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Facebook 50 ans plus tard… PABLOEMMA

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Facebook50 ans plus tard…

PABLOEMMA

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Du même auteur

-Paroles intimes (poésie)-La vie sépare ceux qui s’aiment (poésie)-Si tu m’aimes comme je t’aime (poésie)-Ce qui plait chez les femmes (poésie)-Je trompe ma femme et elle aime ça (roman)-J’ai fait un rêve (poésie)Comment rencontrer l’âme sœur (Essai)-Un enfant est amour (poésie)-Les dix choses que les hommes préfèrent en amour (Essai)-Gagner de l’argent avec son blog (Essai)-En finir avec le passé (poésie)-Le temps d’un poème (poésie)-Demain sera l’aurore (poésie)-la voleuse de destinée (roman)

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Avant-propos

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Êtes-vous déjà demandé ce quedeviendront vos multiples « likes » d’ici àplusieurs années et quel serait leursimpactes sur votre vie ? Eh bien c’estl’aventure dans laquelle va se lancer unjeune garçon âgé de treize ans à peine etrésidant à Manhattan aux Etats-Unis.Robin est un jeune garçon passionné deloisir et issus d’une famille de cinq enfantsdont lui l’ainé. Après qu’ils aient passésplusieurs années dans une ville qui les avu grandir, son père, soucieux de leursavenirs et souhaitant les voir plusépanouit, décida alors déménager pouraménager dans une autre ville qui pourraitles être favorable. C’est à partir de là qu’ilscommencèrent à trouver véritablementleurs plaisir jusqu’au jour où ils découvrentun réseau social qui vient d’être fondé etmit à la disposition du public.

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Curieux d’en savoir plus, Robin décide selancer dans cet univers qui jour après jourl’amène à se poser des questions pourlesquelles il finira alors par vouloirtrouver des réponses. Durant sesmultiples recherches intenses, il y va plusloin et découvre un mystère auquelpersonne ne s’y attendait et qui, sansdoute devra selon lui bouleverser la viede tout un chacun plus tard. Unedécouverte qui sera synonyme du débutd’un long combat qu’il tentera desupprimer en espérant que les uns et lesautres via ses conseilles arrivent à sedétourner de ce drame qui pourraitsurvenir. Pourra t-il parvenir à lesdissuader à propos de ce qui se prépare ?Et quel est ce mystère à découvrir ? C’estce qui est à savoir tout au long de lalecture de ce roman formidable.

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Le départ de Manhattan

Chapitre 1

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Êtes-vous déjà demandé ce quedeviendront vos multiples « likes » d’ici àplusieurs années, et quel serait leursimpactes sur votre vie ? Eh bien c’estl’aventure dans laquelle va se lancer unjeune garçon âgé de treize ans à peine etrésidant à Manhattan aux États-Unis.Robin est un jeune garçon passionné deloisir et issus d’une famille de cinq enfantsdont lui l’ainé. Après qu’ils aient passésplusieurs années dans une ville qui les avu grandir, son père, soucieux de leursavenirs et souhaitant les voir plusépanouit, décida alors déménager pouraménager dans une autre ville qui pourraitles être favorable. C’est à partir de là qu’ilscommencèrent à trouver véritablementleurs plaisir jusqu’au jour où ils découvrentun réseau social qui vient d’être fondé etmit à la disposition du public. Curieux d’ensavoir plus, Robin décide se lancer danscet univers qui jour après jour l’amène àse poser des questions

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Pour lesquelles il finira alors par vouloirtrouver des réponses. Durant sesmultiples recherches intenses, il y va plusloin et découvre un mystère auquelpersonne ne s’y attendait et qui, sansdoute devra selon lui bouleverser la viede tout un chacun plus tard. Unedécouverte qui sera synonyme du débutd’un long combat qu’il tentera desupprimer en espérant que les uns et lesautres via ses conseilles arrivent à sedétourner de ce drame qui pourraitsurvenir. Pourra t-il parvenir à lesdissuader à propos de ce qui se prépare ?Et quel est ce mystère à découvrir ? C’estce qui est à découvrir tout au long de lalecture de ce roman formidable. Imaginezque vos messages et vos likesbouleversent votre vie l’un de ces quatrematins ? Une vie autre que celle que vousavez choisie. Vous pourriez peut être nepas le croire mais rassurez-vous celapeut ne pas être une illusion mais aucontraire une chose bien plus proche dela réalité.

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Imaginez un seul instant que ceux pourlequel vous vous étiez totalementinvesties fasse comme par miracle l’objetde votre bonheur et que vous n’ayez plusl’envie d’aller voir ailleurs. Que ferriez-vous ? Cela débute dans les annéesquatre vingt dix en ce temps, la vie n’étaitpas aussi belle qu’on pourrait le croire.Nous vivions dans un coin populaire deManhattan avec nos parents puis nosamis avec lesquels nous rêvions d’uneseule chose : le bonheur pour deslendemains meilleurs. Manhattan étaitd’une ville très belle où les jeunes nepouvaient s’empêcher de croire au rêveAméricain et cela sans que personne n’aità aller voir ailleur.les cabinestéléphoniques étant classique, étaient lesseules endroits qui pouvaient nouspermettre de joindre qui que ce soit àtravers l’autre bout du monde. Malgré quece système avec été mit en place, lesgens n’y étaient pas tellement accro justepour le fait que cela demandait à sedéplacer et parfois même, à faire delongue distance.

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Par ailleurs, d’autres n’avaient pas lechoix c’était le seul moyen efficace pourdialoguer. La vie était si simple lesfemmes n’avaient pas besoin d’observerlonguement leur miroir pour savoirqu’elles sont belles. L’économie du paysétait en pleine croissance et avait justebesoin des gens capables de la mettre auplus haut. On vivait une vie vraiment horsdu commun, je pouvais rêver jour aprèsjour avoir une vie heureuse sans êtrecontraint de faire quoi que ce soit. Parexemple, si je voulais m’acheter unvêtement malgré mon très jeune âge,j’allais dans un magasin le plus proche etje m’entendais avec le vendeur tout enayant pas peur de se faire arnaqué. Onvoyait des gens avoir l’estime de soit etréussir à de gros projets. A Manhattancomme ailleurs, tout le monde avait l’airserein et de gauche à droite, on pouvaitentendre des noms comme : Que dieubénisse l’Amérique et tous les autres payssur terre.

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J’avais douze ans à cette époque et l’onpouvait voir sur mon visage quelqu’un quià de l’amour pour des belles choses.Lorsque je parle des belles choses, ils’agit bien évidemment des voitures, desmaisons, des tenues vestimentaires lesmieux coquines au monde. A cetteépoque, mon père était coursier bancaireet ma mère restauratrice. Nous étions unefamille qui n’avait rien à envier desautres ; la paix et la joie était les deuxchoses qui nous amenaient à vivre dansl’harmonie. On envisageait aller vivre plustard dans les cartiers chics ou alors dansd’autres grandes villes ; constitué d’unefamille de six enfants dont moi l’ainé,j’avais pour mission tout les matins d’allerles accompagner dans leur établissementscolaire ensuite m’apprêter pour y aller àmon tour.

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On n’y allait grâce à un bus chargé denous transporter tous les matins dès septheures et lorsque les vacances sepointaient, on envoyait des cartes postalesà nos grands parents question de lessaluer ou d’aller passer quelques joursavec eux. Nous vivions une vie heureuseet cela se laissait entrevoir sur nosvisages presque toujours souriants.Quand on n’allait pas voir nos grandparents, notre mère nos amenait faire dumanège. Mon père quant à lui étaitquelqu’un de rigoureux et cela faisait partides indices qui nous faisaient éprouverassez d’amour pour lui. Je semblais êtrele plus intelligent et le plus sage de mesfrères tel que disaient les amis de monpère. Après être rentré des classes, ilsjouaient aux billes pendant que moi, jepréférais me faire cultivé en écoutant desémissions radios le soir bien après que j’aifini de lire mes cahiers et faire mesdevoirs.

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Je voulais devenir un homme instruit puisune lanterne pour ma famille. On avait pasassez de distraction tout au moins desvéritables choses pour nous épanouir etvu notre âge, nos parents ne pouvaienttolérer nous voir se promener de domicileen domicile à la recherche d’uncompagnon pour agrémenter mieux nosjournées. Alors, il arrivait de fois qu’on errelà à ne rien faire. C’était vraiment agaçantpar moment de compter ses doigts àlongueur de journée et s’abreuver del’oisiveté. Il fallait que j’invente des jeuxpour pouvoir nous apporter un peu plus dedistraction même si à un moment donnénous en avions mard de la routine. Fasseà cela, je devenais presque malade à toutles coups car il me fallait à chaque foisessayé de trouver quelque chose denouveau.

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Quelques mois passèrent et nos parentsen avaient eux aussi mard de nous voirtoujours triste et c’est alors qu’ilsdécidèrent déménager pour s’installerdans une autre ville selon eux plusambiancée et agréable. C’est ainsi qu’onira habiter en Californie un endroit quisemblait être plus relaxe et adorable ;c’était à la période des vacances. On ytrouvait dès les premiers jours de quois’amuser, des amis, et ensuite des coinsgastronomiques pour y aller certainsweekend accompagné des nos parents.Ily fallait rencontrer des amis sympas et enmême temps, je voulais être en contactavec les autres que j’avais laissé del’autre coté. Alors pour me sentir alaise, jedemandai à mon père de me fairecadeaux d’un de ses téléphones portablesbien qu’on était déjà à la porte de larentrée scolaire.

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J’étais un passionné pour l’amitié j’y étaisprêt à tout pour ne pas la perdre et enretour, il fallait que celui qui se propose deme la donner le fasse de tout son cœurcar l’une des choses que je craignais lemoins, c’est me voir être insulté ou alorsméprisé. Mon père avait fini par êtrecompréhensif vis à vis de ma demande etj’avais désormais un outil qui pouvait merapprocher de mes amis. A chaque fois, jeles appelais question d’avoir de leursnouvelles. Eux aussi chance pour moi,avaient des parents compréhensifs quiles avaient accordé un mobile pour qu’onpuisse se joindre pour que la vie deviennealors plus subtile. Les téléphones de cetteépoque étaient compatibles à l’humeurdes hommes ; par exemple, dès que tusemblais haïr ou alors injurier quelqu’un,ton téléphone s’éteignait et il fallaitattendre alors des heures et des heurespour pouvoir le revoir s’allumer.

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Dans tous les cas, on s’y intéressait trèspeu car ce qu’on voulait, c’est de pouvoirse communiquer les uns les autres et riend’autres. Je pouvais joindre mon père ; mamère et mes oncles un véritable plaisirauquel j’étais loin de m’en lasser. Pourmoi, c’était ça la vraie vie ; un momentauquel je pouvais joindre qui que ce soit àtravers l’autre bout du monde. Peut - êtreque le fait que ce téléphone soitcompatible à l’homme était une manièrepour lui de faire en sorte que les genss’aiment ? Tout au moins c’est ce que jeme disais car sinon pourquoi vouloirs’éteindre à la moindre parole déplacée ?Dans tous les cas, je me devais de fairetrès attention en commençant parn’offenser qui que ce soit. J’en parlai avecmon père, question qu’il essaye dem’éclairer à ce sujet. Maismalheureusement, lui non plus ne pu medire quelle est sa vision vis-à-vis de cettetechnologie dont il fallait percer lemystère.

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Mon père ne croyait pas à cette façon devoir les choses de ma part et cela mefrustrait profondément pour le seul faitd’être celui destinée à forger une imagequelconque à propos de celui-ci. Du coup,pour essayer de faire comprendre au gensce que j’avais comme discernement, jedevenais un prédicateur de la bonneparole celle qui était une intuition à laquelle j’y étais désormais lié et au quel j’ycroyais fermement. Les gens de plus enplus semblaient se faire contaminer parune attitude déplorable celle quecondamnait le téléphone mobile. Alorslogiquement, il fallait donc s’attendre àplusieurs téléphones éteint à longueur dejournée pour donner la chance aux gensde redevenir sensés. Je ne voulais pasque cette situation perdure pour cela,j’appelai mes amis à plus de bonnemoralité afin de pouvoir retourner latendance. Les gens parlaient d’unenouvelle vague de téléphone venu pourrendre la vie quasi impossible auxcitoyens Américains.

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Portant je le considérais déjà comme étantun objet venu pour purifier les hommes deleurs actes ignobles ; mon rôle était doncde veiller à ce que les gens restent lucidepour ne pas succomber à la tentation quese type de téléphone pourrait laisserparaitre. A chaque fois que je rencontraisdes gens dans la rue, je leur demanderaistout humblement de faire attention. De nepas se frustrer l’un l’autre, mais plutôt derester serein et amour. D’autres meprenaient pour un insensé et écervelé etmême jusque là, je faisais comme n’avoirrien entendu .les gens disaient voir leurvie s’enfoncer dans un gouffre à cause demes soit disant conseils qui selon eux netiennent debout. J’étais par moment obligéde me taire pour laisser faire. Jeconseillais pleinement et continuellementmes frères afin qu’ils ne se laissent pasmalmener par leur ressentis négatifs carde bonnes choses pourraient se passer siles téléphones ne s’éteignent plus.

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Nous avions l’impression d’assister à lavraie magie, celle que les uns et les autresétaient d’avoir découvert. Pourtant, le malétait présent si bien qu’il fallait à tout prisle faire disparaitre. Le drame n’était pasvéritablement le téléphone mais celui quil’utilise. Si on me l’avait bien avant dit, jene l’aurais pas cru. Voir des gens seheurter les uns les autres me donnait lachair de poule. J’avais de la peine à vivrecela et le pire encore était que j’étais leseul à le constater. Il avait fallu que letéléphone vienne tout gâcher ; notammentnotre bien être, le mode de vie dans lequelnous nous étions arrimés. Le phénomèneétait devenu récurant de partout. Lorsqueje voyais quelqu’un au téléphone, jem’attendais à se qu’ils s’éteignent dès queson propriétaire se mettra à délirer. Rienavoir avec les anciens mobiles quiprocuraient du plaisir toutes les fois quenous en avions envie.

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