'en Qui soit, parmi nos enfants, que le transport électrique de la force a été découvert en 1873, par 'Hippolyte Fontaine Dui sait que le remède du phi/oxera remède qui a sauvé de la ruine nos régions vinicoles, a été découvert par limite Manchon ? Qui sait que la navigation sous-ma- rine a été déconverte, en 1900, par Charles Couliet ; que l'inventeur est mort dans la misère et qtte le minis- tre de la Marine, Cantine Pelletas, lui a rendu un tardif hommage, en 1903 ? Aucun de ces hommes n'a sa sfatue pas plus que Frédéric Passy, le rand guêtre de la paix. Mais, Paul Dt-ou- tède a la sienne et Poincaré serait. statufié, lui aussi, pose soUS avoir rendu l'Alsace et la Lorraine s'il était mort avant que les Livres Noirs nous eussent révélé ses machinations avec Iswo/slity. Cessez, Messieurs les gouvernants, de vitupérer contre l'esprit de guer- re, mais dormez-nous des preuves palpables de votre attacheMent à la paix. Ne considérez plus comme sédi- tieux le cri de e Guerre à la guerre ! simple traduction de vos propres pa- do yous prie d'agréer, citoyen, l'expres- Je viens seulement de prendre eommu- sian ne mes uvstimento so°'g.'u/eè'- nieation d'une « information parue dans Jean LONGULIf /' « Humanité » d'hier au sujet de portante session que oient de tenir à ton- dus le Comité exécutif do l'internatiombe ouvrière et socialiste, session au cours de laquelle j'ai représentée aveu mon excellent ami Bracke le Parti secialiste S. F. I. O. J'ai pris depuis longtemps le parti de ne relaver aucun des oultra.s ni dis mlom- nieu que vous eme Platsez enstéma utile- ment à répandre coince tous les meill.rs militants ou Socialisme international Cela n'a aucune importance et le temps se char- gera tint, ou tard do fixer les responsabili- tés, Nuis il m'est impossible de ne Pas inforimtions « eomplêtement fausse inventée de toutes Pièces ménic, j'ose le dire quo vous avec. publiée hier en ce qui eOneerna men eglitude et celle de nies camarades du nornitel exécutif, Vous déclares qu'au soins de la réu- nion, nous avons « furieusement attaqué ta politique russe do ùlat Donald. que imipierveide, Adner, Otto Wels et Longuet s'opposent nettement au point de vue ex- prime p.sr les reps:sentants du Labour Party et de L. lb et que lies « patriotes » (I) « Longuet et Cie a ont de- mandé au chef du Labo. Party ï de ne pas défendre -la Russie des Sect.., mais da t'attaquer à fond d Je vous oppose le démenti le plus formel Aucun des militants dont vom donnes lm noms et le signataire de cette telles biset moins que tout autre ne seai élevé confis Ic traite augnumuse. à propos duquel no: camarades travmllistes anglais mènent situ- si belle et courageuse isabasiis, es ffui vous empêche jus d'ailleurs de los injurier bassenient tous des matins. a Pas un mot n'a été dit par aucun Mat menteres du Comité exécutif pendant « les !rois journées mi% duré cette session ii qui justifie en quia que ce soit votre « sotte et malfaisante invention Ce qui est, on revamhe, parfaitement exact, c'est que, ainsi que tees mla tradi- tion du Socialisme et do /Internationale nous le commandait, none nous sommes élevés rentre la répression atroce. Par la 11005M bulehrivik. de l'insurrection du peu- Id&e, 1801, biset Mars ltélriosail déjà, au 500. de la Per:Mère Internationale, « la RUesie saisissani comme une proie les montagnes forteresse do Caucase Nom axons également condamné, rom- ik a t'êta il notre devant ffes loonditions abominables dans lesquellso des militants socialistes russes. lm. draie simplement ré;ûrrtirnî lbjet'l'int: 'n'ésgetne no'Iceorka'o'net élu déport. dans Ilatrom bagne de Solo- oietaky, situé sous le cercle polaire I Nous aurions manqué b notre ploq, élémentaire demie en n'élevant point. cette protesta- Mais tout c.i n'a rien à voir avec le traité anglo-russe..Loin de l'avoir condam- né, nous avons même « explieitemerit dam le manifeste -lu p,ar notre camarade Monne secrétaire gainerai des cheminots anglais, devant 1.1.000 assistants du, mee- ting du Lyceum théâtre et communiqué le Si nous faisons abstraction cles jeUnes gens confis et des criminels sans cons- cience qui espèrent s'onridair par le pil- lage et le crime, le nomele entier veut jourd'hul la paix et rime,to redoute la Cause. Et mapandanc, AuJoLes, suent le spectre d'une nouvelle guette gui neilo Menace, que non, le Votlians os non : la logique des faits est psus forte que 0. césus. Lo danger de guerre d'auipurd'hiii est une ccentéquence de la concl.ion de la paix .13-lingt. D'errais t0401., chaque Foin de violence a porté mi elle le germe d'une nouvelle guerre. C'est vrai mijote- c'hui plus que jamais. Car les derniers traités de paix ne f trent pas seulerrmnt dminés par les vainqueurs aux vaincus, sans eue ceux-ci a.. été entendes, mais ils réglèrent, en outre, use quantité, de situations comme ne le fit jamais au- cun traité de paix antérieur. Les vain- lendemain à. ses 300'000 1.teurs par le cDaily Ilerald affirmé notre solidarité cuems. encore aveugles par I ivresse de tu tteutterge russe de id. Dem... de b tnierre, ignorant as plus haut point « C'est endetter ni de loin, ni de près. rien les conditions des pays vaincu, Poussée O. n'augerinsin !votre falsification éhontée souvent Par une cemagogie s courte » des faits. o., ont créé un otemage qui soulève bico plies de conflits ot de probleones unit n en résend et, par suite crée des coudlitiond insuppmetables, qui ne sont d'aucune utilité pour le vainquem, pous- se les vaincus au désespoir et devait mil- provoquer des différends entre les vain- queurs eux-mèn-ss. De là ce phénomène effrayant d'une neuve!ls menace de guerre longtemPs avant one les profondes blessures de la dernière guerre soient cicatrisées. Avec la plus gYan,de .énergie, les troc vaille-os de partout set ctressent centre cet hirouibte ,neetre. Le. moyen te pl. Poli.- sont avec toquai ils cherchent à le con- jurer est la décisien d'étouffes one soi, selle guerre dès aon origine par la grève ! générale. 1 L'intention est exteérnemesnt e.itante. Mais, an risque de me rends impopulai m. je dois avouer que l'efficacité de. ce . moyen, oit est beill ernoloye, me paraîi aussi douteuse aujourd'hui qu'elle le pa- ; naissait avant la gume de 1914 à beau. coup de mm amis, non senletnent à Ro- t sa imenemburg. mais 2143S1 à Jeun- maris Vaillant, Keir Hardie. /coton no peut être appliqué que lorsqu'il est trop tard 1 une fois la guerre déglacée, la panigne sempare des mas- s. <pi sont alors &minées par One se, In pensée eniciècher l'invasion émane- re et la dgaite cle leurs pays respectif . Ce fut le eas en 1914 et ce serait on- camé prol-ublement le coi maintenant. , nous ne possodons la force dem pécher le politique qui conduit à la ecridelcher cette dernière. Notre, résistan- ' os doit intervenir longtemps avant la dé- gemme. nous ne potinons Pm non essa datation de mem., et nem pas seule- -kat d'êt e prise -ore es Virshebites, CES BOLCHEVISTES 1 Mme Kolsedai, ambassadrice des SOViet9 sus Norvége, frenehit_le.aattli du -château royal à Cingstiana, Zaghloul Pacha à Paris Ititoldreii7,-Sdind%rccolole= r%yr>a' P00101, 1Y.«, ,g,,,pe, es:27 anivé hier Soir, ve- nant de Londres. à ia gare du Nord. 18 h. là. Il était accompagné de sa femme et d'une suite, églY;cffieglelieert'txencrl'alrernbtre de str In Un cortège s'organisa sur lochaenn ; la Mule en Mesure et sur un meme rythme mab-nodia Vive ZaOittal Pacha ., tout en accompegmet le grondent du conseil. ' Les cris de c Vioc l'independance égyee henne retentsent eusse, et Ceux de Vive la France Zaghloul Pacha et Mute Zeghloul Pacha prirent ensuite place dans l'auto qui Sur était réservée, ornée du fanion égyptien, et la voiture se remit en route vers le Ma- lestit-Hôtel mi des ai:portements sont re- tenus gour le premier ministre et sa suite. aàeue Veule% rester lep nroattres, il socs bal l'étrangler, Là grève générale comme moyen de lutte contre la guerre est encore impa. faite coco sens que. Mans D metileur cas, elie peut pont-puer mes opérations de guerre, mais ne peut faire disparaitra la came du conflit. Et pourtant, oie. la la chose principale. Avant tout, nous devons nous deinan- dar t Gommant esf-il possible diempécher quo des conflits surgissent entre Etats OL quand matgré tout, cio tels différends écla- tent, comment peut-on les régies par des méthodes autres que les nielimies militai- res t Nous dtwo. auto efforcer de ren- des la guerre .perflsos è3,ii empêche- ment en résultera tout naturellement. Cela ne peut su faire par la grèves géné- rude prolétarien., niais par une StocieiM d. Natioi,s méthodiquement instituée. - La Société d. Nations instituée Par le traité de Versaiiles de i0t9 fut au debut, considérée avec mépris et défiance, non sotte:men« !par des réactionnaires' 01m-tas dusse par ues socialiste, Ma/gré cela, a. d'année en année. gagna en importan- ce et en con.dération, malgré la justesse du critiques qui lui étaient aUreSSêeS. Elle souffrit surtout d'étre l'ouvrage des oatinqueurs de 1918, ouvrage qui rut imposé par ces derniers au monde par le traité do Versaides qui était tine dérision de l'idée d'une Société dos Nations. Da mémo au début. la ligue apparut simple- ment cornue un instrument des vain- queurs. Les Etats-Unis s'en tinrent. à Pa- cart parce qutli en attendatent..n Pola- thssernent d'un état de paix eumble, mais ale nouvelles complitations. La république soviétique russe n'aspirait pas à s paix niais d -la guerre, en prouee lieu à la guerre civile dans toute l'Europe. L'Alle- magne fut tout dintberd exclue do la Ligue et ne fut pas encline à y entrer aussi longtemps qu'elle était dominée par un front uni des vainqueurs. C'est ainsi que la Société des Nations est restée jusqu'à ce jour un crouPilM et fut dans l'impossibilité de remplir com- plètement sa mission I aplanir les conflits entre nations Mans de paisibles conféren- ces ou les faire trancher par un arbitrage affjectif... Aujourd'hui, les obstacles qui empêchaient l'Anlemagm d'entrer dam la sonimse pet Nations Iont disparu. Gents ses propres natio:la-listes se irmtycnt en- core en travers do' la route. L'entrée de l'étlernagne neéralt encourager /1Améri- qos à is euican. Ainsi une grande lacune de la Société des Nations serait comblée. Cele-ei souffre encore de ce que, jus- qu'ici, elle n'est qu'une ligue des gouver- nements et non des peuples. On a opposé à sels l'impossibilité teeapique d'élire di- 'JEUDI 9 OCTOBRE 1924 20 CENT. t, Les nouveaux ministres font au moins autant de discours que les précédents. ligLis en actes, tont-ils bien mieux ? LA PAIX La SON [fis riallous el la grhe gÉdralî rectement un paricinent des peuples. Colt juste. Mais Io Patientent des peuples ,pouru lett être( orme tegune autre manière, pal élection indirecte des Parlements des pus. phis particuliers. Ce ne serait pas la mê- me° alose que la nomination îles délt%ués p. les gouvernements. 11, y a trois ans, en septembre 192t. dans Ma préface à l'édition allemande du livre du proftessceur Gilbert Murray .r les « Problèmes de la politique extérieure », dans laquelle j'intervenais en faveur do la Société des Nations récrivais déjà « Une élection directe de Sois délégués au.ruels choque nation na droii no serait pas trts opportune. /I suffirait qu'ils fus. sent élus par le Parlement dos Etats dia- pres la proportionnelle, do telle façon.que Ors plus grands partis de ohaque pays fus- sent représentés dans la Ligue. te qui se- rait le cas des socialistes dans la- Plupart des Mats bourgeois actuels. Si Pan supprime ensuite la décision d'après laquelle canaque Etat ne pnnsids quiune unie chacun des mob nhélutamls devrait parler et voter auprès sa eonviou lion, ce qui aurait pour résultat de faire disparaltre rapidement Puni11 étroite de chaque pays au min de la Société des Na- tions et c'est très important pour le rap- prochement des nations (P. 23, 211' Chaque gouvernement nourrit le désir violent de maintenir sa souveraineté. Aus- si longtemps que la Société des Nations restera une représentation de gouverne- ments, subsistera D danger qu'elle ne soit rien d'autre q121.111 immense foyer d'in- trigues dans lequel chaque gouvernement briguera la faveur des autres pour attein- dre ses buts particulie.. Par Contre, si Ms Parlements élisent les !délégués, les représentants des différentes classes, mé- thodes, conceptions politiques. se cassent- Prieront facilement pour des interventions communes. Il est Cortain que les socittlis- %drntreeroronspeun'' sh:.'le mc1;.ht,* :!. , contraire, des socialistes, les représentants d'intérêts bourgeois no peuvent oublieg leurs différends nationaux et restent divi- se, l'influence du socialisme international au soin de la Société des Nations grandira davantage encore. Alors on s'approcherait mot le plus grand succès d'une véritable reorminsetion internottmalo du monde. -Aujourd'hui déjd la Société des Nations st devenue, un centm important de poli, tique internationale. Les gouvernements et Ion partis gui la rejettent rendent leur si- tuation plus difficile dans le monde. Seule. ment, née n'agira d'une manière puissante que lorsqu'one au. été réformée dans le sens que nous venons d'indiquer. Ce que' ne -peut auoun autre facteur est on son p,mvoir t taire disparaitre pacifiquement Oc u tauses de -la guerre. Mais comment vaincre les ...aimes qu'elle remontre auprès de certaines nations On Varle de rneltre à la disposition de Sa Société des Nations Inc puissante forte militaire qui la mettrait en fini de Pune- nec d la raison toute nation récalctrante Mais cela ne signifieraibil pas qu'au va reing/acer les formes antérieures tie guer. re par une espèce nouvelle la guerre ils la Sommé des Nations contre un seul peu- ple ? Ce serait une mauvaise méthode pour supprimer la guerre. 11 est 'certain qu'une forés puissante doit us Moutier derrière la Société des Nations sans quoi celle-et pourrait etre Pa- ralysée par chaque Etat belliqueux. Mais cette force ne doit pas nécessairement litre une force militaire. Elle peut-ètre une ta, ceêeanomique. Et ici se présente avant tout la puissance économique des e souries-os nomme 1,3 plus énergique facteur de Paint. Si, malgré l'intervention pacifique de la Sooiété des Nations, un Etat meniteste des velléités atterri/ires, que le prolétariat dé- sapprouve. il suffirait pour le faire recu- ler que toute la classe ouvrière du monde s'opposât à ce fille tout pays lui feurnisso des moyens de guerre et que la classe ouvrière du pays belliqueux appuyât ce it boycott » par la u grêve générale. » Dans les circonstances qui se sont ma- nifesté. jusqu'à présent, il est inutile de vouloir troubler dm opérations de guerre par la grève générale. capta crainte de l'in- oasien et de la défaite emporte tont. Sans compter que, si la grève réussit. ou ne fait aucune distinction entre les différen- tes espèces de guerre, l'attaque étant aussi panalysé que regros... Mais si la grève générale isolée est in- capable d'empêcher ta guerre, elle peut puissamment aider l'antivité de la Société des Nations contre un Etat violent. Les obstacles psyehrlogiques qui paralyseraient la grève générale isolée disparaissent Ici. Le gouvernement le plus rusé no peut Mus lei faire croire aux masses que la patrie est menacée par la grève centre la guerre ,011e. 55 SozilIt uns Nattore peut aussi l'en assurer la paix que l'Internationale smiatigle ou 1eu syndicats livrés h leurs seules forces. Mais ils peuvent s'appuyer l'un l'autre si t'Orientent titilla- formeroM. ensemble une imprenable forteresse de la pair. Travailler pour atteindree ea hm., tel est notre devoir à nous tous. .4- La guerre civile en Chine LA LUTTE EST ACHAHNEE Shanghai, 8 octobre. Un télégramme de Fou-Kien annOnee que le général Sun. Chan-Fang, geltVernete militaire de Kim, a mis sung-iniang, situé à 55 kilomd tres à Pest de Shanghai, et les troupes de Tcheldang se sont repliées sur Slim-Shan- ghai. Conséquemment, Palmée du Teliekiang devra peut-être abandonner le front Chu- eng-Tu-Liuho, Pékin, 8 octobre. Un combat violent s'est engagé sur le front Shanghaï-Kouan, entre les armées de Ou-Nd-Fou et dk Tchang-no-Lin. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

er, Désarmement LA PAIXimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1924/B315556101_MIDSOC_1924_10_09.… · des livres d'histoire que l'Université Gmellin. directeur de P « Humanité

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preSEPIIEME"J1);NEB

N.

pajkONNE/MENI3

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nvole 23 fr41 er,e e""

e Désarmementmot désarmement est, aujour-

gr.t r toutes les lèvres ; mais centendu de différentes façons

roèneu'r les uns, désarmer veut direvoyer usfond de l eau, ou mettre

:.'he ferraille, toue les engins de guer-, nristants.'"pour d'autres, ce mot signifie sup-...user toute organisation du persan-,t de guerre. Plus de casernes. Plusservice obligatoire. Plus d'instrum

.soc militaire du tout.D'autres, en fin, entendent par ce

pot le désarmement moral, -ou des-srustion de l'esprit de guerre,jj, mise à la ferraille de tous les en-os de guerre existants ne mettraittellement fin aux guerffl. On n'em-oebera jamais un peuple de faire la

mre,en veut la faire, pas plus

ne le forcera à la faire s'il nesn, ï pas. Ce qu'il faut obtenir,"I veuille as

esti 21Ln peuple qu'animerait l'esprit de

nete, en face d'un adversaire dé-s'aqr'mé comme lui, ferait ce qu'a faitJules César qui a conquis les Gau/es

Il attrait recours auxsans eanonsdimentaires en usage dansmoyl'antiquité ; aux moyens que de toutBlind les foules non armées ont em-ployés dans les guerres civiles. Il uti-liserait ce qui lai tomberait sous lamain t poignards, sabres, lances, cou-teaux de poche, revolvers et fusils de[tasse. Chaque combattant pourraitrecevoir un bidon de pétrole polar ais-srndiee les villeset les récoltes del'ennemi. La guerre serait peut-êtrephis terrible qu'elle ne l'a jamais été.Quant hla suppression de toute or-

ganisation du personnel de guerre,etc perinettrait à un voisin qu'ani-merait l'esprit de conquête ou de hai-ne, ù un voisin dont la populationse serait fortement accrue ou stoutles récoltes auraient été Mauvaises,à un vOiSin. qui aurait faim d'en-raide notre territoire et d'y vivre àa. frais.Supprimer foule organisation du

personnel de la Nation armée, sonole prétexte qu'il ne devrait pas ynoir de guerres, serait aussi insenséPile ile supprimer la police sous lePrétexte qu'il ne devrait pas y avoirde malfaiteurs, que do supprimer leslibres de nos propriétés et les ver-rous de nos portes sous le prétexten'il ne devrait pas y avoir de cana-Waters.

Les guerres ne cesseront que iors-1551,not désarmement sera enfeu-:lu/els troisième façon. Sans doute,Infra opérer aussi le désarme-

tient matériel .2 mais, tant qu'on n'au-n Pas assuré le désarmement moral

t'Y aura men de DuttLi dernière guerre, en effet, a pris

tu 1918, non grâce au génie dulisreehal Foch ou h l'insuffisance nu110, échet Ludendorff. mais parbe que'Peuple allemand n'en voulait plus.p:nst la menace de la révolution al-ende qui a obligé rudendorff à»Mander l'armistice.,I.'simée allemande était cependantl'rvue du matériel de guerre le plustabiderable et le phis perfectionné

1ainais possédé une armée_és elfe n était pas soutenue par le;tteaternerit de la Nation, dont l'es-

22e gûerre avait disparu Si donc

Pue leen-irae/ ladux guerres'e,nid m tt

detruire, c'est l'esprit de guèrretuer ; cheu l'étranger, bien

mme chez nous.naines d'Etat ont-ils jamaisà Mer chez nous /'esprit deepans leurs discours, oui

Fabry

nt que, pour supprimer laassurer le désarmement

suffit d'enlever les armesx qui peuvent les portermon sens, désarmer l'es-

enahre 1922, M. Briand,conseil, a dit, dans /e

PrOnoncé à Washing-

dU matériel de guerre,beriel des choses. Le el..ar-re muet autant que maté-

les paroles. Que fa.1111 après le

diseour'deélevé, Meta, un

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SOCIALISTERéslactiou et A aiiaiaieaaie,ni 3C, Rue RuqueLisse - TOULOUSE - Tl. 0-43 - Comapse Chèques postaux 6»-pyBUREAUX A PARIS s 46, It«, Js Trévi., 46 (IV Arsondiatosnan) Téléphona t Bergère 36.,

che ; /'homme que, quelques annéesauparavant, ses excès de langage etde plume, son patriotisme furieux,avaient fait condamner au banisse-ment. Or, M. Briand a toléré que Fi-

, nauguration de ce monument soit f ai-te par M. Louis Barthou, le ministrede /a Guerre lui-même ! Etait-il pos-sible d'exciter davantage les Aile-mands contre les Français, et /es

Français contre /es Allemands ?En 1923, dans une ville de province

une souscription avait été ouverte envue de l'érection d'un isonument à lamémoife des enfants du pays mortspour la France. Les organisateurs La Mecque, la ville sainte des dlde la souscription inscrivirent sur le

L'arnonument : « Guerre à la guerre !

eet inséripadmtionLrati

. e Goufitverneffacerenient e a n ngile repitqdlaissa a aute

torité

faire.inistveEst-il donc interdit de haïr la guer-

role21.N'étevez plus des statues aux hom-

mes qui ont voulu la guerre, maisélevez-rot ceux qui Font combattueaujourd'hui, à Frédéric Passy, de-main, à Joseph Caillaux.

Réservez les distinctions honorifi-ques dont vous disposez non pour lesamis de la guerre, mais pour /es amisde /a paix.

Débaptisez les rues qui Portent lesnoms de grandes batailles et donnez-leur MS-Moins de bienfaiteurs de l'hu-manité::

Célébreu l'anniversaire de la paix,le 11 novembre de chaque année, enAllemagne comme en France, et nonla victoire de la Marne à Paris etcelle de Charleroi à Ber/in.

Et alors, vous verrez euesn cA tallei:tagyne:comme en France, tous

, bourgeois, paisibles par nature, quin'étaient bellicistes que parce quevous /eue aviez laissé croire que c'e-talf mieux porté, devenir pacifistesintransigeants, Mlernationahstes, par-tisans du riipprochement franco-alto-mand.

Les guerres prendront ainsi fin,plus sûrement que Par l'envoi onfond de l'eau de tous les canons exis-tants.

-Général PERM

La participation de ia France

à l'emprunt allemand

Paris, 8 octobre. La note suivante,publiée de source officieuse, réduit ànéant ou tout nooneit atténue dans desuropMtions considérai los /a valeur d'unees causes de tension que nous avons

énuméréea plus hast d'après l'opinion deque/cites « notabilités financières

Les information spart,s hier et aajour-d'hui dans la presse au sujet de Tenu.prient Damem ont pst donner à penser quel'opération entraînerait des achats de li-vres sterling spr le marché pour la libé-ration de la t.nche française. Il n'ensera rien et, d'ores et déjà, des anange-maints sont pris poor ns,urer /es remiseseove,suoenn onOres sans réprectssionsur le marché.

Quant aux banquiers et aux souscrit>teues, ils n'entant à Vexaas que dusft

re ? Faut-il la glorifier ? C'est mal-' heureusement ce que fout la plupart Jean Longuet a adressé à tin Marceldes livres d'histoire que l'Université Gmellin. directeur de P « Humanité c lamet entre les mains des enfants. Ces lettre suivantelivres glorifient plus les grands bonis- Au citoyen Cachin, directeur demes de guerre que les grands bienfai- r Humanité. »leurs de l'humanité.

Cita 'enQui soit, parmi nos enfants, que letransport électrique de la force a étédécouvert en 1873, par 'HippolyteFontaine

Dui sait que le remède du phi/oxeraremède qui a sauvé de la ruine nosrégions vinicoles, a été découvert parlimite Manchon ?

Qui sait que la navigation sous-ma-rine a été déconverte, en 1900, parCharles Couliet ; que l'inventeur estmort dans la misère et qtte le minis-tre de la Marine, Cantine Pelletas,lui a rendu un tardif hommage, en1903 ?

Aucun de ces hommes n'a sa sfatuepas plus que Frédéric Passy, le randguêtre de la paix. Mais, Paul Dt-ou-tède a la sienne et Poincaré serait.statufié, lui aussi, pose soUS avoirrendu l'Alsace et la Lorraine s'il étaitmort avant que les Livres Noirs nouseussent révélé ses machinations avecIswo/slity.

Cessez, Messieurs les gouvernants,de vitupérer contre l'esprit de guer-re, mais dormez-nous des preuvespalpables de votre attacheMent à lapaix.

Ne considérez plus comme sédi-tieux le cri de e Guerre à la guerre !simple traduction de vos propres pa-

do yous prie d'agréer, citoyen, l'expres-Je viens seulement de prendre eommu- sian ne mes uvstimento so°'g.'u/eè'-

nieation d'une « information parue dans Jean LONGULIf/' « Humanité » d'hier au sujet deportante session que oient de tenir à ton-dus le Comité exécutif do l'internatiombeouvrière et socialiste, session au cours delaquelle j'ai représentée aveu mon excellentami Bracke le Parti secialiste S. F. I. O.

J'ai pris depuis longtemps le parti de nerelaver aucun des oultra.s ni dis mlom-nieu que vous eme Platsez enstéma utile-ment à répandre coince tous les meill.rsmilitants ou Socialisme international Celan'a aucune importance et le temps se char-gera tint, ou tard do fixer les responsabili-tés, Nuis il m'est impossible de ne Pas

inforimtions « eomplêtementfausse inventée de toutes Pièces ménic,j'ose le dire quo vous avec. publiée hieren ce qui eOneerna men eglitude et cellede nies camarades du nornitel exécutif,

Vous déclares qu'au soins de la réu-nion, nous avons « furieusement attaquéta politique russe do ùlat Donald. que

imipierveide, Adner, Otto Wels et Longuets'opposent nettement au point de vue ex-prime p.sr les reps:sentants du LabourParty et de L. lb et que lies «patriotes » (I) « Longuet et Cie a ont de-mandé au chef du Labo. Party ï de nepas défendre -la Russie des Sect.., maisda t'attaquer à fond d

Je vous oppose le démenti le plus formelAucun des militants dont vom donnes lmnoms et le signataire de cette telles bisetmoins que tout autre ne seai élevé confisIc traite augnumuse. à propos duquel no:camarades travmllistes anglais mènent situ-si belle et courageuse isabasiis, es ffuivous empêche jus d'ailleurs de los injurierbassenient tous des matins.

a Pas un mot n'a été dit par aucun Matmenteres du Comité exécutif pendant

« les !rois journées mi% duré cette sessionii qui justifie en quia que ce soit votre« sotte et malfaisante invention

Ce qui est, on revamhe, parfaitementexact, c'est que, ainsi que tees mla tradi-tion du Socialisme et do /Internationalenous le commandait, none nous sommesélevés rentre la répression atroce. Par la11005M bulehrivik. de l'insurrection du peu-Id&e, 1801, biset Mars ltélriosail déjà, au500. de la Per:Mère Internationale, « laRUesie saisissani comme une proie lesmontagnes forteresse do Caucase

Nom axons également condamné, rom-ik a t'êta il notre devant ffes loonditionsabominables dans lesquellso des militantssocialistes russes. lm. draie simplementré;ûrrtirnî lbjet'l'int: 'n'ésgetne no'Iceorka'o'netélu déport. dans Ilatrom bagne de Solo-oietaky, situé sous le cercle polaire I Nousaurions manqué b notre ploq, élémentairedemie en n'élevant point. cette protesta-

Mais tout c.i n'a rien à voir avec letraité anglo-russe..Loin de l'avoir condam-né, nous avons même « explieitemeritdam le manifeste -lu p,ar notre camaradeMonne secrétaire gainerai des cheminotsanglais, devant 1.1.000 assistants du, mee-ting du Lyceum théâtre et communiqué le

Si nous faisons abstraction cles jeUnesgens confis et des criminels sans cons-cience qui espèrent s'onridair par le pil-lage et le crime, le nomele entier veutjourd'hul la paix et rime,to redoute laCause. Et mapandanc, AuJoLes, suent lespectre d'une nouvelle guette gui neiloMenace, que non, le Votlians os non : lalogique des faits est psus forte que 0.césus.

Lo danger de guerre d'auipurd'hiii estune ccentéquence de la concl.ion de lapaix .13-lingt. D'errais t0401., chaqueFoin de violence a porté mi elle le germed'une nouvelle guerre. C'est vrai mijote-c'hui plus que jamais. Car les dernierstraités de paix ne f trent pas seulerrmntdminés par les vainqueurs aux vaincus,sans eue ceux-ci a.. été entendes,mais ils réglèrent, en outre, use quantité,de situations comme ne le fit jamais au-cun traité de paix antérieur. Les vain-lendemain à. ses 300'000 1.teurs par le

cDaily Ilerald affirmé notre solidarité cuems. encore aveugles par I ivresse detu tteutterge russe de id. Dem... de b tnierre, ignorant as plus haut point

« C'est endetter ni de loin, ni de près. rien les conditions des pays vaincu, PousséeO. n'augerinsin !votre falsification éhontée souvent Par une cemagogie s courte» des faits. o., ont créé un otemage qui soulève

bico plies de conflits ot de probleonesunit n en résend et, par suite crée descoudlitiond insuppmetables, qui ne sont

d'aucune utilité pour le vainquem, pous-se les vaincus au désespoir et devait mil-provoquer des différends entre les vain-queurs eux-mèn-ss.

De là ce phénomène effrayant d'uneneuve!ls menace de guerre longtemPsavant one les profondes blessures de ladernière guerre soient cicatrisées.

Avec la plus gYan,de .énergie, les trocvaille-os de partout set ctressent centre cethirouibte ,neetre. Le. moyen te pl. Poli.-sont avec toquai ils cherchent à le con-jurer est la décisien d'étouffes one soi,selle guerre dès aon origine par la grève

! générale.1 L'intention est exteérnemesnt e.itante.

Mais, an risque de me rends impopulaim. je dois avouer que l'efficacité de. ce

. moyen, oit est beill ernoloye, me paraîiaussi douteuse aujourd'hui qu'elle le pa-

; naissait avant la gume de 1914 à beau.coup de mm amis, non senletnent à Ro-

t sa imenemburg. mais 2143S1 àJeun-

marisVaillant, Keir Hardie./coton no peut être appliqué que

lorsqu'il est trop tard 1 une fois la guerredéglacée, la panigne sempare des mas-s. <pi sont alors &minées par One se,In pensée eniciècher l'invasion émane-re et la dgaite cle leurs pays respectif .Ce fut le eas en 1914 et ce serait on-camé prol-ublement le coi maintenant.

, nous ne possodons la force dempécher le politique qui conduit à laecridelcher cette dernière. Notre, résistan-' os doit intervenir longtemps avant la dé-gemme. nous ne potinons Pm non essadatation de mem., et nem pas seule-

-kat d'êt e prise -ore es Virshebites,

CES BOLCHEVISTES 1

Mme Kolsedai, ambassadrice des SOViet9sus Norvége, frenehit_le.aattli

du -château royal à Cingstiana,

Zaghloul Pacha à Paris

Ititoldreii7,-Sdind%rccolole=r%yr>a'

P00101,1Y.«,,g,,,pe, es:27 anivé hier Soir, ve-

nant de Londres. à ia gare du Nord.18 h. là.

Il était accompagné de sa femme etd'une suite,

églY;cffieglelieert'txencrl'alrernbtre destr InUn cortège s'organisa sur lochaenn ; la

Mule en Mesure et sur un meme rythmemab-nodia Vive ZaOittal Pacha ., touten accompegmet le grondent du conseil.

' Les cris de c Vioc l'independance égyeehenne retentsent eusse, et Ceux de

Vive la FranceZaghloul Pacha et Mute Zeghloul Pacha

prirent ensuite place dans l'auto qui Surétait réservée, ornée du fanion égyptien,et la voiture se remit en route vers le Ma-lestit-Hôtel mi des ai:portements sont re-tenus gour le premier ministre et sa suite.

aàeue Veule% rester lep nroattres, il socs bal l'étrangler,

Là grève générale comme moyen delutte contre la guerre est encore impa.faite coco sens que. Mans D metileur cas,elie peut pont-puer mes opérations deguerre, mais ne peut faire disparaitra lacame du conflit. Et pourtant, oie. la lachose principale.Avant tout, nous devons nous deinan-dar t Gommant esf-il possible diempécherquo des conflits surgissent entre Etats OLquand matgré tout, cio tels différends écla-tent, comment peut-on les régies par des

méthodes autres que les nielimies militai-res t Nous dtwo. auto efforcer de ren-des la guerre .perflsos è3,ii empêche-ment en résultera tout naturellement.Cela ne peut su faire par la grèves géné-rude prolétarien., niais par une StocieiMd. Natioi,s méthodiquement instituée.- La Société d. Nations instituée Par letraité de Versaiiles de i0t9 fut au debut,

considérée avec mépris et défiance, nonsotte:men« !par desréactionnaires'

01m-tasdusse par ues socialiste, Ma/gré cela,a. d'année en année. gagna en importan-ce et en con.dération, malgré la justessedu critiques qui lui étaient aUreSSêeS.

Elle souffrit surtout d'étre l'ouvragedes oatinqueurs de 1918, ouvrage qui rutimposé par ces derniers au monde par letraité do Versaides qui était tine dérisionde l'idée d'une Société dos Nations. Damémo au début. la ligue apparut simple-ment cornue un instrument des vain-queurs. Les Etats-Unis s'en tinrent. à Pa-cart parce qutli en attendatent..n Pola-thssernent d'un état de paix eumble, maisale nouvelles complitations. La républiquesoviétique russe n'aspirait pas à s paixniais d -la guerre, en prouee lieu à laguerre civile dans toute l'Europe. L'Alle-magne fut tout dintberd exclue do la Ligueet ne fut pas encline à y entrer aussilongtemps qu'elle était dominée par unfront uni des vainqueurs.C'est ainsi que la Société des Nations

est restée jusqu'à ce jour un crouPilM etfut dans l'impossibilité de remplir com-plètement sa mission I aplanir les conflitsentre nations Mans de paisibles conféren-ces ou les faire trancher par un arbitrageaffjectif... Aujourd'hui, les obstacles qui

empêchaient l'Anlemagm d'entrer dam lasonimse pet Nations Iont disparu. Gentsses propres natio:la-listes se irmtycnt en-core en travers do' la route. L'entrée del'étlernagne neéralt encourager /1Améri-qos à is euican. Ainsi une grande lacunede la Société des Nations serait comblée.

Cele-ei souffre encore de ce que, jus-qu'ici, elle n'est qu'une ligue des gouver-nements et non des peuples. On a opposéà sels l'impossibilité teeapique d'élire di-

'JEUDI 9 OCTOBRE 1924

20 CENT.t,

Les nouveaux ministres fontau moins autant de discoursque les précédents.

ligLis en actes, tont-ils bienmieux ?

LA PAIXLa SON [fis riallous el la grhe gÉdralî

rectement un paricinent des peuples. Coltjuste. Mais Io Patientent des peuples ,pourulett être( orme tegune autre manière, palélection indirecte des Parlements des pus.phis particuliers. Ce ne serait pas la mê-me° alose que la nomination îles délt%uésp. les gouvernements.

11, y a trois ans, en septembre 192t. dansMa préface à l'édition allemande du livredu proftessceur Gilbert Murray .r les« Problèmes de la politique extérieure »,dans laquelle j'intervenais en faveur dola Société des Nations récrivais déjà

« Une élection directe de Sois déléguésau.ruels choque nation na droii no seraitpas trts opportune. /I suffirait qu'ils fus.sent élus par le Parlement dos Etats dia-pres la proportionnelle, do telle façon.queOrs plus grands partis de ohaque pays fus-sent représentés dans la Ligue. te qui se-rait le cas des socialistes dans la- Plupartdes Mats bourgeois actuels.

Si Pan supprime ensuite la décisiond'après laquelle canaque Etat ne pnnsidsquiune unie chacun des mob nhélutamlsdevrait parler et voter auprès sa eonvioulion, ce qui aurait pour résultat de fairedisparaltre rapidement Puni11 étroite dechaque pays au min de la Société des Na-tions et c'est très important pour le rap-prochement des nations (P. 23, 211'

Chaque gouvernement nourrit le désirviolent de maintenir sa souveraineté. Aus-si longtemps que la Société des Nationsrestera une représentation de gouverne-ments, subsistera D danger qu'elle ne soitrien d'autre q121.111 immense foyer d'in-trigues dans lequel chaque gouvernementbriguera la faveur des autres pour attein-dre ses buts particulie.. Par Contre, siMs Parlements élisent les !délégués, lesreprésentants des différentes classes, mé-thodes, conceptions politiques. se cassent-Prieront facilement pour des interventionscommunes. Il est Cortain que les socittlis-

%drntreeroronspeun''sh:.'le mc1;.ht,* :!.,contraire, des socialistes, les représentantsd'intérêts bourgeois no peuvent oubliegleurs différends nationaux et restent divi-se, l'influence du socialisme internationalau soin de la Société des Nations grandiradavantage encore. Alors on s'approcheraitmot le plus grand succès d'une véritablereorminsetion internottmalo du monde.

-Aujourd'hui déjd la Société des Nationsst devenue, un centm important de poli,tique internationale. Les gouvernements etIon partis gui la rejettent rendent leur si-tuation plus difficile dans le monde. Seule.ment, née n'agira d'une manière puissanteque lorsqu'one au. été réformée dans lesens que nous venons d'indiquer. Ce que'ne -peut auoun autre facteur est on sonp,mvoir t taire disparaitre pacifiquementOc u tauses de -la guerre. Mais commentvaincre les ...aimes qu'elle remontreauprès de certaines nations

On Varle de rneltre à la disposition deSa Société des Nations Inc puissante fortemilitaire qui la mettrait en fini de Pune-nec d la raison toute nation récalctranteMais cela ne signifieraibil pas qu'au vareing/acer les formes antérieures tie guer.re par une espèce nouvelle la guerre ilsla Sommé des Nations contre un seul peu-ple ? Ce serait une mauvaise méthodepour supprimer la guerre.

11 est 'certain qu'une forés puissantedoit us Moutier derrière la Société desNations sans quoi celle-et pourrait etre Pa-ralysée par chaque Etat belliqueux. Maiscette force ne doit pas nécessairement litreune force militaire. Elle peut-ètre une ta,ceêeanomique. Et ici se présente avant toutla puissance économique des e souries-osnomme 1,3 plus énergique facteur de Paint.Si, malgré l'intervention pacifique de laSooiété des Nations, un Etat meniteste desvelléités atterri/ires, que le prolétariat dé-sapprouve. il suffirait pour le faire recu-ler que toute la classe ouvrière du mondes'opposât à ce fille tout pays lui feurnissodes moyens de guerre et que la classeouvrière du pays belliqueux appuyât ceit boycott » par la u grêve générale. »

Dans les circonstances qui se sont ma-nifesté. jusqu'à présent, il est inutile devouloir troubler dm opérations de guerrepar la grève générale. capta crainte de l'in-oasien et de la défaite emporte tont. Sanscompter que, si la grève réussit. ou nefait aucune distinction entre les différen-tes espèces de guerre, l'attaque étant aussipanalysé que regros...

Mais si la grève générale isolée est in-capable d'empêcher ta guerre, elle peutpuissamment aider l'antivité de la Sociétédes Nations contre un Etat violent. Lesobstacles psyehrlogiques qui paralyseraientla grève générale isolée disparaissent Ici.Le gouvernement le plus rusé no peut Muslei faire croire aux masses que la patrieest menacée par la grève centre la guerre,011e. 55 SozilIt uns Nattore peut aussil'en assurer la paix que l'Internationalesmiatigle ou 1eu syndicats livrés h leursseules forces. Mais ils peuvent s'appuyerl'un l'autre si t'Orientent titilla- formeroM.ensemble une imprenable forteresse de lapair. Travailler pour atteindree ea hm., telest notre devoir à nous tous.

.4-

La guerre civile en ChineLA LUTTE EST ACHAHNEE

Shanghai, 8 octobre. Un télégrammede Fou-Kien annOnee que le général Sun.Chan-Fang, geltVernete militaire deKim, a mis sung-iniang, situé à 55 kilomdtres à Pest de Shanghai, et les troupes deTcheldang se sont repliées sur Slim-Shan-ghai.

Conséquemment, Palmée du Teliekiangdevra peut-être abandonner le front Chu-eng-Tu-Liuho,Pékin, 8 octobre. Un combat violents'est engagé sur le front Shanghaï-Kouan,entre les armées de Ou-Nd-Fou et dkTchang-no-Lin.

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fr

121,_Sh

Albi, 8 anoblie. Gest aujourd'hui lalouenéo des ffunreins. Ce qui, h IN fin deraudien.ce, frappera le plus les auditeursimpartiaux et sans pasffon, eee le peud'Importance dm témoignage!. Ils sontcreux, daon lem onsembb. ci n'apportentamune lumière, aucun élément namtealtet même nummn précision aux déhala

Ils sont même contradictoires, made tousrévèlent une véritable haine contre l'in-culpé. Si ces témoins sont un écho Mélode Copteose générale, il est évident queremue était tantipathique à la population.Pourquoi ? C'est ce quMn rdécieircira sansdoute Pa.

En tout cas. le denté des témoins estrarement interrompu par des incidents in-téressants.

LA VEUVE DU MORTMme Peytavin, veuve du malheureux re-

ceveur, mem la liste des témoins. Ellefait part d la cour des observations qu'elle9 faites su, les lieux de rimerai. On peuty relever. entre autres circonstance0 déjàreproduites sur la présence des bonbonnes,de la .bouteille de trots-sis, un détail inté-ressant t Mme Pet tanin a constaté que, surme étagé.' de la pave, sespeofthe par lefent on a retraitaé les diverses bobteillesqui s'yy trouvaient, sauf une contestant durhum ii Mérita », destinée h offrir un verneau visiteur. Le témoin en déduit que M.Peytavin a dû la prendre pour faire hon-neur à un anti et ne l'a pas remise en pissesse qui fait qu'elle a disparu dans rincen-

Ce visitant serait donc venu h la postepeu de temps sans doute avant le sinistre.

Mme Pet-tanin. sur les guettons nt selonle pion du pal/skient confirme les faitsdéjà rassemblés par l'accusation en ce quiceneerne les rebutions d'Ayral avec le rece-veur

Cependant un désaccord se continue en-tre le témoin et l'amusé au sujet de tadate à laquelle Ayral a apporté les bouteil-les de simili-absinthe et de trois-six .natan'en maintient pas molosses dire.e.

Or Bethe son tune na entratouchant le nombre de bonbennes présentesdans /a maison.

LE COMMISSAIRE DE GRAULHETtin autel témoin, M. Costes, charron à

Grasilbet, vbnt encore Pmpliquor cettehistoire de récipients sans gros intérêt pourl'affaire, et Otonèn lui l'ancien commissairede pollen de Pire' 1h01 M. Salué. parait h labarra

Gest M. Sate gui, b.premier nu pres-saie, est entré dans l'hôtel des postes enfeu et qui, aveu beaucoup d'h-propos pro-fessionnel a dressé les premiers élémentsde I rem P .ur re enis re, suspect, auxyyeux sis sommimaire de nolise. dès lesprerniers instants.

Le lamais rapporte d, quelle sensoion-same manière S a dirigé lm investigationsst IP, recherches.. Après Imposé des fouil-les dans las décombres, Ma Segni énumèreles divers temnignages recueillie par lui anstijet des allées et venues devantt la posteIn mit du sinistre. fias bruits suspects, desdétonations ratendues selle nuit même,relativement ralln à la présence d'Ayralentrant de rineendle ou dans les rues deMatilhet dès rem l'almaoe fut donnée par

rudement., de tambour,ovon. organe de la punie civile,,melques <mentons.

Le commissairee de polios dit-il, nousfourni une sorte d'inventaire de la for-

mue d'Amal psi se eompose principale-niant de litres, et sur latmel Or n'a trouvéen numéraire aucune somme de 500 francs.Comment se feetil que l'amuse ait échangé, quelques lours trois ou quatre billets

mille don il ne reste plus lime, seMnant relus/ h des dépenses manifmtementextraordinairm ?

Personne 50e rêpend

LE POLICIER TOULOUSAIN DAUTFLM. le commissaire de Police da la brigade

neibile Dee,el expose le processus de eesrecherchm antme de l'énigme de Graulhet.I le re.outable faisceau de présomptionsqu'il a recueilli.

Y aura-t-il conflitentre le Gouvernement

et les Fonctionnaires

Paris, 8 octobre. Cette nuit, le con-grès des fonctionnaires a entendu le comp-te rendu fait per la délégation qu'il suaitenvoyée au président du conseil quelqueuheures auparmant Il en ressort que 111.Herriot a formole des réserves sur les6.000 frems et l'avance de 1.200 francs. enMême temPs qu'il faisait prévoir des conepressions d'affectifs et des suppressions

Ledessus, après une discussiontrès animée, le congrès a voté â l'unani-mité les résolutions st:Mantes t

« 1. Les délégués de la Fédération re-tourneront à la commission Hébred deVilleneuve seulement si l'organisation a lacertitude que le traitement de base de6.000 francs est ameuté.

2. ()mimes délégués fédéraux pour-rent être mis h /a disposition de M. Hee-Not si celui-ci en fortnule le désir.

a 3. Si la Fédération ne parvient pas àse mettre d'accord avec le gouvernement,elle cherchera ft s'entendre pour une ac-tion d'ensemble avec ha cartes confédéréet unitaire des services publics.

UN COMMUNIQUE OFFICIELParis, 8 octobre. La présidence du

conseil communique la note suivante0 Le président du conseil a réuni ce soir

le ministre des finances, le rapporteur gé-néral de la commission des finances de laChambre des députés et le président de lacommission ale revis/ton des 'traitementsdes fonctionnaires. Ils ont poursuivi rem-men de la question des traitements. Tousles renseignements qui ont pu ou pour-cons être publiée avant les communicationsofficielles devront être considérés commeinexacts. »

Le transport dos viesParis, 8 octobre. Notre cambrera Bar-

SM député de illeault, présidmt dugroupe viticole, s'est modo auprès du mi-bistre des travaux publics po.' lut signa-mn- les diffieultés °camionnées au con-Menus atm vins par mite de la fermeture

artielle des geasiS de la région ab Midit dm inondations survenues dans la M-uon du Paul-Est

Mme a remis au ministre me protes-Union do la Fédéretion méridionale ducommerce des Sm et spleItuste.

Id. Petrol a promis h Berthe de Manierles instructions adoessalres en vue de réeinédler ir cet est de choses et, à cet effet,O e ecavocia la 'diTitlid668 de la OrailettnniF

du Tarn.M9 Belbio intervient pour faire Pmelse

le nombre dm billets de mille frenos échan-gés par Amai à. Tmlouse. On en trouveqmtre, so,leauoafé Barrie, â l'agencematrimoniale, chez le Moteur Laurent, aurestaurant Miohel,

Aérée pracistomds /11. Daniel, Ayral mo-leta énergiquement

Je n'avais mie tant d'argrat à. Tou-/Ouse, dit-11; je n.y ni pas délmiffé cariai-cessent 1000 francs, psi même 1.500.

M. Dautel ajoute encore qu'Ayral aaffirme à un témoin avoir mis soigneuse-ment a l'abri ses billets et que la polbene serait panasses maligne pour les dé-Pupin

Parfaitement s'écria Ayral, la prouveque cens n'êtes pas malin Ps1 que vousno lee avez pas trouvés.

Voilà un aveu dépourvu d'artifices,conclut Me Garçon

Ls ettipesilbn de M. Dautel se termineet resnhence est Levée à <nid/.

AUDIENCE DE L'APRES-MIDIL'audience de haprès-midi est ouverte â

2 h. 30. M. Gleyzes préside.M. le présidept rappelle -M. Pertavin pour

Une prerision. Le commissaire de ralme deGraulhet dealare n'être venu h Oraulhetque cinq ou siz mois aprég l'ins.endie; il apris des renseigne-Mes st1r fera/.

dl. le président rappelle au commissairede Graulhet qu'il a peut-être dépasse lamesure dans s'on rapport et il fait rose.-tir ICS errmrs commises; il lui recom-mande, à rave.nir, d'être prudent.

.huitième témoin est hl. Sobre, inspec-teur de la brigade mobile de Toulouse, ainifait sa déposition. Rien d'intéressant.

M. Moult. maître-dbfftel h Graulhet,fait le récit du drame, c'est-h-dire do l'in-cendie de l'hôtel des pmtes de Graulhet.

Ayral se nonshe abri vers gon avocat etlui dit t l'ont ça, n'est du cinéma. »

M. Munis ne fait que raeonter ee quonos lecteurs ont lu dans Pacte d'accusation.

le peignent demande au témoin d'ex-pliquer ses relations aven la famille Pey-Pain si Ayenl.

Je me trouvais, dit la témoin chezM. Peytavin lorsque se dernier dit à Ayral,en lui présentant une liasse de billets debanque e t Nt-11h qui Pratt Pen I a amde quelqu'un. v

M. le président demande an témoin si,lorsque Ami a été à lo poste, il avait une

n'avait qu'un pardessus, répondMentis.

Ayral conteste les dires du témoin etracla. que 111. Nantis escoi faux témoin,qu'il ne Mit pas ce qu'il pense et que lemon Oi a été Iodle.Me Barbie demande â M. Moulin s'il n'a

pas e aiguillé» la police. Me Iterbid insistesur l'heure à laquelle Moulls et Ayral sesent rendus SUT bc lieu du sinistre. a C'esttrès im, ortant », ditiravocat d'Arak

Un ololloqoe smash"o entre lavocat del'in.culpe et Me Germer, avocat fis la partiecivile.

TT membre du jury demande quand en-ce que le coup dit tarnbaur a été entendupar Moulis et l'audience est suspendue àO h. 30

1111 Peylou, employé dm lestes h Grau-lhet, dé oee einsuite Pt dit qu'Il n'a rientramé séseormsl 10 veine du crame. .

Mlle Emmielle. 6galement employée despostes h. Graulhet, falt une simple 'déposi-lion. M. le présidant lui demande si M. le

'.<1.Zavreeuiree'l telt' unnr`eviatild'Yerndaois'i'vui rein Elleatd'ivresse.

M. Borinoo fait le PM de l'incendie.Môme qumtion 0

Id. Peytavin avait-il l'ha-Pinde de boire ? Réponse t Non.

hie Germe -deniande au témoin si Potie-r-ta avait un pas bord et si Sürl pas n'étaitpas reconnaissable de Pus. M. Bombas ré-pond qu'il ne s'en esrjamais rendu compte.

M. Cabet dépose comme Inc précédentstenmïns au sibt de l'incendie. Il était, net_il dit, 3 h. 30 quand il a été frappe à late d"

Eneore quelques dépositions sans impor-tance et l'audience est levée.

Le principe du desarmement total

adopté

Berlin, 8 octobre. - Au congrès de lapaix, le général Merraux s'est .Prommépour le désarmement tad et a préconiséla grève gênées/es et même la nièce desgiméraux, comme moyen d'en,Bêulrer laguerre,

génre de Schcenaich a fait obser-ver que l'on ne réaliserait le désarmemoutgénéral ma à la randition de dés,srme.ment général na te la condition de désar-semer en même temps les esprits. Leprojet de la Société des nations sur lecontrôle militaire ne dit pas expressémentque le désarmement de l'Allemagne estune introduction au désarmement géné-rai. Ce projet fait le jeu des nationalistes.La fabrication des armes devra être lofa-née sons le contrôle de la Société desnations.

Le congrès a adopté diverses ré.lu-fions d'où il ressort qu'en grande ma-jorité il est partisan du désermement an-al e immédiat, e non pas progressif, com-me le voudrait le délégué allemand, M.de Gerlach.

La Conférence socialiste

de Londres

Le émette exécutif de Internatiomlesocialiste vient do tenir à Londres une con-férence soue la présiden.oe de Vanderdelde,Blum, Longuet et Brahe représentaient leparti gracia5ist° franÇai. La elbfértmeos'est surtout manne des divers problèmescusoernant la honnie. Elle Se ddolamvorab e b la reconn.aissanee du gouverne-mat. des Ficedets, test en renouvelant sesréserves et ses critiques eue le marche doce gouvernement et surtout sur SOIS attitu-de rant., les socialietes et la Génie. Unerésolution fut votes, portant que la Russie« tenSprIsunt log réclamations des camara-des géorgiens, a toujours refusé au peupleda Georgie le droit do dispeim de Ini-mk-me La rdsolsdion &Save eontre t'assassi-nai dés otages. Les otages 0111-elle, étaienten prisai, les uns depuis des mots lesaubes depuis des années st ils ne pousseraisenne pris per/ . soulèvement national.

Une autre résolution fut votée en faveurdes 0 martyres socialistes qui font maintenant la grève do da tem dann 1.0a lina 18/0-

LE.: MIDI SOCIALISTE

vitey c. Lus partis affiliés h la oeconcletriternaidotralli devront prendre l'initiative'd'un° anion énergique en Wel d'Obtenseqat, le gouyermoneent des Soviets aceordeune amnistie générale aux prisonniers po-litiques.

La prochaine réunion dis comité exécutifaura lieue ; puis un pongrès dePl te atiOnale se tiendra en France aun ritming de juin, h lb veillé de la conférencedu SiStairmement.

Le Peuple m de Brucelles, dit que lecomité exteutif a Mb trèh imprmsionepar les détails qui lui sont parvenus auaaffet de l'arrangement que vient de con-clure récemment la Aumale mes le goure,nement hongrois de M. Hare.

La politique aux Etats-Unis

'Washington. 8 octobre. Avec le voya-ge de M. de Lafollette dans l'Ouest, la cam-pagne présidentielle est entrée dans unepériode de grand enthousiesme.

Les progressistes ont resperPe d'ob-tenir le vote de 60 à 70 collèges électo-raux ; ceux-ci auront la possibilité de secharger de la nomination du pl-Mirant auParlement si le démocrates n'obtiennentpas plus de 30 ou 40 votes, à part ceux duMd qui sont essentiellement démocrati-ques conme de coutume.

Les progressistes crraent nbienir l'ap-pui secret des démmrates dans l'Ouest,où Inc démocrates n'ont aucune probabilitéde succès.

Dans le cas ou pour insuffisance de lamajorité il faudrait décider la réélectiondu Parlement, le candidat qui probable-ment résulterait du triomphe serait Da-wes, pour qui voteraient Mec les républi-caim les démocrates, pour lutter contreles progressistes (qui vont contre les né-gociants).

Le cas serait semblable pour l'électiondu vice-président.

Le Sénat se verra Obligé d'élire le dé-mocrate Bryan pour le Vdts des entama-tes et des progressistes centre Dawes.on déduit la possibilité de ce que Bryensoit élu président et si P Chambre desdéputés n'arrive pas t élire un présidentavant le 4 mars, le vice-président passeraautomatiquement à Ir présidence.

Prince espagnol expulséParis, ê octobre. Le « Mein v publie

l'information subtuate dont il garde laresponsabilité t

« On annonce que le ministre de l'Inté.rieur vient de signer un arrêté d'expubioncontre le prince espagnol Don Luiz et soncompatriote If. Vmconcelas. Il s'agit depersonalités bien connues dans le mondeoh l'on s'amuse sous le surnom de 1I01001et de son compagnon de fête. 0

Cette information prouve surabondam-ment ,que le prince des Asturies, héritierdu tronc d'Espagne, le vrai, celni.là, estOralement étranger, en dont nous n'avionsjamais douté, b une affaire semdaleuseanime de laquelle certains journaux ontmalheureusement fait beaucoup de bruitsans attendre confirmation ou infirmationofficielle.

L'article de première pape pur',e LA PAIX, LA S. D. N.

ET LA GREVE GENERALE »

gt,,,,dfiaiiit.,41,/sentede notre illustre cama-

KARL KAUTSKY

Anatole France

attend la mort sans frayeur

Tours, 8 octobre. Anatole France meurtinsensiblement. A demi détache déjb dumonde réel, il écoute sa vie s'écouler goutteh goutte. Dans quelques jours ou dans quel-ques instants, il ne l'ignore point, la lampesera but à fait tarie et la flamme déjàvacillante définitivement soufflée. biais ilattend l'homo marquee sans une plainte etsans un cri.

Cette sereine agonie ri ne li,l'oloclgerquelque temps comme e pont musque-ment cesser. Les médecins ne Ment pasde terme précis nnais ils ne cashent pasquo le grand Privain est maintenant hboue de tomes. Le sang ne circule nc-iepeine, il va bientôt s'arreter.

Tout le monde marche à pas 'feutréedans ce petit domaine de la Brahellere,mémère si riants 00 les Mules d'octobreavbent aujourd'hui une funéraire odeurde terre mouillée.

Impaseibie, dans son lit, le corpsment faible, mais IPsprit inébranle, le maî-tre, qui aime tant la vie et la lumihre, so

Irsitnriensàtarr'l te'rl'MdraoIMpt dâbli=rumb. ml ceprond sa mèdmlasioi, au poiot

ansoupiasemetots. A clin un toie qu'il se

oh il l'avait laissée.ml donc cola, mourir

11 mt fait maintenant it ridée du granddépart. Son parti est pris. Il sent qu'd estdéni en route et, par moments, il soupire

C'est bien long IJusqu'à ces dermers jmrs et quoique se

mobtant medainn.é, il conserva la force desourire. Il conversait meme encore volon-tiers. A présent il parle peu et semblemême souffriro eyra contrainte /a présenced'autrui. Il a déjà beaucoup changé. Sonvisage s'allât, d'heure en heure.

Je suis affreux, dit-il, ne me regardezpas.

La sérénité. le calme stoïque du mou-rant, son silence fait de désespoir et derésignation, eetP agonie sans rêva, ce sa-lut au néant ont frappé tout son entouragede stupeur et d'admiration, en même tempsque de tristesse.

Gabrielo d'Annunzio vient d'adreseerson traducteur, 10. Andra Doderet, le télé-gramme suivant t

Oardone-fliviera 6 raban. Je vouadraie bien donner un signe de mon amouret do mon espoir à Anatels France. Veuil-lez dire h sm familiers que de tete moncoeur je suis au chevet du biematimé. Jevous embrasse. »

le Désarmement au DanemarkCormobstoo. 8 octobre. Le ministre do la

défense a déposé le projet de Isa sur le désarme.ment.

Les ministères de la raseuse dé la marineseront supprimés, ainsi que le service miliaireobligatoire.

Toutes les fortifications seront désarmées oudémantelées.

Les fabUclues et les usines de 'aimée et de ,.rep... colles

post remplacer r.n.,e, il sera établi uncorps d, smvaillense pair aider la gendarmerie

ersiseruis

sasL'organisation de carpe em exclut retnialoi eon-

tres des forces amerries réguligres.Le coma nui remplacera la marine sure nom

Jeune en sauvegarder les intérêts nationaux da-nois dons Ire eaux danois..

La ModeLES TISSUS

Il n'est plus besoin de sauver les appa-rences et d'msayer de faire croire parles apparences â une tendeur supposéede la température. Tout au long de cetété salamiteus, les femmes ont héroïque-ment gut-eine h porter des toilettes légè-res que comportait logiquement la sai-son ; mob t présent quo l'automne com-mence son règne légitime, on n'est plustenu de grelotter par coquetterie et l'onarbore sans plus de réserves, des modèlesd'un réel confort qui sont les biravems.

Le retour des encolUres hautes est trèsapperie ; les manches Pignes épousantde pers la Influe du bras témoignent égale-ment de la volonté de la made d'être rai-sonnable et pretia/ue bien en accord avecles exigences atmosphériqms.

Et, bien entendu on ne Peut ...bayer.-our la composition de lois modèles desti-nés à nous protéger des froids que des lai-na,ges moelleux et profonds.

La motter° de ces binages est d'unetdle qualité qu'elle se passe dans milanus

cas de bute décoration ; l'appoint d'unmotif de coloris contrastant ou d'une tex-

te différente n'est même pas necessaireMans tout, la belle série de cm tig-sus unis,kkasharau saily.asha, crêpe poplalga,

marotellame, Mabuse, strylamo,Infrasons., jaspellaine, rutilanah, nolavella,dmetine de laine, vellainte marokaia, ettant d'autres emore.

Tous possèdent des coloris s'inscrivantdans une gramme oheudement nuancée. etles effets jaspés si en faveur actuellementse planent â.mêler plusieurs tonalités dansune confusion savante et étudiée. Un au-tre effet sommt répété est l'emploi deslignes striées, dressant un léger relief surle fond uni Mi lainage.

Cent SVer CeS antlX Matériaux que l'onMatira les ensemblei favoris de la tenuede ville e la petite robe droite complétéed'un Manteau également serré alu mrpslui laissant toute la sveltesse, qu'on nepeut no résoudre h compromette. par desmouvements plus étoffés.

LES RUMNSLu mode évolue mon se transformer et

rmte toLrouusrfigeèlelams%mpeiz

ermi OplIes'-ei, et se traduit tant par laligne gOnerale que par le choix des gar-nitures qui doivent ne pas la sureherger.et décolorer sans alourdir. Cette tendancede plus en plus impérieuse a fait dtélas-sen la broderie dent on avait tant abusé,et l'on demande O d'autres matériaux defournir dm effets de garniture en légèreté.

Parmi ceux qui pour cet orage Mfrentla matière la plus agréable h travailler etIn plus fiché d'interranatIons diverses,In ruban vient en tout premier plan. Il ya déjà bien lonemtps qu'on l'emploie. Le

' .al même de dire qu'on con sertdepuis trapus dans la toilette féminine,mais il possède se Prankre sans douteunique d'être toujours nompit par la fu,-çon qu'il a de se renouveler dans ses as-mts et. xeS interannations. C'est un Ma-

rnent perpétuellement différent commetexture, coloris largeur et décoratioe, ireIra grands rubanniers. poursuivant ainsi

. . r ear reposes,aux modistes et aux couturiers. Et coux-ciIIVAC Pur sens do l'invention, ne manquentpas d'en tirer un parti qui lamoigne àchaque création Tm goût inépuisable. Leruban déploie tontes Sn reSSOuSCPS dansles collent°as de cet hiver ; Mml lui quigarnit sobrement un chanetsi, ou l'oraged'un muet, c'est lui qui pose SUT les peti-tes robes cette tombe inimitabh de pari-sianisme, cet indéfinissable « je ne saisquoi g. qui en Prilempt le plus recherchéOu domaine de l'élégance.

Le rapide Paris-nome fluai*,

Rome, 8 oetoieuT-1Cet après-midi,15 h. 53. le rapide Paris-Rome a déraillépeu apr.bs la gare de Santa-Margtherita (Li-gurie). Par suite de /a vitesse acquise, laIscamottive est sorties des rails et plobieurswagons, notamment le bagon-reetaurmt,ont eté/ reStertnêS et brisés.

Le train transportait une soixantaine devoyageurs, tous étrangers qui ont été prissous les débris des voitures.

Des semoirs ont ed immédiatement orge-niais. Jusqu's\ présent sim embuas ontêtê retires des décombres I ce mat ceuxdu chef de train, du mémnitneu, du chauf-feur et dé trois voyageurs, ainsi que15 blessés, dont t rois sont dans un êtatgrave.

PETITS FAITSMORT DE .L'ANC/EN PREFET BULOZParis, 8 octobre. Hier soir, dans un

couloir de l'hôtel du Palais d'Ormy,garçon trouvait un homme inanimé. 'Undocteur appelé aussitôt constata la mortde cet inconnu. On trouva ensuite diverspapiers sur lui établissant qu'il s'agissaitde M. Buloz, anoien préfet de la Vienne.Ce dernier avait été mis en disponibilitésur sa demande, à la suite d'une affairecomernant des uvres de Ronsard. Il no-vait comparaître très prochainement de-vant la Cour d'Orléans.

M. Balsa souffrait donc maladie d'esto-mac. Le douteur Paul, médecin-légiste, feral'autopsie, car on a emstaté des traces devomissement.

POUR SAUVER SON ENFANTReims, 8 mtobre. Dans t'express Char-

levil/e-Paels, ri, Alexandre Pinaud, âgé de28 ans, charpentier, venant de Crisyvancb(Ardennes), avait pris place avec sa fem-me et ses deux enfants, se rendant h Namtes.

Entre les gares de Mont-NotreMame etde Loupeigne, le petit Marcel, âge de 3 ans,est tombé de l'express par la portière sumdoinement ouverte.

Perdant la Me, M. Pinaud a sauté dutrain pour rechercher son enfant.

La mère a voulu le suivre, mais dosvoyageurs l'en-dbffrantimichée.

Ln tramsPfirtetidebtesi nI-,rteetmno 111. treei'ét

immolé, patent de multiples blasas-Ils ont été transportés â l'hôpital de

Père-en-Tard.ols.'ta Ma-ne M. Finaud ne paraît pas up

danger ingiblYAUoespéré.

VIE AU F0.."

LES CHAPEAUXBien vite, Manant!, un adieu brait, ou

plutôt si vous le voulez, un tendre « auenvaira à, nos gentilles petites clocthes sijolies si bien oeiffentos pour toutes, etqui se meurent, si elles ne sont mortes

dée.tes formes actuelles â calottes hautes etcarrae.s les remplaceront-elles avantageu-sement ? C'est h savoir car ellm ne s' or'mmisent pas aussi bien aVee chaque vi-

nrattUntetr. 'irisetoneerpee.: Îtr alturrebeUtl--me, parfois de leur ligne, nos modistesont Fuit de louables efforts.

Leurs recherches, en premier lieu, s'ap-pliquèrent à donner le plus de variétépomible à la forme de la coiffure, tout enlui comervant cette simplielle et ratte net-teté que la femme affectionne tout parti-entièrement.

Ibis cette calotte carrée elle-même dontje viens de parler fut Pelat de levns eitts-Elles la rendirent moins rigidement froideen la rentrant un peu ; et sur son de-vant, elles ne plurent h ajouter fréquem-ment des motifs places en garniture, etd'oie elle tire un effet plus seant.

Le Chapitredes Frivolités

Ainsi que othaquo tannée, les uables arbi-tres qui président, pour lo malheur et laconsternation des mues, aux élégances fé-minines, font mnnaitre au pulbe quel-quesams de leurs projets.

eCitmpthyeinsgi:.quaprê .s avoir coiffé nos époses de non chapeaux hauts de forme, chersaux émigrés de COPPI. ils s'apprêtratcet hiver, h leur imposer le port du bon-

,,Cette idée baroque sera-t-elle suivie ?J'imagine tmo son application rire p50

' sans résistance et que las parfis de l'oppo-sition lameront, en Illnrlière de protesta-tion, dm coiffures plus °enfermes â leursopinions politiques. Noua verrons, tour àtour, prendre l'offensive t le phapeauléon,le casquette Poincaré, la mitre épiscopale,Io bonnet russe, eto.

Paru s p000lioot uvermpnrtreOot. dureste, aucun Sueras, Car SI les Prames £1C-reptent souvent d'arborer les ornements lesplus baroques, il faut 5500m que ce soitu.ndooneretain tribunal secret qui le leur

En dépit de ses adversaires, le bonnetphrygien triomphea. n'en 4outon.s pas, etnos mmpasmes. météos de rouge, prendrontdes allures de républiques dessanduesleurs SOCICSi

Promener Menem° à son bras, le chmeflattera nombre de vieux républicains.

Pourtant n'ouifiions pas qua la llepubli-,,quesetarmder jet leactoinbequileanep%reote qq.u'eeilitee

. est demeurée idéale.

. Lorsque, en réalité, elle partagera leen!-' nvenient notre couehe, je tremble que ses

imperfections analtuniqum ne poussentbeaucoup de ses fldNes à se retremperflans des... constitutions plus jeunes, qu'ilsvioleront ou tourneront («horse. refe-rma ») sans sompulm.

Nos antiques amoureuses prodessionnel-, les suivront le mouvement; bonnet phry-,t gien sur l'oreille, elles continueront h offrir

leurs charmes flétris aux passants nI Conv-oi ne comprendront pas toujours combiences Républiques étaient belles sous lEm-pire.

Seule suivant la tradition, notre progéni-ture. aveuglée per ses ardeurs juvésnlles,continuera à bramer les faveurs de ces

vk''tf,e stbaril'hcassion. pour elle, d'y allerd'un puplet Tubante/am

Nous entrerons dans la carièreQuand mos aines n'y seront PlusNous y trouverons leur pmssièrePela, traces de leurs vertus.

Paris, 8 ceobre. Des exeraces d, grandeenvez.ure se déroulent miraud}... Primé latome., on dosons dm plainee cemprises enveChartres et Rumbouiliet. Ces exercices, nui a*.é.é.agent frequemme-nt enta les brigades aériennesdo nos &amures Est, u suaient Pu onadans noue région, la division que commande legénéral Barrès étant eo création récente.

Donc, ce matin, de trè abonne heure, les ré.gimenu d'a,viation cantonnés au Bourget, ainsique ceux des centres de Chartres, Tours et Châ-teauroux, prenaient lem départ.

Les partis en présence sont commandés res.peouvoineni aas les calonnels Polt Mordent; otOrdo.

Sous la haute direction du colonel Poli Mar-chetti ma groupées trois escadrilles de ch.sse,nn aa000a do grandes reconnaissances, les avionsdc nuit de la division aérienne Id. Paris et desstemm d-obs....es da mes dprinéo.

Las escadrilles de chasse ont à leur tste lecommandant Pinsard, un as de la guerre legroupe des avions dé reconnaissance est sonsles ordres do capitaine Weiss, qui mcomplit ré-cemment le rein Paris-galsot et rente o losbombardiers de Chartres et les régiments dechasse. de Châteauroux sont sous les comman-dements respectifs des colonels Menard et deMorageourt.

Le colonel Pub a le rant. &rosira de cettearmée aérienne.

Dis midi, le rhème élaboré per la direction del'aéronautique est mis en exécution par le géné.cal Barrès.

Dans la mmenno, ohmun suit avec intérêtles périlleux exercices do chasse, do reconnais-mmo et d'observations accomplis Par nos ren-iants aviateurs militaires, officiers, soue-officierset soldats.

Et, cette nuit, tondis que certaines escadrillesregoindronc pour recommencer denum enecre,leurs ports respectifs, les avions de bombarde.ment entreront en lice et jetteront un peu d'émoidans nos campagnes endormies.

Ajoutons qu'un arbitrage mimmtie terrestre etmi-partie aérienne fonctionnera à la limite desfronts supposés.

Conununiales el Tinvailliates

Loncd,,res«.. osalsre. conférence du L.boarPeur a décidé, une majorité écrasante de nepas accepter /ce communia. en qualité de

0m'dtduatrainéllistes aux élections Relatives 6.

Elle a décidé &gaiement as refuser la demandeI dtaffiliation prigeretée par la asti cosominifts-

Pou. les Ménae,"'",szrel

DEQUELDQUUECSITZLISATIggigs

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temo7dnte:e.

deérid:nrote', o:p::::: 's

"0:,.i'lit:Pr

litre i-rarnme sur F'aite cuie fteart

quelques minutes en remuant bfr-dernier moment, ajouter lm dens1,4,bylitsser,refroidir, passer et

b'na,

Otsienrrnions. Il est méférable etee le sirop en demi-bouteilles"lezeloct

Eloi.rdleoniadunse,,Kospselwffuzcheo ces

.h leeurr emdoma nes. trapaosurboé it el I an tote:ttei

r'Gira.rder les bouteilles à PaPi

asIdIffruaiesurd ddiér'reet de citron,in,sr pmdant dem mois le, ye,citrons dans un litre d'amellvie. Filtrer au papier Joseph,

Ajhalnkle 250 grammes de sucre ,dans un peu d'eau bouillie.

Rhum, /meute& Faim laqudemphtre d'eau 400 grammeessedi...sais

de

ue colre

Basane

au: pciatprioeu s et ï"'.IAjouter le ms de ces fru

ébullition. Laisser refroidir

a'C'on10,00oilatrdee dele rairi'dme eidt'eroxne. Fra:hpasent: ta.

?

bdiroen tzliloadperLel,te ail,baàs

citron. Le couper en long um.,,,,àr;

ne Peler' etert'hran'PesQuavÎttmle' Pée'de pommes, de quinze à vingt 155.0"efrLaLsscbere.s reurrotedoir

gelée,

Gée de citron. Prépare.sa nosePre vdeer 1l0e 'c'olunrièrdee p'oimv"Inen4 d'eEein'ntlt.les jeter à mesure dans l'eau tues pe;les empêcher de noircir. Mettre lu se.Sens h cuire 'dans une ffiseine avec iuleassez d'eau pour qu'ils baignent. Fuscuire jusqu'a ce que la chair de la pomcède sous /e doigt. Passer les amen itravers un tamis, sans momeries intaen laissant seulement égoutter le lm

Peser un kilogramme de ce ius ; aiséele jus filtré de six Ntrons cula Mttrais d'entre cm. Faire cuire capta baS1 MI. 200 de sucre cristallise ; atteint,jus de citron et le jus de pommas ; domun bouillon. Laisser cuire jusqu'à ce tala gelée se forme d'ellesrame en Msdissent ; quand on dispose d'un atu-steIl doit marquer 28 degrés.

Pastilles an citron. Raper ut subicitron sur 350 grenenes de suera RD,mite ce sucre et le passer au Meirverser dessus le jus d'un citron mitremes gouttes d'eau fpréelralmmian papier Joseph). Bien mélanger mune spatule. Motter do sucre taun poê/on en terre ou perse/aine, ,,si beplacer sur fou modéré. Remuer Spainqm le sucre devienne un peu Ilmide,todnon entièrement fondu Faire coda If

_liquide sur des plaques en fer-bune ai th. papier blanc, en inclinant le bec do Pi,

/on, par petites portions égale, I °us edoanebe eopuop eudra lepeeol trdrlue. n fimlet..e ofer,,aec,e;

Procéder de /a même mers Prseconde partie du sucre. On PM M.,tsoomnbgerr édieas fpfoahsb M M

illes plus ou mol. elses selon la g-Mi-Mité de uid, .11..

AVIONS DANS LA TEMPÊTE mas temps g itpliu

SLUovRienLE-St, C°cct175obre.DE- 5unsooclotle ds'eaBrst edét.gr,ch:înéo, sc:sturprnal,t,+,,c,:

tin son 00 05. ,Gs dIi, b 00 salles d'Ooesmos'

50

chaland anglais à mot:,de Londres, uni avait ététroaireé..cgripage, dara la n

En raison de la terneo, 'a flat, etraies de i'Etat c Rhône c

d'uS'neintv-iMoeein'te ête'rnpét'bjec'era-lj,..,,,,M e;rompre ses essais.

A'dte'a'Dsitits'Anh:Ntismoul'UL:i:EruisisTu:c etn:1:FtFilEl::'Di';':;''''Lluit':::1,:j

lems ancres. dpb.

Le Havre, 8 octobre.,

ttPueearirP:'L:dedle1:17Se'setindsce7i:c°:^:reipcabines ont été enlevées Ilill'd,

On tente actuellement ou ,,,,

ele7:sra:mseisakio'n's'"ety'l.E., .itii-'11e::::

hameays.

él,,L.:rich,:otes d,c,s, F.,,,ils télé:72;

régi011 parisienne à PI._ ,,,d,ipl;Y

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Paris. 8 octobre. 7-', .

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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_ LE MIDI SOCIAL IS

TROUVAILLES

TE

1chrontque de Tou buse irKS

lariLdans /e sens de la hausse, naturel-

conseil Municipal -Luneuble emmunal rue du Remp -SainbEtienrie : indemnités accordée:1i

30, le c0030ii 000,,ej_ MM Rigaud et Dufraino, hacataires (000 otsession extraordinaire, 1.000 fr.)

'oecea du premier adjoint au hem, jivAin,IL arbillbebledu pres-).

desinreqtreLdleCronseilct

li nartbailen d'une chaudière à la Grave

,33am000d'un,00

proier dedurs: 'aTédtre du Capitole s affichage desdes écoles, tendant à sur spectacles, traité Rabany (approuvé, 5.000

'

des jeunes écoliers et a' i karim)Pel:La,,rejeredr,feb pal:/aiee's dc'a'aellaaCaelee etealloelatiZatta'l'Cei1.0111,000. bgb.abol gcbdbxe /adebilijlee

Conseil désigne ensuitenir

me com- Place aux locem de la police 197.000jes .francs sont votes pour cette transforma-pour but d'apla

nues entre la Compagaie des '1°'t la Municipalité. Monum oentux morts de la grande puer-ehane gtr,grnij-,.[;.aieijs dm, ré au cimetière de Terre-Cahadc. Frise dé-

corative et motifs décoratifs en cérami-que trete Virebent père et fils (adapte,17.900 fr. votés. - Modeles de sculpturetraité Rigel frères (adapté, au prix de2.500 fr.).

M. Laporte en fin de séance, demande

emelt D'OLIVIER DES T.C.R.T. petit séminaire de l'Esqui/e, Jante Misa.10

pal

agne à vette fonction M. Lom-me de M. Sapin.agnie proposa au Con.seil muni-oblation d'une commosion qui,eut avec la commission desi-

ae Conseil général, s'aboucherae pour négocier tous accords en'yeatnte a velu/. Ce lçaatalelseadiesublessaclacanatsmbpracratell? 'là

le /a meilleure entei';ageaosition, le Conseil municipal l'acceptee façade de l'Hôtel des Postes. Cette proapo-

avec empressement et désigne quatre con- sillon recueille l'assentiment Au Conseil.

selliersmunicipaux pour faire partie de Sur ce vu, la séanee est levée à 19 h.

cettemanière de s commission des répa-

rations s Arrétera-t-elle des mstances enliéebéance de concession dirigées contre La Chasseles T.C.R.T. ?

POUR LA POLICEPour mettre la police à l'aise, il avait

été depuis longtemps projeté que ses ser-vices centraux seraient transférés Facultédes Lettres (rue de Rémusat), après démé-atogernent des justices de paix des cantonsNord el Centre, ainsi que du tribunalsi àmple policel'ancien séminaire de l'Es-

départements de la Haute-Garonne, deh/111 Tarn-et-Garonne, ec..

aura lieu à Tou/ouse le Dimanche 12 os-er,. c.., auuu euualuunueau écolos tuber procham, a /4 heures, dans la saléeIslaluore, projet contre lequel proteste aveu deo réunions de la Fédération ores Socié-

tés de chasseurs de le Hte-Gamorme et duvéhémence M. Faubcc, dont le projet Per-sonnet n'a pas été pris en considération. Sud-Ouest, 3. place du Capitole.do food, ce projet monis au Conseil oe Ce co,,grgs rot p1,006 ha,.tpet (file dh et_mêmehter-1h.h de M. le préfe,t de la Haute-Caa-resons pour l'emprunt que anTraYersde. rame et de M. le maire de la ville deuoncé comme diplomatique.

Cc projet est mlopté, moins /a voix deM. Faubec.

Lai MANNE

Le Conseil, ou cours de la séance, a re-eadb comme d'habitude, des subventionset des secours. Aine. pnt été distribués lessecours et subventions suivantes

Tantouse Bonnefoy S ortif, 200 fr. deM. Penere, notre compatriote, direp.

tells des services administra ifs de l'As-- Sport ymeen Marengo, somation des Lieutenants e louvet,.

200 fia -- Société s L'Etoile du Nord a,

nelle), 1.000 fr. - Association générale desEtudiants de Toulouse, 1.000 fr. - Sgameatindépendant des employés de banque et debourse (congrès de Chambéry), 200 fr. -Orphéon de Lardenne, 100 fr. - Harmoniee La Lyre Philarmonique 100 fr. - So-ciété « L'Aviron Toulousain ,t, 100 te,S.iété d'apiculture méridionale, 100 fr. -Société des Aviculteurs du Midi, 200 fr. -Demande de secours annuel farinée parMme veuve Testory, dont le mari fdripiù-fesse au Conservatoire, 400 fr. accordes. pm,

LTNCINERATION DES GADOUES

Depuis dérà plusieurs années l'urbanismese pré.cupe d'utiliser les gadoues pour,eu moyen de machines à vapeur, produirede l'électricité. Ainsi, uht tonne de gadouesProduit 00 kilowatt-heure. La ville de Toulause pourrait, ave ses gadoues, produire

maillions 400.000 kw par an. Une usineréalisant ce résultat coûterait environ deuxmillions. Cette nouvelle branche de l'utili-sation [ICS résidus est tr., à l'ordre dujour et se développe de plus erritins dansle/ grandes villes d'Europe. M. Laporte,rapporteur de la question, fait l'historiquede ce progrès industriel et examine les Foc.codés divers employés h l'étranger.

Sur sa proposition, le Conseil muniebialvote le principe de la création d'une 0000.mission destinéesuivant ce but d'utilisation dos p déjtriptuosu.e.

AUTRES AFFA/RESLe Conseil a examiné aussi les affaires

suivantes, d'édilité courante, dans sa s(an-ce d'hierProjet dkonénagement d'un bureau ne

poste à Toulouse-St-Cyprien, coût 150.000francs (adopté)..Avant-projet de pavage en pavés d'émeutetalion d'un boulevard impraticable, le Mu.levard des Minimes (adopté). A quand lerepavage du Foot-Neuf?...

Travaux de eando édilité à l'aide del'emprunt de 1 million au Crédit Fonder,à 7.75 p. 100, coût 80.000 fr. Durais pru-dent dix ans (adapté).

Agrandissement de six cimetières de labanlieue. Prolongement de canalisationsd'eau potable. Assèchement de puits. Ac-quisition de deux immeubles (adopte).

Goudronnage de la route nationale nu-mem 113, à Saint-Agne traité Leine

deVeule par voie d'adj do

haDseruide ais place

h-Pation pjjb,

mv Ceile-eauP Iéemmeublevbeir

nale de 1905 laidgoelzr;ri,

dancIr aen 2 : bsa4,:amB2: a;:a:

das

(adopté).néme qae l'an

bossé est adoptée.Taxe vicinal 1922 d '

'Mem (6.409 far, 03) a m'eau' aa.oarniture de charbon pour la 'drague

teinté Boidard )adopté(.Pont des Catalam s règlement d'accident

,arvenu le 23 décembre 1023 (paiement àM ville defi.356 fr. 55),anon des répartiteurs de l'impôt

Acqabisition de 40 boutes aux lettres pourfi los plus usagées (adopté)..4./."i' mut et de la Poudrerie-Convention

aescel"'j0 superieuro de garçons : établisse-000 Porcherie (voté).

5. ,tetiittymond Vente do cartes

,jarer'et..i°12e7eg-h.,r.%Mmie

des Magasins sénés,i3O3%,,,blb:arMorisatron d'outillage

1;:'.;,..lament des actes constitutifs dePim/Men 1928 s modifications au

A cette importante réunion, la premiè-re do ce genre dans notre re'rgion, ontparois d'y assister M. le Conservateurs'en eaux et forêts, MM. les Inspecteursde la conservation, etc...

de France, y développera les buts pou,250 fr. - Société des Compagnons passants suivis et les régtdIate déjà obtenus parcharpentiers du Devoir (école prolesssion. l'Auuodution,

les lieutenants ce louveterie dans la nou-velle organisation cynégétique.

Une causerie sur la Louveterie enFrance et la destruction des animauxnuisibles terminera les travaux de cetteimportante réunion.

A 19 ha/Ires, un banquet am/cal réa,2-ha «n'a les 9ongressistes dans tes salons

u Grand Hotel Victoria. rue Rayatd, àToulouse.

osas renseignements, s adresser au- Demande de secours annuel formé P. é. ja Fée,M. Castille François, ancien gardien du eege e a an eeMusée $..h,1-0.yroond iaccordoi - se_ chassa/unis Oe la Hauto

ronlne et du

cours Chambert René, fils mineur de SucLearest, 3, place du Capitoe, à Tou-Uaambert Guillaume, ancien égoutier lac- lo.e.cordé), - Secours annuel pour Mme La-borie Jeanne, veuve de M. Pastre,cantonnier des chemins vicinaux (accor-(é). - Secours annuel pour M. PelonsJean, ancien cantonnier des chemins com-munaux (accorde). - FoOle des IMM.-Ais et des Sciences inclustr(ellés s séchursAndrau (accordé),

etaz*bieWêtERe

CA ET LAHYME.NEE

Aujourd'hui pute, â 11 heures, Sera eélé-Erré le mariage de notre excellent camaradeRaymond Espinasse, typographe dans nos(dallera. avec la gincieuse Mlle MamellePédoussaad.

Espinasse., qui a su, par son sèle 50 tra-vaiLpari sa franche eaMaraderie et par sesqualités techniques, acquérir PuniNersellesympathle du personnel et de la direetion,acceptera Me no000 lui ddressiona, au non)de tete lu maison, des voeux ardents pourle bonheur de son na/nage.

MORT D'UN CONSEILLER GENERALLe docteur Inté,..maire do entegahelle et

conseiller général du canton, rat mort, hiermatin, S Gintegabelle.

S. obsèques auront deu vendre matin,dans la ville dont il fut le premier magis-trat 011e repoismtent 0 l'A.emblese d6par-ternelatale. I/ appartenait depuis pletieursarmé. au Conseil généra/. où ses convic-tions Mpubleames ne lui avmont pas sus-nifé d'ennemis et où il Mait acquis %initiéet l'estime de ses adversaires marnes. Aumate, &odeur cens...feus, sa fin a eauSébien des regrets d.s le canton où il exer-çait son art..

Nous offrons ici l'expression de nos con-doléances à sa famille et h ses proches.

A L'EXPOSITIONOn prépare M concours culinaire qui doit

avoir lieu les 1/, 12 01 13 octobre, b l'Ex.-anion. Le Comité/se preoecupe des derniersdétails d'organisation et du choix du jury,qui sera compas) de personnalités prisesdans leo Syndicats des Hôteliers de /aPâtisse. de la Charcuterie et de l'Alimen-tation.

Les adhérents n'ont aucun versementeffectuer; il suffit de se faire inscrire anbureau de l'Ex-petiot

Si lecih-bro Fige par le nombre des ins-Imitations déjà reçues, cette manifestationculinaire ml appelée â un gros succès etprésentera en réel intérêt profgesaionnel.

Nous rappelons que les exposants devrontenvoyer plats froids ou .conserves le 11 oc-tobre, avant midi; les plats chaude ami pluslard avant 14 heures. Les livraisons devrontêtm faites à In grande salle de .conférancesde l'Exposa.. allées SaInt-Mehel (entréerue Otenne).

Pour tous mirmignemente, s'adr.ser s àM. Bort., président du Syndicat des Hôte-liers; é M. Jules Nommé, hôtel Capent, etau burmu de l'Empetion.

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LE COQUELICOTNous sommes heureux d'informer nos

membres honoraires, les parents des élèveset tous les amis s'intéressant à la société,qu'une grande fête gymaique sera <offerteen leur honneur et en matinée, letighnan-ch f) ociebre-ehohaillt d 'Jaco-bins, à romasion de la distribubon des ré-compenses aUx élèves de la société.

A cette occasion nous raleeihm aax élè-ves que les répétedifi ont lieu le mardipour les fillettes, le mercreli pour la bat-terie, les jeudi, vendredi et samedi jusqu'àla fête peur les adultes et pupilles.

VOL

Une enquête est ouverte au ter arron-dissement teive au vol elin sà.2 h mencontenant la somme dIs 1500 freleS etdivers papiers, mminia huer mâtin, Me deMets au, préjjudiee de Mme Marie Avignoesels profession, demeueant SaintsSeverIlende. de passage ù Tonlouse.

AMATEUR DISSE PANTALONSSur Meisition de la victime du vol, la

Sûreté a mis à la diSpetion de M. le Com-missaire do police du De arrondissement letomme Louis Bortréquet agd de SOnos. chif-Renier, sans domicile fixe, auteur duo volde quatre pantalons, commis au préjudicede M. A.nsteé Laffitte, demeurant rue Den-frt-RCohereau, 26.

LA PENICRE CAMBRIOLEEDans le cedrant do l'availtsdernere mide

un malfaiteur s'e t introduit dans la bar-que Caprice o, s ado.ant au Port Som,-Serveur, et a dérobé, dans là quille avant,un, costume d'homme, Ur Ptee de ohm.'"soit. 01000 somma de 95 franco

Le service de la Sûreté a été avisé.FILLETTE BENVERSEsE

Avant-hier, vers 13 h. th, allée Charle,s-de-Fitte, la jeune Jeanne M'arnac, âgée deo ans, dronte/tirant, avec ses parents, alléesChaeles-de-Fitte, 23. a été heurtée et ren-versée par un cycliste, le sieur Félix Sé-riée, demeurant me Pasteur. 17. Dans sachute. elle a repli une blessure sans gra-vité a la lèvre Inférieurs. Après revoir riendes soins dans Une pharmlie voisine, ellea regagné son domicile.

TRAM CONTRE ATTELAGEAvant-luge à 6 b 30, une collision l'es

praluite allée de Barcelone, entre une mo-trice de tramvaay faisant b tra jet Ponts-Jumeaux-Hatmt-Mtchel, ed 00 at elage con-quit 1E, M. Baylue, d.mneurant Men. deLaon et, 26. qua sumad la même (IdemQu. ans le ehoc, ore roue do té/Peuleet un lirancord ont été brises. Pas d'acci-dent de personne.

UN RENARDSur pla/nto de la crame Montt. Bard.,

demeUrant avenue des Minimes, 98, M. /eCOmmissadre de police du 3e arrondisse-ment. a ouvert pne Information contre in-connu poar vol de quatre Mules, valeur60 francs environ, commis au cours de lanuit Mamers dans me voler, au préju-dice et au d.omicile de la ptsignete. Leservice de la Sûreté a étê aviaé.

LES VOLES IMAGINAIRESLa dame Jeanne Anizan, pue Maletacha 8,

Mn avait porte plainte contre inconnupour yol dune gatmdins a:amimie le lm oc- 1

tobre, h son domicile et à son ?Mjudiee,a retrouva ce vêtement. Il n'y avaat pas vol.

- Le jeun.e Jean Perron, apprenti cuisi-nier, demeurants la place de l'Ecole-d'Ar-tillerie, qui avait perlé plainte, le 4 cou-rant, coutre inconnu, pour vol Can paquetrenfountent deux vestes et trois toques. aretrouve ces objets. Il 01 00011 pas vol.

TOMBE DU SIEGE DE SA VOITURE

Hier soir, à 7 heures, le nommé Razatpierre, 56 ans, demeurant rue 1814, 16, roto

lcaaeamrai:Or aative'fciad':;'4.0g.latey'1Ylaoarsedesaeanrriaj

Î.OIX!'elItt. se, te'het:.i'daa iilsasséaaêtben"conducteur, -toi se trouvait sur le siège, 'aété projeté sur lé sol. Dans sa chute, ilS'est blessé h la tête.

Cette bimsure parait être sans gravité.Transporte à l'Hôtel-Dieu, il a été ad-

mis salle Suant-Maurice, lit muerai 15. M.le commissaire Sumo., tl_Lpermanence, ainterrogé le blessé erpmvenn sefmnille.

ARRESTATION

En vertu d'un mandat d'arrêt de M. lejuge d'instruction de Montauban et d'un

nionsiltrabted'amenerBruguière, juge

lu dispositiona'sa ur e rarreieutta tee'et mis àbranBene, 22 ans, employé de banque.,domicilié à Montauban.

IL FA/SAIT DU SCANDALE

A 22 h. 30, Mena Julie Mar., agent d'unesociété de mpitalisation, se trouvait pluce Wileones compagnie d'une amie. Un individu lesapostropha grossièrement, puis s'en alla. Un maoral après, il revînt es menaça les deux person.nes de ses poings. Des consommateurs en .m-puante des deux dames intervinrent, l'us d'euxreçut m coup de tete dans /a poitrine. Des agentsappréhendèrent I indrvidu qui, furie.,

lun.coreun violent coup de tete à un dos agents.Amené à la Permanence, sl a été déposé à lak..éta znicele&et,sem zentaujourd'hui.

DEUX ENERGUSIL'NES EN TRAMWAYDans na Mammy qui fait le service de

hga" seataraplaex i"'slaPehadmep"rioalanfi't5prix des p50000. la reneY01.198, Mlle 0. 1/0-pet, 20 ans, fut Injuriée par ms individus.Eile appela les agents. qui prirent leurnom. Mais dés qm les agents Puaient des-cendus de la voiture, les deux hommes con-tinuèrent à injurier la receveuse. Au ter-minus, h 500x1 Apure, les deux énergumè-nes « attrap mt u le contrôleur, puis

n pl }té obo I Corroi. qua reçait. un M.do tête dans la poitrine. Ensuite, l'un d'euxpocha 000ph la bête de MM Dnpont.Celle dernière, tele.do de iSmeins, a &Poeune plainte entre les mains de M. le Min-...aire Moue.

Um .1qt/ôte est em.le.

Réclamer à Cl, Loses, rue Relie 17, unechienne ; D VI. Lantave Henri, rue Ste-

Mme-

therrne, 13 une paire de gentS mm,Paulin Pauline, rue du Canon d'AMOre,28. Un portefeuille s b Mlle àyalle, ruePargamtnières, 66, chco M. zer01, unemontre de dame ; M. Gabon e. rue Ma-taret, 13, nne montre homme ; a Mmecastel Andrée chez Mme Robert du La-kanal, 13, un porte billets ; h Mme MarieFonts, à Colomiers, un billet de buriqueau bureau des Epaves, un gant, un para-Pluie ; D Mme Arteal, rue ides Planchers,19, un tour do cou fourrure ; à M. Sei-posta rue Eiblionesb 23 Un me h mainvide ; au Bureau des Couves un Mous-e.. de clefs, un tom de cou fourrure.

11.1amer au Bureau des Epaves, un sacD main contenant une petite somme etobjets ; â l'Administration' des Trainways,de. robes.

Au Palsds

COUR D'APPELPour outrages publics à. la pudeur, la

nommée Julie Efiând, veuve Ilesquet, 30ans, domiciliée à Castelsarrasin, a été con-damnée par le tribunal da cette ville àsix mois de prison et à 100 francs d'amen-de. Là Cour confirme.

POUR LES ASSISESLa chambre des mises en ....hm a

renvoyé auk assises Paul Bordês, 19 ans,inculpé d'attentat â la pudeur atm une fil-lette

Jean-Erançois Vales, mécanicien, inculpede complicité de vol avec effractimi, gareSaint-Cyprien ;

Grégorio Sans, 67 ans, esemnol, inculpéd'attentat à la pudeur commis le 19 juillet;

Villemur Charles, mécanicien, inculpéd'amer tiré sur sa femme h eoUps de re-volver

La veuve Breil; demeuradt e Dremal-La.Sage, quia étrangie le nouveau-né' de àafille

Fernand Donadal, sujet espagnol, inculpéde viol sar sa fillette.

Germain-Adrien Anselme, courtier, sansdomicile fixe et Baptiste Tajani, tous deuxinculpés de vol -qualifié à St-Gandens.

TRIBUNAL CORRECTIONNELAudience du 8 octobre

Président : M. Barthélemy ; Ministerepublie M. Lespinm d ; Greffier s M. Gru-ber°.

Lbandon de famille. - Pour n'avoir passervi à sa Mem d'une façon régulière lapension alimentaire prescrite par ordon-dance de M. le président du tribunal civil,le aomailé Caubet, Sté de 26 ans, est comdamné à 15 jours de prison par défaut envertu de la loi sur l'abandon de Treille.

- 15 jours de prison avec sursis ausieur D... pour un délit de même nature,

- 20 leurs avec sursis au siéra, S... Pourun fait identique.

Détournement. - Pour avoir vendu unemachine à coudre qui oc lui avait été re-mise qu'a titre de prêt, le sieur Pack Henri,commissiomaire, récolte deux mois de pri-son.

Vol à la tire. - Le sieur Mohained benAtayala, 29 ans, est condimané à un moisde prison pour avoir volé un gilet et pouravoir été porteur d'un couteau à cran d'ar..rêt.

Vagabondage. - Le nommé Corgovits22 me, vannier, est condamné à 15 joursde prison pour vagabondage et défaut decarnet anthropométrique.

Infraction à /a lori sur le séjour desétrangers en France. - Le sieur Bienvc-nido Barrabes, 30 ans, est condamné à 25francs d'amende par défaut poncer dee.

Blessures par imprOrence. - Le sieurB... est condamné à 55 franm d'amendeavec sursis _pour avoir, le 12 août placeRoguet, avec sa voiture et le cheval qu'ilcoaduisalt, renversé sur le so/ et blesséM. Peyratin, âgé de 76 ans.

A L'INSTRUCTION

AL Signoret, juge d'instruction, a com-plété l'interrogatoire et là maPontationordre Pool Gousset et son ancienne femme.

Il s'est occupé de l'accident mortel sur-venu le 31 juillet, â Fenouillet, dans lequelM. Mord, cultivateur, a trouve la mort surun monte-paille pendant qu'il dépiquait leblé, 11101 électr.uté, b monte-palile ayanttouché des fils électriques à haute tension.Le propriétaire et l'employé du monte -

paille seront poursuivis pour homicide parimprudence.

s est ega enmnt ocmPe dan mol denuméraire dans la succession Rodriguez desilva, à Carmaan.

M. Brug.ièr.e s'estdo inverses si-taises d'adultere.Si. de Montsabert a renvoyé en correc-

tionnelle l'Espagnol Sénale Modeste, incul-pé de port d'arme prohibée ; le tanneurHenri-Pierre Ramat, domicilié à Saintev.mien, inculpé d'abus de confiance ; l'Es-pagnol Jusèpe Masate, qui a volé des bonsde la Défense Nationale au nommé Lebon-., négociant en grains.

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Faatball-Club Toulousain. - Réunion généralesoir joad, ma gage, eté Ca/y, allée St-Arne à

h. M. Crms-Sountry, rem., entraînement,éle.on .ffitaine. Le melleer aeuel est rés...4aux nouveana adhéreo.. désirant pratiquer cegent mie nos conleies.

Rugby - Dernier galop auanr les ...Pion-nats match du 12 courent mente rendu du5 &codé, Prese.e de tous de rammer.

Bureau et commiesions diverses nota 30 PM.loaation. cies.

--s6sistaiar. Arrois OlumPien Toulousain. Ce soir jeudià 9 heures meisee, grande réunion générale.Entraînement en salle. -

tefeeiltiéiatt/al manche 12 manant, mr suite de forfait. dem..._ L'Avenir Olympique Tottousain libre di.

de matche rvr son terrain contre équipe premièrede 2.. 3. et 4e série. Feire d'une.. ou stasecafé Benet, rue FontaineAestang, ITIouee.

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ORCHESTRE ZUNINO FRANQUIN

THEATRE DES VARIETES

LE PETIT DUC.

11 radssuui,tes qui tuent une pièce, il y ades pièces qui tueraient non pas un artiste -fon heureusement - mais sa réputation de bonartiste.

Le livret du Pei, Du, est si tamis quai rimmede raire mal juyor une troupe à sas débm,.rai fet mour vésen IOn, sols Oen-

. cette impression et je crains tout de même quema critique ne se ressente de remua qu'il m'afallu endurer.

Mlle Hugueue Doms me pardonnera donc gin l'ai trouvée moins séduisante qu'a l'ordinairesous ses habits masculins, qu'II Malt cependant àbesucoup de femmes d'endosser lotion, parlePatt de celles qui portent les calottes dans leurménage 0

Mllo Pignon fut un peu teme en duchesse dePacshenas et gênée par la tessiture du sole tropgrave pour elle.

Mente observation en ce qui concerne M. Lamrem, gai nem pas assez l'omasion de faire val.-son joli aigu.

Mme Lorind est encore mgme dans ses fon..Clams de Deselausas. Elle ait beauosup, croyantque cale suffit parer !ace rire les muras,

Par entre, M. Baud'huin lave une apostropha)ne sais pas être gal t Il rut un pédant un peubop Imird et sévère. Attendons-le dans un m.-leur rfile

Les chmum ne sont itatt eneo. apflisammeMeneralnés.

Bref, cette reperverdation Jus, à mers /suis/ binoloin da valoir les yeécédentes, très réussies aucontraire. - G. A.

Les machines à composer m'ont fait dire hierun certain nombre de &Andes à prepos deKnock. Je ne relèrerai que celle-ci

Demc. trois d'erme eux (des médecins, ontno la nurbehe d'ajouter à la 1/lèse un se acte... e

Il ne s'agit pas d'une maladie I mais biend'ana malice de ces médecins... G,

VIE OUVRIERESYNDICAT DU LIVRE (Coup, Professionnsfs)Tous /es apprentis typos désirant mamie les

cocus professionnels de l'Eco'. des B..-Ardsont priés do', rendre, dimanche matin 12 cou.taxa, de IO heures à midi, à la Bourse du Travail,pour ee faire rvecrire et rmevoir inatructioneconcernant les homes et jours des cours.

Syndicat des Garçons lienonadier, of sem,-rang, - Réunis en assemblée générale le mardi7 octobre, les garçons limonadiers et resMorateinsdo Toulouse ont été très heureux de constater lasolidarité qui se fait de plus en plus étroite dansha communion. Et décid.t, à I unanimité, depoursuivre ruvre qu'ils ont entreprise à seulefin de resserrer surtout les lie,, de camaraderiequi doivent egster dans la corso:ad.

- Mardi 14 octobre, une parade Oyama ss,-nérale aura lien au sièsre, le soir à minuit. Lecamarade secrétaire, maintenant qu'il a avec luila ami.tOé des serrons de Toulouse, exposeraen détail ma les pmjers élaborés u,, sein dusyndicat au soie es la situation grésante et fu-ture.

Syndicat dos Charpentiers - Réunion de tous/es charpentiers de la ville de Toulouse.

Syndiqués et non syndiquée h 9 octobre à21 heures, révision du bureau.

comité Produsiicia. Las membres des t'en.ers adhérents au comité et les délégués sont priésd'assister à la réunion de m soir 9 heures,à la Bourse dm Travail. Ursem.

Syndicat des Tensailleurs des P.T.T. logenO,orne/osés, °raviers), Rénnion Ie dimanche 12octobre à 10 heures, boulevard Strasbourg, miemmin (grande mlle).

ordre du ibur Congrès des fonctionnaires,position à prendre pour les 6.000 fr.

Toue les camarades postiers sont invité. à ladripussion.

"IrsiZ°TelinéeLUZ`U.V"'

Ecole Galiniste Toulousaine. - Les murs demusique gram. recommenseront samedi II cm-rant et auront lieu les mercredis et .medis à20 heures. Un cours spécial mur les enfants desécoles aura lie. les jeudis à 14 heures de faireinscgre au siège aux jours et heures dos cours.

intime SevoOSar Toulagaine. - Ce sois réu-nion générale extraordinahe. Etc.on d'un tréso.ger, déplacements des équipes pour dimanche,fêtes ; nouvelles adhésions, etc.

Cycliste préparation militaires à 8 h. 30, entre.sol; seution artistique à 9 heures, grande salie.

Appel aux sougoBiciers. - La 64n section dela Fédération Nstionde dhs so.-officiers devant55 01005 dimanche prochain 12 octobre, à 10 heu.res du matin, nu sese rulé Chabaud, made. duCapitole à Toulouse, imite les sons-offesiers adhé,rems ou non à ne pas manquer erassister à cetteronron. on il sem pris les dispositions en vuede L cérémonie du 2 novernlere ou Souvenirran.Js.Les anciens adhérents ne manqherom pas de

ea nombre, mtulrsaau' dieeme diversesPtapions très intéressantes pour tem

Versmnent des cotisations, réglement définitifOrs hiles d, tombola.

U. A. E de Croix-Dansade. -- Ce soir ievadi,réunien à 9 heures précises. Championne du di-manche 12 octobre conite Bonhoure-Olemmiqueéquipes I et 2.

COURONNES MORTUAIRESPARURES DE MABUSE

A L'IMMORTELLE, me Rémusa1, 6

premiare du Stade Toulousain. Dosa souvientque la saison demike, à la suite d'un champion-nat qui fus reporté, les Bayonnals ne Purent se

/ déplacer à Toulouse. Afin de parer à cet ennui,j le Ste Toulo,sam a fait cette année le néne.

saire pour que les Bayonnais puissent veMr en, début O. salsa,/ Tous les sportsmen toulousains connaissent le

joli ieo basque te a hand 6.11s aussi les Ponts-/jumeaux connaîtromdls encore dimandse la fou.

MIL'équine du Stade Toulou.., qui se complè-

/ te peu à peu vorro dimanche la rentrée définitive/ de l'international Galau ainsi nun celle de l'in-

ternational BoumsLes personnes qm dimanche dernier n'avaient

pu se procurer la carte de sommaire et a qui unre, provisoire avait été dem& sont informéesqu'elles pourront échanger ce rece samedi à par-tie de 16 heures jusqu'à 19 heures et dimanchematin de 9 à /2 hem,.

THEATRES CINEMAS

THEATFTE DU CAPITOLE. - Losoeoasdssmomie. du Théâtre du Canimie sont arévemstee la première répétition commencera demainvendredi à 20 heures.

Le concours pour remploi de second violonaura lieu le samedi 11 octobre à 14 heures auThéâtre du Capito/e.

THEATRE DES VARIETES. - Jeudi 8,tourné. Dan Berand. Madeleine Renaud, Chso/es Granval de la Comédie Française et MimeYvonne Alnold dams l'Ans sie Buridan.

Pour son mander Cala de Comédie de la soison I gnpressaris Jean Bentmid no0a donnecaune représentation mut à fait brillante. L'admi-rable comédie de Flers et C....ailles l'An. de Bu-rider/ sera jon6a ave, no entrain merveilleux parM. Chartes Crenval, le phis délicieux »eausman,er d. la Comédie Française Mile Made.lette Renaud, qui a ('kg où généralement onentre au Conservatoire, est déjà une artiste desplus dmvées du iroad néblic Pagaion, sem une DIVERS CUL

michop- déekk...-t bIb, WrIa )(von/afig,yasi, main05 y-, tes créations ms let eaq,de scènes parsi/mecs, sera une Vivette étourdiesauts et éldgante 4 euh.. Ces trots /44,11

maent entourées à la coder ion, Par Me,. Atnate Pavy, Georgette Rompes et Mile Paula Vatmond. MM. Jean Coes limméNaud. et M. AHbert Pfistm. La location est ouverte.

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LES NODVEAOTES. - soir dais..nias Briame, des Ferrari, do trio Madras,Rol,Jo, du comique Berge, de Vabria et der-nière représentation de Nuit de Bonheur.

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fo.e ses sociétaires que, rassemblée générdêannuelle aura lieu dimanche 12 octobre à Id.amine . 14 heures.

Ordre du iour. - Comptpreadu «les elMrlallem%de l'exercice 1923.1924 s Immso do bilan et MIsultat des osé...as,

C/NEMsATI-LEATRE DOS, VARIETES. - Ans'jourd'hui jeudi 9 octobre 1924, soirée à 8 h. 451

L'ISLE-EN DODOSSECTION SOCIALISTE - Lei

membre, du groupe socialiste sont PrlM *Lnrendre à la ...ion qui aura lieu 1c vendredi10 courant à 8 hemes du ami.

Ordre du jour. - Derrières disposa/tons premden pour la banquet socialiste du 26 octobres

PidEUXRECEPTION DES ELUS DU PARTI,

LES SOCIETES La Section de Riens Offrait, dionanche :der.;nier 5 courant. un apéritif ellhqunenrélus du Parti 'se rt/75.1ant au banquet de,Montesquieu. A cette rMeption, assistaienttous ies adhétents du Groime et hm nom-,ber de citoyens.

Le semétaire souhaita d'abord la bien-venue aux députés Vinrent Auriol et JeanRieux, au trésorier filerai, DruninidugRien, et aux cainarades des Sections pleMuret, Laffitte, Cone., Montesquieu, cica,Il rappela conment sMtait constitué IdGroom, dit en termes précis les utilisations'et le rôle des militants et la raison dentde la Section.

Il indiqua ensuite ce que nos élus ontfait au Parlement; 0100 particulier ce quonous devons à Vincent Auriol.

Il termea en invitant les assistants ansgrouper au sein du Parti socialiste, afin,de réaliser l'émancipatim totale des tra-,vailleurs des campagnes

Le député Vincent Auriol prenant ensuiteIn parole fit à larges trbits le tableau de'l'action du Parti depuis les élections; ifjustifia l'appui désintéressé donné au gou-vernement radical, sage politique de réali-sations immédiates, qui nom a va/u, avecl'annonce d'importantes réformes intérieu-,des un complet redressement de notre poli-,tique extérieure.

L'orateur put difficileme_qt, à ce sujetscacher à ses auditeurs attentifs 10 rôleessentiel bien que mché qu'll a Mué duo,'Ion pourparlers de Londres. On l'applauditlonguement; el it nouveau, lora.° répon-dant aux mécontents ou aux hiloaliedts, il

VIE SPORTIVE molaDa Fecuvre féconde réalisée en quatre'mois par le Groupe parlementaire, réduita' une minorité activé c rtes nais r

L'AVIRON BAYONNAIS A TOULOUSE trop fafide, a'La sympathique équipe de 1.010000 Bayonnais C'est pourquoi Vincent Auriol adjura

dameteti. Il °atone, j. itaajpea,/ en terminant, les Minere présenta a Dee-renurs0000000uo ara sovémor dans leur attitude et à

travaillerJouvaoxaavecanunage, pour augmenter la force et'

Une belle ovation salue, aon énergie.et éloquentes paroles ; les ô/odeurs vin-rent alors serrer la mu:o à nos viSiteuret amis, pendant que l'on buvait de land.cceur b la prospérité de Rime et du Par-ti Socialiste.

Fm résumé, belle journée pour letariat rives ; les semailles sont faites'tessons leyru le bon grain de l'idée so-cialiste.

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BATTE' PAR 346 VOIX CONTRE 198.LA DISSOLUTION DU PARLEMENT EST

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UN CONGRES DES LIEUTENANTSDE LOUVETERIE

Nous apprenons qu'une amerrsimiée gé-née-ale Ces lieutenants de louveterie des

Mettrie de Toulouse-o-DECLARA TIONS DE DECES

CONVOIS FUNEBRESLe maire de la ville de Toulouse a

l'honneur de rappeler à ses administrésafin de les menoe en garde contre des er-reurs regrettables citie les DECLARA-TIONS DE DECES ne peuvent être re-çues que dans LES BUREAUX DEL'ETAT CIVIL A LA MAIRIE. confor-mément aux articles 77 et 78 du Codecivil caca décret du 15 avril 1919.

Il rappelle, en outre, qu'aux termes del'article 97 chapitre 4, de la loi Muni-cipale du 5 Avril 1884 l'autorité mu..cipale régie le MODE DE TRANSPORTDES PERSONNES DECEDEES, 1es IN-HUMATIONS et EXHUMATIONS etqu'en conséquence elle a seule le droit deFIXER les heures des convois funèbres.

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quante obligations de cent francs et de dix obligations de cinq cents4Funds chaque année à partir du 1" août 1034. Les obligations à amortirseront désignées par tirage au sort. Ce tirage aura lieu chaque annéele 25 juin.

Le premier tirage aura lieu le 25 juin 1931. A partir de cette der.patère date, la Société se réserve la faculté de remboursement par sun-Cipation on de rachat en bourse.

Ces obligations sont garanties en principal et intérêts par l'ensemblede l'actif social dont l'évaluation, à l'heure actuelle, n'est pas inférieureà un demi-million.

11 sera créé une Société civile de souscripteurs ou porteurs d'obli-gations.

Publication parue eu Bulletin des annonces légales a du lundi 7 juillet 1924.Les souscriptions sant reçues an Siège de la Société, 36, rue ho snobe, à Tom

toute. Les versements peuvent être faits au crédit du compte de la Société Méridio-nale d'Impression, à /a Banque Courtois, 93, rue de Rémusat, à Toulouse et dans sesnellees. û la Banque Privée, 14, rue des Arts, à Toulouse, et dans ses ageuces, auéorripte de Chèque Postal N. 5.277, à Toulouse.

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déclare souscrire (nombre .. .... obligations de fr.En paiement de ana souscription je verse la somme de........

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Tous les chèques et mandats doivent être étabiis au nom de laSociété Méridionale d'Impression, 36, rue Roquelaine, Toulouse.

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DEUXIEME PARTIE

tes Â11130 de VenisePar Michel ZEVACO

13emho ? Il était certes plus mort danssa mémoire que Siandripo ne l'était enréalité.

Quant à Sandrigo lui-ne,/sa, elle rdé-prouvait, en songeant à lui, qu'un légerfrisson., dernier reste de la grande tem-Fête Ce passion de la nuit.

Sondrigo était mort.Et maintenant elle comprenait combien

peu de place il oCcutiMI en elle.Mort l'homme. Ryan:oui le plaisir ; elle

rejetait Sandrige de son esprit, elle le chea-sait non pas de son cur, rnais de ses sens.

Ainsi donc, Mana, Bembo, Sandrigo nié-Felen plou que des ombres.

Mais c.r qui demeurait vivant en elle,;d'Une vie plus puissante, comme si en luistetalmt concentrées les vies des autres,s'était Roland Candis00,

I.' r4 cobirsoc pleura.De tells larmes, ambres et corrosives,

roulêrmit sur ses jeues sans qu'elle son-

LE MIDI

"La Voix des Jeunes"

geai à se regarder au miroir pour en 00110-tater les effets.

Elle comprit alors que depuis qu'odeétait venue à Venise pour Roland, elle n'a-vait cessé de l'aimer. Tout Io reste n'étaitque comédie jouée avec plus au moins desincérité.

Elle avait aimé, elle aimerait toujourscet homme.

Et, en &voguant son image, ce n'était pasune volupté ou un attendrissement qui 5'0-veilla...177M elle.

Tout autre sentiment était aboli dievmtl'épouvante.

EP eût donnée sa vie pour voir Roland,p77M-fercrier encare son amour, et enmm' temps. elle tnessaitlait de peur aumoindre bruit.

La vision de Léonore à la fenêtre dupalais Miter' avait achevé de l'épouvantercomme si cette renrontbe eût été préparéeen signe do fatal et stesyérne avertissemmt.

Vent b quoi songeai( Imperia retiréeau fond de son palais, tandis que Boladdet Sealabrino la croyait morte.

Alors, une conclusion logique s'imposa àelle.

Elle Malt venue à Venise peur Roland.R03:nd la méprisait, la hais.it, Roland

le tum311"silrernent. Peut-être etsit-ce luiqui avait tiriffiYie liras de Scalailirim...

/I ne lie restait ptre qu'a fuir.Fuir au plus Mt, sans laisser de traces

del-Ti-ère elleSitYLe plus allendre, elle fi venir ace

Organe mtional des Jeunesses socialisteslutte pour la défense des droits des Jeu-nes prolétaires, combat tous les militari,.

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tendant et eut avec lui un entretien dedeux Verres, au bout dmquel/es il se retiraen disant.

Tous vos ordres seront exécutés, si-gnera, et je v us apporterai moi-mêmele produit de la vente du polos, des mou'bles, des tableaux...

-Excepté celui quo je vous ai indiqué.-Le porte 01 en question ; je ne l'oublie

pas, signora /I ne me reste plus qu'à ap-prendre en quel rien de l'Italé je devraivous rejoindre.

- A Rome, ait Imperia.L'intendant disparu, la courtisane ras-

sembla ce qu'olle avaib de bijoux previeux,prit une somme en or, siabilla commepour un long voyage eh sans emmeneraucune de ms femmes qui avaient /ordredo la rejoindre h Rome sorti a In nuittombante de ce palais où enflant près dehitit atraem, elle avait obloui Venise deson luxe et de sa beauté.

La gondole qui l'attendait devant le pa-lais lui fit teavener la grande lagune.

En terre ferme, elle retrouva son inten-dant qui /ut amenait un solide carrossede vOyage.

Imperia monta dans Le carrosse, tandisque Ihnteceant reprenait, avec la gondolequi avait amenée lo,ourtisane. le cheminde 'd'entee.

Imperia traversa l'Italie b. toute vitesse,sentent l'or pour atter plus vite. Un matinenfin, elle arriva devant un de ses palaisde P:nrIn.

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- Maintenant, dit-elle, je suis sauvés..Elle jrar-Fsorut avec une joie folle, une

mie de délivrance et de vie movenc cessaIlm du palais &Mort que deux serviMursÏ.,Meni ara erêntretenu pendant son ab-sence.-156ja. elle donnait des ordres pourla repenti.. la restauration de CS salonsdéjà elle pensait à quelque somptueuse fê-te par laquelle elle eût annoncé eson re-tour à ra Société romaine, comme la fêtetg 'elle venait de donner en son palais duGrand Canal devenait un adieu is la sociétévénitienne.

Ardb nb prodiiense activité, dès le jourmême, 011015 ail ongenisé un train de mai-son ; le pubis pot avait dormi huit ans seréveillait ; des demestiqum. dm femmesde chambre, s'affairaient dam les vastespièce

Et le soir, lorsque fa courtisane ferma lesyeux dans c egrand lit qui étMt Célèbreà Rome polirsiiMagniricence, elle fourm-i, avec laon"--,i-s7lIcifile caIme et delicieuse durepos reconquis :

- Ah I Venise et Sm"; S'ombres canaux IVenise et ses-m.17n leitueuses où les sbi-res vous guettznt I Venise et ses poinardset son appuyai/1o, et tout ce qui m'acca-blait le coeur. el me voilait te cerveau donnuage de terreur t dhorreur ! Adieu htoute cette tristesse ! Vive Rome et lesoleil de Rome, vivo mes bons Romainsqui dons\ apprenant rrimi retour, ont en.son! liIr solo r.. 14-bas, je n'étais mie lasupern.rie, ici, je suis reine

ilinimalisme

cluz i Fmnine

DEPUIS DIX-SEPT ANS DE SOUFFRAISDE ItlItTIATISIIES ET NIE VOILA

IIA LOCALEMENT GUE/IIE« Monsieur,

s Députe dix-sept nes, in souffrais debhuinetismes, tantôt aux jambes ou auxbras, tantôt aux épaules et dans las arthcannions ; les reins miteul étaient sou-vent pris. L'année dernière. je suis ...t'aun Meg pouvant à peine mareber et en-durant des douleurs atroces. Se me Suieenfin décidée à suivre le TraitemantChartreux a, je n'ai pas tardé h ressentirune amélioration eu. après deux mnis d'untraitement bien suivi. j'étais guérie radi-calement. Préventivement, it chaque re-nouvellement de saison, j'et/ pamdralquelques flacons.

Soyeg assuré de ma reconnaissance, elque ce. qui souffrent aient confianee enec remède.

Mme Lita Goules,ii

O h Baron. par Leyre,' (Lot-et-Garonne. aLe Traitement du Chartreux tamise la

sang, il Mirnine les produits dangereuxqui s'accumulent dans les divers tissus etorganes où se produisent les manifesta-tions rhumatismales et gandleuseé.

Des articulations ou des Inumies.rhumatisme s'attaque aux ve nes, le sangonittrerié dans sa circulation aff/u, à latete, congeotionne les poumons, le ventre/6, malade a des noises souffre d, verti-ges, êtauffements, chaleurs, hémorragies.etc Tumeur. fibrome et /e came"- se dlveloppent de enferme° Inc le terraisarthritique ; les satistiques constatent queplus des deux tiers dm cancéreux si001 dosrhumatisants.

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MILADIES DE L4 FEMIIE 115E RETOUR D'AGEradia les Mentes conuesSee leste 00lte15.1 g laSeatollt sol IonRu., 0,25, symptômes sant bien connus, ci,une sensation d'êteuffemantet do SUfftibattOrt gaides bouffées de chaleur lut montent au visage pouune suour !roide sur tout le corps. Le ventre deyeux, les règles ne renouvellent Irrégulière, puet bientôt la trente la plus robuste se trouve affaibli

a ni...rem-M aux Pires dangerS. C'est elors qu'il faut, Sung Plusu une cure avec /a

JOUVENCE de l'Abbé 301,1RyNoua ne °essorons de répéter que toute femme qui atiniat Tage de so em eje. 'Ile qui n'éprouve aucun aMise, doit, des intervalles réguliers, faire usag,0::,,,OF <DENTE) 2474Z3133 010 1'AIL12122.si elle Veut éviter l'affina subit du Sang au cerveau, la

COneetion. Pseaqutp/oxie, la réputai. d'anévdeme, etc...dIeQatelte ...Mlle pas que Io gang uni n'a plus son cours habituel se port,préférénée aux parties les plus faibles et y développera les

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Et elle s'endormit en faisant dru rêvesde ale nouvelle.

Morte la pauvre Blanca dans cette bine.01001 Bembo j Mort Sandrigo I Mort Ro-

lan Candis. ! Oui. morts, tous, depuisJean Cavite assassiné au pied da grandportrait, jaisq-dia Sandrign tué dans ses

Lebras 1

p-alais Man un des plus beaux deRome.

Il était situé non loin du pont des QuatreTêtes, dans le quartier de Rome alors vi-vent et Viner: =fout un monde de sei-gneurs, d'obbes, do cardinaux, et de gran-d esdames.

Le net., dlinpFri aproduisit dans Romele grani_ij filesTin iiinGehe avait espéré et quiêtaitte,ii" pué de TI cüriosité.

La Téle donnée-par la coudisane eûtlieu (plane jours après son arrive0. Ellefut ce quiefaienl-foutm les fêtes d'Im-peria o magique par le ben goût, rutilanteparihs Minières et les fleurs, exonoitantepar re faste.

Sué In Inn de 1s soifiée, Imperia, radieu,e,rajeil7176 -77re de joie et d'Orgueil, d'avoirreconqUis Rome d'un %OUI cOup, recevaitles odieux dieseifii7717-romeins empressésautour il' 0110.

En17n711-712y-en eut prirqu'un seul.Cele-Til ri-émet-lm le derni7F, s'approcha

h son tour et fit tomber le MM-que qui cou-vrait son visage.

imperia jeta un mn de terreur._ Bembo-

- Moi-noème, caris.n, 101 10 °s'en':shreclinant, on dirait presque que 0n.,n olisence vêles effrode, ou, ce i"

encoe-e-qu'FiTà- VrtuS ennuie.tamarin. p-377t.C'était bien ie cardiml-roàque do

avec ses yeux narquois, sa Pare d'une'nistre ironie. .

Geted Bembo. Et avec lui, aa qu-'

pouroulvait à Rome, c'était toutd'epouvanbs et d'huron-un rotent las

res de Jean Davila et de Sandrerob

l'âme de sa fille alinholonrne, cque MM cela o Mêlait le aouvenirland Candiano.

Bembo accouru b Rome ICuer/o, lai présagea quelque effroYae ee.

°- Bahlt.-vous venu faire ici 7 dee, dee

Imiésr, d'une voix tremblante. Y afi3en'''e quelque ahoso de corne'nous ?

Ob

II.4....-4=, l

6 -N4TITUT STROTEEeee:

4 Rite Traiversière,,I;;,,,, g

'S (,91,t'llsoclitiu

t=t1retir2M . e",me ef, Ientnncoe ,r,,..-, ,,,,r-:..,,Âj,

ta. Gu«. . 2A.'"

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