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Réseau vert Un pas de plus vers la mobilité douce 37 13 15 29 cité de l'énergie Un bilan intermédiaire encourageant Se chauffer autrement La méthode de nos anciens Concerts d'automne Retrouvez tout le programme Escalade du Mont-Blanc Récit d'un défi 7 q DÉCOUVREZ UN PROJET DE SOLIDARITÉ AVEC UNE ÉCOLE DU PÉROU JOURNAL D’INFORMATION DE LA VILLE DE CAROUGE N O 42 NOV-DÉC-JAN 2010-2011

Escalade du Réseau vert Concerts Se chauffer d'automne · d'automne Retrouvez tout ... effet essentiel de savoir quels sont les ... de tester pendant un mois les transports publics,

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Réseau vertUn pas de plus vers la mobilité douce

3713 15 29

cité de l'énergieUn bilan intermédiaire encourageant

Se chauffer autrementLa méthode de nos anciens

Concerts d'automneRetrouvez tout le programme

Escalade du Mont-BlancRécit d'un défi

7q DÉCOUVREZ UN PROJET

DE SOLIDARITÉ AVEC UNE ÉCOLE DU PÉROU

J O U R N A L D ’ I N F O R M A T I O N

D E L A V I L L E D E C A R O U G E

NO 4 2 N O V - D É C - J A N 2 0 1 0 - 2 0 11

22

9 Zoom sur… les ginkgos

sommaire 11 Carouge offi ciel

25 La parole aux partis

41 Votre concours

38 A Carouge, ça bouge !

28 Zone de culture

s o m m a i r e

19 Votre Conseil municipal

37 Toute une histoire

ImpressumJournal édité parl’Administration municipale de CarougeMairie de CarougePlace du Marché 14 – 1227 CarougeTél. 022 307 89 87 – Fax 022 342 53 29Courriel : [email protected] numéro : février 2011Comité de rédactionService des affaires culturelles et de la communicationImpressionImprimerie Genevoise – 1227 CarougeJournal tiré à 13 000 exemplairesImprimé sur du papier certifi é FSC, 100 % recyclé, neutre en CO2

Concept et direction artistiquePaperplaneGraphismeYan Rubin et David Siegenthaler Crédits photosAurélien Bergot, Christian Pfahl, Carole Parodi, Diane Bouchet, Juan Carlos Hernández, Pierre-Antoine Grisoni, Samuel Rubio, Simone Oppliger, Ruth Suica, Shared Summits Photo de couverture Icônes du développement durable

18 Les brèves

21 La page centrale

4 Le vif du sujet

16 Agenda 21

12 Votre commune agit

35 Hip-hop Communes-ikation

11 Inauguration Espace Grange-Collomb

14 Zone de rencontre

11 Ça s’est passé

33

pour tout vous dire

mairiePlace du Marché 14 – 1227 CarougeTél. 022 307 89 87 – Fax 022 342 53 29Courriel : [email protected] www.carouge.chDu lundi au vendredi : 8 h – 12 h / 14 h – 17 h

état civil Place du Marché 14 – 1227 CarougeTél. 022 307 89 50 – Fax 022 307 89 79Courriel : [email protected] : 9 h – 12 h / 14 h – 16 hMardi : 9 h – 12 hMercredi : 9 h – 11 h / 12 h – 16 hJeudi – vendredi : 9 h – 12 h

travaux-voirie-environnement (tve)Route du Val-d’Arve 92 – 1227 CarougeTél. 022 307 84 84 – Fax 022 307 84 85Du lundi au vendredi : 8 h – 11 h / 14 h – 16 h

service des affaires sociales de la ville de carougeRue de la Débridée 3 – 1227 CarougeTél. 022 308 15 30 – Fax 022 308 15 31Sur rendez-vous

police municipaleRue Jacques-Dalphin 24 – 1227 CarougeTél. 022 307 89 90 – Fax 022 307 89 70Du lundi au vendredi : 8 h – 12 h / 14 h – 17 h bibliothèque de carougeBoulevard des Promenades 2 bis 1227 CarougeTél. 022 307 84 00 – Fax 022 307 84 06Courriel : [email protected] – jeudi – vendredi : 15 h – 19 hMercredi : 10 h – 12 h / 14 h – 19 hSamedi : 10 h – 12 h

biblioquartierRue de la Tambourine 3 – 1227 CarougeTél. 022 308 88 58 – Fax 022 308 88 59Courriel : [email protected] : 16 h – 19 hMercredi – samedi : 14 h – 18 hJeudi – vendredi : 16 h – 19 h

archivesPlace du Marché 14 – 1227 CarougeMardi : 14 h – 17 hMercredi : 8 h – 12 h / 14 h – 17 h

muséePlace de Sardaigne 2 – 1227 CarougeTél. 022 342 33 83 – Fax 022 342 33 81Courriel : [email protected]

SecrétariatDu lundi au vendredi : 9 h – 12 h / 14 h – 18 h

Exposition Du mardi au dimanche : 14 h – 18 h

CAROUGE EN UN COUP D’ŒIL

Octobre 2008 : deux ans déjà que Carouge a reçu le label Cité de l'énergie en présence de l'ancien conseiller fédéral Moritz Leuenber-ger. Une fi erté pour notre commune de démontrer que nous œuvrons activement pour contribuer de manière signifi cative à une utilisation durable de nos ressources énergétiques. Un label en pleine cohérence avec la notion de développement durable qui se trouve au cœur de notre programme de législature.

Il est en effet essentiel de promouvoir ce type de dévelop-pement qui ne compromet pas la capacité des générations futures de répondre à leurs besoins, tout en répondant aux nôtres. Comme vous pourrez le découvrir dans Le vif du sujet, la Ville de Carouge s'est investie dans un nombre important d'actions au niveau tant des constructions, de la mobilité que de la communication pour répondre aux exigences de ce label.

Notre volonté est non seulement de poursuivre l'effort, mais de l'intensifi er pour vous, avec vous, pour le bien-être de toutes et de tous.

Nous avons également le plaisir de vous proposer une nou-veauté dans ce numéro en vous offrant un supplément broché dans les pages centrales. En effet, le Concours littéraire de la Ville de Carouge a connu cette année un nouveau souffl e et nous voulions vous le faire par-tager. N'hésitez donc pas à détacher le livret central, qui publie les textes des trois gagnants de ce concours, pour découvrir de nouveaux talents du verbe.

Une excellente lecture !

Le Conseil administratif

44

le vif du sujet

un bilan intermédiaire encourageantEn octobre 2008, la Ville de Carouge a obtenu sa certifi cation «Cité de l’énergie». Cette

dernière a ainsi rejoint les 161 villes européennes – dont 151 suisses – qui, à la fi n d’août

2008, avaient déjà obtenu leur label «Cité de l’énergie». A l’heure du bilan intermédiaire

prometteur établi par Carouge, elles sont 215 dont 208 en Suisse.

Au terme de l’audit de certifi -cation mené pour l’obtention du label, Carouge dépassait dans trois domaines la barre des 50 % d’actions réalisées nécessaires à l’obtention du label : l’organisation interne de son administration (69 %), le développe-ment territorial (68 %) et les actions de communication et de coopération (59 %). Elle obtenait un taux de 50 % pour la mobilité, de 47 % pour les bâtiments et les infrastructures de la commune, mais seulement de 35 % dans le domaine de l’approvisionne-ment énergétique. Cela s'explique

en grande partie par le fait que la Ville n'avait pas de vision globale des potentiels énergétiques sur son ter-

ritoire. Pour développer une planifi -cation énergétique effi cace, il est en effet essentiel de savoir quels sont les différents agents énergétiques à pri-vilégier, ou à éviter, en fonction des infrastructures existantes (comme les conduites à gaz ou les réseaux de chaleur à distance), mais égale-ment connaître précisément l'envi-ronnement naturel (force du vent, ensoleillement, présence de nappes phréatiques, entre autres) des diffé-rentes zones constituant le territoire communal. L’établissement d’une col-laboration étroite entre les services de

«Pour l’essentiel, ces deux

dernières années sont à

considérer comme une

phase de mise en place

des moyens permettant

de concrétiser les actions

planifi ées»

55

Le processus de lancement de plans de mobilité – qui est un des critères retenu pour que Carouge conserve son statut de «Cité de l’énergie» – a d’abord été abordé sous l’angle des déplacements du personnel communal (lire encadré page 6), avant d’être étendu aux entreprises. Jugée prioritaire par ces dernières, cette problématique a été au centre du déjeuner de lancement organisé par la commune le 23 septembre dernier, qui a enregistré une tren-taine d’inscriptions représentant plus de 50 % des employés de la zone. A cette occasion, les différentes étapes

menant à la réalisation d’un plan de mobilité inter-entreprises (PDIE) pour le secteur Carouge-Acacias a été présenté. Cette zone, très concernée

par le développement du Masterplan Praille-Acacias-Vernets, comprend environ 300 entreprises dont les plus importantes, en termes d’emplois, ont été les premières à se déclarer inté-ressées. «Le coût du diagnostic des déplacements et des propositions de mesures étant réparti entre les entre-prises, en fonction du nombre de leurs employés, leur adhésion a eu un effet d’entraînement», relève Gaëlle Haeny.

DIMINUER LE TRAFIC MOTORISÉ

INDIVIDUEL

Dans son concept, un plan de dépla-cements interentreprises vise à

l e v i f d u s u j e t

la commune et le Service cantonal de l'énergie devrait désormais permettre de combler ces lacunes.

SITUATION À MI-PARCOURS

Deux ans après sa labellisation, soit en octobre 2010, la commune

présente un bilan intermédiaire encourageant, puisqu’elle pro-gresse dans quatre des cinq domaines retenus, soit + 13 % pour la mobilité, + 7 % pour la commu-nication et la coopération, + 6 % pour l’organisation interne, + 5 %

pour l’aménagement du territoire et + 3,5 % pour l’approvisionnement énergétique et la dépollution. C’est dans le secteur de l’assainissement des bâtiments communaux que les résultats sont, avec une baisse de 3 % par rapport aux objectifs pla-nifi és, les moins bons. A noter que les critères d'exigence augmente-ront au niveau fédéral dès l'année prochaine.

«Grâce à un travail constant, précise Gaëlle Haeny, en charge de ce dossier, Carouge progresse depuis deux ans dans les 125 actions qu’elle s’est engagée à mener. Nous enregistrons ainsi, à la mi-2010, neuf actions totalement fi nalisées, 22 menées en continu et 43 en cours de réali-sation.» (Voir graphique.)

mettre en place des plans de mobilité

-4

assainissement desbâtiments communaux

approvisionnementénergétique et dépollution

aménagementdu territoire

organisationinterne

communicationet coopération

mobilité

-2 0 2 4 6 8 10 12 14

- 3 %

+3.5 %

+5 %

+6 %

+7 %

+13 %

Bilan intermédiaire de la Ville de Carouge pour l'obtention du label «Cité de l'énergie»

«Les premières mesures

prises seront celles

réunissant rapidité de

mise en œuvre et forte

adhésion des acteurs

concernés»

66

l e v i f d u s u j e t

LA COMMUNE DONNE LE TON

L‘excellent taux de retour des

questionnaires envoyés au personnel

communal (75,2 %) montre son intérêt

pour des solutions lui permettant

de se déplacer dans de meilleures

conditions. Signe d’un changement

de mentalité, le système d'écobonus

– qui a pour but de rétablir l'équité

entre les moyens de transport – est

dans l'ensemble bien perçu. Mettre à

disposition une place de stationnement,

même payante, à ses collaborateurs est

une forme d'encouragement à utiliser

la voiture. En contrepartie, la Ville de

Carouge devrait donc également offrir

des mesures pour favoriser le vélo, la

marche et les transports publics. Même

si rien n’a été encore formellement

décidé, plusieurs actions visant à aider

ceux qui seraient prêts à renoncer

à se déplacer seuls en voiture sont

envisagées. Que cela soit la possibilité

de tester pendant un mois les

transports publics, une aide fi nancière

à l’achat d’un abonnement unireso ou

l’encouragement du covoiturage pour

aller au travail.

réduire l’utilisation systématique de la voiture individuelle au profi t d’autres modes de transport, tant pour les trajets domicile-travail que les déplacements professionnels.

Dans ce but sont analysées l’acces-sibilité des sites par les différents moyens de transport, les pratiques de déplacement des collaborateurs – et leur disposition à utiliser un autre

Et celui dans lequel la progression est la moins marquée ?C’est dans le domaine de l’assai-nissement énergétique des bâti-ments communaux que nous avons quelque retard par rapport aux actions prévues. Il faut souli-gner qu’il nous a été impossible de mener à bien le bilan énergétique de nos bâtiments, faute de temps,

mais aussi parce que le logiciel Enercompta prévu à cette fi n n’a jamais été réellement opérationnel et qu’il n’a été remplacé qu’en mai dernier. L’embauche d’un archi-tecte spécifi quement affecté aux bâtiments de la commune devrait toutefois grandement améliorer la situation.

*Lire VivreCarouge de novembre 2009.

Quel bilan tirez-vous des actions menées à ce jour ?Gaëlle Haeny. Si les actions les plus modestes ont pu rapidement être mises en place, 95 % des objectifs poursuivis exigent non seulement de mener des études préalables et un inlassable travail d’information, mais également d’établir des collabora-tions avec des tiers, ce qui nécessite du temps et des moyens. Aujourd’hui, nous commençons à engranger les fruits des démarches qui ont été entre-prises. Notamment dans les domaines de la mobilité, de l’aménagement, mais aussi dans le secteur des déchets avec, par exemple, la convention passée avec l’association Partage*.

Dans quel domaine, Carouge a-t-elle enregistré ses meilleurs résultats ?C’est dans celui de la mobilité, où nous étions déjà fort bien notés, que nous avons le plus progressé. Cela tient autant à la réalisation de la zone 20 km/h dans le secteur Jacques-Dalphin et aux exten-sions projetées qu’au projet de zone piétonne prévu dans l’aménage-ment de Carouge-Est. Sans oublier les actions menées en collaboration avec GenèveRoule ou l’audit du stationnement deux-roues actuelle-ment en cours.

«Mener des actions d’envergure demande du temps»

Gaëlle Haeny, déléguée Agenda 21

interview

mode de transport que la voiture individuelle – ainsi que les conditions de fonctionnement des entreprises.

«Ce n’est que, ensuite, explique notre interlocutrice, qu’est établi en collaboration avec l’ensemble des acteurs un plan d’action mettant l’accent sur des mesures communes concrètes qui s’étaleront dans le temps, en fonction de la rapidité de leur mise en œuvre et de leur bonne acceptabilité par les personnes concernées.»

77

l e v i f d u s u j e t

Les élèves de l'école de Huamachuco, heureux d'être bien chauffés en hiver

carouge-huamachucoun exemple de solidarité énergétique

Avant le lancement de ce projet, dans le cadre du programme «Robin des Watts» de l’association Terragir en 2006 (lire encadré), les élèves péru-viens suivaient leurs cours emmitou-fl és dans des couvertures dans une salle où régnait parfois une tempéra-ture de 7 degrés. Grâce à cette action qui s’est terminée au printemps 2010, les températures mesurées dans la classe sont passées, en moyenne annuelle, de 7 à 13,5 degrés.

Aujourd’hui, cette école bénéfi -cie de panneaux photovoltaïques et d’une bonne isolation ther-mique (étanchéité du plancher qui empêche le passage de l’air et de l’humidité et isolation du faux-plafond qui retient la chaleur). La chaleur accumulée dans la serre construite le long de la façade sud

se transmet ainsi sans déperdition à l’intérieur de la salle de classe à travers les fenêtres.

En outre, le système de chauf-fage passif de l’eau, obtenu par le passage du tuyau d’arrivée d’eau dans le fond du caisson sur lequel repose la serre, permet d’alimenter en eau chaude un lavabo extérieur pendant toute l’année scolaire, amé-liorant les conditions d’hygiène des élèves.

«Maintenant, on est à

l’école en pantoufl es.

Il fait vraiment moins

froid et j’apprends

mieux»

La construction d’une serre est non seulement source de chaleur, mais son aménagement en jardin potager permet désormais aux élèves de diversifi er leur régime alimentaire. Ils y ont cultivé des salades, carottes, tomates, haricots et ont expérimenté de nouvelles recettes avec les produits qu’ils avaient eux-mêmes cultivés. Sous l’impulsion de leur professeur, ils ont même construit un petit four solaire où ils ont pu cuire des gâteaux aux carottes.

Allier chauffage et alimentation

«Des panneaux photo-

voltaïques fournissent

suffi samment d’électricité

pour remédier aux pannes

fréquentes et assurer

l’éclairage des lieux»

88

l e v i f d u s u j e t

DE CAROUGE À HUAMACHUCO

Durant les années scolaires

2006-2008, des élèves de l’Ecole

Jacques-Dalphin ont recherché et

identifi é les gisements d’économies

d’énergie permettant de réduire la

consommation de leur bâtiment.

En 2009, ils ont participé à une Journée

énergie solidaire. Durant ce laps

de temps, les utilisateurs de l’école

ont veillé à consommer un minimum

d’énergie, tout en poursuivant leurs

activités habituelles.

Les relevés des compteurs ont mesuré

l’impact de cette mobilisation qui a

permis de réduire de 43 % l’électricité

consommée ce jour-là. La Ville de

Carouge a alors décidé d’investir

symboliquement les économies

fi nancières ainsi générées dans un

projet de solidarité énergétique avec

un pays du Sud, en collaboration avec

Terragir et Terre des hommes. C’est

l’école de Huamachuco, située à 4200

mètres d’altitude, dans les Andes

péruviennes, qui en a bénéfi cié.

Une serre bienvenue pour la diversifi cation alimentaire

99

Il y a une quinzaine d’années, la Ville de Carouge a planté un arbre peu commun, le ginkgo (lire encadré), au cimetière (81 unités) et à la rue Caroline (10 unités). Tous étaient âgés d’environ 10 ans. A l’époque, cette essence était très prisée, car le ginkgo, résistant à la pollution et à la sécheresse, est particulièrement adapté au milieu urbain. Il a, en outre, l’avantage d’avoir un feuillage

offrant une variété de couleurs qui évolue au fi l des saisons, allant du gris-vert au printemps au vert clair en été, avant de virer au jaune, or et orangé en automne.

CERTAINS MÂLES N'EN ÉTAIENT PAS

Jusqu’en octobre 2008, soit lorsque les arbres ont atteint 25 ans, le ginkgo n’était qu’un bel arbre dont on savait seulement qu’il était sexué et pouvait être soit mâle, soit femelle. Les ginkgos femelles donnent à l’automne des fruits ressemblant à des petits abricots qui, en pourrissant, dégagent une

forte odeur de beurre rance. Le problème avait été contourné en ne plantant que des arbres issus de boutures mâles. Mais, comme on ne peut déterminer avec certitude le sexe de l’arbre qu’après vingt-cinq à trente ans, on s’est aperçu que certains ginkgos plantés à Carouge étaient des arbres femelles.

zoom sur...

les ginkgos femelles, des arbres aux fruits malodorants

«Après vingt-cinq à trente

ans, on s'est aperçu que

certains ginkgos plantés à

Carouge étaient des arbres

femelles»

En 2008, certains ginkgos de la rue Caroline se sont révélés être des arbres

femelles. Leurs fruits dégageant une odeur nauséabonde, une étude a été menée

pour y remédier et satisfaire les demandes des riverains incommodés.

1010

UN TEST ADN BIENVENU

Pour ceux qui n’étaient pas encore identifi ables, car trop jeunes, la science est venue au secours de Carouge. En 2009 en effet, des chercheurs ont mis au point un test génétique permettant l’iden-

tifi cation sexuelle des ginkgos à partir de leurs feuilles, quel que soit leur âge. «Effectué en avril dernier par le professeur François Lefort, enseignant au Centre de Lullier, cet examen, le seul réalisé à ce jour en Suisse, a démontré

que 36 des 81 ginkgos du cimetière étaient des arbres femelles ainsi que cinq des 10 arbres plantés rue Caroline», explique Anthony Leclerc, responsable des Parcs et promenades.

l e v i f d u s u j e t z o o m s u r. . .

LE GINKGO, UN ARBRE

PRÉHISTORIQUE

Le ginkgo appartient à une famille

d’arbres (Ginkgoaceae) qui serait

apparue il y a plus de 270 millions

d’années et existait déjà une

quarantaine de millions d’années

avant l’apparition des dinosaures.

On a dénombré huit espèces de

ginkgos, dont sept fossilisées. Une

seule, le ginkgo biloba a survécu

dans le sud-est de la Chine. De là,

il est arrivé, aux alentours du

XIIe siècle, en Corée et au Japon où

le botaniste allemand, Engelbert

Kaempfer, qui y séjourna de 1690

à 1692, le découvrit. Il en rapporta

des graines en Hollande où les

premiers ginkgos européens furent

plantés vers 1750. Avant d’essaimer

en France, au Jardin botanique de

Montpellier d’abord vers 1780, puis,

en 1795, au Jardin des plantes de

Paris. On peut d’ailleurs toujours

les y admirer. Normal pour un

arbre dont certains spécimens

remontent à plus de 2500 ans.

Comment résoudre le problème des ginkgos femelles ?Anthony Leclerc. Sachant que 50 % des arbres offerts en pépinières seront d’espèce femelle, il faut tester 80 arbres pour un remplacement partiel et 160 si l’on veut tous les replanter. Le ginkgo est en effet un arbre mutant encore méconnu. Il existe ainsi au Jardin botanique de Londres, un arbre 100 % mâle avec une branche femelle.

Comment trouver un pépiniériste ayant autant d’arbres ?C’est là que le bât blesse, car la plupart ne possèdent que quatre à 10 ginkgos. Trouver un pépinié-

riste susceptible de nous vendre 40 arbres mâles génétiquement certifi és implique qu’il en ait au moins 80 et accepte le principe du test et de son coût, identique pour un comme 80 arbres, soit environ 10 000 francs. Une pépinière industrielle allemande pourrait avoir le nombre d’arbres requis.

Quel serait alors le coût de l’opération pour Carouge ?Un ginkgo de 10 ans (non testé) revenant à 3600 francs, il faut compter, entre l’achat, l’arrachage et la replantation, environ 250 000 francs. Un peu moins de 200 000 francs avec une autre essence comme le tilleul.

«Techniquement, la solution existe. La question est de savoir si on en accepte le coût»

interview

1111

carouge officiel

inauguration offi cielleLe 1er octobre dernier, le Conseil administratif a inauguré

offi ciellement l'Espace Grange-Collomb en présence des

autorités de la Ville de Carouge et de celles des communes

environnantes.

Un nouvel espace a ouvert ses portes

Situé dans un cadre idyllique proche de la Drize, l'Espace Grange-Collomb a retrouvé une magnifi que jeunesse. Ces bâtiments entièrement réhabi-lités abritent désormais les ateliers de la Fondation Bruckner pour la promotion de la céramique et ceux de la ZoT Compagnie, avec ses marionnettes.

Une nouvelle salle polyvalente est également à disposition pour y fêter mariages, anniversaires et autres réjouissances.

Après de nombreux rebondisse-ments*, cet espace réhabilité a pris son nouvel envol dans une ambiance festive, ponctuée d'une performance musicale de Laurin Schaub sur un instrument de musique en céramique et par une répétition publique de la ZoT Compagnie.

*Lire Carouge ! n° 41

1212

votre commune agit

hommage de la ville de carouge Le Conseil administratif aura le plaisir de vous féliciter publiquement lors de l’apéritif communal qui a lieu chaque année en janvier.

Seront saluées et valorisées les distinctions obtenues dans les domaines sportif, culturel, socio-économique, scientifi que, du droit

de la personne et du développe-ment durable, au niveau national au minimum, en première, deuxième ou troisième positions des :– habitants de Carouge,– personnes originaires de Carouge,– associations établies sur notre

commune,– entreprises carougeoises.

Nous vous prions de bien vouloir vous faire connaître en écrivant à la Mairie de Carouge, place du Marché 14, 1227 Carouge ou par [email protected]

Testés, en 2009, par les jardiniers des Parcs et promenades, les premiers bacs anthracite ont été installés dans certaines rues de Carouge, mais éga-lement, pour la saison, en bordure de terrasses, notamment celles situées dans la zone 20 km/h de la rue Jacques-Dalphin. Ils seront en nombre, à terme, dans tout le péri-mètre du Vieux-Carouge et l’ensemble des terrasses carougeoises, afi n de permettre d’uniformiser esthétique-ment leur pourtour.Ces bacs, qui sont particulièrement adaptés au concept de façade à façade (soit sans trottoir) prévu dans la

zone 20 km/h, ont par ailleurs de nombreux avantages, dans le cadre du développement durable. «Qu’ils soient bas et rectangulaires ou en vasques de 1,30 mètre de hauteur, fi xes ou déplaçables, ils peuvent en effet accueillir un plus grand volume de terre que leurs prédéces-seurs, mais comprennent surtout un système de réserve d’eau qui récupère autant l’eau de pluie que celle prove-nant de l’arrosage, tout en permettant de tempérer la terre», relève Anthony Leclerc, responsable des Parcs et promenades.Une cinquantaine de bacs de ce genre (27 fi xes et environ 20 saisonniers) ont déjà été mis en place rue Jacques-Dalphin, au bas de la rue du Temple et à certains endroits de la rue Ancienne. Ils sont destinés à rempla-cer, d’ici au printemps prochain, les 67 jardinières en béton beige instal-lées il y a environ soixante ans dans le secteur compris entre la place de l’Octroi et celle du Rondeau.

pose de nouveaux bacs à fl eursDepuis cet été, des bacs anthracite alliant esthétique et

développement durable ont fait leur apparition.

1313

Alpiniste chevronné et expéri-menté, Yvan Kojouharov faisait partie des meilleurs grimpeurs de compétition. Pour lui, «l'alpinisme n'était pas un sport, c'était devenu sa façon d'être». Malheureusement, un terrible accident survenu en 1990 lors de l'ascension du Petit-Dru mit un terme à sa carrière. «J'ai regardé au-dessus de moi, le ciel était noir de pierres et elles tombaient sur nous (…). A la suite de cet accident, je me suis retrouvé, à l'âge de 25 ans, en chaise roulante, tétraplégique.»

Malgré sa paralysie, son amour de la montagne perdure et, l'année passée, c'est entouré de 33 de ses amis et du guide de haute montagne Jean Troillet qu'il a entrepris ce défi presque utopique que la Ville de Carouge a voulu soutenir : l'ascension du Mont-Blanc; «une ascension basée sur la solidarité, l'amitié, les rêves, les valeurs et les responsabilités par-tagées, l'abnégation de toute l'équipe, afi n d'atteindre cet objectif quasi-ment impossible». Il aura fallu une

préparation de plus de trois ans et un courage exemplaire pour parvenir, après plus de quatorze heures d'effort, au sommet du Mont-Blanc.

Comme il l'explique : «J'aimerais exprimer ma sincère gratitude envers tous ceux qui ont cru en nous

et qui nous ont soutenus (…). Le 8 septembre 2009, à 16 h 17, vous étiez avec nous au sommet.»

c a r o u g e o f f i c i e l v o t r e c o m m u n e a g i t

un rêve devenu réalité Un Carougeois à mobilité réduite gravit le Mont-Blanc !

L'équipe de Shared Summits au sommet

Le 8 septembre 2009, Yvan Kojouharov a franchi le plus haut sommet des Alpes :

le Mont-Blanc (4810 m). Si cette ascension est un défi pour beaucoup d'alpinistes,

atteindre ce sommet a été un véritable exploit pour lui et ses amis. Grâce au soutien

de la Ville de Carouge, il a en effet gravi ce sommet en chaise roulante ! Récit d'une

aventure hors du commun.

1414

v o t r e c o m m u n e a g i t c a r o u g e o f f i c i e l

Le secteur Jacques-Dalphin devient la première zone

de rencontre de la Ville de Carouge.

Mise en place de la zone 20 dans le Vieux–Carouge

Bienvenue dans votre nouvelle zone de rencontre ! Inscrites dans l'esprit du développement durable et afi n de modérer le trafi c à l'intérieur des localités, ces zones ont pour objectif d'améliorer la sécurité routière et la qualité de vie des habitants.

UNE RÉGLEMENTATION FÉDÉRALE

Selon la réglementation fédérale, une zone de rencontre désigne les routes situées dans des quartiers résidentiels ou commerciaux où la vitesse est limitée à 20 km/h, pour une plus grande sécurité. Les trottoirs ont été supprimés, et les piétons sont prioritaires sur

toute l'aire de circulation, même si ce n'est pas une rue piétonne. Les voitures roulent au pas.

INFORMER LES USAGERS DE LA ROUTE

Pour que l'espace public puisse être partagé en toute sérénité, chacun doit y trouver sa place. C'est dans cet objectif qu'une vaste campagne de sensibilisation a été lancée au mois d'octobre par la Ville de Carouge ; vous avez pu découvrir une soixantaine d'orifl ammes posées dans le secteur Jacques-Dalphin rappelant à tous les usagers que le piéton y est prioritaire. La police municipale y a également mené un

travail de sensibilisation en distri-buant des papillons directement sur place. Parallèlement, une plaquette explicative a été envoyée à tous les ménages de la commune.Nous vous remercions d'en avoir pris connaissance et de suivre attentive-ment ces quelques règles pour concou-rir au succès de ces zones de ren-contre.

La patinoire publique de la Ville de Carouge ouvrira ses portes le dernier week-end de novembre jusqu’au dernier week-end de février.

De nouveaux espaces conviviaux et chaleureux seront spécialement créés à cette occasion. Des paires de patins

vous seront proposées en accès libre et vous aurez également la possibilité de vous restaurer sur place.

Des animations ponctuelles égrène-ront la saison, afi n que la patinoire publique de notre commune joue plei-nement son rôle de lieu de rencontre,

tout en favorisant l'activité sportive indispensable à notre bien-être.

L'accès à la patinoire sera évidem-ment gratuit. Vous pouvez trouver des informations complémentaires – et notamment les heures d’ouver-ture – sur www.carouge.ch

patinoire publique La place de Sardaigne sous la glace !Petits et grands pourront, une nouvelle fois, partager les

plaisirs de la glisse durant l'hiver, tout en profi tant de

nouvelles infrastructures.

1515

c a r o u g e o f f i c i e l v o t r e c o m m u n e a g i t

info chantiersLe génie civil à votre service

EN ROUTE VERS UN RÉSEAU VERT !

Depuis juin 2008, la Ville de Carouge met un place un amé-nagement cyclable pour que vous puissiez profi ter de la petite reine en toute sécurité.

Sur les 7 kilomètres initialement prévus, 6 ont déjà vu le jour. Profi tez de l'infrastructure mise en place et pédalez sereinement sur les six iti-néraires que vous pouvez découvrir sur la carte ci-dessous. Sur les diffé-rents tronçons ont été aménagés des

compléments de bandes cyclables, des surfaces colorées, des stationnements vélos ou encore des sas vélos.

– Itinéraire Promenades 1 : aménagement et complément de bandes cyclables, de surfaces colorées, de stationnement vélos et de sas vélos au

carrefour Vibert.

– Itinéraire 2 : en devenir.

– Itinéraire Veyrier 3 : aménagement de bandes cyclables dans les deux sens de la circulation.

– Itinéraire Cardinal-Mermillod 4 : aménagement de bandes cyclables, de sas vélos aux carrefours Fontenette et place de l'Octroi.

– Itinéraire Etoile 5 : aménagement de bandes cyclables dans les deux sens de la circulation du P+R Etoile au giratoire Alexandre-Gavard,

suppression de la ligne médiane sur l'entier de l'avenue et marquage de quelques pictogrammes de rappel 30 km/h.

– Itinéraire stade 6 : sur la contre-route Vibert, mise en place de pictogrammes cyclables au centre de la chaussée. Sur l'avenue Vibert,

aménagement d'une bande cyclable et de sas vélos au carrefour Promenades.

1616

agenda 21

Afi n d'encourager une mobilité rapide, économique et durable, la Ville de Carouge a le

plaisir, dans le cadre de son Agenda 21, de vous proposer plusieurs offres alléchantes !

se déplacer à petits prix !

20 COURS ECO-DRIVE GRATUITS (D'UNE VALEUR DE 180 FRANCS

POUR LES MEMBRES DU TCS ET DE 220 FRANCS POUR LES NON-MEMBRES)

Offre promotionnelle du 1er au 11 novembre 2010

20 ABONNEMENTS D'ESSAI GRATUITS DE 4 MOIS À MOBILITY

(D'UNE VALEUR DE 70 FRANCS)

Offre promotionnelle du 1er au 11 novembre 2010

Eco-Drive® est un style de conduite innovant grâce auquel on peut éco-nomiser au moins 10 % de carbu-rant, on préserve l’environnement et on se déplace de manière plus sûre. Cours en 2011 possibles.

Comment souscrire à cette offre :– du 1er au 5 novembre 2010, par

téléphone au 022 307 89 60 ou par courriel à [email protected], en indiquant vos coordonnées (nom,

prénom, adresse, téléphone et année de naissance);

– du 8 au 11 novembre 2010, en personne, à la Maison Delafontaine, rue Jacques-Dalphin 24, Salle des commis-sions, 2e étage, de 8 h à 12 h, avec une pièce d'identité.

L'offre est limitée aux 20 premiers habitants inscrits.

La Ville de Carouge vous encou-rage vivement à saisir ces offres qui contribueront également, nous en sommes convaincus, à préserver l'environnement et à fl uidifi er la cir-culation dans notre commune.

La vie actuelle exige mobilité et fl exibilité. Cela ne signifi e pas qu'il faille nécessairement avoir sa propre voiture. L'autopartage permet de disposer, 24 heures sur 24, d'une voiture en libre service, en bénéfi -ciant de tous ses avantages, sans en supporter les inconvénients fi nan-ciers. Expérimentez, vous aussi, cette nouvelle façon de conduire.

Comment souscrire à cette offre :– du 1er au 5 novembre 2010, par

téléphone au 022 307 89 60 ou par courriel à [email protected], en indiquant vos coordonnées (nom, prénom, adresse, téléphone et année de naissance);

– du 8 au 11 novembre 2010, en personne, à la Maison Delafontaine, rue Jacques-

Dalphin 24, Salle des commis-sions, 2e étage, de 8 h à 12 h, avec une pièce d'identité.

L'offre est limitée aux 20 premiers habitants inscrits.

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c a r o u g e o f f i c i e l a g e n d a 2 1

CONSEIL EN MOBILITÉ ET KIT D'ESSAI GRATUIT

Offre du 1er novembre au 31 décembre 2010

100 FRANCS DE RÉDUCTION SUR LES ABONNEMENTS ANNUELS UNIRESO !

Offre promotionnelle du 1er au 11 novembre 2010

Pour la troisième année consécutive, la Ville de Carouge et unireso ont le plaisir de vous proposer une réduc-tion de 100 francs sur l'achat d'un abonnement annuel unireso junior, adulte ou sénior «Tout Genève».

L'offre est limitée aux 70 premières inscriptions pour les nouveaux abonnés et aux 120 premières ins-criptions pour les renouvellements. Attention ! Ceux qui ont déjà bénéfi cié de cette offre en 2009 ne seront pas prioritaires (sur liste d'attente).

L'abonnement sera valable pour une année avec une date de validité choisie avant le 11 décembre 2010.

Sont considérés comme nouveaux abonnés annuels, tous les habi-tants de Carouge ne possédant pas d'abonnement annuel en cours de validité, cinq mois précédant le

début de la validité de l'abonnement proposé, soit depuis le 11 juillet 2010. Les détenteurs actuels d'abon-nements mensuels peuvent sans restriction bénéfi cier de cette offre promotionnelle.

Pour souscrire à cette offre, il vous suffi t de vous présenter à la Maison Delafontaine, rue Jacques-Dalphin 24, Salle des commissions, 2e étage, avec une pièce d'identité, et ce, entre le 8 et le 11 novembre 2010, de 8 h à 12 h.

Il vous sera remis un bon de réduction à faire valoir dans une agence TPG (Rive, Cornavin ou Bachet) du 1er au 30 novembre 2010. Entre le 1er et 5 novembre, il sera possible de vous préinscrire sur www.carouge.ch

Afi n d’éviter la cyberexclusion, seul un tiers des inscriptions pourra se faire par ce biais.

CATÉGORIE TARIF NORMAL TARIF FORFAITAIRE

D'ABONNEMENT (JUSQU’AU 11.12.2010) DU 1er AU 11 NOVEMBRE 2010

Abonnement junior* 450 fr. 350 fr.

Abonnement adulte* 650 fr. 550 fr.

Abonnement sénior* 450 fr. 350 fr.

*Rabais non cumulable et abonnement non remboursable.

Connaissez-vous… …les «P+B», Parc + Bicyclette à Genève-Plage et à l'Etoile, permet-tant de parquer sa voiture et de sauter sur son vélo ?…les soutiens existant à l'achat d'un vélo électrique ?…les nouveaux itinéraires pour les vélos ?

La Ville de Carouge propose à ses habitants et aux personnes tra-vaillant à Carouge un entretien personnalisé gratuit, afi n de décou-

vrir leurs meilleures opportunités de déplacement.

A l'issue de cet entretien, un petit rapport et un kit d'essai correspon-dant à votre(vos) moyen(s) de trans-port à privilégier (documentation, bon d'achat pour un accessoire vélo, cart@bonus, bon pour un cours Eco-Drive, etc.) vous seront remis !

Prenez sans plus tarder contact avec le partenaire Mobilidée, pour convenir d’un lieu et d'une date de rendez-vous

qui vous siéraient le mieux.022 321 23 77 ou [email protected]

1818

iPhoneVous cherchez le meilleur moyen d'être au courant de tout ce qui se passe dans votre ville ? Alors, n'hésitez pas à télécharger l'application gratuite Ville de Carouge sur l'Apple Store ! Cette application est également disponible pour l'iPhone 4.

Votre page Facebook de Carouge offi ciel : un succès grandissant !Vous êtes plus de 800 internautes à aimer la page Facebook de Carouge offi ciel ! Un grand merci à vous. Mais n'oubliez pas : cette page est également la vôtre. N'hésitez pas à y inscrire vos commentaires.

Découvrez les archives de votre ville !Après avoir numérisé les procès-verbaux des délibérations municipales de Lancy-Carouge, de 1760 à 1785, la Ville de Carouge vous propose de découvrir la suite de ses archives. Un CD regroupant les délibérations municipales de Carouge de 1785 à 1792 est actuellement en vente au Musée. Ne manquez pas cette occasion de découvrir l'histoire de votre cité !

Les piscines vous informentUn tout nouveau dépliant vous attend à l'entrée de la piscine des Pervenches. Vous y trouverez un grand nombre d'informations importantes, telles que les horaires, les installations, les tarifs ou les activités. N'hésitez pas à vous servir !

les brèves

Tombes échues Les personnes ayant des parents inhumés au cimetière de Carouge en 1990, ainsi que celles possédant des concessions arrivées à terme en 2010, sont informées de leur échéance.

Les demandes de renouvelle-ment sont à adresser, par écrit, à la Mairie de Carouge,

place du Marché 14, 1227 Carouge, jusqu'au 31 janvier 2011.

Les monuments et entourages des tombes non renouvelées devront être enlevés d'ici au 1er février 2011 au plus tard. Passé ce délai, la commune en prendra possession et en disposera.

1919

VIDÉOSURVEILLANCE : 12 CAMÉRAS

DEMANDÉES, 17 OBTENUES

Après le débat public organisé, la veille, par la Commune et huit séances de la commission de la sécurité, la pose de caméras de surveillance – demandée par la motion du PDC du 22 janvier 2009 et soutenue par ses partenaires de l’Entente – a donné lieu à un ultime débat ainsi qu’au dépôt de six amendements. Au fi nal, la pro-position, issue de la majorité du Conseil administratif et prévoyant d’installer des caméras, amendée (rajout de cinq caméras supplé-mentaires aux 12 prévues) a été acceptée de justesse, par 15 oui, 13 non et 1 abstention pour un coût total de 425 000 francs. Un résultat obtenu grâce au soutien apporté au texte par les deux élus du Parti du travail et à l’abstention du socia-liste Pierre Baertschi.

Les différents partis s’étant exprimé de nombreuses fois sur ce sujet, les positions étaient connues. Nécessité de se doter d’un outil complémentaire aux autres mesures prises – et déjà présent dans les banques, trams et grands magasins – pour lutter non seule-ment contre le sentiment d’insé-curité, mais aussi des incivilités et infractions avérées, pour l’En-tente et l’UDC. Refus de mettre en danger des libertés fondamen-

tales avec une technologie ina-déquate, voire ineffi cace, afi n de remédier aux faits dénoncés, pour l’Alternative qui s’insurge contre une stigmatisation des jeunes et privilégie un renforcement de la police de proximité. Pour l’Alterna-tive, en théorie majoritaire, c’était plutôt un baroud d’honneur, tant le résultat du vote, bien que serré, semblait acquis d’avance.

LES AMENDEMENTS

Le groupe radical a ouvert les feux avec un amendement prévoyant l’installation de cinq caméras de vidéosurveillance supplémen-taires dans le quartier des Tours (15 oui, 13 non, 1 abstention), avant d’en rédiger un second, chiffrant le coût de sa demande (125 000 francs), qui a été accepté par 15 oui, 12 non et 2 abstentions. Les formations de l’Alternative, sans le Parti du travail, ont suivi en un déposant trois : un exigeant que, pour chaque caméra installée, un policier municipal ou un tra-vailleur hors les murs soit engagé (14 non, 10 oui, 4 abstentions) ; un autre pour limiter le fonctionne-ment des caméras entre minuit et 6 heures du matin (15 non, 9 oui, 4 abstentions) ; le dernier demandant qu’un bilan soit fait une année après leur entrée en fonction sur la base des données des infractions constatées dans

les zones fi lmées, leur comparai-son avec les statistiques établies avant la pose des caméras et le nombre de fois où il a été recouru au «défl outage» des images (15 oui contre 14 non). L’amendement des Verts exigeant que le règlement défi nissant les conditions d’utili-sation des caméras soit soumis au Conseil municipal avant leur pose a été refusé par 14 non, 13 oui et 2 abstentions.

LES ZONES COUVERTES

Si l’on excepte les cinq caméras supplémentaires votées destinées au secteur des Tours de Carouge, dont l’implantation reste encore à défi nir, les douze autres se répar-tiront de la manière suivante : soit place de l’Octroi (1), avenue Cardinal-Mermillod direction place de l’Octroi (2), avenue Cardinal-Mermillod direction rue Vautier (3), place du Marché direction rue Vautier (4), place du Marché direc-tion côté pair de la place (5), place du Marché direction côté impair de la place (6), place du Temple direction fi n de la rue Saint-Joseph (7), place du Temple direction rue Roi-Victor-Amé (8), place du Temple (9), place du Temple direc-tion début de la rue Saint-Joseph (10), Rondeau de Carouge direction route de Saint-Julien (11) et route de Saint-Julien direction Rondeau de Carouge (12).

votre conseil municipal

Conseil municipal du

16 septembre 2010

2020

v o t r e c o n s e i l m u n i c i p a l c a r o u g e o f f i c i e l

AUTRES VOTES ET DÉCISIONS PRISES

LORS DE LA SÉANCE

Dans le cadre de la procédure d’arbitrage destinée à régler le confl it opposant la Commune au Canton et aux CFF sur la question du passage du CEVA en tunnel sous le bâtiment du Service travaux voirie et envi-ronnement, plutôt qu’en tranchée couverte, le conseiller admi-nistratif et maire, Marc Nobs, a informé le Conseil municipal que l’ingénieur mandaté avait préavisé favorablement l’option du tunnel.

Le Conseil municipal a accepté, à l’unanimité et sans renvoi en commission, un crédit de 122 000 francs destiné à l’actua-

lisation du «Plan de la Ville de Carouge», en rupture de stock, à la réalisation d’une carte des mobilités ainsi qu’au développe-ment d’une signalétique harmo-nisée des bâtiments communaux. Il a de la même manière accepté la proposition du Conseil admi-nistratif de remplacer, pour un montant de 500 000 francs, un véhicule de la Compagnie des sapeurs-pompiers de Carouge, âgé de trente-six ans déjà.

Le Conseil municipal a, par ailleurs, voté à l’unanimité la proposition du Conseil admi-nistratif relative à l’ouverture d’un crédit de construction de 23 millions pour la réalisation du demi-groupe scolaire de la

Vigne-Rouge situé à Grange-Collomb, non sans avoir obtenu préalablement l’implantation de jeux et d’arbres dans la cour de récréation.

Les conseillers municipaux ont également accepté, toujours à l’unanimité et sans renvoi en commission, l’acquisition de la patinoire saisonnière de 600 m2, installée ces deux dernières années à la place de Sardaigne et jusque-là louée, pour une somme de 281 000 francs, ainsi que l’octroi d’une aide extraordinaire de 20 000 francs en faveur de la Croix-Rouge pour son aide d’ur-gence aux victimes des inonda-tions au Pakistan.

PROCHAINES SÉANCES DU

CONSEIL MUNICIPAL

Les jeudis 11 novembre et

16 décembre 2010 et le jeudi

20 janvier 2011, à 18 h 30

Maison Delafontaine

Rue Jacques-Dalphin 24,

2e étage

Séances ouvertes au public

2121

zanco

q DÉTACHEZ LA PAGE CENTRALE ET CONSERVEZ LE POSTER DU RUN TO RUN !

l a p a g e c e n t r a l e

2222

grange-collombportes ouvertes

l a p a g e c e n t r a l e

2525

la parole aux partis

Ces textes sont placés sous la responsabilité de leurs auteurs et n’engagent pas la Ville de Carouge.

STÉPHANIE LAMMAR EST LA CANDIDATE DU PARTI SOCIALISTE

CAROUGEOIS À L'ÉLECTION AU CONSEIL ADMINISTRATIF

Lors de son assemblée du 23 juin dernier, les membres du

Parti socialiste carougeois ont désigné Stéphanie Lammar,

actuelle présidente du Conseil municipal, comme candidate à

l'élection au Conseil administratif en avril 2011.

Une candidate engagée !

Agée de 31 ans, Stéphanie Lammar siège

depuis 2003 au Conseil municipal de Carouge

où elle a été brillamment réélue en 2007.

Elle en est la présidente depuis le 1er juin

2010. Elle exerce aujourd'hui la profession

d'avocate dans une étude spécialisée dans la

défense des travailleuses et des travailleurs.

Elle est donc directement confrontée aux problèmes quotidiens

que rencontre la population : litiges du travail, mobbing, licen-

ciement, accès aux assurances sociales, pénurie de logements,

résiliation de bail, loyers abusifs. Engagée en politique de longue

date, elle a été membre du comité directeur du Parti socialiste

durant huit ans et également membre du comité de l’Association

des juristes progressistes et du comité de l’Asloca. Elle est égale-

ment membre de diverses sociétés carougeoises.

Une enfant de Carouge !

Stéphanie Lammar a toujours habité la commune et est par-

ticulièrement attachée à sa ville qui a la particularité de

regrouper à la fois les enjeux d’une grande cité et une certaine

convivialité villageoise. Elle rêve d’une commune qui se

développe, tout en conservant cette atmosphère populaire et

chaleureuse. C’est la qualité de vie des Carougeoises et des

Carougeois qu’il faut conserver et améliorer. Consciente des

enjeux importants pour une ville telle que Carouge : amé-

nagement de nouveaux quartiers (Fontenette, Menuisiers,

Tambourine-Drize), implications engendrées au niveau social,

problèmes de logement, de sécurité, inquiétudes des personnes

âgées et des jeunes, elle s'engagera sans relâche au Conseil

administratif pour mettre en place une politique en faveur des

Carougeoises et Carougeois. Prenez contact avec Stéphanie Lammar via notre site

internet : www.ps-carouge.ch

Vos socialistes carougeois

q WWW.PS-CAROUGE.CH

QUEL AVENIR POUR NOTRE TAXE PROFESSIONNELLE

COMMUNALE ?

Incertain ! Pour le moins… En effet, le Conseil d’Etat, lors du

discours de législature de Saint-Pierre, confi rmait clairement

une volonté visant à faire disparaître cet impôt napoléonien à

bout de souffl e et plus du tout actuel ! Cet impôt a la particu-

larité de pénaliser l’emploi, en prévoyant la perception d’une

taxe de 10 francs par collaborateur. En période où les deman-

deurs d’emploi sont nombreux, ce n’est certainement pas la

meilleure formule. Les deux autres principaux critères pour la

taxation sont le chiffre d’affaires (et non la marge) et le loyer

payé par l’entreprise pour ses locaux.

Vous le conviendrez, ces critères ne sont plus d’actualité

et c’est certainement pour ces raisons que nous sommes le

dernier canton suisse à utiliser cette taxe professionnelle com-

munale (TPC). Financièrement, pour notre ville, nos derniers

comptes font apparaitre sur la ligne comptable «taxe profes-

sionnelle communale» un montant d’environ

17 millions, représentant 20 % des nos recettes fi scales.

Ces différents éléments nous conduisent aux conclusions

suivantes :

– Depuis 2007, l’excédent de nos comptes est à chaque fois

supérieur au montant encaissé de la TPC. En conséquence,

depuis 2007, la suppression de la TPC n’aurait en aucun cas

mis en péril les fi nances communales.

– A chaque fois que nos fi nances nous le permettent, nous

essayons, depuis le début de 2000, d’affecter notre excédent

de recettes en remboursement de notre dette communale.

Notre dette est passée de 90 millions en 1999 à 30 millions,

estimée pour la fi n de 2010.

Fort de ces constats, vous comprendrez aisément que la sup-

pression de la TPC n’aura pas de conséquences directes sur

notre budget de fonctionnement. En conclusion, nous consi-

dérons que cette taxe peut raisonnablement disparaître.

Toutefois, il est évident qu’une discussion doit avoir lieu pour

savoir comment tout ou partie de ces recettes devra être

compensée.

L’association radicale de Carouge

q WWW.RADICAL-CAROUGE.CH

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Ces textes sont placés sous la responsabilité de leurs auteurs et n’engagent pas la Ville de Carouge.

l a p a r o l e a u x p a r t i s

VERS UNE ÉCONOMIE RESPONSABLE

L'essor que connaît actuellement l’économie sociale et solidaire prouve qu’il est possible de concilier une démarche entrepreneuriale avec une responsabilité sociale et écologique. Selon le dernier recensement publié en septembre 20101, elle représente déjà 10 % des emplois à Genève et possède un potentiel très promet-teur. Il ne s'agit donc pas d'une lubie verte, mais bien d'une nouvelle forme d'organisation économique qui permet de réconcilier nos valeurs humanistes héritées des Lumières avec un système économique respectueux de la libre entreprise.

Car elle a pour caractéristique de placer l'être humain au centre de ses initiatives et de ses pratiques écono-miques. Elle repose sur des dynamiques participa-tives et démocratiques basées sur le respect de critères éthiques, sociaux et écologiques. Ses activités combi-nent l'engagement social à l'initiative économique.

L’économie sociale et solidaire est déjà bien présente à Carouge où de nombreux commerçants et entrepre-neurs ont fait le choix d’un engagement économique durable. Qu'il s'agisse d’entreprises classiques, de coopératives, de fondations ou encore d’associations, nous devons soutenir leur engagement.

C’est pourquoi Les Verts souhaitent que la Ville de Carouge attribue en priorité des mandats aux entre-prises ayant fait le choix de la responsabilité sociale et écologique, tout en encourageant l’installation et le maintien de commerces de proximité.

Nicolas Walder

q WWW.VERTS-CAROUGE.CH

MIRSE VINI NË CAROUGE !

BIENVENUE CHEZ NOUS !

Vous êtes venus pour travailler, fuir la guerre en Kosovo, essayer de vivre mieux : bienvenue chez nous ! Dibran, Xénète, Musa, Nazife : nous sommes fi ers de vous compter (tout bientôt) parmi nos nouveaux citoyens carougeois. Un simple papier, un permis B, vous permet maintenant de circuler, de chasser vos angoisses et vos peurs quotidiennes, de construire une vie digne de ce nom. Les pizzas servies par Musa n’ont plus le goût de l’angoisse : elles sentent bon le Kosovo, la tomate, les champignons et le bonheur. Demandez les nouvelles pizzas Selimi ! Elles sont simplement délicieuses.Nazife reprend le chemin de Camarada pour perfection-ner son français et chercher du travail. Et Dibran ainsi que Xénète celui de l’Ecole des Pervenches avec fi erté et sérénité : ils ressemblent main-

tenant à tous les autres écoliers du quartier.Le parcours, pour vous accueillir a été long et extraor-dinaire. Il a fallu dénoncer, déjouer des lois iniques et scélérates qui vous

refusaient. Il a fallu se mobilier, s’indigner, pétitionner, ameuter la presse, les autorités communales, cantonales et fédérales : toutes se sont indignées, et la Confédération a reculé.«Après vingt ans, il devrait y avoir prescription.» «Il travaille ici depuis vingt ans, paie ses impôts, parle le français, la famille est intégrée, c’est absurde de les renvoyer», répondait la population indignée.Oui, c’était absurde de les renvoyer ! Oui, il faut changer ces lois blochériennes ! Bravo et merci à celles et ceux qui ont signé pour les Selimi, ont lutté avec eux, à celles et ceux qui n’accepteront jamais l’inacceptable !Et que cet élan de solidarité ne s’arrête jamais !Personne n’est illégal !

Henriette Stebler

q WWW.AGT-CAROUGE.CH

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l a p a r o l e a u x p a r t i s

CAROUGE MARTYRISÉ... MAIS CAROUGE BIENTÔT LIBÉRÉ !!!Notre belle ville, transformée en un affreux bourbier, dont le

résultat est presque pire que le chantier lui-même !

La suppression des trottoirs est une hérésie en soi ou inter-

dire totalement les véhicules au centre, sans aucun passe-

droit, pas comme les rues Basses devenues un vrai parking à

ciel ouvert, et vous verrez les clients quitter les lieux suivis de

près par les commerçants. C'est ce qui arrive quand on fait les

choses à moitié, à moins d'améliorer les TPG, ce qui est loin

d'être gagné, vu le pain qu'ils ont sur la planche.

Sous prétexte de faire de notre commune la reine de la

mobilité, on crée de véritables pièges à enfants. Car, même à

20 km/h, un véhicule d'une tonne sur un bambin de 25 kg, on

connaît d'avance le bilan !

Peindre des lignes par terre... en voilà une idée qu'elle est pas

bonne ! Les voitures ne sont pas foutues de se garer dedans

quand les rues sont nettes, attendez les feuilles mortes suivies

par la neige, et, que très rapidement, les pneus transforment

ces traits de peinture blanche en traces grisâtres et noires,

pour qu'enfi n, le parking sauvage reprenne de plus belle !

Que dire encore de ces horribles potences noires et sinistres

qui affublent la place de la raie manta, elle-même «cimetièri-

sée» par cette stèle tombale, cernée de gravier qui, collé aux

godasses, détruit les parquets carougeois, sans oublier le côté

«verdure» où certains arbres crèvent, faute d'avoir l'impression

d'être dans la nature ! Pour rire, on dit qu'il faut construire les

villes à la campagne, mais, là, on bétonne le peu de verdure

restante pour la planter dans des immondes «pots» de béton

gris. On parle de l'entretien ? Euh… non, non !

Rappelons que le massacre a commencé par la rue de la

Débridée où non seulement les trottoirs mesurent 10 mètres de

large et où les bus TPG ne peuvent pas se croiser !

Il y a tellement à dire et surtout à faire...

Ne restez pas sur le quai... prenez le train UDC, venez vous

exprimer à nos côtés et faire entendre vos voix. Adhérer à

l'UDC Carouge, c'est redonner la parole aux citoyens. C'est

montrer aux autorités en place qu'on ne peut pas tout se

permettre.

Envoyez vos coordonnées à UDC Carouge, case postale 1567,

1227 Carouge, ou par courriel à [email protected].

Réponse assurée, paroles entendues.

Michel Baud, président

q WWW.UDC-GE.CH

Ces textes sont placés sous la responsabilité de leurs auteurs et n’engagent pas la Ville de Carouge.

LA VIDÉOSURVEILLANCE

Enfi n, après plus de dix-huit mois de palabres, les Carougeoises et les Carougeois ont enfi n une vidéosur-veillance. Il aura fallu toute la pugnacité et la persé-vérance de notre conseiller administratif, Jean-Pierre Aebi, pour que Carouge se dote des moyens nécessaires, permettant de lutter contre les incivilités qui empoi-sonnent la vie de nos concitoyens. L’Alternative, ayant usé et abusé de tous les moyens démocratiques mis à sa disposition, n’aura pas réussi à faire capoter le projet. Elle, qui se dit toujours à l’écoute des préoccupations des habitants, aura, cette fois, fait la sourde oreille. Il y a bien eu un sursaut des élus du Parti du travail pour seconder la droite carougeoise, mais que dire des socia-listes, gênés aux entournures, avec leurs valses-hési-tations, d’A Gauche toute ! et, surtout, des Verts qui, toujours prompts à mettre en avant la sécurité pour vider Carouge de ses automobiles, ferment les yeux lorsqu’il s’agit de parler de sécurité tout court. En effet, se faire agresser physiquement ou par les nuisances sonores, risquer de périr dans un incendie volontaire, sont autant de faits qui, non seulement entretiennent le sentiment d’insécurité, mais encore mettent en danger la vie de nos concitoyens. Cela les libéraux, en parti-culier, et toute la droite carougeoise unie pour l’occa-sion, en général, l’ont heureusement compris : il suffi sait d’être à l’écoute des habitants pour se rendre compte du ras-le-bol général ou de venir assister aux deux débats publics qui ont permis à la population d’expri-mer son désarroi face aux incivilités qui vont croissant dans notre ville. Contrairement aux propos fallacieux de la gauche carougeoise, nous ne voulons pas cibler les jeunes, mais, au contraire, traquer tous les désordres qui empoisonnent notre quotidien, cela afi n de per-mettre aux gens civilisés de se côtoyer librement et en toute sécurité, comme c’était le cas il n’y a pas si long-temps dans notre commune. D’ailleurs, les jeunes l’ont bien compris, puisque, a contrario de l’Alternative, la vidéosurveillance ne les inquiète pas, pas plus qu’elle n’inquiète les libéraux qui sont convaincus que c’est le seul moyen de redonner une certaine liberté aux per-sonnes, tout en leur assurant la sécurité, et non pas de lui en enlever, comme le prétendent certains.

q WWW.LIBERAL-CAROUGE.CH

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L'exposition Trésors de la faïence fi ne, en 2007, explorait les débuts de la manufacture de faïence carougeoise, au tout début du XIXe siècle. Quatre-vingts ans plus tard, la faïencerie fonc-tionne toujours et appartient encore à la famille Baylon, qui l'a dirigée plusieurs générations durant. Mais, en 1880, l'entre-prise change de mains. Elle est

rachetée par Honoré Picolas, issu d'une famille de faïenciers, dont le grand-père fut l'un des premiers ouvriers de Baylon. Associé tout d'abord et brièvement à Jacques Neuschwander, il trouve ensuite

en Charles Degrange un associé dynamique et entreprenant. Attiré par la politique (il sera maire et député au Grand Conseil), Picolas quitte la direction de la faïence-rie en 1885, laissant les rênes à Charles Degrange qui la fera pros-pérer et entrer dans l'ère moderne. Mais atteint dans sa santé, il sera contraint de cesser ses activités à la fi n de l'année 1903. Durant cette vingtaine d'années, la faïencerie élargit sa produc-tion et renouvelle les décors. Si les services de table et les services de toilette constituent toujours l'essentiel, ils portent mainte-nant de jolis motifs imprimés en couleurs, de fl eurs et d'oiseaux. On assiste à l'apparition des assiettes commémoratives et publicitaires et, surtout, à celle des grands panneaux peints de bouquets ou de paysages, très admirés lors de l'Exposition nationale suisse de Genève en 1896 et qui portèrent la renommée de la manufacture carougeoise bien au-delà des fron-tières suisses.

Les manufactures de faïence Picolas et Degrange – entre tradition et modernité (1880-1903)

MUSÉE DE CAROUGE

Place de Sardaigne 2

1227 Carouge

022 342 33 83

[email protected]

www.carouge.ch

Entrée libre

Du mardi au dimanche : 14 h – 18 h

(lundi fermé et du 24 décembre 2010

au 3 janvier 2011)

zone de culture

Exposition du 23 novembre 2010

au 6 février 2011

Visites commentées

publiques et gratuites

les jeudis 9 décembre 2010 et

13 janvier 2011, 18 h 30

Ateliers pour enfants

Mercredi 15 décembre, 14 h – 15 h 30,

et mercredi 22 décembre, 10 h – 11 h 30,

sur inscription

2929

CHARLOTTE MÜLLER PERRIER, VINCENT

GAY-BALMAZ, MARCELO GIANNINI,

QUATUOR SINE NOMINE, CATHERINE ROY

Programme

Jean-Sébastien BachConcerto pour hautbois, cordes et basse continue en la majeur BWV 1055(allegro) – larghetto – allegro ma non tantoConcerto pour clavecin et cordes en ré mineur BWV 1052

Allegro – adagio – allegroCantate BWV 202 : Weichet nur, betrübte Schatten pour soprano, hautbois, cordes et basse continue

Dimanche 14 novembre, 17 h

Temple de Carouge

concerts d'automne 2010QUATUOR SCHUMANN Programme

Gabriel FauréQuatuor pour piano et cordes en sol mineur, op. 45.Allegro molto moderato – allegro molto – adagio non troppo – allegro moltoJohannes Brahms Quatuor pour piano et cordes en la majeur, op. 26

Allegro non troppo – poco adagio – scherzo poco allegro – fi nale allegro

Dimanche 7 novembre, 17 h

Temple de Carouge

LA SOCIÉTÉ DE CHANT SACRÉ DE

GENÈVE ET L'ENSEMBLE INSTRUMENTAL

LES VIOLONS DE LA REINE

Programme

Antoine BlanchardPsaume 127 Beati omnes mis en musique à grand chœur avec symphoniePeter CorneliusRequiem, poème de Fr. Hebbel, pour chœur et orchestreFrançois MartinCantate Domino (ps. 97,) motet à

grand chœur et symphonieJean-Sébastien BachCantate BWV 102 «Herr, Deine Augen sehen nach dem Glauben» pour le 10e dimanche après la Trinité

Dimanche 21 novembre, 17 h

Eglise Sainte-Croix

CONCERT DES LAURÉATS 2009 ET 2010

DE LA BOURSE MARESCOTTI-VILLE DE

CAROUGE

Programme

Timothée Botbol, violoncellisteBrahms – Sonate en mi mineur pour violoncelle et piano, opus 38 Gilles Grimaître, pianisteAndré-François Marescotti – Variations sur un thème de J.-J. Rousseau

Sergueï Prokofi ev – Sonate N° 3Delphine Klockner, chanteuseGiulio Caccini – AmarilliGirolamo Frescobaldi – Canto in stile recitativoHenry Purcell – Music for a whileCharles Gounod – Au rossignolWolfgang Amadeus Mozart – Als LuiseWolfgang Amadeus Mozart – Die BriefeWolfgang Amadeus Mozart – Air de Despina

Zéphyrin Rey-Bellet, violoncellisteSergei RachmaninovSonate pour violoncelle et piano en sol mineur, opus 19Allegro moderato – allegro scherzando – andante

Dimanche 28 novembre, 17 h

Temple de Carouge

3030

z o n e d e c u l t u r e

La restauration des façades, puis du carillon de ce monument fédéral qu'est l'église-patrimoine Sainte-Croix, en à peine une décennie, va largement au-delà d'une apparte-nance confessionnelle, de ses com-posantes, des traditions spirituelles. Pour être de participation majeure à la vie culturelle de la Ville de Carouge, du canton. Et bien au-delà.

La renaissance des orgues histo-riques participe de cet élan. Son histoire mouvementée, attestée dès le début du XIXe siècle, aboutit

aujourd'hui en un joyau d'impor-tance pour le monde musical.

Alliant tradition mécanique ances-trale et modernité dans la conduite de ses 34 jeux. Après des années de dégradation faisant craindre, un temps, sa disparition.

Vif merci pour les aides matérielles de la Fondation Hans Wilsdorf, la Loterie romande, la Banque Pictet & Cie. Sans oublier la Confédération, le canton de Genève, la Ville de Carouge. Et d'autres générosités tous azimuts, conseils avisés, encouragements.

Puissent ces orgues ainsi rétablies en leurs qualités artistiques recon-nues chanter reconnaissance vraie envers ces contributions, anonymes ou non, essentielles à sa réhabilita-tion tant attendue.

Pour la commission des orguesAlex Niering, pilotage de l'œuvre

Renaissance des orgues historiques de l'Eglise Sainte-Croix

INAUGURATION

Dimanche 28 novembre, 10 h,

inauguration des orgues. Avec la

participation du cardinal Georges

Cottier, de Carouge. Un apéritif

suivra la célébration.

Concerts

Les dimanches, à 17 h,

église Sainte-Croix, entrée gratuite

28 novembre

Catherine Gremaud-Babel,

organiste titulaire des orgues de

Sainte-Croix

5 décembre

François Delor, organiste titulaire de

la cathédrale Saint-Pierre

12 décembre

Macelo Giannini, organiste titulaire

du temple protestant de Carouge

19 décembre

Lionel Rogg, éminent organiste

Un livre exhaustif sur les orgues de

Sainte-Croix, avec les nombreuses

illustrations et références à l'histoire

même de Carouge, sera proposé sur

place.

La restauration de l'orgue de l'église de Sainte-Croix

n'aurait pu être possible sans le soutien de la Ville de

Carouge et de ses autres généreux donateurs.

3131

z o n e d e c u l t u r e

la zot compagnie lance sa nouvelle saison dans le nouvel Espace Grange-Collomb !

HIPPOLYTE VEUT LA LUNE

De retour d’un long périple autour de la Terre, le prince Hippolyte déclare à son père, non sans fougue, vouloir aller sur la Lune. Fichtre ! La Lune. Que peut-il bien y avoir

sur la Lune, qui provoque chez un homme un tel engouement ? L’amour d’une belle princesse, pardi ! Incrédule, le roi Pomodor refuse cette nouvelle escapade insensée. Le prince a bien assez voyagé. A son tour d’être roi, maintenant !Amoureux fou, Hippolyte présente alors à son père un argument de taille et de choc… Contre toute attente, le roi est conquis. Il cède. Mieux encore, il fera lui aussi le voyage. Mais comment s’y prendre pour rejoindre les étoiles ?

En ce XIXe siècle, on a certes déjà inventé la machine à vapeur qui roule, mais rien encore qui vole. Qu’importe ! Le savant Méthode

devra mettre au point un engin capable de franchir le ciel et d’alunir. Telle est la volonté du roi !

Vient le jour où les royaux voyageurs s’envolent à bord d’une bien étrange machine à voyager dans l’espace. Commence alors, pour eux, une folle aventure interstellaire…

Du 5 novembre au 6 décembre 2010

Spectacle pour marionnettes à fi ls longsTemps de concentration : 1 fois 45 minutes et 1 fois 30 minutes; un entracteReprésentations samedi, 17 h, dimanche, 11 h et 15 h, et un mercredi sur deux, 15 h.

INFORMATIONS PRATIQUES

Zot Compagnie

Espace Grange-Collomb

Chemin de Grange-Collomb 38

Tram 12, 13, 14, arrêt De-Staël

022 343 96 96

www.zot-compagnie.ch

LE CARNAVAL DES ANIMAUX

Une cheffe d’orchestre – peut-être un peu étrange, vous voilà prévenus – vous accueille et vous propose une promenade – peut-être un peu étrange, vous voilà prévenus – à travers la fantaisie musicale imaginée et composée par Camille Saint-Saëns.

Installez-vous confortablement et écoutez…Vous entendez les chants des oiseaux ?Celui du coucou au fond des bois ?Le rugissement des lions ?Le cocorico du coq ?Les glouglous des poissons ?

Ça y est : la visite a commencé. L’orchestre, les animaux sont prêts, la cheffe d’orchestre lève sa baguette et… il ne manque plus que vous !

Du 29 janvier au 27 février 2011

En reprise exceptionnelleSpectacle pour marionnettes à fi ls longs et masquesTemps de concentration : 45 minutes; sans entracteReprésentations samedi, 15 h et 17 h, dimanche, 11 h et 15 h, et un mercredi sur deux, 14 h 30 et 16 h 30.

3232

z o n e d e c u l t u r e

LA MOUFLE ET COMPAGNIE

Spectacle pour les tout-petits

C'est l’histoire d’une souris. C’est l’histoire d’une souris perdue. C’est l’histoire d’une souris perdue qui trouve un abri, et c’est fi ni ! Comment ça, fi ni ? Mais, pour qu’il y ait une histoire, il faut qu’il y ait un mais...

Attention, places limitées pour cette animation : réser-vation au 022 307 84 01 (entre 15 h et 19 h) ou par courriel: [email protected]

SAMEDI 6 NOVEMBRE 2010

15 H 30 ET 17 H

– Par Catherine Gaillard et Béatrice Graf– Dès 2 ans

La Bibliothèque de Carouge a le plaisir de vous annoncer les prochains

spectacles destinés au jeune public. Dorénavant, les animations auront lieu

à l'Espace Grosselin (rue Jacques-Grosselin 31).

animations jeune public

PREMIERS FLOCONS...

CHUT ! BIENTÔT NOËL...

Contes de Noël

Contes, comptines et jeux de doigts pour chanter l’hiver et attendre Noël, bien emmitoufl és dans un cache-nez.

MERCREDI 15 DÉCEMBRE 2010

14 H 30

– Par Claire Parma– Dès 3 ans

ROUGNOUGNOU EN ROUTE POUR

L'AVENTURE !

Spectacle de marionnettes

Rougnougnou est un petit chaton qui rêve de s'évader de la ferme pour découvrir le monde, mais sa maman pense qu'il est encore trop jeune pour s'aventurer au-delà du portail de la ferme. Un soir, pourtant, sa curiosité le pousse à désobéir...

MERCREDI 19 JANVIER 2011

14 H 30

– Par la Compagnie des 10 doigts– Dès 3 ans

3333

z o n e d e c u l t u r e

INFORMATIONS PRATIQUESPAROLES D'OISEAU

Spectacle musical

C'est un petit oiseau, si petit qu'il se faufi le entre les cordes d'une harpe, entre les lignes, entre les mots. Son épopée le conduit d'instants de gloire en situations périlleuses. Echappera-t-il à la casserole ?

MERCREDI 26 JANVIER 2011

14 H 30

– Par la Compagnie ContaCordes– Julie Sicre à la harpe et aux percussions– Claire Heuwekemeijer aux histoires– Dès 5 ans

Tout le programme 2010-2011

est disponible sur

www.bibliotheque-carouge.ch

Animations gratuites

Sauf mention spéciale, il n'est pas

nécessaire de réserver.

Nous attirons votre attention sur le

fait que les enfants non accompagnés

ou plus jeunes que l’âge indiqué ne

seront pas admis, de même que les

retardataires, afi n de ne gêner ni les

spectateurs ni les artistes. Nous vous

remercions de votre compréhension !

3434

z o n e d e c u l t u r e

PROCHAINS RENDEZ-VOUS

« DES PARENTS ET DES LIVRES»

Beaucoup de parents se posent une multitude de questions concernant l'apprentissage de la lecture. Venez à la rencontre d'autres parents pour échanger et trouver des réponses.

Le tout parsemé d’histoires propo-sées par l’intervenante, Nathalie Athlan. Chacun est libre de parti-ciper au nombre de soirées souhai-tées. Une occasion de rencontrer d’autres parents, de s’étonner, de réfl échir et… de rire.

Calendrier

Jeudi 25 novembre 2010,20 h 30 – 21 h 30Jeudi 27 janvier 2011, 20 h 30 – 21 h 30Jeudi 31 mars 2011, 20 h 30 – 21 h 30

Entrée libre. Accueil dès 20 h 15.Chaque rencontre sera suivie d'une verrée.

Lieu

Bibliothèque de Carouge, boulevard des Promenades 2bis

Renseignements

Nathalie Brönnimann022 307 84 [email protected] www.bibliotheque-carouge.ch

né pour lire... à la Bibliothèque de Carouge !

cinémabio

RENDEZ-VOUS NÉ POUR LIRE

La Bibliothèque propose toujours les

animations d'éveil au livre issues du

projet «Né pour lire». Des rendez-vous

de plaisir et de tendresse à partager

avec votre enfant autour des albums

illustrés mis à votre disposition.

Prochaines rencontres à la

Bibliothèque

Samedi 20 novembre 2010, 16 h – 16 h 45

Vendredi 10 décembre 2010, 10 h – 10 h 45

Samedi 22 janvier 2011, 16 h – 16 h 45

Lieu

Bibliothèque de Carouge, boulevard

des Promenades 2bis

Informations pratiques

Entrée libre

Table à langer à disposition

Pour tout savoir sur

ce projet national

www.nepourlire.ch

on

Envie de regarder un bon fi lm ? Le Cinéma Bio vous propose un pro-gramme varié, adapté à tous les âges. Que vous soyez plutôt «Ciné Sénior» ou «Ciné Prim's», retrouvez dans l'en-cadré tous les fi lms à l'affi che de ces trois prochains mois !

PROGRAMME

Ciné Prim's

Séances à 10 h 30

13 novembre

Viva Cuba, de Juan Carlos Cremata.

27 novembre

Rue Cases-Nègres, de Euzhan Palcy.

11 décembre

Bee Movie Drôle d'abeille, de Simon

J. Smith.

15 janvier

Le cirque, de Charlie Chaplin.

29 janvier

Deux frères, de Jean-Jacques Annaud.

Ciné Sénior

Séances à 14 h

18 novembre

Le petit Nicolas, de Laurent Tirard.

9 décembre

Le concert, de Radu Mihaileanu.

20 janvier

Le hérisson, de Mona Achache.

3535

12e festival hip-hopEn partenariat avec la Ville de Carouge, c'est Plan-les-Ouates qui, cette année, vous invite à décou-vrir de nombreux artistes, dont sa tête d'affi che Youssoupha, rappeur expert de la rime française ! Ce festival est également l'occasion, pour tout un chacun, de découvrir, dans le cadre des ateliers, la danse, le djing ainsi que l'écriture.

PROGRAMMATION

– Youssoupha / France / rap– M.A.M (Terrorisme Mouvement) /

Suisse / rap– Madness Project Feat. Aurélie Djee,

Eriah, Fayc, Ikar, Mr. Bill & DJ Madfunk / Suisse / rap

– «Le Vynile C'était Mieux Avant Show !» par DJ Mesk & DJ SKD

– K-Unique / Suisse / danse– Bryan & Mehdi Pop / Suisse / danse

– Vainqueur du Tremplin Rap– Plan-les-Ouates «New Talents»– Présentation Daz-Ini / France

PHOTOGRAPHIES DE PLATEAU AU

THÉÂTRE DE CAROUGE

Exposition du 15 octobre au 30 novembre 2010Hall du Théâtre de CarougeLundi au vendredi, 10 h – 17 h. Samedi 10 h – 14 h.

Simone Oppliger, photographeBernard Campiche, éditeur

Venez nombreux au

Festival hip-hop

Communes-ikation ce

samedi 20 novembre 2010 !

INFORMATIONS PRATIQUES

12 h - 17 h Ateliers

17 h - 22 h Concerts

Infos & billets

www.communes-ikation.com

Lieu

Salle communale de Plan-les-

Ouates, place des Aviateurs

photos théâtre de Carouge

Youssoupha, rappeur français et tête d'affi che

de cette 12e édition

z o n e d e c u l t u r e

3636

z o n e d e c u l t u r e

grand concours de peinture et de technique mixte 2011

la lyre de carouge

Dans le cadre de son exposition annuelle, du 12 au 20 mars 2011, à la Salle des fêtes, et avec le soutien de la Ville de Carouge, la Palette Carougeoise organise un grand concours de peinture et de technique mixte sur le thème du cirque. Ce concours est ouvert à tous !

Lorsque le pâle soleil d’hiver éclai-rera timidement vos courtes journées, que, emmitoufl és dans des bonnets, écharpes et mitaines, vous affronterez gelées, bise et premiers fl ocons, venez réchauffer vos cœurs aux sons des voix de La Lyre de Carouge qui inter-prétera, à 3, 4 et 5 voix, des chants de la Nativité, anciens et contemporains, empruntés au patrimoine musical de différents pays. Sandrina Palomera

INFORMATIONS PRATIQUES

Délai des inscriptions

30 janvier 2011

Prix

40 francs

Dépôts des œuvres

lundi 28 février

www.palettecarougeoise.chq RETROUVEZ LE RÈGLEMENT DU CONCOURS DANS SA TOTALITÉ SUR WWW.CAROUGE.CH

CONCERTS

Samedi 18 décembre, à 16 h

Eglise Sainte-Croix, Carouge

Contact

Sandrina Palomera,

vice-présidente de

La Lyre de Carouge

079 607 38 09

3737

se chauffer à carougeentre 1917 et 1919

Si la Confédération a été épargnée par les affres directes de la Première Guerre mondiale, il n'est pas moins vrai que la Suisse a été confrontée à de nombreuses restrictions. Nous avions vu (VivreCarouge N° 27) que le manque de charbon et de coke avait été à l'ori-gine du début de l'éclairage électrique de nos rues. La même pénurie de com-bustible – charbon et bois – est la cause de la réapparition de la tourbe comme matière première pour le chauffage des habitations.

Des wagons entiers de tourbe malaxée en provenance de Bavois (plaine de l'Orbe) chargés à Chavornay arrivent à Carouge. Transitant par Cornavin, les wagons sont mis sur des châssis adaptés aux voies étroites de nos trams, puis ils sont acheminés à Carouge, de préférence au Rondeau. Les anciens se souviennent d'avoir vu, dans les rues du Vieux-Carouge actuel, des wagons CFF de grands gabarits.

Le manque de combustible fait donc cruellement défaut et les autorités cantonales, dans un Arrêté, daté du 4 décembre 1917, encouragent les municipalités à prendre des mesures permettant de «couper plus de bois

que n'en prévoit le plan d'aménage-ment». Les craintes se manifestent. La rumeur parle d'abattre les arbres de la Promenade. Aussitôt, une pétition circule demandant aux autorités carougeoises «d'assurer la conserva-tion intégrale de cette merveilleuse avenue, par tous les moyens possibles et, en particulier, par l'étude préalable de ses abords, tout en tenant compte de la transformation futur du quartier l'environnant. L'intérêt que représente à tous égards cette promenade mérite une étude spéciale (…).» Lancée par la Section genevoise de la Société des peintres, sculpteurs et architectes suisses, le 11 février 1918, par son pré-sident, Alexandre Perrier, et son vice-secrétaire, Alexandre Mairet, cette pétition permettra de sauvegarder le boulevard des Promenades.

Dominique Zumkeller, archiviste

Voir Archives communales de Carouge

Dossiers :1406/G 3 ; 1566/F8 ; 1568/G 3

L'été caniculaire russe nous a rappelé que la tourbe brûle bien. Même si son pouvoir

calorifi que n'est pas des meilleurs, il n'empêche que, pendant des siècles, la tourbe a été

utilisée comme combustible, à Carouge comme ailleurs.

Les Promenades à la Belle-Epoque

toute une histoire

3838

Pour préparer la fête, un atelier de création de photophores et de lanternes est ouvert à toutes les familles carougeoises et d'ailleurs. Nous vous accueillons le samedi 4 décembre, de 14 h à 18 h à la Maison de Quartier.

L'Espace de vie enfantine des Grands-Hutins, en collaboration avec la Maison de Quartier de Carouge, propose de vous retrouver le mercredi 8 décembre et d'illuminer ensemble l'obscurité de l'hiver avec des photophores et des lanternes.

décembre s'illumine aux Grands-Hutins Cette année, la traditionnelle Fête des lumières prend

une nouvelle forme et se déroulera sur la place des

Grands-Hutins le 8 décembre 2010, de 17 h 30 à 18 h 30.

à carouge, ça bouge

PROGRAMME

Mercredi 8 décembre

15 h Conte musical africain par

Kara, artiste sénégalais,

et le conteur Yann Diop.

Ce projet est une rencontre entre

les contes, le Khalam, et les chants

traditionnels wolofs et peuls du

Sénégal. A travers ce spectacle,

nous découvrons des personnages

comme Leuk le lièvre, Boukki la

hyène ou encore Mbott le crapaud,

sans oublier Sékou le guerrier,

Adamou le berger et un jeune

épervier impatient.

Prix unique : 8 francs

Tout public : dès 6 ans

17 h 30 Fête des lumières sur

la place des Grands-Hutins.

Vous êtes invités à apporter vos

créations pour illuminer la nuit de

l'hiver !

18 h Spectacle de rue avec

l'Association Balistique : échassiers,

cracheurs de feu et musiciens

illumineront les yeux de chacun.

Puis, une soupe, du pain et du

fromage réchaufferont les ventres.

3939

à c a r o u g e , ç a b o u g e

STAGE DE POTERIE N°1

ados/adultes

5 - 6 novembre

Stage sur le thème des boîtes. Elles seront réalisées avec la technique des plaques et deux tours seront mis à la disposition des initiés.

Ecole de la Tambourine

dès 16 ans, 165 francs

vendredi 5 novembre

18 h 30 – 20 h 30

samedi 6 novembre

9 h 30 – 12 h et 13 h – 17 h 30

STAGE DE LAINE FEUTRÉE

13 - 20 - 27 novembre

Que vous soyez débutants ou que vous ayez une pratique confi rmée, vous êtes les bienvenus à ce stage où vous réaliserez des fl eurs, des sacs et des bijoux.

MQC

dès 8 ans, 135 francs

9 h – 12 h

Peut-être aurons-nous la chance de croiser le père Noël à la MQC...

NOËL DE LA MAISON DE QUARTIER

Vendredi 17 décembre

L’équipe de la MQC vous accueille pour fêter, avec un peu d’avance, la soirée de Noël. Musique, petite restauration et amusement garantis !

MQC

Tout public

17 h 30 – 18 h 30

Plus d'infos sur notre site internet ou par téléphone.

NOVEMBRE: COUP DE PROJECTEUR SUR LES STAGES

PLAN D'ACCÈS

INFORMATIONS PRATIQUES

MAISON DE QUARTIER DE CAROUGE

Rue de la Tambourine 3

1227 Carouge

Tél. 022 308 88 50 – Fax 022 308 88 51

[email protected]

www.mq-carouge.ch

Du lundi au vendredi : 8 h – 12 h et

13 h 30 – 18 h

ERRATUM

Dans l'édition précédente de votre

journal, nous avons omis de vous

annoncer que le grand troc du samedi 6

novembre, proposé par les associations

de parents d’élèves des écoles

Jacques-Dalphin, des Pervenches et

de Montfalcon, de la Tambourine et

l’Association pour l’accueil familial GSO,

a bien lieu aux Halles de la Fonderie,

avenue Cardinal-Mermillod 17-19 à

Carouge.

Vous noterez également que la réception

des articles se fait le vendredi 5

novembre, de 16 h 30 à 19 h. Merci de

votre compréhension.

4040

à c a r o u g e , ç a b o u g e

une invitation à l'évasion20 e Nuit du conte en Suisse, vendredi 12 novembre

De nos jours, on pense souvent que les contes s'adressent en priorité aux enfants. Il n'en est rien. Chacun reçoit les contes au stade où il en est et avec sa propre com-préhension. Ils touchent en effet des sentiments fondamentaux

(jalousie, sentiment d'infériorité, envie de se dépasser…) que nous connaissons à tout âge.

Ne manquez pas cette magnifi que occasion de découvrir, ou de redé-couvrir, la magie des contes.

INFORMATIONS PRATIQUES

Lieu

Salle du Rondeau

Boulevard des Promenades 26,

Carouge

Parking public

place de Sardaigne

Bus 48

arrêt Carouge

Trams 12 et 13

arrêt Rondeau

15 h 00 – 15 h 30

A la croisée des chemins (2-4 ans)

Judith Steiger

15 h 00 – 15 h 45

Au fond du bois (pour les aînés)

Yolande Kaehr et Maude Pochelon

15 h 45 – 16 h 15

A l’orée de la forêt (2-4 ans)

Carole Choisy

16 h 45 – 17 h 30

Au pied du grand chêne (dès 5 ans)

Marilène Cavada et

Marie-Anne Nicole

16 h 45 – 17 h 30

Sur un arbre perché (dès 5 ans)

Béatrice Leresche et Maude

Pochelon

18 h 00 – 18 h 30

Dans la forêt lointaine (dès 6 ans)

Marie-Anne Nicole et Judith Steiger

18 h 45 – 19 h 15

Le coucou m’a dit... (dès 6 ans)

Carole Choisy, Catherine Morel et

Maude Pochelon

20 h 00 – 20 h 30

Bruissements de feuilles

(ados-adultes)

Marilène Cavada et Yolande Kaehr

20 h 45 – 21 h 15

Entre deux branches (ados-adultes)

Béatrice Leresche et Laurence

Sierro-Charlet

21 h 30 – 22 h 15

Les pieds dans la mousse

(ados-adultes)

Marilène Cavada, Carole Choisy,

Yolande Kaehr, Marie-Anne Nicole et

Judith Steiger

PROGRAMME

cité de l'énergie

votre concours

Répondez à la question suivante par courriel à [email protected] d'ici au 26 novembre et gagnez peut-être un chargeur solaire utilisable sur votre télé-phone portable ou votre MP3. Le gagnant sera tiré au sort parmi toutes les bonnes réponses.

Attention ! Seuls les habitants de Carouge peuvent prendre part à ce concours, les membres de l'admi-nistration mis à part. Le gagnant sera averti par courriel par le Service des affaires culturelles et de la communication de la Ville de Carouge et pourra venir retirer son prix à la réception de la Mairie, durant les heures d'ouverture.

Dans le cadre de l'obtention du label «Cité de l'énergie», combien d'actions la Ville de Carouge s'est-elle engagée à entreprendre d'ici à 2012 ?

Réponse du précédent concoursLe prénom de la généreuse donatrice qui a permis la création de la Fondation Bruckner est Charlotte.

Félicitations à Madame Marianne Malis qui a remporté un bon d'une valeur de 50 francs dans un commerce carougeois d'aménagement d'intérieur !

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