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Espoir 1/2013 (Belgique) - « Je chante pour louer Dieu »

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L'Armée du Salut au Concours Eurovision de la chanson. Itv de Christoph Jackob.

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Page 1: Espoir 1/2013 (Belgique) - « Je chante pour louer Dieu »

Foi

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Mensuel de l’Armée du Salut - 123e année - N° 1 - 2013

De la religion à la foi page 3

Des questions lancinantes trouvent des réponses page 4-5

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Pourquoi chantes-tu? Christoph Jakob : Tout

d’abord pour louer Dieu! Ensuite pour montrer que l’Armée du Salut est tou-jours en mouvement tout en restant attachée à ses racines.

Est-ce que tu aurais effectivement pu pren-dre part au concours « Voice of Switzerland » si tu n’avais pas décidé de participer à l’ESC ?

Oui, c’est juste. J’avais déjà passé les premiers castings, mais ne pou-vant faire les deux, j’ai dû me décider. J’avais déjà donné ma parole à l’Ar-mée du Salut – et pour moi le professionnalisme

« Je chante pour louer Dieu »

Christoph Jakob : « … et tu apprendras à ne pas trop te pren-dre au sérieux. »

L’Armée du Salut fait parler d’elle. Non seulement pour son œuvre sociale et spirituelle mais également pour sa participation au Concours Eurovision de la Chanson. Christoph Jakob, chanteur du groupe, prend position.

 Questions : Gabrielle Keller

est étroitement lié à la fiabilité.

Tu as une belle voix, tu es photogénique, pour-quoi précisément l’Ar-mée du Salut?

Merci. L’Armée du Salut est ma patrie spirituelle. Je ne suis pas toujours d’accord sur tout, je me suis même déjà posé la question si je ne serais pas mieux dans une autre communauté. Mais en fin de compte, je veux utili-ser mes dons là où je peux le mieux servir Dieu.

Qu’est-ce qui fait la différence?

L’Armée du Salut est ancrée profondément

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foi

  Point de vue

Quand j’entends : témoignage chrétien, j’ai comme une petite alarme rouge clignotante qui s’al-lume dans ma tête ; et pourquoi donc ? je ne peux pas m’empêcher de faire un amalgame malencon-treux avec un des concepts les plus barbares que je connaisse : le prosélytisme. C’est plus fort que moi, ça me vaut dans le meilleur des cas quelques crispations et de grosses frayeurs. Y a-t-il un psy-chanalyste dans l’avion ?

Et pourtant ma foi chrétienne

Habité d’une extraordinaire présence

est certainement le fondement le plus solide de ma personnalité, le compagnonnage avec le Christ s’intègre le plus naturellement du monde dans mon quotidien. Alors quoi ? Faudrait-il se taire ?

Avez-vous déjà subi la discrétion de quelqu’un qui vient de découvrir un thérapeute miracle ? Ou été assis dans le train à côté d’une jeune fille amoureuse au téléphone ? Vous sou-venez-vous de la joie à l’état pur d’un petit bout de chou qui reçoit un cadeau ? Pour ce que je comprends,

contrairement au prosélytisme qui exerce une pression, voire un chan-tage émotionnel, le témoignage est le débordement de sentiments vécus, d’expériences riches, par-tagés avec respect dans un cadre d’échange naturel. Sans calcul, sans arrière-pensée. L’histoire d’une vie, l’histoire d’un chemin, pas meilleur et pas pire que les autres, mais habité par une extraordinaire pré-sence, rayonnant d’une chaleur qui ne peut que réchauffer le prochain.

 Annelise Bergmann

dans le cœur de beaucoup de gens. Chez nous la foi et l’action sociale sont intimement liées : il n’y a pas d’amour sans action et il n’y a pas

d’action sans amour. Mais parfois je crains que nous nous préoccupions trop de nous-mêmes et perdions de vue que nous sommes sauvés

pour sauver ! Le chemin qui nous y mènera fina-lement importe peu, pourvu que remplissions notre mission !

Qu’est-ce que la foi pour toi ?

Ma foi en Jésus-Christ me fortifie dans chaque situation de ma vie. Bien sûr, il y a aussi des doutes. Mais je les partage en prière avec Jésus. Même quand j’ai l’impression que ça ne va plus du tout, je sais qu’il ne veut que mon bien. J’ai toutes les raisons de lui faire confiance.

Qu’est-ce qu’une conversion à la foi ?

C’est une décision consciente qui a fait

Christoph Jakob : « Fais confiance à Dieu, il ne te déce-vra pas. »

chambouler ma vie. C’est la certi-tude de pouvoir demander pardon à Dieu en tout moment et de pouvoir me fier à lui dans n’importe quelle situation. C’est son amour qui fait de moi une nouvelle créature.

Quand t’es-tu converti ?J’étais gamin, papa et moi fai-

sions du jardinage. Là j’ai remis ma vie entre les mains de Jésus. Bien des années plus tard, je suis devenu soldat de l’Armée du Salut. Ce fut une belle occasion de témoi-gner ma foi envers mon entourage. Aujourd’hui je puis prétendre fer-mement que je peux m’appuyer journellement sur sa grâce.

Tu as l’air de quelqu’un d’heu-reux. Quelle est ta recette ?

Fais confiance à Dieu, il ne te décevra pas. Et une autre devise : Perds la face journellement – ainsi tu restera simple et tu appren-dras à ne pas trop te prendre au sérieux.

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évangile

Dans la Bible

« Saul ne pense qu’à menacer et à faire mourir les disciples du Seigneur. » (…) Saul est en-core sur la route et il approche de Damas. Tout à coup, une lu-mière venue du ciel brille autour de lui. Il tombe par terre et il en-tend une voix qui lui dit : « Saul, Saul, pourquoi est-ce que tu me fais souffrir ? » Il demande : « Seigneur, qui es-tu ? » La voix répond : « Je suis Jésus, c’est moi que tu fais souffrir. Mais relève-toi et entre dans la vil-le, là, on te dira ce que tu dois faire. » Saul se relève, il a les yeux ouverts mais il est aveu-

De la religion à la foi

Saul (de son nom juif qui deviendra Paul, son nom romain, au cours de son ministère) est le modèle d’un homme attaché à sa religion. Il en est même un ardent serviteur puisque, au nom de cette religion, il pourchasse les gens qui ont choisi de suivre l’enseignement de Jésus, le Christ rejeté par sa propre religion. Saul se sent investi pour défendre sa religion qui représente la Loi, celle de Moïse, appliquée dans le pays d’Israël. Il le fait apparem-ment plus par sens civique que par conviction spirituelle. Mais cela n’est pas dans le plan de Dieu. Le plan de Dieu, c’est le salut des hommes par la grâce du sacrifice de son Fils Jésus. Ce salut doit être annoncé à tous les peuples et pour cela, Dieu a besoin d’hom-mes forts, intelligents et vaillants comme l’est Saul. C’est pourquoi

Jésus fait appel à lui avec une force qui va jusqu’à le terrasser et lui faire perdre momentané-ment la vue. Et le miracle se produit. Saul est touché au plus profond de lui-même par l’Esprit saint. D’homme de religion, il devien-dra homme de foi. Une foi qu’il saura communiquer aux milliers de gens qu’il rencontrera au cours de ses voyages mis-sionnaires, aux Egli-ses qui se constitueront par son ministère d’évangéliste et au tra-vers des nombreuses lettres (les épîtres) qu’il écrira et qui font dorénavant partie de la base de

 Pierre-André Combremont

Une statue de Paul à Rome.

gle. On le prend par la main et on le conduit à Damas. Pendant trois jours, il reste aveugle, il ne mange rien et il ne boit rien.A Damas, il y a un disciple nommé Ananias. Le Seigneur se montre à lui et lui dit : « Va tout de suite dans la maison de Judas, et demande un certain Saul de Tarse. Il est en train de prier et et voici ce que je lui ai montré : un homme appelé Ananias est en-tré et il a posé ses mains sur sa tête pour qu’il retrouve la vue. » Ananias répond : « Seigneur, je sais tout le mal qu’il a fait à tes disciples, à Jérusalem. Et les

chefs des prêtres lui ont donné le pouvoir d’arrêter ici tous ceux qui font appel à ton nom. » Mais le Seigneur dit à Ananias : « Va trouver cet homme. Je l’ai choisi et je vais me servir de lui. Il fera connaître mon nom aux peuples étrangers, à leurs rois et aussi au peuple d’Israël. » Ananias part et arrive dans la maison, il pose les mains sur la tête de Saul en di-sant : « Saul, mon frère, c’est le Seigneur qui m’envoie. C’est ce Jésus qui s’est montré à toi sur la route où tu marchais. Il m’en-voie pour que tu retrouves la vue et que tu sois rempli de l’Esprit

saint. » A ce mo-ment-là, des sor-tes d’écailles tom-bent des yeux de Saul et il retrouve la vue. Il se lève et il est baptisé (…). Il se met aussitôt à annoncer dans les maisons de prière des juifs : « Jé-sus est le Fils de Dieu ! » Actes des Apôtres

9 : 1 à 20

cette nouvelle religion, le chris-tianisme. Paul, homme religieux, certes, mais surtout homme de foi.

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Des questions lancinantes trouvent des réponses

« Quel est mon vrai père ? » La question torture Salome* (�7 ans) depuis des an-nées. En s’adressant au Service des recherches de l’Armée du Salut, c’est un véri-table travail de détective qui commence et qui débouchera sur une issue tout à fait inattendue.

ersonne ne lui a jamais dit la vérité. A bientôt 50

ans, Salome ne sait toujours pas qui est son père biologique. Des années durant, des questions sur son origine la taraudent. Jusqu’au jour où une brochure de l’Armée du Salut lui tombe entre les mains. Elle y découvre des recherches similai-res à la sienne. Pre-nant son courage à deux mains, elle fait appel au Service des recherches de l’Armée du Salut. Les seules indications dont elle dispose se trouvent dans un document vieux de 40 ans concernant l’activité et le domi-cile du père.

Les recherches conduisent pre-mièrement en Autriche. Il en res-sort que le disparu a déménagé il y a des dizaines d’années de cela.

Malheureusement, les échos en provenance d’Amérique du Sud sont négatifs : on ne connaît per-sonne portant ce nom. Les recher-ches ont-elles échoué ?

Le Service des recherches se

lance alors sur une nouvelle piste. Les autorités autrichien-nes annoncent maintenant que le père est décédé il y a quelques années. Cependant, Salome et le Service des recherches n’aban-donnent pas. Il existe encore

P

recherche

Grâce à Martha Mosimann et au service de recherches de l’Armée du Salut, Salome a pu se réconcilier avec son passé.

 Martha MosimannOfficière de l’Armée du Salut

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recherche

Salome à la recher-che de son père.

une chance : le père a peut-être d’autres enfants.

Les travaux de détective finissent pas porter leurs fruits : ils révèlent que Salome a un demi-frère. Mais la bonne surprise soulève immé-diatement la question angoissante de savoir si le demi-frère souhaite rencontrer Salome. Jusqu’à ce jour, les demi-frère et sœur ignoraient l’existence l’un de l’autre.

Les semaines passent, jusqu’au jour où un courrier plein de tact arrive dans la boîte aux lettres de Salome. Les mots de Martin* et les photos d’elle et de leur père commun touchent profondément Salome. Une rencontre est orga-nisée.

On pleure et on rit beaucoup au cours de cette rencontre. Les demi-frère et sœur s’entendent

rapidement très bien et, depuis lors, ils se voient régulièrement. La devise du Service des recherches est « Retrouver des personnes qui nous sont chères ». Pour Salome, cette devise s’est réalisée.

*Les noms ont été modifiés par la Rédaction

Le Service des recherches de l’Armée du Salut

Voilà plus de 127 ans que l’Armée du Salut recherche des personnes disparues. En Suisse, elle réunit en pre-mier lieu des membres d’une même famille, avec l’appui d’un réseau national et international de Service de recherches et d’autorités, des représentations suisses à l’étranger et des salutistes actifs dans 125 pays. Le Service des recherches en Suisse traite confidentiellement environ cinquante cas par an. Trois quart d’entre eux sont résolus. La participation aux frais dépend des moyens financiers du demandeur. Le Service international des recherches de l’Armée du Salut a vu le jour en 1885 à Londres : des parents étaient à la recherche de leurs filles qui avaient fini dans le milieu de la prostitution de la grande métropole.

[email protected] − Tél. +41 31 388 05 91

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témoignage

Sans tambourni trompette

PNB ou plutôt BNB ?

J’ai une affection particulière pour le roi du Bouthan. Je ne l’ai jamais approché personnellement, mais si on me le présentait j’aurai du plaisir, c’est certain, à tailler une bavette avec lui. Je ne connais que deux choses de ce souverain qui règne sur un mouchoir de poche à l’autre bout du monde, son nom d’abord, Jigme Singye Wangchuck, et puis son fameux BNB.

Même si, comme moi, vous n’aimez pas trop les sigles-racourcisseurs-d’expressions comme CICR, ONU ou UBS, car trop souvent hermétiques (pas ceux-là !), vous avez certai-nement déjà rencontré l’incontour-nable PNB, produit national brut. Grâce à ces trois lettres, les éco-nomistes vous classent les nations du monde entier de la plus riche à la plus pauvre en deux temps trois mouvements.

Le roi du Bouthan, lui, a décidé de se singulariser en ne faisant pas ses comptes en PNB, produit national brut, mais bien en BNB … bonheur national brut. Jygme Singye semble avoir de l’humour, et ça me plaît bien ; mais au-delà du simple clin d’œil ironique lancé au très finan-cier PNB, le souverain pourrait bien vouloir aller plus loin : signaler au monde entier que la vraie richesse d’un état ne se calcule pas en euros, en dollars ou en yens, mais que le bonheur est à rechercher tout ailleurs, dans des domaines moins mercantiles, comme l’intériorité et la spiritualité.

 Gabrielle Keller

était un dimanche à Cologne, une ville que je visitais pour la première fois. J’avais

pensé à tout, sauf au Carnaval ! J’avais prévu de visiter la ville – et n’y rencontrai que des milliers d’hommes et de femmes déjan-tés qui me barraient la route. Je me réfugiai alors dans la cathé-drale, afin d’y trouver un peu de calme. Pendant qu’un prêtre lisait

la messe, des gens déguisés ren-traient, faisaient leur signe de croix, allumaient des cierges. Je les observai puis priant Jésus pour ces foules qui faisaient la fête sur la place de la cathédrale, je quit-tai la nef puis poussai le lourd portail.

Dehors des démons poussaient d’horribles hurlements tandis que des filles de joie les taquinaient. Dans mon cœur je continuais à parler avec mon père céleste : « T’es passé où dans tout ça ? » C’est à ce moment-là que s’arrêta juste devant moi un monsieur avec un vélo sur lequel était dressée une pancarte : « Jesus lebt, Jesus rettet ! » (« Jésus est vivant, Jésus est sauveur ! »).

Il essayait de se frayer un chemin dans la foule tout en distribuant des évangiles. Je lui donnai un coup de main et nous priâmes ensemble. C’est là qu’une jeune femme me lança : « Jésus est mort, que nous veux-tu ? » Je lui ai demandé si elle voulait vraiment connaître la vérité. Elle acquiesça. C’est là, au milieu de cette foule ivre de plaisirs et d’alcool que je pus expliquer à une jeune femme comment elle pouvait rencontrer le Dieu vivant : « Confie ton cœur et toute ta vie à Jésus, ne retiens rien, et tu rencontreras ton sau-veur. » Mon compagnon d’aubaine parlait de son côté aux gens, tout en s’agrippant à son vélo que des moqueurs essayaient de lui déro-ber.

Une joie immense m’a submergée et j’ai continué de parler à Jésus dans mon cœur : « Tu es bien par-tout et il n’en est un pas un seul que tu oublies !

Et Dieu dans tout ça ?

C’

 Marianne Hefhaf

Rolf, témoin de l’amour de Dieu, parcourt l’Europe en vélo.

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infos

Membre de l’Union des Editeurs de la Presse Périodique

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Je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » en versant la somme de 15 ( étranger 21) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention « abonnement Espoir »

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Que faire pour être sauvé?

1. Reconnaissez que vous êtes pécheur devant Dieu, confes- sez-Lui en prière vos péchés, repentez-vous et demandez- Lui pardon (évangile de Luc chapitre 7, verset 49 et let- tre aux Romains chapitre 3, verset.22). 2. Soumettez-vous à Dieu et à Sa Parole, la Bible (évangile de Luc chapitre 13, verset 5)3. La conséquence de notre péché, c’est la mort. Croyez que Jésus est mort sur la croix, qu’il a versé son sang pour payer votre dette et qu’ensuite il est ressuscité

(lettre aux Romains chapitre 10, verset.9). 4. Demandez à Jésus-Christ de vous sauver : (lettre aux Ro- mains chapitre 10, verset 13). et d’être le seul maître de votre vie (lettre aux Romains chapitre 12, versets 1 et 2).

Si vous avez mis tout votre cœur, toute votre intelligence et toute votre volonté dans cette démar-che de prière, Dieu vous promet la vie éternelle et Sa présence du-rant toute votre vie ici-bas. Maintenant nous vous recom-mandons de lire la Bible aussi

souvent que possible afin d‘apprendre à mieux connaître Dieu et de fréquenter une église ou une com-munauté où la Bible est reconnue comme étant la parole de Dieu complète et la seule autorité (lettre aux Hébreux chapitre 10, verset 25 et 1ère lettre de Jean chapi-tre 4, verset 1). Que votre relation avec Dieu puisse grandir et s’affermir.

Être chrétien, c’est bien plus qu’aller à l’église ou faire du bien. Être chré-tien, c’est mettre Jésus au premier plan. C’est une relation personnelle et durable avec le créateur. La Bible nous dit quoi faire pour être sauvé.

 Gabrielle Keller

À vous de jouer !

«  Le témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que  cette  vie  est  dans  son  Fils. Celui qui a le Fils a la vie  ; celui qui n‘a pas le Fils de Dieu n‘a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous  sachiez que vous avez  la  vie  éternelle,  vous  qui croyez au nom du Fils de Dieu.  » (1ère  lettre  de  Jean  chapitre  5, versets 11 à 13.

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PP3001 BerneAnnoncer les

rectifications d’adresses

Sudoku

détente

Règle du jeuIl faut placer dans la grille, par ligne horizon-tale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel or-dre. Vous devez retrouver la totalité des chif-fres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !

Solution du Sudoku

 Jésus nous dit  : «  Tout homme qui boit de cette eau aura encore soif  ; mais celui qui boira de l’eau que moi je lui donnerai n’aura plus jamais soif.  »                                       (Bible, évangile de Jean, 4  : 14)