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 BENSAID JULIA JEAN- BAPTISTE MONCHABLON MAXIME GRAFTIAUX M1D Les États-Unis d’Amérique Introduction : Comprendre les clients de l'hotellerie-restauration est une chose primordiale pour la  pérennité de la profe ssion. Nous nous sommes aperçus que les profes sionnels ont une connaissance très limitée sur leurs clientèles : leurs attentes, leurs besoins, leurs motivations de séjou rs. Auc une ét ude acce ssible à to us n’a jam ais été m enée auprè s des inté ressés : Les clien ts eux-mêm es. Beau coup d’hôte ls sont conçus et organisé s sans la connaissa nce des nouvelles attentes des consommateurs de prestations hôtelières. Sept personnes sur dix déclarent vouloir se sentir chez eux à l’hôtel, selon une enquête Ipsos, menée en 2008 pour le compte de Campanile. Globalement, l’étude montre que les touristes sont avant tout à la recherche de bien-être et ce, même à l’hôtel. Parce que 46 % des  personnes interrogées décla rent dans leur quotid ien se réveiller fatigu ées et 82 % être  préo ccupé es par le pouv oir d’ach at, 89 % épro uvent le besoin de se dé tendre , chez eux , comme à l'hôtel. C'est pour ces différentes raisons que le secteur de l'hôtellerie doit plus connaître sa clientèle dont les touristes américains faisant parti des plus nombreux en France afin de satisfaire au mieux leur attentes et qu'ils reviennent chez nous.

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Les États-Unis d’Amérique

Introduction :Comprendre les clients de l'hotellerie-restauration est une chose primordiale pour la

 pérennité de la profession. Nous nous sommes aperçus que les professionnels ont une

connaissance très limitée sur leurs clientèles : leurs attentes, leurs besoins, leurs motivations deséjours. Aucune étude accessible à tous n’a jamais été menée auprès des intéressés : Lesclients eux-mêmes. Beaucoup d’hôtels sont conçus et organisés sans la connaissance desnouvelles attentes des consommateurs de prestations hôtelières.

Sept personnes sur dix déclarent vouloir se sentir chez eux à l’hôtel, selon une enquêteIpsos, menée en 2008 pour le compte de Campanile. Globalement, l’étude montre que lestouristes sont avant tout à la recherche de bien-être et ce, même à l’hôtel. Parce que 46 % des

 personnes interrogées déclarent dans leur quotidien se réveiller fatiguées et 82 % être préoccupées par le pouvoir d’achat, 89 % éprouvent le besoin de se détendre, chez eux, comme

à l'hôtel.

C'est pour ces différentes raisons que le secteur de l'hôtellerie doit plus connaître saclientèle dont les touristes américains faisant parti des plus nombreux en France afin desatisfaire au mieux leur attentes et qu'ils reviennent chez nous.

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1) Carte d'identité

- Superficie : 9 363 123 km² (17 fois la France).- Population : 308 millions d'habitants.- Capitale : Washington D.C.- Langues : l'anglais. L'espagnol est également très parlé dans l'Ouest américain.- Monnaie : le dollar américain.- Régime : démocratie présidentielle.

- Nature des États-Unis : république fédérale (50 États et le district de Columbia).- Chef de l'État : Barack Obama (démocrate), élu en novembre 2008, investi en janvier 2009-métropoles importantes : New York (21 millions d’habitants), Los Angeles (16 millions) etChicago (8,5 millions)

Comportement de la clientèle américaine en séjour enFrance :

Source : Maison de la France - Le marché américain 2007

Patrimoine, gastronomie et art de vivre sont les principaux attraits de la France pour cetteclientèle, qui vient surtout au printemps et à l’automne pour 8 jours environ, à l’hôtel, dans unenvironnement majoritairement urbain. La préparation des séjours se fait essentiellement par Internet, mais cette clientèle consulte aussi de nombreux guides touristiques, et reste trèssensible au bouche à oreille.

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Quelques chiffres :

8ème clientèle étrangère en France

24 millions de nuitées en France en 2007

Une durée de séjour de 7,1 jours en moyenne

5,9 millions de nuitées en hôtellerie en 2008

http://www.youtube.com/watch?v=xIQaOO_YkqQ 

(clique droit, ouvrir l'hyper lien, pour pouvoir voir la video)

Cette courte video nous montre que la clientèle américaine revient progressivementdepuis 2005 en France notamment du fait des évènements politiques et conjoncturels des deuxéconomies.

2) Les fêtes et traditions

- New year (férié le 1er  janvier)

Les Américains fêtent la nouvelle année comme les européens, du fait que les premiershabitants des Etats-Unis étaient des colons européens. Ils ont donc gardé leurs coutumes.

Le réveillon du nouvel an, la Saint Sylvestre célèbre l'amour, l'espoir, le pardon, laseconde chance et de nouveaux départs pour la nouvelle année.

La chanson la plus couramment chanté pour les anglophones à la veille du Nouvel An, Auld Lang Syne, est une vieille chanson écossaise qui a été publié par le poète Robert Burns.

Aux États-Unis, l'un des défilés les plus célèbres est le Tournament of Roses, où les charssont décorés avec des fleurs. Le défilé remonte à 1886 lorsque les membres du Club de HuntValley décorés leurs voitures avec des fleurs.

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- Le Martin Luther King Day (jour de Martin Luther King-férié le 3ème lundi de janvier)

Le jour de Martin Luther King commémore la naissance du révérend Martin Luther KingJr., pasteur afro américain militant pour les droits civiques des Noirs pendant les années 60. Salutte contre la discrimination raciale a été qualifiée de non-violente. Martin Luther King Jr. Est

l’homme qui a mené l’Amérique vers le Civil Rights Act et le Voting Rights Act en organisant etdirigeant des actions telles le fameux boycott des bus de Montgomery, symbole de ségrégationraciale. Martin Luther King est le plus jeune lauréat du Prix Nobel de la paix en 1964.

Le jour de Martin Luther King est un jour férié fédéral institué par une loi du 2 novembre1983 signée par le président Ronald Reagan.

Le jour de Martin Luther King fut observé pour la première fois le 20 janvier 1986.

- La journée de la marmotte (2 février)

Le jour de la marmotte (Groundhog Day en anglais) est une fête célébrée le 2 février en

Amérique du Nord qui marque la fin de l'hiver.

- Valentine's Day (14 février)

Aux Etats-Unis contrairement en France la Saint-Valentin est une fête pour les grandsmais aussi pour les petits. La Saint-Valentin est la fête des amoureux mais aussi la fête del’amitié, dans les écoles, les élèves préparent des cartes de vœux pour les donner à leurs amis.

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- Le Memorial Day (Le Jour du Souvenir)

 Mémorial Day est à la base un jour férié à la mémoire des hommes morts au combat lors

de la guerre de sécession (12 avril 1861 - 9 avril 1865). Depuis la fin de la première guerremondial, il devient le jour de tous les morts de guerre, c’est en 1971 que Richard Nixon déclarale dernier lundi de mai jour férié.

- Independance Day (férié le 4 juillet)

La Déclaration d'indépendance est un texte politique qui dit que les Treize Colonies britanniques d'Amérique du Nord sont désormais indépendantes du Royaume uni, ainsi ilsn’auront plus à payer les lourds impôts qui étaient imposés et donc le 4 juillet 1776 devient le

 jour de l'indépendance des treize colonies mais c'est en 1784 que cela devient officiel. Le 4

 juillet dans tout ce qu’on voit, on va trouver le rouge, le blanc, et le bleu. Les américains fiers portent des chemises avec du rouge, du blanc et du bleu. Les drapeaux américains flottent auxfenêtres. Beaucoup de villes ont une parade dans laquelle des élèves de lycées locaux, desorchestres, et les pompiers de la ville défilent dans la ville et jettent des confiseries auxspectateurs. La tradition la plus identifiable du Jour de l’Indépendance est le feu d’artifice. Onvoit les feux d'artifices dans le ciel juste après la tombée de la nuit pendant la soirée du 4 juillet.

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- Labor Day (fête du travail)

Les travailleurs américains et canadiens ont choisi de chômer le 1er lundi de septembre plutôtque le 1er mai.

Le premier  Labor Day a été célébré par les travailleurs à New York en 1882. Il s’estétendu au reste du pays au fil des ans avant d'être officiellement reconnu par le Congrèsaméricain en 1894.

- Jour de Christophe Colomb (Jour férié le 2ème lundi d’octobre)

Le jour de Christophe Colomb, ou Colombus Day, est un jour férié célébré le second lundi

du mois d'octobre aux États-Unis pour rappeler l'arrivée de Christophe Colomb sur le NouveauMonde Le continent Américain 1492.

- Thanksgiving (21 novembre 1620-férié le dernier jeudi de novembre )

Le navire Mayflower qui quitta Southampton le 5 août 1620 et arriva le 21 novembre de lamême année sur le continent américain. Les passagers étaient des puritains et avaient décidés de

quitter l'Angleterre et les persécutions du roi Jaques premier. Ceux qui survécurent au voyageappelés Pilgrims eurent une année difficile beaucoup moururent, aucune plantations pouvaient

 poussées avec le froid. Mais grâce aux indiens ils réussirent à manger: dindes, airelles, patatesdouces et potiron. Lincoln, en 1863, déclara le quatrième jeudi de novembre, journée d'action degrâce transformé par Franklin D. Roosevelt jour férié en 1941 pour honorer la mémoire desfondateur (les premiers colons) et aux indiens. La dinde rôtie servie avec une sauce aux airelles,de purée et du fameux gâteau au potiron appelé "pumpkin pie" est traditionnellement servie etmangé tous des derniers jeudi de novembre en famille.

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- Christmas Day (férie le 25 décembre)

Aux États-Unis, on fête la naissance du petit Jésus comme en Europe.

Le début de la période de Noël est marqué par la fin de Thanksgiving, le troisième jeudide novembre. Le samedi suivant, une parade spectaculaire s’organise à New York, qui marquesymboliquement l’ouverture de la saison des cadeaux. Pendant un mois, les Américains serendent massivement dans les magasins, mais sans oublier l’esprit religieux de la fête ! On peutentendre résonner les fameux chants de Noel, dont le célèbre « Jingle bells » et la légende deSanta-Claus racontée aux enfants. Cet évêque chrétien, à l’origine du personnage du Père Noëlaux États-Unis, est connu pour avoir, selon la tradition, donné des cadeaux à ses voisins

 pauvres, pour les aider à surmonter les hivers les plus rudes. Toute la famille participe à ladécoration de la maison.

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3) Savoir-vivre et coutumes

À la ville comme dans les campagnes, on se dit facilement bonjour dans la rue, même sion ne se connaît pas.

Les Américains se font très rarement la bise. Quand on est proche et qu'on ne s'est pas vudepuis un moment, c'est l'accolade (le hug ) qui prévaut : il s'agit de s'enlacer en se tapant dansle dos. Le meilleur moyen de saluer quelqu'un est quand même de lui serrer la main.

En arrivant dans un restaurent , on ne s'installe pas à n'importe quelle table, sauf sil'écriteau « Please seat yourself » vous invite à le faire. On attend donc d'être placé.

Les petits restes : si, dans un restaurant, un Américain a du mal a terminer ce qu'il acommandé, il sera normal pour lui de demander a emporter le reste de son repas (Doggy Bag ).

La climatisation : les Américains ont la manie de pousser la climatisation au maximumdans la plupart des lieux publics (restaurants par exemple).

Le rapport à l'argent des Américains a souvent tendance à énerver les étrangers. Demême, l'insistance permanente des serveurs dans les restaurants ou des vendeurs à vouloir fairedépenser est irritante à la longue.

Les Américains sont prêteurs. Ils n'hésiteront pas, après avoir fait un peu votreconnaissance, à vous prêter leur voiture et à vous laisser les clés de leur maison.

Le patriotisme : le drapeau et l'hymne national sont les liens fédérateurs essentiels desdifférents peuples qui constituent le peuple américain.

Les malentendus culturels : les Américains aiment les contacts et sont d'un abord facile.Mais le premier contact passé, l'analyse de cette situation fait dire aux Français que lesAméricains sont superficiels. À l'inverse, les Américains nous trouveraient froids et distants.

Se serrer les mains aux États-Unis: si les Américains ont l’habitude de s’appeler par leur  prénom, quel que soit le niveau hiérarchique, ils préfèrent garder leur distance, on laisse donc àson interlocuteur un espace vital suffisant, d’environ 60 à 70 cm. Quant à la poignée de main,elle doit être franche et énergique : on secoue le bras deux fois, tout en regardant la personnedans les yeux.

4) Les repas de la journée

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Le Breakfast Le breakfast made in America est l'un des meilleurs rapports qualité-quantité-prix que l'on

connaisse. Pour les Américains, c'est souvent un vrai repas (qui inclue des plats salés) et qu'ils prennent régulièrement dehors.

On trouve des restaurants qui servent le petit déjeuner (certains ne font que ça), descafétérias, des diners, des coffee-shops...

La carte est souvent longue, avec  pancakes servis le plus souvent avec du sirop d’érable, pain perdu que l'on appelle ici French toast , des œufs (eggs), des pommes de terre sautées avecdes oignons (homefries) ou des frites ( French fries), des saucisses.

 Ne pas confondre les bagels avec les donuts (beignets ronds, troués aussi au milieu).

Sont enfin servis les muffins, aux myrtilles, à la framboise, à la banane, etc., qu'on trouvesurtout dans les coffee shops. Et le granola, mélange de céréales croustillantes servies avec duyaourt, des fruits, etc.

Le BrunchLes samedis et dimanche matin, les Américains ont l'habitude de bruncher. Ainsi, bon

nombre de restaurants servent, de 10-11 h à 16 h en général, le brunch, qui contient des plats àmi-chemin entre le breakfast et le lunch, à accompagner d'une boisson chaude, ou parfois d'uncocktail comme le Bloody Mary ou Mimosa.

Le Lunch et le Dinner 

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Dans la plupart des restaurants, le lunch est généralement servi de 11 h à 14 h 30. Puis les portes se ferment pour rouvrir vers 17 h. En dehors des grandes villes, on dîne tôt, à partir de 17h 30 ou 18 h.

La carte n'est pas la même le midi et le soir. Au déjeuner, elle est souvent plus réduite etmoins chère. Le soir, les plats sont plus élaborés et les prix plus élevés.

5) La cuisine américaine

La viande : la viande de bœuf est de premier ordre. Parmi leurs viandes préférées figurentle filet mignon (rien à voir avec un filet mignon de porc, c'est un pavé dans le filet), le sirloin

 steak et le T-bone, la double entrecôte avec l'os en T. Le très tendre  prime rib (côte de bœuf) a

aussi ses adeptes, ils la préfère bien cuite.

Le hamburger (ou burger) : les vrais restaurants servent des viandes fraîches,  juicy,tendres et moelleuses, prises entre deux tranches de bon pain.

Les salades : les Américains sont les champions des salades composées. Toujoursfraîches, appétissantes et copieuses, elles constituent un repas sain et équilibré. La star est laCaesar salad .

Les sandwichs : le sandwich que nous connaissons en Europe s'appelle cold sandwich. Àne pas confondre avec les hots sandwiches, de véritables repas chauds servis avec frites. On

trouve aussi des wraps, sandwichs roulés dans une tortilla.Les desserts : les desserts traditionnels sont les cheesecake, carrot cake, chocolate cake,

 pumpkin pie, muffins et cookies.

Le Beurre d'arachide ( Peanut butter ) : un aliment de base de chaque cuisine américaine.Très couramment utilisé dans les sandwichs des enfants et dans la cuisine, surtout les desserts.

BoissonsBoissons alcoolisées

Âge minimum : le drinking age est de 21 ans. On ne vous servira pas d'alcool si vousn'êtes pas majeur ou si vous ne pouvez pas prouver que vous l'êtes.

Vente et consommation surveillées : dans la plupart des États, il est strictement interdit de boire de l'alcool dans la rue. Les bières s'achètent dans les supermarchés et épiceries mais le vinet les autres boissons alcoolisées ne se trouvent que dans les liquor stores.

Les bières : vous aurez l'embarras du choix mais on ne saurait trop vous recommander de privilégier les microbrasseries (microbreweries), qui ont fleuri ces 10 dernières années.

Les vins : les progrès des vignerons sont considérables depuis quelques années. Cela dit,la plupart des « wineries » vinifient des vins souvent charmeurs, mais généralement sanscomplexité... Les vins français ou italiens sont encore plus chers. Certains restaurants n'ont pas

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la licence d'alcool, et appliquent le principe du  Bring Your Own Bottle (BYOB) : vous avez ledroit d'apporter votre propre bouteille.

Les cocktails : on assiste depuis quelques années à une renaissance des cocktails.

Le bourbon : impossible de passer sous silence ce whisky américain (whiskey).

 Happy hours : beaucoup de bars attirent les foules après le travail, généralement entre 16h et 19 h, en leur proposant de fortes réductions sur certains alcools.

Boissons non alcoolisées

L'eau glacée : dans les restaurants, la coutume est de servir d’emblée un verre d’eauglacée à tout consommateur.

Thé et café : le café américain de base (regular ) est plus proche du café très allongé quedu ristretto italien. Dans de nombreux restos, diners et cafés, on peut demander à être resserviautant de fois qu'on le désire ( free refill ).

Jus de fruits frais et smoothies : On trouve de plus en plus souvent des jus de fruits presséset des smoothies (mélanges de fruits mixés avec de la glace, du yaourt, parfois du lait de soja oumême du thé vert, des céréales).

Cocas et sodas : les Américains consomment des sodas sucrés à longueur de journée !Dans de nombreux restaurants de chaîne, fast-foods, coffee shops et autres petits restaurants, lessodas ( fountain drinks) sont souvent à volonté. Soit on se sert soi-même « à la pompe », soit ondemande un free refill. 

Autre habitude de plus en plus en vogue : les energy drinks, ces boissons à base decaféine, parfois de guarana et, en ce qui concerne le Red Bull, de la taurine.

Les cream sodas : soda mélangé à de la glace à la vanille. Hyper-sucré.