5
Le Bulletin 30 Déjà tout petit, j’attendais avec impatience l’été, sûrement pour les vacances, mais surtout pour le Spécial Salon de l’Auto-Journal. C’était mon livre de chevet que j’apprenais quasiment par cœur, les différents véhicules, leurs motorisations, leurs finitions, leurs équipements, j’étais quasiment incollable, au moins sur les voitures françaises et les étrangères courantes dans notre pays. Au début, pour être honnête, j’achetais plutôt le «Spécial 200 essais » de l’Action Automobile et Touristique car, comme son nom l’indique, il s’agissait de résumés d’essais avec, en particulier, les performances détaillées dont la moyenne au tour sur le circuit de Montlhéry que je connaissais puisqu’il était tout proche de chez mes parents. Mais il manquait les équipements, les finitions et un certain nombre de voitures et/ou motorisations. J’ai donc acheté le Spécial Salon de l’Auto- Journal en 1984 pour mes 14 ans afin de combler cela, et ensuite, j’ai quasiment acheté tous les «Spécial Salon». Plus grand et avec l’achat de la Daimler, j’ai voulu avoir les numéros précédents, entre autres celui de 1982. Je me suis donc mis en quête de ces numéros lors des bourses d’échange mais aussi sur internet. Ces bibles ont énormément évolué depuis la plus vieille que je possède, ce qui m’a donné l’idée de vous décrire, succinctement, leur évolution de 1955 à 2010, de 5 ans en 5 ans ou presque, car je n’ai ni le 1965 ni le 2005 que j’ai remplacés par 1964 et 2006. Nota : je n’ai pas acheté le 2005 car je l’ai feuilleté, j’ai trouvé énormément d’erreurs et donc il ne valait pas le coup. Un ou deux mois plus tard, je me suis dit qu’il faudrait quand même que je l’achète mais il était épuisé dans les librairies que je fréquentais… Evolution du «Spécial Salon» de l’Auto-Journal > Anecdotes d’Amicalistes EVOLUTION DU « SPECIAL SALON » Le Spécial Salon 1955 était intitulé «Le salon de l’automobile 1955» et était une évolution importante des versions antérieures (dixit l’éditorial). Il comportait 100 pages pour un prix de 250 francs. Nous y retrouvions les bancs d’essais très détaillés des voitures françaises, de voitures utilitaires, un référendum des propriétaires (où l’on voit par exemple que seulement 62% des acheteurs de Citroën 11CV (Traction) rachèteraient cette voiture alors que 72% des propriétaires de Simca Aronde la rachèteraient et que 80% des propriétaires de Peugeot 203 repartiraient pour une autre 203), les voitures de sport (avec entre autre la Jaguar type D), les bancs d’essais des voitures étrangères (sur une page / voiture), le prix de revient kilométrique (21 F/km pour une Peugeot 203 et une Simca Aronde, 22 F/km pour une Citroën 11BL et 28 F/km pour une Citroën 15 Six pour 20 000 Km/an sur un nombre d’années non défini !!! Le journalisme n’était pas aussi rigoureux que maintenant !!!) et les voitures étrangères (allemandes, américaines, anglaises, italiennes et divers). Comme vous pouvez le voir sur les documents joints, les essais des Facel Vega, Salmson 2300 S, coupé Simca et Talbot 4.5l font onze pages avec un éclaté de chaque voiture, des moteurs, les courbes de consommation et d’accélération, toutes les cotes d’habitabilité, les caractéristiques techniques détaillées et leurs qualités et défauts, le tout, bien sûr, commenté par le journaliste.

Evolution du «Spécial Salon» de l’Auto-Journalwp.amicalexj.com/docs/b20/008.pdf · 2019. 4. 13. · Concernant les prix, le premier prix de la Citroën 2CV (26 CV SAE) est de

  • Upload
    others

  • View
    0

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

  • L e Bu l l e t i n30

    Déjà tout petit, j’attendais avec impatience l’été, sûrement pour les vacances, mais surtout pour le Spécial Salon de l’Auto-Journal. C’était mon livre de chevet que j’apprenais quasiment par cœur, les différents véhicules, leurs motorisations, leurs finitions, leurs équipements, j’étais quasiment incollable, au moins sur les voitures françaises et les étrangères courantes dans notre pays.

    Au début, pour être honnête, j’achetais plutôt le «Spécial 200 essais » de l’Action Automobile et Touristique car, comme son nom l’indique, il s’agissait de résumés d’essais avec, en particulier, les performances détaillées dont la moyenne au tour sur le circuit de Montlhéry que je connaissais puisqu’il était tout proche de chez mes parents. Mais il manquait les équipements, les finitions et un certain nombre de voitures et/ou motorisations. J’ai donc acheté le Spécial Salon de l’Auto-Journal en 1984 pour mes 14 ans afin de combler cela, et ensuite, j’ai quasiment acheté tous les «Spécial Salon».

    Plus grand et avec l’achat de la Daimler, j’ai voulu avoir les numéros précédents, entre autres celui de 1982. Je me suis donc mis en quête de ces numéros lors des bourses d’échange mais aussi sur internet. Ces bibles ont énormément évolué depuis la plus vieille que je possède, ce qui m’a donné l’idée de vous décrire, succinctement, leur évolution de 1955 à 2010, de 5 ans en 5 ans ou presque, car je n’ai ni le 1965 ni le 2005 que j’ai remplacés par 1964 et 2006.

    Nota : je n’ai pas acheté le 2005 car je l’ai feuilleté, j’ai trouvé énormément d’erreurs et donc il ne valait pas le coup. Un ou deux mois plus tard, je me suis dit qu’il faudrait quand même que je l’achète mais il était épuisé dans les librairies que je fréquentais…

    Evolution du «Spécial Salon» de l’Auto-Journal

    > Anecdotes d’Amicalistes EVOLUTION DU « SPECIAL SALON »

    Le Spécial Salon 1955 était intitulé «Le salon de l’automobile 1955» et était une évolution importante des versions antérieures (dixit l’éditorial). Il comportait 100 pages pour un prix de 250 francs. Nous y retrouvions les bancs d’essais très détaillés des voitures françaises, de voitures utilitaires, un référendum des propriétaires (où l’on voit par exemple que seulement 62% des acheteurs de Citroën 11CV (Traction) rachèteraient cette voiture alors que 72% des propriétaires de Simca Aronde la rachèteraient et que 80% des propriétaires de Peugeot 203 repartiraient pour une autre 203), les voitures de sport (avec entre autre la Jaguar type D), les bancs d’essais des voitures étrangères (sur une page / voiture), le prix de revient kilométrique (21 F/km pour une Peugeot 203 et une Simca Aronde, 22 F/km pour une Citroën 11BL et 28 F/km pour une Citroën 15 Six pour 20 000 Km/an sur un nombre d’années non défini !!! Le journalisme n’était pas aussi rigoureux que maintenant !!!) et les voitures étrangères (allemandes, américaines, anglaises, italiennes et divers). Comme vous pouvez le voir sur les documents joints, les essais des Facel Vega, Salmson 2300 S, coupé Simca et Talbot 4.5l font onze pages avec un éclaté de chaque voiture, des moteurs, les courbes de consommation et d’accélération, toutes les cotes d’habitabilité, les caractéristiques techniques détaillées et leurs qualités et défauts, le tout, bien sûr, commenté par le journaliste.

  • 31N° 20

    Pour l’édition de1960, le format ne change pas, toujours 100 pages mais pour 4 NF. Nous retrouvons les bancs d’essais (avec un S pour cette édition !) des voitures françaises, les productions des petits constructeurs français, les bancs d’essais de voitures étrangères et la présentation de la production automobile mondiale illustrée de dessins du profil de la voiture. Les bancs d’essais des voitures françaises ne font plus qu’une ou deux pages avec toujours les courbes de consommation et d’accélération, la vitesse maxi et la consommation moyenne en gros, ses défauts et qualités, ses caractéristiques détaillées et, c’est nouveau, le détail de la planche de bord. Nous ne trouvons toujours pas le prix des voitures. Les bancs d’essais des voitures étrangères sont, eux, sur une demi-page avec, toujours en gros, leur vitesse maximum et leur consommation moyenne. Dans cette édition, il y a bien plus de voitures étrangères présentées (6 voitures par exemple pour Jaguar Daimler avec les Jaguar 2.4l, Jaguar 3.4l, Jaguar Mark IX, Jaguar XK 150, Daimler Majectic Major et Daimler SP 250 alors qu’il n’y avait aucune Jaguar hormis la Type D dans l’édition de 1955).

    > Anecdotes d’AmicalistesEVOLUTION DU « SPECIAL SALON »

    Il est à noter que l’on peut voir, dans les critiques « Prix très élevé » sans avoir pour autant cette valeur. Par contre, la vitesse maximum arrondie au km/h près est indiquée de façon bien visible ainsi que la consommation moyenne.

    Pour l’édition de 1964, la revue, toujours de même taille, comporte 147 pages, coûte 5 F et nous y trouvons la mention 13e année, ce qui permet de dater la 1ère édition à 1952.

    Nous y trouvons, ce qui est nouveau, un article sur les projets des constructeurs où apparaît un dessin d’un prototype de future Citroën à moteur NSU-Wankel mais ne correspondant à rien qui sortira un jour.

  • L e Bu l l e t i n32

    Pour l’édition de 1970, le format de la revue s’agrandit énormément pour atteindre 26,5 cm x 36,5 cm (alors qu’il était jusqu’à présent de 23,5 x 31,5 cm). Elle comporte 220 pages et coûte 8 F. On y trouve toute la production française et étrangère dont les pays exotiques. Nous retrouvons toutes les différentes motorisations mais aussi finitions avec les équipements les différenciant même si, à l’époque, souvent une motorisation égale une finition. Les bancs d’essais sont sur une page, tant pour les voitures françaises qu’étrangères. Nous ne retrouvons plus les caractéristiques techniques qui sont détaillées dans les pages du constructeur. Par contre, les dimensions intérieures refont leur apparition.

    L’article est composé de 5 paragraphes qui sont l’introduction, les performances, la sécurité, le confort et agrément et la conclusion. Nous retrouvons, bien sûr, le tableau des défauts et des qualités et toujours la vitesse maximum, la consommation et le temps au 1 000 m départ arrêté de façon très visible. Les photos sont maintenant en couleurs. Dans cette édition, nous trouvons le banc d’essais de la Jaguar XJ6 4.2 série 1 BVM avec overdrive qui couvre le 1 000 m départ arrêté en pile 34 s, pointe à 183.6 km/h en vitesse maximum tout en consommant en moyenne 14.5 l/100 km.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën 2CV (26 CV SAE) est de 6 412 F, la Peugeot 504 injection avec toit ouvrant (!) coûte 16 850 F, la Renault R8 1er prix (Major) coûte 8 750 F, la Jaguar XJ6 4.2l BVA coûte 47 900 F, la Porsche 911 E (155 CV) coûte 51 650 F et la Mercedes 300 SEL 3.5l berline 58 600 F.

    > Anecdotes d’Amicalistes EVOLUTION DU « SPECIAL SALON »

    Nous avons enfin le prix des voitures françaises (le prix des voitures étrangères est aussi présent mais à la fin de la revue).Nous retrouvons les nouveautés, les bancs d’essais des voitures françaises, les bancs d’essais des utilitaires, les véhicules tout terrains (nouveau), les vedettes du sport automobile, le catalogue des voitures étrangères avec, après chaque pays, des bancs d’essais et, pour la première fois, les voitures des pays exotiques (Canada, Australie, Mexique, Inde, Israël…).

    Les bancs d’essais des voitures françaises font, en général, 2 pages dont une rien que pour une photo et les qualités et défauts. Nous retrouvons les caractéristiques détaillées, la vitesse maximum qui est maintenant donnée au 1/10 de kilomètre près et la consommation toujours en grand et, nouveauté, le temps au 1 000 m départ arrêté dans la même taille. Les bancs d’essais des voitures étrangères se résument à un petit texte d’introduction, leurs défauts et qualités et leur vitesse, leur consommation et leur temps au 1 000 m départ arrêté, ce qui représente environ1/5 de page. Nous y trouvons les essais de la Jaguar 3.8 l, la Jaguar Mark X et de la Jaguar type E. Concernant les prix des voitures, voici quelques exemples que nous suivrons au fil du temps : le premier prix de la Citroën 2CV (18 CV) est de 5 295 F, la Peugeot 404 Super luxe injection coûte 12 800 F, la Renault R8 1er prix coûte 6 990 F, la Jaguar Mark II 3.8 l coûte 31 000 F, la Porsche 901 (145 CV) coûte 43 000 F et la Mercedes 300 SE berline 41 900 F.

  • 33N° 20

    Pour l’édition 1975, la taille de la revue diminue légèrement pour atteindre 25.5 * 34 cm mais a toujours 220 pages pour 12 F. Sur la couverture apparaît, en plus du titre, le sous-titre « Toutes les voitures du monde ». Nous retrouvons les même rubriques avec plus de pages sur les nouveautés. Les bancs d’essais évoluent peu, les chapitres sécurité et confort et agrément ne font plus qu’un qui se nomme sécurité et confort.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën 2CV (24 CV) est de 11 852 F, la Peugeot 504 Ti coûte 28 550 F, la Renault R12 1er prix (L) coûte 20 500 F, la Jaguar XJ6 4.2l (BVM ou BVA ?) coûte 74 750 F, la Porsche 911 2.7 l (150 CV) coûte 74 900 F et la Mercedes 350 SEL 101 600 F.

    Pour l’édition 1980, la taille n’évolue pas mais le nombre de pages passe à 280 pour 20 F. Le titre change et devient simplement « SALON 80 ». Les principales rubriques n’évoluent pas, seules les rubriques « Salon d’antan » et « Les voitures de compétition » font leur apparition. Les bancs d’essais n’évoluent pratiquement que sur la forme mais, pour certaines nouveautés, ils passent à 2 pages (Citroën GSA/X3, Peugeot 305 Break, Talbot Solara GLS et Renault Fuego GTS). Comme vous pouvez le voir, il y a une équité entre les quatre grandes marques françaises de l’époque. Le seul changement est le remplacement de la consommation moyenne par la consommation économique (consommation sur un parcours donné). Dans cette édition, nous trouvons le banc d’essais de la Jaguar XJ6 4.2 série 3 BVA qui couvre le 1 000 m départ arrêté en 32 s 5/10, pointe à 198.1 km/h tout en étant créditée d’une consommation économique de 12.6 l/100 km.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën 2CV (29 CV) est de 19 980 F, la Peugeot 505 STI coûte 63 700 F, la Renault R14 1er prix (TL) coûte 34 200 F, la Jaguar XJ6 4.2l BVA coûte 135 000 F, la Porsche 911 SC (204 CV) coûte 150 300 F et la Mercedes 380 SE 166 000 F.

    Pour l’édition de 1985, la revue revient à une taille plus raisonnable de 23.5 * 30 cm mais comporte maintenant 340 pages pour 40 F. Il n’y a pas d’évolution notable dans cette édition.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën 2CV (29 CV) est de 32 400 F, la Peugeot 505 GTI 2.2l coûte 104 500 F, la Renault R11 5P 1er prix (TL) coûte 59 300 F, la Jaguar XJ6 4.2l BVA coûte 225 500 F, la Porsche 911 Carrera (231 CV) coûte 301 140 F et la Mercedes 380 SE 293 000 F.

    Pour l’édition 1990, la taille évolue légèrement (23 * 29.8 cm) et comporte 380 pages pour 42 F. Les rubriques sont les mêmes hormis la partie salon d’antan qui disparaît. Les bancs d’essais évoluent et font soit une page, soit 1/3 page. La vitesse maximum est toujours en bonne place mais est maintenant revenue à un arrondi au km/h, la consommation économique est devenue consommation routière et, en plus, apparaît la reprise à 50 km/h en 5e (sur 1 000 m a priori mais rien n’est précisé réellement !!!).

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën AX (10 E en 3P) est de 48 200 F, la Peugeot 605 SV V6 coûte 189 800 F, la Renault R19 5P 1er prix (Prima) coûte 66 500 F, la Jaguar XJ6 4.0l BVA Sovereign (XJ40) coûte 362 400 F, la Porsche 911 Carrera 2 (Type 964, 250 Ch) coûte 450 000 F et la Mercedes 500 SE 470 000 F.

    > Anecdotes d’AmicalistesEVOLUTION DU « SPECIAL SALON »

  • Pour l’édition 1995, la taille n’évolue pas, le nombre de pages passe à 364 et le Spécial Salon coûte 45 F. Les bancs d’essais repassent à une page par voiture et il y a un tableau très complet sur les performances de la voiture ainsi que plusieurs photos. Dans cette édition, apparaît un tableau détaillé (14/18 lignes suivant les gammes) avec les équipements de chaque voiture.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën AX (X en 3P) est de 53 500 F, la Peugeot 605 SV V6 coûte 262 000 F, la Renault R19 5P 1er prix (Europa 1.4) coûte 79 000 F, la Jaguar XJ6 4.0l BVA Sovereign (XJ40) coûte 429 800 F, la Porsche 911 Carrera (Type 993, 272 CV) coûte 520 000 F et la Mercedes S 500 584 900 F.

    Pour l’édition 2000, le format de la revue se réduit un peu à 22 x 28,7 cm et comporte 368 pages pour 46 F. Il n’y a pas d’évolution dans le contenu et seuls les bancs d’essais, appelés maintenant uniquement « essais » se retrouvent en fin de revue.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën Saxo (1.0 i en 3P) est de 56 500 F, la Peugeot 605 SV V6 coûte 249 000 F, la Renault Mégane 5P 1er prix (RTE 1.4e) coûte 90 900 F, la Jaguar XJ8 4.0l BVA Sovereign (X308) coûte 468 800 F, la Porsche 911 Carrera 2 (Type 996, 300 Ch) coûte 540 500 F et la Mercedes 500 SE 603 000 F.

    L e Bu l l e t i n34

    Pour le spécial salon 2006, la taille n’évolue pas et comporte 404 pages pour 7 €. Les essais, toujours en fin de revue, voient apparaître des étoiles de classement pour les domaines suivants : sur la route, vie à bord, côté finances et verdict. On sent bien, dans cette présentation, l’influence des tests de sécurité Euro Ncap.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën C1 (1.0 i 3P) est de 8 250 €, la Peugeot 607 V6 Griffe coûte 48 850 €, la Renault Mégane 5P 1er prix (pack authentique 1.4 16V) coûte 16 950 €, la Jaguar XJ8 4.2l BVA Exécutive (X350) coûte 78 800 €, la Porsche 911 Carrera (Type 997, 325 CV) coûte 79 855 € et la Mercedes S 500 101 300 €.

    Pour finir, l’édition de 2010 n’évolue ni en taille, ni en nombre de pages, ni en prix (7 €). Par contre, il n’y a plus de banc d’essais ou d’essais.

    Concernant les prix, le premier prix de la Citroën C1 (1.0 i 3P Attraction) est de 8 850 € moins 700 € de bonus, la Peugeot 607 V6 Hdi Féline coûte 49 800 € plus un malus de 1 600 €, la Renault Mégane 5P 1er prix (Authentique 1.6 16V Ethanol) coûte 18 400 € moins 200 € de bonus, la Jaguar XJ8 4.2l BVA Spirit of Legend (X358) coûte 85 000 € plus un malus de 2 600 €, la Porsche 911 Carrera (Type 997, 345 CV) coûte 86 149 € plus un malus de 1 600 € et la Mercedes S 500 111 000 € plus un malus de 2 600 €.

    Ces revues nous permettent de voyager dans le temps car si, bien sûr, nous retrouvons les voitures de l’époque, nous y retrouvons aussi l’ambiance, les tendances et les préoccupations/envies de cette époque…

    Nota : la logique des dates de parution de ces salons a changé, a priori en 1989/1990, puisque, par exemple, le Salon 85 est daté du 1er septembre 1985 alors que le Salon 2000 est daté, lui, du 29 juillet 1999. Stephan DUPONT

    > Anecdotes d’Amicalistes EVOLUTION DU « SPECIAL SALON »